Sir Eric 2
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sir Eric 2
A ma majorité et contrairement à l'usage j'avais droit à une grande chambre bien chauffée avec le confort de l'époque : Eau chaud ,froide et même baignoire. Je pouvais fermer ma chambre à clé et seul un jeune élève avait un double. Ceci me permettait de lui laisser différentes tâches à exécuter . Il restait de sa fin de cours à la nuit et repassait le matin. Le soir je lui permettais de revoir les cours avec lui et de lui laisser en partant mes affaires sales et mes chaussures.
Celui de cette année me paraissait vicieux et je l'ai surveillé et surpris a sentir mes slips. Il a aussitôt été corrigé cul nu et signalé au proviseur. Je ne me souviens pas de l'avoir surpris à nouveau. Quand j'avais de la visite je lui demandais de nous laisser seul ou de rester en fonction du visiteur.
Le premier à venir fut Walt le frère de Dorothée. Il venait d'avoir 18ans mais paraissait moins. Il venait s'excuser de ne pas avoir obéi de suite. Je l'avais enculé et bien enculé, après j'ai accepté les excuses.
Samedi matin tu m'attends on va chez ta soeur. Ne met que ton tartan et rien dessous ou pour rire une culotte en dentelle. Il faudra que tu fasses effet. Je serais moi même en tenue traditionnelle du clan de père.
-Et avant, je ne te vois pas?
Ho si, regarde de plus près à genoux ce que tu aimes. Je bandais dans mon froc en manque de cul depuis le début des vacances. Ce n'était pas son cul qui m'avait satisfait totalement. A genoux il ne pouvait manquer de le remarquer et avec des gestes impatients et brouillons il a dégagé mon sexe et commencé à sucer.
J'aime bien ta façon de faire. Dès que tu vois une bosse tu veux sucer! T'es impayable. Je te surveillais pendant les cours et je voyais tes mains s'activer sous le pupitre. Tu pensais à quoi?
Il a lâché ma queue un moment.
-Je m'imaginais être nu écartelé sur le bureau du professeur.
Je l'ai replaqué sur ma queue en riant. Il suçait bien et j'étais forcé de me retenir mais bon toute chose à une fin et j'ai joui, moitié dans sa bouche moitié sur son visage. Ne t'essuie pas, rentre chez toi comme ça, tout le monde sait ce que tu aimes! On se verra samedi.
Il a du croiser mon boy en sortant , il avait un grand sourire en me voyant et j'ai réalisé que j'avais encore le sexe dehors.
Regarde ailleurs toi! Tu connais Walt alors il a travaillé. Bon, on en était où?
-Sur les guerres avec Boney monsieur..
On a fini le cours et répété ce qu'il devait savoir avant que je le laisse partir, m'étant dévêtu derrière un paravent je lui ai laissé mes sous vêtements et il a pris mes chaussures en sortant.
-Bonsoir monsieur.
La semaine de reprise fut simple, le plaisir de retrouver des amis et de converser ensemble sur nos vacances leur dire mes malheurs et mes bonheurs. Tous sont venus voir mon cabriolet rutilant que j'avais fait laver en arrivant dans un garage. Ils voulaient tous faire un tour mais je n'avais qu'une place et c'est Eddy qui l'a eue avec un grand sourire. Une fois sorti du centre d'Edimbourg il a mis la main sur mon genou.
-Rien ne t'a manqué?
Je n'ai pas répondu de suite, passant une vitesse et rapprochant ma main entre ses cuisses.
En effet ceci m'a manqué! Ce que je sentais tout chaud et dur faisait mon bonheur.
-Ce soir laisse ton boy libre et passe chez moi je me suis ennuyé au possible dans ma cambrousse! Rien de potable à se mettre sur le paf. Tu auras tout ce que j'ai du garder dans mes couilles.
Alors je vais ouvrir la fenêtre pour te rafraîchir au moins le visage, si tu sors comme ça il y aura une émeute. Il a éclaté de rire.
