Sir Eric 31

- Par l'auteur HDS Conteur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Sir Eric 31 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sir Eric 31
Comme on ne pouvait pas arrêter de bander on est allé chacun dans une salle d'eau se passer sous la douche froide. Moi dans la notre et lui dans la sienne. On s'est habillé. Dothée entre les deux chambres nous regardaient.
-Non, ni slip ni caleçon les garçons. Et toi Tim remet le short large que tu avais. Eric va faire de même. Pour le reste débrouillez vous. Elle a mis une robe large, échancrée sur ses beaux seins qui gonflaient en même temps que le ventre s'arrondissait. Les talons même plats la faisait aussi haute que moi et Tim un peu plus petit. Une fois debout on ne voyait pas la cheville sauf quand elle marchait. Mais qu'elles étaient belles, fines! Elle le savait très bien.
Bien allons voir les autochtones et les visiteurs de l'hôtel dans le parc.
L'ascenseur est arrivé très vite avec le même très jeune groom qui ne comprenant pas notre anglais un peu rocailleux des Higthland. On a répété "The park"! Puis il a eu une illumination et on est descendu. C'est juste avant d'arriver que j'ai vu des regards se lever sous l'ascenseur vitré que j'ai réalisé la vue qu'ils et elles devaient avoir. Certaines ont pouffé d'autres ont caché leur visage derrière un éventail. Des hommes mûrs et blets on soupirés sur la nouvelle génération. Aussitôt dans le parc on s'est mis à rire.
On ne changera jamais les vieux birbes. Et les vieilles filles, elles ne savent pas ce qu'elles ratent.
On a déambulé dans les allées odorantes et très bien entretenues , quelques jeunes femmes se promenaient par deux et j'ai repéré quelques militaires , jeunes, seuls et assez attirants. Tim avait du les voir également. Et on s'est souri, ce qui n'a pas été sans être remarqué par Dothée.
Les mecs je vais pas pouvoir en subir un troisième! Vous deux, ça va mais un troisième!
Tim a souri. Regarde celui là il tortille du derrière comme une fille. Il ne devrait pas te faire de mal. Approchons nous. Il boîte un peu.
Bah , un militaire a forcément des blessures, tout dépend de ce qui est blessé.
J'avais du parler un peu fort, il s'est retourné, souriant et vraiment très séduisant. Blond avec non pas une perruque mais ses vrais cheveux réunis en catogan. Des traits fins à la limite efféminé.
-Vous parliez de ma blessure?
C'est Dothée qui a opiné.
-Oui en effet, désolé si cela vous gêne mon mari a du parler un peu fort.
-Ho il y a quelques temps j'aurais été gêné mais plus maintenant. Une blessure au combat est plus glorieuse qu'autre chose. Le drôle de l'affaire est qu'elle fut provoquée par un soldat allié avec sa baïonnette sur mes parties charnues si cela ne vous gêne pas! Il s'est avancé un peu brutalement , en tout cas plus vite que moi. Il m'a blessé à une fesse et de fait a coupé certains muscles qui me rendent inaptes. Je dois donc repartir vers Albion.
-Mais alors capitaine vous êtes sans emploi?
-En effet, d'abord, seulement lieutenant, sans emploi mais pas sans solde. Je dors donc ici mais dans une modeste chambre en attendant le navire qui me rapatriera. Mais je ne me suis pas présenté. Je suis le fils de Lord Dunny. Pas l'aîné c'est pour cela que je suis ici. Mais, vous même si je puis me permettre.
-Ho c'est vrai excusez moi, je suis l'épouse de cet affreux bipède qui est le fils du laird (c'est imprononçable) et moi même fille du laird (tout aussi imprononçable). Ecossais tout deux comme l'indique notre accent. Ce jeune homme nous accompagne fort gentiment et nous aide beaucoup à de nombreuses occasions. Vous êtes seul ici? Pardon, non accompagné?
-Ho, je vais au grès des rencontres, hélas peu nombreuses de mon genre qui n'est spécial que pour les autres.
Vous n'êtes pas soi seul que vous le pensez et que diriez vous de souper avec nous, nous pourrions discuter un peu plus agréablement de ce qui est si spécial pour vous.
-J'accepte volontiers si vous pouvez comprendre les amis d'Oscar Wilde.
Dothé a eu un fin sourire.
-Je n'en suis pas moi même adepte mais sans parler en leurs noms mon époux et son ami sont fervent de cette sorte d'amour et j'en prends ma part.
