Seul avec Kaddour . 3.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Seul avec Kaddour . 3.
"Restes avec moi, tu bosses demain ?".
"Non, je suis au chômage en ce moment !".
"Moi, je suis en congé ! C'est nickel ! Tu trouves pas ?".
"Ouais, mais je vais devoir prévenir mes parents, dès demain matin !".
"Restes la semaine ! Si tu veux !".
"Franchement, j'en ai envie, mais si tu m'encules comme ça tous les jours, je sais pas, si je vais tenir le coup !".
"Alors, tu choisis quoi ?".
"Je reste !".
Je me souviens alors, que je me suis couvert de, ce qui est peut être, ma propre urine, en jouissant avec kaddour.
Je me lève, et lui demande:
"Tu me montres ta salle de bain, s'il te plait !".
"Bien sur ! Ma petite chatte !".
Je le regarde, puis me rappelle que c'est moi qui lui ai demandé de me traiter comme une femelle.
Je lui fais un grand sourire et le suis.
Il passe une main entre mes fesses et me conduit à la petite pièce.
"Voilà ! Et tu te prépares bien pour ce soir !".
"T'en as pas eu assez ?".
"Je plaisante ! Mais qui sait ?".
Je sors assez vite pour ne pas le faire attendre, il n'a pas mangé, lui non plus.
Nous choisissons de prendre un sandwich américain et des frites, pour le manger en marchant.
Ensuite, on prend un verre, dans un bar qu'il fréquente, ou il me présente comme un jeune collègue de travail.
On rentre vers 23 h, toute la soirée, je lui ai caché la gêne anale que ses défonces m'avait provoqué en retenant un besoin de flatulence qui pourrait aussi éjecter du jus anal, ce qui est très gênant.
Il se déshabille en premier pour se coucher, je me met nu et le rejoins dans le lit.
On est l'un et l'autre, face à face, nous nous câlinons longuement.
"J'ai eu envie de t'embrasser toute la soirée, surtout au bar !". Me dit il.
"Ils ne savent pas que tu es gay ?".
"Non ! En plus, je suis arabe ! Alors tu ne t'imagines pas, ce que penserait ma famille !".
"Tu es musulman ?".
"Ah, ah ! Non, sinon, j'aurai pas mangé la pizza !".
"Ah, c'est vrai !".
Il passe sa main derrière ma nuque et attire mon visage vers le sien.
Notre baiser est très doux.
Il dirige ma main vers sa queue, il bande !
"Non ! Kaddour ! T'es insatiable !".
"C'est toi qui me fait ça ! J'y peux rien ! Allez ! Juste un petit coup avant de dormir !".
"Tu sais pas ce que c'est ! Un petit coup !".
"C'est toi qui me baise ! Comme ça, je viendrai plus vite !".
Il attrape ma bouche en m'embrassant vicieusement, puis me place au dessus de lui.
Son énorme membre est collé à mon œillet. Il me demande:
"Tu veux que je te mettes un peu de salive ?".
"Euh, je crois que tu n'en auras pas besoin ! Laisses moi faire !".
Je passe ma main derrière moi pour tenir sa queue contre mon anus.
Puis, je pousse sur mon sphincter pour me libérer d'une flatulence.
Une grosse quantité de sécrétions pollue le gland de Kaddour, je profite de ce lubrifiant naturel pour me l'enfoncer d'une traite, jusqu'au fond de l'anus.
"Oh ! Putain, il est génial ton cul ! J'adore !".
"Arhhhhhhhhhh ! Oh putain ! Kaddour, c'est tellement sensible quand on recommence ! Arhhhhhhhhhh !".
"Vas y, baise moi avec ta chatte ! Fais toi plaisir !".
Chose promise, chose due, je suis sa femelle, je dois lui offrir ma "chatte", comme il aime appeler mon cul.
Je prend appui sur son torse de mes mains, et avec mes pieds sur ses cotés et je me détruit encore le cul comme une chienne en chaleur.
"Ahhhh ! Ouais, vas y ! Salope ! Donne moi ta chatte ! Oui, encore ! Oh ! Qu'est ce que tu me limes bien la bite !".
