Sex tour au Congo
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sex tour au Congo
Marion était avec moi lorsque je reçus le mail du Directeur me demandant de venir le rejoindre dans son bureau. Il fallait si j'étais d'accord mettre au point les modalités de mon voyage au Congo. Il y avait en projet de cultiver et de récolter des plantes médicinales. Monsieur N'Doumbé tenait à tout prix qu'une secrétaire accompagne le pharmacien responsable et que ce soit moi. La mission devrait durer a peu près deux mois.
-Youpiieeee... le Dirlo me demande si je veux aller au Congo, tu sais N'Doumbé, le pharmacien noir à la bite immense...
- Ah oui... celui qui il y a un an t'avais baisée dans le sas... Putain oui quand tu m'a montré le film qu'avait tourné Boulier j'avais été impressionnée, il a un sacré engin...
- Oui... et bien il ne veut que moi comme secrétaire...
- Pour te baiser à nouveau...
- Sûrement, mais il y a le voyage... le dépaysement...
- Et surtout sa grosse queue...
Je donnais mon accord avec enthousiasme, deux jours après je reçus un e-mail de N'Doumbé.
« Chère Trixie, je te remercie de bien avoir voulu accepter mon invitation. C'est avec un plaisir immense que je te recevrais. Puis-je te demander une faveur ? Est-ce que tu pourrais apporter les habits que tu avais lors de ma visite ? La veste noire, la jupe fendue, tes bas et ton porte-jarretelles... je fantasme tous les jours de pouvoir à nouveau te serrer dans mes bras dans cette tenue...
Ton Luzollo qui pense bien à toi. »
Je souriais, mais je ne pouvais pas lui refuser cette demande. Je pris l'avion avec monsieur Dumortier pharmacien responsable du labo de recherche. C'était un homme de taille moyenne, d'environ cinquante-cinq ans, les cheveux poivre et sel, une moustache assez fournie ornait sa lèvre supérieure, il portait des lunettes. Il m'expliqua au cours du vol, qu'on nous envoyait là-bas, pour étudier si un investissement dans ce domaine serait rentable. Par exemple le thé Camellia sinensis, la Muscade- Myristica fragrans , l'Ananas- broméliacées, le Tamarindus indica, et bien d'autres encore... avaient des vertus médicinales. La forêt tropicale humide s'étend en effet sur près des deux-tiers du territoire de la république du Congo. Pour l'instant, le site n'était qu'un ébauche... et la Direction générale attendait nos conclusions pour éventuellement débloquer des fonds. Mon travail consisterait à taper ses notes au propre et de le seconder dans diverses tâches.
L'avion se posa à Brazaville. N'doumbé nous accueilli à l’aéroport, on aurait dit un enfant ayant hâte de déballer son cadeau de noël. Le reste de la journée se passa en visite de leur usine de fabrication. Le soir, N'Doumbé me prit à part.
- Vois-tu Trixie, le Directeur de la société est mon frère aîné Ephraim, il a un problème ! En effet, depuis que je lui ai montré la vidéo dans laquelle nous faisions l'amour dans le sas de déshabillage, il ne peut plus entrer en érection. Il a consulté en Europe d’éminents spécialistes qui au niveau physique n'ont rien trouvé, tout est normal. Alors, en désespoir de cause, nous nous sommes tournés vers le marabout de notre village. Nous lui avons expliqué, il a visionné la vidéo, elle lui a bien plu. Il m'a énormément questionné sur toi, ton physique, sur les sensations que j'avais ressenti lorsque nous avions fait l'amour et a conclu que c'était toi qui l'avais envoûté... Alors il nous a demandé de te faire venir, pour qu'il puisse conjurer le sort... Il a dit que c'était indispensable que tu viennes avec les habits que tu portais ce jour-là ! Tu sais ici au cœur de l'Afrique équatoriale, ces croyances perdurent encore... bien que nous soyons au vingt et unième siècle. Il m'en a expliqué le déroulement... C'est une cérémonie rituelle, il n'y a rien de dangereux, ni de douloureux pour toi... Alors si tu es d'accord... nous pourrions y aller ce soir !
- Vraiment Luzollo, toi un scientifique, tu crois à ces balivernes...
- Euhhh... non pas tellement, mais c'est pour mon frère... Il serait tellement heureux de retrouver sa virilité. Tu sais, c'est de famille son sexe est aussi gros que le mien !
- Je suis septique, mais pour te faire plaisir si tu me garantis qu'il n'y a aucun risque, je veux bien te faire plaisir.
Le soir venu, habillée comme demandé par le sorcier, nous partîmes en voiture, le trajet dura presque deux heures. A l'arrivée N'Doumbé nous fit entrer dans une grande case. Un vieux noir, vêtu d'un pagne de raphia assez court et pas très épais qui ne lui cachait que le sexe et les fesses, semblait nous attendre. Il avait des plumes d'autruche multicolores sur la tête, des colliers d'ossements pendaient sur sa poitrine ridée, des bracelets de coquillages tintaient à ses poignets et à ses chevilles. Il y avait deux chaises en face d'une sorte de portique de bois qui trônait au centre de la pièce. Sans préambule, il fit asseoir Luzollo et Ephraim. Il m'examina des pieds à la tête, satisfait de son examen un large sourire découvrit sa bouche édentée. Il m'entraîna sous le portique. Pendant un moment, il se mit à tourner autour de moi psalmodiant des incantations dans un dialecte local. Puis il versa une potion dans une coupelle et l'approcha de mes lèvres.
- Bois, me dit-il.
J'hésitais, regardais N'Doumbé d'un œil interrogateur.
- Tu peux boire sans crainte, ce n'est pas du poison, dit-il en riant...
J'avalais lentement le breuvage, c'était sucré, fortement alcoolisé et très bon au goût. Il recommença à tourner. Au bout de trois minutes, une douce sensation de bien-être m'envahit, une douce chaleur naissait dans mes entrailles, c'était vraiment agréable, ma tête tournait un peu. Il me semblait que mes sensations devenaient de plus en plus fortes. Il continua son rituel autour de moi pendant un moment, sûrement pour attendre que la potion fasse son effet. Mon sang s’échauffait, le désir naissait dans mon bas-ventre.
S’arrêtant devant moi, il plongea son regard dans le mien, et fit sauter le clip de ma veste. Passant derrière moi, il en écarta lentement les pans, offrant mes seins au regard des deux frères, qui s'étaient dénudés. Luzollo se masturbait doucement, la queue de son frère pendait mollement entre ses cuisses.
Je me doutais e ce qui allait suivre, mes mamelons s'étaient durcis et mes deux petits cônes bruns pointaient fièrement. Le marabout me quitta le vêtement, il était toujours derrière moi, je sentis ses mains fripées passer de chaque côté de mon corps, se saisir de mes globes laiteux et commencer à me les pétrir, à me les caresser toujours en récitant ses litanies. Les doigts se saisirent de mes tétons, les tirèrent, les pincèrent, les firent rouler...
- Femme blanche, j'ai vu Luzollo te baiser... Ma bite est encore plus grosse que la sienne... Je vais éjaculer ma semence en toi, tu vas aimer... tu vas jouir... me murmura-t-il dans un mauvais français.
Je commençais à ne plus être maître de mes émotions, sûrement la drogue.. . Et les sensations de plaisir que me donnaient ses attouchements étaient multipliées par dix, ses onomatopées lancinantes semblaient me tirer vers la luxure. Une boule de feu sourdait dans mon sexe, ne demandant qu'a s'embrasser. Ma respiration s'accélérait, je sentais ma chatte devenir moite, mes seins durcissaient sous ses attouchements. Je compris lorsqu'il me leva un bras, à quoi servaient les deux cordelettes qui pendaient de la poutre transversale, je ne résistais pas lorsqu'il y lia mes deux poignets, chacun à une corde.
Toujours dans mon dos, il dégrafa ma jupe, qui se retrouva à mes pieds, il passa devant moi, mit deux doigts dans mon string et l'arracha d'un geste sec... en souriant de sa bouche édentée, une décharge électrique me traversa le corps, un afflux de foutre inonda ma chatte, je n'étais plus vêtue que de mes bas et de mon porte-jarretelles noir perchée sur mes talons aiguilles.
Il fit une espèce de danse faisant onduler ses hanches, à travers les brins de raphia son sexe, noir énorme au gland mauve circoncis, commençait à poindre lentement. Au plus, il minait une pénétration au plus il grossissait, et montait à la verticale au travers des brins de raphia, il devint plus gros que celui de Luzollo. Il se sépara du pagne. Me laissant un moment admirer son squelette décharné, on se demandait comment un corps aussi émacié pouvait avoir un sexe aussi gros, long et aussi épais. Il repassa dans mon dos, je sentis son phallus énorme et raide frotter entre mes fesses, ses mains se plaquèrent au bas de l'intérieur de mes cuisses et suivant les lanières du porte-jarretelles firent une lente reptation vers ma chatte en feu.
Il écarta mes grandes lèvres, son majeur s'insinua dans mon vagin trempé, il fut bientôt suivi de deux autres doigts, longs et décharnés. Il frottait de plus en plus fort son membre démesuré dans la fente de mon cul. Ses doigts entamèrent dans ma chatte une valse, ils me tirèrent des gémissements de plaisir.
- La femme blanche aime, les caresses du vieux noir... sa chatte est trempée...
Mon corps commençait à onduler. Il léchait mon cou gracile récitant ce qui devait être des formules magiques. J'étais de plus en plus excitée, mon cerveau ne commandait plus. Je fermais les yeux, me laissant couler un peu plus profondément dans la perversion. Lorsque je les ouvris, il était devant moi, nu, le sexe en totale érection son gland circoncis dépassant largement son nombril, une énorme paire de testicules pendait entre ses cuisses. Il tenait une sorte de chasse mouche, fait d'un manche en bois sur lequel étaient fixées de nombreuses lanières de cuir.
Toujours psalmodiant,, il caressa mes seins avec les fines courroies, c'était très agréable, je tendis la poitrine en avant, il fit de nombreux passages excitant mes mamelons, jusqu'à ce je gémisse de plaisir. Puis un rictus me montra à nouveau sa bouche édentée et un coup s'abattit sur mon sein droit, le gauche eut droit au même traitement, cela les rendit plus fermes et mes mamelons durcirent encore plus. Il flagella mes flancs, mon dos sans trop appuyer les coups... avec mes amants au boulot j'avais pratiqué cette expérience de flagellation et je ne détestais pas... lorsque le martinet s'attaqua au haut de mes cuisses puis à mes fesses et à ma chatte, je râlais et hoquetais de plaisir. Le foutre coulait sur mes cuisses le long de mes bas...
Dans un brouillard érotique, je regardais N'Doumbé, il branlait avec vigueur son énorme appendice noir, son frère par contre avait toujours le pénis qui pendait mollement entre ses jambes.
Le sorcier délaissa son fouet en souriant, il s'avança vers moi. Il me prit une jambe avec son avant-bras décharné, la souleva et l'écarta largement. Avec son autre main, il positionna le gland de son phallus éléphantesque à l'entrée de mon vagin le pénétrant un tout petit peu.
- Oui, oui, enfonce-moi ta bite noire... ouuiiii... vas-y.... Je veux sentir ta queue au fond de ma chatte... Hurlais-je...
Sans se presser, il frotta son torse ridé sur mes tétons bourgeonnant, sa bouche s'en empara ensuite à tour de rôle, il les suça, les mordilla, puis délaissant les petits cônes bruns, se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Dans un état second, je lui rendis son baiser, une petite voix très loin dans ma tête me disait :- Salope... salope il est vieux, laid, fripé...décharné... pas ragoûtant et il va te baiser... résiste... il va vider ses couilles en toi... Salope...
Mais lorsque je sentis sa bite monstrueuse écarter les grandes lèvres de ma chatte, puis les petites et glisser doucement dans mon conduit vaginal, les murmures de ma raison furent couverts par mes gémissements de plaisir. Il me pénétrait au rythme de ses incantations, suivant les modulations, c'était rapide ou lent... Ses couilles tressautaient et frottaient la peau nue au-dessus de mon bas. Une chose était indéniable, son énorme bite me tirait un plaisir fou. J'avais saisi les cordes et m'arc-boutais pour recevoir ses assauts, plus rien ne comptait que l'ivresse que me donnait ce coït avec son membre démesuré et noir. Il me pénétra ainsi pendant ce qui me sembla une éternité, mais qui me paru trop courte lorsqu'un orgasme monumental déferla au travers de mon corps, je hurlai alors qu'il déversait son sperme au fond de ma chatte. Mon corps se cabra et resta tétanisé, puis la vague de volupté m'emporta, une fois celle-ci passée, je m'écroulais tremblante, retenu par les cordes de mes poignets, abasourdie par le plaisir.
Le sorcier ricanait, il s'approcha et me murmura.
- On va se voir bientôt...
Luzollo vint me détacher, me soutenant, il m’emmena vers sa chaise, son monstrueux membre viril était toujours en érection. Il me fit asseoir sur ses genoux me caressant les cheveux.
- Trixie, tu me rends fou, regarde comme je bande, je crois que je ne vais pas tarder à éjaculer, puis-je le faire dans ta chatte ?
Le besoin de sexe ne m'avait pas tout à fait quitté, comme dans un rêve, sans réfléchir, je l'enjambais, m'empalais sur le membre noir turgescent, sa bouche se plaqua sur mes seins, quelques allers et retours et il déversa sa semence dans mes entrailles en m'embrassant comme un fou.
Après qu'il eut discuté longuement avec le marabout, car la queue de frère était toujours sans consistance, nous reprîmes la route de Brazaville.
- Eh bien, tu as vu... tu avais raison d'être septique, le désenvoûtement n'a pas fonctionné. A voir le sorcier te baiser ainsi, cela aurait du faire bander Ephraïm, mais ses incantations ont fait chou blanc ! Le marabout m'a indiqué un autre moyen... Il y a peut-être un remède... une potion...
Le lendemain avec Dumortier, nous partîmes rejoindre le camp.Trois jours plus tard y compris un jour entier de navigation sur une rivière au cœur de la jungle nous arrivâmes au débarcadère qui permettait d'accéder à la zone de travail. On fut accueilli sur le quai par un noir à la carrure impressionnante, qui nous conduisit à travers la jungle jusqu'au campement. J'eus un hoquet... c'était vraiment une esquisse de cantonnement, le camp se composait de paillotes plus ou moins grandes. L’électricité était fournie par des groupes électrogènes...
Il y avait maintenant huit jours que j'étais ici. J'étais arrivé au Congo avec des chemises résistantes, des pantalons longs que je pensais indispensables. Mais ces vêtements se sont vite avérés complètement inadaptés à la chaleur et à l'humidité étouffantes et sont rapidement devenus humides. Sous la pluie presque constante, chaque chose était mouillée et restait humide.
J'ai vite adopté les chemises légères et les shorts que le professeur Dumortier fit venir de Brazaville. J'avais vite abandonné le port de mon soutien-gorge, et même de mon string. En revanche, la plupart des travailleurs noirs locaux ne portaient que des pantalons. Il s’avéra que pour moi, c'était une distraction quotidienne, d'admirer leurs corps musclés et durs pendant qu’ils travaillaient. D'accord, admirer n'est pas un mot juste. Cela avait peut-être avec du sens... les premiers jours, mais maintenant au bout d'une dizaine de jours, le mot convoitise serait probablement plus approprié.
Etre entouré toute la journée par des hommes à moitié nus, au corps ciselé, l'humidité faisait coller le tissu aux parties génitales, et cela conduit aux fantasmes inévitables. Je m'imaginais souvent en train de travailler les seins nus, la douce pluie ruisselante, coulant sur ma poitrine, chaque bouffée de brise rafraîchissante chatouillant mes mamelons durcis tandis que je travaillais assidûment sous le regard des travailleurs indigènes. Je me voyais ensuite enlevée par ces ouvriers aux corps musclés, qui déchiraient et ôtaient mon short. Il me semblait que tous les jours, je finissais par avoir les culottes mouillées, et pas seulement par les conditions environnementales naturelles. Il me semblait être constamment en état d'excitation. Je me demandais, étant la seule femme, si le cuisinier ne mettait pas une drogue aphrodisiaque dans ma nourriture.
J'étais sûre, que le professeur Dumortier n'aurait pas été très heureux s'il avait pu savoir ce que je pensais la plus grande partie de la journée.
