Service à domicile
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Service à domicile
Le soleil se couche sur les toits parisiens et je me dirige vers mon rdv. Je ne suis vraiment pas à l’aise. L’homme que j’ai rencontré la semaine dernière sur un site gay m’a payé largement de quoi couvrir mon loyer du mois. Nous nous sommes vus quatre fois depuis la première rencontre devant le porno et je ne m’attendais pas à recevoir un autre message avant le mois suivant. Cependant, hier soir il m’a envoyé un mail court et simple :
« Tu ferais un plan à plusieurs ? »
Je lui ai répondu de suite, sentant une pointe d’excitation au fond de mon ventre,
« Oui, tu proposes combien ? »
A vrai dire je me fous un peu du prix. C’est vrai, l’aide financière est la bienvenue mais c’est plus l’idée de me prostituer à cet homme qui me tente. Lui ne cherchait pas un escort pro d’ailleurs – préférablement un minet dans mon genre à la recherche de nouvelles expériences.
Son message arrive rapidement,
« 1000 pour la nuit, on sera trois. »
« Quand ? »
« Demain soir – tu viens à l’adresse que je te donnerai à 21h pile, tu repars à 8h le lendemain. Ok ? »
J’hésite – assez longtemps pour qu’il me relance,
« Allez petite pute, tu sais que t’en as envi. T’inquiètes ils ont tous passé des tests récemment en plus, ils sont cleans. »
« Bon, ok. »
« A demain. »
J’ai reçu l’adresse dans la journée. Jusqu’à ce moment je n’y croyais pas. Mais en recevant le message m’indiquant un appartement dans le Marais, je sais que je ne peux plus me défiler.
Je marche donc d’un pas incertain vers cette nuit, que je suis certain ne pas être prêt d’oublier. Arrivé à l’immeuble, je monte les escaliers, presque machinalement, sans vraiment y prêter attention. J’ai vraiment peur.
L’homme m’attend à l’entrée d’un appartement somptueux et vaste. Il est vêtu d’une chemise et d’un pantalon de costard.
« Viens, suis moi. »
Il m’emmène dans le salon, où se trouvent deux hommes, assis sur un canapé au milieu de la pièce.
« Je te présente Jules et Eric. Les mecs, voici James. »
Ils me sourient. Mon interlocuteur me regarde à nouveau,
« Cette fois on fait les choses dans la règle. Avant toute chose, on te paye. » Il indique d’une main une liasse de billets sur une table prêt de la porte. « Vas y compte et encaisse. »
Je le fais. Le compte y est. Je range l’argent dans mon portefeuille. Dessous il y a également une petite pile de feuilles. Je lance un regard vers l’homme.
« Les tests, négatifs bien sur. »
Je fais oui de la tête, jetant rapidement un œil sur les examens.
« Ok, tu as pris l’argent, tu es d’accord, donc, tout comme une pute – ce que tu es d’ailleurs – tu nous appartient pour la nuit. Tu fais ce qu’on te dit et bien sur nous on ne sera absolument pas violent. C’est vrai pour ça, on ne te paye pas assez. » Il ricane, « Je déconne. Allez, fais nous un petit strip. »
J’exécute, me plaçant au milieu de la pièce, entre les regards des trois hommes. Je commence par le haut – un simple t-shirt. Je poursuis, faisant tomber mon jean, me retournant alors qu’il m’arrive au milieu des fesses. Je leur révèle à présent le string blanc que je porte dessous. Le jean est suivi de mes chaussures mais je garde les chaussettes.
« Vas nous chercher à boire, dans la cuisine. »
J’exécute. Je sors trois bières du frigo, trouve une d’écapsuleuse, les ouvre et retourne dans le salon. Je leur sers.
« A quatre pattes à présent. C’est bien, maintenant approche toi. »
J’avance donc, roulant du cul, comme une petite salope vers ces trois hommes qui m’épient du regard, leur bière à la main. Je vois déjà qu’un d’entre eux bande. Sans en attendre l’ordre je me mets à caresser, chacun d’une main, les bosses durcissantes des deux hommes assis à travers leur pantalons de costard. Je sens le troisième homme qui s’approche derrière moi.
