Seul avec Kaddour . 1.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 338 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 477 866 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 705 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Seul avec Kaddour . 1.
L'ambiance est tendue, sur le retour en voiture.
Pierre est contrarié de ne pas pouvoir me donner en pâture à d'autres hommes, le lendemain, donc Dimanche, comme il l'avait prévu, à mon insu.
Kaddour profite de moi, malgré tout, en se faisant encore sucer la bite sur le siège arrière.
Plus on baise ensemble et plus notre complicité est évidente.
Je devrai malgré tout faire éjaculer Pierre, excité par la vue de notre fellation. Il me remplira la gorge sur la dernière aire avant notre séparation.
Ce rapport buccal fut presque brutal et humiliant, le ton utilisé dans ses mots crus était presque méchant.
Je devine qu'il se venge de sa contrariété.
Quand à Kaddour, il aurait été trop long à contenter.
Mais il est aussi choqué par Pierre, il me laisse tranquille.
Il me susurre à l'oreille, avant de me quitter:
"Appelles-moi !".
Lorsque j'ai retrouvé mes parents et ma famille, on m'a trouvé très fatigué.
"Eh ben ! T'as du faire une sacrée fête !".
"Oui, pendant deux jours ! Je suis mort, mais c'était bien !".
"T'as trop bu ? Tu t'es défoncé la tête ?".
Le mot me trouble, mais je réponds:
"Non ! Ca va ! Je suis un peu barbouillé, par contre !".
Je m'en veux de ne pas être à la hauteur de l'image qu'ils se font de moi.
Le jeune fils doué et intelligent, fiancé à une fille magnifique.
Ce fils prodigue qui ne s'est pas fait défoncé la tête, mais plutôt l'anus et la bouche par près de vingt queues sur deux jours.
Mais cela, ils ne le sauront jamais.
Comme je ne voyais pas ma copine, pendant un mois, je me suis trouvé penaud le lendemain matin.
Je tournais en rond.
Tout se bouscule dans mon esprit, je veux revoir Kaddour, je ne comprends pas pourquoi.
Je me décide à le rappeler:
"Allo ? Kaddour ?".
"Pascal ? C'est toi ?".
"Oui !".
"C'est gentil de m'appeler ! Tu veux qu'on se retrouve ?".
"Oui !".
"Quand ?".
"Ben, je suis libre toute la journée, n'oublies pas !".
"Super, j'arrive !".
Je rentre chez moi, en disant;
"M'man ! Je repars jusqu'à ce soir ! Bonne journée !".
Lorsqu'il arrive au point de Rendez-Vous, c'est difficile de ne pas nous embrasser.
Sur la route, je lui demande:
"Tu ne me demandes pas de te sucer ?".
"Tu le fais, si tu en as envie ! Je ne te force pas !".
"J'apprécie ta bienveillance ! Du coup, j'ai envie de te faire plaisir ! Sors à l'aire, si tu veux aller plus loin !".
Je me penche au dessus de son membre, que je libère de sa braguette, et je le recouvre avec ma bouche chaude et humide.
J'aime l'entendre gémir, il me caresse les cheveux par moment, en me complimentant sur ma manière de lui donner ce plaisir buccal.
"Ohhh ! Tu me bouffes trop bien la bite salope ! Arrêtes ! Je veux pas jouir trop vite ! Si tu continues, je vais t'envoyer la sauce !".
"Mumm ! Grllllpp ! Mmmmmmmmmm ! Dommage ! J'adore tellement te sucer ! Elle me rend dingue !".
"Je préfère attendre chez moi pour te baiser ! On sera beaucoup mieux !".
"Oui, tu as raison ! Tu sais, je m'étonne moi-même, de t'avoir appelé ! Après les deux jours que j'ai eu, je suis rassasié de sexe homo, et j'ai le cul dans un sale état, mais j'avais quand même envie de te voir !".
"Oh, c'est gentil ! Moi aussi, tu me plais beaucoup ! On s'est connu dans des circonstances plutôt sexe ! Mais j'ai décelé plus que ça, chez toi, tu es super mignon et j'adore ta personnalité en dehors du sexe !".