L'air était chaud et collait, empreint d'humidité. Je ne pouvais toujours pas m'habituer à cette chaleur et a cette humidité. Tout était toujours mouillé, humide de pluie et de sueur.
- Tu es une petite salope pensais-je. Tu approches de la trentaine, et les noirs te font toujours autant fantasmer... Tu aimes te faire baiser par leurs grosses bites noires, celle de Gérald te manque ! Vas-tu résister longtemps ?
Et bien sûr, en pensant à lui, j'aimais à espérer que j'étais assez sophistiqué dans le choix de mes partenaires surtout noir. Enfin, me dis-je, de toute façon, tu es maintenant au Congo, pour bosser et tu as accepté ce contrat. Mais cette acclimatation avait eu un début lent et difficile pour moi. Car nous étions isolés dans un camp à l'intérieur de la forêt tropicale, avec peu de contact avec le monde extérieur et uniquement pris en charge par les habitants des villages locaux... Lorsque nous avions quitté Brazzaville, N'Doumbé avait promis de venir au camp dans 15 jours...
Au fil des jours, je sentais de plus en plus que les yeux des travailleurs erraient sur mon corps. J'essayais de me persuader du contraire. Mais c'était le cas et cela ne faisait que nourrir ma convoitise croissante. Je me concentrais difficilement sur mon boulot, toute perception de la réalité était assombrie par un état d'éveil érotique et distrait.
À la fin de chaque journée, je ne pouvais pas attendre de terminer le dîner, il fallait que je prenne une douche et regagne ma hutte pour me masturber. Tous les soirs, j'étais terriblement excitée, j'étais de plus en plus persuadée que l'on me droguait.
Dans le confinement de ma case, l'air, était si moite qu'au bout de la première nuit, j'ai dormi sur le dessus du lit, juste avec une petite culotte. Cela avait provoqué une nouvelle série de sensations érotiques. Avec le trou ouvert pour la fenêtre et juste un rideau pour la porte, le sentiment d’exposition et d’insécurité s’était rapidement transformé en fantasmes imaginaires pervers. Des travailleurs noirs et musclés, aux bites énormes m'assaillaient avec une intention salace, mon corps en sueur, se tordait de plaisir sous leurs mains rugueuses.
C'était devenu une obsession nocturne récurrente conduisant mon corps et mon esprit à une masturbation libératrice. Au fil des soirées cela devint un rituel nocturne avant que je puisse m'endormir. Je masturbais ma chatte avec vigueur, je pinçais, tirais mes mamelons durcis, enfonçant mes doigts dans mon vagin trempé pour me donner un une jouissance démentielle.
Je gémissais, haletante et tremblante. Je rêvais que des ouvriers imaginaires étaient autour de moi et me regardaient attendant leur tour, pour tous me baiser. Mon corps se balançait jusqu'à la poussée pénétrante d'un gros sexe noir et j'appréciais avidement chacune de leurs bites qui m'entouraient énormes et raides en prévision du travail qu'elles allaient faire dans ma chatte.
Après ma jouissance, je m'écroulais sur le matelas trempée de sueur et de foutre et dérivais dans un sommeil érotique, rempli de rêves plus salaces les uns que les autres, épuisée.
Ces activités nocturnes me fatiguaient et je me réveillais de plus en plus lasse chaque matin. Malgré mon épuisement, je m'éveillait avec un désir palpitant de sexe, mais je devais être active immédiatement. Sauter hors du lit, m'habiller et sortir pour le petit-déjeuner.
Je savais que si j'essayais de m'allonger, je replongerais dans les bras de Morphée, mais mon esprit me trahissait, et mon corps voulait être assouvi. Je savais que je devais me faire baiser et me faire baiser bientôt. Je n'allais pas pouvoir tenir jusqu'à la fin de mon contrat et de mon retour à la maison. J’espérai ardemment la visite de N'Doumbé !
Monsieur Dumortier se dirigeait vers moi. J'avais la chemise ouverte sur mes seins, et mes tétons se dessinaient en transparence sous le mince tissu.
- Ca va Trixie, en forme... vous me semblez distraite ! Est-ce que cette chaleur vous accable ? Dit-il fixant ma poitrine dénudée.
- Non monsieur, je suis juste un peu fatiguée, je n'ai pas bien dormi la nuit dernière, mais ça ira - Je vais dans le lot 67 alors, mais prends bien soin de toi.
Je pense qu'il s'inquiétait pour moi. Il a regardé avec attention mes seins se dessinant sous ma chemise et puis il opina de la tête.
- C'est bien ce qui ce qui s'est passé hier soir, je m'occupe bien de moi tous les soirs pensais-je en souriant.
Le pharmacien tourna les talons, pour réorganiser le travail d'un groupe qui apparemment prenait du bon temps.
- Décidément, tu es une grande salope. Si le professeur Dumortier avait été plus attentif, il aurait vu que c'était toi qui les distrayais, ou plutôt que c'était toi qui les excitais, ce qui, je suppose ne devait pas faire avancer bien vite leur travail.
Mais maintenant je ne pouvais plus m'en empêcher. Je savais que les travailleurs noirs me désiraient et je me montrais de plus en plus dévêtue... autant que possible. Je me penchais pour offrir le spectacle mon cul, ou laissais par inadvertance ma chemise s'ouvrir et exhiber un sein ou parfois les deux. J'étais une putain terriblement excitée. Ces petits jeux me faisaient mouiller comme une folle, en regardant les gars, j'étais prête à me laisser baiser sur-le-champ. Lorsque je suis rentrée au camp aujourd’hui, j'étais tellement excitée qu'il fallait faire baisser la pression de ma libido de suite.
Si la journée avait traîné beaucoup plus longtemps, je suis sûre que je me serais déshabillée et j'aurai laissé les ouvriers me baiser sur le site.
Dès que je suis entré dans ma hutte, je me suis mise nue et j'ai commencé à explorer ma chatte en sueur avec mes doigts avides.
- C'est si bon mais j'ai besoin de plus ... beaucoup plus... une grosse bite noire et dure...
Je me suis fait jouir avec rage. Pendant la nuit, un sentiment étrange me traversa, j’eus l'impression fugace d'être observé alors que je pétrissais lentement ma poitrine, mes doigts pinçant et roulant doucement mes mamelons de plus en plus durs.
Je ne pouvais pas vraiment comprendre d'où venait ce sentiment, mais cela a intensifié mon désir de jouir, je fermais les yeux et m'imaginais que je laissais des ouvriers me regarder nue me tordant de désir sur le lit, les jambes grandes ouvertes caressant ma chatte sous leurs regards lubriques.
Alors que mon fantasme prenait une consistance de plus en plus pornographique, je me suis allongée et j'ai laissé mes doigts courir lentement sur mon corps, glissant à travers les ruisseaux et la sueur sur mon ventre et dans les replis de ma chatte. Je suis allée plus loin, écarté largement mes jambes pour plonger mes doigts entre mes lèvres engorgées de sang, avec mon pouce appuyant fort sur mon clitoris.
Je captai un léger mouvement au pied de mon lit à travers des yeux mi-clos. J'ai essayé de fixer mon attention et puis j'ai vu une silhouette. C'était un homme, il était grand, la lumière de la lune venant par la fenêtre faisait luire sa peau d'ébène, il était nu. Sa forme se précisa nettement quand il s'approcha de mon lit. J'aurais dû être terrifiée, j'aurais dû crier, mais...j'étais trop loin sur la route de ma jouissance... Je m'entendis dire à haute voix.
- Hooooo putain quelle bite !! Je vais jouir oh merde...Aaaaaaahhhhh Je ne peux pas me retenir.... je jouiiiiiii.... Oh putain que c'est bon !!!
Que pouvais-je faire d'autres. Je continuais à haleter de plus en plus fort, mes doigts continuaient à s'activer dans ma chatte avec une vitesse fulgurante. Voir ce gars qui me regardait accéléra mon orgasme, qui me laissa dans une paralysie euphorique, je haletais et gémissais fort. Si j'avais été dans un état rationnel, je me serais inquiétée, j'aurai réveillé par mes cris le reste du camp, pas un son ne sortit de ma gorge a part des gémissements de plaisir.
Mon voyeur les traits obscurcis par l'ombre, se tenait au-dessus de mon corps qui se tordait, des cris de bonheur s'échappaient de mes lèvres, la jouissance me traversait avec des ondes de plaisir.
Je me suis relevée, cambrant le dos, mon bassin et ma chatte offerte s'élevant vers le voyeur.
Mon corps est devenu rigide avec mes doigts enfoncés au creux dans ma chatte convulsive tandis que l'orgasme explosait à travers mon corps, puis la vague de plaisir passée, je me suis effondrée sur mon lit comme une baudruche. Je respirais fort dans mon étourdissement post orgasmique en attendant qu'un semblant d'ordre se rétablisse dans ma tête.
La raison revenait, je devais trouver qui était cet homme, ce qu'il voulait. Je ne pouvais toujours pas distinguer ses traits, mais il devait être l'un ouvriers, je ne voyais pas qui d'autre ce pouvait être.
J'essayais de me triturer le cerveau pour obtenir des réponses, j'ai réalisé tout d'un coup que je caressais toujours ma chatte ouverte et palpitante.
J'étais encore très excitée, se mettant sur mon coté droit, mon observateur passa ses grandes mains sous moi et me retourna sur le ventre.
Avant même que je puisse tourner la tête pour demander ce qu'il était en train de faire, il me saisit les hanches et me souleva sur les genoux. Au moins une de mes questions obtint une réponse.
Maintenant, je savais pourquoi il était là. J'avais été dans cette position plusieurs fois auparavant et cela ne signifiait qu'une chose...
Je regardais en arrière et je vis la silhouette de son pénis, putain, c'était un monstre... noir, épais, dressé et très grand. J'en restais la bouche grande ouverte. Il me tira vers le bord du lit, celui-ci n'était pas très haut. Je sentis aussitôt le gros phallus noir glisser de haut en bas entre mes fesses.
Mon corps réagit avec une nouvelle brûlure dans les reins et je ne pouvais pas m'empêcher de hausser mes hanches sur lui pour signaler mon envie.
J'essayais de me raisonner, je ne pouvais pas croire que je n'avais pas essayé d'arrêter ça, je n'avais pas dit un mot pour exprimer mon refus. L'ombre noire, avait-elle compris. ? Avant que je puisse répondre à cette pensée, je sentis sa grosse main sur le haut de mon dos et il poussa ma poitrine vers le bas, écrasant mes seins sur le matelas. Mes mamelons en érection durs comme du bois frottèrent sur le tissu de la literie ferme et ma poitrine glissa de tous côtés, envoyant des impulsions de plaisir perçant me parcourir le corpsLes dernières velléités de santé mentale qui restaient me criaient de m'arrêter, de combattre ce que je subissais. Mais cela a été coupé et balayé lorsque je sentis sa queue glisser en moi, ma vanité fut vaincue et une vague accablante de plaisir me submergea. Je m'entendis crier.
- Ouiiiiii... S'il vous plaît, enfoncez votre bite, s'il vous plaît baisez-moi ...Dou...doucement s'il vous plaît, vous êtes si gros ... Mais oui baisez-moi, baisez moi... s'il vous plaît. Enfoncez votre grosse queue...
Mon bassin était relevé, j'ai senti une pression sur mes fesses m'obligeant à écarter les jambes, ma chatte était en train d'être comblée lentement par l'énorme piston noir. Mon vagin ne protesta pas et le frottement s'est rapidement transformée en un plaisir brûlant lorsque cette immense bite pénétra sans relâche dans ma chatte. J'ai crié et gémi de plus en plus sentant glisser son énorme sexe en moi. Mes hanches ronronnaient d'extase, tout mon corps tremblait tandis, qu'un autre orgasme commençait à s'emparer de mes entrailles.
- Aaaaaahhhhh enfonce, enfonce plus profond, Oh merde, je vais jouir... Putain que ta bite est bonne...
Mon esprit refusait l'orgasme qui naissait dans mon ventre, il fallait que je retarde ce moment ! J'essayais de forcer pour enfoncer la bite le plus loin possible en moi. Il me tenait fermement par les hanches, me pénétrant avec de longues poussées tandis que ma chatte se convulsait prête à l'orgasme et se contractait de manière incontrôlable. Sans prévenir je joui, mon orgasme passa comme un flash, je me sentais tomber mais mon corps perfide, commença à se préparer pour un autre. Il était en train de me serrer et de me pétrir le cul et il continuait à me labourer la chatte avec sa queue lentement à mesure que je récupérais.
- Oooooohhhh putain baise moi encore et encore...
Lentement, il commença à augmenter le tempo et la profondeur de ses pénétrations. Je recommençais à repousser vers lui mon cul plus fortement, tandis qu'il continuait à me pilonner avec une rapidité inouïe, jusqu'à ce que ses cuisses claquent dans mes fesses et que ses couilles giflent mon clitoris. Cela déclencha une autre série d'orgasmes qui déchirèrent mon corps, me laissant hagarde, accrochée à sa forte emprise sur mes hanches.
Le mystérieux visiteur n'avait toujours pas lâché un seul mot. Je n'avais toujours pas de réponse à mes questions !
Je baissais ma poitrine sur le matelas, c’était clairement sa position préférée et levais les fesses plus haut, attendant que son énorme baïonnette acérée me pénètre.
Il stoppa brusquement sa baise rapide, passant à des coups lents et profonds, des grognements brusques s'échappaient de ses lèvres tandis que ses hanches me martelaient le cul, il me semblait que sa queue prenait des proportions gigantesques alors qu'il l'enfonçait plus profondément dans mon vagin.
Ma chatte était en constante contraction, étranglant sa queue jusqu'à ce que je la sente tendue, puis il déchargea son sperme au plus profond de moi avec un fort grognement guttural final. Je ressenti une sensation de ballonnement soudain qui déclencha un orgasme massif lorsque le liquide tiède et visqueux explosa dans ma chatte, remplissant mon conduit vaginal pour couler le long de mes cuisses.
Il resta enfoncé fortement dans les profondeurs de ma chatte, jusqu'à ce que la dernière goutte de son éjaculation soit déposée, puis il se retira lentement.
Le vide laissé par sa bite vide a fait palpiter mon vagin avec de délicieuses sensations, répliques post organiques. Il relâcha mes hanches et mon corps s'effondra sur le lit.
Quand le brouillard de ma tête se dissipa suffisamment pour regarder derrière moi mon mystérieux visiteur, pour obtenir des réponses, il était parti.
Je me suis endormi d'un seul coup, au réveil le lendemain matin des écharpes de brume tournaient dans mon cerveau, j'étais toujours allongée là où il en avait fini avec moi. Alors que je déplaçais lentement mes hanches et sentais à quel point ma chatte, était meurtrie.
J'ai aussi mouillé le matelas qui était en dessous de moi était énormément mouillé, je me levais, du sperme s'écoula entre mes jambes.
J'enroulai une serviette autour de moi et me dirigeai vers la douche, les ouvriers étaient attablé a la table du mess. Je les regardais avec attention, en pure perte, pour essayer de voir si je pouvais identifier mon visiteur mystérieux. J'entrai dans la douche, les canisses qui étaient sensés isoler des regards, laissaient à désirer et n'étaient pas très hauts... la douche n'était pas très éloignée du réfectoire...
- Putain, est-ce que je pourrais faire ça ici ? Celui qui m'a baisé cette nuit sera peut-être à nouveau émoustillé ?
Me suis-je demandé en enfonçant mes doigts dans ma chatte. Au bord de la palissade délabrée, je commençais à me masturber, en les regardant. Mes gémissements de plaisir attirèrent vite leur attention, leurs regards m'amenaient à l'orgasme, mon esprit était maintenant complètement embué par les événements de la nuit dernière. Je jouis assez fortement... mais aucun des hommes présents ne se manifesta. Après une longue douche, je sortis de la douche pour examiner les ouvriers. Je devais à tout prix découvrir qui m'avait baisé hier soir ! Je devais le savoir, je devais le faire revenir...
La journée s'éternisa, longue, monotone, je faisais tout pour les exciter, pour qu'il se découvre... mes efforts restèrent vains.
Le soir, il était presque minuit, lorsque le rideau se souleva, je me mis aussitôt à genoux sur le lit, levant mon bassin, lui offrant ma chatte... la magie opéra à nouveau. Cela continua pendant quatre nuits, j'avais cessé de chercher qui pouvait être, le prince noir qui ne faisait autant jouir.
