Seul avec Kaddour . 2.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Seul avec Kaddour . 2.
Cette première et intense jouissance commune nous rapproche énormément.
Entre nous, c'est une évidence. On est fait pour baiser ensemble.
Notre dialogue est à la fois tendre et pervers, accompagné de caresses continuelles.
Cela dure plus d'une heure.
Je repense à notre fougueuse étreinte et lui dit:
"C'était trop bon, tout à l'heure ! Et j'ai adoré t'avaler aussi ! Elle me donne tellement de plaisir !".
En disant ces mots, je le masturbe tendrement.
Puis, inexorablement, je descend vers son membre pour engloutir son énorme gland.
J'y met toute ma passion, il gémit de bonheur.
"Ohhhh ! Pascal ! Qu'est ce que tu me suces bien !".
"Chttt ! Laisses moi lui faire l'amour ! Je l'aime, ta bite !".
"Ahhhhhhhhhh ! Oui, vas-y ! Mmmmmmm !".
Ma langue parcoure toute l'immensité de son membre, qui épaissit sous ma caresse.
Je descend plus bas pour me placer entre ses cuisses et lui lécher les couilles longuement, puis redresse sa bite pour m'enfoncer la gorge profondément sur elle.
Je force au maximum pour m'en pénétrer vicieusement le gosier, puis remonte doucement en faisant coulisser mes lèvres autour de sa hampe.
Il est en érection complète, Il gémit son plaisir, me dit qu'il aime ma bouche.
Je redescend vers ses testicules, pour les avaler, en lui caressant la queue avec mes petites phalanges.
Puis je me pénètre encore profondément, coulisse encore jusqu'à son gland et le baise entre mes lèvres énergiquement.
Je devine l'excitation qui le submerge, je décide de ne plus le faire attendre et me place au dessus de lui pour m'empaler l'anus.
"Arhhhhhhh ! Putain, Pascal ! Oui, je suis trop bien dans ton cul !".
"Oufffffffffff ! C'est encore plus sensible que tout à l'heure ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! je joui déjà ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il entreprend de me posséder, alors que c'est moi qui voulait le baiser avec mon cul.
Je plonge mon visage vers le sien pour un interminable baiser et l'accompagne dans sa possession de mon corps.
Je suis obligé de respirer pour râler mon nouvel orgasme en me cabrant sur lui.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Kaddour, tu me rend fou ou folle, je sais plus qui je suis ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Son gland me pénètre si profondément, j'aime ce plaisir intérieur, si intense.
Mon anus est pris de spasmes qui produisent encore d'énormes écoulements de jus.
"Pascal, je suis trop bien ! Ca glisse comme dans une chatte ! T'es ma petite femelle, ne cherche plus !".
"Oui, Kaddour ! Oui ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Parle moi encore comme ça ! Ca me fait du bien ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Tu veux que je parle comme à une femelle ? C'est ça ?".
"Oui ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il me retourne sur le dos et me possède profondément.
"Putain ! Salope, j'adore te défoncer la chatte ! Tu m'as excité en me bouffant la bite ! Sale petite pute ! Tu vas crier et ce sera ta faute !".
Il me soulève les fesses et me burine avec son énorme queue comme avec un marteau piqueur, en me pliant le corps sous lui.
Il me fait hurler, et me crie en même temps de me taire, pendant qu'il m'encule comme une chienne.
Je sens arriver un effet indésirable, et je le préviens.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Kaddour, je vais couler ! Tu m'encules trop fort ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Je m'en fous ! C'est trop bon, pisses, si tu veux ! Sale chienne !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Oh Putain ! je suis entrain d'inonder ton lit, Kaddour ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"C'est pas grave ! C'est trop excitant de te faire gicler ! Salope !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Urgggggggggggggggggggghhhhhhhhhhh !".
Je viens d'avoir une montée d'orgasme encore plus forte que les précédentes.
Mon corps est trempé, je ressens de la honte et de l'excitation, mais Kaddour continue de me défoncer comme jamais.
Les écoulements ralentissent enfin, puis il se retire et joue avec l'ouverture de mon anus en y entrant son gland et l'ôtant ensuite.
Il s'enfonce d'un coup avec puissance en faisant appuyer son gland contre ma prostate le plus fortement possible.
Il s'active plus énergiquement, et c'est ainsi, que je sens monter une nouvelle giclée de liquide.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Non ! Kaddour pas encore !".
