Sexe au cinéma.
Récit érotique écrit par Veilleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 26 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Veilleur ont reçu un total de 261 291 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 518 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Sexe au cinéma.
Sexe au cinéma
J’ai passé le week-end en famille et surtout avec ma petite amie Léa. Il est
près de dix-sept heures, je vais rejoindre à une vingtaine de kilomètres la chambre
que j’occupe chez un couple pour un loyer plus que raisonnable à proximité de mon lieu
de travail. Ce dimanche soir j’ai le cafard, comme tous les dimanches soirs. Demain
boulot et pendant toute la semaine je ne verrai ni mes parents ni Léa. Mais mon cafard
est encore plus fort cette semaine parce que Léa s’est montrée pressée de me quitter
pour rejoindre des copines avec lesquelles elle a planifié une séance de cinéma à dix-
sept heures. Nous aurions pu rester ensemble encore une ou deux heures, mais son
portable a sonné, Josiane lui rappelait le rendez-vous devant la salle de cinéma.
-Excuse-moi, il faut que j’y aille, mes copines Josiane et Mado m’attendent.
J’ai eu droit à un baiser, le baiser d’une jeune fille qui avait déjà la tête
ailleurs, différent de ceux d’hier ou de cet après-midi, moins chaud, moins long,
moins amoureux, presque un baiser distrait accompagné d’un:
-« A samedi prochain » tout aussi distrait, sans heure ni lieu de rendez-vous et donc
si différent de la salutation habituelle des autres dimanches. Cet au-revoir a ajouté
de la peine au chagrin de devoir la quitter. J’ai ressenti un indéfinissable malaise,
une difficulté à avaler ma salive, un fourmillement désagréable dans la poitrine. J’ai
enfourché ma mobylette et je me suis éloigné. Presque aussitôt je me suis retourné
pour un dernier signe de la main: Léa avait disparu, sans attendre comme les autres
fois.
J’ai rebroussé chemin. A proximité du cinéma, mobylette enchainée, j’ai
observé les spectateurs qui attendaient devant l’entrée. J’ai vite repéré le groupe
connu: Mado et Robert, Josiane et Guy, et ma Léa en train de saluer copains et copines
en faisant la bise pour terminer par un inconnu! Quoi? Trois couples en somme. Le
nouveau était-il mon remplaçant, il restait à côté de Léa, l’entretenait, faisait rire
l’équipe, se tenait de plus en plus près et se réjouissait des éclats de rire de Léa
surtout. A la caisse il passa en tête, se retourna et tendit un ticket à Léa. En
récompense il eut droit à un bisou sur chaque joue. Je m’approchai et vis la petite
troupe prendre l’escalier du balcon. Discrètement je les suivis, demeurai dans la
porte de la salle le temps de les voir s’installer au premier rang, tout au fond
contre le mur. Debout ils se penchaient pour observer le parterre et ses occupants.
Ils étaient seuls au balcon. Quand la lumière s’éteignit, je me glissai sans bruit, au
troisième rang. Devant moi, du mur vers l’allée se tenaient le nouveau, Léa, Mado
Robert, Josiane et Guy.
Aussitôt par couple les têtes se rapprochèrent, Guy et Josiane s’embrassaient,
Mado se portait sur les genoux de Robert pour un baiser de face. Léa regardait droit
devant elle, comme si elle ne remarquait pas que son voisin tourné vers elle attendait
un geste d’encouragement. Je me tassais dans mon fauteuil pour ne pas être vu de Mado.
En réalité elle était trop occupée à envahir de sa langue la bouche de Robert pour
prêter attention à son environnement. Ils avaient choisi de s’isoler dans un coin et
n’avaient pas relevé ma présence. Josiane tournée vers l’écran, poussait des soupirs
ou glapissait d’une voix étouffée; Guy était penché vers elle, le bras gauche tendu
vers ses genoux. Mado toujours assise sur les genoux de Robert, tête jetée en arrière,
se laissait peloter les seins à travers sa blouse blanche. Le troisième fixait
désespérément une Léa captivée par le film.
-Alors Marc, ça va? Tu es timide, chuchota Mado, ou Léa te fait-elle peur? Léa sois
gentille.
