Si on regardait un porno Ep02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Si on regardait un porno Ep02
Si on regardait un porno Ep02
Le film recommençait, ma queue s'était calmée, les coups que j'avais reçus dans la bouche avaient fini par me calmer. Mais je n'avais pas vraiment joui, j'avais bien sûr pris du plaisir mais pas que !
– Et tu fais ça souvent ?
– Ça ne te regarde pas !
Il tendait la main vers ma cage et s'amusait à me tripoter les couilles, je décidais de le laisser faire.
– Vas y doucement, c'est fragile.
Il rigolait de mon commentaire et me tripotait les couilles avec plus de force, il mes les écrasait même, m'obligeant à me tortiller sur mon fauteuil.
– Ça fait mal là ? Me demandait-il.
– Ça va encore mais lâche, non, lâche.
Il finissait par lâcher pour attraper une bière. Il était totalement détendu devant la télé.
– Tu ne regardes pas le film ? Lui demandais-je.
– J'ai déjà vu ce passage.
Il me pausait tout un tas de questions. Je ne répondais pas à toutes.
– Et ton truc, là, tu peux le garder combien de temps ?
– En théorie il n'y a pas de limite.
– Et la douche ?
– On peut se laver sans le retirer. C'est super bien étudié.
Il se renseignait et tout en parlant il se caressait la bite. Au bout d'un moment il bandait de nouveau, ma queue restait au repos, au fond de la cage. Quand on arrêtait de parler on regardait le film. Je me caressais distraitement les couilles, il me regardait faire et s'en amusait.
Il bandait, il avait l'air détendu. Remarquez il venait de jouir. J'étais détendu avec moins que ça. Il repartait chercher une bière, en ramenait deux et je le voyais bouger avec élégance et naturel dans mon appartement. Il était nu, entièrement nu, en érection, et parfaitement détendu. Je ne l'avais jamais vu aussi beau. Son corps était bien proportionné, il avait quelques très beaux muscles aux bras, aux épaules ainsi que les cuisses et les jambes.
Sans avoir une vraie tablette de chocolat, même blanc, il avait vraiment un corps superbe. C'étaient là les partie de son corps que je n'avais pas l'habitude de voir à chaque fois qu'on se rencontrait.
Il me donnait une bière. Le film continuait.
– Mais bon maintenant avec ce truc, tu ne peux plus rien faire ! Me faisait-il remarquer.
– Tu trouves que je n'ai rien fait là ?
– Oui mais avec ta bite.
– C'est un peu le but, c'est la frustration. Celle de sentir un corps trembler de plaisir, jouir pleinement et ne partager son plaisir que par cette sensation.
– Terrible !
Le film avançait et arrivait au passage ou le fille se prenait la queue de Roro dans le cul. En lui montrant l'écran je lui faisais remarquer …
– Ça par exemple, je peux faire .
– Tu peux enculer une fille ?
– Non mais je peux me faire enculer.
– J'aimerais bien voir ça. Me répondait-il.
Tranquillement je me levais, avalais une grande rasade de bière et passais derrière le fauteuil. J'attrapais un tube de gel, puis je me lubrifiais généreusement le cul. Je devinais qu'il n'aurait aucune pitié, il valait mieux bien lubrifier, je savais qu'avec ce genre de loustic, si ça résistait, il forcerait.
Je lui lançais le tube de gel et m'appuyais sur le dossier du fauteuil. Il se levait et se lubrifiait la bite en venant me rejoindre.
– Si on ne met pas de gel ça peut te faire mal ?
– Ça peut aussi te faire mal !
– Bon alors je mets la dose !
Il s'approchait de moi, me caressait les fesses, me glissait un puis deux doigts dans le cul. Je devinait que ce ne serait pas un tendre.
Il prenait position et là je me rendais compte que, en effet, ce n'était pas un tendre. Il poussait fort, bien lubrifiée sa queue glissait presque sans résistance. Surpris je contractait mon cul et sur le coup il m'a fait très mal.
