Simple double - histoire érotique

Elle:
J'arrive dans cette ville où je ne connais personne. Étourdie comme je le suis, j'ai oublié de réserver une chambre. Pourtant au début je pensais trouver un genre de pension de famille et pfutt c'est sorti de mon crâne. Dans mon malheur j'ai rencontré dans le train un jeune homme de 25 ans environ, mignon, et surtout prévenante est lui qui m'a indiqué où je pourrai aller. Je l'écoute et vais dans un immeuble avez petit, où, coup de chance je peux avoir une chambre. La propriétaire me fait visiter les lieux: belle chambre, bonne literie, cabinet de toilette avec douche, téléphone belle vue sur le centre ville. Un vrai palace pour moi.
J'ai heureusement dîné avant d'arriver. Je range mes affaires. Je vais pour me coucher quand j'entends frapper doucement à ma porte. Ce doit être la propriétaire. J'ouvre et tombe nez à nez avec ce jeune, celui qui m'avait donné l'adresse. Je ne peux le laisser dans le couloir. Il rentre, me regarde en détail: je vois à son sourire que je ne dois pas lui déplaire. Lui non plus de me déplais pas du tout, au contraire. Je me demande ce qu'il vient faire dans mon espace. A moins qu'il veuille me draguer. Je ne sais que penser.

Lui:
Elle ne me déplaît pas du tout cette fille qui est perdue en n'ayant aucun point de chute. J'aimerai la revoir pour lui conter fleurette: je la dirige vers l'endroit où j'habite: je suis célibataire et loge dans une pensions de famille confortable. Je lui donne l'adresse, sans lui dire que j'y réside. Je m'arrangerai plus tard pour la revoir. En rentrant la propriétaire me dit qu'elle a une nouvelle locataire. Je fais l'étonné: tant mieux, nous seront plus nombreux. Avec 4 locataires en effet nous seront en gros un quart de plus.
Je vais dans ma chambre, me change pour être présentable. Je sais que la nouvelle habite juste en face de chez moi. J'irai la voir tout à l'heure. Je ne crois pas lui déplaire. J'aimerai bien faire avec elle tout ce qu'"un homme fait avec une femme.
Il est bientôt 22 heures, j'espère qu'elle ne dort pas encore: je vais frapper à sa porte, j'entre, je la regarde pour bien me souvenir d'elle au cas où. Elle est encore plus belle que ce que je pensais et surtout elle est sexy. Ces affaires sont déjà rangées. J'ai envie de la draguer. Est-ce bien raisonnable de commencer ainsi dans sa chambre ? Pour commencer je souris. Je ne sais quoi dire. Pourtant c'est à moi de parler. Elle me rend le sourire. Au moment om j'allais commencer à parler, elle me remercie de l'aide que je lui ai apportée pour la chambre.

Elle:
Je crois qu'il est timide ou réservé, je ne sais. Il m'a souris. Je dois lui dire quelque chose de gentil. Je le remercie de son aide. Je ne sais ce qui me pousse je l'embrasse sur une joue comme je le ferais avec un ami. Je l'invite à s'asseoir sur la seule chaise de la chambre. Il me dit qu'il loge juste en face. Je lui offrirai bien quelque chose: je n'ai rien à lui donner. En attendant il me plaît de plues en plus, ce garçon. Je sens que s'il me le demandai, je ne lui résisterai pas. Qu'est ce qu'il attend pour me rendre le petit bisou que je lui ai donné. Je ne vais pas me jeter dans ces bras comme çà !!! Je m'assois sur le lit. Nous nous regardons un moment. J'ai presque envie de rire de le voir si godiche. Nous échangeons des paroles standard sans intérêt. Il ne me quitte pas des yeux. Il regarde ma poitrine assez petite je l'avoue. Malgré moi je me cambre pour lui donner de l'importance. J'ai du aller dans le bon sens, il se lève, viens vers moi, me regarde dans les yeux, sourit de son merveilleux sourire. Il me tend la main, je la prends. Je me lève, il m'attire vers lui. Je suis perdue: je vais céder à tout ce qu'il demandera, je le sens d'avance. Je suis dans ses bras, prête à tout. Pourtant je ne suis pas comme ça. Il va se faire de fausses idées sur moi.