Cette fois, le liquide gicle fortement et m'arrose le visage.
"Ouais, j'adore ! T'es géniale ! Salope !".
il s'acharne à me soutirer tout le liquide encore présent dans mon corps.
Même si cela me gêne, pour l'image, je reconnais que je joui très puissamment.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! S'il te plait, Kaddour ! Arrêtes ! J'en peux plus, tu m'a pris toutes mes forces !".
Il ralentit enfin, et me laisse m'étendre sous lui.
Il se retire, et se place derrière moi, sans me pénétrer.
Mon anus est pris de spasmes insupportables.
Je saisis sa bite et je m'enfonce sur lui. C'est étrange, mais c'est la seule chose qui calme ses spasmes.
"Qu'est-ce que tu fais ? Tu m'as demandé d'arrêter !".
"Oui, je sais, mais tu m'as démonté trop longtemps ! Mon cul est pris de spasmes énormes ! Il n'y a que comme ça, que ça se calme ! Par contre, ne bouges plus, restes comme ça !".
"D'accord, ma petite salope ! Ca m'arrange ! Je suis mieux à l'intérieur !".
Il me câline très longuement, à chaque petit mouvement incontrôlé dans mon cul, je gémis de plaisir.
"Kaddour, j'ai vraiment le sentiment de ne faire qu'un, avec toi !".
"Oui, comme deux pièces d'un puzzle qui s'emboite parfaitement !".
"C'est ça !".
Je commence peu à peu, à sombrer de fatigue sexuelle.
Mais Kaddour coulisse plus amplement dans mon cul.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Kaddour !".
"Tu m'en veux, si je t'encules encore ? J'ai besoin de jouir !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Non, j'ai pas le droit de te le refuser ! Vas -y ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il me bloque contre sa bite et coulisse complètement de mon œillet à mes profondeurs, en assauts incessants.
L'humidité du lit me remémore ce qu'il m'a provoqué, mais le moment présent me faire encore hurler de plaisir anal.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Kaddour, à toi tout seul, tu me fais plus jouir que tous les autres ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il me colle au matelas, sur le ventre et m'empale par derrière, avec force.
Je m'égosille à chaque fois que son gland atteint mes profondeurs.
"Arggggggggggggggg ! Arggggggggggggggg ! Arggggggggggggggg !".
Il s'excite encore en me couvrant de mots crus, je suis sa femelle soumise, à présent.
Il me burine encore et encore sans cesse, puis enfin il se retire en se dressant, debout sur le lit.
"Tourne toi, petite pute !".
Je me place sur le dos, et je l'admire pendant qu'il masturbe sa grosse bite et fait gicler son foutre brulant sur moi.
Il se déplace pour me maculer le visage, j'ouvre la bouche pour le recevoir, je sais que c'est ce qu'il désire.
Je me contorsionne d'excitation, en recevant son jus partout sur moi.
Il pose une main sur le mur et fait glisser ses doigts sur sa bite pour terminer de jouir sur ma face d'ange.
"Arhhhhhhhhhh ! J'adore te gicler dessus ! Gueule d'ange !".
"Ohhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Kaddour ! C'était énorme encore, tu m'as tout pris ! On m'a jamais baisé comme ça !".
Je reçois les dernières gouttes de sperme, puis il se place à califourchon au dessus de mon visage pour m'offrir sa bite à lécher.
Après une longue caresse buccale, il se place contre moi et m'enlace tendrement.
Puis il soulève les draps et nous recouvre avec.
Je m'endors quasiment aussitôt.
Lorsque je sors de mon sommeil, je remarque qu'il fait noir à l'extérieur.
"Kaddour ?".
Il revient dans la chambre et répond:
"Oui ! Ma petite chatte !".
Je ne m'attendais pas à cette appelation.
"Euh, il est quelle heure ?".
"8 h 45 ! t'as bien dormi, il est trop tard pour rentrer chez toi !".
"Non ?".
"Restes avec moi, tu bosses demain ?".
"Non, je suis au chômage en ce moment !".
"Moi, je suis en congé ! C'est nickel ! Tu trouves pas ?".
"Ouais, mais je vais devoir prévenir mes parents, dès demain matin !".
"Restes la semaine ! Si tu veux !".
"Franchement, j'en ai envie, mais si tu m'encules comme ça tous les jours, je sais pas, si je vais tenir le coup !".
"Alors, tu choisis quoi ?".
"Je reste !".