Le cinquième soir, au lieu de grimper sur le lit derrière moi, il se pencha sur moi, me souleva dans ses bras et me jeta par-dessus ses épaules. J'étais sur le point de crier, jusqu'à ce que je réalise les très larges épaules sur lesquelles j'étais enroulée.
Je me mordis la langue en me demandant ce qui se passait, ce qui avait changé ?
Peut-être voulait-il me baiser ailleurs ? Il franchit le seuil de ma hutte et commença à me transporter hors du camp. Je réalisais d'un coup que j'étais complètement nue.
Je commençais à paniquer un peu, je lui demandais où il m’emmenait, il ne me répondit pas, mais un doigt de la grosse main qui me tenait par-dessus mes fesses s'insinua dans la fente de ma chatte grande ouverte. Cela me calma, comme une chute dans la luxure emplie de convoitise, je gémissais de plaisir aux sensations que ses gros doigts produisaient alors qu’ils balayaient et sondaient ma chatte.
Au bout d'une interminable marche, au cours de laquelle je faillis jouir plusieurs fois, nous arrivâmes dans une sorte de caverne, il monta quelques marches et salua plusieurs hommes qui l'attendaient. Il me posa sur le sol, je pouvais voir que leurs yeux étaient collés à mes fesses et ma chatte qui laissait mon foutre.
- Merde s'il touche à nouveau ma chatte, je vais jouir devant ces hommes ! Pensais-je.
Je regardais devant moi, il y avait une sorte d'autel. Un vieillard était couché sur un matelas, sa peau noire ridée ressemblait a un parchemin ridé de plusieurs siècles. Puis mes yeux se fixèrent sur une monstrueuse bite flasque qui reposait sur ses cuisses squelettiques et s'étalait sur son ventre.
Je plissais les yeux, ils remontèrent le long de son torse émacié, pour regarder de plus près et son visage... je sentis mon estomac se soulever, je venais de le reconnaître, c'était le sorcier qui avait officié en présence de N'Doumbé. Etait-il possible qu'il soit présent ?
Mon regard embrassa les hommes présents, je n'avais pas fait attention, mais ils étaient tous nus, seul Dumortier présent lui aussi était habillé. Leurs immenses bites pendaient flasques entres leurs cuisses. Effectivement, Luzollo faisait parti de l'assistance, son frère Ephraïm était lui aussi présent assis sur un fauteuil de bambous.
J'avais maintenant une assez bonne idée de ce que je devais faire ce soir et en regardant la bite énorme mais flasque pour l'instant qui se tenait devant moi. Je compris alors les paroles qu »il m'avait murmurées à la fin de la première séance... ll voulait me baiser à nouveau...
Il était clair que ce vieil homme était un marabout important ici.
A ses cotés se tenaient deux jeunes filles d'un noir d'ébène, elles étaient aussi nues que moi.
Le vieil homme m'examina. Je voyais et sentais ses yeux scruter de mon visage, parcourir mes seins et venir se poser sur ma chatte encore mouillée, il souriait béatement d'un air satisfait.
N'Doumbé s'approcha, il porta à mes lèvres un bol rempli d'un liquide ambré.
- Bois, tu en as déjà pris l'autre jour...
J'obéis et avalais le nectar alcoolisé et sucré...
Une des jeunes filles s'adressa au sorcier.
- Oh grand Nganga-Kisi, il faut vous préparer pour la jeune fille...
Avec sa main droite, elle puisa dans une coupelle une sorte d'onguent et elle commença a badigeonner la bite noire circoncise. L'autre souleva la tête du vieillard et lui fit boire une potion.
Comme la première fois, la drogue pénétra assez rapidement mon organisme...
Mes yeux s'écarquillèrent, au plus la jeune fille frottait la bite du marabout au plus celle-ci prenait des proportions monstrueuses. Elle atteignit bientôt une érection indescriptible...
Pointant vers le plafond telle une stalagmite noire, elle devait mesurer largement plus de trente-cinq centimètres de long et presque huit de large. Son gland bistre formait un petit champignon.
- Je ne peux pas me faire baiser par cet engin... Elle est vraiment trop grosse... Et puis il y a trop de monde...
Je sentis alors deux doigts boudinés et noirs glisser dans ma chatte trempée.
- Vraiment Trixie ? Pourtant, tu me sembles terriblement prête pour quelqu'un qui dit qu'il n'a pas envie de ça, je trouve que ta chatte réclame avec force cette bite. Tu vas être étonnée de ce que tu peux prendre...
Il plaqua sa main, ses quatre doigts se faufilèrent dans mon vagin et commença des allers et retours, la drogue que j'avais ingurgité, avait fait complètement, fait son effet maintenant, j'étais très excitée, mon sexe réagit à sa caresse et un flot de foutre coula le long de mes cuisses.
Tout en fixant l'énorme queue immobile devant moi, mes hanches tremblaient de façon incontrôlable tandis que je poussais sur ses doigts pour les enfoncer plus profondément. Il retira ses doigts de ma chatte et tint devant moi. Mon foutre épais coulait de ses doigts.
- Je pense que tu es prête Trixie, notre Nganga-Kisi peut maintenant éjaculer en toi. Deux hommes me soulevèrent, j'agrippais leurs cous, ils me positionnèrent au-dessus de l'énorme bite tendue.
Je perdis de vue l'immense rouleau noir pendant que mon corps s'élevait au-dessus du vieil homme et je paniquais légèrement lorsque je réalisais que j'étais sur le point de m'empaler sur ce sexe démesuré. Je commençais à me tortiller, mais les grandes mains tinrent bon, elles me baissèrent lentement.
- Oh putain... Oh putain.... Oh merde...
J'ai senti la tête effleurer légèrement les lèvres de ma chatte distendues puis le monstrueux gland fut inexorablement poussé dans mon conduit vaginal. Ma chatte résista, protesta contre la taille qui voulait la pénétrer, mais céda soudainement, quand les deux hommes me descendirent avec force sur le pieux noir.
Ma chatte tendue et ouverte et trempée, ondulait et glissait autour du gland gorgé de sang puis les nervures rugueuses de la bite envoyèrent des éclairs de feu au travers de mes reins. Je sentais mes parois vaginales s'écarter de plus en plus tandis que cette monstrueuse bite s'enfonçait inflexiblement en moi.
Puis je me mis à grogner, exprimant un mélange de plaisir et de légère douleur, je haletais, ne pouvant plus respirer, jusqu’à ce que je sente mes fesses se poser sur les cuisses du vieil homme. Elle était entrée entièrement en moi...
Oh, putain, mes parois vaginales serraient tellement sa monstrueuse bite que chaque contraction de ma chatte envoyait des ondes de plaisir au travers de mon corps.
Je me sentais si pleine, je ne pouvais plus bouger, mes respirations devenaient brusques et aiguës alors que mon corps essayait de s'adapter à sa taille de l'engin qui me remplissait le vagin.
J'entendais au travers d'un brouillard des murmures s'extasiant sur la performance que je venais d'accomplir.
Je commençais à bouger doucement sur l'immense bite plantée dans mes entrailles.
- Putain qu'elle est grosse... Putain, elle me remplit entièrement... Putain c'est bon...
Marmonnais-je de manière incohérente.
Je tendis mes cuisses et commençais à me soulever lentement, ma chatte se contractait durement lorsque le membre géant déchirait mes parois vaginales en se retirant lentement.
Je suis arrivée presque au bout du gland, je respirais lentement, puis j'ai recommencé à bouger avec de petits coups de rein, je me suis redressée et j'ai écarté avec deux doigts mon orifice vaginal pour qu'il puisse bien coulisser le long de la monstrueuse hampe noire.
Je fixais mes yeux sur le regard du vieil homme et hochais la tête en souriant, puis commençais à faire lentement des allers et retours ma chatte de haut en bas sur sa bite monstrueuse. Je ne l’enfonçais pas en plein savourant chaque centimètre qui me pénétrait.
Ses yeux se fixèrent sur les pointes turgescentes de mes seins, ses doigts s'en emparèrent, il les fit rouler, les griffa, les étira me tirant des gémissements de plaisir.
Il m'attrapa derrière la nuque et me pencha la tête vers lui, sa bouche édentée se plaqua sur ma mienne sa langue se faufila entre mes lèvres, je lui rendis son baiser passionnément.
C'est alors qu'il accéléra la cadence de ses pénétrations, je le sentis se dilater encore plus à l'intérieur de moi et je m'effondrais violemment sur son ventre. Enfonçant sa queue au fond de ma chatte, Il me sembla que je chevauchais un cheval... Le temps s'était estompé...
Je me débattais en extase, roulant des hanches, la tête rejetée en arrière. Je hurlais pendant qu'orgasme après orgasme le plaisir me déchirait le corps, faisant exploser mon cerveau.
Je ne pouvais pas m'arrêter, je ne voulais pas m'arrêter.
Je voulais m'effondrer sur le corps squelettique, mais le rouleau de viande en moi m'en empêchait.
Il m'attrapa aux hanches et m'enfonça son pieu le plus profondément possible. Il éjacula, et un autre orgasme me déchira à nouveau le corps.
Mon vagin se contracta au moment où son sperme vint combler toutes les crevasses de l'espace restreint qui restait à l'intérieur de moi, il éjacula longtemps avec de sourds grognements.
Il ressortit lentement son sexe monstrueux qui gardait encore toute sa rigidité, puis il se leva de la couche. Aussitôt les deux jeunes noires nme firent étendre. Mon regard embrassa le cercle d'hommes qui m'entouraient, ils se masturbaient avec vigueur... bientôt une quantité impressionnante de leurs semences chaudes et gluantes éclaboussa mon corps, seul N'Doumbé approcha son énorme bite noire de mes lèvres m'appuya sur le menton pour me faire ouvrir la bouche et y déchargea son sperme.
- Avale Trixie...
Je déglutissais le liquide épais et visqueux.
Une des deux jeunes noires, étalait consciencieusement le sperme sur mon corps, barbouillant mes seins, mon ventre, mes épaules, mon dos, mes jambes...
L'autre m'avait écarté les jambes et récupérait dans une coupelle, l'énorme quantité du sperme du marabout qui mélangé à mon foutre s'écoulait de ma chatte. Elle prit une petite cuillère de bois et avec précaution récupéra la semence du vieil homme noir au fond de mon vagin. Une fois l'opération terminée, elle tendit le petit bol au vieux Nganga-Kisi, celui-ci versa un breuvage blanc, mélangea assez longtemps la mixture obtenue. Puis il s'approcha d'Ephraïm et en récitant des incantations lui fit boire le breuvage.
Un moment, plus tard, je sentis mon esprit se dissoudre dans le noir, et je perdis connaissance.
Le lendemain, je me réveillais nue, dans mon lit, dans ma hutte, complètement déboussolée.
A ce moment N'Doumbé entra dans ma case.
- Bonjour Trixie bien dormi ? Tu as été formidable hier au soir... Je crois que mon frère est guéri... grâce à toi... l’élixir du Nganga-Kisi a fait son effet... Ephraïm est retourné à Brazzaville, il t'invite avec monsieur Dumortier à prendre 3 jours de vacances dans la capitale. Ce n'est pas tout regarde ce qu'il te donne si tu lui permets de vérifier avec toi, qu'il a retrouvé toutes ses facultés sexuelles... Regarde comme il est beau, mais il ne sera à toi que si tu es d'accord !
Il ouvrit un petit écrin ou un diamant rutilait de mille feux... j'en restais bouche béé.
- Oh oui, je crois que vais accepter...
- Bon, l'hélicoptère nous attend... Dumortier est déjà au courant. Une dernière chose pour être bien sur, que le charme est rompu, mon frangin voudrait que tu sois habillée comme lorsque nous avons fait l'amour dans le sas...
- Oui, Ok pas de problème.
Dans l'après-midi, nous étions Brazzaville. Le soir, j'avais revêtu la tenue exigée une veste noire, portée a même la peau, qui n'était attachée que par un clip doré entre mon nombril et mes seins. Les bords de l'échancrure dévoilaient la moitié de mes seins et cachaient tout juste mes mamelons, et découvraient au moindre mouvement un peu brusque la moitié de mes aréoles, si je me penchais, les pans s'écartaient et ils baillaient sur mes tétons. Une jupe noire ouverte sur le devant qui laissait apercevoir sur ma cuisse l'attache de mon porte-jarretelles et la lanière blanche qui soutenait mes bas noirs. Même droite, lorsque j'écartais les jambes, elle s'ouvrait jusqu'à la naissance de mon sexe et laissait deviner le début de ma fente, car je ne portais pas de string. J'avais relevé mes longs cheveux blonds en un savant chignon, qui laissait ma nuque libre.
Luzollo passa nous prendre en voiture vers 19 heures, pour nous emmener au restaurant. Nous bûmes l’apéritif avant de partir, le goût de mon verre me rappela une certaine boisson...
Dans la voiture, je montais devant.
- Trixie, tu es parfaite... tu ne portes pas de String... Fais voir !
- Luzollo, ne fait pas comme l'autre fois en France...
- Non, non n'aie crainte... ce soir je n'ai aucun droit sur toi, dit-il en souriant. Mais je vous emmène dans un resto un peu spécial, le ''Cannibale érotique''... et ne pourrait-on pas refaire le jeu que nous avions fait au resto en France... Nous allons manger du Du saka ou pondu, Du poulet à la Moambé, du fumbwa et bien sûr un dessert...
La tête commençait à me tourner un peu, mon ventre s'échauffait.
- Oui, continua-t-il se serait bien que tu émoustilles le garçon pour mettre mon frère en condition ! Surtout, ce cannibale est vraiment érotique, il est nu sous son pagne...
- Tu es toujours aussi pervers, mais le cadeau me tente énormément ! Alors pourquoi pas …- Mon frère pourra ensuite vérifier si l'envoûtement est rompu ?
- Bien sûr !
- Et en quoi consiste ce jeu, demanda Dumortier ?
Au restaurant, Luzollo nous amena dans une petite cour déserte, Ephraïm nous attendait, il discutait avec un gros noir pas très grand, effectivement vêtu d'un pagne de raphia qui ne lui cachait que le sexe et les fesses. Son ventre, couvert de peintures blanches, débordait par-dessus sa ceinture. En apercevant la magnifique blonde qui arrivait, il alluma quatre puissantes lampes autour de la table, puis il se précipita vers moi, ses yeux se fixèrent sur mes seins, il vit qu'ils étaient libres de toute entrave. Il se saisit de ma main droite et se mit a me la secouer, ma veste s'écarta et dévoila le haut de mon aréole. Sa face bariolée s'éclaira d'un grand sourire, lorsqu'il me fit asseoir et que ma jupe s'ouvrit largement sur ma cuisse, puis il partit en cuisine...
J'étais assise à coté de D'Ephraïm, Luzollo passa derrière moi écarta le plus possible les pans de ma veste pour laisser apercevoir la moitié de mes aréoles...
Il s'assit sur ma droite, aussitôt, sa main droite, écarta mes cuisses, il ouvrit les pans de ma jupe et les positionna pour bien dégager les bandes blanches du porte-jarretelles sur mes cuisses, son majeur inquisiteur s' engouffra dans ma chatte, après quelques pénétrations, il le retira poisseux, et le suça avec délice.
Il le remit, le ressortit.
- Tu veux goûter frérot c'est délicieux...
Ephraïm suça le doigt tendu.
- Parfait... Le serveur ne peut rien rater... ni en haut, ni en bas... il va pouvoir admirer ton anatomie, regarde mon frère, ses jambes, ne sont-elles pas magnifiques… on devine sa chatte... Ça t'excites ?
- Oui, je commence à bander !
- Bien, bien, Trixie veux-tu bien jouer le jeu... jusqu'au bout...
- Oui, ça m'excite... moi aussi ! Tu l'as vu en me faisant un doigter... je suis une petite garce... ! Ephraïm, aimerais-tu que je caresse ta grosse bite... sors tes couilles... ! Mets la sous ta serviette...
- Ah oui, je commence à comprendre balbutia Dumortier !
