Soir de Réveillon - les jours d'après
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2023 dans la catégorie Plus on est
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Soir de Réveillon - les jours d'après
Le mois de Janvier, se déroule tranquillement.
Ma belle me reparle souvent de notre réveillon avec Gilles.
Si la soirée fut banale, la fin a été très excitante pour elle.
Elle a adoré voir Gilles, m'enculer avec domination.
Plus les jours passent, et plus on récupère des excès causés par les repas de fêtes.
Nous sommes deux semaines, après le jour de l'an, un samedi, vers 14 h.
J'ai envie d'un café, je lui propose:
"On se boit le café, mon amour ?".
"Pas encore ! Gilles va venir ! Attends le !".
"Quoi ? Mais tu m'as pas prévenu ! Tu lui as dis où on habitait ?".
"Oui ! Lui aussi, il habite pas loin de la salle du réveillon ! Il pouvait pas se libérer un autre jour !".
"Mais, t'aurais pu me demander mon avis !".
"Ohhh ! Allez ! Tu vas pas résister quand tu le verras !".
La sonnete retentit.
"Ben, tiens, en parlant du loup !".
Quand il entre dans l'appartement, il arbore un grand sourire, mais reste un peu gêné par la situation.
Il fait deux bises à ma belle, puis hésite avec moi, je prend une décision et l'embrasse devant Corinne pour le mettre plus à l'aise.
"Bon, Gilles ! Tu tombes bien, on t'attendait pour le café ! T'en veux un ?".
"Oui, c'est gentil ! Merci !".
"Pascal ? Tu nous sers ?".
Je nous prépare trois boissons chaudes au percolateur, sous le regard envieux de Gilles, assis face à ma femme.
Son désir envers moi, n'échappe pas à ma belle.
"Il te plait beaucoup, mon mec, j'ai l'impression !".
"J'avoue ! Il est super mignon ! J'adore son cul, il est magnifique ! Et surtout j'adore baiser avec lui !".
"T'entends ce qu'il dit ? Pascal ?".
"Oui, je comprend pas pourquoi ! Mais ça m'arrange ! Moi, j'arrive pas à être attiré par un homme pour le baiser ! Mais, j'adore qu'on me baise ! Donc, il vaut mieux que je leur plaise !".
Gilles me demande alors:
"Mais, dis-moi ! Tu te masturbes jamais ? Quand on te baise !".
"Non, j'en ai pas besoin ! Le plaisir anal me suffit, je joui assez comme ça ! Et puis, tu me fais souvent éjaculer ! t'es un des rares à y arriver !".
"J'ai vu ! C'est aussi pour ça que j'aime le faire avec toi !'.
Corinne est intriguée, et le questionne sur le lieu ou on se rencontre:
"J'adorerai voir comment c'est, à l'intérieur ! Voir les hommes baiser entre eux ! Ca doit être excitant ! Racontes-moi ! Gilles ! Comment ça se passe !".
"Euh, ben, c'est pas évident de raconter ça ! On paie un droit d'entrer de 10 Euros, en choisissant un film porno, le type nous donne le numéro de cabine, et après, ou on regarde le film, jusqu'au bout ou on sort pour trouver un mec ! Il fait assez sombre ! c'est direct comme approche ! On baise souvent sans se parler !".
"Et Pascal ? Tu l'as connu comment ? La première fois ?".
"Oh, je l'avais repéré depuis une bonne demi-heure et je l'ai vu entrer dans sa cabine ! Il le sais pas, mais il m'a fait jouir, une première fois avec le Glory Hole ! En me suçant !".
Je m'étonne:
"Ah Bon ? Je savais pas ! J'aurai du pourtant, deux queues comme la tienne dans la même journée, c'est un miracle !".
Corinne demande:
"C'est quoi un Glory Hole ?".
"Un trou dans une cabine pour y glisser sa queue, sans faire voir son visage ! Et comme je venais d'arriver et que j'ai adoré ton mec ! Je suis resté ! Et une heure après, je l'ai enculé ! C'était encore meilleur ! Tu t'en souviens ? Pascal ?".
"C'est flou, Gilles ! Je me fais trop souvent baiser, là-bas ! Je me souviens de notre première fois, oui, mais pas du Glory Hole ! D'ailleurs, je comprend pourquoi, tu m'as enculé aussi longtemps ! T'avais déjà joui, une fois !".
Je leur sers leurs cafés, et sirote le mien, près de Gilles, qui attire ma main vers son sexe.
Je frotte doucement ma paume sur le tissu de sa braguette, je sens gonfler sa grosse verge sous ma caresse appuyée.
Le contraste entre sa légère timidité devant Corinne et cette perverse pratique est saisissant.
"Vous m'excitez tous les deux ! J'envie Pascal ! J'aimerai bien avoir une queue comme la tienne pour la sucer !".
Gilles en profite alors:
"Ben, viens me sucer, j'aime les femmes aussi ! N'oublies pas que je suis marié ! Même si je baise plus ma femme ! T'es beaucoup plus bandante qu'elle, en plus !".
"Je peux mon amour ? Tu me la prêtes ?".
"Elle m'appartient pas ! S'il te la propose ! Vas-y !".
Elle se dresse et attend que Gilles se tourne sur sa chaise pour l'aider à dégager sa bite, coincée par son érection dans son pantalon.
Elle surgit d'un coup ! Surprenant ma belle par ses dimensions et sa dureté.
"Ouah ! Il t'excite tant que ça, Pascal ?".
"A ton avis ? Mais tu vas me faire du bien, toi aussi !".
