Sex Friend
Récit érotique écrit par Alain40 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sex Friend
Jade. C'est son nom.
Ce n'est ni une amie, ni mon amie.
C'est ma sex friend. Une amie pour le sexe, avec du sexe, avec nos sexes dans tous les états...
Voilà,vous savez qui on est.
Nous faisons partie du même groupe de potes et un lien particulier s'est tissé entre nous.
Trop chiante pour que je veuille être avec elle, mais trop sensuelle pour n'être que copains !!
On a donc fait un choix... le sexe quand on en a envie, où on veut, mais jamais avec nos amis communs.
On a trouvé un code. Quand on s'appelle on se dite soit « salut », soit « coucou ». Salut c'est juste par amitié. Dans le deuxième cas, on sait que l'on va décoller très très haut.
Alors autant vous dire que quand je vois son numéro apparaître sur mon portable, le suspense du premier mot est terrible.
Ce matin là, elle m'appelle, puis me dit … vous avez deviné quoi... Deux syllabes identiques...
Elle voulait qu'on fasse une virée parisienne dans ce mois de juin, moite et doux.... Moite et doux ; cela ne qualifie pas que le temps....
Que me préparait elle encore ?
On arrive en même temps au niveau de la fontaine Saint-Michel..
Une jupe en satin habille ses longues jambes ; un débardeur trop petit pour me laisser raisonnable coiffe sa généreuse poitrine ; et des ballerines plates pour pas m'écraser de sa grande taille.
Ses cheveux sont libérés et volent sous de petites brises estivales.
Elle arrive à ma hauteur, me met une main aux fesses, me toise du regard et me dit « ta langue m'a manqué » et me roule une belle galoche indécente... Je me laisse faire et présume que la soirée va être des plus agréables.
Elle me dit : « je vais t'allumer pendant deux heures. Tu auras le droit de bander, de me faire ce que tu veux, mais si tu éjacules dans ce laps de temps, je me barre et te laisse en plan. ».
On se dirige vers les quais au travers des vielles ruelles centenaires de Paris. Devant une porte cochère, elle s'arrête, se bloque contre la porte et commence son petit jeu coquin... Elle soulève sa jupe, retire son string et le garde entre les dents.De l'index, m'indique de venir vers elle.
Index pour index, je prends le mien et lui caresse son sexe avant de le lui planter et de la faire sursauter....Elle me mord le cou ! Je le lui plante alors plus en profondeur... Elle plonge sa main dans mon jean... Elle ne fut pas surprise de me sentir libre de tout dessous.
Avec Jade, on baise partout. A n'importe quel moment... donc pour des raisons pratiques (et érotiques) j'ai bien compris qu'un caleçon était superflu ?
Elle commence à me branler fort. Je lui demande d'arrêter sinon je ne tiendrai pas deux heures (ca ne faisait que dix minutes).
Et je la connais cette malicieuse vicieuse... Si ce n'est pas moi qui la fait arrêter, c'est elle qui me me fera venir. Et perdre ma soirée !!!
Alors je m'agenouille, la retourne et lui lèche goulûment sa délicate vulve. Mon doigt fait marche arrière sur son arrière souple. Elle n'aime pas que je lui chatouille cette zone... enfin au début ! Un doigt dans chaque orifice sont autant d'odeurs, de textures, de touchers, de visions et de goûts différents ; est-ce cela l'éveil des sens, des cinq sens ? Avoir envie de jouir, sans se faire toucher:voilà ce que je ressens, c'est rare pour un homme.
On entend du bruit et vite on fiche le camp, déjà essoufflés et rouges de frottement cutanés..
Cet apéro passé, on se dirige prendre un verre.
Le bar est bondé, mais on trouve une petite table. On est assis côte à côte.
Elle me dit d'ouvrir son sac...
J'y découvre un petit god rouge.
Elle écarte un peu les jambes et me demande d'oser.
J'ose...
L'engin est petit, et son sexe ouvert...
