Sodomisé par les fantasmes d’une femme - histoire érotique

Il y a une dizaine d’années, attablé à une terrasse d’un bar, je commandais un café avant d’aller me coucher seul. Prêt à me lever, je fus subjugué par une femme d’un certain âge (40-55) qui laissait apparaître un décolleté fort prometteur. Fasciné par ses attributs si féminins je restais scotché sur mon siège et laissais mon esprit divaguer dans ébats erotico-sexuels. Ne sachant comment l’aborder (timidité quand tu nous tiens), cette femme engagea la conversation. Les classiques « La pluie, le beau temps, lieux de sortie en ville », nous amenaient progressivement à nous dévoiler, à sourire, bref en un mot le courant semblait passer.
Elle était de passage dans ma ville, logée donc à l’hôtel et sans être à la recherche express d’un homme pour sa nuit, d’après ses dires elle était attirée par la prestance que je dégageais, par mon physique d’homme svelte et qui plus est par ma culture.
En passant sa main sur la mienne, je sentais monter en moi une irrésistible envie de la déshabiller et de prendre toutes ses intimités.
Le courage venant avec la montée de mon excitation extrême, je glissais ma main prés de ses hanches et la masser doucement, à tel point qu’elle se rapprocha tout de moi et je ne pus m’empêcher de passer ma main sous sa jupe pour atteindre son petit slip très doux. Au travers de celui-ci je sentais ses poils pubiens craquaient sous mes doigts. Enhardi par son silence, je titillais sa vulve avec la douceur de la soie de son slip… Nos ébats commençant à être trop voyants et intimes, nous décidâmes d’aller dans sa chambre d’hôtel….
Mégane, c’est son nom, me fit entrer dans sa chambre et commença à me caresser et m’embrasser à pleine bouche. Mes lèvres étaient en feu tellement elle me troublait. J’oubliais mon âge et le sien, je la déshabillais promptement… Je découvrais pour la première fois une femme mure et dévoilais également ma forte érection, mes fesses musclées et ma peau hâlée. Mégane me sauta littéralement dessus à tel point qu’elle me fit tomber sur son lit en tenant dans ses deux mains mon membre turgescent de plaisir. Constituée de lèvres pulpeuses massives, je lui frottais sa chatte dégoulinant de cyprine dont l’odeur m’envahissait l’esprit.
La basculant sur le dos, mon membre pointant vers sa grotte, je lui arrachais un cri de plaisir violent lorsque d’un coup de rein sans préparation je la pénétrais jusqu’à la garde. Sauvage à l’extrême, mon membre de 22*5 déchirait ses muqueuses... Mes mains tout en caressant ses fesses, progressivement touchaient sa rosette, très serrée au demeurant. L’ivresse de la folie amoureuse me donnait toutes les audaces. Mes coups de butoir violent dans ses reins, la faisaient gueuler de plus en plus fort. Mon index faisant un va et vient avec son minou et son petit trou, je sentis sa petite intimité s’ouvrir a chaque passage de plus en plus pressant…
Ma tête voulait la sodomiser, mais à la grosseur de mon sexe je me devais de l’ouvrir sinon je la blessais.
Me retirant de sa chatte, je me mis en soixante neuf pour lui offrir ma turgescence hyper mouillée au plaisir de sa gorge. Elle m’aspira tout d’un trait et me suça avec plaisir. J’écartais ses cuisses et bus sa mouille longuement. Mes doigts travaillaient son anus de plus en plus profond, Mégane commença à s’ouvrir.. Son petit cul était adorable… j’allais la sodomiser d’un coup sec lorsqu’elle sera prête.. Des spasmes violents secouaient son ventre, sa chatte inondait ma bouche et son petit trou,. Elle était franchement ouverte et sans que je lui dise, elle me demanda de la prendre dans son cul. Je la retournais en empala avec violence et sans fioritures son petit trou. Mélange de douleur et de plaisir, à la limite de la perte de connaissance elle s’offrit à mes yeux et à mon sexe son cul sans retenue. Elle forçait le va-et-vient du pénis dans sa gaine étroite et frottait violement son clitoris… J’explosais en même temps que son orgasme vaginal et anal. Mon foutre très chaud, abondant fusa profondément dans son petit cul. Mégane tout en gardant dans sa gaine mon sexe assouvi, me caressait doucement les fesses… J’étais vidé… Mes couilles étaient en feu et mon sexe gardait sa droiture dans la lune de Mégane.
Ses caresses m’apaisaient et dans un sommeil léger je me laissais aller à ses volontés. Les pointes de ses seins étaient devenues très dures, ses aréoles larges s’offraient à mes lèvres avides de succion.
Dans mon demi-sommeil, je crus rêver lorsque je sentis un doigt me caresser doucement ma fente. Gêné et trop fatigué pour esquisser le moindre mouvement, mon corps s’abandonner à Mégane qui tout en fouillant dans son sac à côté d’elle m’embrassait très tendrement. Vaincu par tant de douceur, je la laissais m’ouvrir mes fesses. Plaisir inconnu pour ma part, je sentais le combat entre ma réticence spirituelle et mon acceptation corporelle. Dans un état second je ne pus me rendre que Mégane se parait d’un gode ceinture énorme (Femme-Homme). Son gode pénétrait sa chatte d’un pénis respectable et sortait vers l’extérieur d’un autre pénis hors dimension (au Moins 30*6). De ses deux mains elle écarta mes fesses et me suça ma rondelle violemment. Surpris agréablement par les sensations ressenties je me cambrais et machinalement je lui offrit mon petit trou à ses fantasmes. Ses doigts jouant finement de caresses et va-et-vient, ma lune s’ouvrit énormément à ses désirs… Passé le moment de honte fortement ressentie, j’allais être pris par une femme d’un certain âge. Après l’avoir sodomisée violemment j’allais dans quelques instant être sodomisé par une fort jolie femme. De son vagin, elle enduit abondamment mon trou de cyprine, me leva mes cuisses écartées, posa son gland factice prés de ma rondelle et appuya doucement sur celui-ci. Ma rondelle petit à petit accepta la pénétration, mon dépucelage (eh oui). Un tout petit coup de rein de Mégane, m’enfonça son pieu dans mes reins. Un ou deux centimètres à l’intérieur de ma gaine me fit hurler de douleur. Tout en m’embrassant elle me susurra à l’oreille que de toute façon elle allait me dépuceler mon cul. Soit c’est à mon rythme de m’enfoncer en elle pour diminuer la douleur ou elle m’empalerait en déflorant mon pucelage d’un seul trait avec un membre énorme. Acceptant sa domination je m’empalais petit à petit sur son membre et gémissait du plaisir qui montait en moi. La douleur disparue, elle me releva la tête pour voir son membre énorme commençait à me perforer ma lune et oh surprise, mon cul l’acceptait en entier. Décidément quelle soirée, je jouissais du cul et demandait même de la semence chaude dans mes entrailles.. Le plaisir m’inondait et mon sexe de nouveau en érection commençait à me faire mal. Les va-et-vient de Mégane devenant violents et profonds, je remuais mon cul dans tous les sens, sa chatte coulait sur mon ventre. Mégane gueulait également de plaisir et sa queue déflorait ma pastille du fond de mes entrailles. Dans un râle mutuel, j’éjaculais abondamment sur elle et mon pucelage disparaissait dans des spasmes très violents.

Cette histoire est vraie, surpris voire même éhonté au début je n’ai pus renouvelé cette expérience à mon grand regret…