« Allez, sois pas timide, mets-y de la volonté un peu. »
Je les astique donc plus fermement. Ils bandent à fond à présent, je le sens. Je sais également qu’ils sont loin d’être mal membré. Ma main court le long de ces grosses bosses, sous les regards excités de mes « clients ». Je n’attends pas qu’on me le demande pour commencer à leur défaire les pantalons. Rapidement leurs sexes se trouvent donc libérés de l’étreinte du tissu. Je les masturbe à un rythme doux mais ferme, mes deux mains exécutant une danse de haut en bas. Parfois je m’aventure à leur caresser les boules que je sens bien emplies. J’entends derrière moi l’homme qui défait sa braguette. Le pantalon tombe, suivit du caleçon.
« Allez petite, tu vas commencer par la mienne. »
Je me retourne pour me trouver face à face avec son beau gland enflé. Les mains derrière le dos, j’ouvre grand et je le voit s’approcher de mes lèvres. L’homme cependant choisit de s’attarder contre mes joues. Il tapote du bout du sexe contre mon visage, l’essuyant contre ma peau. Une fine trainée s’en détache. Il bande à fond.
« Allez, assez joué. Pompe moi. »
D’une main je prends donc la base de sa verge pour la guider entre mes lèvres. Le gland sent le savon, une odeur agréable. Au moins ils me respectent assez pour se maintenir propre. Je commence donc par téter le bout de ce beau membre veiné. Puis je le fais entrer peu à peu, faisant courir mes lèvres progressivement le long du phallus. La pipe dure longtemps et j’entends derrière moi le son rythmé des hommes qui se branlent. L’homme se crispe. Je sens qu’il est prêt à jouir – déjà ? – mais je continue et il ne m’arrête pas. Un jet puissant fait irruption dans ma bouche. Le foutre, crémeux salé coule le long de ma gorge. Je peine à en avaler la totalité. L’homme laisse échapper un long râle de plaisir et de soulagement tandis que je lui donne quelques derniers coups de langue, avalant les dernières goutes,
« Ah, ça fait du bien après cette putain de journée. Allez à votre tour les gars. »
Les deux hommes se sont levés et se mettent respectivement à ma gauche et droite. Les trois se sont rasé le pubis, chose que j’apprécie également. L’homme regarde tandis que je répète le même enchainement qu’avec lui – je les titille un peu de la main, puis la langue, prenant soin de la faire courir sur leurs bourses lourdes, avant de les prendre en bouche, entamant une pipe vigoureuse et alternant entre les deux, à genoux. L’homme de gauche, Eric, jouit en premier, étalant la plus part de son jus sur mes lèvres entre ouvertes alors que je sors sa queue de ma bouche. Jules ne tarde pas non plus, préférant lui aussi s’étaler sur mon visage, me repoussant lors du moment opportun.
Une fois les fellations terminées, les trois hommes s’installent à nouveau sur le canapé, se débarrassant du restant de leurs vêtements. Depuis le tapis j’ai une belle vue sur les membres à présent au repos mais toujours impressionnants de ces trois mâles. L’homme se tourne vers moi,
« Vas nous chercher quelque chose à grignoter dans la cuisine et profite-en pour t’essuyer le visage.»
J’obéis, revenant avec des snacks. Je m’assois avec eux sur le canapé, toujours en string. De temps à autre je donne une petite caresse taquine sur leur sexe ou boules. Un d’entre eux, alors qu’il écoute ce que dit un de ces collègues, me prend la tête d’une main, m’indiquant qu’il souhaite que je le pompe à nouveau. J’exécute encore, me penchant sur lui. Je commence par de petits coups de langues avant de le prendre en bouche. Je le sens durcir contre ma langue.
« Elle suce bien hein ? » C’est mon premier amant qui parle.