Léa faisait semblant de ne pas entendre. Marc se crut obligé d’agir, il passa
son bras gauche par-dessus les épaules d’une Léa toujours imperturbable. Où était
passée Josiane? Guy se dressait dans son fauteuil. Mado regardait vers lui. La tête de
Josiane réapparut, elle passait le revers de sa main sur sa bouche et se remit à
embrasser son amoureux, penchée vers lui, dos tourné à l’écran. Mado à son tour se
levait et déboutonnait sa blouse puis se rasseyait sur les genoux de Robert en
relevant le bas de sa jupe. Elle se mit immédiatement à glousser. Le garçon venait de
plaquer ses deux mains sur la poitrine dénudée. Tout avait été prévu, la demoiselle ne
portait pas de soutien-gorge. Mais pourquoi bougeait-elle de droite à gauche sur les
cuisses de son coquin? A l’autre extrémité le dénommé Marc rapprochait sa tête jusqu’à
la chevelure de Léa, mais celle-ci ne semblait pas se rendre compte du mouvement. Marc
jugea donc qu’il était temps d’envoyer une main vers la jupe de sa voisine. Sa gauche
enveloppait les épaules, par une torsion du tronc il expédia la droite vers un genou.
Léa étonnée se tourna vers lui et trouva en face de sa bouche les lèvres du garçon.
-Mais non, retire ta main.
La main quitta le genou et vint se poser sur sa poitrine tandis que la bouche de Marc
lui volait un baiser.
-Bravo, Marc, enfin tu te décides, souffla Mado d’une voix hachée par les tremblements
de sa chair tourmentée. Josiane se pencha en avant pour voir les progrès du nouveau.
Guy avait disparu devant elle et devait en ce moment lui lécher la vulve. Je ne
m’attardai pas à surveiller ses soubresauts, car Léa réagissait enfin, repoussait la
tête de Marc, puis se dégageait de ses bras et le renvoyait au spectacle:
-Laisse-moi regarder le film, s’il te plaît.
Réaction vertueuse ou report à plus tard? Ce garçon avait payé le ticket de
cinéma, avait-il acquis un droit sur Léa? Il se renfonça dans son siège. Léa regardait
de nouveau l’écran. Guy de nouveau assis posait une main dans la chevelure de Josiane
courbée sur sa braguette et dont la tête décrivait un mouvement alternatif de haut en
bas accompagné d’un bruissement humide. Mado me fit peur. Elle venait de se tourner
dans ma direction, écartait les cuisses et avançait au-dessus des jambes de Robert
toujours assis. Elle descendit lentement en se tortillant, remonta, redescendit,
protesta, se posa en grondant pour embrasser son gars. Heureusement elle cherchait
sous elle, se demandait pourquoi elle ne réussissait pas à engloutir la queue de
Robert et ne leva pas la tête vers moi.
Marc avait repris confiance, son bras gauche remuait imperceptiblement en
direction des jambes de Léa absorbée dans son film. Il repartait à la conquête. Léa
avait protesté à voix basse, la salle ne se prêtait pas à des éclats de voix, il
persévérait avec l’espoir que la nécessité de rester discrète empêcherait sa voisine
de le rabrouer trop bruyamment si elle persistait à regarder l‘écran et à refuser les
attouchements. Il serait plus patient. Sa main avait atteint un genou. Immobile au
contact de la chair, elle prenait possession de ce bout de corps et Marc se félicitait
certainement de ne pas être refoulé. Il la chaufferait progressivement, troublerait
ses sens et l’amènerait à vouloir imiter ses deux amies plus délurées. Qui sait, elle
finirait par accepter, il lui toucherait le frifri à travers la culotte, aurait peut-
être la chance de toucher l’abricot à vif et là le bonheur d’introduire un doigt, puis
deux, puis …son manche dans le manchon… Il espérait. Je désespérais.
Mado se relevait, constata que le camarade progressait, leva les deux mains
et fit en l’air un signe d’applaudissement. Josiane suçait toujours, je ne voyais que
l’arrondi de sa croupe et le court mouvement de sa tête. Les deux mains en appui sur
la barre du balcon, Mado tendait son postérieur en direction de Robert. Le garçon
tendit la main, la passa sous la jupe et son bras se mit en mouvement d’aller retour.
Sous ses yeux le bas du dos se mit à tourner autour de ses doigts. Il frottait
tranquillement son gland entre les grandes lèvres trempées de désir, chaudes,
brûlantes et prêtes à s‘ouvrir pour le recevoir. Mado plus impatiente se redressa,
souleva sa jupe, baissa sa culotte blanche. Robert termina le déshabillage en tirant
le tissu vers le sol, Mado leva un pied, puis l’autre et reprit position, fesses
tendues. Alors Robert porta à son nez la boule de tissu odorante et soupira d‘aise.