Lui:
Je lui souris comme je peux. Elle m'intimide cette fille là. Je la trouve de plus en plus jolie. Elle commence à me parler de n'importe quoi: de rien d'intéressant. Je regarde sa poitrine, elle est juste comme je les aime: ni trop grosse, ni trop petite. La voila qui me la montre en se cambrant. Je ne me retiens plus, je lui tends la main, la fais lever et la prend dans les bras. Elle ne résiste pas un instant. J'en profite pour poser mes lèvres sur les siennes. Elle ouvre la bouche: nos langues se caressent: elle embrasse fort bien, très bien même. Nous sommes corps à corps: elle ne se dérobe toujours pas. Je ne sais elle; moi j'ai envie d'elle. Si nous continuons ainsi je ne vais pas tarder à bander. J'aimerai rester calme si possible.
Je remarque qu'elle porte une robe fermée dans le dos par une fermeture éclair. Tans pis j'essaie de la descendre, si elle ne veux pas j'arrêterai là et n'en parlerai plus.

Elle:
Ça est il m'embrasse. Ces lèvres sont douces sur les miennes. J'ouvre la bouche pour recevoir sa langue. Il embrasse plus que bien. Il me serre contre lui. Je me demande s'il ne va pas bander pendant cette série de baisers. J'aimerai bien sentir sa queue dure contre moi. Il commence à me déshabiller en défaisant ma robe. Qu'il aille vite, j'en envie de lui. En attendant je lui caresse la poitrine. J'ai mes seins qui gonflent, je sens mes tétons se durcir. J'ai presque envie de lui prendre la bite dans les mains juste pour voir comment il bande: il risque de le prendre mal. Alors j'attends: je sais que je pourrai le branler plus tard.
IL fait tomber ma robe que j'enjambe une fois par terre. Je ne porte plus qu'un soutien gorge et un petit slip. Je n'ai aucune honte à être dans cette tenue devant lui, moi qui suis du genre pudique. Je commence à lui déboutonner la chemise. Il me laisse faire. Je vois enfin son torse, avec juste ce qu'il faut de muscle. Il dégrafe mon soutien gorge. Je le laisse faire. Il oublie ma bouche pour venir sucer mes seins. Je sens sa langue se promener sur ma poitrine, me téter, changer de sein pour venir sur l'autre. Il ma lentement, trop lentement à mon goût. Il pose ses mains sur mon slip. Il ne fait rien de particulier. J'attends qu'il me le fasse tomber. Il le fait, je suis nue maintenant et je n'ai toujours pas honte, au contraire, je mouille comme une fontaine. Il doit le sentir puisqu'il s'accroupit devant moi, sort sa langue pour venir chercher mes points sensibles de mon sexe. J'ouvre un peu mes jambes. Sa langue s'insinue dans mon intimité. Elle ne cherche pas longtemps mon clitoris: il me lèche sans arrêt. Je me sens mouiller encore plus. Il doit en avoir plein le visage. Qu'il ne s'arrête surtout pas: il va me faire jouir, moi qui jouis difficilement.

