Sir Eric 45
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Sir Eric 45
Je suis allé voir les deux autres compartiments, John était embroché par Tim et Kim et n'avais pas l'air malheureux. Le lit pas assez large pour trois, j'ai envoyé Kim rejoindre Lisar. Et suis revenu voir Dothée.
Je pense que tu as très bien fait pour Lisar, il est fait pour devenir Lisa. Comme à Paris nous aurons du temps pour prendre la ligne mi-rail mi-bateau jusqu'à Douvres tu pourras voir quelques boutiques ou les vendeuses se feront un plaisir d'équiper Lisar en Lisa. Ne lésine pas sur la dentelle J'aime te voir avec et Lisa sera parfaite aussi! Je te donne quelques lettres de change pour payer les achats et note leur adresse si elle est bonne pour de futurs achats.
J'ai fini par m'endormir collé à elle, ma queue dans ses fesses. J'adorais ça quand j'étais fatigué et le bruit des roues métalliques sur les rails était hypnotisant. Une douce sonnette nous a réveillé annonçant le petit déjeuner j'étais encore entre les fessees de Dothée et j'ai bandé à l'intérieur ne tardant pas à jouir dans ses fesses. J'ai commencé à m'habiller. Par la fenêtre le paysage changeait, plus industriel, moins de près et de fermes. Une fois prêt je suis passé voir les garçons. Ils s'étaient habillés et une fois Dothée prête, nous nous sommes dirigés vers le wagon restaurant. Les premiers venus repartaient et nous avons pu occuper deux tables , une à deux places et une de quatre.
En attendant les boissons et viennoiseries J'ai prévenu que la température baissant tout le monde devait porter un pantalon. John en prêtera un à Lisar qui est à peu près de la même taille. Nous allons à l'arrivée laisser Lisar et Dothée faire quelques courses pendant que vous transporterez les malles par des chariots aménagés pour jusqu'à la gare Saint Lazare, je serais avec vous.
On a déjeuné fort bien de petits pains comme sortis du four avec les croissants fondants avec le café avant de lever le camp et libérer les tables. John est venu avec Lisar essayer des pantalons. Ce n'était pas la merveille mais disons que c'était convenable. Dothée a éxigé que Lisar ne porte rien sous le pull en laine ni sous le pantalon. La laine à ceci de bien qu'elle gratte contre la peau et que ses petits tétons pointaient un peu ce qui nous a fait sourire. Lui par contre se retenait de ne pas bander ce qui aurait été visible sans slip.
Sans que nous nous en apercevions le train s'était arrêté le long du quai le plus à droite, à l'écart et nous sommes descendus réquisitionner une des charrettes garées au bord du quoi pour y faire passer nos malles et nos valises. Le porteur avait demandé un fiacre pour nous accompagner à l'autre gare et un autre pour Dothée et Lisar qui devrait les suivre jusqu'à la gare après les achats.
Dothée qui avait lu et fort attentivement le guide du voyageur anglais à Paris lui a donné la direction de Pigalle qui avait la réputation des boutiques les plus achalandées en articles féminins de luxe. Nous somme partis chacun de notre coté.
Lisa m'a raconté après avoir pénétré dans une boutique, rouge de honte et d'excitation.
Deux femmes rangeaient des articles dans des boîtes et en levant la tête l'une a appelé.
-Jean Marc, t'as un client. Nous on va voir avec madame. Que peut on faire pour vous madame?
D'abord amener ce jeune homme que je souhaite travestir et choisir pout moi même des sous vêtements aguichants pour faire plaisir à mon mari.
-Vous êtes bien tombées pour vous deux. Prenez l'escalier an colimaçon jusqu'au premier vous serez tranquille, Jean Marc le patron est habitué à ce genre de demande et vous ne serez pas dérangés.
En passant elles ont bien vu que Dothée n'avait pas de culotte ce qui les a fait pouffer. Le nommé Jean Marc était en discussion avec un plus jeune que lui mais nous a accueilli de suite. J'ai entendu votre demande et je devine à votre accent que vous n'êtes pas de notre pays, mais je manque à mes devoirs, prenez place sur ces chaises. Le plus simple je pense est de commencer par vos envies pendant que nous prenons les mesures de ce jeune homme.
Le plus jeune était très peu viril et m'a demandé d'ôter mon pull et mon pantalon. A peine surpris de me voir nu dessous. De son mètre de couturière il a pris les mesures de mon torse , frôlant au passage mes tétons qui n'avaient pas besoin de ça après la laine. Il a inscrit les mesures puis le tour de taille et la hauteur de jambe, sa tête juste devant mon sexe.
Il a eu une hésitation puis a noté ces mesures là aussi. Pendant ce temps le plus âgé parlait à Dothée.
-La couleur est importante autant que les formes et la matière. Vous avez une préférence? Rouge, blanc, noir?