Mado rit de contentement. Lui se leva, remonta la jupe de la fille sur ses reins.
J’avais sous les yeux deux fesses blanches et grasses et dans la pénombre je
distinguais les deux jambes qui s’ouvraient pour faciliter l’approche du mâle dont
main reposait sur le dos dénudé, l’autre masturbait une verge raide et la présentait
contre le sexe affamé de Mado. Robert s’amusa à frotter son gland en allers retours
dans le long sillon qui courait de l’anus au sommet de la vulve. Mado piaffait
d’impatience. La musique du film couvrit la plainte de la fille au moment où le pieu
s’enfonça dans son vagin et l’accouplement se continua en un lent travail de
pénétrations et de retraits inlassablement répétés. L’homme prit une vitesse de
croisière, soucieux de faire durer, d’aller calmement et d’éviter les cris de
jouissance qu’une charge trop brutale aurait pu arracher à l’endiablée complice. Il
ramait, ramait, elle s’offrait et soufflait, envahie, satisfaite
Cette fois Léa tourna la tête vers ses deux voisins en train de copuler,
oublia l’écran et porta une main à sa bouche. Marc désireux de voir, se souleva, se
pencha au-dessus de Léa et en profita pour laisser errer ses mains des épaules aux
seins où elles s’immobilisèrent. Eut-il l’imprudence de les pincer trop brutalement au
lieu de les presser avec délicatesse? La réaction vive de Léa le renvoya sur les
fesses dans son fauteuil.
Pour ne pas être en reste Josiane imitait Mado, se penchait à son tour pour
retirer sa culotte, la mode était au blanc, se faisait aider par Guy. Elle avançait
face à lui et à moi sur les cuisses du garçon allongé dans son fauteuil. Elle se
plaça, elle visa, tête baissée vers le pantalon débraillé et vers la bite d’amarrage
où elle comptait se fixer et s’empala sur le pénis de son compagnon avec plus de
succès que Mado précédemment sur Robert. Pour achever l’union elle joignit ses lèvres
à celles de sa monture. Enfin elle se mit en mouvements ascendants et descendants,
mains accrochées aux épaules et tête renversée, bouche ouverte. Sa blouse était
ouverte sur ses seins laiteux et Guy en profitait pour agacer les tétons et les
embrasser. Ce devait être une habitude bien rodée, un pas lent pour rester discret
dans la salle obscure. Le plaisir de braver les règles habituelles de décence et les
interdits devait décupler leurs sensations, bien qu’ils se crussent seuls au balcon,
sans témoin direct.
-J’en ai marre râlait tout bas le malheureux Marc. Regarde les autres…. Détends-toi et
embrasse-moi. Ne fais pas la bêcheuse. …Ne me dis pas que tu n’en as pas envie, Léa….
Enervée, Léa se leva, se tourna vers le fond de la salle et lâcha toujours à
voix étouffée
-Non, mais qu’est-ce que tu crois? Tu m’as payé l’entrée, c’est gentil, mais je suis
fiancée. Alors fiche-moi la paix. Les accouplés bouchaient le passage. Elle grimpa sur
son siège, enjamba le dossier, se retrouva dans le rang suivant, juste en face de moi.
Il faisait sombre, puis le film eut une éclaircie. Léa me vit, me reconnut, ouvrit de
grands yeux
-Louis? Que fais-tu là?
Elle courut dans son rang, revint dans le mien, se jeta sur moi et peu
soucieuse de ce que penseraient les cinq autres se mit à m’embrasser. Marc avait
raison, les galipettes des deux autres couples avaient excité ses sens et elle me
montra sans retenue à quel point. Marc la vit baisser culotte, se mettre à genoux
entre mes jambes, prendre en bouche mon sceptre déniché pour la première fois par des
doigts agiles et me sucer comme la plus expérimentée mère de famille. Jamais encore
nous n’avions pratiqué, mais je me laissai faire. Quand Léa vint se poser sur ma bite
gonflée, j’entendis quelqu’un pousser le mot de Cambronne, des pas précipités sur la
moquette; Marc furieux s’en allait.
-Vas-y, Léa, disaient les quatre autres.
Leurs encouragements la ramenèrent à la réalité. Heureusement, comme je le constatai
la nuit même à l’hôtel, Léa était vierge, et mon pantalon n’eut pas à souffrir de sa
précipitation. Nous fîmes l’amour au calme mais avec passion.