Elle commence déjà à lui offrir ses caresses buccales préférées, puis lui répond:
"Mmmmmmm ! J'espère que tu aimes ma bouche aussi ! Mmmmmmmmmm !".
"Ahhhhh ! Oui, t'es douée ! Toi aussi ! Ouhhhh ! Pascal ? Tu veux pas me sucer toi aussi ? J'ai adoré avoir vos deux langues en même temps !".
Je me place près de ma belle et je lèche sa queue avec vice et tendresse, en jouant de ma langue avec son gland, et celle de ma belle complice.
"Oh ! Putain, c'est génial ! Vous me rendez dingue ! Arhhhhhhh !".
Je coulisse amplement sur sa bite, pendant que Corinne avale ses couilles une à une.
Elle m'enfonce la gorge sur sa longue verge, en m'accompagnant de sa main, sur la nuque.
Puis elle remonte vers Gilles pour l'embrasser pendant que je le suce goulument.
Il plonge une main, sur un de ses seins, et l'autre entre ses cuisses.
Il constate qu'elle a le vagin trempé, sa culotte est humide à l'entre jambe.
Elle se sépare de cette gênante entrave, puis il lui replace ses doigts et lui fouille la chatte avec vice.
Il gémit de plaisir en subissant mes aller retours buccaux sur sa queue.
Corinne est excitée de me voir le sucer, et subit le plaisir des doigts de Gilles, elle atteint un premier orgasme et nous le crie:
"Arhhhhhhhh ! Oui, oui ! Je joui ! Arhhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Arhhhhhhhhhhhh!".
C'est son premier plaisir, elle en veut plus et ne se retient pas davantage.
J'ai laissé la queue de mon amant pour la regarder jouir.
Gilles agit instinctivement et la place au dessus de sa queue.
"Je, je sais pas ! Tu veux bien Pascal ?".
"Bien sûr ! Mon amour ! Profites ! Je vois bien que t'en as besoin !".
Elle a déjà le gland de Gilles collé contre sa vulve, puis il la pénètre en la faisant râler de bonheur.
"Ohhhhh ! Putain ! Qu'est-ce qu'elle est bonne ! Mon amour, je te comprend ! Arhhhhhhhhh !".
Je la vois l'accompagner dans sa possession, en posant ses mains sur les épaules de mon amant et s'enfonçant puissamment sur sa grosse queue.
"Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Il me baise bien mon amour !".
"Je sais ! Corinne ! Je sais !".
"Elle est bonne ! Ta femme aussi ! J'adore comme elle jouit ! J'ai envie de la baiser bien fort !".
Il ne se prive pas et la fait orgasmer deux fois consécutivement.
Pendant ce temps, je fais place nette sur la table.
Puis Corinne ralentit ses mouvements, elle a bien joui.
Ils se séparent et Corinne nous entrainent dans le salon.
Elle nous colle l'un à l'autre pour partager un baiser, elle nous déshabille l'un après l'autre, pendant qu'on se touche et s'embrasse encore.
Elle me retourne pour qu'il puisse me blottir, en collant sa queue contre mon cul.
Elle prend ma bouche à son tour, je sens sa main qui dirige la queue de Gilles contre mon œillet anal.
"Tu le veux toujours ? Gilles ? T'en as envie de son cul ?".
"Hummm, bien sûr ! J'y suis trop bien dedans ! Je peux aller jusqu'au fond, j'adore ! Tu as du gel ? Ce sera encore meilleur !".
Il me caresse le corps pendant que ma belle s'éloigne et revient avec le lubrifiant.
Elle se charge de lui couvrir la queue en le masturbant au passage, puis dépose une large dose entre mes fesses.
Elle revient m'embrasser en m'écartant les fesses.
Je gémis dans sa bouche, Gilles commence à m'écarteler l'anus.
Il est précautionneux et prend le temps qu'il faut, il me connait très bien.
Ses petites incursions sont de plus en plus profondes, puis il coulisse beaucoup plus profondément.
Il me provoque un cambrement, en passant brusquement mon virage anal, au fond de mon cul.
"Arhhhhhhhhh ! Putain ! Gilles ! J'aime trop ça ! Arrrrrrgggggggghhhhhh !".
Corinne se déleste de ses vêtements et reprend ma bouche, en écartant mes fesses pendant que Gilles m'encule avec amplitude et puissance.
Paradoxalement, c'est moi qui la sent jouir cérébralement, elle adore vraiment assister à mon plaisir avec des hommes !
Elle gémit dans ma bouche avec moi, qui commence à orgasmer analement, aussi.
"Putain ! C'est trop bon de baiser avec vous ! J'adore t'enculer, Pascal !".
Après sa jouissance, elle me donne ses seins à dévorer, en collant mon visage sur ses mamelons.
Elle admire par dessus mon épaule, la grosse et longue queue de notre nouveau complice, qui coulisse sur les derniers centimètres en cognant jusqu'aux couilles en moi.
Je suis gagné par plusieurs orgasmes successifs, au cour desquels, je m'ouvre analement au maximum.
La bite de Gilles est brillante de secrétions anales, il glisse dans mon cul avec facilité et amplitude.
Je râle mon plaisir sans discontinuer, excitant mes deux pervers.
Ma belle glisse sa main entre mes cuisses pour toucher le gros membre qui me transperce l'anus.
"Oh ! J'adore ça ! Gilles ! Tu l'encules bien ! J'aime sentir ta grosse queue, qui rentre dans son cul ! Continues ! Défonces le plus fort !".
"Je vais pas me gêner ! Ma belle ! J'aime le faire crier ! C'est une bonne salope, ton mec ! J'adore, comme il mouille sur ma bite !".
