Sir Eric 41
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sir Eric 41
Inutile de vous dire que la nuit fut douce et réparatrice. Kim qui avait dormi à la place de John (lui a dormi sur la moquette) nous a réveillé par habitude de son travail.
Le jour du départ était arrivé! Après avoir fait nos besoins corporels en usant soit de John habitué maintenant soit de la cuvette nous sommes descendus prendre le déjeuner. Pour une fois nous étions à l'heure et de vieux clients nous ont dévisagés comme des étrangers d'une autre race. J'ai été forcé par convenance de parler à l'oreille d'un plus ancien lui expliquant que si il avait des doutes sur ma qualité de britannique il y avait un parc qui conviendrait fort bien pour régler le problème. Me considérant comme offensé je choisirais le sabre.
On aurait entendu une mouche voler et malgré le ton fort bas employé les têtes ont plongé dans les tasses. Mon interlocuteur s'est excusé disant avoir été mal perçu . Nous avons pu déjeuner aisément. Dothée en a rajouté une couche en disant assez fort: Vous l'avez cloué my laird! J'appris par le concierge que c'était un dénommé Churchill venu comme correspondant de presse mais visiblement plus intéressé par la nourriture que par ce qui se disait dans ce pays.
John a fini le premier et il a été se doucher et commencer par faire sa valise, l'essentiel étant ses affaires de toilette. Nous sommes montés ensuite laissant l'assemblée vieillissante mâchouiller leurs viennoiseries. Chacun a pris sa douche avant de mettre les affaires du matin pour rejoindre le bateau. J'ai laissé Kim et John s'occuper du transfert de nos malles et des valises. Les unes allant dans la cale les autres dans nos cabines.
La traditionnelle distribution de pourboire a eu lieu sur les marches qui nous ont mené à la calèche de l'hôtel. De là on a trotté sur peu de distance jusqu'à la coupée qu'il a fallu grimper un peu ,la marée ayant monté. Le commissaire que je connaissais nous a guidé vers nos cabines. Situées au centre du bateau à bâbord elles communiquaient des deux cotés . La notre un peu plus vaste comprenait un coin salon. Ce bateau était certes moins luxueux que celui de l'aller mais plus rapide, ceci compensant cela. John est arrivé avec un porteur et Kim qui lui a été dirigé vers les quartiers de l'équipage. (Pour mémoire il y a quelques photos du bateau et de l'intérieur sur Wiki.)
Les cheminées fumaient et c'est tiré par un remorqueur , poussé par un toueur que nous nous sommes éloignés. Comme nous étions tous sur le pont pour l'appareillage le coup de sirène nous a tous abasourdi. Une fois que la terre s'est éloignée nous avons regagné notre cabine. Kim était là et nous a averti que dans la mer d'Arabie et que si nous désirions manger tranquillement , il n'y avait pas grand monde au restaurant.
-Vous avez beau être amariné je ne suis pas sur de moi et préfère vous servir avant d'être malade si je le suis.
Bon alors allons y mais j'avoue ne pas avoir très faim malgré que je sache que l'estomac plein et meilleur pour le mal de mer.
Au pont au dessus, il y avait du monde qui prenait l'air, prémices d'un mal annoncé et nous sommes descendu cette fois dans la salle à manger presque vide. Les fauteuils espacés permettaient de s'installer avant de se tourner vers la table, les serviettes étaient larges du fait que nous nous trouvions éloignés de celle ci et Kim a fait le service. Le pauvre était un peu pâle et comme il avait revêtu la tenue traditionnelle pour servir, il attirait les regards. Restant près de nous et attentif à nos besoins il ne répondait pas aux diverses demandes des passagers, laissant ce rôle aux serveurs habituels.
Tant qu'il a été occupé tout a bien été et il a bien travaillé. Puis il s'est aperçu que le bateau ne roulais pas pas mais tanguait et que quand il se tenait face à l'avant il se sentait mieux il s'est amélioré.
La carène additionné à la vitesse atteinte nous faisait plonger sans la vague et remonter un peu comme une balançoire. Le mouvement était même amusant pour nous, un peu comme à une fête de la bière. Le cuisinier ayant prévu des plats solides, sans sauce, l'assiette fixée par un astucieux système de ressorts sur les côtés, à part le service forcément plus long tout allait bien.
J'ai hélas bien vu Dothée pâlir de temps en temps, sa grossesse n'arrangeait pas les choses. J'ai donc décidé de monter un moment sur le pont avec elle. Se cramponnant à mon bras, elle s'est excusée d'être de piètre compagnie. Je l'ai réconforté de la seule façon que je connaissais. La tenant au bastingage je me suis mis derrière elle et elle a bien du sentir le désir que j'éprouvais quand je me suis appuyé sur ses fesses.
De coté elle a eu un sourire. Tu ne penses vraiment qu'à ça mais je suis comme toi, seulement embarrassé en ce moment.