"Kaddour ! Tu me rends dingue, je joui ! Arhhhhhhhhhh !".
Mon cul produit énormément de jus anal, mon corps fait de nombreux bruits de flaques sur son pubis maculé.
Ses couilles sont trempées.
Il m'accompagne dans mes mouvements incessants.
"Oh, Pascal ! Tu me baises trop bien ! Continues ! Je prend mon pied ! T'es la plus belle salope que j'ai jamais baisé !".
Il s'excite de l'excédent de jus d'anus qui coule entre ses cuisses, et il me dit que mes cris de plaisir le rendent fou.
Finalement, c'est moi qui avait raison, il ne montre des signes de faiblesses qu'au bout de 25 minutes de destruction de ma "chatte".
Il se met à grogner enfin, il mord ses lèvres et se cambre sous moi.
Il me remplit le cul en subissant des soubresauts dans tout le corps.
Je ne m'arrêterai que lorsque, je serai sur qu'il m'ait tout donné de sa semence.
Je m'empale encore et encore, puis il se détend, il a l'air vidé de toute substance sexuelle.
"Oh ! Stop ! tu m'as vidé ! Oh putain ! Qu'est-ce que j'ai bien joui encore !".
"C'est vrai ? Ca t'as plu ?".
"Ohhhhhhhhhh ! Oui ! Et toi tu as pris ton pied ?".
"Oui, plusieurs fois, mais tu l'as vu !".
"Oui, ma petite chatte ! Tu m'as rendu fou ! Tu t'en es rendu compte ?".
"Oui, mais j'adore !".
Je me soulève lentement de son énorme sexe, en me plaignant.
"Ouhhh ! Putain ! Mon pauvre petit cul ! Au fait, ça t'as pas dégouté que je coule sur ta bite avant que tu m'encules ?".
"Non ! Au contraire ! C'est pratique ! Tu t'es empalé d'un coup, c'est génial !".
"Ouais, et de toute façon, c'est à cause de toi et ta grosse bite ! Tu me perturbes le cul !".
Je le vois sombrer, petit à petit, en me parlant.
Je me lève pour me nettoyer l'anus.
A mon retour, il est endormi, je lui fais une toilette sommaire de sa bite sans le réveiller, avec une serviette et ma bouche un petit peu, puis je me couche contre lui en posant son bras autour de moi.
Il m'a tellement épuisé que j'ai fait le tour du cadran.
"Pascal ! Ma petite chatte ! Coucou, réveille toi !".
Kaddour me dévore l'anus et me dit à nouveau à voix basse:
"Ma petite salope ! On se lève !".
Il replonge entre mes fesses, je serre alors mon anus pour ne pas laisser échapper des restes de jus de la veille.
"Non ! Kaddour, arrêtes ! Sinon, je vais avoir un accident !".
"Ok, tu veux déjeuner ?".
"Oui, je veux bien un café, d'abord ! Merci !".
Il m'apporte la boisson alors que je suis encore couché.
Je la bois lentement puis, je me lève précipitamment pour me rendre aux toilettes.
Mes bruits révèlent à mon amant que je subis les effets de ses assauts répétitifs.
Je reviens pour terminer de déjeuner avec lui, puis je me rends sous la douche.
Il me rejoint et me demande de le laisser me faire un double lavement anal.
Il en profite pour m'enculer encore, aussitôt après, puis il éjacule dans ma gorge.
La journée commence idéalement, je viens de connaitre une longue série d'orgasmes anaux.
Il me fait visiter la ville toute l'après midi, j'apprécie qu'il ne m'emmène pas dans un lieu chaud comme le faisait Pierre.
Je lui fait remarquer:
"Merci Kaddour, j'apprécie que tu ne m'emmènes pas au fort ou un endroit similaire, comme Pierre".
"Non, je préfères te garder pour moi ! Tu m'appartiens ! N'oublies pas !".
"Ben, avec tout ce que tu me mets, je risque pas d'avoir besoin d'aller ailleurs ! Et puis c'est toi ! Mon "homme" !".
"Tant mieux ! Tu ne vas plus le rappeler ?".
"Je ne sais pas ! J'ai pas aimé sa réaction sur le retour !".