-Je vous conseille le rouge comme pour attirer les taureaux dans l'arène. Nous avons des culottes ou des strings. Dans votre état je ne vous conseille pas la gaine mais un couturier maintenant très connu a libéré la femme des corsets, un nomme Poiret et vous pourrez respirer sans gêne tout en étant attirante. Pour lui, ce n'est pas pareil et je pense que vous voulez faire ressortir ses formes. Le corset s'impose pour son cas et une culotte faite avec un lien entre les cuisses qui retiendra l'objet de la reproduction dans un état de repos. Michel va nous en montrer une. Pensez au bas et au porte jarretelle, c'est attrayant pour qui voit.
-Voilà, c'est fin comme tout, léger, en dentelle de Calais et laisse voir les fesses. La petite ficelle que vous voyez passe entre les cuisses et se tend sur le gland, maintenant celui ci entre les cuisses et si il avait des pensées disons érotique, le sexe tendra la ficelle et dévoilera la raie encore plus malgré lui.
C''est parfait pour lui, et un corset du genre qui se lace derrière avec de l'aide et remonte le peu de seins?
-Ha là nous avons un corset avec un rembourrage qui remonte la poitrine donnant la parfaite illusion d'une poitrine de jeune fille.
Il parlaient de moi comme d'un objet et j'imaginais porter ça. Je n'en pouvais plus et j'ai eu une érection impossible à maîtriser ce qui a fait sourire les deux hommes.
-Je suppose que vous livrez les commandes à l'étranger aussi?
-Bien sur , discrétion et efficacité sont nos deux maîtres mots. Je vous enverrais des catalogues de nos fournisseurs.
-Le temps que vous prépariez tout cela dans un carton discret je passe à la banque que vous avez en face , changer des lettres contre de l'argent français. Je vous laisse Lisar , étranger venant d'Inde. Il a son coté mâle comme son coté femelle. Profitez en, même si je ne suis pas longue, j'attendrais un peu. Il ne va pas sortir dans cet état.
Je suis resté nu bandé et le plus vieux s'est mis à genoux pour me sucer pendant que le minet après s'être branlé m'a penché en avant pour me lécher le cul et cracher dessus , étalant la salive sur ma rondelle et branlant mon trou d'un doigt puis assez vite de deux.
-T'es habitué à te faire mettre comme une lopette et ton cul me fait envie alors autant en profiter. Il était juste équipé comme j'aimais , pas trop long ni trop épais, me faisant frémir dans ses va et vient. Ma tête suivait son instinct et j'aimais la sensation de plénitude. Il se sont retirés juste au moment ou leurs sexes dégorgeaient leur liquide, aspergeant mes fesses et moi le visage de celui qui pompait. Après un rapide essuyage le plus jeune m'a passé en accord avec le plus âgé un string très fin avec un anneau placé juste au niveau de mon anus. Je me suis habillé, Dothée attendait en bas pour régler. J'ai pris le sac "au chic parisien" et on est parti dans le fiacre qui attendait.
Je pense que tu as très bien fait pour Lisar, il est fait pour devenir Lisa. Comme à Paris nous aurons du temps pour prendre la ligne mi-rail mi-bateau jusqu'à Douvres tu pourras voir quelques boutiques ou les vendeuses se feront un plaisir d'équiper Lisar en Lisa. Ne lésine pas sur la dentelle J'aime te voir avec et Lisa sera parfaite aussi! Je te donne quelques lettres de change pour payer les achats et note leur adresse si elle est bonne pour de futurs achats.
J'ai fini par m'endormir collé à elle, ma queue dans ses fesses. J'adorais ça quand j'étais fatigué et le bruit des roues métalliques sur les rails était hypnotisant. Une douce sonnette nous a réveillé annonçant le petit déjeuner j'étais encore entre les fessees de Dothée et j'ai bandé à l'intérieur ne tardant pas à jouir dans ses fesses. J'ai commencé à m'habiller. Par la fenêtre le paysage changeait, plus industriel, moins de près et de fermes. Une fois prêt je suis passé voir les garçons. Ils s'étaient habillés et une fois Dothée prête, nous nous sommes dirigés vers le wagon restaurant. Les premiers venus repartaient et nous avons pu occuper deux tables , une à deux places et une de quatre.
En attendant les boissons et viennoiseries J'ai prévenu que la température baissant tout le monde devait porter un pantalon. John en prêtera un à Lisar qui est à peu près de la même taille. Nous allons à l'arrivée laisser Lisar et Dothée faire quelques courses pendant que vous transporterez les malles par des chariots aménagés pour jusqu'à la gare Saint Lazare, je serais avec vous.
On a déjeuné fort bien de petits pains comme sortis du four avec les croissants fondants avec le café avant de lever le camp et libérer les tables. John est venu avec Lisar essayer des pantalons. Ce n'était pas la merveille mais disons que c'était convenable. Dothée a éxigé que Lisar ne porte rien sous le pull en laine ni sous le pantalon. La laine à ceci de bien qu'elle gratte contre la peau et que ses petits tétons pointaient un peu ce qui nous a fait sourire. Lui par contre se retenait de ne pas bander ce qui aurait été visible sans slip.
Sans que nous nous en apercevions le train s'était arrêté le long du quai le plus à droite, à l'écart et nous sommes descendus réquisitionner une des charrettes garées au bord du quoi pour y faire passer nos malles et nos valises. Le porteur avait demandé un fiacre pour nous accompagner à l'autre gare et un autre pour Dothée et Lisar qui devrait les suivre jusqu'à la gare après les achats.
