Sex machine
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sex machine
Une fois arrivés à la voiture, on décida, vu l’heure tardive, de rester tous les trois en slips jusqu’à l’appart.
Paulo, durant le reste du trajet, n’arrêta jamais de nous caresser le slip ou dans le slip, de nous embrasser, de nous titiller les tétons, de nous suçoter la queue… Dans son slip, sa bite était déjà toute raide, prête à resservir, pour notre plus grand plaisir.
Il se mit en tête d’affoler Rémi qui conduisait en lui titillant les tétons puis en descendant brusquement dans son slip. Rémi ne faisait pas d’embardées mais il accélérait pas mal sous l’effet de l’excitation. Les voitures se faisaient de plus en plus rares sur l’autoroute.
Pour qu’on puisse rentrer à bon port - et surtout parce que j’en avais envie -, je me mis à le sucer avec beaucoup de conviction. Paulo se laissa faire bien volontiers, empoignant ma tête ou relevant son bassin en cadence. J’adore avoir sa bite en bouche.
Malheureusement, on arrive à l’appart. Vu l’heure très avancée de la nuit, on décide de monter en slips au troisième. Peu de chances de croiser quelqu’un dans l’ascenseur. Arrivés sur notre palier…Bingo ! Notre voisine d’en face sort avec un petit copain - un nouveau ? -. Elle, ça la fait bien rigoler - elle nous connaît -, lui, on a nettement vu qu’il a marqué un temps d’arrêt un poil trop long sur la vue de nos slips bien gonflés – surtout celui de Paulo -. Serrai-il bi ? Mignon en tous cas…On entre. Les voisins, Fabrice et Paul sont accoudés à leur balcon, en slips aussi et nous font signe de la main. Paulo nous demande si on peut lui faire prendre une douche avant d’aller au lit. C’est demandé si gentiment. Ca nous fait fondre Rémi et moi. On décide de s’en occuper comme de notre grand bébé. On le prépare bien sûr à la suite de la nuit. Des caresses, des léchouilles, des papouilles, des bisous, je ne sais pas s’il en a jamais reçu autant en un temps si court. On se félicite tous les deux avec Rémi en se disant qu’on a VRAIMENT UN BEAU BEBE. On lui propose même un petit rafraîchissement de sa toison au rasoir mécanique. Séchage, parfumage et …hop ! Au lit !
Comme Paulo a un sacré paquet d’heures d’avion dans les jambes, on décide, avec Rémi, de s’occuper de lui. Il est peut être crevé mais, depuis qu’il a atterri, il a déjà joui une fois et …il bande encore. Rémi décide commencer à le stimuler - en a-t-il vraiment besoin ? -, en commençant par sa bite. Il promène ses longs cheveux pendants sur sa tige qui frémit. Jolie caresse. Puis il effleure de ses lèvres charnues et mouillées la hampe de Paulo, descendant vers ses couilles qu’il se met à titiller du bout de sa langue. Je commence à filmer en vidéo. Il me demande d’aller chercher la « love technology » de Paulo, à savoir un anneau vibrant qu’il enfile délicatement jusqu’à la base de la bite de Paulo.
Je vois la bite de Paulo se tendre, se durcir de plus en plus, baver littéralement de mouille. Un petit filet de cyprine descend jusqu’à son ventre. Rémi va alors souffler le chaud sur différentes parties du bas ventre de Paulo. Son périnée, le bas de ses couilles, la base de sa hampe, le frein du prépuce, le bout de son gland. Paulo est au nirvana. Puis il actionne l’anneau, en vitesse 1. Rémi me demande si je veux bien offrir ma bite aux lèvres de Paulo. Tu parles !
Le voilà donc « stimulé » de deux endroits en même temps. Je promène mon gland humide sur ses orbites, sur ses narines, sur ses lèvres et, aussitôt, je me retire. J’ai bien compris le petit jeu du chat et de la souris pour faire monter la tension sexuelle. Pour rire, il cherche à me gober la bite quand elle passe à proximité. Il va finir par réussir à me gober une couille au vol. Du coup, je n’insiste plus et le laisse me la suçoter goulûment.
