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Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Catalina, ma tante, a la peau mate, un visage et des traits fins, une poitrine plus que généreuse, la taille fine, des courbes agréables. Toujours à la fois chic et sexy, toujours en jupe ou robe, jamais en pantalon. À chacune de nos rencontres, j’essaie de deviner si ses jambes gainées de noir l’étaient par des bas ou des collants.
Un soir, à quelques jours de son départ en vacances, chez mes parents, alors qu’elle prend l’apéro parmi eux, elle me demande si je suis intéressé pour m’occuper de ses nombreux volatiles. Flatté de sa confiance, j’accepte bien sûr, sous les yeux ravis de mes parents. Elle me propose de me laisser ses clés afin que je vienne m’en occuper une ou deux fois par semaine en son absence.
Le lendemain de son départ pour son long séjour en Espagne, c’est d’un air ravi qu’en ce matin d’été ensoleillé que je me rends donc chez ma tante. Hormis les oiseaux, je ne suis pas mécontent de me retrouver seul chez elle. Le parfum de Catalina flotte toujours dans son appartement malgré son absence et m’enivre immédiatement. Je reste malgré tout concentré sur ma mission, et me rends dans la petite cuisine, attenante même à un débarras, là où sont empilées les cages d’oiseaux. Il me faut une bonne heure pour l’entretien des cages, leur mettre de l’eau, de la nourriture et changer le journal qui recouvre le plancher.
Il est temps pour moi de passer à mon vise. Pour cela, je me rends dans la chambre de ma tante. La pièce est rangée soigneusement. Le lit fait. Je m’y enferme. Je commence par regarder attentivement partout autour de moi. Tout est propre, net, rangé. Quelques tableaux de paysage au mur.
Très vite mon attention se porte à l’armoire, dont le miroir de la porte me renvoie mon reflet. Je reste un moment à me contempler avant de l’ouvrir. Je tombe sur la penderie. Je reconnais les tenues qu’elle porte lors
de ses visites à la maison. Derrière la seconde porte, je découvre les rayonnages dans lesquels sont rangés les petits hauts bien pliés, et trois tiroirs plus bas. Je sens que je ne vais pas tarder à toucher au plus profond de son intimité. Je suis pris d’excitation en me disant que dans les secondes suivantes je vais violer l’intimité de ma chère tata !
Dans le premier tiroir, je découvre des petites culottes. J’ai un début d’érection, à savoir que tata les a portés. J’entreprends alors à démêler cet enchevêtrement de dentelles qui tranche avec l’ordre du reste de la chambre. Il n’y a d’ailleurs pas que de la dentelle, il y a aussi du coton brodé, du satin, du tulle et j’en passe.
Après avoir comblé ma curiosité, je m’attaque au second tiroir, dans lequel je découvre un amas de soutien-gorge. Aucun intérêt pour moi, alors j’ouvre le dernier tiroir. Là, devant mes yeux, je reconnais tout de suite des boules de nylon. Des noirs, des blancs, des couleurs chair, avec ou sans jarretière. Je découvre aussi quelques porte-jarretelles. Cela m’encourage d’approfondir ma curiosité. Et là je tombe sur une paire de bas résilles à couture, le comble de la lingerie sexy à mes yeux pour l’époque. Je ne me rappelle pas avoir vu ses jambes gainées avec !
Et au fond du tiroir, bien camouflé sous plastique, ce qui constitue assurément la pièce maîtresse de cette collection : une guêpière en dentelle
Et satin noir, avec un laçage très sexy sur le devant. L’image sage de ma tante vient de prendre du plomb dans l’aile !
Je l’imagine bien sans mal dans cette tenue ! Je me rends compte que si mon érection n’était pas encore tout à fait complète : maintenant elle l’est !
Après être resté un moment à me masser la queue devant cette lingerie affriolante, tout en entretenant une drôle d’image de ma tante, je décide de me retirer avant de salir quelque chose.
Le lendemain, après une nuit agitée, comme vous pouvez l’imaginer, je me rends de nouveau chez tata. Je m’occupe, dans un premier temps des volatiles. Ceci fait, je délaisse la chambre pour porter mon attention du côté de la salle de bains. D’une main tremblante, je soulève le couvercle du panier de linge sale. Je fouille des yeux le contenue. Au milieu de chemisiers, de Tee-shirt, mon regard tombe sur une culotte en tulle. Je la dissocie de l’amas de vêtements. Je scrute l’entrejambe, gracieusement tartiné par son intimité, avant de le porter à mes narines. Je me délecte ardemment avec la culotte de tata. Une odeur forte de sexe féminin mélangée à celle du cul, plus robuste.
Je me déshabille et enfile la culotte de tata. Avant de réaliser l'absurdité de mon acte, je me retrouve face à la glace. Je parade, prends des poses que j’essaie de rendre les plus féminines possibles. Je tortille du cul. Je me caresse. Ce qui commence par un geste probablement généré par l’excitation, qui se transforme peu à peu en un jeu auto-érotique.
