Sexe thérapeutique
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 850 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Georges ont reçu un total de 13 704 100 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 23 248 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Sexe thérapeutique
Je m’appelle Nicolas j’ai quarante sept ans divorcé et remis en ménage depuis six mois avec Luce quarante deux ans et sa fille Élisabeth de dix huit ans surnommée ‘ Zette ‘
Luce est une charmante femme avec qui je m’entends très bien même si ce n’est pas l’’amour de ma vie’ elle le sait est approuve car c’est exactement ce qu’elle souhaitait : rencontrer un homme avec qui il serait agréable de continuer sa route et qui supporterait sa fille pas toujours facile a vivre
Elisabeth n’a pas la beauté de sa mère c’est peut être la cause de son caractère plutôt renfermé, ce qui n’empêche pas qu’elle ait un corps magnifique ,je l’aime bien mais elle passe son temps a m’éviter, j’en ai d’ailleurs parlé a sa mère
- Vous les hommes êtes vraiment aveugle ! tu sais pourquoi elle t’évite ?
- Non ??
- Est bien tout simplement parce qu’elle est amoureuse de toi pardi !
- Mais je n’ai jamais rien fais pour ….
- Je sais bien, je la pousse à sortir afin qu’elle rencontre un homme et qu’elle saute le pas - Tu veux la pousser à coucher avec n’importe qui ?
- S’il le faut oui, à son âge ce n’est pas normal d’être encore vierge, elle ne me l’a pas vraiment avoué mais une mère sait reconnaitre ça, lorsqu’elle aura connu le sexe elle ne pourra plus s’en passer et quittera le nid d’elle-même - Quelle est la solution ?
- Je suis prête à faire n’importe quel sacrifice pour lui rendre le sourire, car il y a autre chose, son père s’est suicidé et elle a un peu son caractère morbide, je ne m’en remettrais pas si elle commettait un acte irréparable - Je te comprends, mais que peux-tu faire ?
- Moi ? rien, mais toi oui - MOI ?? Je vais lui barrer le passage et lui dire : je vais te faire l’amour mais c’est pour ton bien !
- Je ne veux pas que tu lui fasses ‘ l’amour ‘ mais que tu couche avec elle, que tu lui fasses découvrir les plaisirs de la chair- Et tu ne seras pas jalouse ?
- Absolument pas si c’est pour la bonne cause- Et ça se passerait ou ?
- ici sous le même toit le soir nous pouvons nous arranger …..
c’est ainsi que ce soir une fois Luce couchée, je reste dans le salon en robe de chambre a tourner en rond comme un loin dans sa cage cherchant le courage d’aller frapper a la porte de chambre d’Élisabeth … c’est décidé j’y vais … je frappe doucement ….
- Qui c’est ?
- Nicolas !
- Que veux-tu ?
- Te parler - NON ! je ne peux pas ce soir ….
- Alors demain ?
- Peut être ….
- Bonne nuit !
La queue entre les jambes, si je puis m’exprimer ainsi ! Je rejoins Luce qui bouquine au lit et s’étonne de me voir revenir déjà
- Tu t’es fait rembarrer ? ?
- Je me suis fais jeté mais je suis têtu j’y retourne demain !
- Hum mais dit donc c’a t’a quand même excité tu es tout dur - Alors profites-en ….
J’ai fais l’amour a Luce en pensant secrètement au corps filiforme de sa fille, le lendemain soir même tentative, je vais pour frapper a la porte quand je m’aperçois qu’elle n’est pas loquetée, je la pousse …
- Je peux entrer Zette ?
- Entre Nicolas
La fille est à demi assise appuyée à son oreiller, le drap remonté au dessus des seins, en robe de chambre mais quand même muni de mon boxer je m’assois au bord du lit une cuisse repliée vers elle, je me moque si elle aperçoit mon sous -vêtement il faut bien lui échauffer l’esprit ….
- Que voulais-tu me dire Nicolas ?
- Boff, rien de spécial c’est simplement pour parler de tout et de rien, nous n’avons pas souvent l’occasion de le faire - C’est maman qui t’envois ?
- Pas du tout elle est plongée dans son bouquin, tu la connais il faudrait un tremblement de terre pour la distraire !