«Je l’ai trouvé sur un site gay. Notre premier rdv était plutôt cool, mais ce soir je compte bien la défoncer. Allez viens par ici m’en donner un peu. » Ces derniers mots me sont adressés. Je sors donc la queue de ma bouche et quitte le canapé pour me placer à genoux entre ses cuisses. Je le fais également durcir à nouveau, cette fois le masturbant d’une main tandis que je malaxe ses testicules avec mes lèvres. Les pipes s’enchainent encore, je passe d’un membre à un autre sans hésiter. Ma mâchoire fatigue un peu mais je n’y prête pas attention. Cette fois ils ne jouissent pas cependant, me laisser prolonger la fellation pendant de longs instants.
Il fait nuit depuis longtemps lorsque nous nous dirigeons vers la chambre. Les trois hommes s’amusent à me claquer les fesses, me laissant une belle trace rouge, alors que nous descendons un long corridor.
La porte de la chambre s’ouvre et je me retrouve de nouveau encerclé par mes trois amants.
« Allez, qui commence ? » Mon amant se dirige vers une table de nuit, où il prend un tube.
Eric se manifeste en premier. « J’ai bien envi de la prendre en missionnaire. »
« A toi l’honneur alors. »
Eric me pousse donc sur le lit, sur le dos. J’écarte les cuisses, puis d’une main mon string. Mon petit sexe bien dur à présent se colle à mon ventre.
« Tout ça t’excite on dirait. »
Je fais oui de la tête alors qu’Eric prend le tube de lubri des mains de son ami. Il s’en applique généreusement sur le gland, se positionne entre mes jambes ouvertes et se frotte à mon trou.
« Hmm, je sens que je vais bien te limer toi. »
Il se met à pousser après un dernier passage du gland. Etant la première pénétration de la soirée, je ne suis pas dilaté et il peine à entrer. Je retiens mon souffle quand son gland passe enfin. Il progresse fermement, s’enfonçant peu à peu. Il s’immobilise alors qu’il est enfoncé jusqu’à la garde. Il me regarde de haut, les deux autres observant derrière lui.
« C’est vrai que t’es bonne comme ça. »
Sur ce il donne un coup soudain de ses hanches, me faisant gémir. Il sourit, puis commence les vas et viens. Il est lent mais ferme, restant largement enfoncé en moi. Puis il accélère et je sens ses boules taper de plus en plus rapidement contre la peau de mes fesses. Un petit cri aigu m’échappe et je me laisse ensuite aller aux gémissement tandis que mon amant respire bruyamment. Alors qu’il me prend, un des deux autres hommes se positionne prêt de ma tête, à genoux sur le lit. Il me tend son sexe et je tourne la tête pour le prendre en bouche. J’ai du mal à me concentrer sur la fellation alors il se met à donner ses propres coups de reins. Les deux me liment à présent, l’un entre mes lèvres, l’autre au plus profond de moi. Ils me baisent longuement. L’excitation me prend totalement, mélangée à un sentiment de honte au fond de moi.
Les hommes échangent de place,
« A quatre pattes petite, tu suceras mieux. »
L’orgie reprend, cette fois j’ai la verge de mon amant en bouche et Jules qui me butine les fesses. Rapidement ses mouvements deviennent vigoureux – il me lime puissamment. Les rôles tournent – les hommes s’essuyant le sexe avec des lingettes avant de me le présenter pour ma dégustation. Je sens la sueur qui coule le long de ma peau. Le plaisir qui me remonte le long du ventre m’envahi d’une chaleur intense. Je gémis ouvertement, ma voix aigue et féminine.
Nos ébats durent ce qui semble être une éternité. Enfin, alors que je sens une pointe de douleur se fondre au plaisir et que ma mâchoire est lasse, je sens la semence d’Eric qui se répand en moi. Il me baisait couché sur le ventre. Son sexe s’immobilise, enfoncé jusqu’à la garde. Il laisse échapper un long râle. Puis c’est au tour de Jules, remplissant ma gorge de la même manière. Mon amant ne jouit pas cependant. Les deux autres hommes quittent la pièce, allant rejoindre des chambres d’amis. Je reste avec l’homme, nu (mon string arraché depuis bien longtemps), épuisé dans les draps souillés. Mais ce n’est pas terminé. Mon amant s’approche. Il me donne une biffle sur les fesses. Je sens l’excitation qui pointe toujours au fond de moi.