Puis, Rémi imagine encore une autre disposition. Il relève le cul de Paulo au maximum en glissant coussins sur coussins sous ses fesses. Voilà maintenant Paulo carrément à l’oblique. Il me demande de venir le rejoindre. En me dirigeant vers lui, j’aperçois nos deux voisins, toujours à leur balcon, qui n’en perdent pas une miette. A tour de rôle, on va s’occuper de son gland et de sa rondelle. Je viens chercher du précum sur son gland et, de ma langue pointée, je cherche à lui forcer la rondelle. Rémi lèche son gland comme s’il s’agissait d’une glace avec ses parfums préférés. Paulo, les bras en croix, râle doucement de plaisir. Rémi lui passe l’anneau vibrant en vitesse 2 puis 3.
« -I would like you to make love to me… » (J’aimerais que tu me fasses l’amour, me demande –t-il )Comment résister à une telle demande ? Rémi, plein de délicatesse et de compréhension réenfile son slip, sort de la chambre, va sur le balcon et entame la discut avec les voisins d’en face. Je ne doute pas une seule seconde que lui comme eux ne jettent de temps à autre - ou même souvent -, un coup d’œil sur la chambre éclairée et nos ébats.
Je me mets à le « préparer ». Paulo se laisse faire. Alors, tout en douceur, je commence par lui titiller la rondelle avec ma langue pointée. Paulo m’aide en écartant ses globes de ses deux mains. Je vois nettement son trou s’entrebailler, ma langue y fourrage d’autant plus facilement. Il me chuchote que c’est trop trop bon. Puis je me détache et commence à lui enduire le trou de gel. Bientôt, je lui passe un doigt que je tourne, puis deux. Je passerai mes trois doigts juste après. Mais Paulo se dilate très très facilement et rapidement.
Alors, je vais lui ôter tous ses coussins, lui écarter les jambes relevées et m’allonger sur lui, cherchant sa bouche avec mes lèvres et son trou avec mon gland. Quand je passe mon gland - facilement -, je glisse ma langue dans sa bouche. J’essaie de synchroniser les deux progressions, même si ma langue est moins longue que ma bite. Je ne m’y tiens pas longtemps car j’ai trop envie de l’embrasser amoureusement après toute cette séparation.
Paulo m’a enlacé et me serre à me rompre. Je sens ma bite glisser lentement en lui. J’adore ce moment plus que tout. On va ainsi rouler plusieurs fois sur le lit, enchassés l’un dans l’autre, serrés à ne faire qu’un, ivres de joie de s’être retrouvé. Il me dévore littéralement la bouche. Je sens sa chaude langue virevolter contre la mienne. J’agrippe ses cheveux, je griffe son dos, je tire ses fesses vers moi. Je suis au comble du bonheur. Lui aussi a l’air aux anges. Il me sourit de ses grands yeux, retire sa langue, se recule un peu pour mieux me voir et replonge aussitôt dans ma bouche. Lui aussi m’a empoigné le cul et me tire vers lui.
« -Paulo, I want to make love to you, as best Ican…Like never… ( Paulo je veux te faire l’amour le mieux possible… Comme jamais…)-I dream of it for so long ! » ( J’en rêve depuis si longtemps !)Je vais essayer de déployer le grand jeu de toutes mes expériences passées. Mais, surtout, je vais essayer de lui donner de la tendresse. Alors, complètement en lui, je ne bouge plus, je ne fais que le caresser partout, partout, lentement, langoureusement, en lui chuchotant des torrents de mots doux… en français ! Ca le fait sourire doucement. Il ne comprend pas les mots mais il en comprend très bien le sens général. J’imagine qu’on va rester dans cette position - le missionnaire – jusqu’au bout. Elle permet beaucoup d’échanges et de tendresse. Imperceptiblement, je commence à bouger très très lentement en lui. Il le sent et me dit qu’il adore ce mouvement si lent. Je vais continuer à la même vitesse sur toute la longueur de ma pine, allant jusqu’à la sortir carrément. Aussitôt, il bouge un peu pour se réempaler doucement. P… que c’est bon !