- Bon, que veux tu savoir ?
- Pourquoi ne sors-tu jamais ?
- Pour quoi faire ? avec la gueule que j’ai personne ne s’intéresse à moi - Tu as tors de dire ça, tu es une belle femme il suffit que tu change ta coiffure et ta monture de lunettes, je connais des garçons intéressant qui aimeraient bien ta compagnie - Ils ne m’intéressent pas…..mais ne crois pas que je suis encore vierge - Ha bon ?
- Je vais te présenter mes amants … voici la brosse a cheveux qui est entrée la première en moi et ce flacon plus consistant au bout arrondi avec lequel je m’amusais hier soir quand tu es venus !
- Heuuu je ne sais pas quoi dire …- Alors ne dit rien surtout pas a maman … Nicolas ?
- Oui zette ?
- Je n’ai jamais touché le corps d’un homme … sans parler de sexe non, simplement sa peau, son torse …- Regarde Zette ….
Comme par enchantement ma robe de chambre glisse autour de moi, je me retrouve en boxer devant ses yeux écarquillés
- Donne ta main …..
Je lui pose sur ma poitrine en sueur, elle a un léger mouvement de recul et finalement la laisse et commence à palper mon torse- Ca glisse bien ….
- Excuse moi je suis en sueurs- J’adore ça …C’est rigolo vous êtes comme les femmes vos bouts réagissent- Tu ne me laisse pas indifférent sans doute, je suis sûr que les tiens aussi sont tendus …
Sans répondre Zette se laisse couler dans son lit, attrape mon poignet et pose ma main sur le drap qui cache ses seins
- A ton avis Nicolas ?
- Heuuu…. Je suis tenté de dire que oui, mais ce n’est pas évident avec l’épaisseur qui recouvre ta poitrine
Elle ne répond pas je me hasarde à glisser ma main sous le drap restant néanmoins sur la nuisette, Zette ferme les yeux, sa main reste immobile sur mon torse attendant sans doute ce que je vais faire, mes doigts survolent ses seins en faisant le contour dessinant des huit sans oser m’appuyer sur les mamelons, son souffle s’accélère sa poitrine se soulève, il me semble entendre son cœur cogner, elle murmure …
- Nicolaaaaaaaaaas…….
- Oui ma chérie ….
- Touche-moi les seins
Je tire sur le drap, j’aperçois ses aréoles a travers le fin tissu de la nuisette, ma main couvre le sein gauche qui malgré la position couchée ne s’aplatit pas, une longue inspiration sa bouche s’ouvre je serre le sein ses doigts se crispent sur mes abdominauxLentement je tire sur son vêtement de nuit pour le remonter, Zette soulève son dos afin que la nuisette ne soit pas retenue, bientôt elle est réduite en bouchon sous ses bras les seins me narguent je passe de l’un a l’autre massant pinçant tirant sur les bouts prêts à exploser
- Que c’est boooooooonnnnnnnnn
Sa main toujours posée sur moi chute sur mon boxer prêt lui aussi a exploser, comme si elle s’était brulée elle la retire brutalement
- Va t’en Nicolas laisse moi !!!!!
- Comme tu veux … je reviens demain ????
- Je ne sais pas ……
Fébrile comme un lycée revenant de son premier rendez vous je rejoins Luce qui ne dort pas
- Alors ? Ça c’est mieux passé ? Raconte !!!
- Regarde mon boxer il te dira tout !
- Tu l’as prise ?
- Non mais c’est en bonne voie, pour l’instant c’est toi que je vais prendre je suis a cran !
