Sexfriend
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sexfriend
L’histoire a débuté une nuit. Une nuit qui n’a pas fini.
Première fois de ma jeune vie que je ne finissais la nuit et repartais directement pour un nouveau jour sans avoir dormi.
Tout le jour qui a suivi j’ai vu sa silhouette de grande fille, tout ce jour durant elle a hanté mon rêve éveillé.
Grande fille en robe d’été longue sans manches légère. Sa copine qui était aussi ma copine et qui m’avait invité à cette soirée avait dit, Annick ce soir a oublié. Tu es chanceux, Annick a oublié...
Mon souvenir est qu’elle était légère dans mes bras et que nous avons dansé sans répit tous les disques de l’électrophone de la nuit. Les rock surtout. Nos corps s’accordaient dans les mouvements et le rythme en souplesse.
Elle riait de toute son âme. Elle riait et j’étais pleinement heureux.
Annick a oublié. Mais qu’avait-elle donc oublié ?
Je n’ai jamais su ce que cette grande fille avait oublié ce soir-là cette nuit-là à Montpellier.
Elle était torse nu sous sa robe Laura Ashley et ses petits seins s’agitaient dans les mouvements du be-bop moulant l’étoffe de coton tendue. Elle était libre. J’avais dans mes bras une grande fille libre et cela me plaisait bien, elle me plaisait.
Je suis parti direct au boulot au matin naissant lui fixant rendez-vous le soir pour retrouvailles et plus si affinités.
** *Quelques jours qui ne furent pas de vraie rencontre. Quelques épisodes de sexe de discussions sans fin dans la nuit de tendresse et de caresses. Mais rien. Rien n’a germé. Et on s’est quittés sans s’être vraiment rencontrés.
** *
Trois ans plus loin. Une soirée chez Prosper. Une arrière salle de son bistrot. Une sorte de boum avec des disques vinyles noirs et des gars et des filles. Dans la chaleur de la nuit. Ambiance exotique de nourritures méditerranéennes. Soirée chypriote- grecque. Les yeux fermés je dansais en concordance parfaite avec une grande fille dégingandée rencontre de hasard de l’obscurité.
Je pensais Dieu que c’est bon une telle complicité des gestes dans la musique.
A la fin du morceau je l’ai embrassée d’amitié de danseurs en concordance, lèvres unies et corps collés l’un à l’autre.
Dans la lumière rallumée j’ai reconnu mon Annick. Elle aussi m’a reconnu et m’a serré fort et a ri. Elle a ri et on a ri dans les bras l’un de l’autre.
Elle a dit, en dansant avec toi j’ai pensé à toi d’autrefois. Tant c’était bon de si bien s’entendre.
Et moi j’avais pensé pareil sans comprendre que c’était elle dans mes bras.
On a fini tout naturellement en sexfriends chez moi ou chez elle. Après la douche elle m’a dit, ce soir je suis indisposée mais un autre jour on se fera une belle nuit de retrouvaille. Reste dormir, on sera bien ensemble quand même.
Elle dormait toute nue et j’étais content de serrer dans mes bras son grand corps malgré le fil bleu qui pendait de sa touffette et ma frustration.
Elle caressait mes bras mes épaules mais ne disait rien. Puis sa main est venue à mon zizi. Elle a touché la tête et s’est étonnée, il est décapuchonné...
j’ai dit toujours sous la douche, pour bien nettoyer pour bien savonner pour bien rincer. Après, c’est automatique la capuche revient toute seule se remet en place au gré des mouvements de la journée. Mais là contre toi dans ta chaleur le petit monsieur a pris expansion et la tête est restée en dehors avec juste son col roulé.
Elle a bisé ma poitrine en faisant glisser ses cheveux sur mon ventre puis est descendue à mon nombril. Elle a passé sa langue dans l’ombilic comme pour une visite.
Ses mains avaient empaumé mes fesses et son buste descendait vers moi.
Elle a encore parlé et me matant dans la lumière de la lampe de chevet elle a dit, va reste flexible ainsi ne bande pas comme un âne. C’est bien plus sympa d’engouler un gland tendre et élastique plutôt qu’un bitos géant raide comme la justice.
Moi je pensais, va falloir de gros efforts sur moi même pour rester en état flapi si elle poursuit sa caresse fêlante. Mais j’étais d’accord pour retenir mes instincts puisque qu’il n’était pas possible ce jour-là de faire l’amour ensemble.
J’avais vu sur la mosaïque blanche de la douche la coulée rouge de ses menstrues noyée de l’eau ruisselante et j’avais pensé demain ou après demain n’en seront que meilleurs.
Elle a gobé la tête serrant le cou de ses lèvres en repoussant les peaux du prépuce sur la tige encore molle. Elle aspirait.
Sa langue tournoyait sur la couronne et s’attardait chaque fois sur le frein. Puis elle a voulu visiter le méat du pointu dardé comme langue de serpent.
