Sir Eric 14
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sir Eric 14
On est descendu manger avec nos parents, Georges et Steve faisaient le service, puis on est remonté, demain serait le grand jour. Pour que je ne touche pas ma queue elle a attaché mes mains dans le dos et tout ce que j'ai pu faire s'est de me frotter sur son dos. Dès que ma tige approchait trop de ses fesses je recevais un coup sur mes fesses. J'ai fini par m'endormir et me suis réveillé vaseux assez tôt de façon à pouvoir aller à la ville la plus proche prendre le train pour Glasgow. On a laissé les parents sur le quai.
On était seuls dans le compartiment sans couloirs avec uniquement la porte qui donnait à l'arrêt sur le quai. Vieux wagon très confortable. Le train ne s'arrêtait pas avant la ville et Steevy a du se mettre nu. Dothée a joué avec son petit sexe, découvrant son gland elle a souri.
-J'aurais pu tomber sur un garçon comme toi, je ne suis pas à plaindre. Eric lui a un très joli membre, comme celui de Sam. Mets toi à genoux et appuie toi sur l'assise pour montrer tes fesses.
On ne voyait pas où elle voulait en venir mais quand elle nous a fait sortir notre sexe j'ai commencé à comprendre. Elle m'a bien sucé, salivant bien mon gland avant de me dire de défoncer Steevy. Elle regardait ma queue le pénétrer et a sucè Sam salivant de même.
-Tu dois pouvoir t'enfiler contre celle d'Eric et défoncer Steevy. Le petit va apprécier. Dis nous que tu en as besoin.
-Oui miss Je vais avoir mal mais après je serais bien je pense.
Senti la bite de Sam contre la mienne qui perforait l'anus de Steevy me gonflait encore plus et il a couiné comme un petit cochon , haletant et gémissant tout en même temps. Dothée caressait nos deux poitrines et nos tétons allait d'une bouche à l'autre.
Comme nos rythmes n'étaient pas les mêmes on se frottait aussi queue contre queue dans le fourreau de Steevy Sam avait moins baisé que moi et a été le premier à jouir suivi de très près par moi. Le jus coulait du cul de Steevy le long de ses couilles ce qui a déclenché un jet de sa part vers le bas du rebord du coussin. Il a du se servir de son slip pour sécher tout ce qui pouvait l'être. Le temps avait passé vite de cette façon et quand il a eu fini de se rhabiller sans son slip on entrait en gare.
Les garçons vous sortez et allez chercher les malles au fourgon. Renseignez vous et emmenez les bagages au paquebot. Sam revient avant de les emmener, nous dire ou nous devons être et à quelle heure.
-Bien mistress il a filé jusqu'aux bureaux se renseigner puis de retour nous a annoncé le nom du bateau et que l'on avait trois heures pour embarquer.
-Hé bien très cher, allons visiter un peu. Le port est trop mal famé mais il y a certaines rues intéressantes. Toi Sam trouve un porteur et emmenez tout dans nos cabines.
Glasgow était un peu plus grand et plus animé, plus de magasins, plus de vitrines, donc bien sur La rue qui menait au port m'a paru très longue. Elle s'est longuement arrêtée devant une vitrine ou on ne voyait pas grand chose si ce n'est le nom du magasin. Le chic parisien. Là elle a poussé la porte. Pas grand monde à part une serveuse souriante qui lui a demandé ce qui l'intéressait.
Mon mari m'a parlé de sous vêtements affolants et que je croyais réservés aux filles perdues. Comment vous expliquer, ceux que j'ai vu dans des magazines étrangers étaient très fins, une sorte de voile et curieusement il y avait un trou, enfin là où vous devinez quoi.
Je vois madame j'en ai quelques modèles qui me restent , hélas pas à votre taille je le crains. Je vous en montre. Elle est partie dans l'arrière boutique et revenue avec quelques cartons guère épais. Une fois ouvert j'ai juste jeté un oeil et c'est vrai que ce devait être affolant, plein de froufrous sur les coutures pour les cacher et quand elle passé la main à l'intérieur on voyait en effet par transparence la main comme si il n'y avait rien. Enfin, le trou ou plutôt la fente , suggestive.
-J'ai entendu parler aussi de modèles où la fente était bien plus entre les fesses.
-Ha oui , vous parlez des culottes fendues laissant l'accès à nos parties communes avec les hommes.
-Oui, voilà, tout à fait.
Hélas là encore il ne me reste que des tailles qui ne vous conviennent pas, plutôt faites pour des hommes aux moeurs dissolues.
-Montrez moi quand même.
Cette fois elle est revenue avec trois cartons qui ouvert montraient si peu de tissus que c'était pratiquement obscène. La fille avait compris le jeu de ma femme-Par exemple celui ci, si il ne vous va pas , irait tout à fait à votre mari.
-Oui je comprends. Vous n'avez qu'en blanc?
-Non, ce modèle je l'ai en noir, blanc , et même rose.
-J'hésite beaucoup mais je vais prendre les trois.