Après avoir fait l’amour a sa mère je me suis masturbé en pensant à Zette, était-ce raisonnable de lui faire subir cela ? D’un autre coté la tentation de pénétrer une chatte qui n’a jamais connue de queue me séduit, cette deuxième solution l’emporte Le lendemain Luce m’annonce joyeusement que sa fille a pris rendez vous chez son coiffeur et chez son ophtalmo… la leçon commence a porter ses fruits, le soir comme la veille je vais a la chambre d’un pas décidé, comme la veille la porte est entrouverte, une simple veilleuse éclaire la tête de lit la fille est allongée le drap remonté sous sa gorge elle feint de dormir mais un sourire de béatitude éclaire son visage, je quitte ma robe de chambre et m’assied a son coté en boxer déjà hérissé Je tire sur le drap et découvre son corps jusqu'à la taille, je me penche pour téter un sein nu qui tressaille tandis que mon bras passe sous le drap en direction de l’entre- jambe entrouvert, Zette pousse un gémissement, un bras se déplie pour venir vers mes cuisses, la menotte caresse ma cuisse en remontant vers mon sous-vêtement dont l’élastique est prêt a lâcher, je me mets a genoux prés de sa tête Je lèche les seins, ma main décrit des cercles jusqu'à son pubis en évitant bien de toucher son appareil génital, ses genoux remontent et forment un angle ouvert, elle m’offre sa chatte, sa main se referme sur la protubérance de mon boxer sous laquelle mon membre frémit
- Je ne ferais rien d’autre si tu ne me touche pas la chatte - Alors libère ma queue je vais te fouiller la minette
Deux doigts en crochet séparent la fente cachée par une forêt luxuriante et gonflée par la soif de sexe, Zette bataille pour extirper ma verge tendue de sa prison, ses poils sont déjà trempés, je m’enfonce dans cette grotte étroite qui ne connait pas les doigts d’un homme
- C’est gros une queue …..
- N’exagérons rien, c’est fait pour s’accorder avec une petite chatte comme la tienne - Enfonce tes doigts, branle-moi Lucas - En passant : tu as trop de poils chérie
Des odeurs féminines remontent des draps, les yeux fermés elle serre mon membre comme pour s’imprégner de ses formes, soudain son corps se tend comme un arc, ma verge aussi, nous allons jouir ensemble, un flot de cyprine jaillit entre mes doigts, un torrent de foutre gicle dans le creux de ma main que j’avais mis devant mon gland, le corps de Zette devient inerte, elle lâche ma queue, ses yeux ne s’ouvrent pas je décide d’essuyer ma main pleine de foutre sur ses seins, je suis sûr qu’il va lui servir après mon départ…. puis je quitte la chambre silencieusement
- C’est toi ? J’allais m’endormir, ça a duré longtemps ce soir ….
- Ce n’est pas encore fait mais nous avons jouis ensemble - Tu l’as faite jouir ?
- C’est en bonne voie ! demain c’est sûr je lui fais expérimenter le sexe ….
- Ma petite fille va se faire baiser quel bonheur ! fait lui ça bien qu’elle soit a cran de sexe, prend le temps qu’il faut, la nuit si tu veux je ne t’en voudrais pas - Ne t’en fait pas elle sera gavée a tous points de vue ….
Le lendemain je suis surpris de ne pas voir Élisabeth dans la maison …Luce m’en donne l’explication :
- Elle est rentrée la tête sous un foulard depuis elle n’a pas quitté sa chambre tu devrais aller voir- Ne m’attend pas pour diner, va donc manger une pizza en ville - D’accord, j’en tremble chéri …….
- Ca va aller
Après une bonne douche je vais nu sous ma robe de chambre rejoindre Zette, la porte est fermée, je toque deux fois - C’est Nicolas …- Entre c’est ouvert …
Dans la chambre une Zette méconnaissable debout habillée d’une robe légère et fleurie me fait face, les cheveux coupés et teints, sans lunettes
- C’est toi Zette ?????
- Elle te plait ma nouvelle coiffure te j’ai des lentilles, fini les lunettes !!
- Quel changement !
- C’est grâce à toi, maman est là ?
- Non elle est en ville pour un bon moment- Approche je t’attendais avec impatience, déshabille moi Nicolas
Les doigts tremblants je tire sur le zip qui ferme la robe dans son dos, pas de traces de soutient gorge, je fais glisser les épaules, la robe fait une corolle autour de ses jambes gainées de soie, un mini slip par-dessus un porte -jarretelles voilà ses vêtements, je laisse tomber ma robe de chambre mon sexe tendu effleure ses fesses
- Tourne-toi Élisabeth …- Merci de m’appeler par mon prénom ce soir Nicolas- Tu es merveilleuse - Tu es bel homme, je veux te gouter …
Elle se laisse glisser à genoux devant mon membre, ses lèvres pulpeuses finissent de me décalotter, sa langue chaude s’enroule autour de mon gland, je cherche à m’enfoncer davantage dans ce four, les larmes lui viennent aux yeux lorsque je tutoie ses amygdales mais elle ne rechigne pas à téter ma queue, je baisse une main pour tordre un sein, la fille gémit mais ne se retire pas au contraire elle attrape mes fesses et m’attire dans sa bouche , je ne résiste pas a une telle torture et m’épanche généreusement , Zette recrache ma queue encore bandée
- Si tu croyais me déstabiliser c’est foutu, je crois que je vais adorer faire sucer des verges !