"Merci, c'est gentil aussi ! C'est pareil pour moi, malgré ta façon de me soumettre et me défoncer, tu es très protecteur avec moi, et je crois que j'aime ça !".
Une aire se propose sur le trajet, il quitte l'autoroute et s'y arrête vers le fond, à l'abri des regards, même si nous sommes seuls.
J'ai compris son intention et je lui tends mes lèvres, il m'embrase fougueusement, puis très tendrement.
"Bon, on repart sinon, je t'encule ici !".
Je me met à rire et je pose ma main sur sa cuisse, je me sens bien avec lui.
On se gare en plein centre de Marseille.
Je le suis dans un vieil immeuble, jusqu'au dernier étage.
L'appartement est petit et très simple, mais propre et bien rangé.
Je vois la porte de la chambre, ouverte, et devine un grand lit.
Je m'y imagine déjà, en train de subir les assauts de mon nouvel amant régulier.
Je suis sorti de mes pensées par Kaddour.
"Mon petit Pascal ! Viens par là !".
Il me tend les bras, je m'y réfugie.
Ses grosses mains puissantes qui me caressent, me rassurent.
Je perd toute masculinité dans cette étreinte.
Il me ramène à ce sentiment que j'éprouvais à la fin de ma relation avec mon premier amant, le militaire gradé.
On ne calcule plus rien, on cède au besoin de nous toucher et mélanger nos langues.
"Oh, Kaddour ! Je me sens tellement différent avec toi ! Tu me perturbes ! Mais je m'en moque, je suis bien, tu réveilles des choses en moi, que je cherche à oublier, mais j'en ai besoin malgré moi !".
"Moi aussi ! Je suis bien avec toi, mais tu ressens quoi ? Comment tu te sens ?".
"C'est bizarre, mais je crois que je me sens femme ou plutôt femelle, je crois que c'est plus juste ! Tu me domines sans me toucher, j'ai l'impression d'être à toi ! Pas comme avec les autres ! Parce que ce n'est qu'un jeu sexuel ! Alors que toi, c'est réel !".
"C'est vrai, t'es à moi ? Parce que moi, ça me va !".
"Oui ! C'est même étrange, parce qu'avec toi, j'ai le sentiment de tromper la fille que j'aime ! C'est révélateur !".
"J'aime ce que tu me dis ! Et j'ai envie de te prendre du coup ! Te posséder !".
"Prends-moi ! Prends tout, je t'appartiens !".
Sa main s'est glissée depuis longtemps sur mes fesses, nous reprenons un baiser.
Je libère mon fessier de mon pantalon qui tombe sur mes souliers, je m'aide des pieds pour ôter mes chaussures et me libérer les jambes.
Kaddour relève mon Tee-shirt et je me retrouve nu devant mon imposant amant.
Il se dévêt lui aussi, puis m'attire encore vers lui.
Il bande comme jamais, son énorme sexe est collé contre mon ventre.
"Tu me plais trop, tu es tout petit à coté de moi ! Ca m'excites encore plus !".
Il me soulève par les fesses, je lui entoure la taille avec mes cuisses et je m'accroche à son cou.
Il me plaque au mur et dirige son membre vers mon anus, la position est parfaite pour permettre à mon œillet de s'ouvrir lentement sans me faire mal.
Ayant l'habitude des sodomies, je connais mon muscle anal.
Je le contracte et le détend ensuite, plusieurs fois, jusqu'à son enfoncement complet en moi.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Kaddour ! Pourquoi, j'aime tellement t'avoir en moi !".
"Je sais pas, mais moi aussi, j'aime être en toi ! J'ai besoin de ton corps, de ton cul ! T'es ma petite femelle à moi, ma petite salope aussi !".
"Oui ! Je veux être tout ça ! Arhhhhhhhhhhhh ! Fais moi tout ce que tu veux !".
Il me pénètre profondément avec force en me collant au mur et m'embrasse dans le cou en aspirant.
J'ai peur qu'il ne me laisse des traces, mais je chasse cette pensée, je lui appartient, je m'en fous !
Je râle mon plaisir, tout mon corps est submergé de sensations agréables grâce à ses mains puissantes et caressantes.
Il me porte encore et me dépose sur le dos, sur sa table de cuisine.