Le serveur arriva pour servir les entrées, la bienséance fait qu'il doit servir d'abord les dames... il passa sur ma gauche, je sentis son mouvement de surprise... mais il fit comme si de rien n'était... Mais son regard revenait toujours sur mon entre-jambe découverte... qui maintenant laissait deviner le début de ma fente. Il servit Luzolo... puis Ephraïm... Il faillit rater l'assiette de Dumortier tant son regard ne quittait pas mes cuisses, une bosse était en train de se matérialiser sous le raphia à hauteur de son sexe, il repartit à regret... Son gland pointait le bout de son nez.
- Au prochain plat, il aura droit à un petit plus... dit Luzolo - Oui, quoi ? Demandais-je ?
-Au bout de ton téton... puis au plat suivant les deux tétons ensembles... ce n'est pas difficile... ils ne demandent qu'a jaillir... et nous gardons le meilleur pour le dessert... Ça te plaît, Ephraïm ?
- Oh oui, oh oui… surtout que Trixie caresse ma queue divinement...
Cela se passa comme prévu, à chaque plat un coup d'épaule et mes mamelons surgissaient... Luzollo avait écarté largement mes jambes, il n'y avait pas de nappe, ma chatte était offerte à la vue de tous... le serveur ne cherchait pas à cacher son érection sa bite noire et dure, sortait entre les brins de raphia, il lorgnait sans vergogne mon sexe dénudé et maintenant assez poilu... Il s'enhardissait même, en servant a frôler mes tétons érigés, et a me frotter sa bite sur le bras.
Le dessert allait arriver... le gros noir passa à nouveau sur ma gauche et s'immobilisa pour me servir, Luzolo fit tomber sa serviette et celle de son frère, se tourna vers moi, me prit la main et me la posa sur sa bite tendue, je les masturbais doucement calottant et décalottant leurs énormes sexes noirs. Le serveur figé n'en croyait pas ses yeux... Il bandait comme un âne. Le vieux frère de Luzollo avança sa grande main noire vers ma chatte, j'écartais largement les jambes. Il caressa la peau nue au-dessus de mes bas, puis son majeur et son index pénétrèrent mon conduit intime qui laissait échapper un flot de foutre, je me renversais sur le dossier de la chaise... mes deux seins jaillirent complètement hors de ma veste... N'Doumbé fit sauter le clip libérant mes deux nichons magnifiques aux pointes brunes érigées. On aurait dit que le temps c'était arrêté... de longs soupirs sortaient de ma bouche... entre mes yeux mi-clos j'entrevoyais le serveur tétanisé la bite tendue, hésitant ne sachant pas s'il allait me caresser les seins. Il s'enhardit et sa main noire malaxa mes globes fermes. Je sentais que le plaisir montait, montait... mon corps fut pris d'un tremblement incontrôlable et je jouissais. Avec un râle de plaisir... ma main droite enserra fortement la grosse bite de Luzolo, ma main gauche saisit le sexe tendu du vieux garçon emmargeant du raphia, faisant quelques allers et retours, je le pressais plusieurs fois, je sentis les soubresauts de son éjaculation... son sperme chaud gicla sur mes seins.
- Putain ! Ça t'a plu Trixie... ouiiii continue à me branler, je vais éjaculer... prends, prends dans ta bouche... dit Luzollo.
Je me penchais pour recueillir le flot de sperme qui gicla de l'énorme phallus noir de N'Doumbé, et l'avalais avec délice.
Le serveur revint, pour servir les desserts, je n'avais pas mis de l'ordre dans ma tenue... mes seins étaient toujours dehors et mes jambes grandes ouvertes, ma chatte ruisselante offerte à ses regards. Il continuait à me fixer, sa queue était toujours grosse... En le regardant langoureusement, j'étalais sur mes aréoles le sperme qu'il avait éjaculé sur mes seins, j'en enduisis mes petits cônes bruns érigés au maximum...
- Alors, demanda Luzolo... ça vous a plu ?
- Oh oui, Putain, Oh oui... Mademoiselle est vraiment magnifique, merveilleuse... il n'y a pas de mots pour qualifier sa beauté... j'en garderai le souvenir toute ma vie... Je n'avais jamais vu une femme blanche dans une tenue aussi sexy...
- Bon, dit Luzolo, tu veux un pourboire...
- Oui Monsieur, je veux bien...
- Tu veux la voir se faire baiser par le monsieur qui est assis là avec la queue énorme ?
- Oh oui, je veux bien... mais je ne sais pas si elle voudra faire ça devant moi...
- Mais si... Hein Trixie que tu vas faire l'amour avec mon frère devant Monsieur...
Il avait sorti l'étui de sa poche et le posa sur la table. Les épices du repas et l'aphrodisiaque que les boissons devait contenir, avaient déchaîné ma libido, en plus devant mes yeux dansait l'écrin contenant le diamant.
- Mais oui... bien sûr...
- Lève toi, s'il te plaîtJ'obéis, il défit l’agrafe de ma jupe qui tomba à mes pieds, puis il quitta ma veste. J'étais nue avec seulement mon porte-jarretelles blanc tranchant sur ma peau bronzée, mes bas et mes talons aiguilles. Luzullo me prit main et me fit faire plusieurs voltes pour leur faire admirer mon anatomie.
- N'est-elle pas splendide notre Trixie, Avez-vous souvent vu une blonde aussi magnifique dans une lingerie aussi sexy... Regardez nos grosses bites noires la rendent folle de désir.
Il défit mon chignon, mes cheveux dégringolèrent comme une cascade blonde sur mes épaules. Sa main se plaqua sur mon sexe, deux doigts noirs et boudinés s'enfoncèrent dans ma chatte ruisselante, son pouce frotta mon clitoris.
Il les ressortit poisseux de foutre.
- Voilà Ephraïm elle est prête, vérifie si l’envoûtement a disparu.
Son frère avait quitté son pantalon et s'était assis sur le fauteuil de rotin. Il m'empala sur son sexe raide et dur qui était aussi gros que celui de Luzollo. Il me caressa, me besogna pendant une bonne vingtaine de minutes... faisant monter mon plaisir... Je jouis au moment où il déversait sa semence avec un rugissement de triomphe.
- Ouf... dit-il. Merci Trixie tout est redevenu comme avant... Tu peux prendre ton petit cadeau.
Je me rhabillais, nous discutâmes de choses et d'autres, les trois hommes de l'exploitation et avec Dumortier nous prîmes une voiture de fonction de leur usine pharmaceutique qui nous ramena à l’hôtel. Assise sur la banquette arrière à côté du pharmacien, il me semblait que je n'étais pas rassasiée de sexe, j'avais ingurgité pas mal d'épices et d'excitants sexuels.
Je sentis la main de Dumortier se poser sur ma cuisse, délicatement, il commença à tirer le pan de ma jupe, le faisant glisser pour découvrir ma peau au-dessus du bas.
- Dis Trixie cela fait deux jours que tu me rends fou, de te voir baiser par tous ces noirs aux bites démesurées...
Sa main s'était glissée sous la lanière blanche, ses doigts entamaient une reptation vers le haut.
- Tu as vu hier au soir, j'ai été le seul homme a ne pas t'éjaculer dessus... Tu sais pourquoi ?
- Non, mais tu vas me le dire...
Sa main était à mi-chemin du pli de mon aine. Je le laissais faire. J'avais ouvert les jambes.
- D'abord, parce que j'étais le seul blanc, et bien que j'en avais une folle envie, je ne voulais pas sortir ma bite, elle n'est vraiment pas grosse ni très longue... il y aurait eu des sarcasmes...
Son majeur, glissait le long de ma fente cherchant mon orifice vaginal... de son autre main, il cherchait à dégrafer le clip de ma veste. Son aveu faisait renaître une sorte de désir en moi, je le laissais faire...
- Mais tu sais, j'ai demandé au sorcier son breuvage et son onguent miracle, je lui ai expliqué que c'était pour l'analyser ! Il ne m'en a donné que pour une fois... Difficile à obtenir, m'a-t-il argué...
Le clip avait cédé, mes seins étaient libres. Le chauffeur s'en était aperçu, il avait positionné son rétroviseur pour nous regarder. La voiture était une Audi de luxe dernier cri, les places arrières étaient éclairées par une lumière indirecte. La moitié du majeur de Dumortier était entrée dans mon conduit vaginal encore humide du sperme d'Ephraïm.
- Mais en fait, si je voulais cette mixture... c'était pour... si tu es d'accord... l'essayer avec toi...
Son index avait rejoint son majeur, et il faisait des allerert retours dans m chatte, le chauffeur conduisait d'une main, il devait se branler avec l'autre.
- Je n'ai jamais fait l'amour avec une fille aussi jolie que toi... J'ai de l'espoir maintenant... car je vois que tu me laisses faire... de sa main libre... il se mit à me caresser les seins.
J'étais encore vraiment excitée, car sans réfléchir par l'intermédiaire de ma bouche, mon corps donna son accord.
- Oh oui... je serais curieuse de voir encore une fois l'effet de cet onguent...
Ses doigts s'activèrent plus rapidement dans ma chatte, il se pencha pour me lécher les seins et me mordiller les tétons. Il sortit sa bite de son pantalon. Il bandait, mais c'était vrai, elle était très petite. Je me demande comment nous sommes arrivés à l'hôtel sans accident, les yeux du chauffeur étaient rivés sur le rétroviseur, j'avais les jambes grandes ouvertes et les doigts du pharmacien s'activaient dans ma chatte. Juste avant d'arriver, j'entendis le chauffeur grommeler.
- Salope de blanche...
Il se raidit d'un coup.
- Il a dû éjaculer, pensais-je !
Presque au Pas de charge Dumortier me conduisit dans sa chambre. A peine entré, il se mit derrière moi, d'une main fébrile il fit sauter le clip de ma veste, ses deux mains se saisirent de mes seins, il les malaxa, les tritura, faisant rouler mes tétons, les tirant, griffant mes aréoles. Il me mit face à lui, sa bouche chercha la mienne et il fit glisser ma veste de mes épaules. Ses mains dézippèrent la fermeture de ma jupe, elle chue sur la moquette. Il se recula.
- Putain que tu es belle... tu me fais bander... regarde... mais ne rit pas... par rapport a celle des noirs qui t'ont baisé... la mienne est une mico-bite..
Il baissa son pantalon et quitta sa chemise... effectivement il bandait, son érection devait atteindre 10 centimètres au maximum... Je souris... Il s’avança et me poussa sur le lit.
- Reste ainsi avec tes bas ton porte-jarretelles ça m'excite...
Il se mit à genoux entre mes cuisses et sa bouche se plaqua sur mon sexe, sa langue parcourue mon mont de vénus mes poils étaient collés par le sperme d'Epraïm.
- Attends, il y a assez longtemps que je ne me suis pas rasée... Aurais -tu un rasoir et de la crème, je voudrais que tu m’ôtes ces poils longs et disgracieux.
Il fit un aller et retour éclair jusqu'à la salle de bain et revint avec les ustensiles demandé.
- Bien rase moi... ensuite tu pourras profiter d'une chatte lisse comme la peau d'un bébé !
Il badigeonna ma toison de mousse, puis délicatement, il commença à raser, sa main tremblait légèrement...
- C'est la première fois que je fais ça... putain que c'est érotique... ça y est j'ai fini... ta chatte est merveilleuse... avec ses grandes lèvres en corolles... attends je vais bien la sécher... Putain il y a encore du sperme d'Ephraïm qui en coule.
Il entra deux doigts, les tourna, les retourna pour bien les imprégner du liquide poisseux, il me les présenta.
- Suce-les bien, tu as l'air d'adorer le sperme des noirs...
Le regardant dans les yeux, je lui pris la main et suçais avec délice les doigts baveux. Sa bouche se plaqua à nouveau sur mon sexe, sa langue pénétra mon conduit vaginal, ses lèvres aspirèrent mon clitoris, il mordilla doucement mon petit bouton qu'il tenait pincé entre son pouce et son index. Il ne cessa ses attouchements buccaux que lorsqu'il m'entendit gémir. Il fouilla alors dans le tiroir de la table de nuit sorti, une petite fiole et une petite coupelle contenant le baume magique. Il s'étendit sur le lit.
- A toi d'officier maintenant. Je vais boire la potion...
J'étalais la pommade grisâtre au creux de ma main, je commençais à lui enduire la queue, de haut en bas, tirant son prépuce décalottant son gland pour lui faire subir le même sort. J’hésitais un peu, mais j'enduisis aussi ses testicules.
- Ouiii, ouiiiiii... c'est bon... frotte.... frotte.... fais bien pénétrer... oh putain ouiiiiii... ça vient ça vient... ça marche...
En effet, sa bite commençait à s'épaissir, au plus, je le masturbais au plus, elle enflait... c'était hallucinant de la voir gonfler à vu d’œil. Elle ne devint pas aussi grosse et aussi longue que celle du marabout, mais elle arriva a vingt cinq centimètres de long et six centimètres de diamètre. Cette transformation m'avait excitée. Émerveillé Dumontier regardait cette transformation les yeux écarquillés. Ses couilles avaient elles aussi triplé de volume. Il la tenait a la base et l’exhibait fièrement.
- Oh putain, tu as vu ma bite... je n'ai plus de complexes pour te baiser Trixie... Elle est faite pour ta chatte, laisse moi l'essayer !
Il souleva mes jambes et entra en moi avec une longue poussée, ma chatte trempée habituée aux bites énormes s'étira facilement lors de la pénétration. Il commença à me baiser avec de longues et lentes poussées, s'enfonçant profondément dans mon vagin avant de se retirer complètement.Mon corps essayait alors de s'empaler le plus loin possible sur la bite qui me martelait. Il a continué à me baiser pendant mon premier orgasme, avec une lente poussée qui emplissait complètement ma chatte palpitante, qui se contractait autour du membre phénoménal.. J'étais allongée devant lui écartelée, les vagues de plaisir déferlaient... à mesure un autre orgasme commençait à naître dans mon ventre. Puis il s'arrêta, il me fixa en souriant.
- Dis donc petite Salope, cela fait plusieurs fois que tu jouis... Ta chatte est distendue... après la bite d'Ephraïm et la mienne... Je vais te sodomiser...
- Non, noooon ta queue est trop grosse !
- Ne t'inquiète pas Trixie, je vais y aller doucement et lentement, jusqu'à ce que tu sois prête pour que je la mette toute...
Il me fit lever me tourna face a la table je me courbais sur le meuble, Dumortier glissa son énorme queue entre mes fesses en vue de me pénétrer. Il la frottait lentement le long de ma raie, il me semblait que sa bite prenait encore du volume et de consistance. Je senti la tête du gland pousser contre mes sphincters. Au début, je me suis mis à les contracter, mais avec les paroles rassurantes du pharmacien, je me suis décontractée. Avec une pression croissante, le membre pénétrait mon petit trou, il entrait inexorablement en moi. Dumortier cracha sur sa bite.
- Oh putain que ta bite est grosse... entre lentement...
Dumortier obéissant enfonça sa bite gigantesque, lentement et plus profondément à l'intérieur de ma chatte. Je fus bientôt capable de l'accueillir plus facilement et je commençais à osciller avec mon bassin, enfonçant de plus en plus son membre viril, jusqu'à ce que mes fesses soient collées a ses cuisses.
- Oh putain, c'est booonn, c'est booon vas-y baise moi, baise moi...
Il était maintenant à l'aise dans mon cul. Il commença à me pénétrer de plus en plus fortement et rapidement, ses couilles battaient ma chatte.
- Oh, merde, pensais-je, je ne vais pas tenir à ce rythme effréné, je réprimais l'orgasme qui naissait en moi.
Le professeur s'activait de plus en plus vite entre mes fesses, il me saisit aux hanches, glissa ses pouces sous mon porte-jarretelles, ses mains sous les lanières, me tira fortement vers lui, enfonça sa bite démesurée au fond de mon cul, et vida longuement sa semence avec force dans mes entrailles. La sensation de ballonnement que cela me procura, déclencha en moi une jouissance aussi intense que la dernière, mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine.
Putain, cette pommade devait aussi avoir un effet sur le sperme éjaculé, je sentais des flots de liquide visqueux s'écouler de mon cul et couler sur mes bas.
Il se retira.
- Suce ma queue, Salope... Suce...
Je tombais à genoux devant lui, sa queue comme celle du Nganga-Kisi bandait encore énormément.
Je pris son gland dans ma bouche, une contraction et une giclée tiède se répandit dans ma cavité buccale...
