Silence dans la salle
Récit érotique écrit par ClarisseSam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Silence dans la salle
Nous formons enfin un couple avec Clarisse, les mois qui ont suivi notre première fois étaient magiques. Nous n’avons pas vu filer le temps. Le sexe était incroyable, on faisait ça partout, le plus souvent possible. La fin de l’année est donc arrivé sans que l’on s’en rende compte, et avec elle les partiels.
C : Réviser à la maison avec Sam ? C’est parfaitement impossible, au bout de 5 minutes sur le canapé et on se saute dessus pour une folle partie de sexe. La bibliothèque de la fac nous sembla donc le choix le plus sérieux. Il fait chaud en ce début de mai, j’enfile donc une robe d’été, une culotte sage mais pas de soutien-gorge. Après un court trajet en bus, où j’ai pu apercevoir le regard de quelques hommes sur mes formes, on s’installe à la bibliothèque devant une pile de livres.
S : Les révisions n’ont jamais été mon fort, très vite je me déconcentre et j’observe le reste de la bibliothèque, elle est plutôt vide. Mon regard se pose sur Clarisse, son air si sérieux et concentré m’arrache un sourire. Elle est magnifique dans cette robe qui dévoile ses belles jambes et une partie de ses cuisses. Elle passe sa main sur sa poitrine pour jouer avec son pendentif, se mouvement lui arrache un premier bouton mais elle ne semble pas s’en rendre compte. Ca y est la situation m’excite déjà, cette fille me rend vraiment fou. Elle se penche pour rédiger une de ses fiches, j’entraperçois alors ses seins parfaits.
C : Je sens Sam qui s’agite sur sa chaise. Je sais ce qui le perturbe, la situation me fait rire mais je donne le change et continue de jouer les innocentes. Je bascule en arrière sur ma chaise en rentrant les fesses et en relevant les jambes. La gravité fait le reste et dévoile un peu plus le haut de mes cuisses. Sam s’agite de plus en plus, son regard est fixé sur mes cuisses. Il faut que j’aille plus loin, l’air de rien je prends un livre et m’installe en tailleur sur la chaise. Ma robe ne cache plus rien et je regrette alors cette culotte un peu trop sage. Ce jeu m’amuse trop pour que je m’arrête là, je me relève et embrasse Sam, prétextant une envie pressante.
S : Son départ relâche un peu la tension qui monte en moi et je me replonge dans les livres. Elle revient quelques minutes plus tard sans dire un mot. Très vite mon attention se disperse à nouveau. Clarisse a les jambes croisées, sa robe est montée à mi-cuisse, le désir s’embrase à nouveau dans mon corps. De temps en temps elle croise et décroise ses jambes, les lève, sa robe tombe inexorablement. Je remarque qu’elle a également détaché deux autres boutons, maintenant ses seins sont visibles au moindre mouvement. Mon érection me fait mal tellement elle m’excite.
C : Je sais que Sam n’en peut plus. Il se tortille sur sa chaise et tente de cacher son érection. Il est temps de lui sortir le grand jeu. Je me recule dans ma chaise et pose mon pied droit sur la chaise, avec mon livre dans la main, la position parait presque sage.
S : Elle vient de m’achever, ses cuisses sont écartées et son genou se presse contre sa poitrine. Mon regard se bloque sur son entrejambe, mon cœur accélère. La culotte sage a disparu et ma copine exhibe son intimité épilée et déjà humide. Je comprends alors que son trajet aux toilettes n’a été qu’un prétexte pour enlever sa culotte et pour jouer avec moi. Je relève la tête, elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire aguicheur.
C : L’expression sur son visage est jubilatoire, un mélange d’étonnement et d’excitation. Il ne pensait pas capable de jouer comme ça. Je pose à présent mes deux pieds contre la chaise et j’écarte les cuisses, avec une main je me caresse un sein, l’autre joue à effleurer mes lèvres. Je déborde de plaisir, je n’ai jamais été aussi humide. Je sais que je le tiens sous mon emprise, j’ai le pouvoir, il suit le trajet de mes doigts mais il n’est que le spectateur frustré, je suis l’actrice. Lentement j’enfonce un doigt et déjà mon souffle s’accélère, très vite un autre doigt suit, puis un autre. Je continue de plus en plus frénétiquement ma masturbation, le plaisir me monte aux joues et je jouie en me mordant le bras. Je me replace dans une position plus sage et parcours la salle des yeux, mon regard s’arrête sur un garçon que je crois reconnaitre. De sa position il n’a sans doute rien vu mais il semble avoir compris quelque chose, il m’affiche un grand sourire.