-Excellent choix milady. Je vous les emballe. Ils sont un peu cher vu leur rareté. Elle remettait tout en place et d'un ton neutre a demandé si un corset ne lui plairait pas. J'en ai de très beau qui se lacent par derrière et font ressortir même les poitrines comme les fesses les plus plates.
-Montrez moi. Dans la même taille que les culottes. Mais des corsets avec baleines pour maintenir le dos.
-Oui je les avais amené au cas où vous seriez intéressées. Ils sont de la taille de monsieur par exemple. Dothée m'a jeté un coup d'oeil coquin. Vu aussi mon pantalon et a opté pour un noir et un rouge. Voilà, ce sera tout. Faites vite, je crains d'être en retard pour le départ du bateau.
Tout a été mis dans un sac du "chic parisien" que j'ai porté jusqu'au bout de la rue et donc au port. Sam nous attendait au pied de la passerelle d'un énorme bateau noir.
-Vous m'avez fait peur le bateau n'attends que vous.
En effet aussitôt à bord la passerelle fut ôtée et le plat bord refermé. Sam nous a mené à notre cabine. Sur le pont supérieur et sur l'avant pour ne pas avoir de fumée on avait un petit balcon juste sur le devant du bateau et Sam et Steve avaient une cabine de chaque coté qui ouvrait sur la notre. Les trois donnaient sur une coursive intérieure. Une fois dans la notre nous avions accès aux deux autres. Steevy, nu comme il devait l'être rangeait nos affaires dans les placards.
Un déport brutal l'a envoyé valdinguer en arrière. On a tous ri sauf lui. Il montrait ainsi son anus brun sans poils et a été un peu vexé.
Par le hublot de coté on a vu le bateau s'éloigner du quai, tiré par un remorqueur spécial qui nous a mis dans l'axe de la sortie. On a ouvert la porte étanche qui donnait sur le balcon pour, appuyés au bastingage voir les côtes s'éloigner doucement. Le vent fraichissait et on est rentré dans la cabine . Un bourdonnement venait de la porte. Sam est allé ouvrir, un groom tenait un plateau avec une carte. Nous étions invité à la table du commandant. Steevy encore nu restait éberlué à la porte de sa cabine les yeux sur le groom.
Celui ci lui a fait un sourire attendant une réponse notre part. Il était précisé pour nous deux et on l'a informé de dire au commandant qu'il était évident que nous étions honorés. Il est reparti discrètement.
-Steevy tu as déjà un ticket avec ce mec, tu fais des ravages.
Dothée a dit a Sam de déballer nos achats. Il l'a fait , surpris.
-Ce n'est pas à votre taille?
-Il est tout à fait évident que non. Par contre elle a jeté un coup d'oeil vers moi-Ha oui , je pense que tout doit aller au laird. Je suppose que vous vous habillez pour la soirée d'accueil.
-Quelle question, évidement. Steevy, sors moi la robe bleue. Non idiot pas de sous vêtements allons, et viens m'aider à me déshabiller.
On était seuls dans le compartiment sans couloirs avec uniquement la porte qui donnait à l'arrêt sur le quai. Vieux wagon très confortable. Le train ne s'arrêtait pas avant la ville et Steevy a du se mettre nu. Dothée a joué avec son petit sexe, découvrant son gland elle a souri.
-J'aurais pu tomber sur un garçon comme toi, je ne suis pas à plaindre. Eric lui a un très joli membre, comme celui de Sam. Mets toi à genoux et appuie toi sur l'assise pour montrer tes fesses.
On ne voyait pas où elle voulait en venir mais quand elle nous a fait sortir notre sexe j'ai commencé à comprendre. Elle m'a bien sucé, salivant bien mon gland avant de me dire de défoncer Steevy. Elle regardait ma queue le pénétrer et a sucè Sam salivant de même.
-Tu dois pouvoir t'enfiler contre celle d'Eric et défoncer Steevy. Le petit va apprécier. Dis nous que tu en as besoin.
-Oui miss Je vais avoir mal mais après je serais bien je pense.
Senti la bite de Sam contre la mienne qui perforait l'anus de Steevy me gonflait encore plus et il a couiné comme un petit cochon , haletant et gémissant tout en même temps. Dothée caressait nos deux poitrines et nos tétons allait d'une bouche à l'autre.
Comme nos rythmes n'étaient pas les mêmes on se frottait aussi queue contre queue dans le fourreau de Steevy Sam avait moins baisé que moi et a été le premier à jouir suivi de très près par moi. Le jus coulait du cul de Steevy le long de ses couilles ce qui a déclenché un jet de sa part vers le bas du rebord du coussin. Il a du se servir de son slip pour sécher tout ce qui pouvait l'être. Le temps avait passé vite de cette façon et quand il a eu fini de se rhabiller sans son slip on entrait en gare.
Les garçons vous sortez et allez chercher les malles au fourgon. Renseignez vous et emmenez les bagages au paquebot. Sam revient avant de les emmener, nous dire ou nous devons être et à quelle heure.
-Bien mistress il a filé jusqu'aux bureaux se renseigner puis de retour nous a annoncé le nom du bateau et que l'on avait trois heures pour embarquer.
