Sexe en intérim.2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sexe en intérim.2
La nuit a été courte, la veille, j'ai franchi le pas avec André, l'ouvrier antillais, que je côtoie.
Le souvenir de notre échange sexuel m'a perturbé, je ne suis pas arrivé à m'endormir !
J'ai du me masturber vers 2 h du matin, pour enfin sombrer en pensant à lui.
A ce moment de ma vie, je suis toujours en couple, avec ma première petite amie.
On s'aime toujours passionnément, mais cette passion ne nous protège pas de disputes, de plus en plus fréquentes.
La situation devient insupportable !
Je la quitte, on se retrouve, elle me quitte, on reprend, etc... !
Franchement, l'amour ne doit pas faire souffrir ! Il doit nous rendre heureux !
Mon esprit est embrouillé, je ne sais pas pourquoi, mais je pense plus à André, qu'à ma relation qui fout le camp !
Le matin, au travail, il profite d'un moment où on est seuls, pour me parler.
"Ca va Pascal ? T'as l'air fatigué !".
"Oui, j'ai pas dormi !".
"Ah bon ? Pourquoi ?".
"J'ai pensé à toi ! Tu me troubles encore !".
"Ah Bon ! Mais c'est bien ça ! Moi aussi, j'ai rêvé de toi ! J'ai adoré le moment qu'on a passé ensemble ! D'ailleurs, j'ai envie de toi, là !".
"Moi aussi ! Ca va être difficile d'attendre ce soir !".
"Bon, quelqu'un vient ! Reprends des forces ! Je t'adore ! A ce soir !".
On m'a souvent parlé ainsi, mais je suis beaucoup plus sensible, quand ça vient de lui, je ne me reconnais pas !
Le soir, on use d'un stratagème pour se retrouver à l'insu des autres.
Furtivement, je grimpe dans son véhicule en plein virage.
"Je suis content que tu restes avec moi, cette nuit ! ".
"Moi aussi, ça m'évite de prendre le bus, et surtout, j'en avais envie !".
Je pose ma main sur sa cuisse, il me prend la main entre deux passages de vitesse.
"J'arrive pas à réaliser que tu sois avec moi ! Pascal !".
"Et pourquoi pas ?".
"J'ai tellement fantasmé sur toi ! Tu me plais beaucoup, tu sais !".
"Ne me mets pas sur un piédestal, je suis un garçon comme les autres ! Tu sais !".
"Je sais, mais reconnais, qu'on a passé un super moment hier !".
"Plus que ça ! C'était génial ! J'ai même du me branler pour arrêter d'y penser !".
"Ah, ah ! Pareil pour moi, mais j'ai quand même rêvé de toi, en plus !".
Il me fait entrer chez lui, on reconnait ses origines métisses, à sa décoration.
Il m'offre à boire, et s'apprête à sortir des aliments pour cuisiner un repas.
Je ne résiste pas à une pulsion, j'ai besoin de me blottir contre lui.
Il m'embrase tendrement.
Un frisson me parcoure le corps.
Je pose ma tête sur son épaule, il me redresse le visage pour me regarder dans les yeux.
Ils sont embués de larmes.
"Ca va pas, mon p'tit Pascal ?".
"Pas trop ! Non ! Je suis sur les nerfs, en ce moment, je suis en pleine séparation avec ma copine, et maintenant, je crois que j'aime un homme, pour couronner le tout ! Mais ne fais pas attention, à ça !".
"Pourquoi ? Au contraire ! Moi aussi, j'ai flashé sur toi !".
On se lance dans une série de baisers interminables.
Il me soulève en gardant mes lèvres collées aux siennes, pour m'emmener vers sa chambre.
Il me dévêt en me couvrant de baisers sensuels.
Toutes ces caresses me font oublier mes problèmes, j'ai envie qu'il m'aime !
J'écarte les pants de sa chemise, il m'offre son torse et ses tétons à lécher.
Puis, il monte pour approcher son ventre et l'endroit qui cache son engin de bonheur.
Je le libère de sa grosse queue en le couvrant de nombreux baisers.
Il se redresse, après avoir un peu profité de ma bouche, sur son sexe.
Il sort ses pieds de ses vêtements, se libérant de cette dernière entrave.
Nos deux corps nus peuvent enfin se recoller, et s'aimer, au moyen de caresses appuyées, léchages passionnés etc...
Je m'écarte les lobes fessiers pour lui permettre de mieux me lécher l'anus.
Sa grosse langue me procure un plaisir fou.
Lui, comme moi, ne désirons plus qu'une chose enfin ! Qu'il soit en moi !