- Avale... avale...
Il s'écroula sur le lit... sa bite se dégonfla comme une baudruche... a la fin elle dépassait tout juste de ses poils...
J'ouvris l'écrin et contemplais amoureusement Mon Diamant.
A suivre...
-Youpiieeee... le Dirlo me demande si je veux aller au Congo, tu sais N'Doumbé, le pharmacien noir à la bite immense...
- Ah oui... celui qui il y a un an t'avais baisée dans le sas... Putain oui quand tu m'a montré le film qu'avait tourné Boulier j'avais été impressionnée, il a un sacré engin...
- Oui... et bien il ne veut que moi comme secrétaire...
- Pour te baiser à nouveau...
- Sûrement, mais il y a le voyage... le dépaysement...
- Et surtout sa grosse queue...
Je donnais mon accord avec enthousiasme, deux jours après je reçus un e-mail de N'Doumbé.
« Chère Trixie, je te remercie de bien avoir voulu accepter mon invitation. C'est avec un plaisir immense que je te recevrais. Puis-je te demander une faveur ? Est-ce que tu pourrais apporter les habits que tu avais lors de ma visite ? La veste noire, la jupe fendue, tes bas et ton porte-jarretelles... je fantasme tous les jours de pouvoir à nouveau te serrer dans mes bras dans cette tenue...
Ton Luzollo qui pense bien à toi. »
Je souriais, mais je ne pouvais pas lui refuser cette demande. Je pris l'avion avec monsieur Dumortier pharmacien responsable du labo de recherche. C'était un homme de taille moyenne, d'environ cinquante-cinq ans, les cheveux poivre et sel, une moustache assez fournie ornait sa lèvre supérieure, il portait des lunettes. Il m'expliqua au cours du vol, qu'on nous envoyait là-bas, pour étudier si un investissement dans ce domaine serait rentable. Par exemple le thé Camellia sinensis, la Muscade- Myristica fragrans , l'Ananas- broméliacées, le Tamarindus indica, et bien d'autres encore... avaient des vertus médicinales. La forêt tropicale humide s'étend en effet sur près des deux-tiers du territoire de la république du Congo. Pour l'instant, le site n'était qu'un ébauche... et la Direction générale attendait nos conclusions pour éventuellement débloquer des fonds. Mon travail consisterait à taper ses notes au propre et de le seconder dans diverses tâches.
L'avion se posa à Brazaville. N'doumbé nous accueilli à l’aéroport, on aurait dit un enfant ayant hâte de déballer son cadeau de noël. Le reste de la journée se passa en visite de leur usine de fabrication. Le soir, N'Doumbé me prit à part.
- Vois-tu Trixie, le Directeur de la société est mon frère aîné Ephraim, il a un problème ! En effet, depuis que je lui ai montré la vidéo dans laquelle nous faisions l'amour dans le sas de déshabillage, il ne peut plus entrer en érection. Il a consulté en Europe d’éminents spécialistes qui au niveau physique n'ont rien trouvé, tout est normal. Alors, en désespoir de cause, nous nous sommes tournés vers le marabout de notre village. Nous lui avons expliqué, il a visionné la vidéo, elle lui a bien plu. Il m'a énormément questionné sur toi, ton physique, sur les sensations que j'avais ressenti lorsque nous avions fait l'amour et a conclu que c'était toi qui l'avais envoûté... Alors il nous a demandé de te faire venir, pour qu'il puisse conjurer le sort... Il a dit que c'était indispensable que tu viennes avec les habits que tu portais ce jour-là ! Tu sais ici au cœur de l'Afrique équatoriale, ces croyances perdurent encore... bien que nous soyons au vingt et unième siècle. Il m'en a expliqué le déroulement... C'est une cérémonie rituelle, il n'y a rien de dangereux, ni de douloureux pour toi... Alors si tu es d'accord... nous pourrions y aller ce soir !
- Vraiment Luzollo, toi un scientifique, tu crois à ces balivernes...
- Euhhh... non pas tellement, mais c'est pour mon frère... Il serait tellement heureux de retrouver sa virilité. Tu sais, c'est de famille son sexe est aussi gros que le mien !
- Je suis septique, mais pour te faire plaisir si tu me garantis qu'il n'y a aucun risque, je veux bien te faire plaisir.
Le soir venu, habillée comme demandé par le sorcier, nous partîmes en voiture, le trajet dura presque deux heures. A l'arrivée N'Doumbé nous fit entrer dans une grande case. Un vieux noir, vêtu d'un pagne de raphia assez court et pas très épais qui ne lui cachait que le sexe et les fesses, semblait nous attendre. Il avait des plumes d'autruche multicolores sur la tête, des colliers d'ossements pendaient sur sa poitrine ridée, des bracelets de coquillages tintaient à ses poignets et à ses chevilles. Il y avait deux chaises en face d'une sorte de portique de bois qui trônait au centre de la pièce. Sans préambule, il fit asseoir Luzollo et Ephraim. Il m'examina des pieds à la tête, satisfait de son examen un large sourire découvrit sa bouche édentée. Il m'entraîna sous le portique. Pendant un moment, il se mit à tourner autour de moi psalmodiant des incantations dans un dialecte local. Puis il versa une potion dans une coupelle et l'approcha de mes lèvres.
- Bois, me dit-il.
J'hésitais, regardais N'Doumbé d'un œil interrogateur.
- Tu peux boire sans crainte, ce n'est pas du poison, dit-il en riant...
J'avalais lentement le breuvage, c'était sucré, fortement alcoolisé et très bon au goût. Il recommença à tourner. Au bout de trois minutes, une douce sensation de bien-être m'envahit, une douce chaleur naissait dans mes entrailles, c'était vraiment agréable, ma tête tournait un peu. Il me semblait que mes sensations devenaient de plus en plus fortes. Il continua son rituel autour de moi pendant un moment, sûrement pour attendre que la potion fasse son effet. Mon sang s’échauffait, le désir naissait dans mon bas-ventre.
S’arrêtant devant moi, il plongea son regard dans le mien, et fit sauter le clip de ma veste. Passant derrière moi, il en écarta lentement les pans, offrant mes seins au regard des deux frères, qui s'étaient dénudés. Luzollo se masturbait doucement, la queue de son frère pendait mollement entre ses cuisses.
Je me doutais e ce qui allait suivre, mes mamelons s'étaient durcis et mes deux petits cônes bruns pointaient fièrement. Le marabout me quitta le vêtement, il était toujours derrière moi, je sentis ses mains fripées passer de chaque côté de mon corps, se saisir de mes globes laiteux et commencer à me les pétrir, à me les caresser toujours en récitant ses litanies. Les doigts se saisirent de mes tétons, les tirèrent, les pincèrent, les firent rouler...
- Femme blanche, j'ai vu Luzollo te baiser... Ma bite est encore plus grosse que la sienne... Je vais éjaculer ma semence en toi, tu vas aimer... tu vas jouir... me murmura-t-il dans un mauvais français.
Je commençais à ne plus être maître de mes émotions, sûrement la drogue.. . Et les sensations de plaisir que me donnaient ses attouchements étaient multipliées par dix, ses onomatopées lancinantes semblaient me tirer vers la luxure. Une boule de feu sourdait dans mon sexe, ne demandant qu'a s'embrasser. Ma respiration s'accélérait, je sentais ma chatte devenir moite, mes seins durcissaient sous ses attouchements. Je compris lorsqu'il me leva un bras, à quoi servaient les deux cordelettes qui pendaient de la poutre transversale, je ne résistais pas lorsqu'il y lia mes deux poignets, chacun à une corde.
Toujours dans mon dos, il dégrafa ma jupe, qui se retrouva à mes pieds, il passa devant moi, mit deux doigts dans mon string et l'arracha d'un geste sec... en souriant de sa bouche édentée, une décharge électrique me traversa le corps, un afflux de foutre inonda ma chatte, je n'étais plus vêtue que de mes bas et de mon porte-jarretelles noir perchée sur mes talons aiguilles.
Il fit une espèce de danse faisant onduler ses hanches, à travers les brins de raphia son sexe, noir énorme au gland mauve circoncis, commençait à poindre lentement. Au plus, il minait une pénétration au plus il grossissait, et montait à la verticale au travers des brins de raphia, il devint plus gros que celui de Luzollo. Il se sépara du pagne. Me laissant un moment admirer son squelette décharné, on se demandait comment un corps aussi émacié pouvait avoir un sexe aussi gros, long et aussi épais. Il repassa dans mon dos, je sentis son phallus énorme et raide frotter entre mes fesses, ses mains se plaquèrent au bas de l'intérieur de mes cuisses et suivant les lanières du porte-jarretelles firent une lente reptation vers ma chatte en feu.
Il écarta mes grandes lèvres, son majeur s'insinua dans mon vagin trempé, il fut bientôt suivi de deux autres doigts, longs et décharnés. Il frottait de plus en plus fort son membre démesuré dans la fente de mon cul. Ses doigts entamèrent dans ma chatte une valse, ils me tirèrent des gémissements de plaisir.
- La femme blanche aime, les caresses du vieux noir... sa chatte est trempée...
Mon corps commençait à onduler. Il léchait mon cou gracile récitant ce qui devait être des formules magiques. J'étais de plus en plus excitée, mon cerveau ne commandait plus. Je fermais les yeux, me laissant couler un peu plus profondément dans la perversion. Lorsque je les ouvris, il était devant moi, nu, le sexe en totale érection son gland circoncis dépassant largement son nombril, une énorme paire de testicules pendait entre ses cuisses. Il tenait une sorte de chasse mouche, fait d'un manche en bois sur lequel étaient fixées de nombreuses lanières de cuir.
Toujours psalmodiant,, il caressa mes seins avec les fines courroies, c'était très agréable, je tendis la poitrine en avant, il fit de nombreux passages excitant mes mamelons, jusqu'à ce je gémisse de plaisir. Puis un rictus me montra à nouveau sa bouche édentée et un coup s'abattit sur mon sein droit, le gauche eut droit au même traitement, cela les rendit plus fermes et mes mamelons durcirent encore plus. Il flagella mes flancs, mon dos sans trop appuyer les coups... avec mes amants au boulot j'avais pratiqué cette expérience de flagellation et je ne détestais pas... lorsque le martinet s'attaqua au haut de mes cuisses puis à mes fesses et à ma chatte, je râlais et hoquetais de plaisir. Le foutre coulait sur mes cuisses le long de mes bas...
Dans un brouillard érotique, je regardais N'Doumbé, il branlait avec vigueur son énorme appendice noir, son frère par contre avait toujours le pénis qui pendait mollement entre ses jambes.
Le sorcier délaissa son fouet en souriant, il s'avança vers moi. Il me prit une jambe avec son avant-bras décharné, la souleva et l'écarta largement. Avec son autre main, il positionna le gland de son phallus éléphantesque à l'entrée de mon vagin le pénétrant un tout petit peu.
- Oui, oui, enfonce-moi ta bite noire... ouuiiii... vas-y.... Je veux sentir ta queue au fond de ma chatte... Hurlais-je...
Sans se presser, il frotta son torse ridé sur mes tétons bourgeonnant, sa bouche s'en empara ensuite à tour de rôle, il les suça, les mordilla, puis délaissant les petits cônes bruns, se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Dans un état second, je lui rendis son baiser, une petite voix très loin dans ma tête me disait :- Salope... salope il est vieux, laid, fripé...décharné... pas ragoûtant et il va te baiser... résiste... il va vider ses couilles en toi... Salope...
Mais lorsque je sentis sa bite monstrueuse écarter les grandes lèvres de ma chatte, puis les petites et glisser doucement dans mon conduit vaginal, les murmures de ma raison furent couverts par mes gémissements de plaisir. Il me pénétrait au rythme de ses incantations, suivant les modulations, c'était rapide ou lent... Ses couilles tressautaient et frottaient la peau nue au-dessus de mon bas. Une chose était indéniable, son énorme bite me tirait un plaisir fou. J'avais saisi les cordes et m'arc-boutais pour recevoir ses assauts, plus rien ne comptait que l'ivresse que me donnait ce coït avec son membre démesuré et noir. Il me pénétra ainsi pendant ce qui me sembla une éternité, mais qui me paru trop courte lorsqu'un orgasme monumental déferla au travers de mon corps, je hurlai alors qu'il déversait son sperme au fond de ma chatte. Mon corps se cabra et resta tétanisé, puis la vague de volupté m'emporta, une fois celle-ci passée, je m'écroulais tremblante, retenu par les cordes de mes poignets, abasourdie par le plaisir.
Le sorcier ricanait, il s'approcha et me murmura.
- On va se voir bientôt...
Luzollo vint me détacher, me soutenant, il m’emmena vers sa chaise, son monstrueux membre viril était toujours en érection. Il me fit asseoir sur ses genoux me caressant les cheveux.
- Trixie, tu me rends fou, regarde comme je bande, je crois que je ne vais pas tarder à éjaculer, puis-je le faire dans ta chatte ?
Le besoin de sexe ne m'avait pas tout à fait quitté, comme dans un rêve, sans réfléchir, je l'enjambais, m'empalais sur le membre noir turgescent, sa bouche se plaqua sur mes seins, quelques allers et retours et il déversa sa semence dans mes entrailles en m'embrassant comme un fou.
Après qu'il eut discuté longuement avec le marabout, car la queue de frère était toujours sans consistance, nous reprîmes la route de Brazaville.
- Eh bien, tu as vu... tu avais raison d'être septique, le désenvoûtement n'a pas fonctionné. A voir le sorcier te baiser ainsi, cela aurait du faire bander Ephraïm, mais ses incantations ont fait chou blanc ! Le marabout m'a indiqué un autre moyen... Il y a peut-être un remède... une potion...
Le lendemain avec Dumortier, nous partîmes rejoindre le camp.Trois jours plus tard y compris un jour entier de navigation sur une rivière au cœur de la jungle nous arrivâmes au débarcadère qui permettait d'accéder à la zone de travail. On fut accueilli sur le quai par un noir à la carrure impressionnante, qui nous conduisit à travers la jungle jusqu'au campement. J'eus un hoquet... c'était vraiment une esquisse de cantonnement, le camp se composait de paillotes plus ou moins grandes. L’électricité était fournie par des groupes électrogènes...
Il y avait maintenant huit jours que j'étais ici. J'étais arrivé au Congo avec des chemises résistantes, des pantalons longs que je pensais indispensables. Mais ces vêtements se sont vite avérés complètement inadaptés à la chaleur et à l'humidité étouffantes et sont rapidement devenus humides. Sous la pluie presque constante, chaque chose était mouillée et restait humide.
J'ai vite adopté les chemises légères et les shorts que le professeur Dumortier fit venir de Brazaville. J'avais vite abandonné le port de mon soutien-gorge, et même de mon string. En revanche, la plupart des travailleurs noirs locaux ne portaient que des pantalons. Il s’avéra que pour moi, c'était une distraction quotidienne, d'admirer leurs corps musclés et durs pendant qu’ils travaillaient. D'accord, admirer n'est pas un mot juste. Cela avait peut-être avec du sens... les premiers jours, mais maintenant au bout d'une dizaine de jours, le mot convoitise serait probablement plus approprié.
Etre entouré toute la journée par des hommes à moitié nus, au corps ciselé, l'humidité faisait coller le tissu aux parties génitales, et cela conduit aux fantasmes inévitables. Je m'imaginais souvent en train de travailler les seins nus, la douce pluie ruisselante, coulant sur ma poitrine, chaque bouffée de brise rafraîchissante chatouillant mes mamelons durcis tandis que je travaillais assidûment sous le regard des travailleurs indigènes. Je me voyais ensuite enlevée par ces ouvriers aux corps musclés, qui déchiraient et ôtaient mon short. Il me semblait que tous les jours, je finissais par avoir les culottes mouillées, et pas seulement par les conditions environnementales naturelles. Il me semblait être constamment en état d'excitation. Je me demandais, étant la seule femme, si le cuisinier ne mettait pas une drogue aphrodisiaque dans ma nourriture.
J'étais sûre, que le professeur Dumortier n'aurait pas été très heureux s'il avait pu savoir ce que je pensais la plus grande partie de la journée.
L'air était chaud et collait, empreint d'humidité. Je ne pouvais toujours pas m'habituer à cette chaleur et a cette humidité. Tout était toujours mouillé, humide de pluie et de sueur.
