Sexe à plusieurs en mer (1)
Récit érotique écrit par Alex-Marie Du Remblé [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2011 dans la catégorie Plus on est
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Sexe à plusieurs en mer (1)
Autre petit récit d'une expérience libertine africaine et en mer...
Marie avait 6 ans auparavant, travaillé comme hôtesse dans un bar durant 6 mois avant de trouver un emploi plus « soft » dans une boutique de prêt à porter en effet ce travail de bar au pays se définirait ainsi : les filles portent des robes minuscules, au ras des fesses avec un string ou pour celles qui le veulent, rien dessous (c'était souvent le cas de Fatou : Marie, plus pudique... jamais), bien décolletée sur leurs seins nus ; consomment et surtout font consommer les clients en leur tenant la conversation et en les laissant, de temps en temps ; les caresser si nécessaire... C'est là qu'elle avait rencontré Fatou : hôtesse aussi et une autre fille Armelle qui, indépendamment de son travail d'hôtesse aussi, effectuait aussi dans le même bar des numéros de striptease intégral. Mais nous auront l'occasion de reparler d'elle plus tard.
Marie s'était tout de suite bien entendue avec Fatou : elles avaient non seulement le même âge mais aussi la même date de naissance.
Cette dernière avait commencé ce travail d'hôtesse un an et demi avant de connaître ma femme et l'avais exercé encore 4 ans durant : touchant un peu durant cette période, au striptease aussi. C'est là qu'elle avait rencontré un comptable à l'époque, célibataire ; de 12 ans son aîné : Abou qui allait devenir son mari et qui maintenant dirigeait le service clientèle professionnelle d'une banque locale bien connue.
Fatou était une femme qui attirait et aimait attirer l'attention. Très noire de peau, 1m65 environ, une bouche pulpeuse, la poitrine généreuse (un joli 92 ou 93B) et un fessier bien bombé. Son nombril était percé, elle avait le bas des reins tatoué sur toute la largeur : des motifs tribaux ou ethniques à la mode et, ne portait souvent rien du tout sous ses tenues courtes, moulantes et sexy. Ainsi, si de leur côté l'autre jour ; ils avaient bien maté les seins nus et lorsqu'elle entrouvrait les jambes le sexe de Marie, nous de notre côté, comme bien souvent ; nous avons bien reluqué ses gros nichons bien fermes qui débordaient du décolleté de la mini robe rouge qu'elle avait mis et sa moule toute lisse, aux lèvres intimes plutôt grandes et bizarrement toujours entrouvertes sur un clito un peu gros, sur sa vulve et ses jolies chairs roses... De par son physique, ses tenues impudiques et sa personnalité, Fatou incarnait l'exemple même de « la salope tropicale bien chaude » qu'une certaine littérature a parfois mis sur le devant de la scène...
Donc, elle appela Marie pour nous proposer une sortie ce samedi. En effet, un Belgo – Suisse, représentant exclusif pour la Côte d'Ivoire et des pays voisins d'une compagnie d'assurance européenne plutôt spécialisée dans les investissements professionnels : client aussi d'Abou, avait prévu de longue date avec sa femme, métisse sénégalaise précisa Fatou, une journée de pêche en mer avec eux et un autre couple de leurs amis : des Bétés (une ethnie de CI) qui avait annulé au dernier moment du fait que le père de la femme soit décédé dans leur ville d'origine de Gagnoa. Aussi, ils s'étaient partis là – bas. Comme nous avions évoqué quelques temps auparavant que je souhaitais emmener ma femme faire une sortie de ce genre, elle n'en avait jamais fait ; et que leurs amis : Claude et Sandrine (Sandy), leur avaient demandé s'ils avaient d'autres amis que ça intéresserait une sortie en mer, et bien ils avaient pensé à nous. Nous avons bien entendu accepté. Marie demanda à Fatou ce qu'il fallait prévoir et cette dernière lui répondit : « - rien de particulier : trois – quatre bonnes bouteilles, ils (leurs amis) aiment beaucoup les vins rosés et blancs et prévoyez un petit bikini ou tout au moins un petit slip de bain pour quand nous rejoindrons la terre pour faire griller et manger le poisson pêché avec de « l'attiéké » (= plat local : semoule de manioc).
Le samedi, dès 7h, nous avons chargé la glaciaire dans le « Terrano » et avons rejoint l'embarcadère de départ à une petite heure de voiture de chez nous. Marie portait un mini short taille basse et moulant en jean et un petit bikini noir noué derrière le cou le dos et sur les côtés de la culotte ; avec sur le soutien gorge à gauche, un motif de fleur de vanille rose et le même motif sur le petit slip assez échancré et, vers l'aine ; à gauche aussi. Le petit soutien gorge, s'il couvrait bien ses mamelons ; ne cachait pas complètement ses seins : notamment la base de sa poitrine. Quant au slip qui laissait apparaître le pli de ses aines, il était assez bas et quatre bons centimètres de son joli cul bien rond et du sillon de ses fesses bombées. De mon côté, il faisait déjà très chaud ; je portais un bermuda en pagne et un petit slip de bain bleu dessous : le torse nu. Abou et Fatou étaient les 1ers arrivés. Nous nous sommes garés à côté de son ML. Cette dernière fumait le dos appuyé contre un palmier. Elle portait une sorte de tunique transparente blanche qui s'arrêtait au début de ses cuisses et sous laquelle on devinait un non pas petit mais micro bikini vert fluo dont les bandes du tissu du soutien ne parvenait certainement pas à dissimuler ses larges mamelons tout comme celle du string devait largement laisser offertes ses lèvres intimes, je le rappelle : assez proéminentes... Abou avait un bermuda un peu court. Dix minutes plus tard, Sandy et Claude arrivait en Range Rover noir.
Un homme de 55 – 56 ans, 1m80 – 82, large et un peu gros ; aux bras puissants, avec des cheveux plus ou moins châtains à roux et ondulés : il ressemblait beaucoup à l'ancien acteur français, Georges Wilson... L'homme n'était pas vraiment beau mais avait une certaine prestance... Il portait un short de tennis bleu marine : le torse nu. Sa femme, métisse foncée aux mèches ou tissage blond un peu ondulés qui lui balayaient les épaules étaient un peu à l'antipode de son mari. Sandy, avec son mètre 75, ses 52 ou 53 kg ; son 90 b, ses jolies fesses tatouées d'un cobra de 5 ou 6 cm juste au dessus du sillon, son petit scorpion de 3 – 4 cms, noir tatoué sur son bas ventre qui émergeait du petit slip imprimé léopard de son bikini guère plus grand que celui de ma femme. C'était le seul vêtement qu'elle portait. Elle avait un petit anneau dans le nombril et une petite pierre brillante dans la narine gauche et tout comme Fatou et Marie une chaînette à la cheville et autour de la taille une ceinture : dorée pour elle et 3 cordons de fines perles blanches et bleues pour Fatou.
Abou fit les présentations. Souriants, ils nous claquèrent une bise sur chaque joue et nous avons chargé les glaciaires, cannes à pêche sur le bateau.
Avant de démarrer, nous nous sommes installés dans le petit carré un peu étroit où l'on accédait en descendant deux petites marches, composé d'une table rectangulaire entouré d'une banquette aux assises assez profondes et aux dossiers assez hauts, qu'entourait un tube métallique rond : derrière la cabine de pilotage à conduite centrale. On accédait au cockpit surélevé, par 3 marches supplémentaires. Les épais coussins blancs aux petits imprimés marins bleus et jaunes, coquillages, étoiles etc. étaient moelleux mais il y avait peu de passage entre la table et la banquette. Aussitôt, Fatou vira sa tunique et, comme on s'en doutait ; seuls ses gros tétons : même pas ses mamelons, étaient couverts par son soutien et évidemment, ses grandes lèvres émergeaient du string... Il ne restait plus qu'à Marie d'enlever son mini short en jean moulant pour se retrouver en bikini aussi : ce qu'elle fit. En le descendant, elle fit glisser davantage son slip sans s'en rendre compte sur son joli cul : le découvrant aux trois quarts à nos regards. Ceux de Claude mais aussi de sa femme étaient plus assidus dessus que les nôtres... Personne : même moi, ne signalait le fait à ma femme, bien entendu. Et ce sont les fesses dénudées qu'elle s'assit en fin de banquette à côté de Sandy. Elle était face à Claude : à la gauche duquel j'étais, Abou étant à la droite de celui - ci. Fatou était la 1ère assise sur la banquette de l'autre côté de la petite entrée du carré.