"Oui, j'ai la main pleine de jus ! Ca m'excite ! Fais le crier encore !".
"Arggggggggggghhhhhhhhhh ! Putain ! Arggggggggggggghhhhhhhhhhhhh ! Corinne, il me fait trop jouir ! Argggggggg !".
"Tu dois encaisser, ma petite salope ! Il te fait du bien !".
"Arhhhhhhhhhhh ! J'ai honte d'aimer ça ! Arhhhhhhhggg ! J'aime trop comme il m'encule ! Arggggggggggg ! Arggggggggggg !".
"Moi, j'aime que tu sois comme ça ! Tu m'excites Pascal ! Laisses le, te casser le cul ! C'est bon !".
Gilles s'invite dans cette conversation salace en me traitant de mots vulgaires, adoubé par ma femme.
Elle me montre sa main, maculée de jus anal pendant que je joui encore, puis se masturbe la poitrine avec.
Elle ne contrôle plus ses pulsions perverses, elle accompagne son plaisir mammaire d'un titillement de son clitoris.
Elle replace sa main sous mes couilles et s'excite de sentir le gros pieu de Gilles qui me déchire analement.
Elle place ensuite, sa main maculée sur son anus, pour se branler avec ce lubrifiant naturel, en s'insérant 3 doigts.
Gilles passe ses bras sous mes épaules pour me soulever sans sortir de mon anus et me place en travers du canapé.
Il me claque plusieurs fois le cul, en se déchainant, avec des mots crus.
Ses cuisses claquent contre mes fesses, au même rythme que je gueule mon plaisir.
Corinne est excitée par le spectacle de l'homme qu'elle aime, subissant un trop plein de plaisir anal.
Cela doit faire plus de 50 minutes qu'il me défonce analement, il sait se contrôler en ralentissant son rythme, assez souvent.
Elle s'allonge près de moi, en se masturbant le cul avec ses doigts.
"Arhhhhhh ! Mon amour ! J'aimerai que mon amant soit là pour m'enculer aussi ! Arhhhhhhhhh !".
Gilles n'en peux plus, enfin ! Il explose en grognant, en me traitant de salope.
Corinne touche sa hampe pénienne, pour ressentir ses spasmes de déversement dans mon anus.
Elle se branle énergiquement la vulve et nous rejoint dans notre orgasme commun.
Gilles ne tient plus sur ses pieds, le plaisir l'a vidé, il me garde empalé sur lui et s'assoit sur le canapé.
Il m'oblige à rester ainsi, le dos collé sur son torse, à me laisser aller à ses longues caresses.
"J'ai adoré ! Les enfants ! C'était géant ! Je vous adore !".
Corinne ajoute qu'elle aussi, a pris un énorme plaisir.
Quand à moi, je gémis encore, à chaque léger mouvement de la queue de Gilles, dans mon cul.
"Et toi Pascal, ça t'as plu ?".
"Ahhhhhhhh ! Ca s'est pas assez entendu ? Ouhhhhhh ! Tu m'as éclaté le cul !".
"Ca vous déranges, si je reviens de temps en temps ?".
"Au contraire ! Tu reviens quand tu veux ! Pas vrai ! Pascal ?".
"Oui ! Mais laissez moi me remettre ! Putain ! Gilles ! Je peux me lever ?".
"Oui, c'est bon ! Ma petite salope ! T'as assuré encore ! Comme d'habitude !".
Il m'aide à quitter sa longue et grosse bite.
Corinne ne perd pas une seconde de notre séparation, elle admire la béance de mon anus, qui laisse échapper aussitôt, tout le foutre de Gilles en lui maculant le ventre et sa verge, qui s'est écrasée sur son pubis.
"Ouahhh ! Il y en a beaucoup ! Plus que la dernière fois !".
"Ben ! C'est normal ! C'est depuis ce jour là, que j'ai pas joui ! Je vous ai dit que je touchais plus ma femme !".
J'ajoute:
"Ouais, ben, je l'ai senti passer !".
On ricane, puis on se détend, chacun se fait une toilette intime précaire.
Je suis sujet à plusieurs flatulences anales polluées de rejets de sécrétions.
Les sujets de conversations sont très sexuels, il lui raconte ce qui se passe dans les lieux de rencontres entre hommes.
En revenant d'un déplacement aux toilettes pour m'essuyer l'anus, je retrouve ma belle qui se fait dévorer les seins par Gilles.
Elle lui caresse la bite, en même temps.
Gilles reprend de la vigueur entre ses doigts, elle glisse doucement vers sa verge.
Puis, entre deux empalements buccaux, elle me demande:
"Encules-moi ! Mon amour ! J'en ai envie !".
Je profite que la vue de ma belle qui suce la grosse queue de Gilles m'excite énormément, pour lui pénétrer l'anus.
J'adore lui écarteler les fesses, en fixant son anus que je défonce énergiquement.
Elle gémit de plus en plus puissamment, puis atteint l'orgasme anal complet en quelques minutes.
J'aime la voir subir son plaisir en s'étouffant sur la longue queue qu'elle suce.
"Elle a l'air d'adorer la sodo, elle aussi ! C'est une bonne salope ! Je vois !".
"Oui, elle adore ça !".
"Elle est bien ouverte, là ?".
"Oui, ça rentre tout seul, mais je devine ce que tu veux, ajoutes un peu de gel, quand même !".
Je quitte l'anus de ma belle et le recouvre abondamment de lubrifiant.
Gilles se redresse en plaçant Corinne en bout de canapé, elle s'affole un peu.
