Sexe rapide dans une cabine d'essayage
Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sexe rapide dans une cabine d'essayage
Nous faisons les courses à Kiabi. Nina a besoin de s’acheter quelques vêtements notamment un pantalon et des culottes. Pendant qu’elle choisit ses vêtements je fais un tour au rayon lingerie et flashe sur un ensemble soutien-gorge/tanga bleu roi absolument magnifique. Je cherche et trouve sa taille puis je la cherche elle à travers le magasin. Mes yeux scrutent le magasin à la recherche de ses belles fesses dans son pantalon rouge moulant. Je ne la trouve pas et donc en déduis qu’elle doit être dans les cabines d’essayage. Je m’approche des cabines et la vois rentrer à ce moment-là dans une cabine avec quelques vêtements à la main. Je m’approche de la cabine et lui demande ce qu’elle est en train d’essayer. Nina essaye un nouveau jean. Je glisse ma tête dans un coin du rideau et la vois dans un jean bleu ultra moulant mettant en valeur ses cuisses et ses fesses. Mon sang ne fait qu’un tour dans mon caleçon qui devient tout d’un coup très à l’étroit. Je la complimente sur ses formes dans ce nouveau pantalon. Elle sort de la cabine pour se regarder dans le miroir car il n’y en a pas dedans. Elle tourne et retourne pour se voir sous toutes les coutures et me lance un sourire coquin car elle sait bien la réaction qu’elle provoque en moi. Elle rentre de nouveau dans la cabine, je passe de nouveau la tête sur le coin du rideau et lui tends l’ensemble que j’ai choisi et disant qu’ils iraient bien ensemble.
Nina enlève alors tous ses vêtements et se retrouve entièrement nue dans cette cabine d’essayage. Quelle vision féérique. Ses seins sont tous gonflés d’excitation et ses tétons pointent bien fièrement. Elle sait qu’elle me fait de l’effet et ça lui plait. Elle enfile le soutien-gorge qui sublime sa poitrine puis le tanga qui épouse avec perfection ses formes. Elle se retourne vers moi pour me demander mon avis mais mon manque de réponse lui donne la réponse : SPLENDIDE. Je bafouille quelques mots mais le spectacle est tellement magnifique que je mets un peu de temps à retrouver mes esprits. Satisfaite de l’effet qu’elle me fait elle regrette juste de ne pas pouvoir se regarder dans la glace.
Je lui dis alors d’enfiler son jean et son T-shirt pour pouvoir sortir de la cabine. L’enfilement du jean est un chef d’œuvre à lui tout seul. Le passage de ses fesses se fait avec une délicieuse difficulté qui rend la scène encore plus excitante. Elle doit tortiller pour réussir à faire remonter le jean par-delà ces monts voluptueux. Moi je suis au bord de l’explosion. Elle sort de la cabine pour regarder ce que cela donne dans le miroir. Elle est magnifique.
Je lui susurre à l’oreille de baisser ton jean pour qu’elle puisse regarder aussi ce que donne le string. Nous jetons un coup d’œil aux alentours, personne à l’horizon. Elle baisse alors son jean juste en dessous du pli de ses fesses et elle se regarde dans le miroir. Cette situation un peu exhibitionniste dans le magasin l’excite et Nina sent qu’elle commence à être doucement humide. Elle se retourne vers moi pour voir ma réaction et elle remarque quelqu’un au loin qui pourrait la voir. Elle remonte alors vite son jean, non sans difficulté, et en passant devant moi elle me dit qu’il faut qu’elle enlève vite ce string sinon il va être tout trempé. Je déglutis difficilement et je la regarde rentrer de nouveau dans la cabine.