Mes caresses aussi se précisent. Paumes ouvertes, doigts largement écartées, mes mains dessinent de larges cercles concentriques sur chaque parcelle accessible de ma peau. Je malaxe mes fesses à travers la dentelle, mais j’évite de toucher mon sexe au comble de son excitation. Mes yeux sont toujours braqués sur la glace et n’en perdent pas une miette.
Et ce qui devait arriver, vient. Je me branle à travers la culotte. Et cela jusqu’à la jouissance. Ça était le début de ma divagation qui s’est prolongée jusqu’au retour de ma tante.
C’est même pour moi un dégrisement, son retour. Fini mon élucubration sexuelle !
Ce matin je me rends chez Catalina pour lui rendre les clés. Je toque à la porte. Après s’être informé de qui se tient derrière la porte, elle m’ouvre.
- Ça va tata ? Lui fais-je.
-Oui comme tu vois, s’avançant jusqu’à moi pour me faire plusieurs bises.
Elle est toute bronzée.
-Je t’offre un café ? Me fait-elle avant de fermer la porte derrière moi.
Ma tante me guide alors dans le salon où la télé est en marche. Je ne peux me retenir de promener mon regard le long de ses jambes, et tout de
suite, les souvenirs de sa lingerie font surface. Je bande comme un dingue ! Heureusement pour moi, Tata s’absente quelques instants pour préparer le café. À son retour, avec son plateau en main, je bandais toujours. Enfin si cela vous intéresse !
Tout de suite, après s’être assise, elle me tend une enveloppe.
- Tiens, c’est pour t’être occupé de mes bébés.
- Mais non, tata ! Je n’ai pas fais cela par intérêt.
-Je le sais bien ! Mais tout travail mérite salaire.
- Il n’est pas question pour moi d’accepter ça, tata !
- C’est ça où je ne fais plus appel à toi pour la prochaine fois…
J’ouvre l’enveloppe et dedans se trouvent deux billets de 100 balles. Une fortune pour l’époque.
- Non tata, ce n’est pas possible !
- Tu l’as bien mérité… et d’ailleurs je refuse de les reprendre…
Et c’est avec l’enveloppe en poche que je quitte l’appartement. Mais avant de me retourner sur le pas de sa porte, après avoir pris connaissance
que ses enfants se trouvaient toujours en Espagne, je le lui fais part de ma disponibilité s'il se venait qu’elle avait besoin de quelque chose.
Mais voilà, il y a eu la nuit. Avec toutes ses convictions. Et pas plus tard que le lendemain, très confiant sur ce que je m’accommodais à faire, avec l’enveloppe en poche, j’e toque à la porte de ma tante.
Après s’être assurée de savoir qui frappe, elle m’ouvre l’accès de son appartement. Sitôt après les bises d’usages, je sors l’enveloppe, quelle reconnait immédiatement.
- Oh non ! Me fait-elle, tu ne vas pas remettre ça !
- J’ai une chose à te proposer.
- Rentre…
Et une fois dans le salon, je me lance dans la tractation.
- Voilà tata, comme tu sais j’ai un grand mal à accepter le contenu de l’enveloppe, sachant très bien que tu ne roules pas sur l’or depuis la disparition dramatique de tonton. Alors j’ai trouvé une solution.
Là, je marque un temps d’arrêt, ne sachant pas comment elle allait prendre la suite.
- Je t’écoute ! S’impatiente-t-elle.
- C’est que… c’est un peu délicat !
- Je suis prête à tout entendre, tu sais… surtout à mon âge.
Ces quelques mots m’encouragent à poursuivre ma requête.
- Tu ne sais sans doute pas, mais j’ai un faible pour tes pieds. Et je me disais alors, enfin, si tu es d’accord, que je pourrais te les masser quelques
instants. Tu ne peux pas savoir à quel point cette palpation me rendrait heureux.
- On voilà une drôle de proposition. De toi à moi, je m’attendais de toi à autre chose…
- Je te déçois, tata ?
- Non…non… Mais masser des pieds, je ne vois pas l’intérêt de faire ça.
- Sache que je le fais souvent à maman.
- Et alors ? Fait-elle surprise de ma confession.
- Cela l’apaise… enfin c’est ce qu’elle me dit.
- Et toi, tu voudrais me faire la même chose, si j’ai bien compris ?
- Parfaitement ! Comme ça, je te redonne l’enveloppe et en échange je te masse tes pieds. Tout le monde est content !
- Et je devine qu’il n’y aura pas qu’une séance ?
- Bien deviner tata. Je me disais que je pourrais le faire jusqu’au retour de tes enfants.
- Trois semaines !
- Cela vaut bien les deux cents francs…
- Oui… s’est équitable !
Après un temps de réflexion, elle lâche :
- Et tu désire commencer quand ?
- Pourquoi ne pas commencer tout de suite.
- Mais c’est que je ne me suis pas encore lavé.
- Et alors, qu’est-ce que ça peut faire. Ce sera plus naturel.
- Mais cela n’est pas possible pour moi…
En prenant une profonde inspiration, je me penche pour me saisir de son pied droit.
- Mais Alain, laisse-moi le temps de les laver…
- T’inquiète, cela ne m’encombre point… je les préfère même mieux comme ça !