Son énorme bite coulisse en moi sur toute sa longueur, il peut alors encore plus, me toucher avec ses mains.
Il m'assène de nombreux assauts violents en m'enfonçant ses doigts dans la bouche et me traitant de salope, excité par mes cris de jouissance anale.
"T'aimes ça aussi ! T'as besoin de faire éclater le cul ! Salope ! Je vais tout te faire ! Je vais te faire l'amour et te détruire le cul !".
Je suis pris d'un premier orgasme anal, j'arrive à lui dire malgré mes râles:
"Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, c'est ce que je veux aussi, démontes-moi, aimes moi ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Il arrête ses caresses pour s'agripper à mes épaules et me planter sa bite en coups destructeurs incessants.
Il me fait hurler, il me donne une serviette de table pour que j'étouffe mes cris.
Mon anus est à présent, au maximum de sa détente, il produit énormément de sécrétions sur sa queue.
Kaddour veut jouir, je le devine, il aime me posséder avec puissance.
Plusieurs minutes de ce délicieux supplice se passent.
Il sort de mon cul et m'aide à me retourner, il m'encule à nouveau par derrière.
Ses mains me caressent le dos, puis me griffent ensuite, me giflent le cul et me serrent très fort la taille en s'accrochant à mon corps fragile.
"OH ! Pascal, j'adore t'enculer comme ça ! Tu sais que t'es ma pute ! Ma salope ! Tu me rend dingue !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Oui, joui ! J'aime te faire gueuler ! Tu m'excites comme personne ! T'es ma petite femelle, ma chienne ! Putain, je vais jouir moi aussi !".
Il me provoque un orgasme continu, j'éjacule tout le sperme que mon corps contenait, entre mes jambes, sans me toucher.
Quelques minutes plus tard, il m'annonce en se retirant de mon cul:
"Retourne toi ! Vite !".
Je me précipite à ses pieds en ouvrant la bouche, et en collant son gland au fond de ma gorge.
Ses effluves sont impressionnantes de chaleur salée, elles m'inondent le palais.
Il gémit son plaisir très fortement, il me communique son bonheur de jouir dans ma bouche, après m'avoir détruit le cul.
Mes doigts glissent aisément sur sa bite lubrifiée par mon jus anal.
Je gémis moi aussi, excité par son déversement abondant.
"Mmmmmmmmmmm ! Grllllllllllp ! Mmmmmmmmmmm ! Grllllllllllp ! Grllllllllllp ! Mmmmmmmmmmm ! Grllllllllllp !'.
"Ahhhhhhhhh ! C'est trop bon, oui, avales moi ! Putain, j'arriverai pas à me passer de toi Pascal !".
"Mmmmmmmmmmm ! Grllllllllllp ! Grllllllllllp ! Mmm ! Moi non plus !".
Il reprend pied, petit à petit, moi aussi, on se regarde.
On se comprend sans se parler.
On échange un sourire, il me porte et m'entraine dans sa chambre.
"Tu es génial ! Pascal ! C'est si fort avec toi ! J'aime ton coté adorable et salope !".
"Je dois le prendre comme un compliment, venant de toi, je pense ! Mais j'aime que tu me vois comme ça ! Ca englobe mes deux cotés !".
"Tu vas gérer avec ta copine ?".
"Oui, je crois, pour le moment, j'ai pas de sentiment, mais je suis amoureux de ce que nous partageons, c'est sur !".
"Oui ! Moi aussi, si j'ai des sentiments, un jour, je te le dirai ! Pour l'instant, je veux profiter de toi, tant que je peux !".
"Humm ! Moi aussi ! Ouhhhhhhh ! Tu m'as encore démonté !".
Je me tiens le bas ventre, puis je succombe à un besoin de laisser échapper de l'air dans mon anus, en disant:
"Pardon, c'est trop dur !".
Un bruit de flatulence emplit la pièce.
"Oh non !".
En sortant, l'air a expulsé une grosse quantité de sécrétions anales qui tachent sa couette.
Il rit, devant ma gêne.
"Tu ris, mais c'est ta faute !".
"J'assumes ! Et ça va pas s'arrêter ! Dès que je bande encore, je te la remet !".
Il me ramène de quoi m'essuyer, puis nous échangeons, très longuement, de nombreuses caresses et baisers.