Elle se déshabille de nouveau pour être entièrement nue dans la cabine et glisse sa main sur son vagin. Elle écarte délicatement ses lèvres et sent sa cyprine couler abondamment. Elle se penche un peu en avant la main entre ses cuisses et elle ne peut s’empêcher de se caresser sensuellement. Elle entend à ce moment-là un léger bruit de rideau mais Nina n’a pas le temps de se retourner et sent ma main rejoindre la sienne. Je touche son yoni pour sentir qu’elle est prête à me recevoir puis elle sent mon sexe se frotter contre ses fesses puis se diriger vers son antre humide. Elle écarte ses cuisses et se met sur la pointe des pieds pour faciliter mon insertion. Malgré son abondante cyprine je m’introduis difficilement en elle vu la taille inhabituelle de mon sexe terriblement gonflé par l’excitation. Je commence malgré tout des va-et-vient en douceur en serrant fermement ses hanches. Puis j’accélère le rythme jusqu’à m’enfoncer en elle jusqu’à la garde et faire claquer mes hanches contre ses fesses. Une fois le rythme calé je laisse glisser mes mains sur son dos puis ses seins. De temps à autre mes mains reviennent sur ses fesses, les écartent et les malaxent sans jamais perdre le rythme. Nina s’accroche au porte manteau de la cabine et sens déjà l’orgasme monter. Celui-ci arrive très rapidement mais n’est pas violent. Il commence tout doucement à rayonner de l’intérieur puis s’amplifie au fur et à mesure de mes coups de butoir. Ceux-ci ne faiblissent pas et redoublent même d’intensité ce qui est plutôt étonnant vu l’excitation de la situation. Tout son corps se contracte devant cette jouissance alors qu’il continue d’être ballotté par le rythme de mes pénétrations. Ses seins qui ont dégonflés se balancent à chaque coup de hanches et ses fesses font des vagues extrêmement excitantes. Son orgasme continue de monter et ne semble jamais vouloir s’arrêter. Elle est maintenant prise de spasmes tellement le plaisir est intense. Je ne m’arrête toujours pas et sens que Nina explose intérieurement avec une puissance infinie. Une fois l’orgasme passé, ses mains lâchent le porte-manteau et tombe sur le banc. Je ne m’arrête pas pour autant même si pour elle la pression est retombée.
Je décide alors de donner le coup de grâce, attrape fermement ses hanches pour me donner plus de prise pour fixer le rythme et donne les derniers coups qui me feront exploser. Au moment où je sais que je vais craquer je sors vite et me décharge abondamment sur ses fesses, son dos et même une giclée atteint ses épaules. Je sors d’elle et Nina se relâche complètement de ce moment intense. Elle reste là, penchée sur ce banc, le corps recouvert de sperme chaud.
Une fois que Nina retrouve ses esprits elle remarque que je ne suis plus dans la cabine avec elle. Là elle se dit quel salaud je suis de la laisser dans cette position sans l’aider à se nettoyer. Mais finalement vu qu’elle ne s’est jamais retournée…. Était-ce bien moi ?
Nina enlève alors tous ses vêtements et se retrouve entièrement nue dans cette cabine d’essayage. Quelle vision féérique. Ses seins sont tous gonflés d’excitation et ses tétons pointent bien fièrement. Elle sait qu’elle me fait de l’effet et ça lui plait. Elle enfile le soutien-gorge qui sublime sa poitrine puis le tanga qui épouse avec perfection ses formes. Elle se retourne vers moi pour me demander mon avis mais mon manque de réponse lui donne la réponse : SPLENDIDE. Je bafouille quelques mots mais le spectacle est tellement magnifique que je mets un peu de temps à retrouver mes esprits. Satisfaite de l’effet qu’elle me fait elle regrette juste de ne pas pouvoir se regarder dans la glace.
Je lui dis alors d’enfiler son jean et son T-shirt pour pouvoir sortir de la cabine. L’enfilement du jean est un chef d’œuvre à lui tout seul. Le passage de ses fesses se fait avec une délicieuse difficulté qui rend la scène encore plus excitante. Elle doit tortiller pour réussir à faire remonter le jean par-delà ces monts voluptueux. Moi je suis au bord de l’explosion. Elle sort de la cabine pour regarder ce que cela donne dans le miroir. Elle est magnifique.