« Allez, viens me chevaucher petite pute. »
Las, mais toujours sous contrat, et à vrai dire, non sans une pointe d’envie, je m’installe à califourchon sur l’homme. Je me laisse doucement descendre sur sa verge tendue que je laisse aller au plus profond de moi. Une fois contre son pubis je commence le mouvement du bas vers le haut. D’une main je me saisis également de ses boules que je malaxe tendrement. Le plaisir me prend progressivement de nouveau, remontant encore. Ma main effleure mon gland alors que je me repositionne sur mon amant et je ne peux empêcher le jet qui se projette, heureusement se répandant seulement sur ma peau. Je gémis longuement. L’homme me regarde d’un air étrange. Soudainement il me soulève, me retourne et me plaque contre le lit. Il se positionne, glissant son sexe entre mes fesses. Il n’a pas de mal à me pénétrer de nouveau. Cette fois il me défonce et la douleur se fait plus ressentir. Mes mains se crispent, mes doigts se tendant et se relâchant. Je laisse faire – je n’ai pas le choix. Il jouit en moi en un puissant jet chaud et épais. Nous restons immobiles dans cette position quelques instants, reprenant notre souffle.
« Tu dors avec moi. » Ca voix est essoufflée.
Je suis réveillé par une barre chaude sur mon visage. J’ouvre les yeux, découvrant mon amant prêt de moi, son sexe posé contre ma peau. Il me sourit.
« Ben alors, qu’est-ce que t’attends ? »
J’ouvre grand et il s’insère entre mes lèvres. Il me baise la bouche une dernière fois, se laissant jouir sur mon visage.
Je dois ensuite prendre une douche avec mes deux autres amants, Eric et Jules. Je les suce également, tour à tour après de longues caresses sous l’eau chaude. Eric souhaite me prendre une dernière fois alors je me cambre – soumis. Cette pénétration est douloureuse mais non sans excitation.
Je me rhabille, remettant mon string souillé de tâches de sperme. Je pars seul, laissant les hommes se préparer pour la journée. L’argent est dans ma poche. Mon amant m’a demandé mon numéro de téléphone. Il m’appellera quand il aura de nouveau besoin de mes services.
« Tu ferais un plan à plusieurs ? »
Je lui ai répondu de suite, sentant une pointe d’excitation au fond de mon ventre,
« Oui, tu proposes combien ? »
A vrai dire je me fous un peu du prix. C’est vrai, l’aide financière est la bienvenue mais c’est plus l’idée de me prostituer à cet homme qui me tente. Lui ne cherchait pas un escort pro d’ailleurs – préférablement un minet dans mon genre à la recherche de nouvelles expériences.
Son message arrive rapidement,
« 1000 pour la nuit, on sera trois. »
« Quand ? »
« Demain soir – tu viens à l’adresse que je te donnerai à 21h pile, tu repars à 8h le lendemain. Ok ? »
J’hésite – assez longtemps pour qu’il me relance,
« Allez petite pute, tu sais que t’en as envi. T’inquiètes ils ont tous passé des tests récemment en plus, ils sont cleans. »
« Bon, ok. »
« A demain. »
J’ai reçu l’adresse dans la journée. Jusqu’à ce moment je n’y croyais pas. Mais en recevant le message m’indiquant un appartement dans le Marais, je sais que je ne peux plus me défiler.
Je marche donc d’un pas incertain vers cette nuit, que je suis certain ne pas être prêt d’oublier. Arrivé à l’immeuble, je monte les escaliers, presque machinalement, sans vraiment y prêter attention. J’ai vraiment peur.
L’homme m’attend à l’entrée d’un appartement somptueux et vaste. Il est vêtu d’une chemise et d’un pantalon de costard.
« Viens, suis moi. »
Il m’emmène dans le salon, où se trouvent deux hommes, assis sur un canapé au milieu de la pièce.
« Je te présente Jules et Eric. Les mecs, voici James. »
Ils me sourient. Mon interlocuteur me regarde à nouveau,
« Cette fois on fait les choses dans la règle. Avant toute chose, on te paye. » Il indique d’une main une liasse de billets sur une table prêt de la porte. « Vas y compte et encaisse. »
Je le fais. Le compte y est. Je range l’argent dans mon portefeuille. Dessous il y a également une petite pile de feuilles. Je lance un regard vers l’homme.
