Sir Eric 17 - histoire érotique

Il avait bien senti ma réaction quand il appuyait et tout sourire devant Dothée il m'a demandé si je me souvenais de son pied.
Heu non pourquoi?
-Allons c'est toi qui m'a demandé d'enfoncer mon pied entre tes fesses!
-C'est vrai Eric?
Que ça c'est passé, oui mais je ne savais plus qui! Excuse moi Dothée, j'aurais du t'en parler.
-Mais non, c'est très bien au contraire. J'ai donc un mari mais aussi une lopette qui a trainé dans les bois nu pour avoir une queue! Et de voir Steevy ne te donnais pas des envies?
Bien sur que si.
-Attendez je ne suis pas. Qui est Steevy?
Ho tu as surement eu toi aussi un boy à l'université. Steevy était le mien et comme ses parents ne pouvaient plus payer je l'ai ramené avec moi. Lui est uniquement une lopette et sert ma femme comme femme de chambre.
-C'est mignon comme tout ton histoire! Et hop d'un coup tu te maries avec une belle fille?
Dothée a expliqué l'arrangement trouvé entre son père et le mien pour qu'ils se rencontrent , se plaisent et se marie.
Elle ne dis pas qu'elle aussi est une sacrée baiseuse!
-Tsss . Ne vous fâchez pas vous allez très bien ensemble. Je ne sais pas si vous avez remarqué mais après les queues de homard, voilà une raie à l'armoricaine. Tout un programme non? J'enlève le pied mais laisse ta braguette ouverte.
Je me permets de vous appeler Dothée , ce qui m'a frappé chez votre époux c'est qu'il était le seul à faire ça pour le plaisir et non pour le fric .
-Il n'aurait manqué plus que ça sa famille est aussi riche que la mienne! Ce soir si vous venez jusqu'à notre cabine vous aurez l'occasion de voir Steevy à l'oeuvre.
-J'espère aussi voir Eric en plein jour réclamer une queue. Il sait être convainquant quand il a envie. Et je sens chez lui une certaine envie.
Dothée a pris son air un peu guindé.
-Oui j'avoue que ce doit être amusant. Ha voilà le dessert, des bananes flambées, tu es gâté Eric.
Je ne pouvais pas sans aucun doute être plus rouge .
-Referme ta braguette si tu peux on va boire le café et fumer un vrai cigare. Désolé ma chère de vous laisser avec les vieilles pies l'instant de satisfaire un plaisir bien masculin. Passe devant moi, toi et remue tes fesses! J'avais casé mon sexe comme j'avais pu avant de refermer la braguette. Assez vite cependant j'ai senti mon sexe baver humidifiant le tissus du pantalon . Celui ci étant noir cela ne se voyait pas trop.
Hans a papoté avec une ou deux personnes, fumant son havane sans plus s'occuper de moi. Un autre mec m'a abordé.
-Pressé de retrouver votre belle?
Je crois oui.
-En tout cas ça se voit et je suis sur que vous êtes dans un état d'excitation impossible à maitriser. Tout en discutant il m'avait poussé dans un coin du salon et a passé la main sur ma bosse. Humm elle va être contente. Hans s'était approché sans que je le remarque.
-Lui aussi va être content je pense. Aller, il est l'heure de passer la chercher pour rentrer, je vous accompagne.
J'ai traversé le salon bosse en avant , pas trop remarqué cependant et on a appelé Dothée qui s'est approchée de nous, tout sourire.
-Hello chéri!
-Quand il n'y a pas trop de monde autour de nous traitez le de lopette chérie. Cela lui conviendra mieux.
-Hum oui en effet il a bavé la lopette. Steevy doit attendre, vous venez Hans?
-Bien sur. Je suis moi même très attiré par les fesses des garçons comme des filles d'ailleurs.
Entrant dans notre cabine , Steevy était nu mais n'attendais pas Hans et a caché son sexe.
-Allons mon garçon ne cache rien de toi tu es mignon comme une fille. Il en a rosi.
-Bien vous ne me connaissez pas mais Eric lui me connais bien, je dirais même très bien et gentiment il va se mettre nu telle la salope qu'il a été. Non, Sam je pense que c'est toi, laisse le se montrer nu comme au premier jour.
Je me suis déshabillé sous leurs regards étonnés enlevant mes chaussettes en dernier comme il avait exigé. Soulevant cuisse après cuisse, sa main posé sur mes fesses. Je sentais un doigt entré dans mon trou remuer à chaque fois que je levais une cuisse et je bavais comme un fou ou une folle devant Dothée , Sam et Steevy.
