Sir Eric 46 - histoire érotique

On est arrivé à la gare où Eric lui même attendait, impatient.
Vous avez pris le temps! J'ai failli faire partir les garçons et les bagages sans vous. Venez vite, vu les coups de sifflet rageurs on a juste le temps de monter dans le dernier compartiment.
-Quel changement de moyens! Ce sont des wagons de leur deuxième empire! Il n'y a même pas de couloir.
Ho c'est pareil du coté anglais vous verrez. Alors comment c'est passé la visite dans cette boutique?
-Ils sont très aimables et je recevrais régulièrement des catalogues de chez eux.
Mais encore. Lisa, arrête de te tortiller sur cette banquette!
-Ho vous m'avez appelé Lisa! Mais c'est le cadeau du plus jeune des vendeurs auquel je ne suis pas habitué.
Et bien montre, tu vois bien que l'on est seul.
J'ai rougi en baissant mon pantalon, le string en dentelle devant ne cachait rien mais quand il m'a retourné et vu l'anneau il a eu un sourire. Ce n'est pas un petit anneau il est large et te garde le trou ouvert. Ces français ne pensent qu'à ça et n'ont pas tort. Une vrai cible et je comprend tes tortillements. Tu garderas ça jusqu'à Londres ou nous trouverons un perruquier. Il y en a pour les vieilles ladies qui veulent se rajeunir. Comme cela se passe dans des salons discrets nous choisirons tous ensemble.
Enfin Dothée, toi et moi.
-Et je me changerais où?
Dans un wagon comme celui ci. Tu monteras homme et descendras femme. Tu seras Miss Lisa. Ha voilà Calais. Il faut descendre du train et passer le Channel avec le ferry et reprendre un autre train jusqu'à Londres. L'aller était plus simple que le retour. Après encore changement de train. Les garçons, aidés par John et Lisar se sont occupés des malles et valises pendant que nous montions sur le pont. Pas très loin on voyait dominant le paysage le beffroi de la mairie de Calais. Du reste, je n'ai retenu que l'odeur de marée et de vase.
Enfin le bateau a déhalé et de vigoureux rameurs sur des esquifs nous ont fait passer la jetée. Les voiles se sont gonflées en prenant le vent et assez vite nous avons perdus de vue le canot avec ses rameurs. La mer était formé et le bateau a gîté accélérant et laissant derrière lui un flot d'écume. Notre groupe était habitué et amariné et nous avons pu déjeuner à l'abri en descendant par un roof à sifflet jusqu'à la salle à manger.
D'autres passagers n'ayant pas notre chance vidaient leurs estomacs par dessus bord. Ce n'est qu'un peu à l'abri des côtes anglaises que la vitesse a diminué et une fois assez proche les voiles affalées un premier canot a amené un commissaire des douanes vérifier les passeports pendant que d'autres canots passaient des aussières pour nous hâler vers le poste de débarquement.
Sur le quai après le poste de douane un train attendait, guère plus luxueux que le train français. On est allé s'installer en tête dans un wagon de première , cette fois j'ai pris avec Dothée et Lisar, John, laissant les bagages à Kim et Tim. L'attente fut longue , le temps que le contrôleur ouvre chaque compartiment et vérifie les tickets. Là encore, pas de couloir, chaque cabine était séparée de la suivante.
Une fois le train démarré j'ai fait mettre nu John et Lisar. J'ai échangé le string avec l'embout dans les fesses de John. Dothée déballait les paquets du "chic parisien" et aidait John à habiller Lisar. Le corset bien serré, j'ai vu Lisar rougir.
Apprends à respirer doucement sans forcer , tu auras le ventre serré mais avec la forme, tes petits seins vont remonter faisant un poitrine de fille. Là, c'est mieux, tu verras que ta voix va être plus fluette et plus lente, comme il convient à une miss.
-Assieds toi que je te passe tes bas à dit Dothée, tu le feras au début avec John pour ne pas avoir à te pencher mais très vite tu le feras seule. Il ne fera que serrer le corset. Je le crois assez sado-maso pour faire ça très bien. Là, ils sont tendus, lève toi que je les accroche au bas du corset il y a des petites pattes pour les attacher. Humm tu fais envie Lisar mais pour être parfaite Il faut passer la culotte en dentelle et je vais le faire mais par la suite Eric le fera aussi bien.