Il ouvrit une 1ère bouteille de rosé bien frais, il n'était pas encore 8h du matin : ça promettait... Et fit le service en remplissant bien les gobelets de plastiques que nous avions. Puis, il nous invita à nous lever pour trinquer :
- « ...A notre rencontre : Marie et Alex, à cette journée qui s'annonce très distrayante pour tous ; au soleil, à la mer et surtout... Messieurs : aux trois très jolies filles qui sont ici avec nous ! »
Nous l'avons remercié et nous nous sommes tous rassis : pour ne pas être gênée par la table, il fallait soit ouvrir les cuisses (méthode que notre hôte, Abou et moi même appliquèrent) ou se positionner les jambes plus sur la banquette. C'est cette option que choisirent Sandy et Fatou : cette dernière assise en tailleur : « toutes lèvres dehors » (la promiscuité du carré et sa posture ayant aussi leurs avantages...) sa cuisse droite presque posée au dessus de la mienne, Sandy, cuisses ouvertes ; la jambe droite repliée et le pied posé sur la banquette contre la cuisse de ma femme, et sa jambe gauche placée contre celle d'Abou, Marie s'était placée dans le fond de la banquette les cuisses ouvertes aussi et ce, même si un peu plus petite que ses amies ; ainsi assise au fond de son siège : elle pouvait les fermer bien la position fut moins confortable. Sans trop de discrétion, Claude matait son bas – ventre et ses aines que son petit slip échancré ne couvrait pas...
Après un second verre – la bouteille était déjà quasiment vidée – il invita sa femme à nous faire visiter le bateau : le poste de pilotage en premier où elle rassura Claire car elle avait su que pour elle c'était une première sortie de ce type en lui disant que Claude conduisait ce genre de navire et des autres depuis au moins quinze ans, avait ses licences et permis ; et que l'aspect pêche en mer était plus un prétexte pour aller se détendre avec des amis et faire un peu la fête avec eux, sans se prendre la tête qu'autre chose... Puis elle nous fit découvrir le ventre du bateau : un petit coin cuisine avec deux plaques et un four encastré, une banquette d'angle en cuir blanc entourant une table ovale pour 5 – 6 personnes, une petite salle d'eau avec douche et WC accessible par l'intérieur comme l'extérieur ; sous le pont avant, à environ un mètre du sol ; une cabine entourée des hublots rectangulaires de l'avant du navire, avec... un lit rond de 180 cm de diamètre aux 2 matelas blancs : un camescope y était posé sur un trépied.
- « Voici le grand stadium... » fit – elle en riant... et elle nous montra la seconde cabine : arrière celle – ci, aux deux larges fenêtres carrées avec des lits jumeaux rectangulaires où, précisa Sandy : - « Même si c'est un peu plus petit, on peut faire du sport ici aussi dans d'assez bonnes conditions... C'est plus adapté pour pratiquer seulement à deux, cependant... Comme vous vous en doutez, mes chéris ; la cabine avant... ouvre d'autres possibilités... disons, plus... intéressantes ! »
Nous sommes ressortis par l'avant en repassant par la salle d'eau où Sandrine nous fit: - « attendez trente secondes, j'ai un petit besoin à faire... » : la porte de sortie étant juste après le WC... Elle nous bloqua et, devant nous ; elle fit glisser son slip sur les cuisses : nous découvrant son sexe aussi lisse que pour Marie, fit son pipi ; s'essuya et nous ressortîmes. Terminant la visite, elle reprit : - « voici le pont avant pour : en haute mer le bronzage, le farniente et suffisamment grand – en faisant attention, quand même – pour y danser ou... autre chose aussi ! » Beaucoup de sous – entendus, décidément : ça promettait... Nous nous sommes rassis aux même places.
- « Alors, mes amis : la visite s'est bien passée et la guide : vous en êtes contents ? » plaisanta t – il... puis il ajouta : « le bateau est un peu petit mais très confortable et agréable : celui que je loue habituellement est un peu plus grand mais il est en mer avec un autre locataire depuis plus de 3 semaines, donc... »
- « Rien à redire : très joli ! » fit ma femme... J'ajoutais que oui : la guide avait était charmante et qu'elle nous avait montrer les points stratégiques du navire... On ria... Il reprit la parole :
« Bien ! Je vais démarrer : servez – vous bien et ne vous inquiétez pas pour moi, je vous rattraperai arrivés en haute mer quand nous mouillerons... Ah ! J'oubliais : indépendamment des règles de sécurité évidentes (on ne se baigne pas si le bateau n'est pas à l'arrêt et l'ancre jetée... par exemple), il y a quelques règles à bord que Sandrine et moi avons établis, qui permettent, vu que l'espace est un peu réduit et que nous sommes tout de même 6 adultes amenés à passer une longue journée dans un univers réduit et, donc ; dans une relative proximité afin de rendre la journée bien plus agréable, distrayante et amusante... Allez, je démarre ! ..Viens m'aider Abou...» il ajouta : à notre intention « ...je vais être un peu occupé mais, vous autres ; continuez et ouvrez une nouvelle bouteille : c'est bon pour la santé le rosé de Loire le matin... je vous rattraperai dès que nous aurons jeté l'ancre. »
Nous avons interrogé Sandy du regard et elle nous a répondu avec Fatou que ce petit règlement en à peine 5 ou 6 points était plus ludique et amusant qu'autre chose et que nous le découvririons petit à petit pour notre plus grand plaisir : lorsque nous serions un peu plus éloigné des côtes, puis à l'arrêt en pleine mer...
Sandy nous précisa que le fait qu'elle ai fait pipi devant nous juste avant, faisait par exemple partie des conséquences de cette promiscuité et que surtout rien ne devait nous choquer ou nous gêner. D'où, ce petit « règlement intérieur »... Puis elle nous expliqua le déroulement de la journée qui commençait :
« Jusqu'à 12h30, 13h30 : pleine mer, le bateau à l'arrêt et pêche. Mais rassurez – vous on ne va pas comme des papys ou mammys rester assis en silence derrière les 4 ou 5 cannes qui seront posées et calées... Non ! De tant à autre, l'un ou l'autre va vérifier si quelque chose a mordu, ramène le poisson pêché le cas échéant : on vous montrera comment faire... Et on reprend nos causeries, nos jeux ; ou on se baigne pendant ce temps... Après cela, on rejoint la côte : un coin que Claude connaît et où il m'a emmenée deux ou trois fois il y a bien longtemps : une crique tranquille en bord de mer avec 5 ou 6 maisons de pêcheurs, un petit marché où l'on trouve viande de brousse fraîche, fruits délicieux ; « bangi » (=vin de palme blanchâtre, titrant à 14 – 15°), des gens pour faire griller la viande ou le poisson ; du bon « attiéké » et un assez grand coin de 6 ou 7 tables sous un « appatam » (= une grande paillote ronde) où l'on trouve plusieurs variétés de « koutoukou » (= alcool de palme transparent s'il est pur, coloré par les extraits de fruits ou les racines qui ont, éventuellement ; marinées dedans et titrant, quant à lui ; à 48 – 60° voire plus...). Vous mêmes, Abou et Fatou ; on ne vous y a jamais emmené : le secteur ayant été un peu déserté quand il y a eu les problèmes en 2004... Il semblerait, que certaines des personnes qui y vivaient où y travaillaient ; soient revenus et que les affaires reprennent. Donc là, on fait griller, on mange en ne buvant que du bon « bangi » et : c'est une forme de politesse vis à vis des villageois qui grillent gratuit pour vous, tout le monde boit quelques « koutoukous » avec eux ensuite... »
« Waouh ! Alex aime bien ça... N'est ce pas mon chéri ? » me fit Marie et continuant : « ...Mais, c'est tellement fort ce truc... » !
