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Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nous étions partis en Bretagne, pour les vacances d’été, avec un couple d’amis. Paul, son épouse Laure, mon épouse Aline et moi-même. Paul, retenu par des obligations professionnelles devait nous rejoindre, une semaine après notre arrivée.
Laure est une collègue de travaille qui ne me laisse pas insensible. Sa douceur, son écoute, sa voix de velours, font que cette femme âgée de 55 ans a gardé un charme étonnant. De taille moyenne, cheveux noirs parsemés de quelques cheveux blancs, poitrine moyenne, un beau fessier, sans surpoids, elle est très sexy. C’est une femme très réservée, dotée d’une grande intelligence qui s’exprime très peu et lorsqu’elle le fait, c’est avec pertinence rehaussée de réflexion.
Avec mon épouse, je suis comblé dans tous les domaines, cela fait 35 ans que nous sommes ensemble. Je n’ai jamais fauté, elle, je ne sais pas mais, je ne le pense pas. Nous avons une loyauté et un respect réciproque qui nous gardent de tout écart de conduite.
Laure et Paul semblent heureux, eux aussi, ils ont le même profil que notre couple. Nous nous connaissons depuis de longues années, nos enfants ont fréquenté les mêmes écoles et nous avons toujours passé de bon et joyeux moments ensemble.
Nous sommes mercredi, il est 14h00, mon épouse part à la plage, Laure travaille pour son association, dans la chambre opposée à la nôtre et moi, je fais une sieste, pour récupérer de ma séance de sport effectuée ce matin. Paul doit nous rejoindre en fin de semaine.
Ce texto a été écrit, réfléchi, pesé et orienté. Il était prêt à être transmis, il suffisait de presser sur la touche envoi, mon cœur battait à tout rompre, quelle serait la réaction de Laure, notre amitié, qu’allait-elle devenir, nos relations de couples allaient-elles changer ? Je n’avais de cesse de m’interroger, je me décide enfin, j’appuie sur cette touche, comme si je déclenchais la bombe atomique ! Destinataire : Laure.
Affairée à rédiger un compte rendu de réunion, Laure fut attirée par le signal de son Smartphone, l’avertissant de l’arrivée d’un message envoyé par : Mike.
Laure ouvre le message et lit ceci :
« Chère Laure, si tu lis ce message, je te demanderais que tu le lises jusqu’à la fin. Il est important pour moi que tu saches mon ressenti envers toi. Depuis de nombreuses années, voire des décennies, j’ai toujours voulu te dire, ce que je viens de t’écrire. Manque de courage, respect de vous trois, eu égard à notre amitié aussi, je ne sais pas, peut-être le tout.
Depuis longtemps et encore plus aujourd’hui, comme j’aimerais te prendre les mains, te regarder dans les yeux, quitter tes mains, pour prendre ton visage dans les miennes. De mes pouces, je caresserais tes petites joues empourprées par l’émoi. Ces mêmes mains coifferaient tes cheveux courts en les ramenant vers l’arrière et en les passants derrière tes jolies oreilles, montées de petits diamants, contrastant avec tes cheveux.
Je poserais mes mains sur tes épaules en te souriant et te regardant. J’aimerais tant t’attirer contre moi, enfouir mon nez dans tes cheveux, m’enivrer de ton parfum subtil et léger.
Comme j’aimerais me blottir dans tes bras que tu auras enroulés sur mon buste et tes mains sur mes omoplates. Maintenant, je m’approche encore, je sens la pointe de tes seins sur ma poitrine, je frémis. Je t’attire et te plaque contre moi, mes mains ont maintenant pris ta taille, ma cuisse s’est placée entre les tiennes. Je bande et tu le sens. Je te respire, j’ai envie de toi, nos cœurs battent très fortement. Je reçois ton souffle chaud dans mon coup, ce qui anime encore plus mon désir.
Ton sexe s’humidifie sur ma cuisse, sa chaleur traverse mon pantalon et le mouille. Nos lèvres se rencontrent et nous nous embrassons sans y mettre la langue mais, des baisers doux, langoureux, amoureux, passionnés. C’est toi, la première, qui introduit ta langue et cherche la mienne. Tu l’appelles, elle l’a trouve, timidement, elles se jaugent, elles se testent avant de se mélanger, de se blottir les unes contre les autres. Elles se superposent, s’adossent, luttent, se défient, se cachent pour mieux se retrouver et accomplir un balai tournoyant et captivant.
Ton bassin commence à onduler sur ma cuisse, aiguisant la convoitise de ton corps. Mon érection est grande asservie à tes mouvements. Ma main se ballade sur tes deux seins. Je devine tes petits tétons au centre de leurs rosaces. Je les soupèse, je les effleure, je les masse. Tes mains sont sur mes fesses, elles m’obligent à me plaquer contre toi, mon sexe est écrasé dans ton aine.
