Sir Eric 1
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sir Eric 1
Ma vie quoique bizarre fut un long fleuve tranquille. Au décès de mes parents français, sans parentèle connue je fus mis dans un orphelinat comme adoptable. J'avais 4ans, aucunes tares et je m'éveillais au monde. L'accident s'étant produit en Ecosse , malgrè les recherches je n'ai vu et entendu que de l'anglais ne prenant pas conscience ni de l'accent ni des mots tout en les prenant commpe ma langue natale.
J'ai eu la chance d'être adopté pour je ne sais quelle raison par un Laird du sud ouest de l'Ecosse et j'ai grandi dans un milieu très aisé. A mon grand désapointement j'ai du quitter le manoir familial à l'age de 16ans pour faire mes humanitès dans un de ces lycées huppès très à cheval sur les traditions. On m'a assigné un élève plus agé pour apprendre à servir et l'obéissance. J'ai du cirer ses chaussures , l'aider à s'habiller, devant me débrouiller moi même pour être présentable.
A 17ans j'ai subi une séance d'initiation pour m'ôter toute inibitions entre garçon. Je ne peux pas dire avoir aimé le début mais plus le temps passait et plus j'appréciai ce qui se passait. Les relations homosexuelles , dans un cercle composé uniquement d'hommes et de garçons, il était fatal qu'il y en eu. J'ai donc vu de très très près des sexes de garçons et senti aussi à quoi mes fesses pouvaient servir.
Si la première partie m'avait déplu au début la deuxième a considérablement changé mon opinion et ma vie.
Au moment des vacances, la dernière année de lycée, un ballet des limousines de luxe nous emmenait vers nos résidences. J'ai appri cette été là, le décès de ma mère chérie et découvert par le notaire que je n'étais pas vraiment son fils. Mon père adoptif avait profité de cette désolante histoire qui me sidérait pour ajouter un codicille me cédant à son décès ses terres et son titre. Titre tout honorifique uniquement du aux nombre d'acres possédées par mon père.
Les vacances étaient traditionnellement l'occasion d'organiser des rencontres entre jeunes fortunés pour leur permettre de rencontrer des filles et peut être d'envisager un avenir commun mais cet été là je n'en avais pas le coeur. Vers la fin de l'été cependant un ami de mon père l'a presque forcé a me faire participer à un de ces rallyes.
La proprièté ou on est allé, moins vaste surement que celle de mon père avait déjà beaucoup de voitures garées et en entrant j'ai reconnu des amis de l'université. Ils étaient pour la plupart en pleine conversation entre eux mais ont cessé pour me présenter leurs condoléances avant de reprendre leurs bavardages animés. J'ai été amicalement poussé à oublier mon deuil le temps de la soirée.
Les filles assises face à nous sur d'autres immenses canapés pépiaient entre elles en nous détaillant, laissant perler quelques rires. Un de mes amis m'a présenté sa soeur me disant que j'avais beaucoup de points communs avec elle. Le temps étant au beau on a migré vers le jardin où des tables étaient disposéees. Je me suis retrouvé assez vite entre mon ami et sa soeur.
Les punchs même pas très alcoolisés déliaient les langues et j'ai eu la suprise de l'entendre dire que j'aimais les hommes. La fille a souri, regard vicieux.
Moi ce serait plutôt les filles qui m'intéressent. Elle n'était absolument pas choqué de l'aveu de son frère qui me laissait cramoisi. Il nous a laissé sans un mot , juste avec un sourire.
Après quelques mots anodins elle a poussé l'avantage pour mieux me connaître et je me suis trouvé lui avouer que ce qui me plaisait était autant de savoir un homme docile qu'un homme vraiment homme , dominateur. Elle, de son coté ne cachait rien de ses amours saphiques, jouissant quand elle avait une fille à sa disposition totale, fesses, chatte , seins ou bouche. Le soir tombait que l'on discutait sans nous en apercevoir.
Les rires des couples réunis autour nous ont sorti de notre délire. Certains couples manquaient, surement partis dans le parc. Nous sommes aussi allé marcher un peu.
-Cela ne vous dérange paq si je vous appelle par votre prénom?
Aucunement si je peux faire de même.
-Alors je suis Dorothée.
Moi je suis Eric.
-Mon frère m'avait informé de vos goûts et je pense que sans trop de rapprochements sexuels, notre entente pourrait être parfaite, non? Eric, votre prénom sonne comme une cravache.
Le votre comme une sucrerie.
-Très acidulée mon cher. J'aimerais vous revoir dans d'autres circonstances.
De même pour moi. Mais il faut laisser passer un peu de temps. Je suis à l'université d'Edimboug.