« Ma chère, nous comme nos hommes on doit s'asseoir avec eux pour trinquer et boire quelques verres : c'est comme ça ! De toute façon, selon nos infos ; il y a à nouveau à la buvette un poste avec des K7, CD ; et, l'on peut même y danser aussi si l'on veut... De toute façon, il y a quelques hamacs accrochés et le sable de la plage pour se reposer ou même, pas trop loin : à 500 m, au bout de l'embarcadère ; le bateau si on est fatigués, ma chérie... Enfin, vers 16h30 17 h, soit on reprend la mer, et au large lorsque on mouille ; on se repose, se détend, et ceux ou celles qui le veulent se font de gros câlins : surtout n'ayez aucune gène, Marie et Alex ; si vous avez envie de baiser dans la journée, il n'y a aucun problème. Nous mêmes on ne va pas s'en priver parce vous êtes là... On peut se partager les cabines : 2 ou même 3 couples ont assez de place dans la cabine avant, et celle arrière, peut en recevoir un voire deux aussi... » Fatou l'interrompit : « Tu sais, Sandy, même si ce bateau, comme l'a dit ton mari ; est un peu plus petit que celui que vous louez habituellement, le pont avant est suffisamment grand pour qu'on y mette des matelas de plages et qu'on prenne tous, si on le veux ; du plaisir en profitant du soleil et du bon air : c'est encore plus agréable, non ? » Sandrine abonda en son sens :
« Oui ! C'est vrai ça... bonne idée ! Bref... on verra... »
« Les filles, on ne voit presque plus la côte ! » fit Claude. A cette parole, Fatou la 1ère ; enleva son soutien – gorge suivie par Sandy qui fit à l'intention de Claire :
« Règle n°1 que nous avons établie pour toutes les filles à bord, ma chérie : dès que la côte est suffisamment éloignée, le soutien gorge est interdit à bord. Aussi : montres – nous tes jolis seins... »
« oh ! Bien sûr ! » fit ma femme : toujours assise à côté d'elle, et ce ; sans hésiter souriante... Sandy lança à son mari en faisant un clin d'oeil complice à Marie :
« Chéri ! Fatou a dit vrai... Marie a de très jolis seins, tu sais... »
« Je n'en doutais pas Sandrine... Attends, Abou va me remplacer trente secondes : j'arrive : comme j'ai pas mes lunettes... et oui, c'est ça vieillir ; ah ! Que voulez – vous ! » Il descendit les deux premières marches qui menaient au carré et se pencha :
« Hummm ! Dis donc, c'est bien vrai que t'as de beaux nichons, Marie ! » Il ria...
« Merci du compliment, Claude ! » lui répondit ma femme : très zen... Il continua de jouer avec elle :
« Comme c'est la 1ère fois qu'on se voit, et que même si j'connais bien ceux de Sandrine et même ceux de Fatou ; les tiens je ne les connaissais pas et : en tant que capitaine de ce navire, j'aime bien connaître les gens qui sont à bord : surtout mes passagères, voyez – vous, Chère Amie... »
Je vous comprend très bien Capitaine ! » s'en amusa ma femme.
« Bon, c'est pas tout ça mais j'ai pas fini ici ! » Il reprit le volant du bateau. Et, à mon intention, cinq minutes plus tard :
« Alex : sers nous un grand verre de rosé s'il te plaît... Abou va préparer les cannes, et moi je manœuvre : nous approchons du site de pêche... » puis, à destination de Claire :
« Marie, tu veux bien nous amener nos verres, s'il te plaît ? »
« Bien sûr ! » Tandis que ma femme se levait avec les deux gobelets, les fesses toujours au trois quarts dénudées ; Sandy lui fit en les lui caressant distraitement tandis qu'elle se frayait un chemin entre la table et elle :
« Je connais mon mari, ma chérie ; il veut que ce soit toi qui apporte les verres pour bien mater tes beaux nichons et ton joli cul de près : c'est un gros vicieux... » pour qu'il l'entende, puis : sous un ton faussement confidentiel « ... Pssittt ! Roules bien tes jolies fesses pour les leur apporter et, bien vicieusement devant lui, ma chérie : pour bien l'exciter...J'adore quand Claude est TRES excité, vois - tu.. D'accord ? »
« OK ! Je f'rais un effort, promis ! » Ce jeu, décidément l'amusait et... pour mon plus grand plaisir ! Il y avait certainement la quantité de rosé que Claire avait bue qui y était pour quelque chose aussi, car ; je le rappelle : c'était déjà la quatrième bouteille ouverte, il était à peine 9h 9h15 ; et elle était déjà à moitié vide, Sandrine claqua un peu les fesses dénudées de ma femme et l'encouragea :
« Allez ma toute belle... va bien te montrer... nous : on t'observe ! »
Ondulant des fesses plus qu'à l'accoutumée, elle se dirigea vers le poste de pilotage et mettant dans la main qu'Abou lui tendait, son gobelet qu'il but avant d'aller sur le pont - avant du bateau pour y installer les cannes. Elle tendit le sien à Claude. Il lui indiqua de le poser derrière le volant central où il y avait une petite niche destinée à y recevoir un gobelet à côté d'une autre plus grande pouvant accueillir une bouteille. Puis, tenant toujours le volant de sa grosse main gauche ; il posa la droite sur ses fesses nues qu'il se mit à caresser distraitement pour la rapprocher de lui, tout en lui parlant. Le bas – ventre de Marie était tout contre sa cuisse maintenant.
« Alors, je t'explique : tu vois la côte que l'on devine là – bas ? »
« Oui, Claude... » Elle posa sa main gauche sur son épaule. Il la rapprocha davantage de lui : l'un de ses seins nus effleurant sa poitrine maintenant.
« Et bien, là on va tourner un peu sur la gauche : bâbord ; pour contourner une zone où il y a quelques remous, et à nouveau à droite : tribord ; pour arriver derrière le rivage que l'on voit là – bas, où il y a l'endroit où on va becqueter dans une crique tranquille. Entre temps, on aura mouillé en mer pour attendre le poisson... »
« D'accord... » Marie n'ayant pas émis d'objection auparavant, la caresse de Claude, se faisait maintenant plus insistante sur ses fesses : de droite à gauche, sur toute leur largeur et avec une certaine vigueur. Il les lui caressait même en faisant glisser une à deux phalanges de ses gros doigts dans sa culotte : découvrant davantage son joli cul...
« Hmmm... t'as un beau cul, tu sais... »
« Merci ! »
« Pour revenir sur ce que j'ai fait tout à l'heure : confier le volant à Abou pour venir bien regarder tes jolis seins, tu ne m'en veux pas, j'espère ? »
« Non, Claude : pas du tout ! »
« Que veux – tu ! Je suis comme ça : curieux... je connais très bien ceux de Sandy : normal, bien ; ceux de Fatou, d'ailleurs elle sait faire plein de choses avec ses gros nichons... N'est ce pas Fatou ? »
« Quoi ? Claude... » interrogea l'intéressée qui, alors que nous les regardions ; me caresser la cuisse.
« Que tu sais faire plein de choses à un homme, avec tes gros nichons ? »
« Hmmm ! Oui : plein de choses ! » répliqua – t elle...
Continuant de jouer son petit jeu vicieux, ma femme fit à l'intention du Belgo – Suisse qui continuait sa caresse : sur ses fesses, s'insinuant à chaque passage dans leur sillon comme pour les lui écarter un peu plus.
« Ah bon ? »
« Tu veux vraiment savoir ? » Elle acquiesça...
« Plein de cochonneries... »
« Mais encore, Claude ? »
Et bien, Fatou adore qu'un homme se place entre ses gros seins qu'elle attrape des deux mains, pour bien lui donner du plaisir en faisant coulisser sa pine entre – eux... »
« Wouah ! Tout un programme ! »
« N'est ce pas ? Son mari comme moi, on adore quand elle nous fait ça... »
« J'imagine... oui... »
Tu m'as l'air bien coquine aussi toi, non ? »
« Un peu : oui... »
« C'est bien... Tiens : attrapes la barre des deux mains... »
« Aïe ! J'ai jamais conduit, ça ! Moi... »
« T'inquiètes, c'est facile : je suis là... » Elle le fit.
Glissant un peu plus sa main dans son slip, il se mit à lui caresser les fesses de bas en haut maintenant : s'attardant un peu plus dans le sillon en effleurant son anus... Son autre main, se mit à lui caresser les seins sans trop de retenues :
« Et toi, tu fais parfois la cochonne, comme ça aussi avec tes seins ? »
« Ooh, mais ça m'arrive... Oui ! »
« Hmmm ! Que ça doit être bon ! »
« Ah ! Mais je pense que oui... Demande à Alex : il te le dira... »
« Bonne idée ! Alex... Marie m'a dit de te demander si c'était bon quand elle te branlait entre ses seins... » Disant cela, il se mit à faire rouler ses mamelons entre ses doigts...
« TRES bon : oui ! » je lui répondis...
Il embrassa ma femme dans le cou en lui disant de nous rejoindre car il y avait son petit virage de bord à faire... Elle reprit sa place dans le petit carré.
« Alors, chérie ; je t'avais pas dit pourquoi mon mari voulait que ce soit toi qui lui apporte les gobelets ? Il voulait bien te mater et te peloter un peu... Je te dis : je le connais ce salaud... »
« Oui, c'est tout à fait ça ! » Claire ria... et ajouta : « alors, satisfaite ? »
« T'as été extra ! Oui... et j'ajoutais :
« Et, est ce que ça t'a plu ? »
« Toi aussi, chéri... tu sais que j'adore me faire caresser... » Elle fut interrompue par le capitaine :
« Les filles... On arrive en pleine mer et Abou va jeter l'ancre... »
Tandis que le bateau s'arrêtait, Sandy, la 1ère ; enleva sa culotte. Fatou la suivit et notre nouvelle amie fit :
« Règle 2, en pleine mer : tous à poil ! » Je m'exécutais : révélant un début d'érection, tout comme Claude qui avait viré son short de tennis révélant une pine de bonne longueur et surtout, particulièrement large et épaisse : comme lui quoi... Ma femme s'exécuta à son tour en souriant et le mari de Sandrine suivi d'Abou, nous rejoignirent. La bite de ce dernier et la mienne étaient de même largeur mais lui comme Claude avait un organe plus court que le mien (21 cm). Par contre, l'épaisseur du sexe de Claude attirait les regards et pouvait susciter bien des jalousies chez certains mâles... Ma femme but une grande gorgée : le regard fixé dessus...