« Les tests, négatifs bien sur. »
Je fais oui de la tête, jetant rapidement un œil sur les examens.
« Ok, tu as pris l’argent, tu es d’accord, donc, tout comme une pute – ce que tu es d’ailleurs – tu nous appartient pour la nuit. Tu fais ce qu’on te dit et bien sur nous on ne sera absolument pas violent. C’est vrai pour ça, on ne te paye pas assez. » Il ricane, « Je déconne. Allez, fais nous un petit strip. »
J’exécute, me plaçant au milieu de la pièce, entre les regards des trois hommes. Je commence par le haut – un simple t-shirt. Je poursuis, faisant tomber mon jean, me retournant alors qu’il m’arrive au milieu des fesses. Je leur révèle à présent le string blanc que je porte dessous. Le jean est suivi de mes chaussures mais je garde les chaussettes.
« Vas nous chercher à boire, dans la cuisine. »
J’exécute. Je sors trois bières du frigo, trouve une d’écapsuleuse, les ouvre et retourne dans le salon. Je leur sers.
« A quatre pattes à présent. C’est bien, maintenant approche toi. »
J’avance donc, roulant du cul, comme une petite salope vers ces trois hommes qui m’épient du regard, leur bière à la main. Je vois déjà qu’un d’entre eux bande. Sans en attendre l’ordre je me mets à caresser, chacun d’une main, les bosses durcissantes des deux hommes assis à travers leur pantalons de costard. Je sens le troisième homme qui s’approche derrière moi.
« Allez, sois pas timide, mets-y de la volonté un peu. »
Je les astique donc plus fermement. Ils bandent à fond à présent, je le sens. Je sais également qu’ils sont loin d’être mal membré. Ma main court le long de ces grosses bosses, sous les regards excités de mes « clients ». Je n’attends pas qu’on me le demande pour commencer à leur défaire les pantalons. Rapidement leurs sexes se trouvent donc libérés de l’étreinte du tissu. Je les masturbe à un rythme doux mais ferme, mes deux mains exécutant une danse de haut en bas. Parfois je m’aventure à leur caresser les boules que je sens bien emplies. J’entends derrière moi l’homme qui défait sa braguette. Le pantalon tombe, suivit du caleçon.
« Allez petite, tu vas commencer par la mienne. »
Je me retourne pour me trouver face à face avec son beau gland enflé. Les mains derrière le dos, j’ouvre grand et je le voit s’approcher de mes lèvres. L’homme cependant choisit de s’attarder contre mes joues. Il tapote du bout du sexe contre mon visage, l’essuyant contre ma peau. Une fine trainée s’en détache. Il bande à fond.
« Allez, assez joué. Pompe moi. »
D’une main je prends donc la base de sa verge pour la guider entre mes lèvres. Le gland sent le savon, une odeur agréable. Au moins ils me respectent assez pour se maintenir propre. Je commence donc par téter le bout de ce beau membre veiné. Puis je le fais entrer peu à peu, faisant courir mes lèvres progressivement le long du phallus. La pipe dure longtemps et j’entends derrière moi le son rythmé des hommes qui se branlent. L’homme se crispe. Je sens qu’il est prêt à jouir – déjà ? – mais je continue et il ne m’arrête pas. Un jet puissant fait irruption dans ma bouche. Le foutre, crémeux salé coule le long de ma gorge. Je peine à en avaler la totalité. L’homme laisse échapper un long râle de plaisir et de soulagement tandis que je lui donne quelques derniers coups de langue, avalant les dernières goutes,
« Ah, ça fait du bien après cette putain de journée. Allez à votre tour les gars. »
Les deux hommes se sont levés et se mettent respectivement à ma gauche et droite. Les trois se sont rasé le pubis, chose que j’apprécie également. L’homme regarde tandis que je répète le même enchainement qu’avec lui – je les titille un peu de la main, puis la langue, prenant soin de la faire courir sur leurs bourses lourdes, avant de les prendre en bouche, entamant une pipe vigoureuse et alternant entre les deux, à genoux. L’homme de gauche, Eric, jouit en premier, étalant la plus part de son jus sur mes lèvres entre ouvertes alors que je sors sa queue de ma bouche. Jules ne tarde pas non plus, préférant lui aussi s’étaler sur mon visage, me repoussant lors du moment opportun.