-Je ne suis pas si loin et j'ai un petit cottage pas très loin de la ville si vous avez une voiture.
Je dois l'avoir sous peu , père l'a prévu pour ma consolation mais vous ne craignez pas pour votre réputation?
-Alllons, je ne reçois que des jeunes filles en rut qui ne demandent quà être maltraitée. Venez avec un ami, ainsi l'honneur sera sauf si on peut le dire.
Attention, je peux vous prendre au mot!
-Bah à ce jeu là les hommes ne cachent pas leur plaisir comme les femmes. Il faut retourner dire au revoir au maître des lieux je ne peux rester plus et mon chauffeur doit m'attendre.
Alors je vous laisse ma carte en espérant avoir de vos nouvelles très vite. J'ai hâte de voir vos coquines .
-Et moi vos coquins. Elle a tendu une petite carte avec son numéro de téléphone. Ceci est le privé, personne ne l'a, sauf mes amis.
Après une chaste bise elle est partie, son frère m'a souri.
-Gentille fille non?
J'ai mis la main entre ses cuisses et serré, gentille, oui tu peux le dire, tu feras vite sa connaissance mieux que tu crois! Il est devenu cramoisi.
-Oui tu sais bien que je suis tout à toi.
Pas uniquement et tu le sais. Tu habites chez elle?
- Ho non, elle a son jardin secret.
Et bien nous verrons ça! Je suis parti saluer le maître de maison et retrouver la limousine qui me ramènerait au domaine.
Après une bonne heure de route nous sommes entrés sur nos terres et les gens reconnaissant la voiture nous saluaient. A part un village et quelques fermes isolées, la vaste lande était vide. Au bout du chemin, une allée en fer à cheval nous a amenè devant le proche. Un petit cabriolet était garé là dont j'ignorais le propriètaire. Mon père était au salon , seul.
-Ha mon garçon je suis content de te voir, tu as sans doute remarqué le bolide devant l'entrée? Il avait le regard pétillant malgré le deuil qui l'avait frappé. Et bien, voici les clès, il est à toi. Ils l'ont livré comme j'avais demandé quand tu ne serais pas là.
Ho père! Elle est magnifique!
-Tu pourras t'entraîner dans le parc puis le domaine avant de passer ton permis. Si tu apprends vite L'agent chargé des permis pourrais te le délivrer pour ton retour à l'université d'Edimbourg.
Je suis ressorti aussi vite pour l'admirer avant de monter dedans . A coté le chauffeur de la limousine souriant m'a guidé pour les premiers tours et les premiers changement de vitesse. Je n'avais jamais été aussi heureux et triste aussi pour mon père. Le temps est passé vite et j'ai eu grace aux cours de notre chauffeur le précieux sésame qui me permettrait enfin de me déplacer une fois à l'université.
Un appel à Dorothée l'a ravi d'apprendre que j'étais motorisé et de la prévenir quand j'arriverais.
Le voyage fut long je n'étais pas encore habituéa à rouler si longtemps . Le frangin de Dorothée a eu un sifflement de surprise.
Monte on va à la campagne j'ai besoin de ton cul!
-Ho , de suite? J'ai du avoir l'air méchant car il est monté de suite à coté de moi.
Défais ta ceinture et baisse ton slip!
- Euh, là?
Ben oui et alors je t'ai pas dis de t'éxhiber. Quoique ce serait amusant. Bon dans le petit chemin là. Descend , retiens ton fûte et lache le en t'appuyant sur le capot. Il a hésité mais trop docile pour ne pas obéir. Il avait un beau cul cambré et j'avais besoin de me vider, alors je l'ai pris d'un coup le faisant couiner mais je savais qu'il aimait ça. Je me suis vidé dans ses fesses pour le faire sucer après. Une vraie chienne quand je voulais.
Cette fin de semaine on ira rendre visite à ta soeur, soit propre extérieurement et intérieurement.
-Mais!
-Tais toi, tu viendras avec moi. Tu obéis ma belle lopette! Il a remonté son pantalon gardant mon sperme dans ses fesses. On est revenu à l'université où une fois garé la voiture et mis mes affaires dans la chambre qui m'était attribuée j'ai pu téléphoner à Dorothée.
Je viens d'arriver et si tu le désires je peux venir vendredi soir ou samedi matin.
-Ho je suis heureuse. Oui , viens plutôt samedi mes coquines seront déjà disponibles. Tu viens seul?
Non j'emmène ton frère, le peu de temps où je ne l'ai pas vu l'ont rendu encore plus obéissant.
-Je m'en doutais, il a une photo de toi qu'il ne cesse de regarder.
Si tes coquines sont moitié aussi dociles que lui on va s'amuser.