« -é bom ! é bom !! » répète-t-il en boucle.
Je vais lui en donner de la douceur et de la lenteur ! Je décide de garder le même rythme le plus longtemps que je pourrais, ou qu’il voudra. On passe ainsi un super moment d’infinie douceur. De temps à autre, Rémi passe une tête et demande si tout va bien. Oui, Rémi, tout va très bien.
Mine de rien, par paliers, j’accélère très légèrement la cadence de mon va et vient. Mais, on est encore très loin du déchaînement final.
« -Gosto de sentir seu pau deslizando dentro de mim assim ! » Euh, là va falloir traduire ! In english, please !
« -I love to feel your cock sliding inside me like this ! » ( J’adore sentir ta bite glisser ainsi en moi !)Paulo a toujours eu les mots qu’il fallait, en toutes circonstances. J’accélère encore un peu et, surtout, je reste sur la même vitesse. C’est Rémi qui m’a appris ça - un souvenir de son voyage initiatique en Inde -. Paulo a croisé ses jambes autour de ma taille et accompagne parfaitement mes coups de bite de mouvements de son bassin. Il se régale et moi aussi. J’aimerais bien arriver à le faire jouir du cul, enfin de la prostate plutôt. Ca serait la cerise, pour son retour. Il a fermé les yeux, entrouvert sa bouche et se laisse complètement aller, centré sur son plaisir. My god ! Quelle chance j’ai de pouvoir le chevaucher ainsi ! Maintenant, il a dénoué ses jambes et les relève en les écartant. On dirait une fleur qui s’ouvre. Je lui suçote des doigts de pieds au passage.
Je vais continuer à le limer ainsi pendant un temps très très long qui me parut tout à fait délicieux. Est-ce parce que j’avais déjà joui peu de temps avant, est ce parce que je voulais donner à Paulo un max de plaisir, toujours est il que je ne n’avais jamais duré autant avec Paulo. Qui s’en plaindra ? Pas Paulo qui me parait de plus en plus aux anges. Il est parti dans un doux râle continu de plaisir avec parfois des pointes quand je donne un coup de bite plus fort.
J’accélère encore, lové entre les cuisses de mon amant. Je glisse de mieux en mieux sur le ventre de Paulo car je suis maintenant couvert de sueur.
Je sens que je vais venir. Je le dis à Paulo. Il me dit de me retirer pour l’inonder de mon sperme. Dans un grand cri de rut, je lâche trois jets brûlants sur son ventre, son torse et jusqu’à son menton. Puis je le réempale aussitôt pour ralentir mon pilonnage.
Non, je n’ai pas réussi pour cette fois à le faire chavirer au septième ciel. Il me console en me disant que ce sera pour une autre fois et qu’il abeaucoup beaucoup aimé quand même. Il récupère mon sperme avec sa main et me l’applique sur mon visage et sur son visage. On s’embrasse longuement.
Alors seulement, Rémi vient nous rejoindre pour se coucher à nos côtés.
« -C’était bien ?
-Plus que ça… » On s’endort rapidement.
En me relevant la nuit, pour aller aux toilettes, je remarque que la salle de bains est éteinte. La porte étant légèrement entrebaillée, je jette un œil. En fait, pas besoin. Car j’entends déjà des soupirs qui m’en disent long. Voyons voir quand même. Paulo et Rémi sont dans la douche. Rémi est accroché par ses jambes à la taille de Paulo et appuyé contre le mur -ma position favorite -. Paulo le pilonne lentement par en dessous. Rémi a l’air de beaucoup apprécier. Insatiable Paulo. C’est déjà la deuxième fois qu’il baise cette nuit. Je préfère ne pas les déranger. Ca ne me choque pas non plus. Ca fait partie de notre accord à tous les trois.
Dans la nuit, Paulo me reprendra une deuxième fois. Sur le côté, tout en infinie douceur, en essayant de me réveiller le plus tard possible. Ce sera extrêmement doux et lent. Rémi ne se réveillera même pas.
