Sir Eric 9
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sir Eric 9
Démontant à mon tour comme Steeve on est entrè à notre tour. Tout les symboles religieux avaient disparus et un grand lit à colonnades était à le place de l'autel. Seule, suspendue au plafond, une croix de saint André se balançait. Aux colonnades du lit étaient fixés par des anneaux de fer de petits anneaux dont j'ai bien compris l'usage mon tartan se soulevant convulsivement. Dans un des transepts une sorte de baignoire en pierre était installée. Dans l'autre, Georges s'activait à démarrer un feu placé sous une boule que j'ai devinée emplie d'eau.
Et bien père vous avez effectué là un travail fabuleux.
-Avec Georges surtout qui s'y connaît mieux que moi dans les questions mécaniques. Il a réalisé une sorte de machine à vapeur qui alimente la baignoire en eau chaude en passant dans des tuyaux qui réchauffe l'ensemble. Une dynamo procure aussi une douce lumière. Je n'ai plus que des souvenirs de cet endroit et de son usage mais je me doute que tu en connais l'usage.
C'est magnifique père. Désacralisé l'endroit la nuit doit avoir un aspect satanique.
-L'endroit où il est construit est respecté par mes gens comme étant un lieu sacré de la famille. Il a eu un petit rire. Un sacrè lieu, pour ça oui! Regarde ton ami il a tout compris lui aussi. Tu découvriras différentes choses . La chapelle n'est pas si large mais assez haute.
Levant les yeux vers l'entrée j'ai vu la corde de la cloche mais avec un simple palan assez lourd attaché à l'autre bout.
-Nous allons vous laisser je commence à fatiguer Et tu as vu l'essentiel, démarrer le feu. Il y a du petit bois et Georges passe approvisionner le tas. Viens tenir Satan, Georges que je le monte. Il est sorti le vent s'engouffrant par la porte ouverte.
Hé bien Steevy l'ambiance te plaît dirait on?
-Oui sir, je... je n'y peut rien comme vous dites, c'est l'ambiance, le lieu, la solitude.
Qu'attends tu pour te dénuder? Te foutre à poil, montrer ce que tu caches à tous! De ma badine de cheval j'ai soulevé le tissus du tartan. Allons montre toi, ta queue et tes fesses. Il avait rougi encore plus que dans la chambre. Cependant il a dégrafé le tartan et ôté sa chemise.
C'est mieux ici qu'à la flamme d'une bougie. Je passais le bout de cuir de la badine sur ses tétons, descendais au nombril, arrivais au gland pointé un peu sorti du nombril. Je suis passé dessous donnant un coup léger sur ses couilles pendantes. Il a aussitôt cherché à les protéger.
Non! Laisse les bras pendre. Je vois bien que tu aimes, la goutte qui suinte de ton gland n'est pas là par hasard. Tourne toi, montre tes fesses. J'ai passé la badine le long de la colonne vertébrale. Il a creusé les reins.
Bien , garde les reins comme ça et penche toi, cuisses écartées, pieds en dedans. Voilà une belle position qui montre ton anus de petits clebs. On peut même voir ce que tu attends, il palpite par à coups.
-Ho sir, oui, vous m'affolez j'ai besoin de vous.
De quoi as tu envie petite chienne?
-De votre sexe en moi.
Je suis passé devant lui, tartan dégrafé tombé à terre. Montre moi comment tu l'aimes. Il fixait ma queue raide et sans hésiter a ouvert grand la bouche pour me sucer.
Oui c'est bien tu peux surement en prendre plus. Je le tenais par derrière le cou et m'enfonçait dans sa gorge jusqu'à l'empêcher de respirer. Il a appuyé les mains sur mes cuisses mais je l'ai retenu un instant.
Une fois dégagé il a craché sa salive, reprenant son souffle.
-Pardon sir mais je ne pouvais plus.