J’ai passé le week-end en famille et surtout avec ma petite amie Léa. Il est
près de dix-sept heures, je vais rejoindre à une vingtaine de kilomètres la chambre
que j’occupe chez un couple pour un loyer plus que raisonnable à proximité de mon lieu
de travail. Ce dimanche soir j’ai le cafard, comme tous les dimanches soirs. Demain
boulot et pendant toute la semaine je ne verrai ni mes parents ni Léa. Mais mon cafard
est encore plus fort cette semaine parce que Léa s’est montrée pressée de me quitter
pour rejoindre des copines avec lesquelles elle a planifié une séance de cinéma à dix-
sept heures. Nous aurions pu rester ensemble encore une ou deux heures, mais son
portable a sonné, Josiane lui rappelait le rendez-vous devant la salle de cinéma.
-Excuse-moi, il faut que j’y aille, mes copines Josiane et Mado m’attendent.
J’ai eu droit à un baiser, le baiser d’une jeune fille qui avait déjà la tête
ailleurs, différent de ceux d’hier ou de cet après-midi, moins chaud, moins long,
moins amoureux, presque un baiser distrait accompagné d’un:
-« A samedi prochain » tout aussi distrait, sans heure ni lieu de rendez-vous et donc
si différent de la salutation habituelle des autres dimanches. Cet au-revoir a ajouté
de la peine au chagrin de devoir la quitter. J’ai ressenti un indéfinissable malaise,
une difficulté à avaler ma salive, un fourmillement désagréable dans la poitrine. J’ai
enfourché ma mobylette et je me suis éloigné. Presque aussitôt je me suis retourné
pour un dernier signe de la main: Léa avait disparu, sans attendre comme les autres
fois.
J’ai rebroussé chemin. A proximité du cinéma, mobylette enchainée, j’ai
observé les spectateurs qui attendaient devant l’entrée. J’ai vite repéré le groupe
connu: Mado et Robert, Josiane et Guy, et ma Léa en train de saluer copains et copines
en faisant la bise pour terminer par un inconnu! Quoi? Trois couples en somme. Le
nouveau était-il mon remplaçant, il restait à côté de Léa, l’entretenait, faisait rire
l’équipe, se tenait de plus en plus près et se réjouissait des éclats de rire de Léa
surtout. A la caisse il passa en tête, se retourna et tendit un ticket à Léa. En
récompense il eut droit à un bisou sur chaque joue. Je m’approchai et vis la petite
troupe prendre l’escalier du balcon. Discrètement je les suivis, demeurai dans la
porte de la salle le temps de les voir s’installer au premier rang, tout au fond
contre le mur. Debout ils se penchaient pour observer le parterre et ses occupants.
Ils étaient seuls au balcon. Quand la lumière s’éteignit, je me glissai sans bruit, au
troisième rang. Devant moi, du mur vers l’allée se tenaient le nouveau, Léa, Mado
Robert, Josiane et Guy.
Aussitôt par couple les têtes se rapprochèrent, Guy et Josiane s’embrassaient,
Mado se portait sur les genoux de Robert pour un baiser de face. Léa regardait droit
devant elle, comme si elle ne remarquait pas que son voisin tourné vers elle attendait
un geste d’encouragement. Je me tassais dans mon fauteuil pour ne pas être vu de Mado.
En réalité elle était trop occupée à envahir de sa langue la bouche de Robert pour
prêter attention à son environnement. Ils avaient choisi de s’isoler dans un coin et
n’avaient pas relevé ma présence. Josiane tournée vers l’écran, poussait des soupirs
ou glapissait d’une voix étouffée; Guy était penché vers elle, le bras gauche tendu
vers ses genoux. Mado toujours assise sur les genoux de Robert, tête jetée en arrière,
se laissait peloter les seins à travers sa blouse blanche. Le troisième fixait
désespérément une Léa captivée par le film.
-Alors Marc, ça va? Tu es timide, chuchota Mado, ou Léa te fait-elle peur? Léa sois
gentille.
