Sir Eric 25 - histoire érotique

Dothée et moi étions face à lui flamberge à l'air, rouge de honte et d'excitation. La route après une légère montée dévoilait d'un coté le port au loin, puis le canal à gauche et les petites exploitations fermières à droite. On a fait un léger détour pour voir les ruines d'un ancien temple où des hiéroglyphes étaient suggestives et érotiques ce qui changeait des habituelles représentations.
On voyait très nettement malgré les ans la verge droite et longue du pharaon et un trait figurant le jet vers une étoile. L'état de la verge ne s'est pas amélioré de voir ça. Dothée, elle, trouvait exagéré la longueur du sexe pharaonique, tout en comprenant la symbolique de la puissance du maître de l'Egypte. Arrêté pour voir le monument quelques jeunes gens , garçons et filles s'étaient approchés intéressés par la réalité de ce que dévoilait Tim. Sans comprendre leur langue les gestes étaient explicites et les burnous se tendaient.
Le cocher, de lui même a fait reprendre le trot à l'attelage. Notre bateau courait maintenant sur son erre, l'équipage affalant un canot qui se dirigeait vers un petit ponton à force de rames. Quelques passagers ayant pris le chemin direct attendaient là. Tim avait pu rabaisser son short et a réglé le cocher ajoutant un petit plus qui l'a satisfait.
L'air provoqué par l'avance du canot nous a rafraîchi un peu mais nous avions hâte de nous rafraîchir sous la douche pour les plus fortunés, sous un simple jet d'eau pour les autres. Tim a pu profiter de notre douche avant de retourner travailler . Son corps nu était une splendeur, ses fesses fermes et son sexe a demi dressé avec les bourses bien pendantes ajoutaient à sa gracilité. Il avait de petits tétons qui, avec l'eau fraîche pointaient ajoutant à sa beauté.
Nous nous étions mis nus également et aussi bien Hans que moi mations ce corps d'éphèbe en bandant. C'est à regret qu'il a fallu le laisser aller à son travail. Dothée aussi étaient émue et se faisait un plaisir de l'avoir comme compagnon au retour. Voyage plein de promesses à venir.
C'est dans la baignoire, sous la douche que je l'ai prise par devant la soulevant presque par ma queue raide. J'ai senti bien vite Hans se coller contre moi et nous avions un tel besoin d'amour physique après la vue de Tim que me relâchant j'ai senti qu'il me pénétrait. Mon cul bien élargi après la séance dans le bordel me procurait des sensations inexplorées jusqu'alors et c'est trempé que nous avons joui tout trois, l'un dans l'autre.
Une fois sec et remis de nos émois , sexe redevenu en état normal, Dothée a ouvert le petit sac amené du souk par Hans. Il y avait un drôle de truc avec des anneaux reliés par des lanières de cuir.
Mon chéri ceci s'appelle "les portes de l'enfer". J'en avais entendu parler à Edimbourg mais je ne pouvais pas me procurer ce genre d'objet là bas. Allonges toi sur le lit, plus près de moi. Elle a engagé mon sexe dans les lanières , chaque anneau s'ajustant à mon sexe encore mou et a fini par un anneau plus large où elle a forcé mes couilles à s'engager , les passant une à une. Ce dernier anneau retenait ma verge vers le bas et j'ai vite compris que portant ça je ne pouvais pas bander sans mal.
Tu vois, c'est un truc arabe fait pour les esclaves récalcitrants, ou indocile, ou encore que l'on ne veux que passif. Va te remettre sous l'eau tu en ressentiras mieux les effets quand le cuir séchera sur toi. Elle avait placé un tout petit cadenas qui m'empêchait d'ôter ce bazar et malgré moi je commençais à bander sous l'eau.
Hans lui rigolais. Tu vas être marrant la prochaine fois quand Tim passera. Aller c'est bon le cuir est bien humide, mets toi au soleil , allongé sur le balcon, ça va vite sécher et tu vas débander crois moi.
J'ai surtout vite séché et je leur ai demandé de me couvrir d'un peu d'ombre, ma peau d'écossais allait virer au rouge.