Et sans me préoccuper de ses dires, je commence à pétrir avec mes pouces la peau douce de la base de son pied.
- Oh… comme c’est bon ! Admet-elle.
Encouragé par ces quelques mots, je regarde mes mains masser le pied. J’enfonce mes doigts dans la peau juste sous chacun de ses orteils, puis en descendant, je commence à frictionner la plante de son pied. En enfonçant mes pouces dans sa chair. Je fais tricoter légèrement mes doigts sur le dessus, en caressant doucement du bout des doigts. Je fais glisser ma main vers l’arrière, et lorsque je frotte son talon, Catalina émet un son que je décris comme un gémissement. Elle glisse plus profondément dans le canapé.
Je prends l’autre pied et je répète le même massage. Je profite de son état pour poser mon regard sur sa jupe. Où une culotte en nylon moule sa chatte, ajoutant une vague supplémentaire de chaleur chez moi.
Catalina fait de petits bruits de plaisir avec sa gorge. Après avoir fini de frotter ce pied, je les laisse se reposer sur le tapis. Comme je n’en ai jamais assez, je fais courir mes doigts sur le dessus. Je sens que mon souffle commence à s’accélérer. Je commence à m’inquiéter en sentant ma verge devenue plus que douloureuse.
Catalina a les yeux pratiquement clos et ses lèvres se scindent légèrement. Elle respire plus fort. Je ne sais pas si elle est excitée, juste peut-être détendue par mes caresses.
- Alors tata, qu’en penses-tu ?
- J’admets que c’est bien agréable. Je comprends ta mère !
- Cela te dit que je revienne demain ?
- Tu vois, après ce que je viens de recevoir, il m’est impossible de refuser ton offre. Mais à une condition !
- Je t’écoute !
- Que ses séances restent entre nous.
- Il ne s’est rien passé entre nous, ça te va ?
- Parfaitement… aller, si tu le veux bien, j’aimerais être seule.
- Alors à demain tata…
- Avec plaisir, me fait-elle, m’accompagnant jusqu’à la porte de dehors.
Le lendemain, après avoir pris place de nouveau dans le salon, elle me lâche un :
- Tu en as toujours envie ?
- Envie… envie de quoi tata ?
- Et bien de masser mes pieds.
- Bien sûr plus que jamais. C’est bien pourquoi je suis là !
Et je me lance au même exercice que la veille.
- Tu t’es aperçu que je me les avais lavés.
- Oui…Malheureusement !
- Pourquoi malheureusement ?
- Je les aime bruts de pomme.
- Avec tout ce qui va avec !
- Oui…
- Grand dingue va !
Elle peut le dire. Je suis fou dingue de ses pieds. Et je m’aperçois que tata est de plus en plus soumise à mes caresses.
- J'ai une question bête à te soumettre. Fait ma tante.
- Je t’écoute !
- Il t’arrive de faire autre chose que de masser les pieds de ta mère.
- On voilà vraiment une drôle de question.
- Oui comme je te l’ai dit… alors ?
- Il m’arrive de sucer ses orteils…
- Et…et... elle se laisse faire ?
- Elle succombe…
- Je demande qu’à voir ça…
- Tu veux assister à cela, avec… avec… Maman ?
-Sois pas plus bête que tu l’es, suce-les si cela te dit !
- Pardon tata ? J’halète là.
- Suce mes orteils ! Répond clairement ma tante.
Mon cœur bat comme un marteau-piqueur. Elle lève les jambes et porte ses pieds à plat sur ma poitrine. J’essaie sans succès d’étouffer mon contentement, alors qu’elle remue ses orteils devant mes yeux. Puis j’ai presque un malaise lorsque Catalina pose son pied sur mon érection.
- Eh bien mon neveu ! S’exclame ma tante, qui expire tout en essuyant son pied sur ma queue.
Encouragé, je me saisis de son pied le plus proche et le porte à ma bouche. J’aspire deux orteils. Je fais tournoyer ma langue autour des bouts. Ma tante émet un long gémissement.
- Oh Alain, je comprends ma belle-sœur…tu fais ça bien ! C’est bon ! Fait-elle tout en frictionnant de nouveau ma bandaison avec son autre pied.
Il n’y a plus rien en moi qui veut que ça s’arrête. Je suis dans mon jardin, là ! Pas même l’écroulement du bâtiment.
Je pense, sans me tromper, que c’est de même pour elle. Je lève ses deux pieds vers mon visage et lentement, un à la fois, je passe la langue autour des dix orteils. Ma tante frisonne et gémit chaque fois que ma langue se glisse entre eux. Et se met même à balancer des hanches de haut en bas sur le canapé.
Je suis près de l’extase lorsque je prends le plus gros dans ma bouche et que je fais tournoyer ma langue autour. Pendant les minutes suivantes, je fais entrer chacun des orteils dans ma bouche en les suçant. Ses soupirs qui sortent de sa bouche me stimulent à aller plus loin. Comme de m’allonger près d’elle sur le divan.
- Oh ! Tu as l’air d’avoir aimé ça…tata !