Elle a remonté la ceinture au niveau des cuisses avant de passer le lien prévu pour cet usage juste sous le gland. La pauvre Lisa bandait comme un fou et John est intervenu pour le faire débander en le suçant et avalant plusieurs fois pour que la queue soit malléable. Dothée a repassé le noeud et a remonté la ceinture, le lien a tiré la queue entre ses cuisses. L'illusion était presque parfaite sur le devant.
Avec ses petits poils qui se rejoignaient par dessus la chair de la queue il était difficile de croire à un garçon. Ce ne devait être douloureux que lors d'idées sexuelles. La robe assez classique avait pourtant un décolleté assez large qui augmentait le coté féminin. On devinait la naissance de sein avec la peau remontée artificiellement. Des chaussures sans talons comme il convient à une jeune fille donnait un rendu parfait.
Tu es parfaite comme ça lisa mais il faut que tu reprennes ton aspect masculin. Après le passage à Londres, tu auras une perruque et tu seras pour nous tous miss Lisa. Elle a rosi en ôtant tout de sa féminité artificielle. Revenu garçon mais encore nu elle est venue près de moi me glisser à l'oreille qu'elle m'adorait d'avoir découvert son coté féminin.
Il était rayonnant redevenu homme et queue libre. John a aidé Dothée et Lisa a tout replier correctement. On arrivait en gare. Il fallait encore changer de train pour l'Ecosse mais on pouvait partir de Waterloo. On avait du temps et on est allé voir un perruquier. Après plusieurs essayages j'ai trouvé une chose à mon goût. A la fois fille et lope. Et comme il y en avait deux je les ai pris toutes deux. Les cartons étaient gros mais pas lourds.
Il était temps de prendre le train et de changer la vie de Lisar. J'ai envoyé un télégramme à père lui disant où j'arrivais et on a eu le même genre de wagon. Je n'aime pas l'Angleterre mais il y a des paysages superbes. En fait c'était les anglais que je ne supportaient pas!
Après quelques arrêts dans la capitale immense on a été tranquille et j'ai demandé à Lisa de se changer. L'effet de surprise était passé mais l'état avec la perruque dans les reflets des vitres du compartiment m'a obligé à le branler rapidement sans sentiments pour le vider. Je lui ai fait lécher ma main et cette fois le ruban a retenu le gland dans la fente des fesses. Lisar n'était plus que Lisa. Dothée avait bien suivi et s'est penchée sur moi, m'écartant les cuisses et baissant ma braguette elle m'a sucé en me regardant. C'est à cheval sur moi qu'elle a fini.
-Tu aimes ça cochon! Ce n'était pas les fraises qu'elle voulait mais ma queue et ça ne me déplaisait pas! En me voyant aimer Dothée , j'ai vu la robe de Lisa se tendre, je l'ai soulevé derrière et le caleçon en dentelle était baissé sur son postérieur. Le gland se dressant avait attiré la ceinture et on voyait son anus palpiter.
J'avais de la réserve et mon gland était gras des secrétions de Dothée. Je l'ai poussé en avant sur la banquette et me suis emmanché dans ce cul qui pour lui serait son sexe principal.
On avançait poussivement le chemin de fer vers l'Ecosse n'était pas très avancé et les courbes nombreuses. A un des arrêts, j'ai fait descendre Lisa pour ses besoins naturels mais j'ai souri quand je l'ai vu aller coté homme et d'un coup de sifflet je lui ai fait signe d'aller de l'autre coté. John qui était aussi descendu ne l'a pas reconnu et quand tout deux sont revenus je les ai fait monter avec moi, Dothée allant avec Tim et Kim se reposer.
La surprise a été pour John de reconnaitre Lisar en Lisa. Toute fière, Lisa a mis la main aux fesses de John.
-Déjà fait prendre par un mec comme moi lopette? Non? T'es là pour vider des bites alors à genoux et fourre ta tête entre mes cuisses. Pompe, je te dirais d'arrêter. Il m'a regardé, je peux non?
Bien sur Lisa , assume tes deux sexes.