Oui, Paulo est véritablement une « sex machine », comme disait James Brown.
Paulo, durant le reste du trajet, n’arrêta jamais de nous caresser le slip ou dans le slip, de nous embrasser, de nous titiller les tétons, de nous suçoter la queue… Dans son slip, sa bite était déjà toute raide, prête à resservir, pour notre plus grand plaisir.
Il se mit en tête d’affoler Rémi qui conduisait en lui titillant les tétons puis en descendant brusquement dans son slip. Rémi ne faisait pas d’embardées mais il accélérait pas mal sous l’effet de l’excitation. Les voitures se faisaient de plus en plus rares sur l’autoroute.
Pour qu’on puisse rentrer à bon port - et surtout parce que j’en avais envie -, je me mis à le sucer avec beaucoup de conviction. Paulo se laissa faire bien volontiers, empoignant ma tête ou relevant son bassin en cadence. J’adore avoir sa bite en bouche.
Malheureusement, on arrive à l’appart. Vu l’heure très avancée de la nuit, on décide de monter en slips au troisième. Peu de chances de croiser quelqu’un dans l’ascenseur. Arrivés sur notre palier…Bingo ! Notre voisine d’en face sort avec un petit copain - un nouveau ? -. Elle, ça la fait bien rigoler - elle nous connaît -, lui, on a nettement vu qu’il a marqué un temps d’arrêt un poil trop long sur la vue de nos slips bien gonflés – surtout celui de Paulo -. Serrai-il bi ? Mignon en tous cas…On entre. Les voisins, Fabrice et Paul sont accoudés à leur balcon, en slips aussi et nous font signe de la main. Paulo nous demande si on peut lui faire prendre une douche avant d’aller au lit. C’est demandé si gentiment. Ca nous fait fondre Rémi et moi. On décide de s’en occuper comme de notre grand bébé. On le prépare bien sûr à la suite de la nuit. Des caresses, des léchouilles, des papouilles, des bisous, je ne sais pas s’il en a jamais reçu autant en un temps si court. On se félicite tous les deux avec Rémi en se disant qu’on a VRAIMENT UN BEAU BEBE. On lui propose même un petit rafraîchissement de sa toison au rasoir mécanique. Séchage, parfumage et …hop ! Au lit !
Comme Paulo a un sacré paquet d’heures d’avion dans les jambes, on décide, avec Rémi, de s’occuper de lui. Il est peut être crevé mais, depuis qu’il a atterri, il a déjà joui une fois et …il bande encore. Rémi décide commencer à le stimuler - en a-t-il vraiment besoin ? -, en commençant par sa bite. Il promène ses longs cheveux pendants sur sa tige qui frémit. Jolie caresse. Puis il effleure de ses lèvres charnues et mouillées la hampe de Paulo, descendant vers ses couilles qu’il se met à titiller du bout de sa langue. Je commence à filmer en vidéo. Il me demande d’aller chercher la « love technology » de Paulo, à savoir un anneau vibrant qu’il enfile délicatement jusqu’à la base de la bite de Paulo.
Je vois la bite de Paulo se tendre, se durcir de plus en plus, baver littéralement de mouille. Un petit filet de cyprine descend jusqu’à son ventre. Rémi va alors souffler le chaud sur différentes parties du bas ventre de Paulo. Son périnée, le bas de ses couilles, la base de sa hampe, le frein du prépuce, le bout de son gland. Paulo est au nirvana. Puis il actionne l’anneau, en vitesse 1. Rémi me demande si je veux bien offrir ma bite aux lèvres de Paulo. Tu parles !
Le voilà donc « stimulé » de deux endroits en même temps. Je promène mon gland humide sur ses orbites, sur ses narines, sur ses lèvres et, aussitôt, je me retire. J’ai bien compris le petit jeu du chat et de la souris pour faire monter la tension sexuelle. Pour rire, il cherche à me gober la bite quand elle passe à proximité. Il va finir par réussir à me gober une couille au vol. Du coup, je n’insiste plus et le laisse me la suçoter goulûment.