- Tu es une petite salope pensais-je. Tu approches de la trentaine, et les noirs te font toujours autant fantasmer... Tu aimes te faire baiser par leurs grosses bites noires, celle de Gérald te manque ! Vas-tu résister longtemps ?
Et bien sûr, en pensant à lui, j'aimais à espérer que j'étais assez sophistiqué dans le choix de mes partenaires surtout noir. Enfin, me dis-je, de toute façon, tu es maintenant au Congo, pour bosser et tu as accepté ce contrat. Mais cette acclimatation avait eu un début lent et difficile pour moi. Car nous étions isolés dans un camp à l'intérieur de la forêt tropicale, avec peu de contact avec le monde extérieur et uniquement pris en charge par les habitants des villages locaux... Lorsque nous avions quitté Brazzaville, N'Doumbé avait promis de venir au camp dans 15 jours...
Au fil des jours, je sentais de plus en plus que les yeux des travailleurs erraient sur mon corps. J'essayais de me persuader du contraire. Mais c'était le cas et cela ne faisait que nourrir ma convoitise croissante. Je me concentrais difficilement sur mon boulot, toute perception de la réalité était assombrie par un état d'éveil érotique et distrait.
À la fin de chaque journée, je ne pouvais pas attendre de terminer le dîner, il fallait que je prenne une douche et regagne ma hutte pour me masturber. Tous les soirs, j'étais terriblement excitée, j'étais de plus en plus persuadée que l'on me droguait.
Dans le confinement de ma case, l'air, était si moite qu'au bout de la première nuit, j'ai dormi sur le dessus du lit, juste avec une petite culotte. Cela avait provoqué une nouvelle série de sensations érotiques. Avec le trou ouvert pour la fenêtre et juste un rideau pour la porte, le sentiment d’exposition et d’insécurité s’était rapidement transformé en fantasmes imaginaires pervers. Des travailleurs noirs et musclés, aux bites énormes m'assaillaient avec une intention salace, mon corps en sueur, se tordait de plaisir sous leurs mains rugueuses.
C'était devenu une obsession nocturne récurrente conduisant mon corps et mon esprit à une masturbation libératrice. Au fil des soirées cela devint un rituel nocturne avant que je puisse m'endormir. Je masturbais ma chatte avec vigueur, je pinçais, tirais mes mamelons durcis, enfonçant mes doigts dans mon vagin trempé pour me donner un une jouissance démentielle.
Je gémissais, haletante et tremblante. Je rêvais que des ouvriers imaginaires étaient autour de moi et me regardaient attendant leur tour, pour tous me baiser. Mon corps se balançait jusqu'à la poussée pénétrante d'un gros sexe noir et j'appréciais avidement chacune de leurs bites qui m'entouraient énormes et raides en prévision du travail qu'elles allaient faire dans ma chatte.
Après ma jouissance, je m'écroulais sur le matelas trempée de sueur et de foutre et dérivais dans un sommeil érotique, rempli de rêves plus salaces les uns que les autres, épuisée.
Ces activités nocturnes me fatiguaient et je me réveillais de plus en plus lasse chaque matin. Malgré mon épuisement, je m'éveillait avec un désir palpitant de sexe, mais je devais être active immédiatement. Sauter hors du lit, m'habiller et sortir pour le petit-déjeuner.
Je savais que si j'essayais de m'allonger, je replongerais dans les bras de Morphée, mais mon esprit me trahissait, et mon corps voulait être assouvi. Je savais que je devais me faire baiser et me faire baiser bientôt. Je n'allais pas pouvoir tenir jusqu'à la fin de mon contrat et de mon retour à la maison. J’espérai ardemment la visite de N'Doumbé !
Monsieur Dumortier se dirigeait vers moi. J'avais la chemise ouverte sur mes seins, et mes tétons se dessinaient en transparence sous le mince tissu.
- Ca va Trixie, en forme... vous me semblez distraite ! Est-ce que cette chaleur vous accable ? Dit-il fixant ma poitrine dénudée.
- Non monsieur, je suis juste un peu fatiguée, je n'ai pas bien dormi la nuit dernière, mais ça ira - Je vais dans le lot 67 alors, mais prends bien soin de toi.
Je pense qu'il s'inquiétait pour moi. Il a regardé avec attention mes seins se dessinant sous ma chemise et puis il opina de la tête.
- C'est bien ce qui ce qui s'est passé hier soir, je m'occupe bien de moi tous les soirs pensais-je en souriant.
Le pharmacien tourna les talons, pour réorganiser le travail d'un groupe qui apparemment prenait du bon temps.
- Décidément, tu es une grande salope. Si le professeur Dumortier avait été plus attentif, il aurait vu que c'était toi qui les distrayais, ou plutôt que c'était toi qui les excitais, ce qui, je suppose ne devait pas faire avancer bien vite leur travail.
Mais maintenant je ne pouvais plus m'en empêcher. Je savais que les travailleurs noirs me désiraient et je me montrais de plus en plus dévêtue... autant que possible. Je me penchais pour offrir le spectacle mon cul, ou laissais par inadvertance ma chemise s'ouvrir et exhiber un sein ou parfois les deux. J'étais une putain terriblement excitée. Ces petits jeux me faisaient mouiller comme une folle, en regardant les gars, j'étais prête à me laisser baiser sur-le-champ. Lorsque je suis rentrée au camp aujourd’hui, j'étais tellement excitée qu'il fallait faire baisser la pression de ma libido de suite.
Si la journée avait traîné beaucoup plus longtemps, je suis sûre que je me serais déshabillée et j'aurai laissé les ouvriers me baiser sur le site.
Dès que je suis entré dans ma hutte, je me suis mise nue et j'ai commencé à explorer ma chatte en sueur avec mes doigts avides.
- C'est si bon mais j'ai besoin de plus ... beaucoup plus... une grosse bite noire et dure...
Je me suis fait jouir avec rage. Pendant la nuit, un sentiment étrange me traversa, j’eus l'impression fugace d'être observé alors que je pétrissais lentement ma poitrine, mes doigts pinçant et roulant doucement mes mamelons de plus en plus durs.
Je ne pouvais pas vraiment comprendre d'où venait ce sentiment, mais cela a intensifié mon désir de jouir, je fermais les yeux et m'imaginais que je laissais des ouvriers me regarder nue me tordant de désir sur le lit, les jambes grandes ouvertes caressant ma chatte sous leurs regards lubriques.
Alors que mon fantasme prenait une consistance de plus en plus pornographique, je me suis allongée et j'ai laissé mes doigts courir lentement sur mon corps, glissant à travers les ruisseaux et la sueur sur mon ventre et dans les replis de ma chatte. Je suis allée plus loin, écarté largement mes jambes pour plonger mes doigts entre mes lèvres engorgées de sang, avec mon pouce appuyant fort sur mon clitoris.
Je captai un léger mouvement au pied de mon lit à travers des yeux mi-clos. J'ai essayé de fixer mon attention et puis j'ai vu une silhouette. C'était un homme, il était grand, la lumière de la lune venant par la fenêtre faisait luire sa peau d'ébène, il était nu. Sa forme se précisa nettement quand il s'approcha de mon lit. J'aurais dû être terrifiée, j'aurais dû crier, mais...j'étais trop loin sur la route de ma jouissance... Je m'entendis dire à haute voix.
- Hooooo putain quelle bite !! Je vais jouir oh merde...Aaaaaaahhhhh Je ne peux pas me retenir.... je jouiiiiiii.... Oh putain que c'est bon !!!
Que pouvais-je faire d'autres. Je continuais à haleter de plus en plus fort, mes doigts continuaient à s'activer dans ma chatte avec une vitesse fulgurante. Voir ce gars qui me regardait accéléra mon orgasme, qui me laissa dans une paralysie euphorique, je haletais et gémissais fort. Si j'avais été dans un état rationnel, je me serais inquiétée, j'aurai réveillé par mes cris le reste du camp, pas un son ne sortit de ma gorge a part des gémissements de plaisir.
Mon voyeur les traits obscurcis par l'ombre, se tenait au-dessus de mon corps qui se tordait, des cris de bonheur s'échappaient de mes lèvres, la jouissance me traversait avec des ondes de plaisir.
Je me suis relevée, cambrant le dos, mon bassin et ma chatte offerte s'élevant vers le voyeur.
Mon corps est devenu rigide avec mes doigts enfoncés au creux dans ma chatte convulsive tandis que l'orgasme explosait à travers mon corps, puis la vague de plaisir passée, je me suis effondrée sur mon lit comme une baudruche. Je respirais fort dans mon étourdissement post orgasmique en attendant qu'un semblant d'ordre se rétablisse dans ma tête.
La raison revenait, je devais trouver qui était cet homme, ce qu'il voulait. Je ne pouvais toujours pas distinguer ses traits, mais il devait être l'un ouvriers, je ne voyais pas qui d'autre ce pouvait être.
J'essayais de me triturer le cerveau pour obtenir des réponses, j'ai réalisé tout d'un coup que je caressais toujours ma chatte ouverte et palpitante.
J'étais encore très excitée, se mettant sur mon coté droit, mon observateur passa ses grandes mains sous moi et me retourna sur le ventre.
Avant même que je puisse tourner la tête pour demander ce qu'il était en train de faire, il me saisit les hanches et me souleva sur les genoux. Au moins une de mes questions obtint une réponse.
Maintenant, je savais pourquoi il était là. J'avais été dans cette position plusieurs fois auparavant et cela ne signifiait qu'une chose...
Je regardais en arrière et je vis la silhouette de son pénis, putain, c'était un monstre... noir, épais, dressé et très grand. J'en restais la bouche grande ouverte. Il me tira vers le bord du lit, celui-ci n'était pas très haut. Je sentis aussitôt le gros phallus noir glisser de haut en bas entre mes fesses.
Mon corps réagit avec une nouvelle brûlure dans les reins et je ne pouvais pas m'empêcher de hausser mes hanches sur lui pour signaler mon envie.
J'essayais de me raisonner, je ne pouvais pas croire que je n'avais pas essayé d'arrêter ça, je n'avais pas dit un mot pour exprimer mon refus. L'ombre noire, avait-elle compris. ? Avant que je puisse répondre à cette pensée, je sentis sa grosse main sur le haut de mon dos et il poussa ma poitrine vers le bas, écrasant mes seins sur le matelas. Mes mamelons en érection durs comme du bois frottèrent sur le tissu de la literie ferme et ma poitrine glissa de tous côtés, envoyant des impulsions de plaisir perçant me parcourir le corpsLes dernières velléités de santé mentale qui restaient me criaient de m'arrêter, de combattre ce que je subissais. Mais cela a été coupé et balayé lorsque je sentis sa queue glisser en moi, ma vanité fut vaincue et une vague accablante de plaisir me submergea. Je m'entendis crier.
- Ouiiiiii... S'il vous plaît, enfoncez votre bite, s'il vous plaît baisez-moi ...Dou...doucement s'il vous plaît, vous êtes si gros ... Mais oui baisez-moi, baisez moi... s'il vous plaît. Enfoncez votre grosse queue...
Mon bassin était relevé, j'ai senti une pression sur mes fesses m'obligeant à écarter les jambes, ma chatte était en train d'être comblée lentement par l'énorme piston noir. Mon vagin ne protesta pas et le frottement s'est rapidement transformée en un plaisir brûlant lorsque cette immense bite pénétra sans relâche dans ma chatte. J'ai crié et gémi de plus en plus sentant glisser son énorme sexe en moi. Mes hanches ronronnaient d'extase, tout mon corps tremblait tandis, qu'un autre orgasme commençait à s'emparer de mes entrailles.
- Aaaaaahhhhh enfonce, enfonce plus profond, Oh merde, je vais jouir... Putain que ta bite est bonne...
Mon esprit refusait l'orgasme qui naissait dans mon ventre, il fallait que je retarde ce moment ! J'essayais de forcer pour enfoncer la bite le plus loin possible en moi. Il me tenait fermement par les hanches, me pénétrant avec de longues poussées tandis que ma chatte se convulsait prête à l'orgasme et se contractait de manière incontrôlable. Sans prévenir je joui, mon orgasme passa comme un flash, je me sentais tomber mais mon corps perfide, commença à se préparer pour un autre. Il était en train de me serrer et de me pétrir le cul et il continuait à me labourer la chatte avec sa queue lentement à mesure que je récupérais.
- Oooooohhhh putain baise moi encore et encore...
Lentement, il commença à augmenter le tempo et la profondeur de ses pénétrations. Je recommençais à repousser vers lui mon cul plus fortement, tandis qu'il continuait à me pilonner avec une rapidité inouïe, jusqu'à ce que ses cuisses claquent dans mes fesses et que ses couilles giflent mon clitoris. Cela déclencha une autre série d'orgasmes qui déchirèrent mon corps, me laissant hagarde, accrochée à sa forte emprise sur mes hanches.
Le mystérieux visiteur n'avait toujours pas lâché un seul mot. Je n'avais toujours pas de réponse à mes questions !
Je baissais ma poitrine sur le matelas, c’était clairement sa position préférée et levais les fesses plus haut, attendant que son énorme baïonnette acérée me pénètre.
Il stoppa brusquement sa baise rapide, passant à des coups lents et profonds, des grognements brusques s'échappaient de ses lèvres tandis que ses hanches me martelaient le cul, il me semblait que sa queue prenait des proportions gigantesques alors qu'il l'enfonçait plus profondément dans mon vagin.
Ma chatte était en constante contraction, étranglant sa queue jusqu'à ce que je la sente tendue, puis il déchargea son sperme au plus profond de moi avec un fort grognement guttural final. Je ressenti une sensation de ballonnement soudain qui déclencha un orgasme massif lorsque le liquide tiède et visqueux explosa dans ma chatte, remplissant mon conduit vaginal pour couler le long de mes cuisses.
Il resta enfoncé fortement dans les profondeurs de ma chatte, jusqu'à ce que la dernière goutte de son éjaculation soit déposée, puis il se retira lentement.
Le vide laissé par sa bite vide a fait palpiter mon vagin avec de délicieuses sensations, répliques post organiques. Il relâcha mes hanches et mon corps s'effondra sur le lit.
Quand le brouillard de ma tête se dissipa suffisamment pour regarder derrière moi mon mystérieux visiteur, pour obtenir des réponses, il était parti.
Je me suis endormi d'un seul coup, au réveil le lendemain matin des écharpes de brume tournaient dans mon cerveau, j'étais toujours allongée là où il en avait fini avec moi. Alors que je déplaçais lentement mes hanches et sentais à quel point ma chatte, était meurtrie.
J'ai aussi mouillé le matelas qui était en dessous de moi était énormément mouillé, je me levais, du sperme s'écoula entre mes jambes.
J'enroulai une serviette autour de moi et me dirigeai vers la douche, les ouvriers étaient attablé a la table du mess. Je les regardais avec attention, en pure perte, pour essayer de voir si je pouvais identifier mon visiteur mystérieux. J'entrai dans la douche, les canisses qui étaient sensés isoler des regards, laissaient à désirer et n'étaient pas très hauts... la douche n'était pas très éloignée du réfectoire...
- Putain, est-ce que je pourrais faire ça ici ? Celui qui m'a baisé cette nuit sera peut-être à nouveau émoustillé ?
Me suis-je demandé en enfonçant mes doigts dans ma chatte. Au bord de la palissade délabrée, je commençais à me masturber, en les regardant. Mes gémissements de plaisir attirèrent vite leur attention, leurs regards m'amenaient à l'orgasme, mon esprit était maintenant complètement embué par les événements de la nuit dernière. Je jouis assez fortement... mais aucun des hommes présents ne se manifesta. Après une longue douche, je sortis de la douche pour examiner les ouvriers. Je devais à tout prix découvrir qui m'avait baisé hier soir ! Je devais le savoir, je devais le faire revenir...
La journée s'éternisa, longue, monotone, je faisais tout pour les exciter, pour qu'il se découvre... mes efforts restèrent vains.
Le soir, il était presque minuit, lorsque le rideau se souleva, je me mis aussitôt à genoux sur le lit, levant mon bassin, lui offrant ma chatte... la magie opéra à nouveau. Cela continua pendant quatre nuits, j'avais cessé de chercher qui pouvait être, le prince noir qui ne faisait autant jouir.