"Bébé ! Il va me casser le cul !".
"Chhhht ! Mon amour ! Je me suis laissé faire ! A toi, maintenant !".
"Mmmmmmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmmmm !".
Je lui ferme la bouche avec ma main, pendant que Gilles commence sa longue insertion anale en elle.
Il s'aide d'une main pour éviter que sa longue queue ne se plie et force plus aisément son œillet.
Il exerce plusieurs petits assauts, puis les parois de ma belle s'écartèlent assez pour le recevoir.
Il s'insère lentement, en lui déchirant l'anus, pendant qu'elle râle et se plaint:
"Arhhhhhhhhhhhh ! C'est gros ! Arrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhh ! Putain !".
Il la rassure:
"Chttt ! Tu verras ! Ca va aller mieux ! Tu vas beaucoup aimer ma bite ! Toi aussi !".
Il entame ses coulissements pervers, elle se cambre à chaque retour en elle.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! .....".
Je les laisse un instant pour me laver le sexe et reviens me faire sucer par ma belle.
Gilles parvient à amplifier ses aller retours, j'ai rarement vu Corinne prendre autant de plaisir anal.
La queue de Gilles cogne au fond de son cul, moins profondément qu'en moi, à cause de son manque de pratique.
Après de longues minutes de possession perverse, sous les insultes de Gilles, elle est prise de hurlements puissants.
C'est au bruit d'écoulements sur le carrelage que je comprends qu'elle gicle abondamment en se faisant éclater le cul.
Gilles est excité comme un dingue.
"Putain, c'est bon ça, c'est la première fois que ça m'arrive ! Je le voyais que dans des films ! Oh, putain, j'adore ta femme !".
J'ai quitté la bouche de ma belle pour assister à ses giclements.
Son visage montre à quel point, elle est remplie par le plaisir immense de cette saillie anale.
Elle n'a plus de réaction, elle a tout giclé de sa cyprine, puis elle supplie Gilles:
"Ohhhhh ! Stop ! Gilles ! Stop ! Tu m'as tout pris, j'en peux plus !".
Il recule lentement, et écarte ses lobes fessiers, son œillet se ferme et s'ouvre plusieurs fois tout seul, la faisant gémir.
"Je lui ai bien éclaté le cul ! T'en penses quoi ? Pascal ?".
"c'est sûr !".
Ma belle se tourne en se tenant l'entre fesses et me dit:
"Je sais pas comment tu fais, pour l'encaisser entièrement ! Et aussi longtemps ! Il m'a défoncée ! Je suis épuisée !".
Gilles me regarde avec perversité et annonce:
"Bon ! Tu vas devoir encore assurer, ma petite salope ! A toi, maintenant !".
"Oh Putain ! Je vais encore prendre cher ! T'es infatigable, quand tu recommences à me baiser ! C'est toujours pareil au Sex-shop !".
"Oui, mais t'aimes ça ! Non ?".
"Oui, mais tu vas me tuer de plaisir, encore !".
Il me prend par le bras et me place à l'autre bout du canapé.
Il prend le risque de ne pas se lubrifier le sexe, et force mon anus assez rapidement.
Dès qu'il glisse en moi, la sensibilité de mon anus, exacerbée par sa précédente enculade, me fait jouir instantanément.
Je hurle aussitôt.
"Arhhhhhh ! J'adore te faire gueuler comme ça ! Pascal !".
"Bon courage ! Mon amour !". Me dit ma femme.
Je plonge mon visage dans le coussin sous moi pour étouffer mes cris de plaisir, je prend plusieurs fessées en jouissant du cul.
Après plusieurs minutes, Gilles calme ses assauts et s'assoit sur le canapé.
"Viens sur moi, mon chéri !".
Je fais ce qu'il demande, et me fais baiser encore, pendant qu'il m'impose de nombreux baisers vicieux et goulus.
Notre accouplement dans cette position est interminable, mon sexe subit les frottements sur son ventre, en m'empalant sur sa bite.
L'inévitable arrive alors, je me répands de tout mon sperme entre nos deux corps.
Il me dit:
"Hummm ! Tu sais que j'aime, quand tu éjacules sur moi, comme ça ! Comme au Sex-shop !".
"Argggggggggghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiii! Arhhhhhhhhhhhhhh!".
"Tu l'aimes ma bite ! Elle te fait du bien ! Dis-le moi !".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je sens le regard de ma belle qui est fascinée par mon orgasme et mon déversement sur le ventre de Gilles.
"Je veux te baiser plus souvent, Pascal ! Tu veux que je le fasse ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Il nous tourne encore pour me défoncer sur le dos, en me soulevant les fesses et me coinçant le corps dans le fond du canapé.
Il aime me montrer sa pénétration, il sait que j'adore voir, comment il me possède.
Sa grosse bite est recouverte de jus anal, qui vient à présent, couler vers mon ventre.
Ses couilles sont trempées également et claquent contre mon cul.
J'enchaine les orgasmes, puis, je reconnais le moment que je redoutais.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Gilles ! Déplaces-moi, je vais couler !".
Il me soulève et me pose au sol, dans la même position, en s'acharnant de plus belle.
Mes écoulements m'inondent le ventre, le torse et le visage, pour maculer le sol.
Corinne est assise sur un fauteuil et se caresse plus doucement pour se donner un long plaisir vaginal, en nous regardant.
Mes écoulements n'en finissent plus, j'ai hâte qu'il atteigne le point culminant de son plaisir.
Enfin, je cesse peu à peu de me répandre sur moi, il m'encule encore longuement, puis il recule en un long mouvement, pour retirer son gros sexe de mon anus.