S : Je ne veux pas en finir là ! Alors qu’elle semble mettre fin au jeu, je me lève d’un bond et l’invite à se lever à son tour et à me suivre. Un tour rapide de la bibliothèque et je m’arrête dans un rayon désert, à l’écart du reste de la bibliothèque. Je l’embrasse fougueusement contre le rayon. Ma main se porte directement à son vagin humide.
« Arrête Sam, on peut nous voir !
- Je m’en fou, je veux plus.
- Non, non, arrête. Elle se mord la lèvre, ses yeux se ferment alors que mes doigts s’enfoncent en elle »Ses protestations se changent en encouragement, elle en a autant envie que moi. Je déboutonne mon short et sort ma verge, elle l’a prend directement en main et la dirige pendant que je la soulève du sol par les cuisses. Je l’empoigne fermement et la maintien contre le rayon. Elle place ma queue contre ses lèvres, la dirige pour la pénétration.
C : Il me pénètre facilement, je suis terriblement excitée. Il donne des coups de reins et imprime une cadence rapide, j’appuie mes mains contre ses fesses et mord son cou pour m’éviter de hurler de plaisir. Un orgasme monte, me submerge de plaisir, la chaleur se répand dans tout mon ventre, un frisson me parcours. Mon vagin se contracte et mon cœur s’emballe, je crois m’évanouir. Les spasmes s’estompent, Sam pousse un râle et éjacule, sa semence, chaude et abondante, remplit mon vagin. Il se retire, m’embrasse et se rhabille. Je reprends mes esprits et réajuste ma robe, son sperme coule un peu sur mes cuisses mais je n’ai rien pour l’essuyer.
S : Un mélange de joie et d’embarra nous envahit, je vois distinctement le petit filet de sperme luisant sur sa cuisse. Nos affaires sont restées sur la table, il nous faut donc nous dépêcher de les rassembler et de partir.
C : On sort rapidement du rayon, j’allonge la foulée pour éviter de croiser quelqu’un mais dès le rayon suivant un garçon nous barre la route. C’est celui qui s’intéressait à mon petit manège de tout à l’heure, je le connais bel et bien, c’est François. Sam ne l’aime pas, en partie parce qu’il est « arrogant et égoïste » d’après lui et aussi et surtout parce que je ne le laisse pas indifférent.
S : François engage la conversation avec Clarisse et m’ignore totalement. Je hais ce type. Clarisse lui répond par des banalités, elle est rouge comme une pivoine. Mes yeux restent bloqués sur la trace de sperme sur sa cuisse. Est-ce qu’il nous a vus ? Il conclut la conversation en invitant Clarisse à une soirée chez lui, elle dit qu’elle viendra peut-être avec moi. Il enchérit un bien sûr et me lance un grand sourire. Il se colle alors à Clarisse, se penche à son oreille et lui chuchote quelque chose, sa main se pose sur la fesse de ma copine. Mon sang ne fait qu’un tour mais avant que j’intervienne il tourne les talons, un grand sourire aux lèvres, et disparait.
« T’as vu comme il t’a touché ? Le salaud je vais lui péter la gueule !
- C’est pas grave ça, il m’a dit qu’il avait adoré le spectacle ! Il nous a vus ! J’ai honte mais ça m’excite aussi !