"On est d'accord ! s'il l'avait fait aujourd'hui, après les deux jours qu'on a vécu, je lui casserai la gueule !".
"Merci, mais y a rien de grave ! Ca me trouble, ce que tu me dis !".
"Faut pas faire de mal à mon petit Pascal ! T'es ma petite chatte, rien qu'à moi!".
Même si je me sens piégé par cette relation, je m'en fous, je m'épanouis sexuellement et psychiquement avec kaddour.
Il révèle ma féminité cachée, sans que j'ai besoin d'en prendre les manières exubérantes, je reste masculin à l'extérieur, et je trouve ça agréable.
"Mais ! A propos de Pierre ! Qui c'est l'autre type que tu appelles Lieutenant ? Tu as l'air de bien le connaitre !".
"C'est avec lui que j'ai eu ma première relation sexuelle ! J'étais puceau en entrant à l'armée, c'est lui qui a fait de moi, la salope que je suis !".
"Mais, tu as quel âge ?".
"Je vais avoir 22 ans ! Pourquoi ?".
"Putain, je te donnais à peine 18 ans ! Et t'as beaucoup baisé à l'armée ?".
"Euh, oui pas mal, Le lieutenant m'a introduit dans son milieu de copains homo et bi, j'ai du avoir près d'une quarantaine d'amants, plus une cinquantaine en deux après-midi, au cinéma porno de Marseille ! Ca fait bizarre de passer du timide puceau à la pute du camp d'entrainement militaire ! Je me faisais enculer quasiment tous les jours ! Souvent par plusieurs soldats ! Presque toujours des gradés !".
"Putain ! T'as pas eu mal, la première fois ?".
"Non ! Mais en fait, je m'enculais déjà avec des objets, depuis mon enfance ! Mon premier orgasme du cul, c'était avec un gros manche de marteau !".
"Mais t'es un vrai homo, alors ! Pourquoi tu aimes les filles ?".
"Parce qu'un homme est moins beau qu'une fille ! Les formes d'une jolie femme, c'est magnifique !".
"Oui, mais elle n'ont pas de queue pour te baiser !".
"C'est le problème !".
"Tant mieux pour moi !".
En fin d'après-midi, il me demande:
"Bon, ma petite salope ! Ca te dis que je te défonce la chatte ! C'est trop dur de regarder ton beau cul cambré, j'en peux plus !".
"Hummm, j'attendais que tu me le demandes ! Viens, on rentre chez toi ! moi aussi, j'ai envie de mon homme !".
Il m'a possédé encore, pendant plus d'une heure, en me faisant éjaculer sans me toucher, comme toujours.
J'ai abondamment giclé sur son sol aussi, il est l'un des rares à m'avoir provoqué cette réaction d'écoulement, pendant la sodomie.
Nous avons ensuite, recommencé avant de nous endormir.
Les jours suivants, il ne m'a enculé que l'après midi et le soir, mais toujours aussi intensément et puissamment.
Je me suis fait plaisir en lui dévorant la queue, certaines matinées, j'adorais avaler son jus chaud avant de me lever.
Il avait aussi découvert un petit jeu: Après m'avoir défoncé une première fois dans la journée, avec ses 23 x 5,5 cm, il pointait son énorme gland contre mon anus pour m'enculer et me demandait:
"Vas y, pousse ! Mets moi du jus de chatte !".
Je le maculait de mon jus anal, causé par sa dernière sodomie et il me pénétrait d'une traite en me faisant hurler de plaisir.
Lors de mon retour chez mes parents, à la fin de la semaine, j'ai ressenti un gros manque de Kaddour.
Mais il me fallait retrouver une vie normale, surtout au niveau de mon anus, et il devait reprendre son boulot.
Toutefois, je n'oubliai pas que je restais sa femelle, et je lui réserve désormais tout mes Week ends ou je serais sans ma copine.
Je retrouverai Pierre, mais cette fois, malgré d'autres retrouvailles agréables avec le lieutenant et d'autres complices, j'ai encore subi ses envies de me donner à d'autres hommes dans un lieu chaud, le lendemain.
C'était trop, je ne l'ai plus rappelé.