-Mais , vous même, cher, ne m'avez vous pas dis apprécier des douceurs inhabituelles chez un garçon?
Tout à fait vous avez une bonne mémoire.
Bien , venez samedi matin je les ferais patienter Comme il vous plaira, j'ai hâte.
J'ai eu la chance d'être adopté pour je ne sais quelle raison par un Laird du sud ouest de l'Ecosse et j'ai grandi dans un milieu très aisé. A mon grand désapointement j'ai du quitter le manoir familial à l'age de 16ans pour faire mes humanitès dans un de ces lycées huppès très à cheval sur les traditions. On m'a assigné un élève plus agé pour apprendre à servir et l'obéissance. J'ai du cirer ses chaussures , l'aider à s'habiller, devant me débrouiller moi même pour être présentable.
A 17ans j'ai subi une séance d'initiation pour m'ôter toute inibitions entre garçon. Je ne peux pas dire avoir aimé le début mais plus le temps passait et plus j'appréciai ce qui se passait. Les relations homosexuelles , dans un cercle composé uniquement d'hommes et de garçons, il était fatal qu'il y en eu. J'ai donc vu de très très près des sexes de garçons et senti aussi à quoi mes fesses pouvaient servir.
Si la première partie m'avait déplu au début la deuxième a considérablement changé mon opinion et ma vie.
Au moment des vacances, la dernière année de lycée, un ballet des limousines de luxe nous emmenait vers nos résidences. J'ai appri cette été là, le décès de ma mère chérie et découvert par le notaire que je n'étais pas vraiment son fils. Mon père adoptif avait profité de cette désolante histoire qui me sidérait pour ajouter un codicille me cédant à son décès ses terres et son titre. Titre tout honorifique uniquement du aux nombre d'acres possédées par mon père.
Les vacances étaient traditionnellement l'occasion d'organiser des rencontres entre jeunes fortunés pour leur permettre de rencontrer des filles et peut être d'envisager un avenir commun mais cet été là je n'en avais pas le coeur. Vers la fin de l'été cependant un ami de mon père l'a presque forcé a me faire participer à un de ces rallyes.
La proprièté ou on est allé, moins vaste surement que celle de mon père avait déjà beaucoup de voitures garées et en entrant j'ai reconnu des amis de l'université. Ils étaient pour la plupart en pleine conversation entre eux mais ont cessé pour me présenter leurs condoléances avant de reprendre leurs bavardages animés. J'ai été amicalement poussé à oublier mon deuil le temps de la soirée.
Les filles assises face à nous sur d'autres immenses canapés pépiaient entre elles en nous détaillant, laissant perler quelques rires. Un de mes amis m'a présenté sa soeur me disant que j'avais beaucoup de points communs avec elle. Le temps étant au beau on a migré vers le jardin où des tables étaient disposéees. Je me suis retrouvé assez vite entre mon ami et sa soeur.
Les punchs même pas très alcoolisés déliaient les langues et j'ai eu la suprise de l'entendre dire que j'aimais les hommes. La fille a souri, regard vicieux.
Moi ce serait plutôt les filles qui m'intéressent. Elle n'était absolument pas choqué de l'aveu de son frère qui me laissait cramoisi. Il nous a laissé sans un mot , juste avec un sourire.
Après quelques mots anodins elle a poussé l'avantage pour mieux me connaître et je me suis trouvé lui avouer que ce qui me plaisait était autant de savoir un homme docile qu'un homme vraiment homme , dominateur. Elle, de son coté ne cachait rien de ses amours saphiques, jouissant quand elle avait une fille à sa disposition totale, fesses, chatte , seins ou bouche. Le soir tombait que l'on discutait sans nous en apercevoir.
Les rires des couples réunis autour nous ont sorti de notre délire. Certains couples manquaient, surement partis dans le parc. Nous sommes aussi allé marcher un peu.
-Cela ne vous dérange paq si je vous appelle par votre prénom?
Aucunement si je peux faire de même.
-Alors je suis Dorothée.
Moi je suis Eric.
-Mon frère m'avait informé de vos goûts et je pense que sans trop de rapprochements sexuels, notre entente pourrait être parfaite, non? Eric, votre prénom sonne comme une cravache.
Le votre comme une sucrerie.
-Très acidulée mon cher. J'aimerais vous revoir dans d'autres circonstances.
De même pour moi. Mais il faut laisser passer un peu de temps. Je suis à l'université d'Edimboug.
-Je ne suis pas si loin et j'ai un petit cottage pas très loin de la ville si vous avez une voiture.
Je dois l'avoir sous peu , père l'a prévu pour ma consolation mais vous ne craignez pas pour votre réputation?