Elle se met à rire et reprend sa route. Je suis choqué, savoir que François nous a observés m’énerve et m’excite tout autant. On s’arrête aux toilettes où elle nettoie son intimité et on sort du bâtiment. François, debout au milieu de ses amis, leur raconte une histoire, ils affichent tous de larges sourires. Pas la peine de deviner laquelle. On passe devant eux et Clarisse me glisse un « on s’en fiche » avant de m’embrasser pour calmer ma colère. Tous la regardent avec envie alors qu’on se dirige vers le portail. Pas de doute que de nombreux ragots vont circuler sur son compte…
C : Réviser à la maison avec Sam ? C’est parfaitement impossible, au bout de 5 minutes sur le canapé et on se saute dessus pour une folle partie de sexe. La bibliothèque de la fac nous sembla donc le choix le plus sérieux. Il fait chaud en ce début de mai, j’enfile donc une robe d’été, une culotte sage mais pas de soutien-gorge. Après un court trajet en bus, où j’ai pu apercevoir le regard de quelques hommes sur mes formes, on s’installe à la bibliothèque devant une pile de livres.
S : Les révisions n’ont jamais été mon fort, très vite je me déconcentre et j’observe le reste de la bibliothèque, elle est plutôt vide. Mon regard se pose sur Clarisse, son air si sérieux et concentré m’arrache un sourire. Elle est magnifique dans cette robe qui dévoile ses belles jambes et une partie de ses cuisses. Elle passe sa main sur sa poitrine pour jouer avec son pendentif, se mouvement lui arrache un premier bouton mais elle ne semble pas s’en rendre compte. Ca y est la situation m’excite déjà, cette fille me rend vraiment fou. Elle se penche pour rédiger une de ses fiches, j’entraperçois alors ses seins parfaits.
C : Je sens Sam qui s’agite sur sa chaise. Je sais ce qui le perturbe, la situation me fait rire mais je donne le change et continue de jouer les innocentes. Je bascule en arrière sur ma chaise en rentrant les fesses et en relevant les jambes. La gravité fait le reste et dévoile un peu plus le haut de mes cuisses. Sam s’agite de plus en plus, son regard est fixé sur mes cuisses. Il faut que j’aille plus loin, l’air de rien je prends un livre et m’installe en tailleur sur la chaise. Ma robe ne cache plus rien et je regrette alors cette culotte un peu trop sage. Ce jeu m’amuse trop pour que je m’arrête là, je me relève et embrasse Sam, prétextant une envie pressante.
S : Son départ relâche un peu la tension qui monte en moi et je me replonge dans les livres. Elle revient quelques minutes plus tard sans dire un mot. Très vite mon attention se disperse à nouveau. Clarisse a les jambes croisées, sa robe est montée à mi-cuisse, le désir s’embrase à nouveau dans mon corps. De temps en temps elle croise et décroise ses jambes, les lève, sa robe tombe inexorablement. Je remarque qu’elle a également détaché deux autres boutons, maintenant ses seins sont visibles au moindre mouvement. Mon érection me fait mal tellement elle m’excite.
C : Je sais que Sam n’en peut plus. Il se tortille sur sa chaise et tente de cacher son érection. Il est temps de lui sortir le grand jeu. Je me recule dans ma chaise et pose mon pied droit sur la chaise, avec mon livre dans la main, la position parait presque sage.
S : Elle vient de m’achever, ses cuisses sont écartées et son genou se presse contre sa poitrine. Mon regard se bloque sur son entrejambe, mon cœur accélère. La culotte sage a disparu et ma copine exhibe son intimité épilée et déjà humide. Je comprends alors que son trajet aux toilettes n’a été qu’un prétexte pour enlever sa culotte et pour jouer avec moi. Je relève la tête, elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire aguicheur.
C : L’expression sur son visage est jubilatoire, un mélange d’étonnement et d’excitation. Il ne pensait pas capable de jouer comme ça. Je pose à présent mes deux pieds contre la chaise et j’écarte les cuisses, avec une main je me caresse un sein, l’autre joue à effleurer mes lèvres. Je déborde de plaisir, je n’ai jamais été aussi humide. Je sais que je le tiens sous mon emprise, j’ai le pouvoir, il suit le trajet de mes doigts mais il n’est que le spectateur frustré, je suis l’actrice. Lentement j’enfonce un doigt et déjà mon souffle s’accélère, très vite un autre doigt suit, puis un autre. Je continue de plus en plus frénétiquement ma masturbation, le plaisir me monte aux joues et je jouie en me mordant le bras. Je me replace dans une position plus sage et parcours la salle des yeux, mon regard s’arrête sur un garçon que je crois reconnaitre. De sa position il n’a sans doute rien vu mais il semble avoir compris quelque chose, il m’affiche un grand sourire.