Il se masturbe énergiquement, je me redresse pour me placer, face à son gland.
Il commence à gémir plus fort, puis passe sa main derrière ma nuque.
Sa grosse queue me remplit la gorge, il crie son orgasme, en même temps qu'il déverse sa deuxième éjaculation de la journée.
"Arhhhhhhhhhh ! Oui, avales tout ! Salope ! Arhhhhhhhh ! Oh ! C'est trop boooooooooooonnnnnnnn ! Arhhhhhhhh !".
"Grllllllllllllllpp ! Grlllllllllllllllllpp ! Grlllllllllllllllllpp ! ...".
Corinne a depuis un moment, atteint sa jouissance, elle est affalée sur son fauteuil, prête à s'endormir d'épuisement.
Gilles et moi, nous profitons de cette lente et délicieuse retombée de bonheur sexuel, pour nous laisser aller aux caresses buccales, après éjaculation de sa belle queue.
Il me caresse tendrement le visage, pendant que je m'affaire à le remercier longuement, du bonheur qu'il m'a donné.
"Hummmmmmmmmm ! Même ça ! C'est bon, avec toi ! Mon chéri !".
"Hummmmmmm ! Merci, tu t'es surpassé aujourd'hui ! Encore ! Mmmmmmmmmmmm !".
Le froid causé par mes écoulements me pousse a nettoyer le sol, et aller prendre une douche ensuite.
Il me rejoint, puis ma belle prend ma place, quand je sors pour m'essuyer.
Gilles lui impose quelques baisers, après avoir fait la même chose avec moi.
Il lui demande de lui laver la bite, ce qu'elle accepte avec vice.
"J'arrive pas à croire que tu me l'as mise dans le cul ! Elle est grosse !".
"Et pourtant ! Tu l'as bien prise !".
"Ca va ? Tu as aimé ce qu'on a fait ?".
"J'ai adoré ! Mais il va falloir me laisser revenir plus souvent ! Au moins, deux à trois fois par mois ! Minimum !".
"Je demande pas mieux, mais tu m'enculeras pas tout le temps, tu viendras pour mon homme !".
"Bien sûr ! Ma belle ! Je m'éclate avec son cul ! Il m'encaisse mieux que toi ! il a l'habitude !".
Comme il est presque 19 h, on l'invite à manger, mais il nous quitte, pour ne pas inquiéter son épouse.
Nous n'aurions pas recommencer, trop repus de sexe.
mais, il m'a surpris en disant:
"Si, je peux me libérer, je passe demain !".
J'ai dormi comme jamais ! Ma belle est tombée deux heures avant moi.
Au petit matin, j'ai été sorti du sommeil par Gilles, complètement nu, sur moi.
J'étais sur le dos, il s'était enduit la queue de lubrifiant et commençait à m'enculer.
Ma femme l'avait laisser entrer discrètement.
La grosse queue de Gilles n'a pas tardé à se planter dans mon cul, me faisant crier de plaisir d'écartèlement anal.
"Arggggggggggghhhhhhhhhhh ! Putain ! Salaud ! C'est trop tôt ! Argggggggggghhhhhhhhhh !".
"Chhhtt ! Bonjour ! C'est ce qu'on doit dire, d'abord ! Mon p'tit cul chéri ! je t'ai jamais enculé dans cette position, c'est bon aussi ! Tu trouve pas ?".
"Arhhhhhhhhhhhggggg ! Arhhhhhhhhhhhggggg ! Arhhhhhhhhhhhggggg ! Oui ! Arhhhhhhhhhhhggggg !".
Il se sert des ressorts du lit pour m'enculer plus fort, en me poussant avec son ventre également.
Il a vraiment l'air d'aimer cette position, puisqu'il n'en change pas et me fait orgasmer plusieurs fois ainsi.
Il se met enfin à grogner et me serre puissamment contre lui pour se vider de toute son envie perverse de jouir en moi.
Ses déversements de sperme sont longs et abondants, je sens encore ses spasmes dans son canal urinaire.
Il m'impose de le garder sur moi et en moi, un long moment encore.
Puis il sort enfin de mon corps, et s'étonne:
"Tiens ! T'es un peu sale, ce matin !".
"Je suis désolé ! Gilles !".
Il se lève et va se laver la queue.
Je patiente un peu aux toilettes pour me vider l'anus, puis je passe sous la douche et me fais un lavement anal.
On a pu se voir de temps en temps. Nos moments libres étaient assez incompatibles.
Il sollicitait Corinne, en l'appelant, pour prévenir qu'il avait envie de me baiser.
Elle n'a jamais refusé !
Parfois, elle s'étonnait de ne plus le voir, je lui révélais alors, qu'on s'était vu au Sex-shop, dans la semaine.
Comme moi, il était accroc à l'ambiance de perversité qui y régnait.
On avait une nouvelle complicité depuis ce fameux jour de l'An, on avait osé se dire nos prénoms ! Il appelait souvent pour dire qu'il allait au Sex-shop afin que je le rejoigne.
Finalement, tout le monde a trouvé son bonheur dans cette relation, qui s'est étalée sur plusieurs années, avec de gros moments de creux.
Ma belle me reparle souvent de notre réveillon avec Gilles.
Si la soirée fut banale, la fin a été très excitante pour elle.
Elle a adoré voir Gilles, m'enculer avec domination.
Plus les jours passent, et plus on récupère des excès causés par les repas de fêtes.
Nous sommes deux semaines, après le jour de l'an, un samedi, vers 14 h.
