Silencieuse
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2013 dans la catégorie Plus on est
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Silencieuse
Magasin des souvenirs, tel est le credo de mon ami Michel pour se faire un peu de fric dans la station. Il s'en passe des choses depuis qu'une bande d'excitées se ballade en ville. Ma foi mes gens s'amusent comme ils aiment. Au fond nous ne demandons pas mieux. J'entends quand le porte s'ouvre : une femme rien qu'à la voix. Je n'écoute pas ce qu'elle demande : je suis bloqué dans l'arrière boutique à réparer une vieille lampe. Puis un grand silence.
Michel ferme le magasin : bizarre à 16 heures. Il fait quand même un drôle de bruit.Je vais jeter un yeux : la femme est toujours là, elle est debout dans sa robe rouge bien décolletée. Un doigt de chaque main se promène sur le haut des seins. Sa langue lèchent les lèvres. Son regard suit tout ce que fait Michel : elle le provoque d'où la fermeture. Le dos de Michel cache la fille.
Je m'approche, curieux de la suite. Michel se penche un peu : il l'embrasse. Ce n'est pas dans le style de mon copain que de provoquer une nana dans le magasin. Le miroir en face me montre l'envers du décor.
La fille est enserrée dans le bras de Michel. Elle lui tient les épaules. Son ventre est contre celui de l'homme qui sans doute doit bander. Elle l'excite avec ses mouvements. Michel commence à découvrir les épaules : parfait exemple de la beauté. Sa bouche se colle sur le cou. La femme lève la tête comme pour chercher sa respiration. La robe commence à tomber doucement, dénudant encore le reste. Elle ne porte pas grand chose sur elle, mis à part un string, si ou peut appeler ainsi une minimaliste culotte qui ne cache même pas les fesses musclées.
Michel se laisse faire quand le femme le déshabille. De mon coté je vois bien les fesses de cet homme : une découverte. Je suis un salaud de les épier ainsi : j'attends une suite chaude, quitte à me branler en regardant. Il la dirige vers le banc en bois du fond du magasin, elle s'y assoit, les jambes ouvertes, ce qui me permet de voir qu'elle est une vraie rousse. Michel penché sur elle l'embrasse encore, descend vers les seins qu'il suce. Elle ne fait pas grand chose en se laissant ainsi peloter.
Elle lui prend la tête quand il pose sa bouche sur la chatte. Il en est tout ébouriffé. Sa bouche s'ouvre dans de presque inaudibles gémissements. Je sens la femme sensuelle à la recherche son plaisir, seulement son plaisir.
J'ai une gaule pas possible, ma queue me fait presque mal de bander ainsi. Je commence moi aussi à enlever ce qui gêne mes mouvements, c'est à dire tout. Je peux me toucher la queue, même me branler. Ce serait la première fois que je montrerais ma queue à Michel. Je commence à caresser la pine avec la main droite, la gauche caressant les couilles.
Et toujours cette fille qui prend du plaisir non plus en silence, mais en le gueulant presque. Michel prend sa place, fait mettre la nana de dos, contre lui. Je vois le sexe tout trempé, la queue de Michel par derrière, qui monte vers l'entrée privée. Ils commencent les deux à la fois les allers et venues.
Elle se branle en ayant un pieu dans le con. Elle se relève à peine pour se faire mettre dans le cul. Sa main enfoncée dans le vagin.Michel la tient par les seins. Ma main accélère sur le mandrin. Et à la fin, zut, j'entre dans la boutique. Aucun mot d'est dit. Elle me regarde ou plutôt regarde le matériel qui arrive en renfort. Je bande encore plus, il me semble. Sa main libre se tend vers moi. Je ne sais trop ce qu'elle veut.
Ils ne sont pas loin, j'arrive, même Michel regarde ma queue. Il sait que je vais m'en servir en même temps que lui. Comme moi, il ignore ce qu'elle veut en faire. De façon certaines elle va la mettre dans son corps. Ça y est, elle me prend dans la main, elle me branle un peu, juste ce qu'il faut pour faire connaissance. Elle ouvre sa bouche. Bingo, elle me suce. La vache, c'est bon, elle sait bien faire la fellation. Je tends mon bas ventre en avant, vers sa bouche qui seule me suce. Sa main est sur les couilles qu'elle caresse délicatement, sachant qu'elles sont fragiles. Son autre main continu à lui donner ce plaisir particulier de la sodomie alliée à la masturbation.
Dommage elle abandonne. Sans dire un mot, elle dirige la trique vers le con. Je suis à genoux presque contre elle.
Michel se laisse faire quand elle continue seule le va-et-vient. Je commence moi le mien quand je suis dans son abricot. Elle aime bien ce qu'elle « subit ». Michel et moi prenons notre plaisir, comme elle.
Une personne frappe à la vitrine pour entrer. Elle se penche même. Sans doute que nous sommes vus baisant en trio. Je ne vois pas derrière, seule elle peut tout voir : elle acroit ses étreintes. Ses orgasmes ne sont pas simulés. Elle passe ses cuisses autour de ma taille, abandonnant ainsi son premier amant. Je ne peux pas la supporter seul. Michel vient à notre secours, en venant lui poignarder encore le cul.
Prise en double elle ne demande pas mieux, sinon pourquoi aurait elle commencé. Je sens que Michel jouit en elle aux spasmes de sa queue. Ma bite reste encore un moment dans l'abri secret du ventre. Son pubis rencontre le mien plus fort. Les mouvements saccadés nous mennent directement à un orgasme partagé. Je décharge je ne sais combien de semence.