Pierre est contrarié de ne pas pouvoir me donner en pâture à d'autres hommes, le lendemain, donc Dimanche, comme il l'avait prévu, à mon insu.
Kaddour profite de moi, malgré tout, en se faisant encore sucer la bite sur le siège arrière.
Plus on baise ensemble et plus notre complicité est évidente.
Je devrai malgré tout faire éjaculer Pierre, excité par la vue de notre fellation. Il me remplira la gorge sur la dernière aire avant notre séparation.
Ce rapport buccal fut presque brutal et humiliant, le ton utilisé dans ses mots crus était presque méchant.
Je devine qu'il se venge de sa contrariété.
Quand à Kaddour, il aurait été trop long à contenter.
Mais il est aussi choqué par Pierre, il me laisse tranquille.
Il me susurre à l'oreille, avant de me quitter:
"Appelles-moi !".
Lorsque j'ai retrouvé mes parents et ma famille, on m'a trouvé très fatigué.
"Eh ben ! T'as du faire une sacrée fête !".
"Oui, pendant deux jours ! Je suis mort, mais c'était bien !".
"T'as trop bu ? Tu t'es défoncé la tête ?".
Le mot me trouble, mais je réponds:
"Non ! Ca va ! Je suis un peu barbouillé, par contre !".
Je m'en veux de ne pas être à la hauteur de l'image qu'ils se font de moi.
Le jeune fils doué et intelligent, fiancé à une fille magnifique.
Ce fils prodigue qui ne s'est pas fait défoncé la tête, mais plutôt l'anus et la bouche par près de vingt queues sur deux jours.
Mais cela, ils ne le sauront jamais.
Comme je ne voyais pas ma copine, pendant un mois, je me suis trouvé penaud le lendemain matin.
Je tournais en rond.
Tout se bouscule dans mon esprit, je veux revoir Kaddour, je ne comprends pas pourquoi.
Je me décide à le rappeler:
"Allo ? Kaddour ?".
"Pascal ? C'est toi ?".
"Oui !".
"C'est gentil de m'appeler ! Tu veux qu'on se retrouve ?".
"Oui !".
"Quand ?".
"Ben, je suis libre toute la journée, n'oublies pas !".
"Super, j'arrive !".
Je rentre chez moi, en disant;
"M'man ! Je repars jusqu'à ce soir ! Bonne journée !".
Lorsqu'il arrive au point de Rendez-Vous, c'est difficile de ne pas nous embrasser.
Sur la route, je lui demande:
"Tu ne me demandes pas de te sucer ?".
"Tu le fais, si tu en as envie ! Je ne te force pas !".
"J'apprécie ta bienveillance ! Du coup, j'ai envie de te faire plaisir ! Sors à l'aire, si tu veux aller plus loin !".
Je me penche au dessus de son membre, que je libère de sa braguette, et je le recouvre avec ma bouche chaude et humide.
J'aime l'entendre gémir, il me caresse les cheveux par moment, en me complimentant sur ma manière de lui donner ce plaisir buccal.
"Ohhh ! Tu me bouffes trop bien la bite salope ! Arrêtes ! Je veux pas jouir trop vite ! Si tu continues, je vais t'envoyer la sauce !".
"Mumm ! Grllllpp ! Mmmmmmmmmm ! Dommage ! J'adore tellement te sucer ! Elle me rend dingue !".
"Je préfère attendre chez moi pour te baiser ! On sera beaucoup mieux !".
"Oui, tu as raison ! Tu sais, je m'étonne moi-même, de t'avoir appelé ! Après les deux jours que j'ai eu, je suis rassasié de sexe homo, et j'ai le cul dans un sale état, mais j'avais quand même envie de te voir !".
"Oh, c'est gentil ! Moi aussi, tu me plais beaucoup ! On s'est connu dans des circonstances plutôt sexe ! Mais j'ai décelé plus que ça, chez toi, tu es super mignon et j'adore ta personnalité en dehors du sexe !".
"Merci, c'est gentil aussi ! C'est pareil pour moi, malgré ta façon de me soumettre et me défoncer, tu es très protecteur avec moi, et je crois que j'aime ça !".