Sentir son torse contre le mien, pendant qu'il trouve naturellement son chemin, avec son gros sexe, me rend fou de bonheur.
Il me caresse le visage, admirant le plaisir que sa pénétration me procure.
"Arhhhhhhhhhhh ! André ! J'ai pensé à ça toute la nuit et toute la journée ! Je...".
Il m'embrasse encore en me possédant avec passion.
Je joui pleinement, tout mon corps est submergé de frissons, de passion amoureuse, j'aime jouir comme ça avec lui.
On ne change de position, que pour en trouver une autre, qui nous laisse la possibilité de partager des caresses et des baisers, sans discontinuer.
Je joui à plusieurs reprises sous lui, sur le ventre, pendant qu'il me pilonne profondément, mais sans emballement, tout en me mordant le cou.
Puis, je le chevauche, à mon tour en partageant de nombreux baisers, face à lui.
Il me replace encore sous lui, entre mes cuisses écartées.
J'entoure son corps de mes jambes et mes bras, je veux me donner sans retenue.
Nous sommes toujours soudés par nos lèvres et sa grosse bite dans mon anus.
Il gémit fortement, je serre plus fort encore, mes membres autour de lui.
Pendant qu'il râle bruyamment, son gros sexe est parcouru de nombreux spasmes éjaculatoires.
Mes yeux se troublent encore de larmes, notre communion est trop intense.
Elle me fait peur, mais au diable, cette peur, j'en ai trop besoin !
Il joui longuement en moi, puis il redresse son visage, et voit mes larmes de bonheur.
"Moi aussi, Je t'aime ! Pascal ! Je veux pas te faire de mal, j'ai qu'une envie, c'est prendre soin de toi ! Te protéger !".
"Je sais ! Je le ressens, on m'a jamais aimé comme ça ! Je sais pas comment le gérer, mais ça me fait du bien, en tout cas !".
"Putain, les autres ont plus intérêt à te brancher sur ton cul ! Déjà que c'était limite, avant !".
"Ah, non ! Surtout pas, sinon, ils vont se douter qu'on s'aime ! Tu dois faire semblant !".
"Ca va être dur !".
Ce déballage de sentiments m'a libéré d'un énorme poids, je me sens bien avec lui.
"Je peux t'appeler, mon bébé ?".
"Oui, c'est pas trop original, mais ça me déplait pas, après tout !".
"Bon, mon bébé ! Si on mangeait ! Tu m'as pris toute mon énergie, je meurs de faim ! Et ça fait plus d'une heure qu'on fait l'amour !".
"Oui, montres-moi tes toilettes ! J'ai pas envie de m'en séparer, mais je peux pas rester avec ton sperme dans mon cul !".
Il sourit.
"Oui, je comprend ! On recommencera tout à l'heure, en plus !".
"J'espère !".
Après le repas, on s'est aimé à nouveau, jusqu'à minuit environ.
J'ai choisi de passer les trois soirs de semaine, restants, après le travail, chez lui.
Je faisais l'économie du bus, et du temps de route.
De plus, j'évitais de me retrouver seul, avec mes problèmes de couple.
Le samedi, quand j'ai retrouvé ma copine, on s'est encore engueulés.
Elle voulait faire de moi, un homme que je ne suis pas !
J'estime que l'on doit rester qui on est, même en couple ! Si cela ne marche plus, c'est que l'on devient incompatibles !
Elle m'a encore laissé seul, le matin même !
Dans l'après-midi, je me fais draguer par une fille facile, je l'emmène chez moi, et la baise toute l'après-midi.
Le dimanche, je lui avoue mon aventure avec cette fille !
Elle me quitte pour de bon, cette fois !
Mais le paradoxe, c'est que même en étant avec un autre garçon, elle est venue me voir pour faire l'amour !
"J'en ai trop besoin, Pascal !".
Me disait elle ! Mais ça me perturbait trop pour continuer, je lui ai demandé de cesser de venir chez moi !
J'ai vécu mon histoire avec André, plus sereinement, pendant quelques semaines, puis j'ai rencontré Corinne !
Mes sentiments envers André s'estompaient, je ne sais pas pourquoi !
Donc, je lui ai caché la fin de mon contrat intérim, je ne voulais pas assumer sa tristesse !
Grâce à lui, j'ai pu vivre ma séparation sans peine, jusqu'à mon nouvel amour, envers la femme de ma vie.
Je reconnais ma lâcheté, mais on en parlait parfois, il savait que je ne vivrais jamais mon homosexualité au grand jour !