Il était déjà beau mais son regard s'est illuminé. Il a dévisagé Eric et Tim.
-Alors j'accepte de tout coeur votre invitation. Des compatriotes comme moi! Enfin! Ils servent près des kiosques un excellent champagne et si je peux vous inviter, j'ai bien besoin de ça après vos propos.
Nous nous sommes rapprochés de l'un des kiosques et une table ronde moderne avec plateau en verre nous permis de nous assoir. Dothée à coté de lui, Tim et moi lui faisant presque face. Assis , short largement relevé sur nos cuisses il ne pouvait ignorer la vue de nos sexes rasés, déjà légèrement gonflés.
-Hum, j'ai du lors des différentes opérations subir un rasage complet malgré mes poils blonds mais hélas ou heureusement réalisé par une infirmière ce qui m'a permis de rester stoïque à sa surprise. Avec un sourire Tim a demandé: " Avec nous seriez vous restés stoïque?".
- Je ne crois que je ferais preuve d'autant d'abnégation. Voici le champagne mes amis, buvons à notre rencontre.
Après des moments à discuter de ses faits militaire, il apparut que nous ne connaissions rien à la ville.
-Mais je la connais fort bien et je serais heureux de vous la faire découvrir.
Bref nous nous entendions assez bien et nous nous sommes quittés pour changer de tenue pour le souper. Une fois dans notre suite on a échangé nos impressions et si Tim et moi étions plutôt d'accord Dothée a émis quelques réserves. En effet si l'affaire s'engageait bien au delà de nos espérances, j'envisageais de lui céder la troisième chambre de la suite. Sa blondeur m'interpelait et je voulais en voir plus. Tim d'accord avec moi mais Dothée disait qu'on ne le connaissait qu'à peine et avant d'engager en avant il fallait avoir des preuves de ses aptitudes au combat amoureux, d'autant qu'il avait été blessé aux fesses.
Tout en parlant, Dothée une fois nue a enfilé une robe longue très large en bas et des chaussures plates. Le haut retenu par des bretelles montrait juste ce qui excitait un mari amoureux, ses seins pigeonnant à la la limite de l'indécence. Ses cheveux frisés au fer descendaient en cascade dans son dos.
De mon coté j'ai enfilé un pantalon très étroit, retenu en bas par un passant sous le pied qui une fois relevé cacherait le haut de la chaussure, elle a tenu à ce que je porte le corset qui me tenait raide et droit, enfilant une chemise immaculée à jabots sous un spencer noir, le pantalon tenait par des bretelles blanches invisibles. Dans le miroir sur pied nous faisions un beau couple.
Il restait Tim à vêtir et puisant dans ma garde robe fournie presqu'autant que celle de Dothée nous avons elle et moi réussi à lui confectionner un ensemble certes moins apprêté que les nôtres mais ne flairant pas le cousin pauvre.
Ni elle ni nous ne portions de sous vêtements. invisible pour elle , nos organes mâles dans un état normal formaient une bosse mais pas indécente.
Une fois vêtu nous avons pris un petit verre de sherry avant d'affronter la salle à manger. L'ascenseur nous a mené au premier étage où étaient installées les tables. Elles laissaient un large espace au centre, prévu pour un petit bal à la suite du repas. Un maître d'hôtel en tenue de spahi avec l'aigrette au sommet du turban nous a mené à une table ronde tout près du centre. Le bourdonnement des conversations a cessé à notre entrée avant de reprendre . J'entendais quelques réflexions pas désagréables du style "quel beau couple" qui me donnait chaud au coeur.
Les femmes jalouses autant que les hommes qui les accompagnaient avaient surtout les yeux rivés qui sur la toilette, qui sur le visage de Dothée rayonnant de l'effet produit.
L'effet inverse s'est produit à l'arrivée du fils du Lord en tenue militaire de soirée. Pantalon noir sur des chaussures cirées à la perfection , une veste rouge vif avec une seule rangée de bouton, coupée au niveau du ventre par une ceinture avec une boucle fort astiquée.
Cette fois les hommes tenaient des propos futiles que leurs épouses n'entendaient qu'à peine. Nous nous sommes levés pour l'accueillir, le temps pour moi de remarquer l'absence de sous vêtement puis assis à nouveau.

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Texte coquin : Sir Eric 31
Histoire sexe : Une rose rouge
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