-Tu ne perds rien à attendre.
Après un moment on est rentré. Cette nuit là j'ai servi de mes deux orifices, il était demandeur et moi aussi. Je me suis retenu pour ne pas crier de plaisir. Il était bien monté et mon anus s'est laissé démonter avec plaisir mêlé de douleur mais c'est si bon. Le matin je prenais un bain quand le boy est entré.
Dépose tout sur la table et va chercher du café le temps que je sorte du bain.
Je ne sais pas où il est allé le chercher mais j'étais encore sec mais nu quand il est entré.
Ben quoi tu m'as jamais vu nu? J'ai chopé un caleçon et l'ai enfilé avant de m'habiller en buvant le café à petites gorgées. Bon j'y vais nettoie tout et dépêches toi, j'ai un tennis cette après midi et tu auras encore des fringues, mais plus de temps d'ici à dimanche ou lundi pour t'en occuper.
On était vendredi et je pensais déjà au samedi et à Dorothée. Un peu obsédé par ce samedi j'ai mal joué et évidemment perdu. La soirée j'ai été d'une humeur massacrante et j'ai fini par dormir tôt, me tournant et retournant dans le lit. Au matin quand le boy est venu avec le café J'étais trempé de sueur avec un érection d'enfer.
Pose le café là, je me débrouillerais. Il a juste jeté un coup d'oeil et souri. Dès qu'il est parti je me suis pris une douche à l'eau tiède puis froide pour enfin être débarrassé de cette érection et j'ai pris le café. La tenue traditionnelle est longue à revêtir malgré son apparente simplicité et c'est au couleur du clan avec le béret à plume que je suis descendu à la voiture. Walt attendait, un peu penaud en tenue traditionnelle lui aussi et en montant j'ai pu apercevoir de la dentelle.
Le cottage de Dorothée était enfoui au fond d'une allée avec très peu de voitures sur le coté du chemin . J'étais impressionné malgré moi en faisant tinter la cloche. Ce n'est pas elle qui a ouvert mais une tout aussi charmante personne qui nous a invité à entrer du geste et d'un sourire.
Passé le jardin et dans le hall d'entrée, Dorothée descendait l'escalier, vêtue d'une robe de dentelle si arachnéenne que l'on devinait presque tout.
-Vous êtes un peu en avance mais allons au salon, vous autres aimez boire un petit alcool quand vous êtes troublés. Votre tenue est superbe.
Je pourrais dire que la votre l'est mais ce serait la déjuger. Elle est magnifique et osée tout à la fois.
-J'ai une de mes coquines pas encore entièrement vêtue qui va venir vous servir, je dois finir ma toilette. Alors Walt tu nous a réservé une surprise?
- Tout à l'heure Dothie. Il avait piqué un fard.
-Bien voici Louisa pour vous servir.
Je me suis levé à moitié quand je l'ai vu. Elle portait un simple corset très serré qui creusant ses reins faisait ressortir le haut des seins et une simple culotte à froufrou au bas des coutures. Le tissus fin on pouvait voir une raie de ses poils courant le long de son sexe. Pas gênée, elle a servi nos boissons et s'est assise sur un pouf, entre nous.
-Dorothée doit vous aimer beaucoup pour vous inviter ici. Peu d'hommes peuvent dire être venus. Elle m'a demandé de vous édicter les règles pour les personnes masculines. Avant de sortir d'ici vous devrez vous dévêtir quand toutes nos filles seront là , y compris madame Dorothée. Vous ne pourrez pas lors de votre séjour avoir accès à notre chatte avec votre sexe mais avec la langue si notre besoin l'exige. Toutes les autres parties de notre, comme de votre corps, sont accessibles et encouragées.
-Nous sommes toutes vierges et désirons garder cet état jusqu'au mariage. Du matériel est à disposition dans les chambres mais utilisable uniquement par nous. Je vous souhaite un agréable séjour.