- Putain ! Tu as une langue des plus fantastique…
- Je ne parle pas de ça tata…
- De quoi d’autre, Alain ?
- Arrête tata, ne fait pas semblant de ne pas savoir.
- Mais arrête, je ne te suis vraiment pas.
- Mais… je parle de l’autre chose que tu as faite !
- Ah oui… Que je me suis servi de ton bijou de famille comme un paillasson.
- Oui de ça…
- Et alors ? Qu’est-ce que tu veux savoir. Que ça m’a rendue toute chaude. Tu veux voir ?
- Je ne dis pas non !
- Alors, rince-toi ton œil, mon neveu ! Fait-elle en écartant les cuisses, m’exposant sans pudeur son entrejambe.
Je suis tout de suite attiré par la grosse tache humide au-devant de sa culotte.
- Tu me rends folle, Alain ! La preuve… tu me fais faire n’importe quoi !
- Je ne crois pas tante !
- Je veux voir ta queue !
Mais ce qui se tient devant mes rétines est bien plus intéressant que m’exhiber, même devant ma tante.
- Tu m’as entendu, je veux voir ta queue !
- Mais !
- Mais quoi, je veux voir ta queue ! C’est parfaitement clair ! Surtout après ce que je viens de t’exhiber !
Comme je n’en fais rien, elle serre ses cuisses.
- Bon…bon ! Fais-je en me levant, les yeux pleins de flash de ce qu’elle m’a exposé.
J’ouvre ma braguette et sors ma queue de son lit de coton, et l’étale à la vue de tata.
-Je crois rêver, chuchote Catalina en fixant ma queue, tout en se léchant les lèvres.
Je sens un sentiment de surréalisme m’envahir. Je me tiens debout, la bite à l’air, et devant tata qui me semble très excité. Une situation que je ne
lui ne le connaissait pas encore. Je me laisse tomber à ses pieds.
- Qu’est que tu fais ?
- Et bien tes pieds !
- Debout et branle-toi !
Et une fois n’est pas coutume, je me masturbe devant une femme.
- Tu sais Alain, voir branler un homme est un plaisir divin. Mais attention, pas de façon stupide ! J’aime qu’il joue longuement avec sa queue et ses couilles, cela me plaît. Je ne m’en lasse jamais. La masturbation des
hommes, avec les temps qui courent, est mon jouet favori. Les amants que j’ai gardés le plus longtemps sont ceux qui ont accepté de se plier à ma déplorable manie de les voir se masturber leur queue. D’emblée, nous convenons qu’ils me doivent cela.
Tata me regarde de ses yeux sombres.
- Alain… oui continue s’il te plaît… Fais-toi jouir….
Alors je me branle et me branle encore. Avec mon autre main, je me caresse les couilles. Je joue avec mes testicules en les faisant rouler doucement.
- Oh Alain, c’est beau à voir !
-… je vais jouir… je sens trop que ça monte.
- Continue et fais-toi gicler à mort…Qu’est-ce que t’es bien monté, Alain… J’adore comme tu es raide… Tu aimes ça faire ça devant ta tata, cochon ?
- Oui tata… j’aime ça !
- Fais-toi éjaculer... Continue… marmonne-t-elle.
Ses paroles m’excitent de plus belle. J’essaie avant tout de donner du spectacle à Catalina. Ma paume de ma main autour de la cime de ma pine dont la peau si lisse, si tendue est des plus sensibles.
- Ta queue est trop belle… Alain... tu vas vider tes couilles… Aller montre-moi comme tu peux éjaculer fort… Je veux que ton sperme gicle comme un geyser… Tu as encore plein de foutre, hein ?
Je m’étonne moi-même de ses paroles. Il y a encore un mois, jamais nous n’aurions parlé si librement. Pour elle comme pour moi, c’est libératoire, mes pensées se mêlent à mes propres fantasmes. J’essaie de savourer chaque instant.
- Je vais jouir… lui fais-je.
Je sens ma respiration s’accélérer de plus en plus
-… oh, oui… je vais venir…
Je sens mes couilles qui se rétractent, un frisson me parcoure jusqu’à la pointe de mes seins et d’un seul coup, ma verge devient encore plus dure. Je n’ai pas le temps de faire une nouvelle action de va-et-vient qu’un violent jet de sperme gicle du méat. J’extériorise mon plaisir. Plusieurs giclées jaillissent. La jouissance est si soutenue qu’il m’est difficile de me tenir sur mes pattes.
Mon sperme, bien blanc, épais, dégouline le long de ma main.
- Bon sang… Je ne pensais pas que tu jouirais si fort ! Commente-t-elle.
- Ah tata, qu’est-ce que c’était bon… ! Fais-je en cherchant quelque chose pour m’essuyer.
- Tiens, me fait-elle, en me tendant un mouchoir. Essuie-toi avec ça.
Il m’en faut plus pour le faire correctement. Mais cela est loin d’être le dernier souci de ma tante. Qui, après cela, m’a carrément éjecté de chez elle.
Mais avant de refermer la porte sur moi, elle me lance un gentil :
- Pour ma part j’aime me faire branler. Mais aussi qu’on me lèche !
Et la porte se referme. Le message est dit !