Je fais genre de regarder partout, d'avoir l'air le plus normal et détaché pendant que je la branle....
Je lui parle en attendant... Je lui dit que j'aimerai la prendre sur les quais de seine, qu'elle est belle, que j'ai envie d'elle et de son corps... Mes mots augmentent son plaisir.
Elle me répond un peu essoufflée que j'ai encore 90 minutes à tenir... évidemment sa main me branlant à nouveau...
Elle me dit : « met ta queue dans ma bière, je la boirai ensuite d'un trait... » Une bière cirpine ! Je lui fais ce plaisir et ai bien peur que nos voisins de tables nous aient vu faire. Quand ils la voient lever ses yeux au ciel, ils en ont la certitude de ce qui vient de se passer...On paie, puis on fait un deuxième bar... comment dire, un bar avec des messieurs et es dames tout nus.
Elle sait que je n'aime pas ça... Ils sont vieux, elles sont moches, et ne semblent pas prendre tant de plaisirs... L'endroit est glauque.
Elle insiste pour qu'on y reste.le temps d'exciter les regards affûtés... Et elle sait ce qu'elle veut.... Elle me demande de m'asseoir sur la banquette, m'ouvre mon jean... Elle met ses deux pied sur la banquette, puis s'empale sur mon membre. Je débande à cause des regards lubriques, mais reste bien dur car je la sens excitée. Elle saute sur moi avec des cris simulés. Elle non plus n'est pas excitée. Elle veut juste jouer. Elle veut que je lui ôte son débardeur et lui malaxe ses seins. J'aurais pas tout perdu.
Ils ont compris qu'ils ne pourraient la toucher, alors ils se touchent eux -mêmes. Elle me susurre « ne viens pas : laisse les me mater, quand quatre d'entre eux auront joui, promis on s'en ira ».
Les pervers en ronde autour de nous se font leurs petits plaisirs et lancent leurs jets dégoûtants... Merde, un m'a éclaboussé !! J'aime vraiment pas les hommes.
Elle se marre et met fin à mon supplice un fois ces mecs sans sex friend attitrée, s'être libérés de leurs frustrations. Cinquante euros pour vingt minutes tristes !! Que ne ferais-je pas pour elle ?
Encore 54 minutes me dit-elle.
Elle ne semble même pas avoir apprécié cette séance. Elle est juste contente de ce qu'elle a fait, par défi, par jeu.
Nous voilà sur les quais, loin de la cohue du Quartier Latin.
33 minutes encore....
Elle se met à l'abri... se déshabille sans prévenir et me demande de la filmer avant de me déboutonner...On entend des pas mais on est cachés derrière une grosse colonne.
Elle se caresse ses tétons rosés, laisse ses doigts jouer le long de sa chatte.Elle me dit de venir la goutter...
Elle aurait dû me dire de venir la boire, tellement elle est mouillée. Puis c'est elle qui prend le téléphone pour me filmer.. Elle veut que je me touche !
Que lui refuser !!!
J'ouvre les boutons de ma chemise et descend mon pantalon sur les chevilles.
23 minutes...
Je me caresses les bourses, puis commence à me branler.. je ferme les yeux pour faire comme dans mon fauteuil... Elle se mord les lèvres. Elle apprécie le show. Sa bouche remplace ma main.
19 minutes... je ne vais pas tenir...
Il est deux heures du matin, et j'ai perdu mon pari...
Je lui décharge tout... Le sol de Paris ne sera pas souillé de mon sperme... Il n'en reste pas une seule goutte !
Elle me sourit,se rhabille et me dit que c'est tant tant pis pour moi... Elle veut se casser.
Elle voit son portable et s'écrie, « ah pardon !! ». Elle s'excuse et croyait que j'avais perdu. Le temps est passé si vite...
J'ai le droit de rentrer chez elle et de passer une folle nuit à ses côtés....