Toujours sans un mot, elle est habillée, même si du sperme coule entre ses jambes.En sortant, elle nous lance un baiser sur la main.
Cette discrète ne nous fâche pas Michel et moi avons joui de la même silencieuse.
Michel ferme le magasin : bizarre à 16 heures. Il fait quand même un drôle de bruit.Je vais jeter un yeux : la femme est toujours là, elle est debout dans sa robe rouge bien décolletée. Un doigt de chaque main se promène sur le haut des seins. Sa langue lèchent les lèvres. Son regard suit tout ce que fait Michel : elle le provoque d'où la fermeture. Le dos de Michel cache la fille.
Je m'approche, curieux de la suite. Michel se penche un peu : il l'embrasse. Ce n'est pas dans le style de mon copain que de provoquer une nana dans le magasin. Le miroir en face me montre l'envers du décor.
La fille est enserrée dans le bras de Michel. Elle lui tient les épaules. Son ventre est contre celui de l'homme qui sans doute doit bander. Elle l'excite avec ses mouvements. Michel commence à découvrir les épaules : parfait exemple de la beauté. Sa bouche se colle sur le cou. La femme lève la tête comme pour chercher sa respiration. La robe commence à tomber doucement, dénudant encore le reste. Elle ne porte pas grand chose sur elle, mis à part un string, si ou peut appeler ainsi une minimaliste culotte qui ne cache même pas les fesses musclées.
Michel se laisse faire quand le femme le déshabille. De mon coté je vois bien les fesses de cet homme : une découverte. Je suis un salaud de les épier ainsi : j'attends une suite chaude, quitte à me branler en regardant. Il la dirige vers le banc en bois du fond du magasin, elle s'y assoit, les jambes ouvertes, ce qui me permet de voir qu'elle est une vraie rousse. Michel penché sur elle l'embrasse encore, descend vers les seins qu'il suce. Elle ne fait pas grand chose en se laissant ainsi peloter.
Elle lui prend la tête quand il pose sa bouche sur la chatte. Il en est tout ébouriffé. Sa bouche s'ouvre dans de presque inaudibles gémissements. Je sens la femme sensuelle à la recherche son plaisir, seulement son plaisir.
J'ai une gaule pas possible, ma queue me fait presque mal de bander ainsi. Je commence moi aussi à enlever ce qui gêne mes mouvements, c'est à dire tout. Je peux me toucher la queue, même me branler. Ce serait la première fois que je montrerais ma queue à Michel. Je commence à caresser la pine avec la main droite, la gauche caressant les couilles.
Et toujours cette fille qui prend du plaisir non plus en silence, mais en le gueulant presque. Michel prend sa place, fait mettre la nana de dos, contre lui. Je vois le sexe tout trempé, la queue de Michel par derrière, qui monte vers l'entrée privée. Ils commencent les deux à la fois les allers et venues.
Elle se branle en ayant un pieu dans le con. Elle se relève à peine pour se faire mettre dans le cul. Sa main enfoncée dans le vagin.Michel la tient par les seins. Ma main accélère sur le mandrin. Et à la fin, zut, j'entre dans la boutique. Aucun mot d'est dit. Elle me regarde ou plutôt regarde le matériel qui arrive en renfort. Je bande encore plus, il me semble. Sa main libre se tend vers moi. Je ne sais trop ce qu'elle veut.
Ils ne sont pas loin, j'arrive, même Michel regarde ma queue. Il sait que je vais m'en servir en même temps que lui. Comme moi, il ignore ce qu'elle veut en faire. De façon certaines elle va la mettre dans son corps. Ça y est, elle me prend dans la main, elle me branle un peu, juste ce qu'il faut pour faire connaissance. Elle ouvre sa bouche. Bingo, elle me suce. La vache, c'est bon, elle sait bien faire la fellation. Je tends mon bas ventre en avant, vers sa bouche qui seule me suce. Sa main est sur les couilles qu'elle caresse délicatement, sachant qu'elles sont fragiles. Son autre main continu à lui donner ce plaisir particulier de la sodomie alliée à la masturbation.
Dommage elle abandonne. Sans dire un mot, elle dirige la trique vers le con. Je suis à genoux presque contre elle.
Michel se laisse faire quand elle continue seule le va-et-vient. Je commence moi le mien quand je suis dans son abricot. Elle aime bien ce qu'elle « subit ». Michel et moi prenons notre plaisir, comme elle.
Une personne frappe à la vitrine pour entrer. Elle se penche même. Sans doute que nous sommes vus baisant en trio. Je ne vois pas derrière, seule elle peut tout voir : elle acroit ses étreintes. Ses orgasmes ne sont pas simulés. Elle passe ses cuisses autour de ma taille, abandonnant ainsi son premier amant. Je ne peux pas la supporter seul. Michel vient à notre secours, en venant lui poignarder encore le cul.
Prise en double elle ne demande pas mieux, sinon pourquoi aurait elle commencé. Je sens que Michel jouit en elle aux spasmes de sa queue. Ma bite reste encore un moment dans l'abri secret du ventre. Son pubis rencontre le mien plus fort. Les mouvements saccadés nous mennent directement à un orgasme partagé. Je décharge je ne sais combien de semence.
Toujours sans un mot, elle est habillée, même si du sperme coule entre ses jambes.En sortant, elle nous lance un baiser sur la main.
Cette discrète ne nous fâche pas Michel et moi avons joui de la même silencieuse.
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