Sir Eric 7 - histoire érotique

Je n'avais jamais vu mon père diminué à ce point mais il était aussi insouciant.
-Une simple crise de rhumatisme, le crachin et le vent ne me réussisse pas. Je t'ai vu arriver avec un garçon?
Oui Il avait un gros problème à l'université , ses parents se sont ruinés en bourse et ne pouvaient plus payer une année supplémentaire alors je lui ai évité la honte en le prenant à mon service comme il l'était au bahut. Vous avez du connaître ça vous aussi entre un jeune et un ancien, il faut leur apprendre le service et à obéir. Qui plus est il m'a bien servi en changeant mes chambres à air. Les routes sont détestables.
-Bah tu es chez toi ici et si il te rend service mets le sur le rôle d'emploi pour que chacun le sache. Parlons plutôt de ta Dorothée. Je l'ai fait sauter sur mes jambes il y a une quinzaine d'années. Je présume qu'elle a changé.
Merveilleuse père, depuis le rallye organisé il y a quelques temps je pensais à elle et il a fallu par un concours de circonstance que son frère soit fans le même bahut que moi pour que nous parlions d'elle. On s'est revu car elle suit ses études à Edimbourg aussi et elle prenait le train pour rentrer avec une fille comme il faut hier matin.
-Bien je vois que les convenances sont sauves. Nous avons convenus avec son père que vous puissiez vous voir à mi-chemin de nos deux demeures. Il subsiste une ancienne chapelle à la limite de nos deux propriétés que j'ai toujours entretenu pour l'élégance de sa construction. Elle m'a longtemps servi de lieu de rendez vous. Ta pauvre mère l'a surement deviné , je rencontrais là de jeunes demoiselles. J'ai fait remettre en état les lieux depuis ton appel téléphonique et tu auras un peu de confort. Ne profites pas de ma gentillesse pour faire le fou.
Non père, je vous rassure, je n'ai pratiqué que , heu, le coïtus interrruptus. Il a eu un sourire narquois.
-Bah vous vous entendez bien et son père ne fait pas d'objections. La corbeille est belle, en réunissant les deux propriétés vous serez pratiquement le troisième propriétaire terrien. Je te verrais au repas, je suppose que tu as besoin de te délasser de la route et de te rendre propre.
Georges avait déjà pris les choses en main et avait libéré une petite chambre mitoyenne pour Steve et à eux deux avaient déballés mes malles et tout rangé sur cintre ou dans une vieille armoire.
-Je vous laisse sir, le jeune Steve vous aidera mieux que moi maintenant. Il faut qu'il soit et reste à votre service. La porte ici lui donne accès à votre chambre mais il y a un verrou pour vous isoler. Il est sorti, laissant Steve abasourdi.
-Je ne m'imaginais pas votre maison comme ça! C'est immense!
Attends demain matin tu verras aussi la partie médiévale, assez bien conservée. Tu montes à cheval?
-Pas très bien mais si la bête est docile je m'en sors.
Bien autant prendre de bonnes habitudes, ici tu es chez nous et à toi de tout conserver en état. Toi seul t'en occupes. Je vérifierais la propreté régulièrement. A propos , tout à l'heure quand tu étais nu j'ai vu tes fesses et plus et tu es assez féminin de ce coté là. Après le souper tu essayeras un des culottes de ma soeur disparues, celle à dentelle, elle devrais te plaire.
Il avait rougi mais était à ce moment là, rouge sang.
Quoi? Tu ne crois pas que ça t'iras?
-Si bien sur mais je n'ai jamais mis une culotte de fille.
Il faut un début à tout. Je suis sur que cette idée t'excite et une fois les portes fermées considère toi comme une gamine mal élevée qui cherche à coucher pour vivre.
-Ho sir!
Et bien quoi? Tu fais tout pour te faire remarquer alors obéi comme une fille sage. Ici mon père a des droits à la limite de la féodalité. et j'en hériterais un jour. Tu peux aussi t'en aller si tu le souhaites.
-Non, je n'ai jamais fait ça c'est tout mais si c'est votre désir je le ferais sir.
Bien , ce soir tu manges avec les domestiques, tu feras connaissance, ils sont tout dévoués à père. A toi de te faire apprécier, tu verras ils sont réservés mais sympathiques. Vous mangez avant nous, tu feras le service derrière moi, Georges fera celui de père. Ha , la tenue pour le service est écossaise traditionnelle. Georges a du mettre ce qu'il fallait pour te changer. On a un peu de temps je vais te montrer l'essentiel.