- Je suis heureux que tu aimes car les hommes adorent ça, laisse moi sentir ton entre jambes chérie ….ton porte- jarretelles est sublime, mais dit donc tu t’es rasée ? pas un poil ne dépasse de ton string … voyons voir …. Hoooouuuuaaaa- Tu m’as dit qu’une chatte trop poilue ce n’était pas beau - Très bonne idée d’avoir sculpté un p’tit v au dessus de ton clito !
- Je t’en prie tire sur ma culotte …..
Je découvre sa chatte encadrée par deux cuisses magnifiques, zette allongée s’appuis sur ses coudes pour percevoir mes gestes, a cheval sur une de ses cuisses sur laquelle je frotte ma queue bandée mes doigt caressent la fente qui dégorge de nectar
- Possède moi Nicolas fait moi ressentir les délices de l’amour - Je ne vais pas te faire l’amour, réserve ça a l’homme que tu trouveras bientôt moi je vais te prendre uniquement dans l’intention de te faire découvrir les bienfaits d’une verge dans le ventre d’une femme - C’est une baise thérapeutique alors ?
- On peut dire ça, n’oublie pas que j’aime ta mère et qu’exceptionnellement elle m’autorise à te ‘ baiser ‘
La jeune fille tend la main vers ma queue je m’approche afin qu’elle la saisisse
- Vient par ici toi la queue bienfaitrice, pénètre mon antre en jachère
Les genoux relevés elle frotte mon membre sur les lèvres qui s’écartent huilant mon nœud au passage, une fois le mufle brillant de mouille je pousse
- Attend tu n’es pas en face …là va- y...lentement que je fasse la différence entre la chair et le plastique …haaaaa … haaaaaaaaaaaa ….pousse ! Hooooooooooooooooooooooo !
- Alors ?
- C’est vachement plus …. Confortable ! et puis ce gland qui ramone bien les muqueuses… retire toi pour voir ? …… hooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuu ! c’est comme si ton gland voulais tout ramener avec lui c’est super - Maintenant on va faire la même chose en beaucoup plus vite - Attend je me cale bien ….
- Passe tes jambes sur mes épaules ainsi tu va prendre toute la longueur
Je maintiens zette a la base des cuisses et je m’enfonce dans sa moule tantôt lentement tantôt brutalement, dés que je marque un temps d’arrêt elle propulse son bassin en avant
- Baise-moi ! Ne t’arrête pas c’est atroce ! Et allonge toi je veux sentir ton corps peser sur moi n’ai pas peur d’écraser mes seins - Ceinture moi de tes jambes …je vais t’ouvrir en deux - Ma chatte fait du bruit !
- Tu mouilles mes couilles !
- Nicolas !!!!!
- Quoi ?
- Je vais … JOUUUUUIIIIIIIIIIRRRRRRRRRRRRRRRR !!!!!!!
- MOI AUSSSSSSSIIIIIIIIIIIIIII !
Un déluge de sèves mélangées glisse dans sa raie, je reste pesant, ses bras m’enserrent
- Merci Nicolas tu m’as non seulement ouvert ma chatte mais aussi les yeux et donne le goût de vivre- Et alors ?
- Le coiffeur me faisait les yeux doux, donc je ne suis pas si moche que ça ! je crois que je vais lui céder et puis j’ai envie de voir ailleurs ce qui se passe je vais vous laisser en amoureux maman et toi - A la bonne heure je suis heureux pour toi - Tu ne m’en mettrais un p’tit coup par hasard ????????????