-Alllons, je ne reçois que des jeunes filles en rut qui ne demandent quà être maltraitée. Venez avec un ami, ainsi l'honneur sera sauf si on peut le dire.
Attention, je peux vous prendre au mot!
-Bah à ce jeu là les hommes ne cachent pas leur plaisir comme les femmes. Il faut retourner dire au revoir au maître des lieux je ne peux rester plus et mon chauffeur doit m'attendre.
Alors je vous laisse ma carte en espérant avoir de vos nouvelles très vite. J'ai hâte de voir vos coquines .
-Et moi vos coquins. Elle a tendu une petite carte avec son numéro de téléphone. Ceci est le privé, personne ne l'a, sauf mes amis.
Après une chaste bise elle est partie, son frère m'a souri.
-Gentille fille non?
J'ai mis la main entre ses cuisses et serré, gentille, oui tu peux le dire, tu feras vite sa connaissance mieux que tu crois! Il est devenu cramoisi.
-Oui tu sais bien que je suis tout à toi.
Pas uniquement et tu le sais. Tu habites chez elle?
- Ho non, elle a son jardin secret.
Et bien nous verrons ça! Je suis parti saluer le maître de maison et retrouver la limousine qui me ramènerait au domaine.
Après une bonne heure de route nous sommes entrés sur nos terres et les gens reconnaissant la voiture nous saluaient. A part un village et quelques fermes isolées, la vaste lande était vide. Au bout du chemin, une allée en fer à cheval nous a amenè devant le proche. Un petit cabriolet était garé là dont j'ignorais le propriètaire. Mon père était au salon , seul.
-Ha mon garçon je suis content de te voir, tu as sans doute remarqué le bolide devant l'entrée? Il avait le regard pétillant malgré le deuil qui l'avait frappé. Et bien, voici les clès, il est à toi. Ils l'ont livré comme j'avais demandé quand tu ne serais pas là.
Ho père! Elle est magnifique!
-Tu pourras t'entraîner dans le parc puis le domaine avant de passer ton permis. Si tu apprends vite L'agent chargé des permis pourrais te le délivrer pour ton retour à l'université d'Edimbourg.
Je suis ressorti aussi vite pour l'admirer avant de monter dedans . A coté le chauffeur de la limousine souriant m'a guidé pour les premiers tours et les premiers changement de vitesse. Je n'avais jamais été aussi heureux et triste aussi pour mon père. Le temps est passé vite et j'ai eu grace aux cours de notre chauffeur le précieux sésame qui me permettrait enfin de me déplacer une fois à l'université.
Un appel à Dorothée l'a ravi d'apprendre que j'étais motorisé et de la prévenir quand j'arriverais.
Le voyage fut long je n'étais pas encore habituéa à rouler si longtemps . Le frangin de Dorothée a eu un sifflement de surprise.
Monte on va à la campagne j'ai besoin de ton cul!
-Ho , de suite? J'ai du avoir l'air méchant car il est monté de suite à coté de moi.
Défais ta ceinture et baisse ton slip!
- Euh, là?
Ben oui et alors je t'ai pas dis de t'éxhiber. Quoique ce serait amusant. Bon dans le petit chemin là. Descend , retiens ton fûte et lache le en t'appuyant sur le capot. Il a hésité mais trop docile pour ne pas obéir. Il avait un beau cul cambré et j'avais besoin de me vider, alors je l'ai pris d'un coup le faisant couiner mais je savais qu'il aimait ça. Je me suis vidé dans ses fesses pour le faire sucer après. Une vraie chienne quand je voulais.
Cette fin de semaine on ira rendre visite à ta soeur, soit propre extérieurement et intérieurement.
-Mais!
-Tais toi, tu viendras avec moi. Tu obéis ma belle lopette! Il a remonté son pantalon gardant mon sperme dans ses fesses. On est revenu à l'université où une fois garé la voiture et mis mes affaires dans la chambre qui m'était attribuée j'ai pu téléphoner à Dorothée.
Je viens d'arriver et si tu le désires je peux venir vendredi soir ou samedi matin.
-Ho je suis heureuse. Oui , viens plutôt samedi mes coquines seront déjà disponibles. Tu viens seul?
Non j'emmène ton frère, le peu de temps où je ne l'ai pas vu l'ont rendu encore plus obéissant.
-Je m'en doutais, il a une photo de toi qu'il ne cesse de regarder.
Si tes coquines sont moitié aussi dociles que lui on va s'amuser.
-Mais , vous même, cher, ne m'avez vous pas dis apprécier des douceurs inhabituelles chez un garçon?
Tout à fait vous avez une bonne mémoire.
Bien , venez samedi matin je les ferais patienter Comme il vous plaira, j'ai hâte.
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