Contrairement aux 2 autres filles, qui : faisant le grand écart étaient particulièrement impudiques ; ses cuisses étaient plus fermées. Ce qui n'échappa pas à Claude. En la chahutant, il la tança un peu :
« Non, mais Marie : tu déconnes « dèh » ! Aucun d'entre nous ne te cache sa grosse pine... Tu n'as jamais vu ni celle d'Abou ni la mienne, et tu les mates bien, n'est ce pas... ma coquine... Ton mari ne cherche pas non plus à cacher la sienne aux yeux de Sandy ou de Fatou... Et toutes les deux, le lui rendent bien : elles lui montrent complètement leur moule et même si Abou et moi ont connaît bien leurs chattes et que toutes les deux on les as déjà bien baisées ; toi tu n'ouvres pas bien tes cuisses !?!... Ou bien ? »
« Oh, excuses - moi tu as raison, pardon... » fit Marie. Puis, elle s'avança un peu sur l'assise de la banquette et ; les ouvrant largement, elle replia ses jambes : posant ses pieds sur la table...
« Ca te plaît comme ça ? »
« hmm.. oui : c'est mieux... » Sandy ajouta :
« voilà qui est bien... seulement, ma chérie ; comme tu n'as pas réagi toute suite : t'es à l'amende, ma belle... Décide Cap'taine... »
« Voyons... oui ! je sais... pose ton gobelet et avec tes doigts ouvrent moi bien, ton sexe : je veux bien voir l'entrée de ton vagin, ma jolie... »
« oh.... vraiment ! Bon : OK ! »
Les mains de ma femme descendirent vers sa chatte et lentement, en se caressant elle écarta ses lèvres : découvrant petit à petit son intimité bien rose et humide...
« Comme ça ? »
« Encore un peu je vois pas bien ton trou... Caresses – toi un peu, ça ira mieux » Elle ria... et s'exécuta...
« Oui... voilà... ton joli trou à plaisirs est bien visible maintenant... hmmm... Tu vois comme ça me plaît ? » Il lui indiqua sa grosse queue du regard : il bandait... moi aussi d'ailleurs et Abou n'allait pas tarder à être dans le même état...
Ma femme lui fit :
« Hmmm ! Claude : pour toi ça ment pas... dèh ! Quel bel engin... »
« Il t'excite ? » demanda Sandy...
« Bien sûr ! Quelle go' ne le serait pas... »
« Et il sait s'en servir : crois moi ! Quand il te cogne avec : tu la sens passer... ma chérie ! » ajouta Fatou... Marie avait envie de continuer de se caresser mais elle se retint.
« J'en doute pas : Alex aussi... »
« Ah ! Le rosé est fini : Sandy, vas nous chercher 6 grandes bières : « Flag » ou « Tuborg » Marie ? » « Tuborg... » « Alex ? » « Flag... » « OK ! »
« Je t'accompagne » fit Fatou..
Les bières arrivèrent. Quand elles furent ouvertes et posées, Sandy et Fatou : toujours debout, s'enlaçèrent et... la métisse... baisa les lèvres de son amie tout en lui caressant ses gros seins. Fatou : leurs lèvres séparées, lui rendit son baiser en lui caressant les fesses.
« Vous pouvez vous décaler s'il vous plaît... » demanda Sandrine... « que Fatou puisse venir à côté de moi ? »
« Bien sûr ! » fit Claude ! Puis il ajouta :
« Ne bouge pas Alex, Abou va venir de l'autre côté de toi et Marie entre nous, si elle le veut bien... » Ma femme se retrouva entre moi et le mari de Sandy et Abou à côté de cette dernière : à la place de sa femme. La jolie métisse tatouée, s'était plus ou moins couchée sur le dos, cuisses ouvertes ; sa tête posée sur le ventre de Fatou qui : penchée, lui baisait à nouveau les lèvres en lui caressant les seins. Sandrine fit glisser l'une de ses mains sur son petit scorpion tatoué puis vers son sexe humide qu'elle se mit à caresser sous le regard d'Abou : en érection aussi, maintenant. J'embrassais ma femme sur la bouche. Ce baiser fini, Claude : passant son bras autour de ses épaules, lui demanda en lui désignant ses copines :
« Qu'en dis – tu ma chérie, excitant non ? Regarde Abou... » : il se caressait en les regardant...
« Assez excitant... oui... » reconnut – elle...
« A moi de te bécoter... » A son tour il lui baisa la bouche... Elle ne s'y opposa pas : au contraire. Puis, se tournant vers moi : m'embrassa à nouveau : la salive de Claude encore dans la bouche... Il en profita pour lui caresser les seins... Ma femme ouvrit davantage les cuisses : comme en une invite muette... Nos mains commencèrent à remonter entre ses cuisses : jusqu'à son sexe que nos doigts commencèrent à caresser, à pénétrer – Marie était trempée - elle mit la tête en arrière et nous caressant la nuque, les yeux fermés ; elle s'abandonna à nos caresses. Nos bouches parcouraient son cou, ses seins ; nos mains : son ventre, ses cuisses et sa chatte bien ouverte, elles la fouillait... Ma femme grognait de plaisir :
« Ooh... Hmmm... Hmmmm ! C'est... bon... Oui... OOOh ! Hmm ! HMMM... Hummm ! Continuez...»
Sa mouille dégoulinait entre nos doigts... Et, très vite ; elle a joui sans la moindre retenue sous nos caresses...
Face à nous, Sandy se faisait sucer les seins par Fatou et suçait les siens aussi. Abou pendant ce temps doigtait le sexe de la métisse avec une main : se branlant de l'autre... Il était juste 10h30. Le reste de la journée promettait... J'attirais la tête de ma femme vers moi : je voulais qu'elle me suce... Elle ne se fit pas prier... Montant et, descendant sur mon sexe tendu avec gourmandise ; elle me massait les bourses en même temps : un genou replié, penché ; offrant ainsi son cul à Claude... Il se mit à le caresser, glisser ses doigts dans le sillon de ses fesses humides entre lesquelles avait coulé sa mouille... Il se mit à agacer son petit trou : le titillant, le doigtant doucement... Marie se cambra : pour encore mieux le lui donner... il lui enfila lentement tout un de ses gros doigts dans l'anus : pour bien le limer...
« A moi maintenant... » ordonna – t -il... il la prit par le bras : la tournant vers lui et, debout lui donna à son tour ; sa grosse pine à sucer... Elle... n'hésita pas... Je me redressais et Marie : à genoux sur la banquette, se mit à passer d'une bite à l'autre. Elle branlait la 1ère tandis qu'elle pompait la seconde et vice versa... Nous lui caressions les seins en même temps... Abou, de son côté ; léchait la chatte de Sandrine avec application maintenant et elle commençait à jouir... Se déplaçant, Fatou posa son large « toto » (= sexe, chatte) : tellement béant que même un cheval aurait pu la saillir, nous semblait – il, sur son visage... La bouche de la métisse s'en empara : tout comme sa langue, ses doigts... Symbiose entre nous 6 ? Peut – être... Toujours est – il, que d'une manière très sonore ; Fatou et Sandy, puis son mari, moi et même Marie à nouveau : nous lui pincions fermement les tétons maintenant, avons joui en simultané... Nos bites bien sucées, lâchaient leurs flots de foutre entre les mains, sur les seins, le visage ; les longues et fines tresses de ma femme, sur sa langue et dans sa bouche... De son côté, n'y tenant plus ; Abou se branla sur le ventre et les seins de Sandrine avant d'être récupéré par la bouche pulpeuse de sa femme qui le pompa jusqu'à la dernière goutte... Nous nous sommes rassis : reprenant notre souffle.
« ça t'a plu ? » demanda Sandrine à ma femme...
« Hmmm... Oui... beaucoup... »
« Tu les as bien sucés, ma chérie... Viens nous embrasser aussi... » Ma femme hésita un peu puis se leva... Elle baisa les lèvres de Fatou d'abord puis de Sandy et... D'Abou ensuite. Puis elle se rassit.
Le banquier lui demanda :
« J'espère que j'aurais droit aujourd'hui, au même traitement de ta part que ton mari ou Claude ont déjà eus... »
« Bien sûr Abou... la journée n'est pas finie... » répondit – elle... (A suivre...)