S : Je ne veux pas en finir là ! Alors qu’elle semble mettre fin au jeu, je me lève d’un bond et l’invite à se lever à son tour et à me suivre. Un tour rapide de la bibliothèque et je m’arrête dans un rayon désert, à l’écart du reste de la bibliothèque. Je l’embrasse fougueusement contre le rayon. Ma main se porte directement à son vagin humide.
« Arrête Sam, on peut nous voir !
- Je m’en fou, je veux plus.
- Non, non, arrête. Elle se mord la lèvre, ses yeux se ferment alors que mes doigts s’enfoncent en elle »Ses protestations se changent en encouragement, elle en a autant envie que moi. Je déboutonne mon short et sort ma verge, elle l’a prend directement en main et la dirige pendant que je la soulève du sol par les cuisses. Je l’empoigne fermement et la maintien contre le rayon. Elle place ma queue contre ses lèvres, la dirige pour la pénétration.
C : Il me pénètre facilement, je suis terriblement excitée. Il donne des coups de reins et imprime une cadence rapide, j’appuie mes mains contre ses fesses et mord son cou pour m’éviter de hurler de plaisir. Un orgasme monte, me submerge de plaisir, la chaleur se répand dans tout mon ventre, un frisson me parcours. Mon vagin se contracte et mon cœur s’emballe, je crois m’évanouir. Les spasmes s’estompent, Sam pousse un râle et éjacule, sa semence, chaude et abondante, remplit mon vagin. Il se retire, m’embrasse et se rhabille. Je reprends mes esprits et réajuste ma robe, son sperme coule un peu sur mes cuisses mais je n’ai rien pour l’essuyer.
S : Un mélange de joie et d’embarra nous envahit, je vois distinctement le petit filet de sperme luisant sur sa cuisse. Nos affaires sont restées sur la table, il nous faut donc nous dépêcher de les rassembler et de partir.
C : On sort rapidement du rayon, j’allonge la foulée pour éviter de croiser quelqu’un mais dès le rayon suivant un garçon nous barre la route. C’est celui qui s’intéressait à mon petit manège de tout à l’heure, je le connais bel et bien, c’est François. Sam ne l’aime pas, en partie parce qu’il est « arrogant et égoïste » d’après lui et aussi et surtout parce que je ne le laisse pas indifférent.
S : François engage la conversation avec Clarisse et m’ignore totalement. Je hais ce type. Clarisse lui répond par des banalités, elle est rouge comme une pivoine. Mes yeux restent bloqués sur la trace de sperme sur sa cuisse. Est-ce qu’il nous a vus ? Il conclut la conversation en invitant Clarisse à une soirée chez lui, elle dit qu’elle viendra peut-être avec moi. Il enchérit un bien sûr et me lance un grand sourire. Il se colle alors à Clarisse, se penche à son oreille et lui chuchote quelque chose, sa main se pose sur la fesse de ma copine. Mon sang ne fait qu’un tour mais avant que j’intervienne il tourne les talons, un grand sourire aux lèvres, et disparait.
« T’as vu comme il t’a touché ? Le salaud je vais lui péter la gueule !
- C’est pas grave ça, il m’a dit qu’il avait adoré le spectacle ! Il nous a vus ! J’ai honte mais ça m’excite aussi !
Elle se met à rire et reprend sa route. Je suis choqué, savoir que François nous a observés m’énerve et m’excite tout autant. On s’arrête aux toilettes où elle nettoie son intimité et on sort du bâtiment. François, debout au milieu de ses amis, leur raconte une histoire, ils affichent tous de larges sourires. Pas la peine de deviner laquelle. On passe devant eux et Clarisse me glisse un « on s’en fiche » avant de m’embrasser pour calmer ma colère. Tous la regardent avec envie alors qu’on se dirige vers le portail. Pas de doute que de nombreux ragots vont circuler sur son compte…
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