Lui:
Je commence par la déshabiller. Elle ne me retient pas un seul instant. Sa robe est par terre. Je défait son soutien gorge: ces seins magnifique sont à moi: je les caresse, les suces les tète. Lentement je lui enlève son slip. Elle se laisse faire toujours. Je pensais qu'elle aurait un geste de pudeur, même pas. Je m'accroupis pour aller la sucer. Elle écarte un peu les jambes. Je suis surpris par l'agréable odeur de son sexe. Je ne cherche pas longtemps, je suce son clitoris: je la sens jouir par ses contractions. Je reste sur son sexe un bon bout de temps: j'ai tellement de choses à y faire. Je reprends le clitoris, j'y ajoute un doigt dans la foufoune. A tant qu'y être je cherche son petit trou: je le caresse: il s'ouvre seul un peu. C'est une fille qui doit bien baiser. J'ai envie qu'elle me rende ce que lui fait. Je la pousse sur le lit
Elle:
Enfin je sens sa langue sur mon bouton. Il suce bien ce type. Je mouille de plus en plus: il me fait jouir plusieurs fois, surtout quand il me doigte. Et maintenant il me met un doigt ans le cul. J'aime ça: je le laisse entrer, il ma fait un bien fou. Je jouis plusieurs fois. Je ne sais même pas s'il bande. Je pense que oui. Il me pousse sur le lit, où je tombe sur le dos. J'écarte les cuisses en invite. Il me reprend le clitoris et me doigte l'anus. Je n'arrête plus de jouir. J'ai envie de lui dire encore et encore, il me fait un bien terrible. Enfin elle me fait coucher sur le dos. Je peux lui voir la queue. Elle me plait juste la taille normale. J'ai envie qu'il me la mette, aussitôt, maintenant. Il se tourne: je sais ce qu'il veux: un 69. Pourquoi pas; c'est agréable du sucer une bite et d'en goûter le jus. Il se met sur le dos, j'ai sa pine juste à hauteur de mes yeux. Elle me plait et m'excite: dès qu'on aura jouit ensemble, il me la mettra là où il voudra. J'écarte les jambes: il vient mettre sa tête là où je voulais. Je lui caresse le tour du bas ventre, lui caresse un peu les couilles avant de prendre dans ma bouche le gland violet maintenant il doit bander depuis un moment. Il reprend encore une fois le clitoris, me doigte le vagin et le cul. Je deviens une machine à orgasmes. Je lui prends à pleine bouche sa queue. Je vais et viens avec mes lèvres. Je sais que je gémit, lu aussi gémit. Je veux arrêter pour qu'il ne jouisse pas maintenant. C'est trop tard: je sens gicler son sperme dans le bouche. J'aime son goût. J'en garde un peu dans la bouche pour le lui faire goûter.

Lui :
Elle aime jouir, je le sens quand elle se contracte souvent. Je reste longtemps pour la faire jouir un max.
Je me couche près d'elle en lui donnant ma bite. Je me mets en position de 69: elle me suit. Elle suce comme une professionnelle. Je ne peut tenir longtemps Je n'ai pas le temps de lui dire que je vais jouir, quand ça part tout seul. Cet orgasme est un des meilleurs que j'ai eu. J'espère que je pourrai bander encore assez vite. Je ne sais pas encore ce que je vais lui faire, la baiser ou la sodomiser. Je pense qu'elle doit aimer les deux. En tout cas je ne regrette pas cette baise: elle est parfaite. Je sors de sa bouche, comme prévu j'ai la bite en berne. J'espère qu'elle saura attendre. Surprise, elle n'attends, pas entreprenant aussitôt ce qu'il faut faire pour que je bande rapidement: elle écarte ses cuisse, me demande de regarder: elle se branle d'A seulement le bouton , mais aussitôt elle se doigte d'abord par devant en ensuite à la fois par derrière. Elle regarde ma bite se relever. Dès que je suis dur, elle s'occupe de moi pour que je ne fléchisse pas.