Je lui souhaite d'avoir trouvé un autre bonheur ! Il reste dans un coin de ma tête, pour toujours !
Le souvenir de notre échange sexuel m'a perturbé, je ne suis pas arrivé à m'endormir !
J'ai du me masturber vers 2 h du matin, pour enfin sombrer en pensant à lui.
A ce moment de ma vie, je suis toujours en couple, avec ma première petite amie.
On s'aime toujours passionnément, mais cette passion ne nous protège pas de disputes, de plus en plus fréquentes.
La situation devient insupportable !
Je la quitte, on se retrouve, elle me quitte, on reprend, etc... !
Franchement, l'amour ne doit pas faire souffrir ! Il doit nous rendre heureux !
Mon esprit est embrouillé, je ne sais pas pourquoi, mais je pense plus à André, qu'à ma relation qui fout le camp !
Le matin, au travail, il profite d'un moment où on est seuls, pour me parler.
"Ca va Pascal ? T'as l'air fatigué !".
"Oui, j'ai pas dormi !".
"Ah bon ? Pourquoi ?".
"J'ai pensé à toi ! Tu me troubles encore !".
"Ah Bon ! Mais c'est bien ça ! Moi aussi, j'ai rêvé de toi ! J'ai adoré le moment qu'on a passé ensemble ! D'ailleurs, j'ai envie de toi, là !".
"Moi aussi ! Ca va être difficile d'attendre ce soir !".
"Bon, quelqu'un vient ! Reprends des forces ! Je t'adore ! A ce soir !".
On m'a souvent parlé ainsi, mais je suis beaucoup plus sensible, quand ça vient de lui, je ne me reconnais pas !
Le soir, on use d'un stratagème pour se retrouver à l'insu des autres.
Furtivement, je grimpe dans son véhicule en plein virage.
"Je suis content que tu restes avec moi, cette nuit ! ".
"Moi aussi, ça m'évite de prendre le bus, et surtout, j'en avais envie !".
Je pose ma main sur sa cuisse, il me prend la main entre deux passages de vitesse.
"J'arrive pas à réaliser que tu sois avec moi ! Pascal !".
"Et pourquoi pas ?".
"J'ai tellement fantasmé sur toi ! Tu me plais beaucoup, tu sais !".
"Ne me mets pas sur un piédestal, je suis un garçon comme les autres ! Tu sais !".
"Je sais, mais reconnais, qu'on a passé un super moment hier !".
"Plus que ça ! C'était génial ! J'ai même du me branler pour arrêter d'y penser !".
"Ah, ah ! Pareil pour moi, mais j'ai quand même rêvé de toi, en plus !".
Il me fait entrer chez lui, on reconnait ses origines métisses, à sa décoration.
Il m'offre à boire, et s'apprête à sortir des aliments pour cuisiner un repas.
Je ne résiste pas à une pulsion, j'ai besoin de me blottir contre lui.
Il m'embrase tendrement.
Un frisson me parcoure le corps.
Je pose ma tête sur son épaule, il me redresse le visage pour me regarder dans les yeux.
Ils sont embués de larmes.
"Ca va pas, mon p'tit Pascal ?".
"Pas trop ! Non ! Je suis sur les nerfs, en ce moment, je suis en pleine séparation avec ma copine, et maintenant, je crois que j'aime un homme, pour couronner le tout ! Mais ne fais pas attention, à ça !".
"Pourquoi ? Au contraire ! Moi aussi, j'ai flashé sur toi !".
On se lance dans une série de baisers interminables.
Il me soulève en gardant mes lèvres collées aux siennes, pour m'emmener vers sa chambre.
Il me dévêt en me couvrant de baisers sensuels.
Toutes ces caresses me font oublier mes problèmes, j'ai envie qu'il m'aime !
J'écarte les pants de sa chemise, il m'offre son torse et ses tétons à lécher.
Puis, il monte pour approcher son ventre et l'endroit qui cache son engin de bonheur.
Je le libère de sa grosse queue en le couvrant de nombreux baisers.
Il se redresse, après avoir un peu profité de ma bouche, sur son sexe.
Il sort ses pieds de ses vêtements, se libérant de cette dernière entrave.
Nos deux corps nus peuvent enfin se recoller, et s'aimer, au moyen de caresses appuyées, léchages passionnés etc...
Je m'écarte les lobes fessiers pour lui permettre de mieux me lécher l'anus.
Sa grosse langue me procure un plaisir fou.
Lui, comme moi, ne désirons plus qu'une chose enfin ! Qu'il soit en moi !
Sentir son torse contre le mien, pendant qu'il trouve naturellement son chemin, avec son gros sexe, me rend fou de bonheur.