J'avais à peine le temps de pousser un cri que son ventre s'écrasait sur mes fesses. Sur l'écran, la même scène se passait avec Roro et Gronichon.
Il était pris d'un fou rire.
– Je copie ce qui se passe dans le film.
– Aaaaaah.
– Remarque il en a une plus grosse que la mienne le gros Roro …
– RHAaaaaa !
Il me limait le cul sans ménagement. Je glissais une main sur mes fesses, il s'en emparait et me bloquait. Je me retrouvais penché par dessus le fauteuil, une main bloquée dans le dos avec une grosse queue qui me limait activement le cul.
Et je râlais mais il s'en moquait
– Tu as l'air d'aimer ça ! Me faisait-il remarquer.
Il me burinait le cul sans ménagement, et ça glissait bien. On avait mis la dose. Mais il me dilatait bien aussi et là je le sentais passer. Il me faisait mal. Ça faisait longtemps que je voulais tester une sodomie un peu violente. Par réflexe ceux qui connaissent y vont doucement mais lui, c'était un furieux, il y allait de toutes ses forces.
Là moi je dégustais. Mais j'encaissais et je ne faisais pas un geste pour le retenir. Je ne sais même pas si j'en avais la force, ou s'il se serait calmé. Il prenait son plaisir et ne semblait pas s'inquiéter du mien !
Il frappait tellement fort contre mes fesses qu'elles claquaient à chaque coup, et moi je râlais, je gémissait, je sanglotais presque. Il s'en moquait, rien ne le calmait. Il me serrait contre lui, il glissait sa queue bien à fond et poussait comme s'il voulait me soulever, ça aussi ça fait mal.
Je regardais la télé, il en faisait plus que le gros Roro à la télé. Il était plus petit heureusement. Je relevais la tête et la tournais, je pouvais voir son air décidé. Son visage montrait sa concentration, il regardait la télé et s'était synchronisé que Roro.
Je devais faire une grimace terrible, il me regardait et me souriait.
– Tu aimes ? Hein tu aimes !
Je ne trouvais même pas la force de lui répondre. Il me remuait dans tout les sens, je retombais sur mes pieds, il me lâchait presque.
– Je me calme, je ne voudrais pas jouir trop vite.
Je ne demandais que cela pourtant je ne disais rien, j’acquiesçais. Il ne ressortait pas de mon cul. Il me tirait vers lui et me caressait tout le corps.
– Et là alors, tout se passe bien ? Me demandait-il en me tripotait les couilles avec force.
Je couinais mais toujours, je le laissais faire. La douleur commençait à se calmer, elle avait été intense, j'avais dégusté, je n'était pas convaincu que c'était une bonne idée.
Fait avec douceur et une monté en puissance lente, la sodomie peut être intensément agréable, ça peut être le pied. Avec la violence qu'il m'avait balancé dans le cul, c'est moins bien mais je voulais connaître.
Mais au bout d'un moment quand la douleur disparaît, le plaisir monte et vous submerge, vous inonde. C'était aussi bon, que ça avait été mal.
Là j'ai commencé à gueuler mais uniquement de plaisir, il s'en ai rendu compte.
– Mais c'est que tu aime vraiment ça toi. Tu caches bien ton jeu.
Il s'énervait encore sur mon cul et recommençait à me donner des coups de plus en plus forts, de plus en plus violents. De nouveau je gueulais, je gémissais, je braillais, je râlais. Chacun de mes cris étaient pour lui un encouragement à continuer.
Et il n'avait de toutes évidence pas envie d'arrêter.
Par moment,il faisait une pause, il respirait très fort, très vite et retrouvait son calme. J'avais de plus en plus de mal, c'était dur à encaisser mais il n'y avait plus de douleur et je jouissais depuis que la douleur avait disparue, c'était le pied. Je respirait avec force, plusieurs fois j'ai bien cru m'évanouir. Mais je ne voulais par perdre conscience.