-Mets toi à genoux et frotte ma braguette, montre leur que tu as envie de ma bite. J'étais dans un état second et j'ai frotté son sexe sous le tissus , le sentant se raidir. Maintenant puisque Steevy est nu, va le sucer!
Mais il est... Je n'ai pu finir ma phrase il avait pris la cravache sur le canapé et m'a donné un coup violent.
-Tu fais ce que j'ai dis ! Ok?
Je n'ai pas répondu de suite ce qui m'a valu un autre coup avant que j dise oui et que je m'avance sur les genoux vers la tige de Steevy qui avait raidi. Petite mais raide et gland dégagé.
-Suce le je t'ai dis. Je sais que tu te fous de la taille, çà ne gêne pas Steevy est la bite qui t'intéresse et de te sentir inférieur, humilié! Ne te gêne pas pour lui gicler dans la bouche Steevy et toi montre son jus sur ta langue et avale après!
Je me sentais revenu 15 ans en arrière et j'ai montré ma langue pleine de jus avant d'avaler. C'est le moment ou on a frappé à la porte. J'ai tenté de filer derrière le canapé mais Hans m'a retenu par les cheveux. Sam a ouvert et Tom est entré.
-Hé bien on s'amuse à ce que je vois et ce n'est pas Steevy qui montre ses fesses! Hans a rigolé.
-Non je viens de retrouver une lope de bahut et il réapprend les usages devant un mec. Je vais te faciliter le travail et lui prendre le cul avant toi. Ho, je suis moins épais que toi mais il va couiner quand même. Aller au taf, sors moi la bite , elle a grandi depuis et un peu forci aussi! En effet j'ai senti la bosse plus épaisse avant de baisser son pantalon. Son slip était aussi humide et baissé il a jailli une superbe bite avec de petits poils frisés le gland humide pointait du prépuce et je l'ai prise en bouche sans attendre. Il a ri.
-Alors vous autres, surpris?
-Pas moi a dit Dothée. Je m'en doutais depuis longtemps. Elle avait ôté le slip de Hans et après l'avoir senti me l'a passé sur ma tête , plaçant l'endroit humide sous mes narines. Comme ça tu sens en même temps que tu suces et tu auras aussi l'odeur de ce qui va t'écarter les fesses.
Même Tom se marrait de me voir mené par ma femme comme ça.
-Aller mets toi sur le dos, cuisses ouvertes. Il a placé un coussin sous mes reins. Regardez , il bande de savoir qu'il va se faire enfiler! Il a remis en place le slip qui avait glissé de mon nez avant de pointer le gland bien salivé et lentement de s'enfoncer en moi. Bouche ouverte je ne me suis pas entendu mais j'ai du crier, mélange de douleur et de plaisir. Il m'a ramoné un moment avant de se retirer et de m'ôter le slip, de jouir dedans et de me le remettre sur le nez. A toi Tom, il est bien graissé.
Je ne voyais pas mais par contre j'ai senti le gland frotter entre mes fesses avant de me pénétrer, plus rapidement que Hans mais il savait que j'étais une lopette alors il n'a pas hésité à aller loin en moi, m'ouvrant un maximum l'anus. Cette fois là j'ai pousse un vrai hurlement vite étouffé pas le slip que je ne sais qui a enfoncé dans ma bouche.
-Il est marrant quand il prend son pied . Regardez, non seulement il n'a pas débandé mais il bave comme une fille. Pardon Dothée.
-Non de rien, c'est vrai je mouille aussi et si vous êtes fatigué, Sam a l'habitude de me prendre par derrière.
Le slip dans la bouche j'ai pu voir Dothée penchée sur la table et Sam l'enfiler sans peine, labourant son petit trou. Tom cette fois allait de plus en plus fort dans ses coups de reins et ce n'est qu'après avoir joui qu'il s'est retiré. Je ne savais pas mais c'est encore meilleur quand c'est un mec de sa classe que son larbin.
J'étais cassé, mal de partout surtout par le tension nerveuse de me savoir être enculé à la vue de tous et même d'y avoir pris plaisir. Sam aussi avait pris son pied et Dothée était heureuse aussi , même pour moi.
-T'es courageux mon mari! On va rire plus tard de ces moments du voyage de noce.
Hans a ricané.
D'ici l'arrivée à Bombay comme moi je n'ai pas de copine c'est toi qui servira et Tom aura le choix entre toi et Steevy. C'est certain que tes mecs vont plus te regarder pareil. Dans combien de temps on est au Caire, Tom?
-D'après le commandant on file vite et on devrait y être demain dans la journée le vent nous pousse.
-Bon toi la lopette demain matin vient me réveiller , j'ai toujours la trique au réveil, Cabine huit. Je vous laisse entre vous. Tu viens Tom, je t'offre un verre chez moi.