Ce n'est pas grave chère. Nous aurons le temps de nous rattraper. Mange encore un peu et je vais voir avec Kim pour trouver une solution pour que tu te reposes un peu. On est redescendu à la salle à manger. Pendant qu'elle s'installait , j'ai demandé à Kim une solution. Il m'a amené à nos cabines et m'a montré un système qui par des cloisons amovibles permettait de laisser une partie isolée pour qu'elle puisse dormir pendant que...nous nous amuserions à nos jeux sexuels.
Je suis remonté finir de manger et une fois tout rassasiés on est retournés chez nous. Je leur ai montré le système amovible aussitôt adopté par Dothée qui sans gêne aucune s'est mise nue avant de s'allonger, laissant le hublot ouvert pour profiter de l'air que fournissait la vitesse du bateau. On a refermé pour la laisser tranquille sachant qu'elle pouvait ouvrir de son coté.
John qui savait ce qui allait se passer s'est vite mis nu, peloté de partout en nous déshabillant , gêné par nos mouvements sur son corps il a été long. Sa pudeur toute britannique l'a fait mettre Kim nu en dernier.
Ce n'était pas la taille du sexe de Kim qui le gênait mais le fait qu'il soit un natif indien. Kim a été le premier à lui faire comprendre qu'il n'était qu'une petite chienne à bites et lui a fourré son sexe en bouche.
-Suce on sait tout ici que t'es fait pour la bite. Relève les fesses pour montrer à Eric et Tim. Remue pour bien leur montrer où tu veux qu'ils s'introduisent.
Il a relevé les jambes et retenu par la bite de Kim il a écarté les fesses à deux mains, toute honte bue.
Pour une fois j'ai joué de mon privilège et après avoir craché et enduit de salive son anus bien ouvert je l'ai pris, le poussant sur la queue de Kim. Celui ci , gentil garçon a laissé la place à Tim et s'est accroupi sous John pour sucer son sexe.
-Comme tu n'es qu'une femelle tu n'as pas à jouir dans ma bouche. Il a saisi le sac de couilles et serré entre ses doigts faisant raidir et violacer son sexe. On l'a bourré comme le sac à jus qu'il était , jouissant dans ses trous. Ce n'est qu'à la fin après que Kim lui ai arrosé le visage de ses jets de foutre qu'il a pu se branler tête basse.
J'ai demandé à Kim comment se passait les moments dans le quartier de l'équipage mais il a balayé d'un geste.
-On est nombreux à être indiens et comme je me change chez vous pour vous servir personne ne pose de questions. Ceci dit il y a de la chair si tendre que si vous l'aviez connu avant moi, nul doute que le pauvre serait passé à la casserole. Je dis le pauvre mais c'est si bon qu'il ne se serait pas plaint. En tout cas les autres ne se gênent pas pour lui caresser les fesses.
Le jour du départ était arrivé! Après avoir fait nos besoins corporels en usant soit de John habitué maintenant soit de la cuvette nous sommes descendus prendre le déjeuner. Pour une fois nous étions à l'heure et de vieux clients nous ont dévisagés comme des étrangers d'une autre race. J'ai été forcé par convenance de parler à l'oreille d'un plus ancien lui expliquant que si il avait des doutes sur ma qualité de britannique il y avait un parc qui conviendrait fort bien pour régler le problème. Me considérant comme offensé je choisirais le sabre.
On aurait entendu une mouche voler et malgré le ton fort bas employé les têtes ont plongé dans les tasses. Mon interlocuteur s'est excusé disant avoir été mal perçu . Nous avons pu déjeuner aisément. Dothée en a rajouté une couche en disant assez fort: Vous l'avez cloué my laird! J'appris par le concierge que c'était un dénommé Churchill venu comme correspondant de presse mais visiblement plus intéressé par la nourriture que par ce qui se disait dans ce pays.
John a fini le premier et il a été se doucher et commencer par faire sa valise, l'essentiel étant ses affaires de toilette. Nous sommes montés ensuite laissant l'assemblée vieillissante mâchouiller leurs viennoiseries. Chacun a pris sa douche avant de mettre les affaires du matin pour rejoindre le bateau. J'ai laissé Kim et John s'occuper du transfert de nos malles et des valises. Les unes allant dans la cale les autres dans nos cabines.
La traditionnelle distribution de pourboire a eu lieu sur les marches qui nous ont mené à la calèche de l'hôtel. De là on a trotté sur peu de distance jusqu'à la coupée qu'il a fallu grimper un peu ,la marée ayant monté. Le commissaire que je connaissais nous a guidé vers nos cabines. Situées au centre du bateau à bâbord elles communiquaient des deux cotés . La notre un peu plus vaste comprenait un coin salon. Ce bateau était certes moins luxueux que celui de l'aller mais plus rapide, ceci compensant cela. John est arrivé avec un porteur et Kim qui lui a été dirigé vers les quartiers de l'équipage. (Pour mémoire il y a quelques photos du bateau et de l'intérieur sur Wiki.)
Les cheminées fumaient et c'est tiré par un remorqueur , poussé par un toueur que nous nous sommes éloignés. Comme nous étions tous sur le pont pour l'appareillage le coup de sirène nous a tous abasourdi. Une fois que la terre s'est éloignée nous avons regagné notre cabine. Kim était là et nous a averti que dans la mer d'Arabie et que si nous désirions manger tranquillement , il n'y avait pas grand monde au restaurant.