J'ai envie d'un café, je lui propose:
"On se boit le café, mon amour ?".
"Pas encore ! Gilles va venir ! Attends le !".
"Quoi ? Mais tu m'as pas prévenu ! Tu lui as dis où on habitait ?".
"Oui ! Lui aussi, il habite pas loin de la salle du réveillon ! Il pouvait pas se libérer un autre jour !".
"Mais, t'aurais pu me demander mon avis !".
"Ohhh ! Allez ! Tu vas pas résister quand tu le verras !".
La sonnete retentit.
"Ben, tiens, en parlant du loup !".
Quand il entre dans l'appartement, il arbore un grand sourire, mais reste un peu gêné par la situation.
Il fait deux bises à ma belle, puis hésite avec moi, je prend une décision et l'embrasse devant Corinne pour le mettre plus à l'aise.
"Bon, Gilles ! Tu tombes bien, on t'attendait pour le café ! T'en veux un ?".
"Oui, c'est gentil ! Merci !".
"Pascal ? Tu nous sers ?".
Je nous prépare trois boissons chaudes au percolateur, sous le regard envieux de Gilles, assis face à ma femme.
Son désir envers moi, n'échappe pas à ma belle.
"Il te plait beaucoup, mon mec, j'ai l'impression !".
"J'avoue ! Il est super mignon ! J'adore son cul, il est magnifique ! Et surtout j'adore baiser avec lui !".
"T'entends ce qu'il dit ? Pascal ?".
"Oui, je comprend pas pourquoi ! Mais ça m'arrange ! Moi, j'arrive pas à être attiré par un homme pour le baiser ! Mais, j'adore qu'on me baise ! Donc, il vaut mieux que je leur plaise !".
Gilles me demande alors:
"Mais, dis-moi ! Tu te masturbes jamais ? Quand on te baise !".
"Non, j'en ai pas besoin ! Le plaisir anal me suffit, je joui assez comme ça ! Et puis, tu me fais souvent éjaculer ! t'es un des rares à y arriver !".
"J'ai vu ! C'est aussi pour ça que j'aime le faire avec toi !'.
Corinne est intriguée, et le questionne sur le lieu ou on se rencontre:
"J'adorerai voir comment c'est, à l'intérieur ! Voir les hommes baiser entre eux ! Ca doit être excitant ! Racontes-moi ! Gilles ! Comment ça se passe !".
"Euh, ben, c'est pas évident de raconter ça ! On paie un droit d'entrer de 10 Euros, en choisissant un film porno, le type nous donne le numéro de cabine, et après, ou on regarde le film, jusqu'au bout ou on sort pour trouver un mec ! Il fait assez sombre ! c'est direct comme approche ! On baise souvent sans se parler !".
"Et Pascal ? Tu l'as connu comment ? La première fois ?".
"Oh, je l'avais repéré depuis une bonne demi-heure et je l'ai vu entrer dans sa cabine ! Il le sais pas, mais il m'a fait jouir, une première fois avec le Glory Hole ! En me suçant !".
Je m'étonne:
"Ah Bon ? Je savais pas ! J'aurai du pourtant, deux queues comme la tienne dans la même journée, c'est un miracle !".
Corinne demande:
"C'est quoi un Glory Hole ?".
"Un trou dans une cabine pour y glisser sa queue, sans faire voir son visage ! Et comme je venais d'arriver et que j'ai adoré ton mec ! Je suis resté ! Et une heure après, je l'ai enculé ! C'était encore meilleur ! Tu t'en souviens ? Pascal ?".
"C'est flou, Gilles ! Je me fais trop souvent baiser, là-bas ! Je me souviens de notre première fois, oui, mais pas du Glory Hole ! D'ailleurs, je comprend pourquoi, tu m'as enculé aussi longtemps ! T'avais déjà joui, une fois !".
Je leur sers leurs cafés, et sirote le mien, près de Gilles, qui attire ma main vers son sexe.
Je frotte doucement ma paume sur le tissu de sa braguette, je sens gonfler sa grosse verge sous ma caresse appuyée.
Le contraste entre sa légère timidité devant Corinne et cette perverse pratique est saisissant.
"Vous m'excitez tous les deux ! J'envie Pascal ! J'aimerai bien avoir une queue comme la tienne pour la sucer !".
Gilles en profite alors:
"Ben, viens me sucer, j'aime les femmes aussi ! N'oublies pas que je suis marié ! Même si je baise plus ma femme ! T'es beaucoup plus bandante qu'elle, en plus !".
"Je peux mon amour ? Tu me la prêtes ?".
"Elle m'appartient pas ! S'il te la propose ! Vas-y !".
Elle se dresse et attend que Gilles se tourne sur sa chaise pour l'aider à dégager sa bite, coincée par son érection dans son pantalon.
Elle surgit d'un coup ! Surprenant ma belle par ses dimensions et sa dureté.
"Ouah ! Il t'excite tant que ça, Pascal ?".
"A ton avis ? Mais tu vas me faire du bien, toi aussi !".
Elle commence déjà à lui offrir ses caresses buccales préférées, puis lui répond:
"Mmmmmmm ! J'espère que tu aimes ma bouche aussi ! Mmmmmmmmmm !".
"Ahhhhh ! Oui, t'es douée ! Toi aussi ! Ouhhhh ! Pascal ? Tu veux pas me sucer toi aussi ? J'ai adoré avoir vos deux langues en même temps !".
Je me place près de ma belle et je lèche sa queue avec vice et tendresse, en jouant de ma langue avec son gland, et celle de ma belle complice.