Le cinquième soir, au lieu de grimper sur le lit derrière moi, il se pencha sur moi, me souleva dans ses bras et me jeta par-dessus ses épaules. J'étais sur le point de crier, jusqu'à ce que je réalise les très larges épaules sur lesquelles j'étais enroulée.
Je me mordis la langue en me demandant ce qui se passait, ce qui avait changé ?
Peut-être voulait-il me baiser ailleurs ? Il franchit le seuil de ma hutte et commença à me transporter hors du camp. Je réalisais d'un coup que j'étais complètement nue.
Je commençais à paniquer un peu, je lui demandais où il m’emmenait, il ne me répondit pas, mais un doigt de la grosse main qui me tenait par-dessus mes fesses s'insinua dans la fente de ma chatte grande ouverte. Cela me calma, comme une chute dans la luxure emplie de convoitise, je gémissais de plaisir aux sensations que ses gros doigts produisaient alors qu’ils balayaient et sondaient ma chatte.
Au bout d'une interminable marche, au cours de laquelle je faillis jouir plusieurs fois, nous arrivâmes dans une sorte de caverne, il monta quelques marches et salua plusieurs hommes qui l'attendaient. Il me posa sur le sol, je pouvais voir que leurs yeux étaient collés à mes fesses et ma chatte qui laissait mon foutre.
- Merde s'il touche à nouveau ma chatte, je vais jouir devant ces hommes ! Pensais-je.
Je regardais devant moi, il y avait une sorte d'autel. Un vieillard était couché sur un matelas, sa peau noire ridée ressemblait a un parchemin ridé de plusieurs siècles. Puis mes yeux se fixèrent sur une monstrueuse bite flasque qui reposait sur ses cuisses squelettiques et s'étalait sur son ventre.
Je plissais les yeux, ils remontèrent le long de son torse émacié, pour regarder de plus près et son visage... je sentis mon estomac se soulever, je venais de le reconnaître, c'était le sorcier qui avait officié en présence de N'Doumbé. Etait-il possible qu'il soit présent ?
Mon regard embrassa les hommes présents, je n'avais pas fait attention, mais ils étaient tous nus, seul Dumortier présent lui aussi était habillé. Leurs immenses bites pendaient flasques entres leurs cuisses. Effectivement, Luzollo faisait parti de l'assistance, son frère Ephraïm était lui aussi présent assis sur un fauteuil de bambous.
J'avais maintenant une assez bonne idée de ce que je devais faire ce soir et en regardant la bite énorme mais flasque pour l'instant qui se tenait devant moi. Je compris alors les paroles qu »il m'avait murmurées à la fin de la première séance... ll voulait me baiser à nouveau...
Il était clair que ce vieil homme était un marabout important ici.
A ses cotés se tenaient deux jeunes filles d'un noir d'ébène, elles étaient aussi nues que moi.
Le vieil homme m'examina. Je voyais et sentais ses yeux scruter de mon visage, parcourir mes seins et venir se poser sur ma chatte encore mouillée, il souriait béatement d'un air satisfait.
N'Doumbé s'approcha, il porta à mes lèvres un bol rempli d'un liquide ambré.
- Bois, tu en as déjà pris l'autre jour...
J'obéis et avalais le nectar alcoolisé et sucré...
Une des jeunes filles s'adressa au sorcier.
- Oh grand Nganga-Kisi, il faut vous préparer pour la jeune fille...
Avec sa main droite, elle puisa dans une coupelle une sorte d'onguent et elle commença a badigeonner la bite noire circoncise. L'autre souleva la tête du vieillard et lui fit boire une potion.
Comme la première fois, la drogue pénétra assez rapidement mon organisme...
Mes yeux s'écarquillèrent, au plus la jeune fille frottait la bite du marabout au plus celle-ci prenait des proportions monstrueuses. Elle atteignit bientôt une érection indescriptible...
Pointant vers le plafond telle une stalagmite noire, elle devait mesurer largement plus de trente-cinq centimètres de long et presque huit de large. Son gland bistre formait un petit champignon.
- Je ne peux pas me faire baiser par cet engin... Elle est vraiment trop grosse... Et puis il y a trop de monde...
Je sentis alors deux doigts boudinés et noirs glisser dans ma chatte trempée.
- Vraiment Trixie ? Pourtant, tu me sembles terriblement prête pour quelqu'un qui dit qu'il n'a pas envie de ça, je trouve que ta chatte réclame avec force cette bite. Tu vas être étonnée de ce que tu peux prendre...
Il plaqua sa main, ses quatre doigts se faufilèrent dans mon vagin et commença des allers et retours, la drogue que j'avais ingurgité, avait fait complètement, fait son effet maintenant, j'étais très excitée, mon sexe réagit à sa caresse et un flot de foutre coula le long de mes cuisses.
Tout en fixant l'énorme queue immobile devant moi, mes hanches tremblaient de façon incontrôlable tandis que je poussais sur ses doigts pour les enfoncer plus profondément. Il retira ses doigts de ma chatte et tint devant moi. Mon foutre épais coulait de ses doigts.
- Je pense que tu es prête Trixie, notre Nganga-Kisi peut maintenant éjaculer en toi. Deux hommes me soulevèrent, j'agrippais leurs cous, ils me positionnèrent au-dessus de l'énorme bite tendue.
Je perdis de vue l'immense rouleau noir pendant que mon corps s'élevait au-dessus du vieil homme et je paniquais légèrement lorsque je réalisais que j'étais sur le point de m'empaler sur ce sexe démesuré. Je commençais à me tortiller, mais les grandes mains tinrent bon, elles me baissèrent lentement.
- Oh putain... Oh putain.... Oh merde...
J'ai senti la tête effleurer légèrement les lèvres de ma chatte distendues puis le monstrueux gland fut inexorablement poussé dans mon conduit vaginal. Ma chatte résista, protesta contre la taille qui voulait la pénétrer, mais céda soudainement, quand les deux hommes me descendirent avec force sur le pieux noir.
Ma chatte tendue et ouverte et trempée, ondulait et glissait autour du gland gorgé de sang puis les nervures rugueuses de la bite envoyèrent des éclairs de feu au travers de mes reins. Je sentais mes parois vaginales s'écarter de plus en plus tandis que cette monstrueuse bite s'enfonçait inflexiblement en moi.
Puis je me mis à grogner, exprimant un mélange de plaisir et de légère douleur, je haletais, ne pouvant plus respirer, jusqu’à ce que je sente mes fesses se poser sur les cuisses du vieil homme. Elle était entrée entièrement en moi...
Oh, putain, mes parois vaginales serraient tellement sa monstrueuse bite que chaque contraction de ma chatte envoyait des ondes de plaisir au travers de mon corps.
Je me sentais si pleine, je ne pouvais plus bouger, mes respirations devenaient brusques et aiguës alors que mon corps essayait de s'adapter à sa taille de l'engin qui me remplissait le vagin.
J'entendais au travers d'un brouillard des murmures s'extasiant sur la performance que je venais d'accomplir.
Je commençais à bouger doucement sur l'immense bite plantée dans mes entrailles.
- Putain qu'elle est grosse... Putain, elle me remplit entièrement... Putain c'est bon...
Marmonnais-je de manière incohérente.
Je tendis mes cuisses et commençais à me soulever lentement, ma chatte se contractait durement lorsque le membre géant déchirait mes parois vaginales en se retirant lentement.
Je suis arrivée presque au bout du gland, je respirais lentement, puis j'ai recommencé à bouger avec de petits coups de rein, je me suis redressée et j'ai écarté avec deux doigts mon orifice vaginal pour qu'il puisse bien coulisser le long de la monstrueuse hampe noire.
Je fixais mes yeux sur le regard du vieil homme et hochais la tête en souriant, puis commençais à faire lentement des allers et retours ma chatte de haut en bas sur sa bite monstrueuse. Je ne l’enfonçais pas en plein savourant chaque centimètre qui me pénétrait.
Ses yeux se fixèrent sur les pointes turgescentes de mes seins, ses doigts s'en emparèrent, il les fit rouler, les griffa, les étira me tirant des gémissements de plaisir.
Il m'attrapa derrière la nuque et me pencha la tête vers lui, sa bouche édentée se plaqua sur ma mienne sa langue se faufila entre mes lèvres, je lui rendis son baiser passionnément.
C'est alors qu'il accéléra la cadence de ses pénétrations, je le sentis se dilater encore plus à l'intérieur de moi et je m'effondrais violemment sur son ventre. Enfonçant sa queue au fond de ma chatte, Il me sembla que je chevauchais un cheval... Le temps s'était estompé...
Je me débattais en extase, roulant des hanches, la tête rejetée en arrière. Je hurlais pendant qu'orgasme après orgasme le plaisir me déchirait le corps, faisant exploser mon cerveau.
Je ne pouvais pas m'arrêter, je ne voulais pas m'arrêter.
Je voulais m'effondrer sur le corps squelettique, mais le rouleau de viande en moi m'en empêchait.
Il m'attrapa aux hanches et m'enfonça son pieu le plus profondément possible. Il éjacula, et un autre orgasme me déchira à nouveau le corps.
Mon vagin se contracta au moment où son sperme vint combler toutes les crevasses de l'espace restreint qui restait à l'intérieur de moi, il éjacula longtemps avec de sourds grognements.
Il ressortit lentement son sexe monstrueux qui gardait encore toute sa rigidité, puis il se leva de la couche. Aussitôt les deux jeunes noires nme firent étendre. Mon regard embrassa le cercle d'hommes qui m'entouraient, ils se masturbaient avec vigueur... bientôt une quantité impressionnante de leurs semences chaudes et gluantes éclaboussa mon corps, seul N'Doumbé approcha son énorme bite noire de mes lèvres m'appuya sur le menton pour me faire ouvrir la bouche et y déchargea son sperme.
- Avale Trixie...
Je déglutissais le liquide épais et visqueux.
Une des deux jeunes noires, étalait consciencieusement le sperme sur mon corps, barbouillant mes seins, mon ventre, mes épaules, mon dos, mes jambes...
L'autre m'avait écarté les jambes et récupérait dans une coupelle, l'énorme quantité du sperme du marabout qui mélangé à mon foutre s'écoulait de ma chatte. Elle prit une petite cuillère de bois et avec précaution récupéra la semence du vieil homme noir au fond de mon vagin. Une fois l'opération terminée, elle tendit le petit bol au vieux Nganga-Kisi, celui-ci versa un breuvage blanc, mélangea assez longtemps la mixture obtenue. Puis il s'approcha d'Ephraïm et en récitant des incantations lui fit boire le breuvage.
Un moment, plus tard, je sentis mon esprit se dissoudre dans le noir, et je perdis connaissance.
Le lendemain, je me réveillais nue, dans mon lit, dans ma hutte, complètement déboussolée.
A ce moment N'Doumbé entra dans ma case.
- Bonjour Trixie bien dormi ? Tu as été formidable hier au soir... Je crois que mon frère est guéri... grâce à toi... l’élixir du Nganga-Kisi a fait son effet... Ephraïm est retourné à Brazzaville, il t'invite avec monsieur Dumortier à prendre 3 jours de vacances dans la capitale. Ce n'est pas tout regarde ce qu'il te donne si tu lui permets de vérifier avec toi, qu'il a retrouvé toutes ses facultés sexuelles... Regarde comme il est beau, mais il ne sera à toi que si tu es d'accord !
Il ouvrit un petit écrin ou un diamant rutilait de mille feux... j'en restais bouche béé.
- Oh oui, je crois que vais accepter...
- Bon, l'hélicoptère nous attend... Dumortier est déjà au courant. Une dernière chose pour être bien sur, que le charme est rompu, mon frangin voudrait que tu sois habillée comme lorsque nous avons fait l'amour dans le sas...
- Oui, Ok pas de problème.
Dans l'après-midi, nous étions Brazzaville. Le soir, j'avais revêtu la tenue exigée une veste noire, portée a même la peau, qui n'était attachée que par un clip doré entre mon nombril et mes seins. Les bords de l'échancrure dévoilaient la moitié de mes seins et cachaient tout juste mes mamelons, et découvraient au moindre mouvement un peu brusque la moitié de mes aréoles, si je me penchais, les pans s'écartaient et ils baillaient sur mes tétons. Une jupe noire ouverte sur le devant qui laissait apercevoir sur ma cuisse l'attache de mon porte-jarretelles et la lanière blanche qui soutenait mes bas noirs. Même droite, lorsque j'écartais les jambes, elle s'ouvrait jusqu'à la naissance de mon sexe et laissait deviner le début de ma fente, car je ne portais pas de string. J'avais relevé mes longs cheveux blonds en un savant chignon, qui laissait ma nuque libre.
Luzollo passa nous prendre en voiture vers 19 heures, pour nous emmener au restaurant. Nous bûmes l’apéritif avant de partir, le goût de mon verre me rappela une certaine boisson...
Dans la voiture, je montais devant.
- Trixie, tu es parfaite... tu ne portes pas de String... Fais voir !
- Luzollo, ne fait pas comme l'autre fois en France...
- Non, non n'aie crainte... ce soir je n'ai aucun droit sur toi, dit-il en souriant. Mais je vous emmène dans un resto un peu spécial, le ''Cannibale érotique''... et ne pourrait-on pas refaire le jeu que nous avions fait au resto en France... Nous allons manger du Du saka ou pondu, Du poulet à la Moambé, du fumbwa et bien sûr un dessert...
La tête commençait à me tourner un peu, mon ventre s'échauffait.
- Oui, continua-t-il se serait bien que tu émoustilles le garçon pour mettre mon frère en condition ! Surtout, ce cannibale est vraiment érotique, il est nu sous son pagne...
- Tu es toujours aussi pervers, mais le cadeau me tente énormément ! Alors pourquoi pas …- Mon frère pourra ensuite vérifier si l'envoûtement est rompu ?
- Bien sûr !
- Et en quoi consiste ce jeu, demanda Dumortier ?
Au restaurant, Luzollo nous amena dans une petite cour déserte, Ephraïm nous attendait, il discutait avec un gros noir pas très grand, effectivement vêtu d'un pagne de raphia qui ne lui cachait que le sexe et les fesses. Son ventre, couvert de peintures blanches, débordait par-dessus sa ceinture. En apercevant la magnifique blonde qui arrivait, il alluma quatre puissantes lampes autour de la table, puis il se précipita vers moi, ses yeux se fixèrent sur mes seins, il vit qu'ils étaient libres de toute entrave. Il se saisit de ma main droite et se mit a me la secouer, ma veste s'écarta et dévoila le haut de mon aréole. Sa face bariolée s'éclaira d'un grand sourire, lorsqu'il me fit asseoir et que ma jupe s'ouvrit largement sur ma cuisse, puis il partit en cuisine...
J'étais assise à coté de D'Ephraïm, Luzollo passa derrière moi écarta le plus possible les pans de ma veste pour laisser apercevoir la moitié de mes aréoles...
Il s'assit sur ma droite, aussitôt, sa main droite, écarta mes cuisses, il ouvrit les pans de ma jupe et les positionna pour bien dégager les bandes blanches du porte-jarretelles sur mes cuisses, son majeur inquisiteur s' engouffra dans ma chatte, après quelques pénétrations, il le retira poisseux, et le suça avec délice.
Il le remit, le ressortit.
- Tu veux goûter frérot c'est délicieux...
Ephraïm suça le doigt tendu.
- Parfait... Le serveur ne peut rien rater... ni en haut, ni en bas... il va pouvoir admirer ton anatomie, regarde mon frère, ses jambes, ne sont-elles pas magnifiques… on devine sa chatte... Ça t'excites ?
- Oui, je commence à bander !
- Bien, bien, Trixie veux-tu bien jouer le jeu... jusqu'au bout...
- Oui, ça m'excite... moi aussi ! Tu l'as vu en me faisant un doigter... je suis une petite garce... ! Ephraïm, aimerais-tu que je caresse ta grosse bite... sors tes couilles... ! Mets la sous ta serviette...
- Ah oui, je commence à comprendre balbutia Dumortier !
Le serveur arriva pour servir les entrées, la bienséance fait qu'il doit servir d'abord les dames... il passa sur ma gauche, je sentis son mouvement de surprise... mais il fit comme si de rien n'était... Mais son regard revenait toujours sur mon entre-jambe découverte... qui maintenant laissait deviner le début de ma fente. Il servit Luzolo... puis Ephraïm... Il faillit rater l'assiette de Dumortier tant son regard ne quittait pas mes cuisses, une bosse était en train de se matérialiser sous le raphia à hauteur de son sexe, il repartit à regret... Son gland pointait le bout de son nez.