Il faudra pourtant t'habituer pour mériter que tes fesses soient bien ouvertes. J'ai à nouveau forcé sa bouche, allant jusqu'à sentir mon gland passer contre sa glotte. Quand je me suis retiré il a eu du mal à parler.
-Prenez moi sir!
Je l'ai laissé dans cette position, mains sur les genoux et le tenant par les hanches, profitant de sa salive j'ai enculé sauvagement, donnant de grands coups de reins, me retirant pour le reprendre. J'ignorais ses gémissements et me suis arrêté une fois vidé. A ma surprise lui même avait joui loin devant lui sans se toucher.
On a repris haleine assis sur le lit.
Tu aimes ça petite chienne!
-Je le découvre mais c'est vrai, j'aime prendre mon plaisir en souffrant en même temps.
On va souvent s'amuser alors car j'aime mieux avoir un esclave sexuel qu'un simple serviteur. Le souffle repris je farfouillais dans les coffres contre les murs. J'ai trouvé des menottes rembourrées et des barres. Je lui ai mis les menottes aux chevilles les tenant écartées pas une barre et avec l'anneau au centre j'ai soulevé jusqu'à ce qu'il ai les fesses à hauteur de mes yeux. j'ai trouvé une sorte de pic à glace mais le pic était un petit sexe. j'ai joué un moment à donner des coups dans son trou qui s'ouvrait et se fermait sous les coups.
Enfin j'ai trouvé un truc de confection ancienne que j'ai pu adapter sur lui. Laissant les couilles libres il enfermait la tige dans un manchon de cuir dur. Une fois posé, seul le gland dépassait. Un cadenas fermait le tout. Les couilles retenues par une boucle de cuir étaient idéalement placées entre ses cuisses.
Bien le jour commence à baisser je vais libérer tes chevilles et on va retourner au manoir, ce sera l'heure du souper.
-Si je passe encore au dessus du miroir Georges verra que ma queue est enfermée!
Et alors, ça t'excites?
-Un peu oui mais il ne s'en rendra pas compte.
Crois moi qu'il le saura. Aller habille toi on reviendra.
Le trajet du retour n'a pas été simple pour lui. Je le voyais grimacer quand ses couilles se coinçaient entre lui et la selle.
En arrivant je l'ai laissé se débrouiller pour démonter Georges me faisait signe avec un grand sourire. Il n'a pas pu se retenir.
-Votre future a appelé.
Je suis aller voir père qui avait lui aussi le sourire.
-Elle est pressée ta Dorothée. Elle vient demain avec son père qui me la présentera et si j'ai bien compris elle repartira à cheval avec sa duègne et si vous faites un bout de chemin ensemble elle serait ravie. J'ignore si elle sait la distance entre nos deux manoirs mais elles risquent d'avoir mal aux fesses.
Ho je suis sur qu'elle connaît la distance et elle monte très bien. Ils comptent être là à quelle heure?
-Il a dit 10h30 ,11heures. En mangeant tôt il lui restera du temps pour rentrer.
Cette nuit là j'ai mal dormi rêvant à son sexe si doux. Même Steevy collé à moi, offrant ses fesses ne me changeait pas les idées. C'est moi qui l'ai fait dégager à la première lumière du jour.
-Va préparer les chevaux. Prévois en un de plus si l'un des leurs se blessait.
Vous ne retirez pas le truc de mon sexe?
J'ai eu un sourire, quel sexe? Tes fesses sont libres. Donc c'est parfait. Une fois parti ,J'ai pris le temps de me laver soigneusement, Georges passant la tête m'a dit avoir mis le café sur la desserte.
Je suis descendu retrouver père , encore mieux habillé que d'habitude avec cette fois les insignes militaires dont il était le plus fier sur le béret juste à coté de la plume.
-Hé bien? On descend plus tôt? Tu as hâte de la voir ou peur de ton beau père.
Peur? Vous me mésestimez et puis n'est il pas d'accord par avance?