Puis, Rémi imagine encore une autre disposition. Il relève le cul de Paulo au maximum en glissant coussins sur coussins sous ses fesses. Voilà maintenant Paulo carrément à l’oblique. Il me demande de venir le rejoindre. En me dirigeant vers lui, j’aperçois nos deux voisins, toujours à leur balcon, qui n’en perdent pas une miette. A tour de rôle, on va s’occuper de son gland et de sa rondelle. Je viens chercher du précum sur son gland et, de ma langue pointée, je cherche à lui forcer la rondelle. Rémi lèche son gland comme s’il s’agissait d’une glace avec ses parfums préférés. Paulo, les bras en croix, râle doucement de plaisir. Rémi lui passe l’anneau vibrant en vitesse 2 puis 3.
« -I would like you to make love to me… » (J’aimerais que tu me fasses l’amour, me demande –t-il )Comment résister à une telle demande ? Rémi, plein de délicatesse et de compréhension réenfile son slip, sort de la chambre, va sur le balcon et entame la discut avec les voisins d’en face. Je ne doute pas une seule seconde que lui comme eux ne jettent de temps à autre - ou même souvent -, un coup d’œil sur la chambre éclairée et nos ébats.
Je me mets à le « préparer ». Paulo se laisse faire. Alors, tout en douceur, je commence par lui titiller la rondelle avec ma langue pointée. Paulo m’aide en écartant ses globes de ses deux mains. Je vois nettement son trou s’entrebailler, ma langue y fourrage d’autant plus facilement. Il me chuchote que c’est trop trop bon. Puis je me détache et commence à lui enduire le trou de gel. Bientôt, je lui passe un doigt que je tourne, puis deux. Je passerai mes trois doigts juste après. Mais Paulo se dilate très très facilement et rapidement.
Alors, je vais lui ôter tous ses coussins, lui écarter les jambes relevées et m’allonger sur lui, cherchant sa bouche avec mes lèvres et son trou avec mon gland. Quand je passe mon gland - facilement -, je glisse ma langue dans sa bouche. J’essaie de synchroniser les deux progressions, même si ma langue est moins longue que ma bite. Je ne m’y tiens pas longtemps car j’ai trop envie de l’embrasser amoureusement après toute cette séparation.
Paulo m’a enlacé et me serre à me rompre. Je sens ma bite glisser lentement en lui. J’adore ce moment plus que tout. On va ainsi rouler plusieurs fois sur le lit, enchassés l’un dans l’autre, serrés à ne faire qu’un, ivres de joie de s’être retrouvé. Il me dévore littéralement la bouche. Je sens sa chaude langue virevolter contre la mienne. J’agrippe ses cheveux, je griffe son dos, je tire ses fesses vers moi. Je suis au comble du bonheur. Lui aussi a l’air aux anges. Il me sourit de ses grands yeux, retire sa langue, se recule un peu pour mieux me voir et replonge aussitôt dans ma bouche. Lui aussi m’a empoigné le cul et me tire vers lui.
« -Paulo, I want to make love to you, as best Ican…Like never… ( Paulo je veux te faire l’amour le mieux possible… Comme jamais…)-I dream of it for so long ! » ( J’en rêve depuis si longtemps !)Je vais essayer de déployer le grand jeu de toutes mes expériences passées. Mais, surtout, je vais essayer de lui donner de la tendresse. Alors, complètement en lui, je ne bouge plus, je ne fais que le caresser partout, partout, lentement, langoureusement, en lui chuchotant des torrents de mots doux… en français ! Ca le fait sourire doucement. Il ne comprend pas les mots mais il en comprend très bien le sens général. J’imagine qu’on va rester dans cette position - le missionnaire – jusqu’au bout. Elle permet beaucoup d’échanges et de tendresse. Imperceptiblement, je commence à bouger très très lentement en lui. Il le sent et me dit qu’il adore ce mouvement si lent. Je vais continuer à la même vitesse sur toute la longueur de ma pine, allant jusqu’à la sortir carrément. Aussitôt, il bouge un peu pour se réempaler doucement. P… que c’est bon !