- Je finis la nuit avec toi et demain c’est copain- copain
Luce est une charmante femme avec qui je m’entends très bien même si ce n’est pas l’’amour de ma vie’ elle le sait est approuve car c’est exactement ce qu’elle souhaitait : rencontrer un homme avec qui il serait agréable de continuer sa route et qui supporterait sa fille pas toujours facile a vivre
Elisabeth n’a pas la beauté de sa mère c’est peut être la cause de son caractère plutôt renfermé, ce qui n’empêche pas qu’elle ait un corps magnifique ,je l’aime bien mais elle passe son temps a m’éviter, j’en ai d’ailleurs parlé a sa mère
- Vous les hommes êtes vraiment aveugle ! tu sais pourquoi elle t’évite ?
- Non ??
- Est bien tout simplement parce qu’elle est amoureuse de toi pardi !
- Mais je n’ai jamais rien fais pour ….
- Je sais bien, je la pousse à sortir afin qu’elle rencontre un homme et qu’elle saute le pas - Tu veux la pousser à coucher avec n’importe qui ?
- S’il le faut oui, à son âge ce n’est pas normal d’être encore vierge, elle ne me l’a pas vraiment avoué mais une mère sait reconnaitre ça, lorsqu’elle aura connu le sexe elle ne pourra plus s’en passer et quittera le nid d’elle-même - Quelle est la solution ?
- Je suis prête à faire n’importe quel sacrifice pour lui rendre le sourire, car il y a autre chose, son père s’est suicidé et elle a un peu son caractère morbide, je ne m’en remettrais pas si elle commettait un acte irréparable - Je te comprends, mais que peux-tu faire ?
- Moi ? rien, mais toi oui - MOI ?? Je vais lui barrer le passage et lui dire : je vais te faire l’amour mais c’est pour ton bien !
- Je ne veux pas que tu lui fasses ‘ l’amour ‘ mais que tu couche avec elle, que tu lui fasses découvrir les plaisirs de la chair- Et tu ne seras pas jalouse ?
- Absolument pas si c’est pour la bonne cause- Et ça se passerait ou ?
- ici sous le même toit le soir nous pouvons nous arranger …..
c’est ainsi que ce soir une fois Luce couchée, je reste dans le salon en robe de chambre a tourner en rond comme un loin dans sa cage cherchant le courage d’aller frapper a la porte de chambre d’Élisabeth … c’est décidé j’y vais … je frappe doucement ….
- Qui c’est ?
- Nicolas !
- Que veux-tu ?
- Te parler - NON ! je ne peux pas ce soir ….
- Alors demain ?
- Peut être ….
- Bonne nuit !
La queue entre les jambes, si je puis m’exprimer ainsi ! Je rejoins Luce qui bouquine au lit et s’étonne de me voir revenir déjà
- Tu t’es fait rembarrer ? ?
- Je me suis fais jeté mais je suis têtu j’y retourne demain !
- Hum mais dit donc c’a t’a quand même excité tu es tout dur - Alors profites-en ….
J’ai fais l’amour a Luce en pensant secrètement au corps filiforme de sa fille, le lendemain soir même tentative, je vais pour frapper a la porte quand je m’aperçois qu’elle n’est pas loquetée, je la pousse …
- Je peux entrer Zette ?
- Entre Nicolas
La fille est à demi assise appuyée à son oreiller, le drap remonté au dessus des seins, en robe de chambre mais quand même muni de mon boxer je m’assois au bord du lit une cuisse repliée vers elle, je me moque si elle aperçoit mon sous -vêtement il faut bien lui échauffer l’esprit ….
- Que voulais-tu me dire Nicolas ?
- Boff, rien de spécial c’est simplement pour parler de tout et de rien, nous n’avons pas souvent l’occasion de le faire - C’est maman qui t’envois ?
- Pas du tout elle est plongée dans son bouquin, tu la connais il faudrait un tremblement de terre pour la distraire !
- Bon, que veux tu savoir ?
- Pourquoi ne sors-tu jamais ?
- Pour quoi faire ? avec la gueule que j’ai personne ne s’intéresse à moi - Tu as tors de dire ça, tu es une belle femme il suffit que tu change ta coiffure et ta monture de lunettes, je connais des garçons intéressant qui aimeraient bien ta compagnie - Ils ne m’intéressent pas…..mais ne crois pas que je suis encore vierge - Ha bon ?