Il me donnait trop de plais, bien trop. Quand il avait retrouvé un peu de calme il reprenait ses coups de bite dans mon cul.
Ses mouvements devenaient plus amples puis moins amples et plus rapide puis enfin plus amples et plus rapide. Là c'était la folie. Sans le fauteuil sur lequel je m'appuyais, je serais tombé. Et si mon partenaire me soutenait c'était uniquement pour pouvoir continuer à me démolir les fesses.
Dans le film, Roro se retirait du cul de Gronichon et éjaculait sur son dos. Une large trace de liquide blanc remplissait ce creux qu'elle avait dans son dos, juste entre les reins.
Il se calmait, ne bougeait plus du tout. Puis me donnait des coups en gémissant, une sorte de plainte longue qui était suivie de coups incroyablement violent qui m'arrachaient de nouveaux cris.
Puis il me lâchait, je tombais, je tentais de me cramponner au fauteuil mais je me retrouvais sur le sol, sur le genoux.
– C'est que tu as aimé en plus !
– Ça va ! Parvenais-je à bafouiller.
– Mais tu es une grosse salope ! J'aurais jamais cru !
– À va je suis pas gros !
Il rigolait, il passait à la salle de bain et en revenait avec deux bières. Je passais à mon tour dans la salle de bain en titubant. J'en revenait un peu plus tard, j'arrivais à tenir debout.
– On recommencera ? Me demandait-il.
– Pas j'oud'hui ! Lui répondais-je.
En réponse il rigolait.
– J'aurais jamais cru ça de toi ?
– Je te crois pas !
– Bon d'accord, tu a raison je me doutais que tu étais un petit PD.
– Et tu vas raconter ça à tous tes copains ?
– Et leur raconter que j'ai participé ? Non ça, certainement pas !
Il n'a en effet jamais raconté cet après-midi à personne. C'est resté un secret entre nous. Mais à plusieurs reprise on a regardé un film ensemble, Roro était notre idole à cette époque.
Puis on s'est perdu de vu, doucement, peu à peu, il avait une copine la dernière fois que je l'ai vu.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le film recommençait, ma queue s'était calmée, les coups que j'avais reçus dans la bouche avaient fini par me calmer. Mais je n'avais pas vraiment joui, j'avais bien sûr pris du plaisir mais pas que !
– Et tu fais ça souvent ?
– Ça ne te regarde pas !
Il tendait la main vers ma cage et s'amusait à me tripoter les couilles, je décidais de le laisser faire.
– Vas y doucement, c'est fragile.
Il rigolait de mon commentaire et me tripotait les couilles avec plus de force, il mes les écrasait même, m'obligeant à me tortiller sur mon fauteuil.
– Ça fait mal là ? Me demandait-il.
– Ça va encore mais lâche, non, lâche.
Il finissait par lâcher pour attraper une bière. Il était totalement détendu devant la télé.
– Tu ne regardes pas le film ? Lui demandais-je.
– J'ai déjà vu ce passage.
Il me pausait tout un tas de questions. Je ne répondais pas à toutes.
– Et ton truc, là, tu peux le garder combien de temps ?
– En théorie il n'y a pas de limite.
– Et la douche ?
– On peut se laver sans le retirer. C'est super bien étudié.
Il se renseignait et tout en parlant il se caressait la bite. Au bout d'un moment il bandait de nouveau, ma queue restait au repos, au fond de la cage. Quand on arrêtait de parler on regardait le film. Je me caressais distraitement les couilles, il me regardait faire et s'en amusait.
Il bandait, il avait l'air détendu. Remarquez il venait de jouir. J'étais détendu avec moins que ça. Il repartait chercher une bière, en ramenait deux et je le voyais bouger avec élégance et naturel dans mon appartement. Il était nu, entièrement nu, en érection, et parfaitement détendu. Je ne l'avais jamais vu aussi beau. Son corps était bien proportionné, il avait quelques très beaux muscles aux bras, aux épaules ainsi que les cuisses et les jambes.