-Hé bien très cher, allons visiter un peu. Le port est trop mal famé mais il y a certaines rues intéressantes. Toi Sam trouve un porteur et emmenez tout dans nos cabines.
Glasgow était un peu plus grand et plus animé, plus de magasins, plus de vitrines, donc bien sur La rue qui menait au port m'a paru très longue. Elle s'est longuement arrêtée devant une vitrine ou on ne voyait pas grand chose si ce n'est le nom du magasin. Le chic parisien. Là elle a poussé la porte. Pas grand monde à part une serveuse souriante qui lui a demandé ce qui l'intéressait.
Mon mari m'a parlé de sous vêtements affolants et que je croyais réservés aux filles perdues. Comment vous expliquer, ceux que j'ai vu dans des magazines étrangers étaient très fins, une sorte de voile et curieusement il y avait un trou, enfin là où vous devinez quoi.
Je vois madame j'en ai quelques modèles qui me restent , hélas pas à votre taille je le crains. Je vous en montre. Elle est partie dans l'arrière boutique et revenue avec quelques cartons guère épais. Une fois ouvert j'ai juste jeté un oeil et c'est vrai que ce devait être affolant, plein de froufrous sur les coutures pour les cacher et quand elle passé la main à l'intérieur on voyait en effet par transparence la main comme si il n'y avait rien. Enfin, le trou ou plutôt la fente , suggestive.
-J'ai entendu parler aussi de modèles où la fente était bien plus entre les fesses.
-Ha oui , vous parlez des culottes fendues laissant l'accès à nos parties communes avec les hommes.
-Oui, voilà, tout à fait.
Hélas là encore il ne me reste que des tailles qui ne vous conviennent pas, plutôt faites pour des hommes aux moeurs dissolues.
-Montrez moi quand même.
Cette fois elle est revenue avec trois cartons qui ouvert montraient si peu de tissus que c'était pratiquement obscène. La fille avait compris le jeu de ma femme-Par exemple celui ci, si il ne vous va pas , irait tout à fait à votre mari.
-Oui je comprends. Vous n'avez qu'en blanc?
-Non, ce modèle je l'ai en noir, blanc , et même rose.
-J'hésite beaucoup mais je vais prendre les trois.
-Excellent choix milady. Je vous les emballe. Ils sont un peu cher vu leur rareté. Elle remettait tout en place et d'un ton neutre a demandé si un corset ne lui plairait pas. J'en ai de très beau qui se lacent par derrière et font ressortir même les poitrines comme les fesses les plus plates.
-Montrez moi. Dans la même taille que les culottes. Mais des corsets avec baleines pour maintenir le dos.
-Oui je les avais amené au cas où vous seriez intéressées. Ils sont de la taille de monsieur par exemple. Dothée m'a jeté un coup d'oeil coquin. Vu aussi mon pantalon et a opté pour un noir et un rouge. Voilà, ce sera tout. Faites vite, je crains d'être en retard pour le départ du bateau.
Tout a été mis dans un sac du "chic parisien" que j'ai porté jusqu'au bout de la rue et donc au port. Sam nous attendait au pied de la passerelle d'un énorme bateau noir.
-Vous m'avez fait peur le bateau n'attends que vous.
En effet aussitôt à bord la passerelle fut ôtée et le plat bord refermé. Sam nous a mené à notre cabine. Sur le pont supérieur et sur l'avant pour ne pas avoir de fumée on avait un petit balcon juste sur le devant du bateau et Sam et Steve avaient une cabine de chaque coté qui ouvrait sur la notre. Les trois donnaient sur une coursive intérieure. Une fois dans la notre nous avions accès aux deux autres. Steevy, nu comme il devait l'être rangeait nos affaires dans les placards.
Un déport brutal l'a envoyé valdinguer en arrière. On a tous ri sauf lui. Il montrait ainsi son anus brun sans poils et a été un peu vexé.
Par le hublot de coté on a vu le bateau s'éloigner du quai, tiré par un remorqueur spécial qui nous a mis dans l'axe de la sortie. On a ouvert la porte étanche qui donnait sur le balcon pour, appuyés au bastingage voir les côtes s'éloigner doucement. Le vent fraichissait et on est rentré dans la cabine . Un bourdonnement venait de la porte. Sam est allé ouvrir, un groom tenait un plateau avec une carte. Nous étions invité à la table du commandant. Steevy encore nu restait éberlué à la porte de sa cabine les yeux sur le groom.
Celui ci lui a fait un sourire attendant une réponse notre part. Il était précisé pour nous deux et on l'a informé de dire au commandant qu'il était évident que nous étions honorés. Il est reparti discrètement.
-Steevy tu as déjà un ticket avec ce mec, tu fais des ravages.
Dothée a dit a Sam de déballer nos achats. Il l'a fait , surpris.
-Ce n'est pas à votre taille?
-Il est tout à fait évident que non. Par contre elle a jeté un coup d'oeil vers moi-Ha oui , je pense que tout doit aller au laird. Je suppose que vous vous habillez pour la soirée d'accueil.
-Quelle question, évidement. Steevy, sors moi la robe bleue. Non idiot pas de sous vêtements allons, et viens m'aider à me déshabiller.
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