"Oh ! Putain, c'est génial ! Vous me rendez dingue ! Arhhhhhhh !".
Je coulisse amplement sur sa bite, pendant que Corinne avale ses couilles une à une.
Elle m'enfonce la gorge sur sa longue verge, en m'accompagnant de sa main, sur la nuque.
Puis elle remonte vers Gilles pour l'embrasser pendant que je le suce goulument.
Il plonge une main, sur un de ses seins, et l'autre entre ses cuisses.
Il constate qu'elle a le vagin trempé, sa culotte est humide à l'entre jambe.
Elle se sépare de cette gênante entrave, puis il lui replace ses doigts et lui fouille la chatte avec vice.
Il gémit de plaisir en subissant mes aller retours buccaux sur sa queue.
Corinne est excitée de me voir le sucer, et subit le plaisir des doigts de Gilles, elle atteint un premier orgasme et nous le crie:
"Arhhhhhhhh ! Oui, oui ! Je joui ! Arhhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Arhhhhhhhhhhhh!".
C'est son premier plaisir, elle en veut plus et ne se retient pas davantage.
J'ai laissé la queue de mon amant pour la regarder jouir.
Gilles agit instinctivement et la place au dessus de sa queue.
"Je, je sais pas ! Tu veux bien Pascal ?".
"Bien sûr ! Mon amour ! Profites ! Je vois bien que t'en as besoin !".
Elle a déjà le gland de Gilles collé contre sa vulve, puis il la pénètre en la faisant râler de bonheur.
"Ohhhhh ! Putain ! Qu'est-ce qu'elle est bonne ! Mon amour, je te comprend ! Arhhhhhhhhh !".
Je la vois l'accompagner dans sa possession, en posant ses mains sur les épaules de mon amant et s'enfonçant puissamment sur sa grosse queue.
"Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Il me baise bien mon amour !".
"Je sais ! Corinne ! Je sais !".
"Elle est bonne ! Ta femme aussi ! J'adore comme elle jouit ! J'ai envie de la baiser bien fort !".
Il ne se prive pas et la fait orgasmer deux fois consécutivement.
Pendant ce temps, je fais place nette sur la table.
Puis Corinne ralentit ses mouvements, elle a bien joui.
Ils se séparent et Corinne nous entrainent dans le salon.
Elle nous colle l'un à l'autre pour partager un baiser, elle nous déshabille l'un après l'autre, pendant qu'on se touche et s'embrasse encore.
Elle me retourne pour qu'il puisse me blottir, en collant sa queue contre mon cul.
Elle prend ma bouche à son tour, je sens sa main qui dirige la queue de Gilles contre mon œillet anal.
"Tu le veux toujours ? Gilles ? T'en as envie de son cul ?".
"Hummm, bien sûr ! J'y suis trop bien dedans ! Je peux aller jusqu'au fond, j'adore ! Tu as du gel ? Ce sera encore meilleur !".
Il me caresse le corps pendant que ma belle s'éloigne et revient avec le lubrifiant.
Elle se charge de lui couvrir la queue en le masturbant au passage, puis dépose une large dose entre mes fesses.
Elle revient m'embrasser en m'écartant les fesses.
Je gémis dans sa bouche, Gilles commence à m'écarteler l'anus.
Il est précautionneux et prend le temps qu'il faut, il me connait très bien.
Ses petites incursions sont de plus en plus profondes, puis il coulisse beaucoup plus profondément.
Il me provoque un cambrement, en passant brusquement mon virage anal, au fond de mon cul.
"Arhhhhhhhhh ! Putain ! Gilles ! J'aime trop ça ! Arrrrrrgggggggghhhhhh !".
Corinne se déleste de ses vêtements et reprend ma bouche, en écartant mes fesses pendant que Gilles m'encule avec amplitude et puissance.
Paradoxalement, c'est moi qui la sent jouir cérébralement, elle adore vraiment assister à mon plaisir avec des hommes !
Elle gémit dans ma bouche avec moi, qui commence à orgasmer analement, aussi.
"Putain ! C'est trop bon de baiser avec vous ! J'adore t'enculer, Pascal !".
Après sa jouissance, elle me donne ses seins à dévorer, en collant mon visage sur ses mamelons.
Elle admire par dessus mon épaule, la grosse et longue queue de notre nouveau complice, qui coulisse sur les derniers centimètres en cognant jusqu'aux couilles en moi.
Je suis gagné par plusieurs orgasmes successifs, au cour desquels, je m'ouvre analement au maximum.
La bite de Gilles est brillante de secrétions anales, il glisse dans mon cul avec facilité et amplitude.
Je râle mon plaisir sans discontinuer, excitant mes deux pervers.
Ma belle glisse sa main entre mes cuisses pour toucher le gros membre qui me transperce l'anus.
"Oh ! J'adore ça ! Gilles ! Tu l'encules bien ! J'aime sentir ta grosse queue, qui rentre dans son cul ! Continues ! Défonces le plus fort !".
"Je vais pas me gêner ! Ma belle ! J'aime le faire crier ! C'est une bonne salope, ton mec ! J'adore, comme il mouille sur ma bite !".
"Oui, j'ai la main pleine de jus ! Ca m'excite ! Fais le crier encore !".
"Arggggggggggghhhhhhhhhh ! Putain ! Arggggggggggggghhhhhhhhhhhhh ! Corinne, il me fait trop jouir ! Argggggggg !".
"Tu dois encaisser, ma petite salope ! Il te fait du bien !".
"Arhhhhhhhhhhh ! J'ai honte d'aimer ça ! Arhhhhhhhggg ! J'aime trop comme il m'encule ! Arggggggggggg ! Arggggggggggg !".