Une fois les fellations terminées, les trois hommes s’installent à nouveau sur le canapé, se débarrassant du restant de leurs vêtements. Depuis le tapis j’ai une belle vue sur les membres à présent au repos mais toujours impressionnants de ces trois mâles. L’homme se tourne vers moi,
« Vas nous chercher quelque chose à grignoter dans la cuisine et profite-en pour t’essuyer le visage.»
J’obéis, revenant avec des snacks. Je m’assois avec eux sur le canapé, toujours en string. De temps à autre je donne une petite caresse taquine sur leur sexe ou boules. Un d’entre eux, alors qu’il écoute ce que dit un de ces collègues, me prend la tête d’une main, m’indiquant qu’il souhaite que je le pompe à nouveau. J’exécute encore, me penchant sur lui. Je commence par de petits coups de langues avant de le prendre en bouche. Je le sens durcir contre ma langue.
« Elle suce bien hein ? » C’est mon premier amant qui parle.
«Je l’ai trouvé sur un site gay. Notre premier rdv était plutôt cool, mais ce soir je compte bien la défoncer. Allez viens par ici m’en donner un peu. » Ces derniers mots me sont adressés. Je sors donc la queue de ma bouche et quitte le canapé pour me placer à genoux entre ses cuisses. Je le fais également durcir à nouveau, cette fois le masturbant d’une main tandis que je malaxe ses testicules avec mes lèvres. Les pipes s’enchainent encore, je passe d’un membre à un autre sans hésiter. Ma mâchoire fatigue un peu mais je n’y prête pas attention. Cette fois ils ne jouissent pas cependant, me laisser prolonger la fellation pendant de longs instants.
Il fait nuit depuis longtemps lorsque nous nous dirigeons vers la chambre. Les trois hommes s’amusent à me claquer les fesses, me laissant une belle trace rouge, alors que nous descendons un long corridor.
La porte de la chambre s’ouvre et je me retrouve de nouveau encerclé par mes trois amants.
« Allez, qui commence ? » Mon amant se dirige vers une table de nuit, où il prend un tube.
Eric se manifeste en premier. « J’ai bien envi de la prendre en missionnaire. »
« A toi l’honneur alors. »
Eric me pousse donc sur le lit, sur le dos. J’écarte les cuisses, puis d’une main mon string. Mon petit sexe bien dur à présent se colle à mon ventre.
« Tout ça t’excite on dirait. »
Je fais oui de la tête alors qu’Eric prend le tube de lubri des mains de son ami. Il s’en applique généreusement sur le gland, se positionne entre mes jambes ouvertes et se frotte à mon trou.
« Hmm, je sens que je vais bien te limer toi. »
Il se met à pousser après un dernier passage du gland. Etant la première pénétration de la soirée, je ne suis pas dilaté et il peine à entrer. Je retiens mon souffle quand son gland passe enfin. Il progresse fermement, s’enfonçant peu à peu. Il s’immobilise alors qu’il est enfoncé jusqu’à la garde. Il me regarde de haut, les deux autres observant derrière lui.
« C’est vrai que t’es bonne comme ça. »
Sur ce il donne un coup soudain de ses hanches, me faisant gémir. Il sourit, puis commence les vas et viens. Il est lent mais ferme, restant largement enfoncé en moi. Puis il accélère et je sens ses boules taper de plus en plus rapidement contre la peau de mes fesses. Un petit cri aigu m’échappe et je me laisse ensuite aller aux gémissement tandis que mon amant respire bruyamment. Alors qu’il me prend, un des deux autres hommes se positionne prêt de ma tête, à genoux sur le lit. Il me tend son sexe et je tourne la tête pour le prendre en bouche. J’ai du mal à me concentrer sur la fellation alors il se met à donner ses propres coups de reins. Les deux me liment à présent, l’un entre mes lèvres, l’autre au plus profond de moi. Ils me baisent longuement. L’excitation me prend totalement, mélangée à un sentiment de honte au fond de moi.
