Sir Eric 8
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sir Eric 8
A table Steve était tout rouge mais a fait le service en suivant les gestes de Georges, tout s'est bien passé. Après l'alcool obligatoire ils sont monté sur un signe de père. Il a eu un petit rire.
-Je vois qu'il ne connaissait pas le coup de la glace.
Surement mais l'usage est ainsi . On a siroté doucement , ils avaient allumé un feu et l'humidité qui tombait faisait ressortir les parfums de la vieille maison. Elle semblait revivre elle aussi. Entre nous les sentiments n'avaient pas besoin de s'exprimer et on est resté silencieux. Deux lévriers étaient entrés et couchés entre père et moi. J'ai voulu l'aider pour se lever mais il a refusé et lentement s'est mis droit comme un I.
-Ne t'inquiètes pas, je sais comment soigner mes rhumatismes et tu es là. De suite je vais mieux. Un petit rire et: Je te la souhaite bonne et dure.
Merci père. Sa chambre étant en bas je l'ai laissé pour monter à l'étage.
Dans ma chambre, personne. Steevy?
Le verrou s'est déclenché et la porte s'est entrouverte. Steve me tournait le dos, juste sa petite culotte de dentelle sur ses fesses rebondies.
Ne fais pas l'enfant. Regarde moi. De face peut être troublé la dentelle ne cachait plus grand chose, son sexe tendu, tirait sur l'élastique de la ceinture.
Ici, tu seras ma Steevy. Approche, tu n'as jamais embrassé ni fille ni garçon?
-Non sir.
Ici entre nous je ne suis plus sir mais Raphael. Ton amant. Je l'ai pris par les hanches et me suis penché sur ses lèvres. Il les a de suite entrouvertes , ma langue contre la sienne je fouillais sa bouche et mes mains caressaient ses flancs puis descendant un peu, ses fesses. Il en tremblait comme une pucelle.
Allons Steevy laisse toi aller, je serais doux au début.
-Oui merci s.. Pardon, Raphael.
C'est mieux, mes doigts courraient sur ses hanches remontant sur les tétons bruns. Il a eu un petit gémissement. Je suis redescendu sur ses hanches faisant glisser la culotte. Il avait pris le temps de se raser et son sexe était beau, pointant du prépuce, comme j'aime. Je l'ai poussé vers le lit où il est tombé sur le dos.
Comme avec Dorothée j'ai léché son sexe , sucé jusqu'à la limite avant de relever ses jambes pour lécher ce trou commun aux femmes et aux hommes. Il n'en pouvait plus et a écarté bien grand ses cuisses. J'ai bien salivé pour faciliter le premier passage et soulevé ses cuisses, plaçant ainsi son anus à la hauteur de ma queue. Respire bien Steevy. Même les filles ont mal la première fois, regarde moi, ne ferme pas les yeux.
Je lisais son envie en même temps que sa peur quand j'ai posé mon gland sur son trou d'homme. Par à coups j'ai pénétré Steevy, je suivais ma progression dans ses yeux. D'abord grand ouvert et bouche pincée quand le gland forçait Puis les yeux un peu révulsés quand je suis entré au fond, collant mes couilles à ses fesses. Je lui ai laissé le temps de s'habituer à ma présence au fond de lui. Une larme pointait à son oeil.
Tu as mal?
-Non Raphael, j'imaginais pas ça! C'est drôle et très bon.
ce sera meilleur plus tard et après tu y seras habitué et ce sera bien. Je faisais de petits mouvement de bassin, lui tenant les mains de chaque coté de lui et il a commencé à gémir. Doucement d'abord puis au même rythme que mes coups de reins pourtant lents. D'un coup sans prévenir il a eu un : Hoooo. En même temps que son sexe se libérait de son jus. J'ai à mon tour lâché les vannes de mon plaisir ce qui m'a permis de me dégager de lui sans douleur pour lui.
Alors Steevy, bon ou mauvais?
Il a eu un grand sourire.
-Plutôt bon Raphael. Il a relevé la tête cherchant mes lèvres et on s'est embrassé.
Au fait, pourquoi étais tu si rouge quand tu es venu pour le service?
-Ha, oui, je ne savais pas pour la glace sous les jambes.