En me mettant une ombrelle au dessus, elle a eu un sourire vicieux. Tu vas être encore plus joli avec ton sexe rouge et blanc tu pourras te gratter mais pas devant les dames. Devant ta femme bien sur que si. Penché sur moi elle laissait Hans lécher ses fesses et son petit trou. C'est super bon ça! Tu me le fera après et pourquoi pas à Hans. Je suis curieux de savoir la différence que tu feras entre des fesses d'homme et les miennes.
Leur truc commençait à sécher et me serrait déjà mais je bandais comme un fou de sexe. Hans m'a fait relever je n'ai pu résister à toucher mon sexe, la peau dépassait d'entre les lanières , coincée par les anneaux successifs. Sans le voir, en touchant, j'ai pu sentir un petit anneau au bout et je n'en ai compris le sens que quand il a fallu s'habiller.
Ce soir tu ne mets rien sous ton short de toile (tenue adoptée comme tous les coloniaux présents sur le bateau). Une fois les cuisses enfilées, tu le retiens et je vais passer une chaînette entre le bout du truc à ta ceinture derrière. Quand tu auras fini de t'habiller je tendrais la chaînette. Bon je sais , ça va t'agacer un peu l'anus et tendre ta bite en arrière comme tes couilles. Tu feras un peu attention en t'asseyant pour ne pas les écraser.
Le seul avantage était de ne plus avoir ce corset qui me comprimait la poitrine. Je pouvais respirer. Dothée s'était habillée sans culotte pour avoir un peu d'air. Hans aussi avait fait de même sous son short et il a fini en tendant sèchement la chaînette.
Ha oui je ne t'en avais pas parlé mais ça te force à te cambrer. Position naturelle pour un futur laird! Bon un petit tour sur le pont s'impose, j'ai une faim de loup, pas toi Dothée? Aller viens ne soit pas timide, avance. Si ça tire trop cambre toi plus. Ha oui je comprends , ça te gêne entre les cuisses. Il faudra un moment pour t'habituer mais je fais ça en accord avec Dothée tu le sais bien n'es ce pas.
Oui Hans, je sais.
-Une épouse comme ça tu as de le chance. Et puis , pense que Tim comprendra mieux la situation et ce qu'est votre façon de vivre. Allons, avance, ne traîne pas comme ça.
Attends un peu ce n'est pas que je sois contre mais il faut que je m'habitue.
-Je sais bien que tu aimes , t'es un petit sado-maso mais encore à apprendre. Nous en Allemagne on a un professeur qui explique très bien ton cas. Freud je crois.
Arrêtons nous un moment ça me gratte trop. Un coup de soleil surement! Je n'ai pas attendu, allant vers la balustrade me gratter. Sans slip je touchais aisément la racine de mon sexe mais pas plus loin, il aurait fallu être seul.
-Aller viens ne soit pas ridicule. La cloche a sonné. Ce soir un martini maison te fera du bien.
On est entré au bar ou du monde était déjà installé. Seul les tabourets étaient libres et j'ai pu m'assoir doucement tourné vers le comptoir, mon short trop large m'aurait valu des réflexions que je voulais éviter.
Tim qui officiait au bar a posé des verres sans demander, j'ai compris que Hans avait déjà commandé. Dans mon verre deux olives retenues par le coté avaient une cerise confite. Il m'a fixé en souriant.
-C'est le plus ressemblant que j'ai pu faire. Joli comme l'original non?
Pas en ce moment en tout cas mais tu verras bien quand tu passeras. Je lui ai souri, il était tellement mignon.
-Tu sais en ce moment il t'es très attaché a souligné Hans ce qui a fait sourire Dothée.
-Ho moi aussi vous savez bien.
Tu as prévenu ton supérieur que tu quittais à Bombay?
-Non pas encore mais je le ferais demain.
Oui, attends demain pour être sur de ce à quoi tu t'engages.
-Bah on s'amusera toujours et y aura du sexe. Il avait dit ça tout bas les yeux scintillants.