Un soir, à quelques jours de son départ en vacances, chez mes parents, alors qu’elle prend l’apéro parmi eux, elle me demande si je suis intéressé pour m’occuper de ses nombreux volatiles. Flatté de sa confiance, j’accepte bien sûr, sous les yeux ravis de mes parents. Elle me propose de me laisser ses clés afin que je vienne m’en occuper une ou deux fois par semaine en son absence.
Le lendemain de son départ pour son long séjour en Espagne, c’est d’un air ravi qu’en ce matin d’été ensoleillé que je me rends donc chez ma tante. Hormis les oiseaux, je ne suis pas mécontent de me retrouver seul chez elle. Le parfum de Catalina flotte toujours dans son appartement malgré son absence et m’enivre immédiatement. Je reste malgré tout concentré sur ma mission, et me rends dans la petite cuisine, attenante même à un débarras, là où sont empilées les cages d’oiseaux. Il me faut une bonne heure pour l’entretien des cages, leur mettre de l’eau, de la nourriture et changer le journal qui recouvre le plancher.
Il est temps pour moi de passer à mon vise. Pour cela, je me rends dans la chambre de ma tante. La pièce est rangée soigneusement. Le lit fait. Je m’y enferme. Je commence par regarder attentivement partout autour de moi. Tout est propre, net, rangé. Quelques tableaux de paysage au mur.
Très vite mon attention se porte à l’armoire, dont le miroir de la porte me renvoie mon reflet. Je reste un moment à me contempler avant de l’ouvrir. Je tombe sur la penderie. Je reconnais les tenues qu’elle porte lors
de ses visites à la maison. Derrière la seconde porte, je découvre les rayonnages dans lesquels sont rangés les petits hauts bien pliés, et trois tiroirs plus bas. Je sens que je ne vais pas tarder à toucher au plus profond de son intimité. Je suis pris d’excitation en me disant que dans les secondes suivantes je vais violer l’intimité de ma chère tata !
Dans le premier tiroir, je découvre des petites culottes. J’ai un début d’érection, à savoir que tata les a portés. J’entreprends alors à démêler cet enchevêtrement de dentelles qui tranche avec l’ordre du reste de la chambre. Il n’y a d’ailleurs pas que de la dentelle, il y a aussi du coton brodé, du satin, du tulle et j’en passe.
Après avoir comblé ma curiosité, je m’attaque au second tiroir, dans lequel je découvre un amas de soutien-gorge. Aucun intérêt pour moi, alors j’ouvre le dernier tiroir. Là, devant mes yeux, je reconnais tout de suite des boules de nylon. Des noirs, des blancs, des couleurs chair, avec ou sans jarretière. Je découvre aussi quelques porte-jarretelles. Cela m’encourage d’approfondir ma curiosité. Et là je tombe sur une paire de bas résilles à couture, le comble de la lingerie sexy à mes yeux pour l’époque. Je ne me rappelle pas avoir vu ses jambes gainées avec !
Et au fond du tiroir, bien camouflé sous plastique, ce qui constitue assurément la pièce maîtresse de cette collection : une guêpière en dentelle
Et satin noir, avec un laçage très sexy sur le devant. L’image sage de ma tante vient de prendre du plomb dans l’aile !
Je l’imagine bien sans mal dans cette tenue ! Je me rends compte que si mon érection n’était pas encore tout à fait complète : maintenant elle l’est !
Après être resté un moment à me masser la queue devant cette lingerie affriolante, tout en entretenant une drôle d’image de ma tante, je décide de me retirer avant de salir quelque chose.
Le lendemain, après une nuit agitée, comme vous pouvez l’imaginer, je me rends de nouveau chez tata. Je m’occupe, dans un premier temps des volatiles. Ceci fait, je délaisse la chambre pour porter mon attention du côté de la salle de bains. D’une main tremblante, je soulève le couvercle du panier de linge sale. Je fouille des yeux le contenue. Au milieu de chemisiers, de Tee-shirt, mon regard tombe sur une culotte en tulle. Je la dissocie de l’amas de vêtements. Je scrute l’entrejambe, gracieusement tartiné par son intimité, avant de le porter à mes narines. Je me délecte ardemment avec la culotte de tata. Une odeur forte de sexe féminin mélangée à celle du cul, plus robuste.
Je me déshabille et enfile la culotte de tata. Avant de réaliser l'absurdité de mon acte, je me retrouve face à la glace. Je parade, prends des poses que j’essaie de rendre les plus féminines possibles. Je tortille du cul. Je me caresse. Ce qui commence par un geste probablement généré par l’excitation, qui se transforme peu à peu en un jeu auto-érotique.
Mes caresses aussi se précisent. Paumes ouvertes, doigts largement écartées, mes mains dessinent de larges cercles concentriques sur chaque parcelle accessible de ma peau. Je malaxe mes fesses à travers la dentelle, mais j’évite de toucher mon sexe au comble de son excitation. Mes yeux sont toujours braqués sur la glace et n’en perdent pas une miette.
Et ce qui devait arriver, vient. Je me branle à travers la culotte. Et cela jusqu’à la jouissance. Ça était le début de ma divagation qui s’est prolongée jusqu’au retour de ma tante.