Dothée qui avait lu et fort attentivement le guide du voyageur anglais à Paris lui a donné la direction de Pigalle qui avait la réputation des boutiques les plus achalandées en articles féminins de luxe. Nous somme partis chacun de notre coté.
Lisa m'a raconté après avoir pénétré dans une boutique, rouge de honte et d'excitation.
Deux femmes rangeaient des articles dans des boîtes et en levant la tête l'une a appelé.
-Jean Marc, t'as un client. Nous on va voir avec madame. Que peut on faire pour vous madame?
D'abord amener ce jeune homme que je souhaite travestir et choisir pout moi même des sous vêtements aguichants pour faire plaisir à mon mari.
-Vous êtes bien tombées pour vous deux. Prenez l'escalier an colimaçon jusqu'au premier vous serez tranquille, Jean Marc le patron est habitué à ce genre de demande et vous ne serez pas dérangés.
En passant elles ont bien vu que Dothée n'avait pas de culotte ce qui les a fait pouffer. Le nommé Jean Marc était en discussion avec un plus jeune que lui mais nous a accueilli de suite. J'ai entendu votre demande et je devine à votre accent que vous n'êtes pas de notre pays, mais je manque à mes devoirs, prenez place sur ces chaises. Le plus simple je pense est de commencer par vos envies pendant que nous prenons les mesures de ce jeune homme.
Le plus jeune était très peu viril et m'a demandé d'ôter mon pull et mon pantalon. A peine surpris de me voir nu dessous. De son mètre de couturière il a pris les mesures de mon torse , frôlant au passage mes tétons qui n'avaient pas besoin de ça après la laine. Il a inscrit les mesures puis le tour de taille et la hauteur de jambe, sa tête juste devant mon sexe.
Il a eu une hésitation puis a noté ces mesures là aussi. Pendant ce temps le plus âgé parlait à Dothée.
-La couleur est importante autant que les formes et la matière. Vous avez une préférence? Rouge, blanc, noir?
-Je vous conseille le rouge comme pour attirer les taureaux dans l'arène. Nous avons des culottes ou des strings. Dans votre état je ne vous conseille pas la gaine mais un couturier maintenant très connu a libéré la femme des corsets, un nomme Poiret et vous pourrez respirer sans gêne tout en étant attirante. Pour lui, ce n'est pas pareil et je pense que vous voulez faire ressortir ses formes. Le corset s'impose pour son cas et une culotte faite avec un lien entre les cuisses qui retiendra l'objet de la reproduction dans un état de repos. Michel va nous en montrer une. Pensez au bas et au porte jarretelle, c'est attrayant pour qui voit.
-Voilà, c'est fin comme tout, léger, en dentelle de Calais et laisse voir les fesses. La petite ficelle que vous voyez passe entre les cuisses et se tend sur le gland, maintenant celui ci entre les cuisses et si il avait des pensées disons érotique, le sexe tendra la ficelle et dévoilera la raie encore plus malgré lui.
C''est parfait pour lui, et un corset du genre qui se lace derrière avec de l'aide et remonte le peu de seins?
-Ha là nous avons un corset avec un rembourrage qui remonte la poitrine donnant la parfaite illusion d'une poitrine de jeune fille.
Il parlaient de moi comme d'un objet et j'imaginais porter ça. Je n'en pouvais plus et j'ai eu une érection impossible à maîtriser ce qui a fait sourire les deux hommes.
-Je suppose que vous livrez les commandes à l'étranger aussi?
-Bien sur , discrétion et efficacité sont nos deux maîtres mots. Je vous enverrais des catalogues de nos fournisseurs.
-Le temps que vous prépariez tout cela dans un carton discret je passe à la banque que vous avez en face , changer des lettres contre de l'argent français. Je vous laisse Lisar , étranger venant d'Inde. Il a son coté mâle comme son coté femelle. Profitez en, même si je ne suis pas longue, j'attendrais un peu. Il ne va pas sortir dans cet état.
Je suis resté nu bandé et le plus vieux s'est mis à genoux pour me sucer pendant que le minet après s'être branlé m'a penché en avant pour me lécher le cul et cracher dessus , étalant la salive sur ma rondelle et branlant mon trou d'un doigt puis assez vite de deux.
-T'es habitué à te faire mettre comme une lopette et ton cul me fait envie alors autant en profiter. Il était juste équipé comme j'aimais , pas trop long ni trop épais, me faisant frémir dans ses va et vient. Ma tête suivait son instinct et j'aimais la sensation de plénitude. Il se sont retirés juste au moment ou leurs sexes dégorgeaient leur liquide, aspergeant mes fesses et moi le visage de celui qui pompait. Après un rapide essuyage le plus jeune m'a passé en accord avec le plus âgé un string très fin avec un anneau placé juste au niveau de mon anus. Je me suis habillé, Dothée attendait en bas pour régler. J'ai pris le sac "au chic parisien" et on est parti dans le fiacre qui attendait.
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