Quand elle se rendra compte que j'ai changé l'heure sur son téléphone pour gagner son pari...
Ce n'est ni une amie, ni mon amie.
C'est ma sex friend. Une amie pour le sexe, avec du sexe, avec nos sexes dans tous les états...
Voilà,vous savez qui on est.
Nous faisons partie du même groupe de potes et un lien particulier s'est tissé entre nous.
Trop chiante pour que je veuille être avec elle, mais trop sensuelle pour n'être que copains !!
On a donc fait un choix... le sexe quand on en a envie, où on veut, mais jamais avec nos amis communs.
On a trouvé un code. Quand on s'appelle on se dite soit « salut », soit « coucou ». Salut c'est juste par amitié. Dans le deuxième cas, on sait que l'on va décoller très très haut.
Alors autant vous dire que quand je vois son numéro apparaître sur mon portable, le suspense du premier mot est terrible.
Ce matin là, elle m'appelle, puis me dit … vous avez deviné quoi... Deux syllabes identiques...
Elle voulait qu'on fasse une virée parisienne dans ce mois de juin, moite et doux.... Moite et doux ; cela ne qualifie pas que le temps....
Que me préparait elle encore ?
On arrive en même temps au niveau de la fontaine Saint-Michel..
Une jupe en satin habille ses longues jambes ; un débardeur trop petit pour me laisser raisonnable coiffe sa généreuse poitrine ; et des ballerines plates pour pas m'écraser de sa grande taille.
Ses cheveux sont libérés et volent sous de petites brises estivales.
Elle arrive à ma hauteur, me met une main aux fesses, me toise du regard et me dit « ta langue m'a manqué » et me roule une belle galoche indécente... Je me laisse faire et présume que la soirée va être des plus agréables.
Elle me dit : « je vais t'allumer pendant deux heures. Tu auras le droit de bander, de me faire ce que tu veux, mais si tu éjacules dans ce laps de temps, je me barre et te laisse en plan. ».
On se dirige vers les quais au travers des vielles ruelles centenaires de Paris. Devant une porte cochère, elle s'arrête, se bloque contre la porte et commence son petit jeu coquin... Elle soulève sa jupe, retire son string et le garde entre les dents.De l'index, m'indique de venir vers elle.
Index pour index, je prends le mien et lui caresse son sexe avant de le lui planter et de la faire sursauter....Elle me mord le cou ! Je le lui plante alors plus en profondeur... Elle plonge sa main dans mon jean... Elle ne fut pas surprise de me sentir libre de tout dessous.
Avec Jade, on baise partout. A n'importe quel moment... donc pour des raisons pratiques (et érotiques) j'ai bien compris qu'un caleçon était superflu ?
Elle commence à me branler fort. Je lui demande d'arrêter sinon je ne tiendrai pas deux heures (ca ne faisait que dix minutes).
Et je la connais cette malicieuse vicieuse... Si ce n'est pas moi qui la fait arrêter, c'est elle qui me me fera venir. Et perdre ma soirée !!!
Alors je m'agenouille, la retourne et lui lèche goulûment sa délicate vulve. Mon doigt fait marche arrière sur son arrière souple. Elle n'aime pas que je lui chatouille cette zone... enfin au début ! Un doigt dans chaque orifice sont autant d'odeurs, de textures, de touchers, de visions et de goûts différents ; est-ce cela l'éveil des sens, des cinq sens ? Avoir envie de jouir, sans se faire toucher:voilà ce que je ressens, c'est rare pour un homme.
On entend du bruit et vite on fiche le camp, déjà essoufflés et rouges de frottement cutanés..
Cet apéro passé, on se dirige prendre un verre.
Le bar est bondé, mais on trouve une petite table. On est assis côte à côte.
Elle me dit d'ouvrir son sac...
J'y découvre un petit god rouge.
Elle écarte un peu les jambes et me demande d'oser.
J'ose...
L'engin est petit, et son sexe ouvert...