Entre nous, c'est une évidence. On est fait pour baiser ensemble.
Notre dialogue est à la fois tendre et pervers, accompagné de caresses continuelles.
Cela dure plus d'une heure.
Je repense à notre fougueuse étreinte et lui dit:
"C'était trop bon, tout à l'heure ! Et j'ai adoré t'avaler aussi ! Elle me donne tellement de plaisir !".
En disant ces mots, je le masturbe tendrement.
Puis, inexorablement, je descend vers son membre pour engloutir son énorme gland.
J'y met toute ma passion, il gémit de bonheur.
"Ohhhh ! Pascal ! Qu'est ce que tu me suces bien !".
"Chttt ! Laisses moi lui faire l'amour ! Je l'aime, ta bite !".
"Ahhhhhhhhhh ! Oui, vas-y ! Mmmmmmm !".
Ma langue parcoure toute l'immensité de son membre, qui épaissit sous ma caresse.
Je descend plus bas pour me placer entre ses cuisses et lui lécher les couilles longuement, puis redresse sa bite pour m'enfoncer la gorge profondément sur elle.
Je force au maximum pour m'en pénétrer vicieusement le gosier, puis remonte doucement en faisant coulisser mes lèvres autour de sa hampe.
Il est en érection complète, Il gémit son plaisir, me dit qu'il aime ma bouche.
Je redescend vers ses testicules, pour les avaler, en lui caressant la queue avec mes petites phalanges.
Puis je me pénètre encore profondément, coulisse encore jusqu'à son gland et le baise entre mes lèvres énergiquement.
Je devine l'excitation qui le submerge, je décide de ne plus le faire attendre et me place au dessus de lui pour m'empaler l'anus.
"Arhhhhhhh ! Putain, Pascal ! Oui, je suis trop bien dans ton cul !".
"Oufffffffffff ! C'est encore plus sensible que tout à l'heure ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! je joui déjà ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il entreprend de me posséder, alors que c'est moi qui voulait le baiser avec mon cul.
Je plonge mon visage vers le sien pour un interminable baiser et l'accompagne dans sa possession de mon corps.
Je suis obligé de respirer pour râler mon nouvel orgasme en me cabrant sur lui.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Kaddour, tu me rend fou ou folle, je sais plus qui je suis ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Son gland me pénètre si profondément, j'aime ce plaisir intérieur, si intense.
Mon anus est pris de spasmes qui produisent encore d'énormes écoulements de jus.
"Pascal, je suis trop bien ! Ca glisse comme dans une chatte ! T'es ma petite femelle, ne cherche plus !".
"Oui, Kaddour ! Oui ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Parle moi encore comme ça ! Ca me fait du bien ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Tu veux que je parle comme à une femelle ? C'est ça ?".
"Oui ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il me retourne sur le dos et me possède profondément.
"Putain ! Salope, j'adore te défoncer la chatte ! Tu m'as excité en me bouffant la bite ! Sale petite pute ! Tu vas crier et ce sera ta faute !".
Il me soulève les fesses et me burine avec son énorme queue comme avec un marteau piqueur, en me pliant le corps sous lui.
Il me fait hurler, et me crie en même temps de me taire, pendant qu'il m'encule comme une chienne.
Je sens arriver un effet indésirable, et je le préviens.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Kaddour, je vais couler ! Tu m'encules trop fort ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Je m'en fous ! C'est trop bon, pisses, si tu veux ! Sale chienne !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Oh Putain ! je suis entrain d'inonder ton lit, Kaddour ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"C'est pas grave ! C'est trop excitant de te faire gicler ! Salope !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Urgggggggggggggggggggghhhhhhhhhhh !".
Je viens d'avoir une montée d'orgasme encore plus forte que les précédentes.
Mon corps est trempé, je ressens de la honte et de l'excitation, mais Kaddour continue de me défoncer comme jamais.
Les écoulements ralentissent enfin, puis il se retire et joue avec l'ouverture de mon anus en y entrant son gland et l'ôtant ensuite.
Il s'enfonce d'un coup avec puissance en faisant appuyer son gland contre ma prostate le plus fortement possible.
Il s'active plus énergiquement, et c'est ainsi, que je sens monter une nouvelle giclée de liquide.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Non ! Kaddour pas encore !".
Cette fois, le liquide gicle fortement et m'arrose le visage.
"Ouais, j'adore ! T'es géniale ! Salope !".
il s'acharne à me soutirer tout le liquide encore présent dans mon corps.