Marie avait 6 ans auparavant, travaillé comme hôtesse dans un bar durant 6 mois avant de trouver un emploi plus « soft » dans une boutique de prêt à porter en effet ce travail de bar au pays se définirait ainsi : les filles portent des robes minuscules, au ras des fesses avec un string ou pour celles qui le veulent, rien dessous (c'était souvent le cas de Fatou : Marie, plus pudique... jamais), bien décolletée sur leurs seins nus ; consomment et surtout font consommer les clients en leur tenant la conversation et en les laissant, de temps en temps ; les caresser si nécessaire... C'est là qu'elle avait rencontré Fatou : hôtesse aussi et une autre fille Armelle qui, indépendamment de son travail d'hôtesse aussi, effectuait aussi dans le même bar des numéros de striptease intégral. Mais nous auront l'occasion de reparler d'elle plus tard.
Marie s'était tout de suite bien entendue avec Fatou : elles avaient non seulement le même âge mais aussi la même date de naissance.
Cette dernière avait commencé ce travail d'hôtesse un an et demi avant de connaître ma femme et l'avais exercé encore 4 ans durant : touchant un peu durant cette période, au striptease aussi. C'est là qu'elle avait rencontré un comptable à l'époque, célibataire ; de 12 ans son aîné : Abou qui allait devenir son mari et qui maintenant dirigeait le service clientèle professionnelle d'une banque locale bien connue.
Fatou était une femme qui attirait et aimait attirer l'attention. Très noire de peau, 1m65 environ, une bouche pulpeuse, la poitrine généreuse (un joli 92 ou 93B) et un fessier bien bombé. Son nombril était percé, elle avait le bas des reins tatoué sur toute la largeur : des motifs tribaux ou ethniques à la mode et, ne portait souvent rien du tout sous ses tenues courtes, moulantes et sexy. Ainsi, si de leur côté l'autre jour ; ils avaient bien maté les seins nus et lorsqu'elle entrouvrait les jambes le sexe de Marie, nous de notre côté, comme bien souvent ; nous avons bien reluqué ses gros nichons bien fermes qui débordaient du décolleté de la mini robe rouge qu'elle avait mis et sa moule toute lisse, aux lèvres intimes plutôt grandes et bizarrement toujours entrouvertes sur un clito un peu gros, sur sa vulve et ses jolies chairs roses... De par son physique, ses tenues impudiques et sa personnalité, Fatou incarnait l'exemple même de « la salope tropicale bien chaude » qu'une certaine littérature a parfois mis sur le devant de la scène...
Donc, elle appela Marie pour nous proposer une sortie ce samedi. En effet, un Belgo – Suisse, représentant exclusif pour la Côte d'Ivoire et des pays voisins d'une compagnie d'assurance européenne plutôt spécialisée dans les investissements professionnels : client aussi d'Abou, avait prévu de longue date avec sa femme, métisse sénégalaise précisa Fatou, une journée de pêche en mer avec eux et un autre couple de leurs amis : des Bétés (une ethnie de CI) qui avait annulé au dernier moment du fait que le père de la femme soit décédé dans leur ville d'origine de Gagnoa. Aussi, ils s'étaient partis là – bas. Comme nous avions évoqué quelques temps auparavant que je souhaitais emmener ma femme faire une sortie de ce genre, elle n'en avait jamais fait ; et que leurs amis : Claude et Sandrine (Sandy), leur avaient demandé s'ils avaient d'autres amis que ça intéresserait une sortie en mer, et bien ils avaient pensé à nous. Nous avons bien entendu accepté. Marie demanda à Fatou ce qu'il fallait prévoir et cette dernière lui répondit : « - rien de particulier : trois – quatre bonnes bouteilles, ils (leurs amis) aiment beaucoup les vins rosés et blancs et prévoyez un petit bikini ou tout au moins un petit slip de bain pour quand nous rejoindrons la terre pour faire griller et manger le poisson pêché avec de « l'attiéké » (= plat local : semoule de manioc).
Le samedi, dès 7h, nous avons chargé la glaciaire dans le « Terrano » et avons rejoint l'embarcadère de départ à une petite heure de voiture de chez nous. Marie portait un mini short taille basse et moulant en jean et un petit bikini noir noué derrière le cou le dos et sur les côtés de la culotte ; avec sur le soutien gorge à gauche, un motif de fleur de vanille rose et le même motif sur le petit slip assez échancré et, vers l'aine ; à gauche aussi. Le petit soutien gorge, s'il couvrait bien ses mamelons ; ne cachait pas complètement ses seins : notamment la base de sa poitrine. Quant au slip qui laissait apparaître le pli de ses aines, il était assez bas et quatre bons centimètres de son joli cul bien rond et du sillon de ses fesses bombées. De mon côté, il faisait déjà très chaud ; je portais un bermuda en pagne et un petit slip de bain bleu dessous : le torse nu. Abou et Fatou étaient les 1ers arrivés. Nous nous sommes garés à côté de son ML. Cette dernière fumait le dos appuyé contre un palmier. Elle portait une sorte de tunique transparente blanche qui s'arrêtait au début de ses cuisses et sous laquelle on devinait un non pas petit mais micro bikini vert fluo dont les bandes du tissu du soutien ne parvenait certainement pas à dissimuler ses larges mamelons tout comme celle du string devait largement laisser offertes ses lèvres intimes, je le rappelle : assez proéminentes... Abou avait un bermuda un peu court. Dix minutes plus tard, Sandy et Claude arrivait en Range Rover noir.
Un homme de 55 – 56 ans, 1m80 – 82, large et un peu gros ; aux bras puissants, avec des cheveux plus ou moins châtains à roux et ondulés : il ressemblait beaucoup à l'ancien acteur français, Georges Wilson... L'homme n'était pas vraiment beau mais avait une certaine prestance... Il portait un short de tennis bleu marine : le torse nu. Sa femme, métisse foncée aux mèches ou tissage blond un peu ondulés qui lui balayaient les épaules étaient un peu à l'antipode de son mari. Sandy, avec son mètre 75, ses 52 ou 53 kg ; son 90 b, ses jolies fesses tatouées d'un cobra de 5 ou 6 cm juste au dessus du sillon, son petit scorpion de 3 – 4 cms, noir tatoué sur son bas ventre qui émergeait du petit slip imprimé léopard de son bikini guère plus grand que celui de ma femme. C'était le seul vêtement qu'elle portait. Elle avait un petit anneau dans le nombril et une petite pierre brillante dans la narine gauche et tout comme Fatou et Marie une chaînette à la cheville et autour de la taille une ceinture : dorée pour elle et 3 cordons de fines perles blanches et bleues pour Fatou.
Abou fit les présentations. Souriants, ils nous claquèrent une bise sur chaque joue et nous avons chargé les glaciaires, cannes à pêche sur le bateau.
Avant de démarrer, nous nous sommes installés dans le petit carré un peu étroit où l'on accédait en descendant deux petites marches, composé d'une table rectangulaire entouré d'une banquette aux assises assez profondes et aux dossiers assez hauts, qu'entourait un tube métallique rond : derrière la cabine de pilotage à conduite centrale. On accédait au cockpit surélevé, par 3 marches supplémentaires. Les épais coussins blancs aux petits imprimés marins bleus et jaunes, coquillages, étoiles etc. étaient moelleux mais il y avait peu de passage entre la table et la banquette. Aussitôt, Fatou vira sa tunique et, comme on s'en doutait ; seuls ses gros tétons : même pas ses mamelons, étaient couverts par son soutien et évidemment, ses grandes lèvres émergeaient du string... Il ne restait plus qu'à Marie d'enlever son mini short en jean moulant pour se retrouver en bikini aussi : ce qu'elle fit. En le descendant, elle fit glisser davantage son slip sans s'en rendre compte sur son joli cul : le découvrant aux trois quarts à nos regards. Ceux de Claude mais aussi de sa femme étaient plus assidus dessus que les nôtres... Personne : même moi, ne signalait le fait à ma femme, bien entendu. Et ce sont les fesses dénudées qu'elle s'assit en fin de banquette à côté de Sandy. Elle était face à Claude : à la gauche duquel j'étais, Abou étant à la droite de celui - ci. Fatou était la 1ère assise sur la banquette de l'autre côté de la petite entrée du carré.