Je lui susurre à l’oreille de baisser ton jean pour qu’elle puisse regarder aussi ce que donne le string. Nous jetons un coup d’œil aux alentours, personne à l’horizon. Elle baisse alors son jean juste en dessous du pli de ses fesses et elle se regarde dans le miroir. Cette situation un peu exhibitionniste dans le magasin l’excite et Nina sent qu’elle commence à être doucement humide. Elle se retourne vers moi pour voir ma réaction et elle remarque quelqu’un au loin qui pourrait la voir. Elle remonte alors vite son jean, non sans difficulté, et en passant devant moi elle me dit qu’il faut qu’elle enlève vite ce string sinon il va être tout trempé. Je déglutis difficilement et je la regarde rentrer de nouveau dans la cabine.
Elle se déshabille de nouveau pour être entièrement nue dans la cabine et glisse sa main sur son vagin. Elle écarte délicatement ses lèvres et sent sa cyprine couler abondamment. Elle se penche un peu en avant la main entre ses cuisses et elle ne peut s’empêcher de se caresser sensuellement. Elle entend à ce moment-là un léger bruit de rideau mais Nina n’a pas le temps de se retourner et sent ma main rejoindre la sienne. Je touche son yoni pour sentir qu’elle est prête à me recevoir puis elle sent mon sexe se frotter contre ses fesses puis se diriger vers son antre humide. Elle écarte ses cuisses et se met sur la pointe des pieds pour faciliter mon insertion. Malgré son abondante cyprine je m’introduis difficilement en elle vu la taille inhabituelle de mon sexe terriblement gonflé par l’excitation. Je commence malgré tout des va-et-vient en douceur en serrant fermement ses hanches. Puis j’accélère le rythme jusqu’à m’enfoncer en elle jusqu’à la garde et faire claquer mes hanches contre ses fesses. Une fois le rythme calé je laisse glisser mes mains sur son dos puis ses seins. De temps à autre mes mains reviennent sur ses fesses, les écartent et les malaxent sans jamais perdre le rythme. Nina s’accroche au porte manteau de la cabine et sens déjà l’orgasme monter. Celui-ci arrive très rapidement mais n’est pas violent. Il commence tout doucement à rayonner de l’intérieur puis s’amplifie au fur et à mesure de mes coups de butoir. Ceux-ci ne faiblissent pas et redoublent même d’intensité ce qui est plutôt étonnant vu l’excitation de la situation. Tout son corps se contracte devant cette jouissance alors qu’il continue d’être ballotté par le rythme de mes pénétrations. Ses seins qui ont dégonflés se balancent à chaque coup de hanches et ses fesses font des vagues extrêmement excitantes. Son orgasme continue de monter et ne semble jamais vouloir s’arrêter. Elle est maintenant prise de spasmes tellement le plaisir est intense. Je ne m’arrête toujours pas et sens que Nina explose intérieurement avec une puissance infinie. Une fois l’orgasme passé, ses mains lâchent le porte-manteau et tombe sur le banc. Je ne m’arrête pas pour autant même si pour elle la pression est retombée.
Je décide alors de donner le coup de grâce, attrape fermement ses hanches pour me donner plus de prise pour fixer le rythme et donne les derniers coups qui me feront exploser. Au moment où je sais que je vais craquer je sors vite et me décharge abondamment sur ses fesses, son dos et même une giclée atteint ses épaules. Je sors d’elle et Nina se relâche complètement de ce moment intense. Elle reste là, penchée sur ce banc, le corps recouvert de sperme chaud.
Une fois que Nina retrouve ses esprits elle remarque que je ne suis plus dans la cabine avec elle. Là elle se dit quel salaud je suis de la laisser dans cette position sans l’aider à se nettoyer. Mais finalement vu qu’elle ne s’est jamais retournée…. Était-ce bien moi ?
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