- Je vais te présenter mes amants … voici la brosse a cheveux qui est entrée la première en moi et ce flacon plus consistant au bout arrondi avec lequel je m’amusais hier soir quand tu es venus !
- Heuuu je ne sais pas quoi dire …- Alors ne dit rien surtout pas a maman … Nicolas ?
- Oui zette ?
- Je n’ai jamais touché le corps d’un homme … sans parler de sexe non, simplement sa peau, son torse …- Regarde Zette ….
Comme par enchantement ma robe de chambre glisse autour de moi, je me retrouve en boxer devant ses yeux écarquillés
- Donne ta main …..
Je lui pose sur ma poitrine en sueur, elle a un léger mouvement de recul et finalement la laisse et commence à palper mon torse- Ca glisse bien ….
- Excuse moi je suis en sueurs- J’adore ça …C’est rigolo vous êtes comme les femmes vos bouts réagissent- Tu ne me laisse pas indifférent sans doute, je suis sûr que les tiens aussi sont tendus …
Sans répondre Zette se laisse couler dans son lit, attrape mon poignet et pose ma main sur le drap qui cache ses seins
- A ton avis Nicolas ?
- Heuuu…. Je suis tenté de dire que oui, mais ce n’est pas évident avec l’épaisseur qui recouvre ta poitrine
Elle ne répond pas je me hasarde à glisser ma main sous le drap restant néanmoins sur la nuisette, Zette ferme les yeux, sa main reste immobile sur mon torse attendant sans doute ce que je vais faire, mes doigts survolent ses seins en faisant le contour dessinant des huit sans oser m’appuyer sur les mamelons, son souffle s’accélère sa poitrine se soulève, il me semble entendre son cœur cogner, elle murmure …
- Nicolaaaaaaaaaas…….
- Oui ma chérie ….
- Touche-moi les seins
Je tire sur le drap, j’aperçois ses aréoles a travers le fin tissu de la nuisette, ma main couvre le sein gauche qui malgré la position couchée ne s’aplatit pas, une longue inspiration sa bouche s’ouvre je serre le sein ses doigts se crispent sur mes abdominauxLentement je tire sur son vêtement de nuit pour le remonter, Zette soulève son dos afin que la nuisette ne soit pas retenue, bientôt elle est réduite en bouchon sous ses bras les seins me narguent je passe de l’un a l’autre massant pinçant tirant sur les bouts prêts à exploser
- Que c’est boooooooonnnnnnnnn
Sa main toujours posée sur moi chute sur mon boxer prêt lui aussi a exploser, comme si elle s’était brulée elle la retire brutalement
- Va t’en Nicolas laisse moi !!!!!
- Comme tu veux … je reviens demain ????
- Je ne sais pas ……
Fébrile comme un lycée revenant de son premier rendez vous je rejoins Luce qui ne dort pas
- Alors ? Ça c’est mieux passé ? Raconte !!!
- Regarde mon boxer il te dira tout !
- Tu l’as prise ?
- Non mais c’est en bonne voie, pour l’instant c’est toi que je vais prendre je suis a cran !
Après avoir fait l’amour a sa mère je me suis masturbé en pensant à Zette, était-ce raisonnable de lui faire subir cela ? D’un autre coté la tentation de pénétrer une chatte qui n’a jamais connue de queue me séduit, cette deuxième solution l’emporte Le lendemain Luce m’annonce joyeusement que sa fille a pris rendez vous chez son coiffeur et chez son ophtalmo… la leçon commence a porter ses fruits, le soir comme la veille je vais a la chambre d’un pas décidé, comme la veille la porte est entrouverte, une simple veilleuse éclaire la tête de lit la fille est allongée le drap remonté sous sa gorge elle feint de dormir mais un sourire de béatitude éclaire son visage, je quitte ma robe de chambre et m’assied a son coté en boxer déjà hérissé Je tire sur le drap et découvre son corps jusqu'à la taille, je me penche pour téter un sein nu qui tressaille tandis que mon bras passe sous le drap en direction de l’entre- jambe entrouvert, Zette pousse un gémissement, un bras se déplie pour venir vers mes cuisses, la menotte caresse ma cuisse en remontant vers mon sous-vêtement dont l’élastique est prêt a lâcher, je me mets a genoux prés de sa tête Je lèche les seins, ma main décrit des cercles jusqu'à son pubis en évitant bien de toucher son appareil génital, ses genoux remontent et forment un angle ouvert, elle m’offre sa chatte, sa main se referme sur la protubérance de mon boxer sous laquelle mon membre frémit
- Je ne ferais rien d’autre si tu ne me touche pas la chatte - Alors libère ma queue je vais te fouiller la minette
Deux doigts en crochet séparent la fente cachée par une forêt luxuriante et gonflée par la soif de sexe, Zette bataille pour extirper ma verge tendue de sa prison, ses poils sont déjà trempés, je m’enfonce dans cette grotte étroite qui ne connait pas les doigts d’un homme
- C’est gros une queue …..