« -é bom ! é bom !! » répète-t-il en boucle.
Je vais lui en donner de la douceur et de la lenteur ! Je décide de garder le même rythme le plus longtemps que je pourrais, ou qu’il voudra. On passe ainsi un super moment d’infinie douceur. De temps à autre, Rémi passe une tête et demande si tout va bien. Oui, Rémi, tout va très bien.
Mine de rien, par paliers, j’accélère très légèrement la cadence de mon va et vient. Mais, on est encore très loin du déchaînement final.
« -Gosto de sentir seu pau deslizando dentro de mim assim ! » Euh, là va falloir traduire ! In english, please !
« -I love to feel your cock sliding inside me like this ! » ( J’adore sentir ta bite glisser ainsi en moi !)Paulo a toujours eu les mots qu’il fallait, en toutes circonstances. J’accélère encore un peu et, surtout, je reste sur la même vitesse. C’est Rémi qui m’a appris ça - un souvenir de son voyage initiatique en Inde -. Paulo a croisé ses jambes autour de ma taille et accompagne parfaitement mes coups de bite de mouvements de son bassin. Il se régale et moi aussi. J’aimerais bien arriver à le faire jouir du cul, enfin de la prostate plutôt. Ca serait la cerise, pour son retour. Il a fermé les yeux, entrouvert sa bouche et se laisse complètement aller, centré sur son plaisir. My god ! Quelle chance j’ai de pouvoir le chevaucher ainsi ! Maintenant, il a dénoué ses jambes et les relève en les écartant. On dirait une fleur qui s’ouvre. Je lui suçote des doigts de pieds au passage.
Je vais continuer à le limer ainsi pendant un temps très très long qui me parut tout à fait délicieux. Est-ce parce que j’avais déjà joui peu de temps avant, est ce parce que je voulais donner à Paulo un max de plaisir, toujours est il que je ne n’avais jamais duré autant avec Paulo. Qui s’en plaindra ? Pas Paulo qui me parait de plus en plus aux anges. Il est parti dans un doux râle continu de plaisir avec parfois des pointes quand je donne un coup de bite plus fort.
J’accélère encore, lové entre les cuisses de mon amant. Je glisse de mieux en mieux sur le ventre de Paulo car je suis maintenant couvert de sueur.
Je sens que je vais venir. Je le dis à Paulo. Il me dit de me retirer pour l’inonder de mon sperme. Dans un grand cri de rut, je lâche trois jets brûlants sur son ventre, son torse et jusqu’à son menton. Puis je le réempale aussitôt pour ralentir mon pilonnage.
Non, je n’ai pas réussi pour cette fois à le faire chavirer au septième ciel. Il me console en me disant que ce sera pour une autre fois et qu’il abeaucoup beaucoup aimé quand même. Il récupère mon sperme avec sa main et me l’applique sur mon visage et sur son visage. On s’embrasse longuement.
Alors seulement, Rémi vient nous rejoindre pour se coucher à nos côtés.
« -C’était bien ?
-Plus que ça… » On s’endort rapidement.
En me relevant la nuit, pour aller aux toilettes, je remarque que la salle de bains est éteinte. La porte étant légèrement entrebaillée, je jette un œil. En fait, pas besoin. Car j’entends déjà des soupirs qui m’en disent long. Voyons voir quand même. Paulo et Rémi sont dans la douche. Rémi est accroché par ses jambes à la taille de Paulo et appuyé contre le mur -ma position favorite -. Paulo le pilonne lentement par en dessous. Rémi a l’air de beaucoup apprécier. Insatiable Paulo. C’est déjà la deuxième fois qu’il baise cette nuit. Je préfère ne pas les déranger. Ca ne me choque pas non plus. Ca fait partie de notre accord à tous les trois.
Dans la nuit, Paulo me reprendra une deuxième fois. Sur le côté, tout en infinie douceur, en essayant de me réveiller le plus tard possible. Ce sera extrêmement doux et lent. Rémi ne se réveillera même pas.
Oui, Paulo est véritablement une « sex machine », comme disait James Brown.
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