Elle:
Dommage qu'il ai débandé. J'aurai aimer le vois en pleine forme. Malheureusement les hommes ne sont pas comme les filles: plus nous jouissons, plus nous pouvons le faire à nouveau. J'entreprends les grands moyens, ceux que je me fais dans l'intimité: je me montre comment je me branle, toujours sans honte. Je ne me reconnais pas d'être aussi peu pudique devant lui. Enfin il bande à nouveau. Je continue encore un moment, d'abord pour qu'il bande plus fort et ensuite pour prendre mon plaisir devant lui. Il n'empêche pas moins qu'il a su me faire jouir plusieurs fois sans rien me demander, sauf une pipe que je crois avoir réussi. Il est dur: je commence à le branler: j'aime bien branler les hommes, même si je ne peux pas baser à cause de la nature des femmes. Je la sens frémir dans ma main; L'ennui c'est que j'ai envie de lui partout. Je l'ai eu dans ma main, dans ma bouche. Les autres endroits me plaisent encore plus. Je me couche sur le dos: il vient sur moi. Je sens son poids sur mon corps: c'est agréable comme impressions. J'ai bien écartée les jambes: je pose mes talons sur ses fesses comme une invitation à me baiser. Je le sens quand il rentre:il s'enfonce à fond jusqu'au fond du vagin. Dieu que sa bite est bonne dans ma chatte. Nous participons tous les deux aux allers et venues. Il me fait jouir encore 3 ou 4 fois. Je crois qu'il est le premier à me faire jouir ainsi. Je voudrais sentir son jet de sperme en moi.

Lui:
Je débande, elle me veut encore ne pleine forme, elle aura des difficultés à me faire bander d'un coup de baguette magique. Elle se montre bien à moi, les jambes ouvertes: elle se donne du plaisir: elle se fait jouir. Je la regarde attentivement: elle n'est pas la première à le faire, elle se doigte le con et le cul à la fois. C'est une drôle de bonne femme. Bien sur elle me fait bander. Toujours sans rien dire, ni demander, elle est sur le dos, écartes les jambes. Je me couche sur elle. Je bande tant et elle est tellement mouillée que je suis au fond de son sexe rapidement. Ses talons posés sur les fesses l'aident à faire les mêmes mouvement d'aller et venues dans son con. Je la sens jouir encore et encore. Je continue mes mouvements même quand elle jouit. J'arrête de la baiser: je tiens à la sodomiser: elle doit aimer ça. Je sors d'elle: elle pousse un grognement de mécontentement sans doute. Je la tourne sur le ventre. Ses fesses m'excitent encore plus maintenant. Je les embrasse. Elle pose une mains sur chaque globe, les écarte pour que j'ai le passage vers son petit trou.
Je commence par balader ma bite entre ses fesses avant de la poser sur l'anus. Elle mouille bien cet orifice pour que je puisse entrer facilement. Je suis juste à l'entrée, elle écarte encore plus les fesses. Je rentre facilement dans son cul. Elle commence à gémir presque depuis le début de la sodomie. Je suis à fond dans son cul. Elle m'accompagne dans mes mouvements jouit encore et enfin à mon tour je jouis dans ses boyaux: je la sens encore jouir une fois. Je sors de son anus, elle se retourne et nous nous embrassons comme des amoureux que nous sommes un peu.

Elle:
Enfin il bande à nouveau. J'ai besoin de lui dans mon sexe, sinon dans mon cul. Je suis sur le dos, je le branle un peu. Il me la met lentement, profond. Je jouis encore. Il sort de moi. Dommage j'aurai voulu qu'il jouisse en moi. Il me met sur, le ventre. IL va m'enculer: j'aime bien ça. Je mouille l'entrée de mon anus. J'écarte avec mes mains mes fesses. Il me fait plaisir en embrassant chaque fesses. Quand il est sur mon anus. Il peux m'enculer sans problème. Il me la met à fond: je jouis plusieurs fois et une dernière quand je sens qu'il jouit aussi.
Nous arrêtons. Nous n'avons pratiquement pas parlé. C'est moi qui lui remercie pour le plaisir qu'il m'a donné. Il en est presque fier. Il se rhabille et enfin il me parle: veux-tu demain, encore ? Bien sur, nigaud!!!!