Quatre filles sont entrées, nues sauf les bottines à talon, Dorothée est entrée la dernière et la fille qui nous avait donné les consignes s'est dévêtue. Toutes étaient jeunes et ne portaient qu'une touffe de poils taillés au dessus de leur sexe. Dorothé m'a fixé.
-A vous maintenant.
Comme tout homme dans cette condition mon premier réflexe a été de m'en aller puis j'ai pensé mal me conduire envers elle et j'ai commencé à dévoiler ma nudité, ce fut aussi long que pour m'habiller. Quelques rires ont fusé quand Walt a dévoilé sa petite culotte puis son petit sexe dressé malgré tout. Mon caleçon une fois baissé a plutôt laissé passer des ho et des ha! Enfin pour nous rabaisser encore un peu une jeune noir fort bien membré et en état de fonctionner est entré amenant du thé.
J'ai senti la main de Dorothée sur mon sexe. Le serrer puis le caresser comme pour se l'approprier. A partir de là tout a été très vite et j'ai eu un sexe de femme devant mes yeux puis contre ma bouche , j'ai léché tandis qu'une autre main explorait l'espace commun entre homme et femme.
J'entendais Walt gémir mais dans l'amas de corps je ne le voyais plus. Une bouche est venu se poser sur mon gland, j'étais le jouet de ces jeunes filles. Des mains je palpais des seins de toutes formes, tous fermes et passais aussi entre des fesses tendres qui avaient surement servi.
Il y a eu un cri transformé en râle , j'ai imaginé le jeune noir au travail dans Walt et ma virilité a cherché un anus dans lequel je me suis enfoncé avec plaisir. Je ne sais laquelle me servais mais elle était toute chaude et après quelques va et vient un autre trou s'est posé sur moi. Tout le temps une chatte en remplaçait une , se posant sur ma bouche. Enfin j'ai senti un truc dur et froid se glisser dans mes fesses puis forcer mon trou et le branler. Les petites savaient faire plaisir à un homme de diverses façons. Dans une trouée de peau j'ai eu la surprise de voir Dorothée elle même me labourer l'anus avec un gode attaché à ses cuisses. Elle a eu un sourire avant de se dégager et m'entraîner dans une chambre.
Celui de cette année me paraissait vicieux et je l'ai surveillé et surpris a sentir mes slips. Il a aussitôt été corrigé cul nu et signalé au proviseur. Je ne me souviens pas de l'avoir surpris à nouveau. Quand j'avais de la visite je lui demandais de nous laisser seul ou de rester en fonction du visiteur.
Le premier à venir fut Walt le frère de Dorothée. Il venait d'avoir 18ans mais paraissait moins. Il venait s'excuser de ne pas avoir obéi de suite. Je l'avais enculé et bien enculé, après j'ai accepté les excuses.
Samedi matin tu m'attends on va chez ta soeur. Ne met que ton tartan et rien dessous ou pour rire une culotte en dentelle. Il faudra que tu fasses effet. Je serais moi même en tenue traditionnelle du clan de père.
-Et avant, je ne te vois pas?
Ho si, regarde de plus près à genoux ce que tu aimes. Je bandais dans mon froc en manque de cul depuis le début des vacances. Ce n'était pas son cul qui m'avait satisfait totalement. A genoux il ne pouvait manquer de le remarquer et avec des gestes impatients et brouillons il a dégagé mon sexe et commencé à sucer.
J'aime bien ta façon de faire. Dès que tu vois une bosse tu veux sucer! T'es impayable. Je te surveillais pendant les cours et je voyais tes mains s'activer sous le pupitre. Tu pensais à quoi?
Il a lâché ma queue un moment.
-Je m'imaginais être nu écartelé sur le bureau du professeur.
Je l'ai replaqué sur ma queue en riant. Il suçait bien et j'étais forcé de me retenir mais bon toute chose à une fin et j'ai joui, moitié dans sa bouche moitié sur son visage. Ne t'essuie pas, rentre chez toi comme ça, tout le monde sait ce que tu aimes! On se verra samedi.