Léa faisait semblant de ne pas entendre. Marc se crut obligé d’agir, il passa
son bras gauche par-dessus les épaules d’une Léa toujours imperturbable. Où était
passée Josiane? Guy se dressait dans son fauteuil. Mado regardait vers lui. La tête de
Josiane réapparut, elle passait le revers de sa main sur sa bouche et se remit à
embrasser son amoureux, penchée vers lui, dos tourné à l’écran. Mado à son tour se
levait et déboutonnait sa blouse puis se rasseyait sur les genoux de Robert en
relevant le bas de sa jupe. Elle se mit immédiatement à glousser. Le garçon venait de
plaquer ses deux mains sur la poitrine dénudée. Tout avait été prévu, la demoiselle ne
portait pas de soutien-gorge. Mais pourquoi bougeait-elle de droite à gauche sur les
cuisses de son coquin? A l’autre extrémité le dénommé Marc rapprochait sa tête jusqu’à
la chevelure de Léa, mais celle-ci ne semblait pas se rendre compte du mouvement. Marc
jugea donc qu’il était temps d’envoyer une main vers la jupe de sa voisine. Sa gauche
enveloppait les épaules, par une torsion du tronc il expédia la droite vers un genou.
Léa étonnée se tourna vers lui et trouva en face de sa bouche les lèvres du garçon.
-Mais non, retire ta main.
La main quitta le genou et vint se poser sur sa poitrine tandis que la bouche de Marc
lui volait un baiser.
-Bravo, Marc, enfin tu te décides, souffla Mado d’une voix hachée par les tremblements
de sa chair tourmentée. Josiane se pencha en avant pour voir les progrès du nouveau.
Guy avait disparu devant elle et devait en ce moment lui lécher la vulve. Je ne
m’attardai pas à surveiller ses soubresauts, car Léa réagissait enfin, repoussait la
tête de Marc, puis se dégageait de ses bras et le renvoyait au spectacle:
-Laisse-moi regarder le film, s’il te plaît.
Réaction vertueuse ou report à plus tard? Ce garçon avait payé le ticket de
cinéma, avait-il acquis un droit sur Léa? Il se renfonça dans son siège. Léa regardait
de nouveau l’écran. Guy de nouveau assis posait une main dans la chevelure de Josiane
courbée sur sa braguette et dont la tête décrivait un mouvement alternatif de haut en
bas accompagné d’un bruissement humide. Mado me fit peur. Elle venait de se tourner
dans ma direction, écartait les cuisses et avançait au-dessus des jambes de Robert
toujours assis. Elle descendit lentement en se tortillant, remonta, redescendit,
protesta, se posa en grondant pour embrasser son gars. Heureusement elle cherchait
sous elle, se demandait pourquoi elle ne réussissait pas à engloutir la queue de
Robert et ne leva pas la tête vers moi.
Marc avait repris confiance, son bras gauche remuait imperceptiblement en
direction des jambes de Léa absorbée dans son film. Il repartait à la conquête. Léa
avait protesté à voix basse, la salle ne se prêtait pas à des éclats de voix, il
persévérait avec l’espoir que la nécessité de rester discrète empêcherait sa voisine
de le rabrouer trop bruyamment si elle persistait à regarder l‘écran et à refuser les
attouchements. Il serait plus patient. Sa main avait atteint un genou. Immobile au
contact de la chair, elle prenait possession de ce bout de corps et Marc se félicitait
certainement de ne pas être refoulé. Il la chaufferait progressivement, troublerait
ses sens et l’amènerait à vouloir imiter ses deux amies plus délurées. Qui sait, elle
finirait par accepter, il lui toucherait le frifri à travers la culotte, aurait peut-
être la chance de toucher l’abricot à vif et là le bonheur d’introduire un doigt, puis
deux, puis …son manche dans le manchon… Il espérait. Je désespérais.
Mado se relevait, constata que le camarade progressait, leva les deux mains
et fit en l’air un signe d’applaudissement. Josiane suçait toujours, je ne voyais que
l’arrondi de sa croupe et le court mouvement de sa tête. Les deux mains en appui sur
la barre du balcon, Mado tendait son postérieur en direction de Robert. Le garçon
tendit la main, la passa sous la jupe et son bras se mit en mouvement d’aller retour.
Sous ses yeux le bas du dos se mit à tourner autour de ses doigts. Il frottait
tranquillement son gland entre les grandes lèvres trempées de désir, chaudes,
brûlantes et prêtes à s‘ouvrir pour le recevoir. Mado plus impatiente se redressa,
souleva sa jupe, baissa sa culotte blanche. Robert termina le déshabillage en tirant
le tissu vers le sol, Mado leva un pied, puis l’autre et reprit position, fesses
tendues. Alors Robert porta à son nez la boule de tissu odorante et soupira d‘aise.