Même si cela me gêne, pour l'image, je reconnais que je joui très puissamment.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! S'il te plait, Kaddour ! Arrêtes ! J'en peux plus, tu m'a pris toutes mes forces !".
Il ralentit enfin, et me laisse m'étendre sous lui.
Il se retire, et se place derrière moi, sans me pénétrer.
Mon anus est pris de spasmes insupportables.
Je saisis sa bite et je m'enfonce sur lui. C'est étrange, mais c'est la seule chose qui calme ses spasmes.
"Qu'est-ce que tu fais ? Tu m'as demandé d'arrêter !".
"Oui, je sais, mais tu m'as démonté trop longtemps ! Mon cul est pris de spasmes énormes ! Il n'y a que comme ça, que ça se calme ! Par contre, ne bouges plus, restes comme ça !".
"D'accord, ma petite salope ! Ca m'arrange ! Je suis mieux à l'intérieur !".
Il me câline très longuement, à chaque petit mouvement incontrôlé dans mon cul, je gémis de plaisir.
"Kaddour, j'ai vraiment le sentiment de ne faire qu'un, avec toi !".
"Oui, comme deux pièces d'un puzzle qui s'emboite parfaitement !".
"C'est ça !".
Je commence peu à peu, à sombrer de fatigue sexuelle.
Mais Kaddour coulisse plus amplement dans mon cul.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Kaddour !".
"Tu m'en veux, si je t'encules encore ? J'ai besoin de jouir !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Non, j'ai pas le droit de te le refuser ! Vas -y ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il me bloque contre sa bite et coulisse complètement de mon œillet à mes profondeurs, en assauts incessants.
L'humidité du lit me remémore ce qu'il m'a provoqué, mais le moment présent me faire encore hurler de plaisir anal.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Kaddour, à toi tout seul, tu me fais plus jouir que tous les autres ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il me colle au matelas, sur le ventre et m'empale par derrière, avec force.
Je m'égosille à chaque fois que son gland atteint mes profondeurs.
"Arggggggggggggggg ! Arggggggggggggggg ! Arggggggggggggggg !".
Il s'excite encore en me couvrant de mots crus, je suis sa femelle soumise, à présent.
Il me burine encore et encore sans cesse, puis enfin il se retire en se dressant, debout sur le lit.
"Tourne toi, petite pute !".
Je me place sur le dos, et je l'admire pendant qu'il masturbe sa grosse bite et fait gicler son foutre brulant sur moi.
Il se déplace pour me maculer le visage, j'ouvre la bouche pour le recevoir, je sais que c'est ce qu'il désire.
Je me contorsionne d'excitation, en recevant son jus partout sur moi.
Il pose une main sur le mur et fait glisser ses doigts sur sa bite pour terminer de jouir sur ma face d'ange.
"Arhhhhhhhhhh ! J'adore te gicler dessus ! Gueule d'ange !".
"Ohhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Kaddour ! C'était énorme encore, tu m'as tout pris ! On m'a jamais baisé comme ça !".
Je reçois les dernières gouttes de sperme, puis il se place à califourchon au dessus de mon visage pour m'offrir sa bite à lécher.
Après une longue caresse buccale, il se place contre moi et m'enlace tendrement.
Puis il soulève les draps et nous recouvre avec.
Je m'endors quasiment aussitôt.
Lorsque je sors de mon sommeil, je remarque qu'il fait noir à l'extérieur.
"Kaddour ?".
Il revient dans la chambre et répond:
"Oui ! Ma petite chatte !".
Je ne m'attendais pas à cette appelation.
"Euh, il est quelle heure ?".
"8 h 45 ! t'as bien dormi, il est trop tard pour rentrer chez toi !".
"Non ?".
"Restes avec moi, tu bosses demain ?".
"Non, je suis au chômage en ce moment !".
"Moi, je suis en congé ! C'est nickel ! Tu trouves pas ?".
"Ouais, mais je vais devoir prévenir mes parents, dès demain matin !".
"Restes la semaine ! Si tu veux !".
"Franchement, j'en ai envie, mais si tu m'encules comme ça tous les jours, je sais pas, si je vais tenir le coup !".
"Alors, tu choisis quoi ?".
"Je reste !".
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'avais 21 ans à cette époque !
très bon récit ! attendrissant... j'espère que Pascal est très jeune pour que Kaddour puisse bien en profiter !