C’est même pour moi un dégrisement, son retour. Fini mon élucubration sexuelle !
Ce matin je me rends chez Catalina pour lui rendre les clés. Je toque à la porte. Après s’être informé de qui se tient derrière la porte, elle m’ouvre.
- Ça va tata ? Lui fais-je.
-Oui comme tu vois, s’avançant jusqu’à moi pour me faire plusieurs bises.
Elle est toute bronzée.
-Je t’offre un café ? Me fait-elle avant de fermer la porte derrière moi.
Ma tante me guide alors dans le salon où la télé est en marche. Je ne peux me retenir de promener mon regard le long de ses jambes, et tout de
suite, les souvenirs de sa lingerie font surface. Je bande comme un dingue ! Heureusement pour moi, Tata s’absente quelques instants pour préparer le café. À son retour, avec son plateau en main, je bandais toujours. Enfin si cela vous intéresse !
Tout de suite, après s’être assise, elle me tend une enveloppe.
- Tiens, c’est pour t’être occupé de mes bébés.
- Mais non, tata ! Je n’ai pas fais cela par intérêt.
-Je le sais bien ! Mais tout travail mérite salaire.
- Il n’est pas question pour moi d’accepter ça, tata !
- C’est ça où je ne fais plus appel à toi pour la prochaine fois…
J’ouvre l’enveloppe et dedans se trouvent deux billets de 100 balles. Une fortune pour l’époque.
- Non tata, ce n’est pas possible !
- Tu l’as bien mérité… et d’ailleurs je refuse de les reprendre…
Et c’est avec l’enveloppe en poche que je quitte l’appartement. Mais avant de me retourner sur le pas de sa porte, après avoir pris connaissance
que ses enfants se trouvaient toujours en Espagne, je le lui fais part de ma disponibilité s'il se venait qu’elle avait besoin de quelque chose.
Mais voilà, il y a eu la nuit. Avec toutes ses convictions. Et pas plus tard que le lendemain, très confiant sur ce que je m’accommodais à faire, avec l’enveloppe en poche, j’e toque à la porte de ma tante.
Après s’être assurée de savoir qui frappe, elle m’ouvre l’accès de son appartement. Sitôt après les bises d’usages, je sors l’enveloppe, quelle reconnait immédiatement.
- Oh non ! Me fait-elle, tu ne vas pas remettre ça !
- J’ai une chose à te proposer.
- Rentre…
Et une fois dans le salon, je me lance dans la tractation.
- Voilà tata, comme tu sais j’ai un grand mal à accepter le contenu de l’enveloppe, sachant très bien que tu ne roules pas sur l’or depuis la disparition dramatique de tonton. Alors j’ai trouvé une solution.
Là, je marque un temps d’arrêt, ne sachant pas comment elle allait prendre la suite.
- Je t’écoute ! S’impatiente-t-elle.
- C’est que… c’est un peu délicat !
- Je suis prête à tout entendre, tu sais… surtout à mon âge.
Ces quelques mots m’encouragent à poursuivre ma requête.
- Tu ne sais sans doute pas, mais j’ai un faible pour tes pieds. Et je me disais alors, enfin, si tu es d’accord, que je pourrais te les masser quelques
instants. Tu ne peux pas savoir à quel point cette palpation me rendrait heureux.
- On voilà une drôle de proposition. De toi à moi, je m’attendais de toi à autre chose…
- Je te déçois, tata ?
- Non…non… Mais masser des pieds, je ne vois pas l’intérêt de faire ça.
- Sache que je le fais souvent à maman.
- Et alors ? Fait-elle surprise de ma confession.
- Cela l’apaise… enfin c’est ce qu’elle me dit.
- Et toi, tu voudrais me faire la même chose, si j’ai bien compris ?
- Parfaitement ! Comme ça, je te redonne l’enveloppe et en échange je te masse tes pieds. Tout le monde est content !
- Et je devine qu’il n’y aura pas qu’une séance ?
- Bien deviner tata. Je me disais que je pourrais le faire jusqu’au retour de tes enfants.
- Trois semaines !
- Cela vaut bien les deux cents francs…
- Oui… s’est équitable !
Après un temps de réflexion, elle lâche :
- Et tu désire commencer quand ?
- Pourquoi ne pas commencer tout de suite.
- Mais c’est que je ne me suis pas encore lavé.
- Et alors, qu’est-ce que ça peut faire. Ce sera plus naturel.
- Mais cela n’est pas possible pour moi…
En prenant une profonde inspiration, je me penche pour me saisir de son pied droit.
- Mais Alain, laisse-moi le temps de les laver…
- T’inquiète, cela ne m’encombre point… je les préfère même mieux comme ça !
Et sans me préoccuper de ses dires, je commence à pétrir avec mes pouces la peau douce de la base de son pied.
- Oh… comme c’est bon ! Admet-elle.