Sans avoir une vraie tablette de chocolat, même blanc, il avait vraiment un corps superbe. C'étaient là les partie de son corps que je n'avais pas l'habitude de voir à chaque fois qu'on se rencontrait.
Il me donnait une bière. Le film continuait.
– Mais bon maintenant avec ce truc, tu ne peux plus rien faire ! Me faisait-il remarquer.
– Tu trouves que je n'ai rien fait là ?
– Oui mais avec ta bite.
– C'est un peu le but, c'est la frustration. Celle de sentir un corps trembler de plaisir, jouir pleinement et ne partager son plaisir que par cette sensation.
– Terrible !
Le film avançait et arrivait au passage ou le fille se prenait la queue de Roro dans le cul. En lui montrant l'écran je lui faisais remarquer …
– Ça par exemple, je peux faire .
– Tu peux enculer une fille ?
– Non mais je peux me faire enculer.
– J'aimerais bien voir ça. Me répondait-il.
Tranquillement je me levais, avalais une grande rasade de bière et passais derrière le fauteuil. J'attrapais un tube de gel, puis je me lubrifiais généreusement le cul. Je devinais qu'il n'aurait aucune pitié, il valait mieux bien lubrifier, je savais qu'avec ce genre de loustic, si ça résistait, il forcerait.
Je lui lançais le tube de gel et m'appuyais sur le dossier du fauteuil. Il se levait et se lubrifiait la bite en venant me rejoindre.
– Si on ne met pas de gel ça peut te faire mal ?
– Ça peut aussi te faire mal !
– Bon alors je mets la dose !
Il s'approchait de moi, me caressait les fesses, me glissait un puis deux doigts dans le cul. Je devinait que ce ne serait pas un tendre.
Il prenait position et là je me rendais compte que, en effet, ce n'était pas un tendre. Il poussait fort, bien lubrifiée sa queue glissait presque sans résistance. Surpris je contractait mon cul et sur le coup il m'a fait très mal.
J'avais à peine le temps de pousser un cri que son ventre s'écrasait sur mes fesses. Sur l'écran, la même scène se passait avec Roro et Gronichon.
Il était pris d'un fou rire.
– Je copie ce qui se passe dans le film.
– Aaaaaah.
– Remarque il en a une plus grosse que la mienne le gros Roro …
– RHAaaaaa !
Il me limait le cul sans ménagement. Je glissais une main sur mes fesses, il s'en emparait et me bloquait. Je me retrouvais penché par dessus le fauteuil, une main bloquée dans le dos avec une grosse queue qui me limait activement le cul.
Et je râlais mais il s'en moquait
– Tu as l'air d'aimer ça ! Me faisait-il remarquer.
Il me burinait le cul sans ménagement, et ça glissait bien. On avait mis la dose. Mais il me dilatait bien aussi et là je le sentais passer. Il me faisait mal. Ça faisait longtemps que je voulais tester une sodomie un peu violente. Par réflexe ceux qui connaissent y vont doucement mais lui, c'était un furieux, il y allait de toutes ses forces.
Là moi je dégustais. Mais j'encaissais et je ne faisais pas un geste pour le retenir. Je ne sais même pas si j'en avais la force, ou s'il se serait calmé. Il prenait son plaisir et ne semblait pas s'inquiéter du mien !
Il frappait tellement fort contre mes fesses qu'elles claquaient à chaque coup, et moi je râlais, je gémissait, je sanglotais presque. Il s'en moquait, rien ne le calmait. Il me serrait contre lui, il glissait sa queue bien à fond et poussait comme s'il voulait me soulever, ça aussi ça fait mal.
Je regardais la télé, il en faisait plus que le gros Roro à la télé. Il était plus petit heureusement. Je relevais la tête et la tournais, je pouvais voir son air décidé. Son visage montrait sa concentration, il regardait la télé et s'était synchronisé que Roro.
Je devais faire une grimace terrible, il me regardait et me souriait.
– Tu aimes ? Hein tu aimes !