Il ouvrit une 1ère bouteille de rosé bien frais, il n'était pas encore 8h du matin : ça promettait... Et fit le service en remplissant bien les gobelets de plastiques que nous avions. Puis, il nous invita à nous lever pour trinquer :
- « ...A notre rencontre : Marie et Alex, à cette journée qui s'annonce très distrayante pour tous ; au soleil, à la mer et surtout... Messieurs : aux trois très jolies filles qui sont ici avec nous ! »
Nous l'avons remercié et nous nous sommes tous rassis : pour ne pas être gênée par la table, il fallait soit ouvrir les cuisses (méthode que notre hôte, Abou et moi même appliquèrent) ou se positionner les jambes plus sur la banquette. C'est cette option que choisirent Sandy et Fatou : cette dernière assise en tailleur : « toutes lèvres dehors » (la promiscuité du carré et sa posture ayant aussi leurs avantages...) sa cuisse droite presque posée au dessus de la mienne, Sandy, cuisses ouvertes ; la jambe droite repliée et le pied posé sur la banquette contre la cuisse de ma femme, et sa jambe gauche placée contre celle d'Abou, Marie s'était placée dans le fond de la banquette les cuisses ouvertes aussi et ce, même si un peu plus petite que ses amies ; ainsi assise au fond de son siège : elle pouvait les fermer bien la position fut moins confortable. Sans trop de discrétion, Claude matait son bas – ventre et ses aines que son petit slip échancré ne couvrait pas...
Après un second verre – la bouteille était déjà quasiment vidée – il invita sa femme à nous faire visiter le bateau : le poste de pilotage en premier où elle rassura Claire car elle avait su que pour elle c'était une première sortie de ce type en lui disant que Claude conduisait ce genre de navire et des autres depuis au moins quinze ans, avait ses licences et permis ; et que l'aspect pêche en mer était plus un prétexte pour aller se détendre avec des amis et faire un peu la fête avec eux, sans se prendre la tête qu'autre chose... Puis elle nous fit découvrir le ventre du bateau : un petit coin cuisine avec deux plaques et un four encastré, une banquette d'angle en cuir blanc entourant une table ovale pour 5 – 6 personnes, une petite salle d'eau avec douche et WC accessible par l'intérieur comme l'extérieur ; sous le pont avant, à environ un mètre du sol ; une cabine entourée des hublots rectangulaires de l'avant du navire, avec... un lit rond de 180 cm de diamètre aux 2 matelas blancs : un camescope y était posé sur un trépied.
- « Voici le grand stadium... » fit – elle en riant... et elle nous montra la seconde cabine : arrière celle – ci, aux deux larges fenêtres carrées avec des lits jumeaux rectangulaires où, précisa Sandy : - « Même si c'est un peu plus petit, on peut faire du sport ici aussi dans d'assez bonnes conditions... C'est plus adapté pour pratiquer seulement à deux, cependant... Comme vous vous en doutez, mes chéris ; la cabine avant... ouvre d'autres possibilités... disons, plus... intéressantes ! »
Nous sommes ressortis par l'avant en repassant par la salle d'eau où Sandrine nous fit: - « attendez trente secondes, j'ai un petit besoin à faire... » : la porte de sortie étant juste après le WC... Elle nous bloqua et, devant nous ; elle fit glisser son slip sur les cuisses : nous découvrant son sexe aussi lisse que pour Marie, fit son pipi ; s'essuya et nous ressortîmes. Terminant la visite, elle reprit : - « voici le pont avant pour : en haute mer le bronzage, le farniente et suffisamment grand – en faisant attention, quand même – pour y danser ou... autre chose aussi ! » Beaucoup de sous – entendus, décidément : ça promettait... Nous nous sommes rassis aux même places.
- « Alors, mes amis : la visite s'est bien passée et la guide : vous en êtes contents ? » plaisanta t – il... puis il ajouta : « le bateau est un peu petit mais très confortable et agréable : celui que je loue habituellement est un peu plus grand mais il est en mer avec un autre locataire depuis plus de 3 semaines, donc... »
- « Rien à redire : très joli ! » fit ma femme... J'ajoutais que oui : la guide avait était charmante et qu'elle nous avait montrer les points stratégiques du navire... On ria... Il reprit la parole :
« Bien ! Je vais démarrer : servez – vous bien et ne vous inquiétez pas pour moi, je vous rattraperai arrivés en haute mer quand nous mouillerons... Ah ! J'oubliais : indépendamment des règles de sécurité évidentes (on ne se baigne pas si le bateau n'est pas à l'arrêt et l'ancre jetée... par exemple), il y a quelques règles à bord que Sandrine et moi avons établis, qui permettent, vu que l'espace est un peu réduit et que nous sommes tout de même 6 adultes amenés à passer une longue journée dans un univers réduit et, donc ; dans une relative proximité afin de rendre la journée bien plus agréable, distrayante et amusante... Allez, je démarre ! ..Viens m'aider Abou...» il ajouta : à notre intention « ...je vais être un peu occupé mais, vous autres ; continuez et ouvrez une nouvelle bouteille : c'est bon pour la santé le rosé de Loire le matin... je vous rattraperai dès que nous aurons jeté l'ancre. »
Nous avons interrogé Sandy du regard et elle nous a répondu avec Fatou que ce petit règlement en à peine 5 ou 6 points était plus ludique et amusant qu'autre chose et que nous le découvririons petit à petit pour notre plus grand plaisir : lorsque nous serions un peu plus éloigné des côtes, puis à l'arrêt en pleine mer...
Sandy nous précisa que le fait qu'elle ai fait pipi devant nous juste avant, faisait par exemple partie des conséquences de cette promiscuité et que surtout rien ne devait nous choquer ou nous gêner. D'où, ce petit « règlement intérieur »... Puis elle nous expliqua le déroulement de la journée qui commençait :
« Jusqu'à 12h30, 13h30 : pleine mer, le bateau à l'arrêt et pêche. Mais rassurez – vous on ne va pas comme des papys ou mammys rester assis en silence derrière les 4 ou 5 cannes qui seront posées et calées... Non ! De tant à autre, l'un ou l'autre va vérifier si quelque chose a mordu, ramène le poisson pêché le cas échéant : on vous montrera comment faire... Et on reprend nos causeries, nos jeux ; ou on se baigne pendant ce temps... Après cela, on rejoint la côte : un coin que Claude connaît et où il m'a emmenée deux ou trois fois il y a bien longtemps : une crique tranquille en bord de mer avec 5 ou 6 maisons de pêcheurs, un petit marché où l'on trouve viande de brousse fraîche, fruits délicieux ; « bangi » (=vin de palme blanchâtre, titrant à 14 – 15°), des gens pour faire griller la viande ou le poisson ; du bon « attiéké » et un assez grand coin de 6 ou 7 tables sous un « appatam » (= une grande paillote ronde) où l'on trouve plusieurs variétés de « koutoukou » (= alcool de palme transparent s'il est pur, coloré par les extraits de fruits ou les racines qui ont, éventuellement ; marinées dedans et titrant, quant à lui ; à 48 – 60° voire plus...). Vous mêmes, Abou et Fatou ; on ne vous y a jamais emmené : le secteur ayant été un peu déserté quand il y a eu les problèmes en 2004... Il semblerait, que certaines des personnes qui y vivaient où y travaillaient ; soient revenus et que les affaires reprennent. Donc là, on fait griller, on mange en ne buvant que du bon « bangi » et : c'est une forme de politesse vis à vis des villageois qui grillent gratuit pour vous, tout le monde boit quelques « koutoukous » avec eux ensuite... »
« Waouh ! Alex aime bien ça... N'est ce pas mon chéri ? » me fit Marie et continuant : « ...Mais, c'est tellement fort ce truc... » !
« Ma chère, nous comme nos hommes on doit s'asseoir avec eux pour trinquer et boire quelques verres : c'est comme ça ! De toute façon, selon nos infos ; il y a à nouveau à la buvette un poste avec des K7, CD ; et, l'on peut même y danser aussi si l'on veut... De toute façon, il y a quelques hamacs accrochés et le sable de la plage pour se reposer ou même, pas trop loin : à 500 m, au bout de l'embarcadère ; le bateau si on est fatigués, ma chérie... Enfin, vers 16h30 17 h, soit on reprend la mer, et au large lorsque on mouille ; on se repose, se détend, et ceux ou celles qui le veulent se font de gros câlins : surtout n'ayez aucune gène, Marie et Alex ; si vous avez envie de baiser dans la journée, il n'y a aucun problème. Nous mêmes on ne va pas s'en priver parce vous êtes là... On peut se partager les cabines : 2 ou même 3 couples ont assez de place dans la cabine avant, et celle arrière, peut en recevoir un voire deux aussi... » Fatou l'interrompit : « Tu sais, Sandy, même si ce bateau, comme l'a dit ton mari ; est un peu plus petit que celui que vous louez habituellement, le pont avant est suffisamment grand pour qu'on y mette des matelas de plages et qu'on prenne tous, si on le veux ; du plaisir en profitant du soleil et du bon air : c'est encore plus agréable, non ? » Sandrine abonda en son sens :
« Oui ! C'est vrai ça... bonne idée ! Bref... on verra... »
« Les filles, on ne voit presque plus la côte ! » fit Claude. A cette parole, Fatou la 1ère ; enleva son soutien – gorge suivie par Sandy qui fit à l'intention de Claire :
« Règle n°1 que nous avons établie pour toutes les filles à bord, ma chérie : dès que la côte est suffisamment éloignée, le soutien gorge est interdit à bord. Aussi : montres – nous tes jolis seins... »
« oh ! Bien sûr ! » fit ma femme : toujours assise à côté d'elle, et ce ; sans hésiter souriante... Sandy lança à son mari en faisant un clin d'oeil complice à Marie :
« Chéri ! Fatou a dit vrai... Marie a de très jolis seins, tu sais... »
« Je n'en doutais pas Sandrine... Attends, Abou va me remplacer trente secondes : j'arrive : comme j'ai pas mes lunettes... et oui, c'est ça vieillir ; ah ! Que voulez – vous ! » Il descendit les deux premières marches qui menaient au carré et se pencha :
« Hummm ! Dis donc, c'est bien vrai que t'as de beaux nichons, Marie ! » Il ria...