Un oubli surement mais comme ça Georges sait que tu es un homme! Il vérifie cela pour tous afin que la règle "sans sous vêtement" soit respectée.
-C'est gênant.
Habitues toi aux règles de la maison. Demain réveil assez tôt on va jusqu'à une ancienne chapelle aménagée en passant par un village. Il faut que tu connaisses les lieux. Tu n'auras pas mal aux fesses? Il a eu un sourire, Tu veux recommencer Raphael?
Tu t'habitues à te faire prendre , j'aime. Alors cette fois mets toi sur le ventre. J'ai tiré son sexe dur en arrière le faisant creuser les reins. Cette fois l'intromission a été plus facile mais il poussait de petit cris , sa queue frottait le matelas, l'excitant d'autant. Moi je me trouvais à toucher ses couilles avec les miennes. Excité j'y suis allé encore plus violemment et il a commencé à me demander d'arrêter mais je l'ai labouré jusqu'à me vider dans ses fesses.
Une fois retiré j'ai vu que ce petit con avait joui sur l'édredon.
Lèche! Tu ne vas pas laisser perdre ton sperme. Il s'est reculé pour lécher la trace humide. Il était beau fesses ouvertes et relevées. Son sexe je ne l'avais pas remarqué était recourbé vers son ventre.
Si tu n'as pas mal aux fesses demain profites de la promenade mon père même diminué est un vrai diable à cheval. Je me suis glissé sous la couette. Ce soir rejoins moi, le lit est large et réveille moi au premier lever du jour.
En fait c'est Georges qui nous a réveillé déjà prêt. Il a claqué les fesses de Steve.
-Toi habille toi vite et file aux écuries je m'occupe du fils du chef. Il se l'ai pas fait dire et mettant le tartan et une chemise est sorti. Georges a eu un sourire.
-Vous me rappelez des souvenirs tous les deux. Il est sorti mais vite revenu avec une desserte avec le café et un morceau de pâté froid. Les vieilles habitudes du déjeuner vous conviennent?
Allons Georges je pourrais être ton fils, Tutoie moi.
-Non sir cela pourrait m'échapper devant votre future ou ce petit jeune. Je me trompe où il vous convient?
En attendant la suite il va très bien. Il a bien le temps d'apprendre. Père m'a expliqué pour vous deux.
-Oui je sais, il me l'a dit hier soir. Besoin d'aide pour vous habiller? Je dois vous complimenter. Bébé vous étiez bien formés mais là! Les mots me manquent. Je vous retrouve en bas je dois aider votre père et vérifier le travail de votre ami.
Une fois parti, j'ai avalé le café et le pâté excellent pour la mise en forme du matin. Je me suis habillé comme un écossais doit l'être et suis descendu saluer père.
-Alors gamin, près à faire une bonne promenade , il fait beau, un temps idéal pour ça.
Ce n'est pas un temps écossais. On se croirait sur la côte d'azur.
-Allons tu sais bien que le temps change vite. Prends ta cape pour le vent. Moi j'ai mis de la chaude laine de mouton. Nos moutons écossais.
Oui père, y allons nous? J'ai hâte de voir ce lieu consacré maintenant à l'amour.
Dehors, l'étalon tenu par Georges, père est monté sur le montoir prévu à cet effet et s'est élevé sur son pure sang. Aussitôt Georges s'est élevé sur le sien de même que moi. Pour Steeve ce fut plus long mais une fois resserré la sous ventrière il a été prêt. On est sorti de la cour au pas ne prenant le petit trot que sur le centre de l'allée. Je m'étais placé derrière Steeve pour surveiller sa monte. Au trot on est assez vite arrivé dans un village, presque un hameau d'où les gens sont sortis nous voir.
Georges d'une voix tonnante m'a annoncé comme le fils du laird, j'ai été regardé comme un bête curieuse et très vite les regards se sont baissés. Juste eu le temps de repérer un jeune et une fille qui m'ont détaillé un instant. J'ai souri, une fois décrassés ils feraient de bons serviteurs.
On est reparti au petit trot puis au galop et au grand galop sur la lande, perdant de vue toute habitation jusqu'à un sommet ou se dressait une très beau bâtiment gothique. quoique petit. J'ai fait lentement le tour pour laisser le temps à Georges d'aider père à démonter et pénétrer dans les lieux.