-Il reste toujours des détails mais nous discuterons de cela pendant que tu feras les honneurs de la maison. Un de mes guetteurs me signale une voiture à l'arrêt avant le portail. Ce doit être lui, mais il est la ponctualité même et n'entrera pas avant 9h30 je dirais 9h45 devant le perron. Tu m'aideras, Georges ne sera pas loin.
En effet pile à l'heure annoncée par père la voiture se garait devant l'escalier.
Et bien père vous avez effectué là un travail fabuleux.
-Avec Georges surtout qui s'y connaît mieux que moi dans les questions mécaniques. Il a réalisé une sorte de machine à vapeur qui alimente la baignoire en eau chaude en passant dans des tuyaux qui réchauffe l'ensemble. Une dynamo procure aussi une douce lumière. Je n'ai plus que des souvenirs de cet endroit et de son usage mais je me doute que tu en connais l'usage.
C'est magnifique père. Désacralisé l'endroit la nuit doit avoir un aspect satanique.
-L'endroit où il est construit est respecté par mes gens comme étant un lieu sacré de la famille. Il a eu un petit rire. Un sacrè lieu, pour ça oui! Regarde ton ami il a tout compris lui aussi. Tu découvriras différentes choses . La chapelle n'est pas si large mais assez haute.
Levant les yeux vers l'entrée j'ai vu la corde de la cloche mais avec un simple palan assez lourd attaché à l'autre bout.
-Nous allons vous laisser je commence à fatiguer Et tu as vu l'essentiel, démarrer le feu. Il y a du petit bois et Georges passe approvisionner le tas. Viens tenir Satan, Georges que je le monte. Il est sorti le vent s'engouffrant par la porte ouverte.
Hé bien Steevy l'ambiance te plaît dirait on?
-Oui sir, je... je n'y peut rien comme vous dites, c'est l'ambiance, le lieu, la solitude.
Qu'attends tu pour te dénuder? Te foutre à poil, montrer ce que tu caches à tous! De ma badine de cheval j'ai soulevé le tissus du tartan. Allons montre toi, ta queue et tes fesses. Il avait rougi encore plus que dans la chambre. Cependant il a dégrafé le tartan et ôté sa chemise.
C'est mieux ici qu'à la flamme d'une bougie. Je passais le bout de cuir de la badine sur ses tétons, descendais au nombril, arrivais au gland pointé un peu sorti du nombril. Je suis passé dessous donnant un coup léger sur ses couilles pendantes. Il a aussitôt cherché à les protéger.
Non! Laisse les bras pendre. Je vois bien que tu aimes, la goutte qui suinte de ton gland n'est pas là par hasard. Tourne toi, montre tes fesses. J'ai passé la badine le long de la colonne vertébrale. Il a creusé les reins.
Bien , garde les reins comme ça et penche toi, cuisses écartées, pieds en dedans. Voilà une belle position qui montre ton anus de petits clebs. On peut même voir ce que tu attends, il palpite par à coups.
-Ho sir, oui, vous m'affolez j'ai besoin de vous.
De quoi as tu envie petite chienne?
-De votre sexe en moi.
Je suis passé devant lui, tartan dégrafé tombé à terre. Montre moi comment tu l'aimes. Il fixait ma queue raide et sans hésiter a ouvert grand la bouche pour me sucer.
Oui c'est bien tu peux surement en prendre plus. Je le tenais par derrière le cou et m'enfonçait dans sa gorge jusqu'à l'empêcher de respirer. Il a appuyé les mains sur mes cuisses mais je l'ai retenu un instant.
Une fois dégagé il a craché sa salive, reprenant son souffle.
-Pardon sir mais je ne pouvais plus.
Il faudra pourtant t'habituer pour mériter que tes fesses soient bien ouvertes. J'ai à nouveau forcé sa bouche, allant jusqu'à sentir mon gland passer contre sa glotte. Quand je me suis retiré il a eu du mal à parler.
-Prenez moi sir!