- Au prochain plat, il aura droit à un petit plus... dit Luzolo - Oui, quoi ? Demandais-je ?
-Au bout de ton téton... puis au plat suivant les deux tétons ensembles... ce n'est pas difficile... ils ne demandent qu'a jaillir... et nous gardons le meilleur pour le dessert... Ça te plaît, Ephraïm ?
- Oh oui, oh oui… surtout que Trixie caresse ma queue divinement...
Cela se passa comme prévu, à chaque plat un coup d'épaule et mes mamelons surgissaient... Luzollo avait écarté largement mes jambes, il n'y avait pas de nappe, ma chatte était offerte à la vue de tous... le serveur ne cherchait pas à cacher son érection sa bite noire et dure, sortait entre les brins de raphia, il lorgnait sans vergogne mon sexe dénudé et maintenant assez poilu... Il s'enhardissait même, en servant a frôler mes tétons érigés, et a me frotter sa bite sur le bras.
Le dessert allait arriver... le gros noir passa à nouveau sur ma gauche et s'immobilisa pour me servir, Luzolo fit tomber sa serviette et celle de son frère, se tourna vers moi, me prit la main et me la posa sur sa bite tendue, je les masturbais doucement calottant et décalottant leurs énormes sexes noirs. Le serveur figé n'en croyait pas ses yeux... Il bandait comme un âne. Le vieux frère de Luzollo avança sa grande main noire vers ma chatte, j'écartais largement les jambes. Il caressa la peau nue au-dessus de mes bas, puis son majeur et son index pénétrèrent mon conduit intime qui laissait échapper un flot de foutre, je me renversais sur le dossier de la chaise... mes deux seins jaillirent complètement hors de ma veste... N'Doumbé fit sauter le clip libérant mes deux nichons magnifiques aux pointes brunes érigées. On aurait dit que le temps c'était arrêté... de longs soupirs sortaient de ma bouche... entre mes yeux mi-clos j'entrevoyais le serveur tétanisé la bite tendue, hésitant ne sachant pas s'il allait me caresser les seins. Il s'enhardit et sa main noire malaxa mes globes fermes. Je sentais que le plaisir montait, montait... mon corps fut pris d'un tremblement incontrôlable et je jouissais. Avec un râle de plaisir... ma main droite enserra fortement la grosse bite de Luzolo, ma main gauche saisit le sexe tendu du vieux garçon emmargeant du raphia, faisant quelques allers et retours, je le pressais plusieurs fois, je sentis les soubresauts de son éjaculation... son sperme chaud gicla sur mes seins.
- Putain ! Ça t'a plu Trixie... ouiiii continue à me branler, je vais éjaculer... prends, prends dans ta bouche... dit Luzollo.
Je me penchais pour recueillir le flot de sperme qui gicla de l'énorme phallus noir de N'Doumbé, et l'avalais avec délice.
Le serveur revint, pour servir les desserts, je n'avais pas mis de l'ordre dans ma tenue... mes seins étaient toujours dehors et mes jambes grandes ouvertes, ma chatte ruisselante offerte à ses regards. Il continuait à me fixer, sa queue était toujours grosse... En le regardant langoureusement, j'étalais sur mes aréoles le sperme qu'il avait éjaculé sur mes seins, j'en enduisis mes petits cônes bruns érigés au maximum...
- Alors, demanda Luzolo... ça vous a plu ?
- Oh oui, Putain, Oh oui... Mademoiselle est vraiment magnifique, merveilleuse... il n'y a pas de mots pour qualifier sa beauté... j'en garderai le souvenir toute ma vie... Je n'avais jamais vu une femme blanche dans une tenue aussi sexy...
- Bon, dit Luzolo, tu veux un pourboire...
- Oui Monsieur, je veux bien...
- Tu veux la voir se faire baiser par le monsieur qui est assis là avec la queue énorme ?
- Oh oui, je veux bien... mais je ne sais pas si elle voudra faire ça devant moi...
- Mais si... Hein Trixie que tu vas faire l'amour avec mon frère devant Monsieur...
Il avait sorti l'étui de sa poche et le posa sur la table. Les épices du repas et l'aphrodisiaque que les boissons devait contenir, avaient déchaîné ma libido, en plus devant mes yeux dansait l'écrin contenant le diamant.
- Mais oui... bien sûr...
- Lève toi, s'il te plaîtJ'obéis, il défit l’agrafe de ma jupe qui tomba à mes pieds, puis il quitta ma veste. J'étais nue avec seulement mon porte-jarretelles blanc tranchant sur ma peau bronzée, mes bas et mes talons aiguilles. Luzullo me prit main et me fit faire plusieurs voltes pour leur faire admirer mon anatomie.
- N'est-elle pas splendide notre Trixie, Avez-vous souvent vu une blonde aussi magnifique dans une lingerie aussi sexy... Regardez nos grosses bites noires la rendent folle de désir.
Il défit mon chignon, mes cheveux dégringolèrent comme une cascade blonde sur mes épaules. Sa main se plaqua sur mon sexe, deux doigts noirs et boudinés s'enfoncèrent dans ma chatte ruisselante, son pouce frotta mon clitoris.
Il les ressortit poisseux de foutre.
- Voilà Ephraïm elle est prête, vérifie si l’envoûtement a disparu.
Son frère avait quitté son pantalon et s'était assis sur le fauteuil de rotin. Il m'empala sur son sexe raide et dur qui était aussi gros que celui de Luzollo. Il me caressa, me besogna pendant une bonne vingtaine de minutes... faisant monter mon plaisir... Je jouis au moment où il déversait sa semence avec un rugissement de triomphe.
- Ouf... dit-il. Merci Trixie tout est redevenu comme avant... Tu peux prendre ton petit cadeau.
Je me rhabillais, nous discutâmes de choses et d'autres, les trois hommes de l'exploitation et avec Dumortier nous prîmes une voiture de fonction de leur usine pharmaceutique qui nous ramena à l’hôtel. Assise sur la banquette arrière à côté du pharmacien, il me semblait que je n'étais pas rassasiée de sexe, j'avais ingurgité pas mal d'épices et d'excitants sexuels.
Je sentis la main de Dumortier se poser sur ma cuisse, délicatement, il commença à tirer le pan de ma jupe, le faisant glisser pour découvrir ma peau au-dessus du bas.
- Dis Trixie cela fait deux jours que tu me rends fou, de te voir baiser par tous ces noirs aux bites démesurées...
Sa main s'était glissée sous la lanière blanche, ses doigts entamaient une reptation vers le haut.
- Tu as vu hier au soir, j'ai été le seul homme a ne pas t'éjaculer dessus... Tu sais pourquoi ?
- Non, mais tu vas me le dire...
Sa main était à mi-chemin du pli de mon aine. Je le laissais faire. J'avais ouvert les jambes.
- D'abord, parce que j'étais le seul blanc, et bien que j'en avais une folle envie, je ne voulais pas sortir ma bite, elle n'est vraiment pas grosse ni très longue... il y aurait eu des sarcasmes...
Son majeur, glissait le long de ma fente cherchant mon orifice vaginal... de son autre main, il cherchait à dégrafer le clip de ma veste. Son aveu faisait renaître une sorte de désir en moi, je le laissais faire...
- Mais tu sais, j'ai demandé au sorcier son breuvage et son onguent miracle, je lui ai expliqué que c'était pour l'analyser ! Il ne m'en a donné que pour une fois... Difficile à obtenir, m'a-t-il argué...
Le clip avait cédé, mes seins étaient libres. Le chauffeur s'en était aperçu, il avait positionné son rétroviseur pour nous regarder. La voiture était une Audi de luxe dernier cri, les places arrières étaient éclairées par une lumière indirecte. La moitié du majeur de Dumortier était entrée dans mon conduit vaginal encore humide du sperme d'Ephraïm.
- Mais en fait, si je voulais cette mixture... c'était pour... si tu es d'accord... l'essayer avec toi...
Son index avait rejoint son majeur, et il faisait des allerert retours dans m chatte, le chauffeur conduisait d'une main, il devait se branler avec l'autre.
- Je n'ai jamais fait l'amour avec une fille aussi jolie que toi... J'ai de l'espoir maintenant... car je vois que tu me laisses faire... de sa main libre... il se mit à me caresser les seins.
J'étais encore vraiment excitée, car sans réfléchir par l'intermédiaire de ma bouche, mon corps donna son accord.
- Oh oui... je serais curieuse de voir encore une fois l'effet de cet onguent...
Ses doigts s'activèrent plus rapidement dans ma chatte, il se pencha pour me lécher les seins et me mordiller les tétons. Il sortit sa bite de son pantalon. Il bandait, mais c'était vrai, elle était très petite. Je me demande comment nous sommes arrivés à l'hôtel sans accident, les yeux du chauffeur étaient rivés sur le rétroviseur, j'avais les jambes grandes ouvertes et les doigts du pharmacien s'activaient dans ma chatte. Juste avant d'arriver, j'entendis le chauffeur grommeler.
- Salope de blanche...
Il se raidit d'un coup.
- Il a dû éjaculer, pensais-je !
Presque au Pas de charge Dumortier me conduisit dans sa chambre. A peine entré, il se mit derrière moi, d'une main fébrile il fit sauter le clip de ma veste, ses deux mains se saisirent de mes seins, il les malaxa, les tritura, faisant rouler mes tétons, les tirant, griffant mes aréoles. Il me mit face à lui, sa bouche chercha la mienne et il fit glisser ma veste de mes épaules. Ses mains dézippèrent la fermeture de ma jupe, elle chue sur la moquette. Il se recula.
- Putain que tu es belle... tu me fais bander... regarde... mais ne rit pas... par rapport a celle des noirs qui t'ont baisé... la mienne est une mico-bite..
Il baissa son pantalon et quitta sa chemise... effectivement il bandait, son érection devait atteindre 10 centimètres au maximum... Je souris... Il s’avança et me poussa sur le lit.
- Reste ainsi avec tes bas ton porte-jarretelles ça m'excite...
Il se mit à genoux entre mes cuisses et sa bouche se plaqua sur mon sexe, sa langue parcourue mon mont de vénus mes poils étaient collés par le sperme d'Epraïm.
- Attends, il y a assez longtemps que je ne me suis pas rasée... Aurais -tu un rasoir et de la crème, je voudrais que tu m’ôtes ces poils longs et disgracieux.
Il fit un aller et retour éclair jusqu'à la salle de bain et revint avec les ustensiles demandé.
- Bien rase moi... ensuite tu pourras profiter d'une chatte lisse comme la peau d'un bébé !
Il badigeonna ma toison de mousse, puis délicatement, il commença à raser, sa main tremblait légèrement...
- C'est la première fois que je fais ça... putain que c'est érotique... ça y est j'ai fini... ta chatte est merveilleuse... avec ses grandes lèvres en corolles... attends je vais bien la sécher... Putain il y a encore du sperme d'Ephraïm qui en coule.
Il entra deux doigts, les tourna, les retourna pour bien les imprégner du liquide poisseux, il me les présenta.
- Suce-les bien, tu as l'air d'adorer le sperme des noirs...
Le regardant dans les yeux, je lui pris la main et suçais avec délice les doigts baveux. Sa bouche se plaqua à nouveau sur mon sexe, sa langue pénétra mon conduit vaginal, ses lèvres aspirèrent mon clitoris, il mordilla doucement mon petit bouton qu'il tenait pincé entre son pouce et son index. Il ne cessa ses attouchements buccaux que lorsqu'il m'entendit gémir. Il fouilla alors dans le tiroir de la table de nuit sorti, une petite fiole et une petite coupelle contenant le baume magique. Il s'étendit sur le lit.
- A toi d'officier maintenant. Je vais boire la potion...
J'étalais la pommade grisâtre au creux de ma main, je commençais à lui enduire la queue, de haut en bas, tirant son prépuce décalottant son gland pour lui faire subir le même sort. J’hésitais un peu, mais j'enduisis aussi ses testicules.
- Ouiii, ouiiiiii... c'est bon... frotte.... frotte.... fais bien pénétrer... oh putain ouiiiiii... ça vient ça vient... ça marche...
En effet, sa bite commençait à s'épaissir, au plus, je le masturbais au plus, elle enflait... c'était hallucinant de la voir gonfler à vu d’œil. Elle ne devint pas aussi grosse et aussi longue que celle du marabout, mais elle arriva a vingt cinq centimètres de long et six centimètres de diamètre. Cette transformation m'avait excitée. Émerveillé Dumontier regardait cette transformation les yeux écarquillés. Ses couilles avaient elles aussi triplé de volume. Il la tenait a la base et l’exhibait fièrement.
- Oh putain, tu as vu ma bite... je n'ai plus de complexes pour te baiser Trixie... Elle est faite pour ta chatte, laisse moi l'essayer !
Il souleva mes jambes et entra en moi avec une longue poussée, ma chatte trempée habituée aux bites énormes s'étira facilement lors de la pénétration. Il commença à me baiser avec de longues et lentes poussées, s'enfonçant profondément dans mon vagin avant de se retirer complètement.Mon corps essayait alors de s'empaler le plus loin possible sur la bite qui me martelait. Il a continué à me baiser pendant mon premier orgasme, avec une lente poussée qui emplissait complètement ma chatte palpitante, qui se contractait autour du membre phénoménal.. J'étais allongée devant lui écartelée, les vagues de plaisir déferlaient... à mesure un autre orgasme commençait à naître dans mon ventre. Puis il s'arrêta, il me fixa en souriant.
- Dis donc petite Salope, cela fait plusieurs fois que tu jouis... Ta chatte est distendue... après la bite d'Ephraïm et la mienne... Je vais te sodomiser...
- Non, noooon ta queue est trop grosse !
- Ne t'inquiète pas Trixie, je vais y aller doucement et lentement, jusqu'à ce que tu sois prête pour que je la mette toute...
Il me fit lever me tourna face a la table je me courbais sur le meuble, Dumortier glissa son énorme queue entre mes fesses en vue de me pénétrer. Il la frottait lentement le long de ma raie, il me semblait que sa bite prenait encore du volume et de consistance. Je senti la tête du gland pousser contre mes sphincters. Au début, je me suis mis à les contracter, mais avec les paroles rassurantes du pharmacien, je me suis décontractée. Avec une pression croissante, le membre pénétrait mon petit trou, il entrait inexorablement en moi. Dumortier cracha sur sa bite.
- Oh putain que ta bite est grosse... entre lentement...
Dumortier obéissant enfonça sa bite gigantesque, lentement et plus profondément à l'intérieur de ma chatte. Je fus bientôt capable de l'accueillir plus facilement et je commençais à osciller avec mon bassin, enfonçant de plus en plus son membre viril, jusqu'à ce que mes fesses soient collées a ses cuisses.
- Oh putain, c'est booonn, c'est booon vas-y baise moi, baise moi...
Il était maintenant à l'aise dans mon cul. Il commença à me pénétrer de plus en plus fortement et rapidement, ses couilles battaient ma chatte.
- Oh, merde, pensais-je, je ne vais pas tenir à ce rythme effréné, je réprimais l'orgasme qui naissait en moi.
Le professeur s'activait de plus en plus vite entre mes fesses, il me saisit aux hanches, glissa ses pouces sous mon porte-jarretelles, ses mains sous les lanières, me tira fortement vers lui, enfonça sa bite démesurée au fond de mon cul, et vida longuement sa semence avec force dans mes entrailles. La sensation de ballonnement que cela me procura, déclencha en moi une jouissance aussi intense que la dernière, mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine.
Putain, cette pommade devait aussi avoir un effet sur le sperme éjaculé, je sentais des flots de liquide visqueux s'écouler de mon cul et couler sur mes bas.
Il se retira.
- Suce ma queue, Salope... Suce...
Je tombais à genoux devant lui, sa queue comme celle du Nganga-Kisi bandait encore énormément.
Je pris son gland dans ma bouche, une contraction et une giclée tiède se répandit dans ma cavité buccale...
- Avale... avale...
Il s'écroula sur le lit... sa bite se dégonfla comme une baudruche... a la fin elle dépassait tout juste de ses poils...
J'ouvris l'écrin et contemplais amoureusement Mon Diamant.
A suivre...
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