Descendant, on est passé par la cuisine où tout étaient heureux de me voir puis sorti dans la cour je lui ai fait faire le tour des bâtiments, Ici la tour de gué et à coté le donjon avec ses mures de cinq mètres d'épaisseur, l'accès se fait par une échelle que l'on retirait en cas d'attaque. Enfin les écuries avec les deux étalons, celui de mon père et le mien. Georges le montait pour accompagner mon père mais il me reconnaît très bien.
Dans la stalle plus loin deux poulinières et un hongre gentil comme tout qu je te destine pour m'accompagner.
Il les détaillait curieux des détails. Surtout intéressé par leur sexes.
Ha, ce ne sont pas des tiges de gamin quand elles sortent du fourreau. Au fait, avant que je rentre me coucher, rase tes poils pubiens, avec la dentelle on les verrait et je n'aimerais pas.
-Euh en sorte, vous me voulez féminin le soir?
Oui en effet tant que Dorothée n'est pas là.
-Je servirais aussi votre sexe?
Bien sur tu le connais bien je sais. Je crois même que tu aimes le servir.
-Vous devinez tout sir! J'en ai honte. Mes fesses aussi?
Non pour celle-ci il faudra attendre.
-Même si j'étais d'accord?
Oui mais je te fournirais des objets achetés à Londres dont tu te serviras devant moi uniquement. Il est temps pour toi de t'habiller. Allons dans ta chambre. Regarde, Georges a pensé à tout. Enfile cette chemise longue et ce tartan à nos couleurs. Non, ne mets rien dessous, il vérifiera. Enfin les chaussettes montantes et les petits souliers. Prends cette ceinture large elle retiendra le tartan avec la bretelle croisé, avant qu'il soit cousu à ta taille.
Bien viens m'aider à m'habiller de même Je me suis mis nu. Ne fixe pas ma queue tu l'auras de plus près ce soir. Pense à ce que tu fais. Le tartan d'abord . Là bien, continue. Devant la glace j'ai rectifié quelques détails. La cloche sonnait. Aller descend manger je vais boire un peu de notre whisky avec père.
Je l'ai retrouvé toujours dans son fauteuil avec un sourire.
-Je vois que tu as mis notre tenue , tu es un bon garçon. Un adulte maintenant. Tu devras au fur et à mesure prendre les rênes du domaine. Et pour commencer , la bouteille est toujours à la même place, sers nous. Le breuvage ambré sentait toute mon enfance, la tourbe,la bruyère avec une pointe de sel du au lieu où était mis en fût l'alcool, ouvert, face au vent venu de la mer. Il me regardait humer avec le bonheur d'un bon travailleur.
J'ai acheté quelques acres en bord de mer lors d'une succession et j'y ai mis quelques fûts. Comment le trouves tu?
-Différent père, la note de sel qui traverse le bois donne un goût incomparable.
-Nous sommes seul Georges est avec les autres au repas. Je me devais de te dire que les liens entre Georges et moi remontent à nos années d'études où il a été mon boy, ses études payèes par mon père ont cessé en même temps que j'obtenais mon diplôme et les relations , toujours cachées à ta mère ont cessé il y a peu quand je n'ai plus pu. Alors je comprends l'intérêt que tu portes à ton jeune Steve. Les amours masculins doivent rester cachés.
Bien voilà qui est dit et aussitôt oublié je te connais. Lui sera jaloux un moment puis ça passera. Alors cette Dorothée?
-Parfaite père, délurée et portée vraiment sur la chose, je crois avoir été repéré par elle et même attendu avant de la voir. Auriez vous arrangé les choses?
Il a eu un petit rire.
-Qui sait, peut être elle est en pleine floraison et toi pratiquement en rut, des fois une simple photo fait avancer les choses. Il a failli s'étouffer de rire. Si elle te plait c'est le principal, il y a des fois des mariages qui font deux malheureux mais ce n'est pas le cas tant mieux. Profite de la vie! Demain, j'irais avec toi le matin , te montrer la chapelle. Emmène ton boy, moi je rentrerais avec Georges il saura retenir les élans de l'étalon. Ha mais les voilà, il faut passer à table.