Ma main a glissé sous ta jupe, je contourne tes fesses, je suis dans ta petite culotte, mes doigts cherchent ta fente, ils l’a trouve. Ils ignorent tons anus volontairement, nous ne nous connaissons pas assez intimement. Ils découvrent un fruit de la passion très mûr et gorgé de son jus. De ton côté, ta main a dégrafé ma ceinture, zippé ma braguette et tu es entrain de fouiller mon caleçon, pour dégager ma verge tendue et suintante de liquide pré-séminal. Délicatement tu me masturbe, doucement, adroitement, sans violence mais avec une telle volupté.
Mes doigts sont entrés dans ton antre et s’activent sur ton petit bouton du plaisir. Tu halètes, ton souffle se fait plus bruyant. Tu vas bientôt gémir. Je respire très fort aussi, mes jambes commencent à trembler. Il faut que je vienne en toi, il faut que tu m’accueille et que tu me veuilles. Je ne veux faire qu’un avec toi, je veux sentir ton corps se tordre et onduler de plaisir.
Tu t’ouvres enfin, tes jambes s’écartent pour mieux me recevoir. Je m’immisce, je me faufile et enfin, je m’introduis en toi, tu te cambres, ta bouche s’ouvre, pour laisser échapper, un cri de plaisir et d’acquiescement. Nous sommes l’un dans l’autre, je me glisse au fond de toi et je me retire pour mieux repartir et encore plus loin, plus profondément, te condamnant à gindre et à jouir.
Je m’oblige à faire durer ce plaisir, qui sera peut-être unique, pour que je m’en souvienne et toi aussi. Je m’immobilise dans ton paradis, je n’ose plus bouger, une chaleur brûlante me parcoure. Je suis bien, nous sommes bien, l’un contre l’autre, l’un avec l’autre, l’un dans l’autre.
Tes ongles soudainement se plante sur mon dos, ton bassin se soulève et des spasmes apparaissent, tes yeux, retournés vers l’arrière, ont disparu derrière tes paupières. Je ressens une décharge dans les reins et je devine mon liquide reproducteur sortir de mon canal, ma prostate pompe et expulse mon jus dans ta caverne ruisselante, gonflée par la jouissance et les va et vient successifs.
Je jouis en toi mais je reste au fond de toi, nos contractions nerveuses et involontaires, nous procurent tant de bonheur… ».
Sans prévenir, la porte de ma chambre s’ouvre, Laure se tient dans l’embrasure, son portable à la main et …
Pour connaître la suite, il faudra lire le prochain récit.
Réalité, fiction ou fantasme ?
Je vous laisse deviner.
Laure est une collègue de travaille qui ne me laisse pas insensible. Sa douceur, son écoute, sa voix de velours, font que cette femme âgée de 55 ans a gardé un charme étonnant. De taille moyenne, cheveux noirs parsemés de quelques cheveux blancs, poitrine moyenne, un beau fessier, sans surpoids, elle est très sexy. C’est une femme très réservée, dotée d’une grande intelligence qui s’exprime très peu et lorsqu’elle le fait, c’est avec pertinence rehaussée de réflexion.
Avec mon épouse, je suis comblé dans tous les domaines, cela fait 35 ans que nous sommes ensemble. Je n’ai jamais fauté, elle, je ne sais pas mais, je ne le pense pas. Nous avons une loyauté et un respect réciproque qui nous gardent de tout écart de conduite.
Laure et Paul semblent heureux, eux aussi, ils ont le même profil que notre couple. Nous nous connaissons depuis de longues années, nos enfants ont fréquenté les mêmes écoles et nous avons toujours passé de bon et joyeux moments ensemble.
Nous sommes mercredi, il est 14h00, mon épouse part à la plage, Laure travaille pour son association, dans la chambre opposée à la nôtre et moi, je fais une sieste, pour récupérer de ma séance de sport effectuée ce matin. Paul doit nous rejoindre en fin de semaine.
Ce texto a été écrit, réfléchi, pesé et orienté. Il était prêt à être transmis, il suffisait de presser sur la touche envoi, mon cœur battait à tout rompre, quelle serait la réaction de Laure, notre amitié, qu’allait-elle devenir, nos relations de couples allaient-elles changer ? Je n’avais de cesse de m’interroger, je me décide enfin, j’appuie sur cette touche, comme si je déclenchais la bombe atomique ! Destinataire : Laure.
Affairée à rédiger un compte rendu de réunion, Laure fut attirée par le signal de son Smartphone, l’avertissant de l’arrivée d’un message envoyé par : Mike.
Laure ouvre le message et lit ceci :
« Chère Laure, si tu lis ce message, je te demanderais que tu le lises jusqu’à la fin. Il est important pour moi que tu saches mon ressenti envers toi. Depuis de nombreuses années, voire des décennies, j’ai toujours voulu te dire, ce que je viens de t’écrire. Manque de courage, respect de vous trois, eu égard à notre amitié aussi, je ne sais pas, peut-être le tout.