Je pouvais me consacrer à ma copine et à Kaddour.
"Non, je suis au chômage en ce moment !".
"Moi, je suis en congé ! C'est nickel ! Tu trouves pas ?".
"Ouais, mais je vais devoir prévenir mes parents, dès demain matin !".
"Restes la semaine ! Si tu veux !".
"Franchement, j'en ai envie, mais si tu m'encules comme ça tous les jours, je sais pas, si je vais tenir le coup !".
"Alors, tu choisis quoi ?".
"Je reste !".
Je me souviens alors, que je me suis couvert de, ce qui est peut être, ma propre urine, en jouissant avec kaddour.
Je me lève, et lui demande:
"Tu me montres ta salle de bain, s'il te plait !".
"Bien sur ! Ma petite chatte !".
Je le regarde, puis me rappelle que c'est moi qui lui ai demandé de me traiter comme une femelle.
Je lui fais un grand sourire et le suis.
Il passe une main entre mes fesses et me conduit à la petite pièce.
"Voilà ! Et tu te prépares bien pour ce soir !".
"T'en as pas eu assez ?".
"Je plaisante ! Mais qui sait ?".
Je sors assez vite pour ne pas le faire attendre, il n'a pas mangé, lui non plus.
Nous choisissons de prendre un sandwich américain et des frites, pour le manger en marchant.
Ensuite, on prend un verre, dans un bar qu'il fréquente, ou il me présente comme un jeune collègue de travail.
On rentre vers 23 h, toute la soirée, je lui ai caché la gêne anale que ses défonces m'avait provoqué en retenant un besoin de flatulence qui pourrait aussi éjecter du jus anal, ce qui est très gênant.
Il se déshabille en premier pour se coucher, je me met nu et le rejoins dans le lit.
On est l'un et l'autre, face à face, nous nous câlinons longuement.
"J'ai eu envie de t'embrasser toute la soirée, surtout au bar !". Me dit il.
"Ils ne savent pas que tu es gay ?".
"Non ! En plus, je suis arabe ! Alors tu ne t'imagines pas, ce que penserait ma famille !".
"Tu es musulman ?".
"Ah, ah ! Non, sinon, j'aurai pas mangé la pizza !".
"Ah, c'est vrai !".
Il passe sa main derrière ma nuque et attire mon visage vers le sien.
Notre baiser est très doux.
Il dirige ma main vers sa queue, il bande !
"Non ! Kaddour ! T'es insatiable !".
"C'est toi qui me fait ça ! J'y peux rien ! Allez ! Juste un petit coup avant de dormir !".
"Tu sais pas ce que c'est ! Un petit coup !".
"C'est toi qui me baise ! Comme ça, je viendrai plus vite !".
Il attrape ma bouche en m'embrassant vicieusement, puis me place au dessus de lui.
Son énorme membre est collé à mon œillet. Il me demande:
"Tu veux que je te mettes un peu de salive ?".
"Euh, je crois que tu n'en auras pas besoin ! Laisses moi faire !".
Je passe ma main derrière moi pour tenir sa queue contre mon anus.
Puis, je pousse sur mon sphincter pour me libérer d'une flatulence.
Une grosse quantité de sécrétions pollue le gland de Kaddour, je profite de ce lubrifiant naturel pour me l'enfoncer d'une traite, jusqu'au fond de l'anus.
"Oh ! Putain, il est génial ton cul ! J'adore !".
"Arhhhhhhhhhh ! Oh putain ! Kaddour, c'est tellement sensible quand on recommence ! Arhhhhhhhhhh !".
"Vas y, baise moi avec ta chatte ! Fais toi plaisir !".
Chose promise, chose due, je suis sa femelle, je dois lui offrir ma "chatte", comme il aime appeler mon cul.
Je prend appui sur son torse de mes mains, et avec mes pieds sur ses cotés et je me détruit encore le cul comme une chienne en chaleur.
"Ahhhh ! Ouais, vas y ! Salope ! Donne moi ta chatte ! Oui, encore ! Oh ! Qu'est ce que tu me limes bien la bite !".
"Kaddour ! Tu me rends dingue, je joui ! Arhhhhhhhhhh !".