Je l'ai laissé dans cette position, mains sur les genoux et le tenant par les hanches, profitant de sa salive j'ai enculé sauvagement, donnant de grands coups de reins, me retirant pour le reprendre. J'ignorais ses gémissements et me suis arrêté une fois vidé. A ma surprise lui même avait joui loin devant lui sans se toucher.
On a repris haleine assis sur le lit.
Tu aimes ça petite chienne!
-Je le découvre mais c'est vrai, j'aime prendre mon plaisir en souffrant en même temps.
On va souvent s'amuser alors car j'aime mieux avoir un esclave sexuel qu'un simple serviteur. Le souffle repris je farfouillais dans les coffres contre les murs. J'ai trouvé des menottes rembourrées et des barres. Je lui ai mis les menottes aux chevilles les tenant écartées pas une barre et avec l'anneau au centre j'ai soulevé jusqu'à ce qu'il ai les fesses à hauteur de mes yeux. j'ai trouvé une sorte de pic à glace mais le pic était un petit sexe. j'ai joué un moment à donner des coups dans son trou qui s'ouvrait et se fermait sous les coups.
Enfin j'ai trouvé un truc de confection ancienne que j'ai pu adapter sur lui. Laissant les couilles libres il enfermait la tige dans un manchon de cuir dur. Une fois posé, seul le gland dépassait. Un cadenas fermait le tout. Les couilles retenues par une boucle de cuir étaient idéalement placées entre ses cuisses.
Bien le jour commence à baisser je vais libérer tes chevilles et on va retourner au manoir, ce sera l'heure du souper.
-Si je passe encore au dessus du miroir Georges verra que ma queue est enfermée!
Et alors, ça t'excites?
-Un peu oui mais il ne s'en rendra pas compte.
Crois moi qu'il le saura. Aller habille toi on reviendra.
Le trajet du retour n'a pas été simple pour lui. Je le voyais grimacer quand ses couilles se coinçaient entre lui et la selle.
En arrivant je l'ai laissé se débrouiller pour démonter Georges me faisait signe avec un grand sourire. Il n'a pas pu se retenir.
-Votre future a appelé.
Je suis aller voir père qui avait lui aussi le sourire.
-Elle est pressée ta Dorothée. Elle vient demain avec son père qui me la présentera et si j'ai bien compris elle repartira à cheval avec sa duègne et si vous faites un bout de chemin ensemble elle serait ravie. J'ignore si elle sait la distance entre nos deux manoirs mais elles risquent d'avoir mal aux fesses.
Ho je suis sur qu'elle connaît la distance et elle monte très bien. Ils comptent être là à quelle heure?
-Il a dit 10h30 ,11heures. En mangeant tôt il lui restera du temps pour rentrer.
Cette nuit là j'ai mal dormi rêvant à son sexe si doux. Même Steevy collé à moi, offrant ses fesses ne me changeait pas les idées. C'est moi qui l'ai fait dégager à la première lumière du jour.
-Va préparer les chevaux. Prévois en un de plus si l'un des leurs se blessait.
Vous ne retirez pas le truc de mon sexe?
J'ai eu un sourire, quel sexe? Tes fesses sont libres. Donc c'est parfait. Une fois parti ,J'ai pris le temps de me laver soigneusement, Georges passant la tête m'a dit avoir mis le café sur la desserte.
Je suis descendu retrouver père , encore mieux habillé que d'habitude avec cette fois les insignes militaires dont il était le plus fier sur le béret juste à coté de la plume.
-Hé bien? On descend plus tôt? Tu as hâte de la voir ou peur de ton beau père.
Peur? Vous me mésestimez et puis n'est il pas d'accord par avance?
-Il reste toujours des détails mais nous discuterons de cela pendant que tu feras les honneurs de la maison. Un de mes guetteurs me signale une voiture à l'arrêt avant le portail. Ce doit être lui, mais il est la ponctualité même et n'entrera pas avant 9h30 je dirais 9h45 devant le perron. Tu m'aideras, Georges ne sera pas loin.
En effet pile à l'heure annoncée par père la voiture se garait devant l'escalier.
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