- N’exagérons rien, c’est fait pour s’accorder avec une petite chatte comme la tienne - Enfonce tes doigts, branle-moi Lucas - En passant : tu as trop de poils chérie
Des odeurs féminines remontent des draps, les yeux fermés elle serre mon membre comme pour s’imprégner de ses formes, soudain son corps se tend comme un arc, ma verge aussi, nous allons jouir ensemble, un flot de cyprine jaillit entre mes doigts, un torrent de foutre gicle dans le creux de ma main que j’avais mis devant mon gland, le corps de Zette devient inerte, elle lâche ma queue, ses yeux ne s’ouvrent pas je décide d’essuyer ma main pleine de foutre sur ses seins, je suis sûr qu’il va lui servir après mon départ…. puis je quitte la chambre silencieusement
- C’est toi ? J’allais m’endormir, ça a duré longtemps ce soir ….
- Ce n’est pas encore fait mais nous avons jouis ensemble - Tu l’as faite jouir ?
- C’est en bonne voie ! demain c’est sûr je lui fais expérimenter le sexe ….
- Ma petite fille va se faire baiser quel bonheur ! fait lui ça bien qu’elle soit a cran de sexe, prend le temps qu’il faut, la nuit si tu veux je ne t’en voudrais pas - Ne t’en fait pas elle sera gavée a tous points de vue ….
Le lendemain je suis surpris de ne pas voir Élisabeth dans la maison …Luce m’en donne l’explication :
- Elle est rentrée la tête sous un foulard depuis elle n’a pas quitté sa chambre tu devrais aller voir- Ne m’attend pas pour diner, va donc manger une pizza en ville - D’accord, j’en tremble chéri …….
- Ca va aller
Après une bonne douche je vais nu sous ma robe de chambre rejoindre Zette, la porte est fermée, je toque deux fois - C’est Nicolas …- Entre c’est ouvert …
Dans la chambre une Zette méconnaissable debout habillée d’une robe légère et fleurie me fait face, les cheveux coupés et teints, sans lunettes
- C’est toi Zette ?????
- Elle te plait ma nouvelle coiffure te j’ai des lentilles, fini les lunettes !!
- Quel changement !
- C’est grâce à toi, maman est là ?
- Non elle est en ville pour un bon moment- Approche je t’attendais avec impatience, déshabille moi Nicolas
Les doigts tremblants je tire sur le zip qui ferme la robe dans son dos, pas de traces de soutient gorge, je fais glisser les épaules, la robe fait une corolle autour de ses jambes gainées de soie, un mini slip par-dessus un porte -jarretelles voilà ses vêtements, je laisse tomber ma robe de chambre mon sexe tendu effleure ses fesses
- Tourne-toi Élisabeth …- Merci de m’appeler par mon prénom ce soir Nicolas- Tu es merveilleuse - Tu es bel homme, je veux te gouter …
Elle se laisse glisser à genoux devant mon membre, ses lèvres pulpeuses finissent de me décalotter, sa langue chaude s’enroule autour de mon gland, je cherche à m’enfoncer davantage dans ce four, les larmes lui viennent aux yeux lorsque je tutoie ses amygdales mais elle ne rechigne pas à téter ma queue, je baisse une main pour tordre un sein, la fille gémit mais ne se retire pas au contraire elle attrape mes fesses et m’attire dans sa bouche , je ne résiste pas a une telle torture et m’épanche généreusement , Zette recrache ma queue encore bandée
- Si tu croyais me déstabiliser c’est foutu, je crois que je vais adorer faire sucer des verges !