Mon cul produit énormément de jus anal, mon corps fait de nombreux bruits de flaques sur son pubis maculé.
Ses couilles sont trempées.
Il m'accompagne dans mes mouvements incessants.
"Oh, Pascal ! Tu me baises trop bien ! Continues ! Je prend mon pied ! T'es la plus belle salope que j'ai jamais baisé !".
Il s'excite de l'excédent de jus d'anus qui coule entre ses cuisses, et il me dit que mes cris de plaisir le rendent fou.
Finalement, c'est moi qui avait raison, il ne montre des signes de faiblesses qu'au bout de 25 minutes de destruction de ma "chatte".
Il se met à grogner enfin, il mord ses lèvres et se cambre sous moi.
Il me remplit le cul en subissant des soubresauts dans tout le corps.
Je ne m'arrêterai que lorsque, je serai sur qu'il m'ait tout donné de sa semence.
Je m'empale encore et encore, puis il se détend, il a l'air vidé de toute substance sexuelle.
"Oh ! Stop ! tu m'as vidé ! Oh putain ! Qu'est-ce que j'ai bien joui encore !".
"C'est vrai ? Ca t'as plu ?".
"Ohhhhhhhhhh ! Oui ! Et toi tu as pris ton pied ?".
"Oui, plusieurs fois, mais tu l'as vu !".
"Oui, ma petite chatte ! Tu m'as rendu fou ! Tu t'en es rendu compte ?".
"Oui, mais j'adore !".
Je me soulève lentement de son énorme sexe, en me plaignant.
"Ouhhh ! Putain ! Mon pauvre petit cul ! Au fait, ça t'as pas dégouté que je coule sur ta bite avant que tu m'encules ?".
"Non ! Au contraire ! C'est pratique ! Tu t'es empalé d'un coup, c'est génial !".
"Ouais, et de toute façon, c'est à cause de toi et ta grosse bite ! Tu me perturbes le cul !".
Je le vois sombrer, petit à petit, en me parlant.
Je me lève pour me nettoyer l'anus.
A mon retour, il est endormi, je lui fais une toilette sommaire de sa bite sans le réveiller, avec une serviette et ma bouche un petit peu, puis je me couche contre lui en posant son bras autour de moi.
Il m'a tellement épuisé que j'ai fait le tour du cadran.
"Pascal ! Ma petite chatte ! Coucou, réveille toi !".
Kaddour me dévore l'anus et me dit à nouveau à voix basse:
"Ma petite salope ! On se lève !".
Il replonge entre mes fesses, je serre alors mon anus pour ne pas laisser échapper des restes de jus de la veille.
"Non ! Kaddour, arrêtes ! Sinon, je vais avoir un accident !".
"Ok, tu veux déjeuner ?".
"Oui, je veux bien un café, d'abord ! Merci !".
Il m'apporte la boisson alors que je suis encore couché.
Je la bois lentement puis, je me lève précipitamment pour me rendre aux toilettes.
Mes bruits révèlent à mon amant que je subis les effets de ses assauts répétitifs.
Je reviens pour terminer de déjeuner avec lui, puis je me rends sous la douche.
Il me rejoint et me demande de le laisser me faire un double lavement anal.
Il en profite pour m'enculer encore, aussitôt après, puis il éjacule dans ma gorge.
La journée commence idéalement, je viens de connaitre une longue série d'orgasmes anaux.
Il me fait visiter la ville toute l'après midi, j'apprécie qu'il ne m'emmène pas dans un lieu chaud comme le faisait Pierre.
Je lui fait remarquer:
"Merci Kaddour, j'apprécie que tu ne m'emmènes pas au fort ou un endroit similaire, comme Pierre".
"Non, je préfères te garder pour moi ! Tu m'appartiens ! N'oublies pas !".
"Ben, avec tout ce que tu me mets, je risque pas d'avoir besoin d'aller ailleurs ! Et puis c'est toi ! Mon "homme" !".
"Tant mieux ! Tu ne vas plus le rappeler ?".
"Je ne sais pas ! J'ai pas aimé sa réaction sur le retour !".