-Je vois qu'il ne connaissait pas le coup de la glace.
Surement mais l'usage est ainsi . On a siroté doucement , ils avaient allumé un feu et l'humidité qui tombait faisait ressortir les parfums de la vieille maison. Elle semblait revivre elle aussi. Entre nous les sentiments n'avaient pas besoin de s'exprimer et on est resté silencieux. Deux lévriers étaient entrés et couchés entre père et moi. J'ai voulu l'aider pour se lever mais il a refusé et lentement s'est mis droit comme un I.
-Ne t'inquiètes pas, je sais comment soigner mes rhumatismes et tu es là. De suite je vais mieux. Un petit rire et: Je te la souhaite bonne et dure.
Merci père. Sa chambre étant en bas je l'ai laissé pour monter à l'étage.
Dans ma chambre, personne. Steevy?
Le verrou s'est déclenché et la porte s'est entrouverte. Steve me tournait le dos, juste sa petite culotte de dentelle sur ses fesses rebondies.
Ne fais pas l'enfant. Regarde moi. De face peut être troublé la dentelle ne cachait plus grand chose, son sexe tendu, tirait sur l'élastique de la ceinture.
Ici, tu seras ma Steevy. Approche, tu n'as jamais embrassé ni fille ni garçon?
-Non sir.
Ici entre nous je ne suis plus sir mais Raphael. Ton amant. Je l'ai pris par les hanches et me suis penché sur ses lèvres. Il les a de suite entrouvertes , ma langue contre la sienne je fouillais sa bouche et mes mains caressaient ses flancs puis descendant un peu, ses fesses. Il en tremblait comme une pucelle.
Allons Steevy laisse toi aller, je serais doux au début.
-Oui merci s.. Pardon, Raphael.
C'est mieux, mes doigts courraient sur ses hanches remontant sur les tétons bruns. Il a eu un petit gémissement. Je suis redescendu sur ses hanches faisant glisser la culotte. Il avait pris le temps de se raser et son sexe était beau, pointant du prépuce, comme j'aime. Je l'ai poussé vers le lit où il est tombé sur le dos.
Comme avec Dorothée j'ai léché son sexe , sucé jusqu'à la limite avant de relever ses jambes pour lécher ce trou commun aux femmes et aux hommes. Il n'en pouvait plus et a écarté bien grand ses cuisses. J'ai bien salivé pour faciliter le premier passage et soulevé ses cuisses, plaçant ainsi son anus à la hauteur de ma queue. Respire bien Steevy. Même les filles ont mal la première fois, regarde moi, ne ferme pas les yeux.
Je lisais son envie en même temps que sa peur quand j'ai posé mon gland sur son trou d'homme. Par à coups j'ai pénétré Steevy, je suivais ma progression dans ses yeux. D'abord grand ouvert et bouche pincée quand le gland forçait Puis les yeux un peu révulsés quand je suis entré au fond, collant mes couilles à ses fesses. Je lui ai laissé le temps de s'habituer à ma présence au fond de lui. Une larme pointait à son oeil.
Tu as mal?
-Non Raphael, j'imaginais pas ça! C'est drôle et très bon.
ce sera meilleur plus tard et après tu y seras habitué et ce sera bien. Je faisais de petits mouvement de bassin, lui tenant les mains de chaque coté de lui et il a commencé à gémir. Doucement d'abord puis au même rythme que mes coups de reins pourtant lents. D'un coup sans prévenir il a eu un : Hoooo. En même temps que son sexe se libérait de son jus. J'ai à mon tour lâché les vannes de mon plaisir ce qui m'a permis de me dégager de lui sans douleur pour lui.
Alors Steevy, bon ou mauvais?
Il a eu un grand sourire.
-Plutôt bon Raphael. Il a relevé la tête cherchant mes lèvres et on s'est embrassé.
Au fait, pourquoi étais tu si rouge quand tu es venu pour le service?
-Ha, oui, je ne savais pas pour la glace sous les jambes.
Un oubli surement mais comme ça Georges sait que tu es un homme! Il vérifie cela pour tous afin que la règle "sans sous vêtement" soit respectée.