« Merci du compliment, Claude ! » lui répondit ma femme : très zen... Il continua de jouer avec elle :
« Comme c'est la 1ère fois qu'on se voit, et que même si j'connais bien ceux de Sandrine et même ceux de Fatou ; les tiens je ne les connaissais pas et : en tant que capitaine de ce navire, j'aime bien connaître les gens qui sont à bord : surtout mes passagères, voyez – vous, Chère Amie... »
Je vous comprend très bien Capitaine ! » s'en amusa ma femme.
« Bon, c'est pas tout ça mais j'ai pas fini ici ! » Il reprit le volant du bateau. Et, à mon intention, cinq minutes plus tard :
« Alex : sers nous un grand verre de rosé s'il te plaît... Abou va préparer les cannes, et moi je manœuvre : nous approchons du site de pêche... » puis, à destination de Claire :
« Marie, tu veux bien nous amener nos verres, s'il te plaît ? »
« Bien sûr ! » Tandis que ma femme se levait avec les deux gobelets, les fesses toujours au trois quarts dénudées ; Sandy lui fit en les lui caressant distraitement tandis qu'elle se frayait un chemin entre la table et elle :
« Je connais mon mari, ma chérie ; il veut que ce soit toi qui apporte les verres pour bien mater tes beaux nichons et ton joli cul de près : c'est un gros vicieux... » pour qu'il l'entende, puis : sous un ton faussement confidentiel « ... Pssittt ! Roules bien tes jolies fesses pour les leur apporter et, bien vicieusement devant lui, ma chérie : pour bien l'exciter...J'adore quand Claude est TRES excité, vois - tu.. D'accord ? »
« OK ! Je f'rais un effort, promis ! » Ce jeu, décidément l'amusait et... pour mon plus grand plaisir ! Il y avait certainement la quantité de rosé que Claire avait bue qui y était pour quelque chose aussi, car ; je le rappelle : c'était déjà la quatrième bouteille ouverte, il était à peine 9h 9h15 ; et elle était déjà à moitié vide, Sandrine claqua un peu les fesses dénudées de ma femme et l'encouragea :
« Allez ma toute belle... va bien te montrer... nous : on t'observe ! »
Ondulant des fesses plus qu'à l'accoutumée, elle se dirigea vers le poste de pilotage et mettant dans la main qu'Abou lui tendait, son gobelet qu'il but avant d'aller sur le pont - avant du bateau pour y installer les cannes. Elle tendit le sien à Claude. Il lui indiqua de le poser derrière le volant central où il y avait une petite niche destinée à y recevoir un gobelet à côté d'une autre plus grande pouvant accueillir une bouteille. Puis, tenant toujours le volant de sa grosse main gauche ; il posa la droite sur ses fesses nues qu'il se mit à caresser distraitement pour la rapprocher de lui, tout en lui parlant. Le bas – ventre de Marie était tout contre sa cuisse maintenant.
« Alors, je t'explique : tu vois la côte que l'on devine là – bas ? »
« Oui, Claude... » Elle posa sa main gauche sur son épaule. Il la rapprocha davantage de lui : l'un de ses seins nus effleurant sa poitrine maintenant.
« Et bien, là on va tourner un peu sur la gauche : bâbord ; pour contourner une zone où il y a quelques remous, et à nouveau à droite : tribord ; pour arriver derrière le rivage que l'on voit là – bas, où il y a l'endroit où on va becqueter dans une crique tranquille. Entre temps, on aura mouillé en mer pour attendre le poisson... »
« D'accord... » Marie n'ayant pas émis d'objection auparavant, la caresse de Claude, se faisait maintenant plus insistante sur ses fesses : de droite à gauche, sur toute leur largeur et avec une certaine vigueur. Il les lui caressait même en faisant glisser une à deux phalanges de ses gros doigts dans sa culotte : découvrant davantage son joli cul...
« Hmmm... t'as un beau cul, tu sais... »
« Merci ! »
« Pour revenir sur ce que j'ai fait tout à l'heure : confier le volant à Abou pour venir bien regarder tes jolis seins, tu ne m'en veux pas, j'espère ? »
« Non, Claude : pas du tout ! »
« Que veux – tu ! Je suis comme ça : curieux... je connais très bien ceux de Sandy : normal, bien ; ceux de Fatou, d'ailleurs elle sait faire plein de choses avec ses gros nichons... N'est ce pas Fatou ? »
« Quoi ? Claude... » interrogea l'intéressée qui, alors que nous les regardions ; me caresser la cuisse.
« Que tu sais faire plein de choses à un homme, avec tes gros nichons ? »
« Hmmm ! Oui : plein de choses ! » répliqua – t elle...
Continuant de jouer son petit jeu vicieux, ma femme fit à l'intention du Belgo – Suisse qui continuait sa caresse : sur ses fesses, s'insinuant à chaque passage dans leur sillon comme pour les lui écarter un peu plus.
« Ah bon ? »
« Tu veux vraiment savoir ? » Elle acquiesça...
« Plein de cochonneries... »
« Mais encore, Claude ? »
Et bien, Fatou adore qu'un homme se place entre ses gros seins qu'elle attrape des deux mains, pour bien lui donner du plaisir en faisant coulisser sa pine entre – eux... »
« Wouah ! Tout un programme ! »
« N'est ce pas ? Son mari comme moi, on adore quand elle nous fait ça... »
« J'imagine... oui... »
Tu m'as l'air bien coquine aussi toi, non ? »
« Un peu : oui... »
« C'est bien... Tiens : attrapes la barre des deux mains... »
« Aïe ! J'ai jamais conduit, ça ! Moi... »
« T'inquiètes, c'est facile : je suis là... » Elle le fit.
Glissant un peu plus sa main dans son slip, il se mit à lui caresser les fesses de bas en haut maintenant : s'attardant un peu plus dans le sillon en effleurant son anus... Son autre main, se mit à lui caresser les seins sans trop de retenues :
« Et toi, tu fais parfois la cochonne, comme ça aussi avec tes seins ? »
« Ooh, mais ça m'arrive... Oui ! »
« Hmmm ! Que ça doit être bon ! »
« Ah ! Mais je pense que oui... Demande à Alex : il te le dira... »
« Bonne idée ! Alex... Marie m'a dit de te demander si c'était bon quand elle te branlait entre ses seins... » Disant cela, il se mit à faire rouler ses mamelons entre ses doigts...
« TRES bon : oui ! » je lui répondis...
Il embrassa ma femme dans le cou en lui disant de nous rejoindre car il y avait son petit virage de bord à faire... Elle reprit sa place dans le petit carré.
« Alors, chérie ; je t'avais pas dit pourquoi mon mari voulait que ce soit toi qui lui apporte les gobelets ? Il voulait bien te mater et te peloter un peu... Je te dis : je le connais ce salaud... »
« Oui, c'est tout à fait ça ! » Claire ria... et ajouta : « alors, satisfaite ? »
« T'as été extra ! Oui... et j'ajoutais :
« Et, est ce que ça t'a plu ? »
« Toi aussi, chéri... tu sais que j'adore me faire caresser... » Elle fut interrompue par le capitaine :
« Les filles... On arrive en pleine mer et Abou va jeter l'ancre... »
Tandis que le bateau s'arrêtait, Sandy, la 1ère ; enleva sa culotte. Fatou la suivit et notre nouvelle amie fit :
« Règle 2, en pleine mer : tous à poil ! » Je m'exécutais : révélant un début d'érection, tout comme Claude qui avait viré son short de tennis révélant une pine de bonne longueur et surtout, particulièrement large et épaisse : comme lui quoi... Ma femme s'exécuta à son tour en souriant et le mari de Sandrine suivi d'Abou, nous rejoignirent. La bite de ce dernier et la mienne étaient de même largeur mais lui comme Claude avait un organe plus court que le mien (21 cm). Par contre, l'épaisseur du sexe de Claude attirait les regards et pouvait susciter bien des jalousies chez certains mâles... Ma femme but une grande gorgée : le regard fixé dessus...