- Je suis heureux que tu aimes car les hommes adorent ça, laisse moi sentir ton entre jambes chérie ….ton porte- jarretelles est sublime, mais dit donc tu t’es rasée ? pas un poil ne dépasse de ton string … voyons voir …. Hoooouuuuaaaa- Tu m’as dit qu’une chatte trop poilue ce n’était pas beau - Très bonne idée d’avoir sculpté un p’tit v au dessus de ton clito !
- Je t’en prie tire sur ma culotte …..
Je découvre sa chatte encadrée par deux cuisses magnifiques, zette allongée s’appuis sur ses coudes pour percevoir mes gestes, a cheval sur une de ses cuisses sur laquelle je frotte ma queue bandée mes doigt caressent la fente qui dégorge de nectar
- Possède moi Nicolas fait moi ressentir les délices de l’amour - Je ne vais pas te faire l’amour, réserve ça a l’homme que tu trouveras bientôt moi je vais te prendre uniquement dans l’intention de te faire découvrir les bienfaits d’une verge dans le ventre d’une femme - C’est une baise thérapeutique alors ?
- On peut dire ça, n’oublie pas que j’aime ta mère et qu’exceptionnellement elle m’autorise à te ‘ baiser ‘
La jeune fille tend la main vers ma queue je m’approche afin qu’elle la saisisse
- Vient par ici toi la queue bienfaitrice, pénètre mon antre en jachère
Les genoux relevés elle frotte mon membre sur les lèvres qui s’écartent huilant mon nœud au passage, une fois le mufle brillant de mouille je pousse
- Attend tu n’es pas en face …là va- y...lentement que je fasse la différence entre la chair et le plastique …haaaaa … haaaaaaaaaaaa ….pousse ! Hooooooooooooooooooooooo !
- Alors ?
- C’est vachement plus …. Confortable ! et puis ce gland qui ramone bien les muqueuses… retire toi pour voir ? …… hooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuu ! c’est comme si ton gland voulais tout ramener avec lui c’est super - Maintenant on va faire la même chose en beaucoup plus vite - Attend je me cale bien ….
- Passe tes jambes sur mes épaules ainsi tu va prendre toute la longueur
Je maintiens zette a la base des cuisses et je m’enfonce dans sa moule tantôt lentement tantôt brutalement, dés que je marque un temps d’arrêt elle propulse son bassin en avant
- Baise-moi ! Ne t’arrête pas c’est atroce ! Et allonge toi je veux sentir ton corps peser sur moi n’ai pas peur d’écraser mes seins - Ceinture moi de tes jambes …je vais t’ouvrir en deux - Ma chatte fait du bruit !
- Tu mouilles mes couilles !
- Nicolas !!!!!
- Quoi ?
- Je vais … JOUUUUUIIIIIIIIIIRRRRRRRRRRRRRRRR !!!!!!!
- MOI AUSSSSSSSIIIIIIIIIIIIIII !
Un déluge de sèves mélangées glisse dans sa raie, je reste pesant, ses bras m’enserrent
- Merci Nicolas tu m’as non seulement ouvert ma chatte mais aussi les yeux et donne le goût de vivre- Et alors ?
- Le coiffeur me faisait les yeux doux, donc je ne suis pas si moche que ça ! je crois que je vais lui céder et puis j’ai envie de voir ailleurs ce qui se passe je vais vous laisser en amoureux maman et toi - A la bonne heure je suis heureux pour toi - Tu ne m’en mettrais un p’tit coup par hasard ????????????
- Je finis la nuit avec toi et demain c’est copain- copain
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Georges
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
BELLE HISTOIRE BRAVO BIEN DECRIRE? LES POSITIONS LES CARESSES LE DOIGTAGE MERCI POUR CETTE PETITE GATERIE
Nicolas ou Lucas ?? ;)
Bravo, un beau-père serviable à souhait, je mouille encore grâce à toi. Bise Love_