Ses lèvres
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Ses lèvres
Je crois rêver quand je vois ce visage pour la première fois. Nous échangeons un long regard déjà plein de complicité. Des cheveux blonds encadrent son visage souriant. Je la veux sans attendre. En m’approchant d’elle se sens que nous allons nous entendre. Une question de feeling sans doute.
On nous présente. Je suis ravi de pouvoir lui parler sans autre forme de procès. Elle est à peine un peu plus petite que moi. Sa bouche est divinement coquine avec ses lèvres gourmandes. Je ne regarde que sa bouche. Je veux l’embrasser sans tarder. Je crois qu’elle est la première à me faire autant d’effet. Mes glandes me donnent la trique. C’est impossible que je bande rien qu’à voir cette fille. Je souhaite à la fois qu’elle ne s’en aperçoive pas et qu’elle regarde la braguette.
Plus tard nous nous retrouvons dans sa chambre. Elle va se donner à moi. Je bande toujours même après le premier baiser, ou à cause de lui. Elle se frotte à moi, satisfaite de l’effet qu’elle produit.
J’embrasse son cou plusieurs fois même je lui donne des frissons. Encore ses lèvres sur les miennes. Ma langur fouille un peu sa bouche. Le baiser me donne envie d’aller bien au-delà.
J’approche ma poitrine contre la sienne. Ses seins sont durs de désir. En enlevant son teeshirt, je la sens se tendre un peu. Peut-être qu’elle ne veut pas que je continue. Alors pourquoi sa bouche reste sur la mienne ? Difficilement par maladresse j’arrive à enlever le soutien gorge. Quelle paire de seins. Il me semble qu’ils se relèvent vers le ciel. Les pointes me narguent. Je les prends dans la bouche, je les lèche doucement. Elle gémit doucement. Comme ça, sans que je le demande elle prend deux doigts de ma main pour les sucer. Elle me donne envie non plus de la baiser, mais de la sucer.
Je veux la faire jouir avant moi.
Nous sommes nus, l’un contre l’autre. Ma queue est contre son ventre. Elle remue le bas ventre, me masturbe doucement. Si elle continue ainsi je ne vais pas tenir longtemps. Je lâche ses fesses que j’avais dans les mains. J’allais l’embrasser sans tourner un peu la tête. Elle me tient pas le cou, en me serrant contre elle.
Enfin elle accepte de s’assoir au bord de lit, les jambes touchant le parquet. Dès que j’approche mes mains de sa jambe, elle écarte les cuisses. En caressant la fine peau à l’intérieur des jambes, elle se laisse aller.
Je me prends pour le maître du monde quand je pose ma bouche entre ses jambes tendues. Je la sens en aspirant son odeur particulière. Je suis gourmand de sa chatte. Je commence par lécher à peine le petit bouton, ce qui la fait coucher. Elle frémit quand j’avale le clitoris. Je le relâche avant de recommencer. J’oublie son plaisir pour le mien : la gourmandise de la cyprine. Elle passe ses jambes sur mes épaules. Elle ne se donne pas, elle s’abandonne au plaisir. Tant qu’elle ne demande pas grâce je vais continuer à la sucer.
Je ne sais combien de fois je la sens jouir. Je suis flatter de lui donne tant d’orgasmes. Arrive, hélas le moment où elle ne peut plus continuer.
Elle me fait signe de me lever. J’en ai un peu honte tellement je bande. Ma queue vient comme le diable de la boite. Son sourire est encore là quand elle me prend dans sa main droite. Si elle veut monter qu’elle sait branler un homme, alors là, chapeau.
Enfin elle devine mon désir immédiat. Elle baisse le prépuce lentement en me regardant dans les yeux. Elle ouvre sa bouche, m’englobe avec ses lèvres qui font un étui extraordinaire pour la pine. Ces cheveux me chatouillent aux hanches. Ses lèvres coulissent facilement. De temps en temps, elle passe la langue sur les lèvres pour les humidifier.
Ses lèvres entourent le gland, s’arrêtent pour remonter dès le début de la hampe. Elles glissent encore avant de recommencer en sens inverse. Son regard ne me quitte pas, comme si elle surveillait mon plaisir.
Je me retiens comme je peux. Dommage que je ne pousse pas tenir encore. Je gicle dans la bouche. Je pensais qu’elle n’allait pas garder ma semence : elle la garde avant de l’avaler doucement.
Elle vient contre moi, se serre encore avant de me donner sa bouche. Le goût de mon sperme est encore en elle. Elle me fait encore bander. Cette fois je ne vais pas dans sa bouche, elle me conduit dans son palais.