Contrairement aux 2 autres filles, qui : faisant le grand écart étaient particulièrement impudiques ; ses cuisses étaient plus fermées. Ce qui n'échappa pas à Claude. En la chahutant, il la tança un peu :
« Non, mais Marie : tu déconnes « dèh » ! Aucun d'entre nous ne te cache sa grosse pine... Tu n'as jamais vu ni celle d'Abou ni la mienne, et tu les mates bien, n'est ce pas... ma coquine... Ton mari ne cherche pas non plus à cacher la sienne aux yeux de Sandy ou de Fatou... Et toutes les deux, le lui rendent bien : elles lui montrent complètement leur moule et même si Abou et moi ont connaît bien leurs chattes et que toutes les deux on les as déjà bien baisées ; toi tu n'ouvres pas bien tes cuisses !?!... Ou bien ? »
« Oh, excuses - moi tu as raison, pardon... » fit Marie. Puis, elle s'avança un peu sur l'assise de la banquette et ; les ouvrant largement, elle replia ses jambes : posant ses pieds sur la table...
« Ca te plaît comme ça ? »
« hmm.. oui : c'est mieux... » Sandy ajouta :
« voilà qui est bien... seulement, ma chérie ; comme tu n'as pas réagi toute suite : t'es à l'amende, ma belle... Décide Cap'taine... »
« Voyons... oui ! je sais... pose ton gobelet et avec tes doigts ouvrent moi bien, ton sexe : je veux bien voir l'entrée de ton vagin, ma jolie... »
« oh.... vraiment ! Bon : OK ! »
Les mains de ma femme descendirent vers sa chatte et lentement, en se caressant elle écarta ses lèvres : découvrant petit à petit son intimité bien rose et humide...
« Comme ça ? »
« Encore un peu je vois pas bien ton trou... Caresses – toi un peu, ça ira mieux » Elle ria... et s'exécuta...
« Oui... voilà... ton joli trou à plaisirs est bien visible maintenant... hmmm... Tu vois comme ça me plaît ? » Il lui indiqua sa grosse queue du regard : il bandait... moi aussi d'ailleurs et Abou n'allait pas tarder à être dans le même état...
Ma femme lui fit :
« Hmmm ! Claude : pour toi ça ment pas... dèh ! Quel bel engin... »
« Il t'excite ? » demanda Sandy...
« Bien sûr ! Quelle go' ne le serait pas... »
« Et il sait s'en servir : crois moi ! Quand il te cogne avec : tu la sens passer... ma chérie ! » ajouta Fatou... Marie avait envie de continuer de se caresser mais elle se retint.
« J'en doute pas : Alex aussi... »
« Ah ! Le rosé est fini : Sandy, vas nous chercher 6 grandes bières : « Flag » ou « Tuborg » Marie ? » « Tuborg... » « Alex ? » « Flag... » « OK ! »
« Je t'accompagne » fit Fatou..
Les bières arrivèrent. Quand elles furent ouvertes et posées, Sandy et Fatou : toujours debout, s'enlaçèrent et... la métisse... baisa les lèvres de son amie tout en lui caressant ses gros seins. Fatou : leurs lèvres séparées, lui rendit son baiser en lui caressant les fesses.
« Vous pouvez vous décaler s'il vous plaît... » demanda Sandrine... « que Fatou puisse venir à côté de moi ? »
« Bien sûr ! » fit Claude ! Puis il ajouta :
« Ne bouge pas Alex, Abou va venir de l'autre côté de toi et Marie entre nous, si elle le veut bien... » Ma femme se retrouva entre moi et le mari de Sandy et Abou à côté de cette dernière : à la place de sa femme. La jolie métisse tatouée, s'était plus ou moins couchée sur le dos, cuisses ouvertes ; sa tête posée sur le ventre de Fatou qui : penchée, lui baisait à nouveau les lèvres en lui caressant les seins. Sandrine fit glisser l'une de ses mains sur son petit scorpion tatoué puis vers son sexe humide qu'elle se mit à caresser sous le regard d'Abou : en érection aussi, maintenant. J'embrassais ma femme sur la bouche. Ce baiser fini, Claude : passant son bras autour de ses épaules, lui demanda en lui désignant ses copines :
« Qu'en dis – tu ma chérie, excitant non ? Regarde Abou... » : il se caressait en les regardant...
« Assez excitant... oui... » reconnut – elle...
« A moi de te bécoter... » A son tour il lui baisa la bouche... Elle ne s'y opposa pas : au contraire. Puis, se tournant vers moi : m'embrassa à nouveau : la salive de Claude encore dans la bouche... Il en profita pour lui caresser les seins... Ma femme ouvrit davantage les cuisses : comme en une invite muette... Nos mains commencèrent à remonter entre ses cuisses : jusqu'à son sexe que nos doigts commencèrent à caresser, à pénétrer – Marie était trempée - elle mit la tête en arrière et nous caressant la nuque, les yeux fermés ; elle s'abandonna à nos caresses. Nos bouches parcouraient son cou, ses seins ; nos mains : son ventre, ses cuisses et sa chatte bien ouverte, elles la fouillait... Ma femme grognait de plaisir :
« Ooh... Hmmm... Hmmmm ! C'est... bon... Oui... OOOh ! Hmm ! HMMM... Hummm ! Continuez...»
Sa mouille dégoulinait entre nos doigts... Et, très vite ; elle a joui sans la moindre retenue sous nos caresses...
Face à nous, Sandy se faisait sucer les seins par Fatou et suçait les siens aussi. Abou pendant ce temps doigtait le sexe de la métisse avec une main : se branlant de l'autre... Il était juste 10h30. Le reste de la journée promettait... J'attirais la tête de ma femme vers moi : je voulais qu'elle me suce... Elle ne se fit pas prier... Montant et, descendant sur mon sexe tendu avec gourmandise ; elle me massait les bourses en même temps : un genou replié, penché ; offrant ainsi son cul à Claude... Il se mit à le caresser, glisser ses doigts dans le sillon de ses fesses humides entre lesquelles avait coulé sa mouille... Il se mit à agacer son petit trou : le titillant, le doigtant doucement... Marie se cambra : pour encore mieux le lui donner... il lui enfila lentement tout un de ses gros doigts dans l'anus : pour bien le limer...
« A moi maintenant... » ordonna – t -il... il la prit par le bras : la tournant vers lui et, debout lui donna à son tour ; sa grosse pine à sucer... Elle... n'hésita pas... Je me redressais et Marie : à genoux sur la banquette, se mit à passer d'une bite à l'autre. Elle branlait la 1ère tandis qu'elle pompait la seconde et vice versa... Nous lui caressions les seins en même temps... Abou, de son côté ; léchait la chatte de Sandrine avec application maintenant et elle commençait à jouir... Se déplaçant, Fatou posa son large « toto » (= sexe, chatte) : tellement béant que même un cheval aurait pu la saillir, nous semblait – il, sur son visage... La bouche de la métisse s'en empara : tout comme sa langue, ses doigts... Symbiose entre nous 6 ? Peut – être... Toujours est – il, que d'une manière très sonore ; Fatou et Sandy, puis son mari, moi et même Marie à nouveau : nous lui pincions fermement les tétons maintenant, avons joui en simultané... Nos bites bien sucées, lâchaient leurs flots de foutre entre les mains, sur les seins, le visage ; les longues et fines tresses de ma femme, sur sa langue et dans sa bouche... De son côté, n'y tenant plus ; Abou se branla sur le ventre et les seins de Sandrine avant d'être récupéré par la bouche pulpeuse de sa femme qui le pompa jusqu'à la dernière goutte... Nous nous sommes rassis : reprenant notre souffle.
« ça t'a plu ? » demanda Sandrine à ma femme...
« Hmmm... Oui... beaucoup... »
« Tu les as bien sucés, ma chérie... Viens nous embrasser aussi... » Ma femme hésita un peu puis se leva... Elle baisa les lèvres de Fatou d'abord puis de Sandy et... D'Abou ensuite. Puis elle se rassit.
Le banquier lui demanda :
« J'espère que j'aurais droit aujourd'hui, au même traitement de ta part que ton mari ou Claude ont déjà eus... »
« Bien sûr Abou... la journée n'est pas finie... » répondit – elle... (A suivre...)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
trop long et compliqué à lire car on s'en sort pas avec les différents personnage !!!