Il a du croiser mon boy en sortant , il avait un grand sourire en me voyant et j'ai réalisé que j'avais encore le sexe dehors.
Regarde ailleurs toi! Tu connais Walt alors il a travaillé. Bon, on en était où?
-Sur les guerres avec Boney monsieur..
On a fini le cours et répété ce qu'il devait savoir avant que je le laisse partir, m'étant dévêtu derrière un paravent je lui ai laissé mes sous vêtements et il a pris mes chaussures en sortant.
-Bonsoir monsieur.
La semaine de reprise fut simple, le plaisir de retrouver des amis et de converser ensemble sur nos vacances leur dire mes malheurs et mes bonheurs. Tous sont venus voir mon cabriolet rutilant que j'avais fait laver en arrivant dans un garage. Ils voulaient tous faire un tour mais je n'avais qu'une place et c'est Eddy qui l'a eue avec un grand sourire. Une fois sorti du centre d'Edimbourg il a mis la main sur mon genou.
-Rien ne t'a manqué?
Je n'ai pas répondu de suite, passant une vitesse et rapprochant ma main entre ses cuisses.
En effet ceci m'a manqué! Ce que je sentais tout chaud et dur faisait mon bonheur.
-Ce soir laisse ton boy libre et passe chez moi je me suis ennuyé au possible dans ma cambrousse! Rien de potable à se mettre sur le paf. Tu auras tout ce que j'ai du garder dans mes couilles.
Alors je vais ouvrir la fenêtre pour te rafraîchir au moins le visage, si tu sors comme ça il y aura une émeute. Il a éclaté de rire.
-Tu ne perds rien à attendre.
Après un moment on est rentré. Cette nuit là j'ai servi de mes deux orifices, il était demandeur et moi aussi. Je me suis retenu pour ne pas crier de plaisir. Il était bien monté et mon anus s'est laissé démonter avec plaisir mêlé de douleur mais c'est si bon. Le matin je prenais un bain quand le boy est entré.
Dépose tout sur la table et va chercher du café le temps que je sorte du bain.
Je ne sais pas où il est allé le chercher mais j'étais encore sec mais nu quand il est entré.
Ben quoi tu m'as jamais vu nu? J'ai chopé un caleçon et l'ai enfilé avant de m'habiller en buvant le café à petites gorgées. Bon j'y vais nettoie tout et dépêches toi, j'ai un tennis cette après midi et tu auras encore des fringues, mais plus de temps d'ici à dimanche ou lundi pour t'en occuper.
On était vendredi et je pensais déjà au samedi et à Dorothée. Un peu obsédé par ce samedi j'ai mal joué et évidemment perdu. La soirée j'ai été d'une humeur massacrante et j'ai fini par dormir tôt, me tournant et retournant dans le lit. Au matin quand le boy est venu avec le café J'étais trempé de sueur avec un érection d'enfer.
Pose le café là, je me débrouillerais. Il a juste jeté un coup d'oeil et souri. Dès qu'il est parti je me suis pris une douche à l'eau tiède puis froide pour enfin être débarrassé de cette érection et j'ai pris le café. La tenue traditionnelle est longue à revêtir malgré son apparente simplicité et c'est au couleur du clan avec le béret à plume que je suis descendu à la voiture. Walt attendait, un peu penaud en tenue traditionnelle lui aussi et en montant j'ai pu apercevoir de la dentelle.
Le cottage de Dorothée était enfoui au fond d'une allée avec très peu de voitures sur le coté du chemin . J'étais impressionné malgré moi en faisant tinter la cloche. Ce n'est pas elle qui a ouvert mais une tout aussi charmante personne qui nous a invité à entrer du geste et d'un sourire.
Passé le jardin et dans le hall d'entrée, Dorothée descendait l'escalier, vêtue d'une robe de dentelle si arachnéenne que l'on devinait presque tout.