Je fais genre de regarder partout, d'avoir l'air le plus normal et détaché pendant que je la branle....
Je lui parle en attendant... Je lui dit que j'aimerai la prendre sur les quais de seine, qu'elle est belle, que j'ai envie d'elle et de son corps... Mes mots augmentent son plaisir.
Elle me répond un peu essoufflée que j'ai encore 90 minutes à tenir... évidemment sa main me branlant à nouveau...
Elle me dit : « met ta queue dans ma bière, je la boirai ensuite d'un trait... » Une bière cirpine ! Je lui fais ce plaisir et ai bien peur que nos voisins de tables nous aient vu faire. Quand ils la voient lever ses yeux au ciel, ils en ont la certitude de ce qui vient de se passer...On paie, puis on fait un deuxième bar... comment dire, un bar avec des messieurs et es dames tout nus.
Elle sait que je n'aime pas ça... Ils sont vieux, elles sont moches, et ne semblent pas prendre tant de plaisirs... L'endroit est glauque.
Elle insiste pour qu'on y reste.le temps d'exciter les regards affûtés... Et elle sait ce qu'elle veut.... Elle me demande de m'asseoir sur la banquette, m'ouvre mon jean... Elle met ses deux pied sur la banquette, puis s'empale sur mon membre. Je débande à cause des regards lubriques, mais reste bien dur car je la sens excitée. Elle saute sur moi avec des cris simulés. Elle non plus n'est pas excitée. Elle veut juste jouer. Elle veut que je lui ôte son débardeur et lui malaxe ses seins. J'aurais pas tout perdu.
Ils ont compris qu'ils ne pourraient la toucher, alors ils se touchent eux -mêmes. Elle me susurre « ne viens pas : laisse les me mater, quand quatre d'entre eux auront joui, promis on s'en ira ».
Les pervers en ronde autour de nous se font leurs petits plaisirs et lancent leurs jets dégoûtants... Merde, un m'a éclaboussé !! J'aime vraiment pas les hommes.
Elle se marre et met fin à mon supplice un fois ces mecs sans sex friend attitrée, s'être libérés de leurs frustrations. Cinquante euros pour vingt minutes tristes !! Que ne ferais-je pas pour elle ?
Encore 54 minutes me dit-elle.
Elle ne semble même pas avoir apprécié cette séance. Elle est juste contente de ce qu'elle a fait, par défi, par jeu.
Nous voilà sur les quais, loin de la cohue du Quartier Latin.
33 minutes encore....
Elle se met à l'abri... se déshabille sans prévenir et me demande de la filmer avant de me déboutonner...On entend des pas mais on est cachés derrière une grosse colonne.
Elle se caresse ses tétons rosés, laisse ses doigts jouer le long de sa chatte.Elle me dit de venir la goutter...
Elle aurait dû me dire de venir la boire, tellement elle est mouillée. Puis c'est elle qui prend le téléphone pour me filmer.. Elle veut que je me touche !
Que lui refuser !!!
J'ouvre les boutons de ma chemise et descend mon pantalon sur les chevilles.
23 minutes...
Je me caresses les bourses, puis commence à me branler.. je ferme les yeux pour faire comme dans mon fauteuil... Elle se mord les lèvres. Elle apprécie le show. Sa bouche remplace ma main.
19 minutes... je ne vais pas tenir...
Il est deux heures du matin, et j'ai perdu mon pari...
Je lui décharge tout... Le sol de Paris ne sera pas souillé de mon sperme... Il n'en reste pas une seule goutte !
Elle me sourit,se rhabille et me dit que c'est tant tant pis pour moi... Elle veut se casser.
Elle voit son portable et s'écrie, « ah pardon !! ». Elle s'excuse et croyait que j'avais perdu. Le temps est passé si vite...
J'ai le droit de rentrer chez elle et de passer une folle nuit à ses côtés....
Quand elle se rendra compte que j'ai changé l'heure sur son téléphone pour gagner son pari...
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