"On est d'accord ! s'il l'avait fait aujourd'hui, après les deux jours qu'on a vécu, je lui casserai la gueule !".
"Merci, mais y a rien de grave ! Ca me trouble, ce que tu me dis !".
"Faut pas faire de mal à mon petit Pascal ! T'es ma petite chatte, rien qu'à moi!".
Même si je me sens piégé par cette relation, je m'en fous, je m'épanouis sexuellement et psychiquement avec kaddour.
Il révèle ma féminité cachée, sans que j'ai besoin d'en prendre les manières exubérantes, je reste masculin à l'extérieur, et je trouve ça agréable.
"Mais ! A propos de Pierre ! Qui c'est l'autre type que tu appelles Lieutenant ? Tu as l'air de bien le connaitre !".
"C'est avec lui que j'ai eu ma première relation sexuelle ! J'étais puceau en entrant à l'armée, c'est lui qui a fait de moi, la salope que je suis !".
"Mais, tu as quel âge ?".
"Je vais avoir 22 ans ! Pourquoi ?".
"Putain, je te donnais à peine 18 ans ! Et t'as beaucoup baisé à l'armée ?".
"Euh, oui pas mal, Le lieutenant m'a introduit dans son milieu de copains homo et bi, j'ai du avoir près d'une quarantaine d'amants, plus une cinquantaine en deux après-midi, au cinéma porno de Marseille ! Ca fait bizarre de passer du timide puceau à la pute du camp d'entrainement militaire ! Je me faisais enculer quasiment tous les jours ! Souvent par plusieurs soldats ! Presque toujours des gradés !".
"Putain ! T'as pas eu mal, la première fois ?".
"Non ! Mais en fait, je m'enculais déjà avec des objets, depuis mon enfance ! Mon premier orgasme du cul, c'était avec un gros manche de marteau !".
"Mais t'es un vrai homo, alors ! Pourquoi tu aimes les filles ?".
"Parce qu'un homme est moins beau qu'une fille ! Les formes d'une jolie femme, c'est magnifique !".
"Oui, mais elle n'ont pas de queue pour te baiser !".
"C'est le problème !".
"Tant mieux pour moi !".
En fin d'après-midi, il me demande:
"Bon, ma petite salope ! Ca te dis que je te défonce la chatte ! C'est trop dur de regarder ton beau cul cambré, j'en peux plus !".
"Hummm, j'attendais que tu me le demandes ! Viens, on rentre chez toi ! moi aussi, j'ai envie de mon homme !".
Il m'a possédé encore, pendant plus d'une heure, en me faisant éjaculer sans me toucher, comme toujours.
J'ai abondamment giclé sur son sol aussi, il est l'un des rares à m'avoir provoqué cette réaction d'écoulement, pendant la sodomie.
Nous avons ensuite, recommencé avant de nous endormir.
Les jours suivants, il ne m'a enculé que l'après midi et le soir, mais toujours aussi intensément et puissamment.
Je me suis fait plaisir en lui dévorant la queue, certaines matinées, j'adorais avaler son jus chaud avant de me lever.
Il avait aussi découvert un petit jeu: Après m'avoir défoncé une première fois dans la journée, avec ses 23 x 5,5 cm, il pointait son énorme gland contre mon anus pour m'enculer et me demandait:
"Vas y, pousse ! Mets moi du jus de chatte !".
Je le maculait de mon jus anal, causé par sa dernière sodomie et il me pénétrait d'une traite en me faisant hurler de plaisir.
Lors de mon retour chez mes parents, à la fin de la semaine, j'ai ressenti un gros manque de Kaddour.
Mais il me fallait retrouver une vie normale, surtout au niveau de mon anus, et il devait reprendre son boulot.
Toutefois, je n'oubliai pas que je restais sa femelle, et je lui réserve désormais tout mes Week ends ou je serais sans ma copine.
Je retrouverai Pierre, mais cette fois, malgré d'autres retrouvailles agréables avec le lieutenant et d'autres complices, j'ai encore subi ses envies de me donner à d'autres hommes dans un lieu chaud, le lendemain.
C'était trop, je ne l'ai plus rappelé.
Je pouvais me consacrer à ma copine et à Kaddour.
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