-C'est gênant.
Habitues toi aux règles de la maison. Demain réveil assez tôt on va jusqu'à une ancienne chapelle aménagée en passant par un village. Il faut que tu connaisses les lieux. Tu n'auras pas mal aux fesses? Il a eu un sourire, Tu veux recommencer Raphael?
Tu t'habitues à te faire prendre , j'aime. Alors cette fois mets toi sur le ventre. J'ai tiré son sexe dur en arrière le faisant creuser les reins. Cette fois l'intromission a été plus facile mais il poussait de petit cris , sa queue frottait le matelas, l'excitant d'autant. Moi je me trouvais à toucher ses couilles avec les miennes. Excité j'y suis allé encore plus violemment et il a commencé à me demander d'arrêter mais je l'ai labouré jusqu'à me vider dans ses fesses.
Une fois retiré j'ai vu que ce petit con avait joui sur l'édredon.
Lèche! Tu ne vas pas laisser perdre ton sperme. Il s'est reculé pour lécher la trace humide. Il était beau fesses ouvertes et relevées. Son sexe je ne l'avais pas remarqué était recourbé vers son ventre.
Si tu n'as pas mal aux fesses demain profites de la promenade mon père même diminué est un vrai diable à cheval. Je me suis glissé sous la couette. Ce soir rejoins moi, le lit est large et réveille moi au premier lever du jour.
En fait c'est Georges qui nous a réveillé déjà prêt. Il a claqué les fesses de Steve.
-Toi habille toi vite et file aux écuries je m'occupe du fils du chef. Il se l'ai pas fait dire et mettant le tartan et une chemise est sorti. Georges a eu un sourire.
-Vous me rappelez des souvenirs tous les deux. Il est sorti mais vite revenu avec une desserte avec le café et un morceau de pâté froid. Les vieilles habitudes du déjeuner vous conviennent?
Allons Georges je pourrais être ton fils, Tutoie moi.
-Non sir cela pourrait m'échapper devant votre future ou ce petit jeune. Je me trompe où il vous convient?
En attendant la suite il va très bien. Il a bien le temps d'apprendre. Père m'a expliqué pour vous deux.
-Oui je sais, il me l'a dit hier soir. Besoin d'aide pour vous habiller? Je dois vous complimenter. Bébé vous étiez bien formés mais là! Les mots me manquent. Je vous retrouve en bas je dois aider votre père et vérifier le travail de votre ami.
Une fois parti, j'ai avalé le café et le pâté excellent pour la mise en forme du matin. Je me suis habillé comme un écossais doit l'être et suis descendu saluer père.
-Alors gamin, près à faire une bonne promenade , il fait beau, un temps idéal pour ça.
Ce n'est pas un temps écossais. On se croirait sur la côte d'azur.
-Allons tu sais bien que le temps change vite. Prends ta cape pour le vent. Moi j'ai mis de la chaude laine de mouton. Nos moutons écossais.
Oui père, y allons nous? J'ai hâte de voir ce lieu consacré maintenant à l'amour.
Dehors, l'étalon tenu par Georges, père est monté sur le montoir prévu à cet effet et s'est élevé sur son pure sang. Aussitôt Georges s'est élevé sur le sien de même que moi. Pour Steeve ce fut plus long mais une fois resserré la sous ventrière il a été prêt. On est sorti de la cour au pas ne prenant le petit trot que sur le centre de l'allée. Je m'étais placé derrière Steeve pour surveiller sa monte. Au trot on est assez vite arrivé dans un village, presque un hameau d'où les gens sont sortis nous voir.
Georges d'une voix tonnante m'a annoncé comme le fils du laird, j'ai été regardé comme un bête curieuse et très vite les regards se sont baissés. Juste eu le temps de repérer un jeune et une fille qui m'ont détaillé un instant. J'ai souri, une fois décrassés ils feraient de bons serviteurs.
On est reparti au petit trot puis au galop et au grand galop sur la lande, perdant de vue toute habitation jusqu'à un sommet ou se dressait une très beau bâtiment gothique. quoique petit. J'ai fait lentement le tour pour laisser le temps à Georges d'aider père à démonter et pénétrer dans les lieux.
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