-Vous avez beau être amariné je ne suis pas sur de moi et préfère vous servir avant d'être malade si je le suis.
Bon alors allons y mais j'avoue ne pas avoir très faim malgré que je sache que l'estomac plein et meilleur pour le mal de mer.
Au pont au dessus, il y avait du monde qui prenait l'air, prémices d'un mal annoncé et nous sommes descendu cette fois dans la salle à manger presque vide. Les fauteuils espacés permettaient de s'installer avant de se tourner vers la table, les serviettes étaient larges du fait que nous nous trouvions éloignés de celle ci et Kim a fait le service. Le pauvre était un peu pâle et comme il avait revêtu la tenue traditionnelle pour servir, il attirait les regards. Restant près de nous et attentif à nos besoins il ne répondait pas aux diverses demandes des passagers, laissant ce rôle aux serveurs habituels.
Tant qu'il a été occupé tout a bien été et il a bien travaillé. Puis il s'est aperçu que le bateau ne roulais pas pas mais tanguait et que quand il se tenait face à l'avant il se sentait mieux il s'est amélioré.
La carène additionné à la vitesse atteinte nous faisait plonger sans la vague et remonter un peu comme une balançoire. Le mouvement était même amusant pour nous, un peu comme à une fête de la bière. Le cuisinier ayant prévu des plats solides, sans sauce, l'assiette fixée par un astucieux système de ressorts sur les côtés, à part le service forcément plus long tout allait bien.
J'ai hélas bien vu Dothée pâlir de temps en temps, sa grossesse n'arrangeait pas les choses. J'ai donc décidé de monter un moment sur le pont avec elle. Se cramponnant à mon bras, elle s'est excusée d'être de piètre compagnie. Je l'ai réconforté de la seule façon que je connaissais. La tenant au bastingage je me suis mis derrière elle et elle a bien du sentir le désir que j'éprouvais quand je me suis appuyé sur ses fesses.
De coté elle a eu un sourire. Tu ne penses vraiment qu'à ça mais je suis comme toi, seulement embarrassé en ce moment.
Ce n'est pas grave chère. Nous aurons le temps de nous rattraper. Mange encore un peu et je vais voir avec Kim pour trouver une solution pour que tu te reposes un peu. On est redescendu à la salle à manger. Pendant qu'elle s'installait , j'ai demandé à Kim une solution. Il m'a amené à nos cabines et m'a montré un système qui par des cloisons amovibles permettait de laisser une partie isolée pour qu'elle puisse dormir pendant que...nous nous amuserions à nos jeux sexuels.
Je suis remonté finir de manger et une fois tout rassasiés on est retournés chez nous. Je leur ai montré le système amovible aussitôt adopté par Dothée qui sans gêne aucune s'est mise nue avant de s'allonger, laissant le hublot ouvert pour profiter de l'air que fournissait la vitesse du bateau. On a refermé pour la laisser tranquille sachant qu'elle pouvait ouvrir de son coté.
John qui savait ce qui allait se passer s'est vite mis nu, peloté de partout en nous déshabillant , gêné par nos mouvements sur son corps il a été long. Sa pudeur toute britannique l'a fait mettre Kim nu en dernier.
Ce n'était pas la taille du sexe de Kim qui le gênait mais le fait qu'il soit un natif indien. Kim a été le premier à lui faire comprendre qu'il n'était qu'une petite chienne à bites et lui a fourré son sexe en bouche.
-Suce on sait tout ici que t'es fait pour la bite. Relève les fesses pour montrer à Eric et Tim. Remue pour bien leur montrer où tu veux qu'ils s'introduisent.
Il a relevé les jambes et retenu par la bite de Kim il a écarté les fesses à deux mains, toute honte bue.
Pour une fois j'ai joué de mon privilège et après avoir craché et enduit de salive son anus bien ouvert je l'ai pris, le poussant sur la queue de Kim. Celui ci , gentil garçon a laissé la place à Tim et s'est accroupi sous John pour sucer son sexe.
-Comme tu n'es qu'une femelle tu n'as pas à jouir dans ma bouche. Il a saisi le sac de couilles et serré entre ses doigts faisant raidir et violacer son sexe. On l'a bourré comme le sac à jus qu'il était , jouissant dans ses trous. Ce n'est qu'à la fin après que Kim lui ai arrosé le visage de ses jets de foutre qu'il a pu se branler tête basse.
J'ai demandé à Kim comment se passait les moments dans le quartier de l'équipage mais il a balayé d'un geste.
-On est nombreux à être indiens et comme je me change chez vous pour vous servir personne ne pose de questions. Ceci dit il y a de la chair si tendre que si vous l'aviez connu avant moi, nul doute que le pauvre serait passé à la casserole. Je dis le pauvre mais c'est si bon qu'il ne se serait pas plaint. En tout cas les autres ne se gênent pas pour lui caresser les fesses.
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