Moi je retenais mon souffle et partageais mes esprits entre le bonheur de la caresse et l’application que je voulais mettre à retenir mon érection.
Brusquement sans crier gare elle m’a enfourné à fond de gosier en aspirant bas sur mon pubis la base large. La tête s’égarait entre luette glotte et amygdales dans un profond de muqueuses gluantes et de salive claire. Et elle déglutissait en rythme régulier comme pour honorer la visite et faire aubade au gland.
J’étais aux anges.
Elle m’a quitté par un petit bisou sur le méat en disant, en reproche, t’as pas pu t’empêcher de bander vois tu es immense bien trop gros bien trop grand pour ma gorge qui n’est pas si profonde qu’elle puisse impunément t’accueillir.
Elle m’a dit, c’est injuste la vie est mal faite car c’est justement quand je suis indisposée que j’ai les grosses pulsions de libido exacerbée. J’ai chaque fois les entrailles qui se nouent et le charivari dans ma tête à vouloir des hommes peser sur mon ventre.
De sa main libre elle a empaumé mes roupes et sa bouche ses lèvres sont venues au paquet salivant abondamment le noyant de glaires fluides. La paume en dessous flattait les gonades tandis que ses doigts suivant le périnée atteignaient ma rondelle la badigeonnant de sucs salivaires.
Et les charnus de son majeur de l’index et de l’auriculaire dansaient sur mon anus trempé.
La légère pression du bout du doigt a suffit pour déclencher le réflexe de poussée. Le sphincter s’est largement ouvert et a avalé le grand doigt jusqu’à fond de rectum.
Elle a dit, vois les processus psychologiques ne sont pas les mêmes et ton bitos revient à la normale. Tu ne bandes plus maintenant de façon éhontée. Je puis te reprendre en bouche et accueillir bientôt ton offrande. Ce que disant elle fit, mon bitos amolli contre son palais.
Le grand doigt dans mon cul s’appuyait par devant et cherchait dans mes intimités le lieu de mes félicités. Doucement tendrement il l’a trouvé et sur acquiescement de ma part par un petit gémissement il a appuyé, fort appuyé.
Le plaisir fut fulgurant et mon éjaculation dans sa bouche d’une rare plénitude. Longue et très généreuse.
Après pause apaisante elle s’est levée pour laver ses mains au lavabo puis m’a rejoint pour une nuit amoureuse et calme sous la couette.
Sa bouche avait le goût la saveur des fleurs de châtaigners et je m’imaginais au printemps en Cévennes.
Première fois de ma jeune vie que je ne finissais la nuit et repartais directement pour un nouveau jour sans avoir dormi.
Tout le jour qui a suivi j’ai vu sa silhouette de grande fille, tout ce jour durant elle a hanté mon rêve éveillé.
Grande fille en robe d’été longue sans manches légère. Sa copine qui était aussi ma copine et qui m’avait invité à cette soirée avait dit, Annick ce soir a oublié. Tu es chanceux, Annick a oublié...
Mon souvenir est qu’elle était légère dans mes bras et que nous avons dansé sans répit tous les disques de l’électrophone de la nuit. Les rock surtout. Nos corps s’accordaient dans les mouvements et le rythme en souplesse.
Elle riait de toute son âme. Elle riait et j’étais pleinement heureux.
Annick a oublié. Mais qu’avait-elle donc oublié ?
Je n’ai jamais su ce que cette grande fille avait oublié ce soir-là cette nuit-là à Montpellier.
Elle était torse nu sous sa robe Laura Ashley et ses petits seins s’agitaient dans les mouvements du be-bop moulant l’étoffe de coton tendue. Elle était libre. J’avais dans mes bras une grande fille libre et cela me plaisait bien, elle me plaisait.
Je suis parti direct au boulot au matin naissant lui fixant rendez-vous le soir pour retrouvailles et plus si affinités.
** *Quelques jours qui ne furent pas de vraie rencontre. Quelques épisodes de sexe de discussions sans fin dans la nuit de tendresse et de caresses. Mais rien. Rien n’a germé. Et on s’est quittés sans s’être vraiment rencontrés.
** *
Trois ans plus loin. Une soirée chez Prosper. Une arrière salle de son bistrot. Une sorte de boum avec des disques vinyles noirs et des gars et des filles. Dans la chaleur de la nuit. Ambiance exotique de nourritures méditerranéennes. Soirée chypriote- grecque. Les yeux fermés je dansais en concordance parfaite avec une grande fille dégingandée rencontre de hasard de l’obscurité.
Je pensais Dieu que c’est bon une telle complicité des gestes dans la musique.
A la fin du morceau je l’ai embrassée d’amitié de danseurs en concordance, lèvres unies et corps collés l’un à l’autre.
Dans la lumière rallumée j’ai reconnu mon Annick. Elle aussi m’a reconnu et m’a serré fort et a ri. Elle a ri et on a ri dans les bras l’un de l’autre.