Une aire se propose sur le trajet, il quitte l'autoroute et s'y arrête vers le fond, à l'abri des regards, même si nous sommes seuls.
J'ai compris son intention et je lui tends mes lèvres, il m'embrase fougueusement, puis très tendrement.
"Bon, on repart sinon, je t'encule ici !".
Je me met à rire et je pose ma main sur sa cuisse, je me sens bien avec lui.
On se gare en plein centre de Marseille.
Je le suis dans un vieil immeuble, jusqu'au dernier étage.
L'appartement est petit et très simple, mais propre et bien rangé.
Je vois la porte de la chambre, ouverte, et devine un grand lit.
Je m'y imagine déjà, en train de subir les assauts de mon nouvel amant régulier.
Je suis sorti de mes pensées par Kaddour.
"Mon petit Pascal ! Viens par là !".
Il me tend les bras, je m'y réfugie.
Ses grosses mains puissantes qui me caressent, me rassurent.
Je perd toute masculinité dans cette étreinte.
Il me ramène à ce sentiment que j'éprouvais à la fin de ma relation avec mon premier amant, le militaire gradé.
On ne calcule plus rien, on cède au besoin de nous toucher et mélanger nos langues.
"Oh, Kaddour ! Je me sens tellement différent avec toi ! Tu me perturbes ! Mais je m'en moque, je suis bien, tu réveilles des choses en moi, que je cherche à oublier, mais j'en ai besoin malgré moi !".
"Moi aussi ! Je suis bien avec toi, mais tu ressens quoi ? Comment tu te sens ?".
"C'est bizarre, mais je crois que je me sens femme ou plutôt femelle, je crois que c'est plus juste ! Tu me domines sans me toucher, j'ai l'impression d'être à toi ! Pas comme avec les autres ! Parce que ce n'est qu'un jeu sexuel ! Alors que toi, c'est réel !".
"C'est vrai, t'es à moi ? Parce que moi, ça me va !".
"Oui ! C'est même étrange, parce qu'avec toi, j'ai le sentiment de tromper la fille que j'aime ! C'est révélateur !".
"J'aime ce que tu me dis ! Et j'ai envie de te prendre du coup ! Te posséder !".
"Prends-moi ! Prends tout, je t'appartiens !".
Sa main s'est glissée depuis longtemps sur mes fesses, nous reprenons un baiser.
Je libère mon fessier de mon pantalon qui tombe sur mes souliers, je m'aide des pieds pour ôter mes chaussures et me libérer les jambes.
Kaddour relève mon Tee-shirt et je me retrouve nu devant mon imposant amant.
Il se dévêt lui aussi, puis m'attire encore vers lui.
Il bande comme jamais, son énorme sexe est collé contre mon ventre.
"Tu me plais trop, tu es tout petit à coté de moi ! Ca m'excites encore plus !".
Il me soulève par les fesses, je lui entoure la taille avec mes cuisses et je m'accroche à son cou.
Il me plaque au mur et dirige son membre vers mon anus, la position est parfaite pour permettre à mon œillet de s'ouvrir lentement sans me faire mal.
Ayant l'habitude des sodomies, je connais mon muscle anal.
Je le contracte et le détend ensuite, plusieurs fois, jusqu'à son enfoncement complet en moi.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Kaddour ! Pourquoi, j'aime tellement t'avoir en moi !".
"Je sais pas, mais moi aussi, j'aime être en toi ! J'ai besoin de ton corps, de ton cul ! T'es ma petite femelle à moi, ma petite salope aussi !".
"Oui ! Je veux être tout ça ! Arhhhhhhhhhhhh ! Fais moi tout ce que tu veux !".
Il me pénètre profondément avec force en me collant au mur et m'embrasse dans le cou en aspirant.
J'ai peur qu'il ne me laisse des traces, mais je chasse cette pensée, je lui appartient, je m'en fous !
Je râle mon plaisir, tout mon corps est submergé de sensations agréables grâce à ses mains puissantes et caressantes.
Il me porte encore et me dépose sur le dos, sur sa table de cuisine.
Son énorme bite coulisse en moi sur toute sa longueur, il peut alors encore plus, me toucher avec ses mains.