Les hommes échangent de place,
« A quatre pattes petite, tu suceras mieux. »
L’orgie reprend, cette fois j’ai la verge de mon amant en bouche et Jules qui me butine les fesses. Rapidement ses mouvements deviennent vigoureux – il me lime puissamment. Les rôles tournent – les hommes s’essuyant le sexe avec des lingettes avant de me le présenter pour ma dégustation. Je sens la sueur qui coule le long de ma peau. Le plaisir qui me remonte le long du ventre m’envahi d’une chaleur intense. Je gémis ouvertement, ma voix aigue et féminine.
Nos ébats durent ce qui semble être une éternité. Enfin, alors que je sens une pointe de douleur se fondre au plaisir et que ma mâchoire est lasse, je sens la semence d’Eric qui se répand en moi. Il me baisait couché sur le ventre. Son sexe s’immobilise, enfoncé jusqu’à la garde. Il laisse échapper un long râle. Puis c’est au tour de Jules, remplissant ma gorge de la même manière. Mon amant ne jouit pas cependant. Les deux autres hommes quittent la pièce, allant rejoindre des chambres d’amis. Je reste avec l’homme, nu (mon string arraché depuis bien longtemps), épuisé dans les draps souillés. Mais ce n’est pas terminé. Mon amant s’approche. Il me donne une biffle sur les fesses. Je sens l’excitation qui pointe toujours au fond de moi.
« Allez, viens me chevaucher petite pute. »
Las, mais toujours sous contrat, et à vrai dire, non sans une pointe d’envie, je m’installe à califourchon sur l’homme. Je me laisse doucement descendre sur sa verge tendue que je laisse aller au plus profond de moi. Une fois contre son pubis je commence le mouvement du bas vers le haut. D’une main je me saisis également de ses boules que je malaxe tendrement. Le plaisir me prend progressivement de nouveau, remontant encore. Ma main effleure mon gland alors que je me repositionne sur mon amant et je ne peux empêcher le jet qui se projette, heureusement se répandant seulement sur ma peau. Je gémis longuement. L’homme me regarde d’un air étrange. Soudainement il me soulève, me retourne et me plaque contre le lit. Il se positionne, glissant son sexe entre mes fesses. Il n’a pas de mal à me pénétrer de nouveau. Cette fois il me défonce et la douleur se fait plus ressentir. Mes mains se crispent, mes doigts se tendant et se relâchant. Je laisse faire – je n’ai pas le choix. Il jouit en moi en un puissant jet chaud et épais. Nous restons immobiles dans cette position quelques instants, reprenant notre souffle.
« Tu dors avec moi. » Ca voix est essoufflée.
Je suis réveillé par une barre chaude sur mon visage. J’ouvre les yeux, découvrant mon amant prêt de moi, son sexe posé contre ma peau. Il me sourit.
« Ben alors, qu’est-ce que t’attends ? »
J’ouvre grand et il s’insère entre mes lèvres. Il me baise la bouche une dernière fois, se laissant jouir sur mon visage.
Je dois ensuite prendre une douche avec mes deux autres amants, Eric et Jules. Je les suce également, tour à tour après de longues caresses sous l’eau chaude. Eric souhaite me prendre une dernière fois alors je me cambre – soumis. Cette pénétration est douloureuse mais non sans excitation.
Je me rhabille, remettant mon string souillé de tâches de sperme. Je pars seul, laissant les hommes se préparer pour la journée. L’argent est dans ma poche. Mon amant m’a demandé mon numéro de téléphone. Il m’appellera quand il aura de nouveau besoin de mes services.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbe, très bien écrit et terriblement excitant !!!
super bandant, que ne donnerais je point pour vivre une telle nuit ;))
Trop bon, trop beau, j'aurai aimer vivre une telle histoire, bisous et a très vite pour une nouvelle.