Elle a dit, en dansant avec toi j’ai pensé à toi d’autrefois. Tant c’était bon de si bien s’entendre.
Et moi j’avais pensé pareil sans comprendre que c’était elle dans mes bras.
On a fini tout naturellement en sexfriends chez moi ou chez elle. Après la douche elle m’a dit, ce soir je suis indisposée mais un autre jour on se fera une belle nuit de retrouvaille. Reste dormir, on sera bien ensemble quand même.
Elle dormait toute nue et j’étais content de serrer dans mes bras son grand corps malgré le fil bleu qui pendait de sa touffette et ma frustration.
Elle caressait mes bras mes épaules mais ne disait rien. Puis sa main est venue à mon zizi. Elle a touché la tête et s’est étonnée, il est décapuchonné...
j’ai dit toujours sous la douche, pour bien nettoyer pour bien savonner pour bien rincer. Après, c’est automatique la capuche revient toute seule se remet en place au gré des mouvements de la journée. Mais là contre toi dans ta chaleur le petit monsieur a pris expansion et la tête est restée en dehors avec juste son col roulé.
Elle a bisé ma poitrine en faisant glisser ses cheveux sur mon ventre puis est descendue à mon nombril. Elle a passé sa langue dans l’ombilic comme pour une visite.
Ses mains avaient empaumé mes fesses et son buste descendait vers moi.
Elle a encore parlé et me matant dans la lumière de la lampe de chevet elle a dit, va reste flexible ainsi ne bande pas comme un âne. C’est bien plus sympa d’engouler un gland tendre et élastique plutôt qu’un bitos géant raide comme la justice.
Moi je pensais, va falloir de gros efforts sur moi même pour rester en état flapi si elle poursuit sa caresse fêlante. Mais j’étais d’accord pour retenir mes instincts puisque qu’il n’était pas possible ce jour-là de faire l’amour ensemble.
J’avais vu sur la mosaïque blanche de la douche la coulée rouge de ses menstrues noyée de l’eau ruisselante et j’avais pensé demain ou après demain n’en seront que meilleurs.
Elle a gobé la tête serrant le cou de ses lèvres en repoussant les peaux du prépuce sur la tige encore molle. Elle aspirait.
Sa langue tournoyait sur la couronne et s’attardait chaque fois sur le frein. Puis elle a voulu visiter le méat du pointu dardé comme langue de serpent.
Moi je retenais mon souffle et partageais mes esprits entre le bonheur de la caresse et l’application que je voulais mettre à retenir mon érection.
Brusquement sans crier gare elle m’a enfourné à fond de gosier en aspirant bas sur mon pubis la base large. La tête s’égarait entre luette glotte et amygdales dans un profond de muqueuses gluantes et de salive claire. Et elle déglutissait en rythme régulier comme pour honorer la visite et faire aubade au gland.
J’étais aux anges.
Elle m’a quitté par un petit bisou sur le méat en disant, en reproche, t’as pas pu t’empêcher de bander vois tu es immense bien trop gros bien trop grand pour ma gorge qui n’est pas si profonde qu’elle puisse impunément t’accueillir.
Elle m’a dit, c’est injuste la vie est mal faite car c’est justement quand je suis indisposée que j’ai les grosses pulsions de libido exacerbée. J’ai chaque fois les entrailles qui se nouent et le charivari dans ma tête à vouloir des hommes peser sur mon ventre.
De sa main libre elle a empaumé mes roupes et sa bouche ses lèvres sont venues au paquet salivant abondamment le noyant de glaires fluides. La paume en dessous flattait les gonades tandis que ses doigts suivant le périnée atteignaient ma rondelle la badigeonnant de sucs salivaires.
Et les charnus de son majeur de l’index et de l’auriculaire dansaient sur mon anus trempé.
La légère pression du bout du doigt a suffit pour déclencher le réflexe de poussée. Le sphincter s’est largement ouvert et a avalé le grand doigt jusqu’à fond de rectum.
Elle a dit, vois les processus psychologiques ne sont pas les mêmes et ton bitos revient à la normale. Tu ne bandes plus maintenant de façon éhontée. Je puis te reprendre en bouche et accueillir bientôt ton offrande. Ce que disant elle fit, mon bitos amolli contre son palais.
Le grand doigt dans mon cul s’appuyait par devant et cherchait dans mes intimités le lieu de mes félicités. Doucement tendrement il l’a trouvé et sur acquiescement de ma part par un petit gémissement il a appuyé, fort appuyé.
Le plaisir fut fulgurant et mon éjaculation dans sa bouche d’une rare plénitude. Longue et très généreuse.
Après pause apaisante elle s’est levée pour laver ses mains au lavabo puis m’a rejoint pour une nuit amoureuse et calme sous la couette.
Sa bouche avait le goût la saveur des fleurs de châtaigners et je m’imaginais au printemps en Cévennes.
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