Il me caresse le visage, admirant le plaisir que sa pénétration me procure.
"Arhhhhhhhhhhh ! André ! J'ai pensé à ça toute la nuit et toute la journée ! Je...".
Il m'embrasse encore en me possédant avec passion.
Je joui pleinement, tout mon corps est submergé de frissons, de passion amoureuse, j'aime jouir comme ça avec lui.
On ne change de position, que pour en trouver une autre, qui nous laisse la possibilité de partager des caresses et des baisers, sans discontinuer.
Je joui à plusieurs reprises sous lui, sur le ventre, pendant qu'il me pilonne profondément, mais sans emballement, tout en me mordant le cou.
Puis, je le chevauche, à mon tour en partageant de nombreux baisers, face à lui.
Il me replace encore sous lui, entre mes cuisses écartées.
J'entoure son corps de mes jambes et mes bras, je veux me donner sans retenue.
Nous sommes toujours soudés par nos lèvres et sa grosse bite dans mon anus.
Il gémit fortement, je serre plus fort encore, mes membres autour de lui.
Pendant qu'il râle bruyamment, son gros sexe est parcouru de nombreux spasmes éjaculatoires.
Mes yeux se troublent encore de larmes, notre communion est trop intense.
Elle me fait peur, mais au diable, cette peur, j'en ai trop besoin !
Il joui longuement en moi, puis il redresse son visage, et voit mes larmes de bonheur.
"Moi aussi, Je t'aime ! Pascal ! Je veux pas te faire de mal, j'ai qu'une envie, c'est prendre soin de toi ! Te protéger !".
"Je sais ! Je le ressens, on m'a jamais aimé comme ça ! Je sais pas comment le gérer, mais ça me fait du bien, en tout cas !".
"Putain, les autres ont plus intérêt à te brancher sur ton cul ! Déjà que c'était limite, avant !".
"Ah, non ! Surtout pas, sinon, ils vont se douter qu'on s'aime ! Tu dois faire semblant !".
"Ca va être dur !".
Ce déballage de sentiments m'a libéré d'un énorme poids, je me sens bien avec lui.
"Je peux t'appeler, mon bébé ?".
"Oui, c'est pas trop original, mais ça me déplait pas, après tout !".
"Bon, mon bébé ! Si on mangeait ! Tu m'as pris toute mon énergie, je meurs de faim ! Et ça fait plus d'une heure qu'on fait l'amour !".
"Oui, montres-moi tes toilettes ! J'ai pas envie de m'en séparer, mais je peux pas rester avec ton sperme dans mon cul !".
Il sourit.
"Oui, je comprend ! On recommencera tout à l'heure, en plus !".
"J'espère !".
Après le repas, on s'est aimé à nouveau, jusqu'à minuit environ.
J'ai choisi de passer les trois soirs de semaine, restants, après le travail, chez lui.
Je faisais l'économie du bus, et du temps de route.
De plus, j'évitais de me retrouver seul, avec mes problèmes de couple.
Le samedi, quand j'ai retrouvé ma copine, on s'est encore engueulés.
Elle voulait faire de moi, un homme que je ne suis pas !
J'estime que l'on doit rester qui on est, même en couple ! Si cela ne marche plus, c'est que l'on devient incompatibles !
Elle m'a encore laissé seul, le matin même !
Dans l'après-midi, je me fais draguer par une fille facile, je l'emmène chez moi, et la baise toute l'après-midi.
Le dimanche, je lui avoue mon aventure avec cette fille !
Elle me quitte pour de bon, cette fois !
Mais le paradoxe, c'est que même en étant avec un autre garçon, elle est venue me voir pour faire l'amour !
"J'en ai trop besoin, Pascal !".
Me disait elle ! Mais ça me perturbait trop pour continuer, je lui ai demandé de cesser de venir chez moi !
J'ai vécu mon histoire avec André, plus sereinement, pendant quelques semaines, puis j'ai rencontré Corinne !
Mes sentiments envers André s'estompaient, je ne sais pas pourquoi !
Donc, je lui ai caché la fin de mon contrat intérim, je ne voulais pas assumer sa tristesse !
Grâce à lui, j'ai pu vivre ma séparation sans peine, jusqu'à mon nouvel amour, envers la femme de ma vie.
Je reconnais ma lâcheté, mais on en parlait parfois, il savait que je ne vivrais jamais mon homosexualité au grand jour !
Je lui souhaite d'avoir trouvé un autre bonheur ! Il reste dans un coin de ma tête, pour toujours !
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