Il m'assène de nombreux assauts violents en m'enfonçant ses doigts dans la bouche et me traitant de salope, excité par mes cris de jouissance anale.
"T'aimes ça aussi ! T'as besoin de faire éclater le cul ! Salope ! Je vais tout te faire ! Je vais te faire l'amour et te détruire le cul !".
Je suis pris d'un premier orgasme anal, j'arrive à lui dire malgré mes râles:
"Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, c'est ce que je veux aussi, démontes-moi, aimes moi ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Il arrête ses caresses pour s'agripper à mes épaules et me planter sa bite en coups destructeurs incessants.
Il me fait hurler, il me donne une serviette de table pour que j'étouffe mes cris.
Mon anus est à présent, au maximum de sa détente, il produit énormément de sécrétions sur sa queue.
Kaddour veut jouir, je le devine, il aime me posséder avec puissance.
Plusieurs minutes de ce délicieux supplice se passent.
Il sort de mon cul et m'aide à me retourner, il m'encule à nouveau par derrière.
Ses mains me caressent le dos, puis me griffent ensuite, me giflent le cul et me serrent très fort la taille en s'accrochant à mon corps fragile.
"OH ! Pascal, j'adore t'enculer comme ça ! Tu sais que t'es ma pute ! Ma salope ! Tu me rend dingue !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Oui, joui ! J'aime te faire gueuler ! Tu m'excites comme personne ! T'es ma petite femelle, ma chienne ! Putain, je vais jouir moi aussi !".
Il me provoque un orgasme continu, j'éjacule tout le sperme que mon corps contenait, entre mes jambes, sans me toucher.
Quelques minutes plus tard, il m'annonce en se retirant de mon cul:
"Retourne toi ! Vite !".
Je me précipite à ses pieds en ouvrant la bouche, et en collant son gland au fond de ma gorge.
Ses effluves sont impressionnantes de chaleur salée, elles m'inondent le palais.
Il gémit son plaisir très fortement, il me communique son bonheur de jouir dans ma bouche, après m'avoir détruit le cul.
Mes doigts glissent aisément sur sa bite lubrifiée par mon jus anal.
Je gémis moi aussi, excité par son déversement abondant.
"Mmmmmmmmmmm ! Grllllllllllp ! Mmmmmmmmmmm ! Grllllllllllp ! Grllllllllllp ! Mmmmmmmmmmm ! Grllllllllllp !'.
"Ahhhhhhhhh ! C'est trop bon, oui, avales moi ! Putain, j'arriverai pas à me passer de toi Pascal !".
"Mmmmmmmmmmm ! Grllllllllllp ! Grllllllllllp ! Mmm ! Moi non plus !".
Il reprend pied, petit à petit, moi aussi, on se regarde.
On se comprend sans se parler.
On échange un sourire, il me porte et m'entraine dans sa chambre.
"Tu es génial ! Pascal ! C'est si fort avec toi ! J'aime ton coté adorable et salope !".
"Je dois le prendre comme un compliment, venant de toi, je pense ! Mais j'aime que tu me vois comme ça ! Ca englobe mes deux cotés !".
"Tu vas gérer avec ta copine ?".
"Oui, je crois, pour le moment, j'ai pas de sentiment, mais je suis amoureux de ce que nous partageons, c'est sur !".
"Oui ! Moi aussi, si j'ai des sentiments, un jour, je te le dirai ! Pour l'instant, je veux profiter de toi, tant que je peux !".
"Humm ! Moi aussi ! Ouhhhhhhh ! Tu m'as encore démonté !".
Je me tiens le bas ventre, puis je succombe à un besoin de laisser échapper de l'air dans mon anus, en disant:
"Pardon, c'est trop dur !".
Un bruit de flatulence emplit la pièce.
"Oh non !".
En sortant, l'air a expulsé une grosse quantité de sécrétions anales qui tachent sa couette.
Il rit, devant ma gêne.
"Tu ris, mais c'est ta faute !".
"J'assumes ! Et ça va pas s'arrêter ! Dès que je bande encore, je te la remet !".
Il me ramène de quoi m'essuyer, puis nous échangeons, très longuement, de nombreuses caresses et baisers.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
étonnement excellent
J’adore ce côté salace, puis plus doux