Encouragé par ces quelques mots, je regarde mes mains masser le pied. J’enfonce mes doigts dans la peau juste sous chacun de ses orteils, puis en descendant, je commence à frictionner la plante de son pied. En enfonçant mes pouces dans sa chair. Je fais tricoter légèrement mes doigts sur le dessus, en caressant doucement du bout des doigts. Je fais glisser ma main vers l’arrière, et lorsque je frotte son talon, Catalina émet un son que je décris comme un gémissement. Elle glisse plus profondément dans le canapé.
Je prends l’autre pied et je répète le même massage. Je profite de son état pour poser mon regard sur sa jupe. Où une culotte en nylon moule sa chatte, ajoutant une vague supplémentaire de chaleur chez moi.
Catalina fait de petits bruits de plaisir avec sa gorge. Après avoir fini de frotter ce pied, je les laisse se reposer sur le tapis. Comme je n’en ai jamais assez, je fais courir mes doigts sur le dessus. Je sens que mon souffle commence à s’accélérer. Je commence à m’inquiéter en sentant ma verge devenue plus que douloureuse.
Catalina a les yeux pratiquement clos et ses lèvres se scindent légèrement. Elle respire plus fort. Je ne sais pas si elle est excitée, juste peut-être détendue par mes caresses.
- Alors tata, qu’en penses-tu ?
- J’admets que c’est bien agréable. Je comprends ta mère !
- Cela te dit que je revienne demain ?
- Tu vois, après ce que je viens de recevoir, il m’est impossible de refuser ton offre. Mais à une condition !
- Je t’écoute !
- Que ses séances restent entre nous.
- Il ne s’est rien passé entre nous, ça te va ?
- Parfaitement… aller, si tu le veux bien, j’aimerais être seule.
- Alors à demain tata…
- Avec plaisir, me fait-elle, m’accompagnant jusqu’à la porte de dehors.
Le lendemain, après avoir pris place de nouveau dans le salon, elle me lâche un :
- Tu en as toujours envie ?
- Envie… envie de quoi tata ?
- Et bien de masser mes pieds.
- Bien sûr plus que jamais. C’est bien pourquoi je suis là !
Et je me lance au même exercice que la veille.
- Tu t’es aperçu que je me les avais lavés.
- Oui…Malheureusement !
- Pourquoi malheureusement ?
- Je les aime bruts de pomme.
- Avec tout ce qui va avec !
- Oui…
- Grand dingue va !
Elle peut le dire. Je suis fou dingue de ses pieds. Et je m’aperçois que tata est de plus en plus soumise à mes caresses.
- J'ai une question bête à te soumettre. Fait ma tante.
- Je t’écoute !
- Il t’arrive de faire autre chose que de masser les pieds de ta mère.
- On voilà vraiment une drôle de question.
- Oui comme je te l’ai dit… alors ?
- Il m’arrive de sucer ses orteils…
- Et…et... elle se laisse faire ?
- Elle succombe…
- Je demande qu’à voir ça…
- Tu veux assister à cela, avec… avec… Maman ?
-Sois pas plus bête que tu l’es, suce-les si cela te dit !
- Pardon tata ? J’halète là.
- Suce mes orteils ! Répond clairement ma tante.
Mon cœur bat comme un marteau-piqueur. Elle lève les jambes et porte ses pieds à plat sur ma poitrine. J’essaie sans succès d’étouffer mon contentement, alors qu’elle remue ses orteils devant mes yeux. Puis j’ai presque un malaise lorsque Catalina pose son pied sur mon érection.
- Eh bien mon neveu ! S’exclame ma tante, qui expire tout en essuyant son pied sur ma queue.
Encouragé, je me saisis de son pied le plus proche et le porte à ma bouche. J’aspire deux orteils. Je fais tournoyer ma langue autour des bouts. Ma tante émet un long gémissement.
- Oh Alain, je comprends ma belle-sœur…tu fais ça bien ! C’est bon ! Fait-elle tout en frictionnant de nouveau ma bandaison avec son autre pied.
Il n’y a plus rien en moi qui veut que ça s’arrête. Je suis dans mon jardin, là ! Pas même l’écroulement du bâtiment.
Je pense, sans me tromper, que c’est de même pour elle. Je lève ses deux pieds vers mon visage et lentement, un à la fois, je passe la langue autour des dix orteils. Ma tante frisonne et gémit chaque fois que ma langue se glisse entre eux. Et se met même à balancer des hanches de haut en bas sur le canapé.
Je suis près de l’extase lorsque je prends le plus gros dans ma bouche et que je fais tournoyer ma langue autour. Pendant les minutes suivantes, je fais entrer chacun des orteils dans ma bouche en les suçant. Ses soupirs qui sortent de sa bouche me stimulent à aller plus loin. Comme de m’allonger près d’elle sur le divan.
- Oh ! Tu as l’air d’avoir aimé ça…tata !
- Putain ! Tu as une langue des plus fantastique…
- Je ne parle pas de ça tata…
- De quoi d’autre, Alain ?
- Arrête tata, ne fait pas semblant de ne pas savoir.
- Mais arrête, je ne te suis vraiment pas.
- Mais… je parle de l’autre chose que tu as faite !
- Ah oui… Que je me suis servi de ton bijou de famille comme un paillasson.