On nous présente. Je suis ravi de pouvoir lui parler sans autre forme de procès. Elle est à peine un peu plus petite que moi. Sa bouche est divinement coquine avec ses lèvres gourmandes. Je ne regarde que sa bouche. Je veux l’embrasser sans tarder. Je crois qu’elle est la première à me faire autant d’effet. Mes glandes me donnent la trique. C’est impossible que je bande rien qu’à voir cette fille. Je souhaite à la fois qu’elle ne s’en aperçoive pas et qu’elle regarde la braguette.
Plus tard nous nous retrouvons dans sa chambre. Elle va se donner à moi. Je bande toujours même après le premier baiser, ou à cause de lui. Elle se frotte à moi, satisfaite de l’effet qu’elle produit.
J’embrasse son cou plusieurs fois même je lui donne des frissons. Encore ses lèvres sur les miennes. Ma langur fouille un peu sa bouche. Le baiser me donne envie d’aller bien au-delà.
J’approche ma poitrine contre la sienne. Ses seins sont durs de désir. En enlevant son teeshirt, je la sens se tendre un peu. Peut-être qu’elle ne veut pas que je continue. Alors pourquoi sa bouche reste sur la mienne ? Difficilement par maladresse j’arrive à enlever le soutien gorge. Quelle paire de seins. Il me semble qu’ils se relèvent vers le ciel. Les pointes me narguent. Je les prends dans la bouche, je les lèche doucement. Elle gémit doucement. Comme ça, sans que je le demande elle prend deux doigts de ma main pour les sucer. Elle me donne envie non plus de la baiser, mais de la sucer.
Je veux la faire jouir avant moi.
Nous sommes nus, l’un contre l’autre. Ma queue est contre son ventre. Elle remue le bas ventre, me masturbe doucement. Si elle continue ainsi je ne vais pas tenir longtemps. Je lâche ses fesses que j’avais dans les mains. J’allais l’embrasser sans tourner un peu la tête. Elle me tient pas le cou, en me serrant contre elle.
Enfin elle accepte de s’assoir au bord de lit, les jambes touchant le parquet. Dès que j’approche mes mains de sa jambe, elle écarte les cuisses. En caressant la fine peau à l’intérieur des jambes, elle se laisse aller.
Je me prends pour le maître du monde quand je pose ma bouche entre ses jambes tendues. Je la sens en aspirant son odeur particulière. Je suis gourmand de sa chatte. Je commence par lécher à peine le petit bouton, ce qui la fait coucher. Elle frémit quand j’avale le clitoris. Je le relâche avant de recommencer. J’oublie son plaisir pour le mien : la gourmandise de la cyprine. Elle passe ses jambes sur mes épaules. Elle ne se donne pas, elle s’abandonne au plaisir. Tant qu’elle ne demande pas grâce je vais continuer à la sucer.
Je ne sais combien de fois je la sens jouir. Je suis flatter de lui donne tant d’orgasmes. Arrive, hélas le moment où elle ne peut plus continuer.
Elle me fait signe de me lever. J’en ai un peu honte tellement je bande. Ma queue vient comme le diable de la boite. Son sourire est encore là quand elle me prend dans sa main droite. Si elle veut monter qu’elle sait branler un homme, alors là, chapeau.
Enfin elle devine mon désir immédiat. Elle baisse le prépuce lentement en me regardant dans les yeux. Elle ouvre sa bouche, m’englobe avec ses lèvres qui font un étui extraordinaire pour la pine. Ces cheveux me chatouillent aux hanches. Ses lèvres coulissent facilement. De temps en temps, elle passe la langue sur les lèvres pour les humidifier.
Ses lèvres entourent le gland, s’arrêtent pour remonter dès le début de la hampe. Elles glissent encore avant de recommencer en sens inverse. Son regard ne me quitte pas, comme si elle surveillait mon plaisir.
Je me retiens comme je peux. Dommage que je ne pousse pas tenir encore. Je gicle dans la bouche. Je pensais qu’elle n’allait pas garder ma semence : elle la garde avant de l’avaler doucement.
Elle vient contre moi, se serre encore avant de me donner sa bouche. Le goût de mon sperme est encore en elle. Elle me fait encore bander. Cette fois je ne vais pas dans sa bouche, elle me conduit dans son palais.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une histoire qui aurai pu être très intéressant si tu ne la racontais pas comme tes minutes étaient comptées...