Je ne trouvais même pas la force de lui répondre. Il me remuait dans tout les sens, je retombais sur mes pieds, il me lâchait presque.
– Je me calme, je ne voudrais pas jouir trop vite.
Je ne demandais que cela pourtant je ne disais rien, j’acquiesçais. Il ne ressortait pas de mon cul. Il me tirait vers lui et me caressait tout le corps.
– Et là alors, tout se passe bien ? Me demandait-il en me tripotait les couilles avec force.
Je couinais mais toujours, je le laissais faire. La douleur commençait à se calmer, elle avait été intense, j'avais dégusté, je n'était pas convaincu que c'était une bonne idée.
Fait avec douceur et une monté en puissance lente, la sodomie peut être intensément agréable, ça peut être le pied. Avec la violence qu'il m'avait balancé dans le cul, c'est moins bien mais je voulais connaître.
Mais au bout d'un moment quand la douleur disparaît, le plaisir monte et vous submerge, vous inonde. C'était aussi bon, que ça avait été mal.
Là j'ai commencé à gueuler mais uniquement de plaisir, il s'en ai rendu compte.
– Mais c'est que tu aime vraiment ça toi. Tu caches bien ton jeu.
Il s'énervait encore sur mon cul et recommençait à me donner des coups de plus en plus forts, de plus en plus violents. De nouveau je gueulais, je gémissais, je braillais, je râlais. Chacun de mes cris étaient pour lui un encouragement à continuer.
Et il n'avait de toutes évidence pas envie d'arrêter.
Par moment,il faisait une pause, il respirait très fort, très vite et retrouvait son calme. J'avais de plus en plus de mal, c'était dur à encaisser mais il n'y avait plus de douleur et je jouissais depuis que la douleur avait disparue, c'était le pied. Je respirait avec force, plusieurs fois j'ai bien cru m'évanouir. Mais je ne voulais par perdre conscience.
Il me donnait trop de plais, bien trop. Quand il avait retrouvé un peu de calme il reprenait ses coups de bite dans mon cul.
Ses mouvements devenaient plus amples puis moins amples et plus rapide puis enfin plus amples et plus rapide. Là c'était la folie. Sans le fauteuil sur lequel je m'appuyais, je serais tombé. Et si mon partenaire me soutenait c'était uniquement pour pouvoir continuer à me démolir les fesses.
Dans le film, Roro se retirait du cul de Gronichon et éjaculait sur son dos. Une large trace de liquide blanc remplissait ce creux qu'elle avait dans son dos, juste entre les reins.
Il se calmait, ne bougeait plus du tout. Puis me donnait des coups en gémissant, une sorte de plainte longue qui était suivie de coups incroyablement violent qui m'arrachaient de nouveaux cris.
Puis il me lâchait, je tombais, je tentais de me cramponner au fauteuil mais je me retrouvais sur le sol, sur le genoux.
– C'est que tu as aimé en plus !
– Ça va ! Parvenais-je à bafouiller.
– Mais tu es une grosse salope ! J'aurais jamais cru !
– À va je suis pas gros !
Il rigolait, il passait à la salle de bain et en revenait avec deux bières. Je passais à mon tour dans la salle de bain en titubant. J'en revenait un peu plus tard, j'arrivais à tenir debout.
– On recommencera ? Me demandait-il.
– Pas j'oud'hui ! Lui répondais-je.
En réponse il rigolait.
– J'aurais jamais cru ça de toi ?
– Je te crois pas !
– Bon d'accord, tu a raison je me doutais que tu étais un petit PD.
– Et tu vas raconter ça à tous tes copains ?
– Et leur raconter que j'ai participé ? Non ça, certainement pas !
Il n'a en effet jamais raconté cet après-midi à personne. C'est resté un secret entre nous. Mais à plusieurs reprise on a regardé un film ensemble, Roro était notre idole à cette époque.
Puis on s'est perdu de vu, doucement, peu à peu, il avait une copine la dernière fois que je l'ai vu.
Fin
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