-Vous êtes un peu en avance mais allons au salon, vous autres aimez boire un petit alcool quand vous êtes troublés. Votre tenue est superbe.
Je pourrais dire que la votre l'est mais ce serait la déjuger. Elle est magnifique et osée tout à la fois.
-J'ai une de mes coquines pas encore entièrement vêtue qui va venir vous servir, je dois finir ma toilette. Alors Walt tu nous a réservé une surprise?
- Tout à l'heure Dothie. Il avait piqué un fard.
-Bien voici Louisa pour vous servir.
Je me suis levé à moitié quand je l'ai vu. Elle portait un simple corset très serré qui creusant ses reins faisait ressortir le haut des seins et une simple culotte à froufrou au bas des coutures. Le tissus fin on pouvait voir une raie de ses poils courant le long de son sexe. Pas gênée, elle a servi nos boissons et s'est assise sur un pouf, entre nous.
-Dorothée doit vous aimer beaucoup pour vous inviter ici. Peu d'hommes peuvent dire être venus. Elle m'a demandé de vous édicter les règles pour les personnes masculines. Avant de sortir d'ici vous devrez vous dévêtir quand toutes nos filles seront là , y compris madame Dorothée. Vous ne pourrez pas lors de votre séjour avoir accès à notre chatte avec votre sexe mais avec la langue si notre besoin l'exige. Toutes les autres parties de notre, comme de votre corps, sont accessibles et encouragées.
-Nous sommes toutes vierges et désirons garder cet état jusqu'au mariage. Du matériel est à disposition dans les chambres mais utilisable uniquement par nous. Je vous souhaite un agréable séjour.
Quatre filles sont entrées, nues sauf les bottines à talon, Dorothée est entrée la dernière et la fille qui nous avait donné les consignes s'est dévêtue. Toutes étaient jeunes et ne portaient qu'une touffe de poils taillés au dessus de leur sexe. Dorothé m'a fixé.
-A vous maintenant.
Comme tout homme dans cette condition mon premier réflexe a été de m'en aller puis j'ai pensé mal me conduire envers elle et j'ai commencé à dévoiler ma nudité, ce fut aussi long que pour m'habiller. Quelques rires ont fusé quand Walt a dévoilé sa petite culotte puis son petit sexe dressé malgré tout. Mon caleçon une fois baissé a plutôt laissé passer des ho et des ha! Enfin pour nous rabaisser encore un peu une jeune noir fort bien membré et en état de fonctionner est entré amenant du thé.
J'ai senti la main de Dorothée sur mon sexe. Le serrer puis le caresser comme pour se l'approprier. A partir de là tout a été très vite et j'ai eu un sexe de femme devant mes yeux puis contre ma bouche , j'ai léché tandis qu'une autre main explorait l'espace commun entre homme et femme.
J'entendais Walt gémir mais dans l'amas de corps je ne le voyais plus. Une bouche est venu se poser sur mon gland, j'étais le jouet de ces jeunes filles. Des mains je palpais des seins de toutes formes, tous fermes et passais aussi entre des fesses tendres qui avaient surement servi.
Il y a eu un cri transformé en râle , j'ai imaginé le jeune noir au travail dans Walt et ma virilité a cherché un anus dans lequel je me suis enfoncé avec plaisir. Je ne sais laquelle me servais mais elle était toute chaude et après quelques va et vient un autre trou s'est posé sur moi. Tout le temps une chatte en remplaçait une , se posant sur ma bouche. Enfin j'ai senti un truc dur et froid se glisser dans mes fesses puis forcer mon trou et le branler. Les petites savaient faire plaisir à un homme de diverses façons. Dans une trouée de peau j'ai eu la surprise de voir Dorothée elle même me labourer l'anus avec un gode attaché à ses cuisses. Elle a eu un sourire avant de se dégager et m'entraîner dans une chambre.
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