- Oui de ça…
- Et alors ? Qu’est-ce que tu veux savoir. Que ça m’a rendue toute chaude. Tu veux voir ?
- Je ne dis pas non !
- Alors, rince-toi ton œil, mon neveu ! Fait-elle en écartant les cuisses, m’exposant sans pudeur son entrejambe.
Je suis tout de suite attiré par la grosse tache humide au-devant de sa culotte.
- Tu me rends folle, Alain ! La preuve… tu me fais faire n’importe quoi !
- Je ne crois pas tante !
- Je veux voir ta queue !
Mais ce qui se tient devant mes rétines est bien plus intéressant que m’exhiber, même devant ma tante.
- Tu m’as entendu, je veux voir ta queue !
- Mais !
- Mais quoi, je veux voir ta queue ! C’est parfaitement clair ! Surtout après ce que je viens de t’exhiber !
Comme je n’en fais rien, elle serre ses cuisses.
- Bon…bon ! Fais-je en me levant, les yeux pleins de flash de ce qu’elle m’a exposé.
J’ouvre ma braguette et sors ma queue de son lit de coton, et l’étale à la vue de tata.
-Je crois rêver, chuchote Catalina en fixant ma queue, tout en se léchant les lèvres.
Je sens un sentiment de surréalisme m’envahir. Je me tiens debout, la bite à l’air, et devant tata qui me semble très excité. Une situation que je ne
lui ne le connaissait pas encore. Je me laisse tomber à ses pieds.
- Qu’est que tu fais ?
- Et bien tes pieds !
- Debout et branle-toi !
Et une fois n’est pas coutume, je me masturbe devant une femme.
- Tu sais Alain, voir branler un homme est un plaisir divin. Mais attention, pas de façon stupide ! J’aime qu’il joue longuement avec sa queue et ses couilles, cela me plaît. Je ne m’en lasse jamais. La masturbation des
hommes, avec les temps qui courent, est mon jouet favori. Les amants que j’ai gardés le plus longtemps sont ceux qui ont accepté de se plier à ma déplorable manie de les voir se masturber leur queue. D’emblée, nous convenons qu’ils me doivent cela.
Tata me regarde de ses yeux sombres.
- Alain… oui continue s’il te plaît… Fais-toi jouir….
Alors je me branle et me branle encore. Avec mon autre main, je me caresse les couilles. Je joue avec mes testicules en les faisant rouler doucement.
- Oh Alain, c’est beau à voir !
-… je vais jouir… je sens trop que ça monte.
- Continue et fais-toi gicler à mort…Qu’est-ce que t’es bien monté, Alain… J’adore comme tu es raide… Tu aimes ça faire ça devant ta tata, cochon ?
- Oui tata… j’aime ça !
- Fais-toi éjaculer... Continue… marmonne-t-elle.
Ses paroles m’excitent de plus belle. J’essaie avant tout de donner du spectacle à Catalina. Ma paume de ma main autour de la cime de ma pine dont la peau si lisse, si tendue est des plus sensibles.
- Ta queue est trop belle… Alain... tu vas vider tes couilles… Aller montre-moi comme tu peux éjaculer fort… Je veux que ton sperme gicle comme un geyser… Tu as encore plein de foutre, hein ?
Je m’étonne moi-même de ses paroles. Il y a encore un mois, jamais nous n’aurions parlé si librement. Pour elle comme pour moi, c’est libératoire, mes pensées se mêlent à mes propres fantasmes. J’essaie de savourer chaque instant.
- Je vais jouir… lui fais-je.
Je sens ma respiration s’accélérer de plus en plus
-… oh, oui… je vais venir…
Je sens mes couilles qui se rétractent, un frisson me parcoure jusqu’à la pointe de mes seins et d’un seul coup, ma verge devient encore plus dure. Je n’ai pas le temps de faire une nouvelle action de va-et-vient qu’un violent jet de sperme gicle du méat. J’extériorise mon plaisir. Plusieurs giclées jaillissent. La jouissance est si soutenue qu’il m’est difficile de me tenir sur mes pattes.
Mon sperme, bien blanc, épais, dégouline le long de ma main.
- Bon sang… Je ne pensais pas que tu jouirais si fort ! Commente-t-elle.
- Ah tata, qu’est-ce que c’était bon… ! Fais-je en cherchant quelque chose pour m’essuyer.
- Tiens, me fait-elle, en me tendant un mouchoir. Essuie-toi avec ça.
Il m’en faut plus pour le faire correctement. Mais cela est loin d’être le dernier souci de ma tante. Qui, après cela, m’a carrément éjecté de chez elle.
Mais avant de refermer la porte sur moi, elle me lance un gentil :
- Pour ma part j’aime me faire branler. Mais aussi qu’on me lèche !
Et la porte se referme. Le message est dit !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’ai beaucoup aimé cette lecture. Sentir l’excitation monter en lisant. Vivement la suite
J'adore. Très bien ècrit. Très agréable à lire. L'excitation monte progressivement. Impatiente de lire la suite.
J'adore. Très bien ècrit. Très agréable à lire. L'excitation monte progressivement. Impatiente de lire la suite.