Mado rit de contentement. Lui se leva, remonta la jupe de la fille sur ses reins.
J’avais sous les yeux deux fesses blanches et grasses et dans la pénombre je
distinguais les deux jambes qui s’ouvraient pour faciliter l’approche du mâle dont
main reposait sur le dos dénudé, l’autre masturbait une verge raide et la présentait
contre le sexe affamé de Mado. Robert s’amusa à frotter son gland en allers retours
dans le long sillon qui courait de l’anus au sommet de la vulve. Mado piaffait
d’impatience. La musique du film couvrit la plainte de la fille au moment où le pieu
s’enfonça dans son vagin et l’accouplement se continua en un lent travail de
pénétrations et de retraits inlassablement répétés. L’homme prit une vitesse de
croisière, soucieux de faire durer, d’aller calmement et d’éviter les cris de
jouissance qu’une charge trop brutale aurait pu arracher à l’endiablée complice. Il
ramait, ramait, elle s’offrait et soufflait, envahie, satisfaite
Cette fois Léa tourna la tête vers ses deux voisins en train de copuler,
oublia l’écran et porta une main à sa bouche. Marc désireux de voir, se souleva, se
pencha au-dessus de Léa et en profita pour laisser errer ses mains des épaules aux
seins où elles s’immobilisèrent. Eut-il l’imprudence de les pincer trop brutalement au
lieu de les presser avec délicatesse? La réaction vive de Léa le renvoya sur les
fesses dans son fauteuil.
Pour ne pas être en reste Josiane imitait Mado, se penchait à son tour pour
retirer sa culotte, la mode était au blanc, se faisait aider par Guy. Elle avançait
face à lui et à moi sur les cuisses du garçon allongé dans son fauteuil. Elle se
plaça, elle visa, tête baissée vers le pantalon débraillé et vers la bite d’amarrage
où elle comptait se fixer et s’empala sur le pénis de son compagnon avec plus de
succès que Mado précédemment sur Robert. Pour achever l’union elle joignit ses lèvres
à celles de sa monture. Enfin elle se mit en mouvements ascendants et descendants,
mains accrochées aux épaules et tête renversée, bouche ouverte. Sa blouse était
ouverte sur ses seins laiteux et Guy en profitait pour agacer les tétons et les
embrasser. Ce devait être une habitude bien rodée, un pas lent pour rester discret
dans la salle obscure. Le plaisir de braver les règles habituelles de décence et les
interdits devait décupler leurs sensations, bien qu’ils se crussent seuls au balcon,
sans témoin direct.
-J’en ai marre râlait tout bas le malheureux Marc. Regarde les autres…. Détends-toi et
embrasse-moi. Ne fais pas la bêcheuse. …Ne me dis pas que tu n’en as pas envie, Léa….
Enervée, Léa se leva, se tourna vers le fond de la salle et lâcha toujours à
voix étouffée
-Non, mais qu’est-ce que tu crois? Tu m’as payé l’entrée, c’est gentil, mais je suis
fiancée. Alors fiche-moi la paix. Les accouplés bouchaient le passage. Elle grimpa sur
son siège, enjamba le dossier, se retrouva dans le rang suivant, juste en face de moi.
Il faisait sombre, puis le film eut une éclaircie. Léa me vit, me reconnut, ouvrit de
grands yeux
-Louis? Que fais-tu là?
Elle courut dans son rang, revint dans le mien, se jeta sur moi et peu
soucieuse de ce que penseraient les cinq autres se mit à m’embrasser. Marc avait
raison, les galipettes des deux autres couples avaient excité ses sens et elle me
montra sans retenue à quel point. Marc la vit baisser culotte, se mettre à genoux
entre mes jambes, prendre en bouche mon sceptre déniché pour la première fois par des
doigts agiles et me sucer comme la plus expérimentée mère de famille. Jamais encore
nous n’avions pratiqué, mais je me laissai faire. Quand Léa vint se poser sur ma bite
gonflée, j’entendis quelqu’un pousser le mot de Cambronne, des pas précipités sur la
moquette; Marc furieux s’en allait.
-Vas-y, Léa, disaient les quatre autres.
Leurs encouragements la ramenèrent à la réalité. Heureusement, comme je le constatai
la nuit même à l’hôtel, Léa était vierge, et mon pantalon n’eut pas à souffrir de sa
précipitation. Nous fîmes l’amour au calme mais avec passion.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Veilleur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...