Depuis longtemps et encore plus aujourd’hui, comme j’aimerais te prendre les mains, te regarder dans les yeux, quitter tes mains, pour prendre ton visage dans les miennes. De mes pouces, je caresserais tes petites joues empourprées par l’émoi. Ces mêmes mains coifferaient tes cheveux courts en les ramenant vers l’arrière et en les passants derrière tes jolies oreilles, montées de petits diamants, contrastant avec tes cheveux.
Je poserais mes mains sur tes épaules en te souriant et te regardant. J’aimerais tant t’attirer contre moi, enfouir mon nez dans tes cheveux, m’enivrer de ton parfum subtil et léger.
Comme j’aimerais me blottir dans tes bras que tu auras enroulés sur mon buste et tes mains sur mes omoplates. Maintenant, je m’approche encore, je sens la pointe de tes seins sur ma poitrine, je frémis. Je t’attire et te plaque contre moi, mes mains ont maintenant pris ta taille, ma cuisse s’est placée entre les tiennes. Je bande et tu le sens. Je te respire, j’ai envie de toi, nos cœurs battent très fortement. Je reçois ton souffle chaud dans mon coup, ce qui anime encore plus mon désir.
Ton sexe s’humidifie sur ma cuisse, sa chaleur traverse mon pantalon et le mouille. Nos lèvres se rencontrent et nous nous embrassons sans y mettre la langue mais, des baisers doux, langoureux, amoureux, passionnés. C’est toi, la première, qui introduit ta langue et cherche la mienne. Tu l’appelles, elle l’a trouve, timidement, elles se jaugent, elles se testent avant de se mélanger, de se blottir les unes contre les autres. Elles se superposent, s’adossent, luttent, se défient, se cachent pour mieux se retrouver et accomplir un balai tournoyant et captivant.
Ton bassin commence à onduler sur ma cuisse, aiguisant la convoitise de ton corps. Mon érection est grande asservie à tes mouvements. Ma main se ballade sur tes deux seins. Je devine tes petits tétons au centre de leurs rosaces. Je les soupèse, je les effleure, je les masse. Tes mains sont sur mes fesses, elles m’obligent à me plaquer contre toi, mon sexe est écrasé dans ton aine.
Ma main a glissé sous ta jupe, je contourne tes fesses, je suis dans ta petite culotte, mes doigts cherchent ta fente, ils l’a trouve. Ils ignorent tons anus volontairement, nous ne nous connaissons pas assez intimement. Ils découvrent un fruit de la passion très mûr et gorgé de son jus. De ton côté, ta main a dégrafé ma ceinture, zippé ma braguette et tu es entrain de fouiller mon caleçon, pour dégager ma verge tendue et suintante de liquide pré-séminal. Délicatement tu me masturbe, doucement, adroitement, sans violence mais avec une telle volupté.
Mes doigts sont entrés dans ton antre et s’activent sur ton petit bouton du plaisir. Tu halètes, ton souffle se fait plus bruyant. Tu vas bientôt gémir. Je respire très fort aussi, mes jambes commencent à trembler. Il faut que je vienne en toi, il faut que tu m’accueille et que tu me veuilles. Je ne veux faire qu’un avec toi, je veux sentir ton corps se tordre et onduler de plaisir.
Tu t’ouvres enfin, tes jambes s’écartent pour mieux me recevoir. Je m’immisce, je me faufile et enfin, je m’introduis en toi, tu te cambres, ta bouche s’ouvre, pour laisser échapper, un cri de plaisir et d’acquiescement. Nous sommes l’un dans l’autre, je me glisse au fond de toi et je me retire pour mieux repartir et encore plus loin, plus profondément, te condamnant à gindre et à jouir.
Je m’oblige à faire durer ce plaisir, qui sera peut-être unique, pour que je m’en souvienne et toi aussi. Je m’immobilise dans ton paradis, je n’ose plus bouger, une chaleur brûlante me parcoure. Je suis bien, nous sommes bien, l’un contre l’autre, l’un avec l’autre, l’un dans l’autre.
Tes ongles soudainement se plante sur mon dos, ton bassin se soulève et des spasmes apparaissent, tes yeux, retournés vers l’arrière, ont disparu derrière tes paupières. Je ressens une décharge dans les reins et je devine mon liquide reproducteur sortir de mon canal, ma prostate pompe et expulse mon jus dans ta caverne ruisselante, gonflée par la jouissance et les va et vient successifs.
Je jouis en toi mais je reste au fond de toi, nos contractions nerveuses et involontaires, nous procurent tant de bonheur… ».
Sans prévenir, la porte de ma chambre s’ouvre, Laure se tient dans l’embrasure, son portable à la main et …
Pour connaître la suite, il faudra lire le prochain récit.
Réalité, fiction ou fantasme ?
Je vous laisse deviner.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Alors il trompe sa femme , prends pour 1 debile son ami et baise sans capotes.
Bravo le mec.
Bravo le mec.