"Moi, j'aime que tu sois comme ça ! Tu m'excites Pascal ! Laisses le, te casser le cul ! C'est bon !".
Gilles s'invite dans cette conversation salace en me traitant de mots vulgaires, adoubé par ma femme.
Elle me montre sa main, maculée de jus anal pendant que je joui encore, puis se masturbe la poitrine avec.
Elle ne contrôle plus ses pulsions perverses, elle accompagne son plaisir mammaire d'un titillement de son clitoris.
Elle replace sa main sous mes couilles et s'excite de sentir le gros pieu de Gilles qui me déchire analement.
Elle place ensuite, sa main maculée sur son anus, pour se branler avec ce lubrifiant naturel, en s'insérant 3 doigts.
Gilles passe ses bras sous mes épaules pour me soulever sans sortir de mon anus et me place en travers du canapé.
Il me claque plusieurs fois le cul, en se déchainant, avec des mots crus.
Ses cuisses claquent contre mes fesses, au même rythme que je gueule mon plaisir.
Corinne est excitée par le spectacle de l'homme qu'elle aime, subissant un trop plein de plaisir anal.
Cela doit faire plus de 50 minutes qu'il me défonce analement, il sait se contrôler en ralentissant son rythme, assez souvent.
Elle s'allonge près de moi, en se masturbant le cul avec ses doigts.
"Arhhhhhh ! Mon amour ! J'aimerai que mon amant soit là pour m'enculer aussi ! Arhhhhhhhhh !".
Gilles n'en peux plus, enfin ! Il explose en grognant, en me traitant de salope.
Corinne touche sa hampe pénienne, pour ressentir ses spasmes de déversement dans mon anus.
Elle se branle énergiquement la vulve et nous rejoint dans notre orgasme commun.
Gilles ne tient plus sur ses pieds, le plaisir l'a vidé, il me garde empalé sur lui et s'assoit sur le canapé.
Il m'oblige à rester ainsi, le dos collé sur son torse, à me laisser aller à ses longues caresses.
"J'ai adoré ! Les enfants ! C'était géant ! Je vous adore !".
Corinne ajoute qu'elle aussi, a pris un énorme plaisir.
Quand à moi, je gémis encore, à chaque léger mouvement de la queue de Gilles, dans mon cul.
"Et toi Pascal, ça t'as plu ?".
"Ahhhhhhhh ! Ca s'est pas assez entendu ? Ouhhhhhh ! Tu m'as éclaté le cul !".
"Ca vous déranges, si je reviens de temps en temps ?".
"Au contraire ! Tu reviens quand tu veux ! Pas vrai ! Pascal ?".
"Oui ! Mais laissez moi me remettre ! Putain ! Gilles ! Je peux me lever ?".
"Oui, c'est bon ! Ma petite salope ! T'as assuré encore ! Comme d'habitude !".
Il m'aide à quitter sa longue et grosse bite.
Corinne ne perd pas une seconde de notre séparation, elle admire la béance de mon anus, qui laisse échapper aussitôt, tout le foutre de Gilles en lui maculant le ventre et sa verge, qui s'est écrasée sur son pubis.
"Ouahhh ! Il y en a beaucoup ! Plus que la dernière fois !".
"Ben ! C'est normal ! C'est depuis ce jour là, que j'ai pas joui ! Je vous ai dit que je touchais plus ma femme !".
J'ajoute:
"Ouais, ben, je l'ai senti passer !".
On ricane, puis on se détend, chacun se fait une toilette intime précaire.
Je suis sujet à plusieurs flatulences anales polluées de rejets de sécrétions.
Les sujets de conversations sont très sexuels, il lui raconte ce qui se passe dans les lieux de rencontres entre hommes.
En revenant d'un déplacement aux toilettes pour m'essuyer l'anus, je retrouve ma belle qui se fait dévorer les seins par Gilles.
Elle lui caresse la bite, en même temps.
Gilles reprend de la vigueur entre ses doigts, elle glisse doucement vers sa verge.
Puis, entre deux empalements buccaux, elle me demande:
"Encules-moi ! Mon amour ! J'en ai envie !".
Je profite que la vue de ma belle qui suce la grosse queue de Gilles m'excite énormément, pour lui pénétrer l'anus.
J'adore lui écarteler les fesses, en fixant son anus que je défonce énergiquement.
Elle gémit de plus en plus puissamment, puis atteint l'orgasme anal complet en quelques minutes.
J'aime la voir subir son plaisir en s'étouffant sur la longue queue qu'elle suce.
"Elle a l'air d'adorer la sodo, elle aussi ! C'est une bonne salope ! Je vois !".
"Oui, elle adore ça !".
"Elle est bien ouverte, là ?".
"Oui, ça rentre tout seul, mais je devine ce que tu veux, ajoutes un peu de gel, quand même !".
Je quitte l'anus de ma belle et le recouvre abondamment de lubrifiant.
Gilles se redresse en plaçant Corinne en bout de canapé, elle s'affole un peu.
"Bébé ! Il va me casser le cul !".
"Chhhht ! Mon amour ! Je me suis laissé faire ! A toi, maintenant !".
"Mmmmmmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmmmm !".
Je lui ferme la bouche avec ma main, pendant que Gilles commence sa longue insertion anale en elle.
Il s'aide d'une main pour éviter que sa longue queue ne se plie et force plus aisément son œillet.
Il exerce plusieurs petits assauts, puis les parois de ma belle s'écartèlent assez pour le recevoir.
Il s'insère lentement, en lui déchirant l'anus, pendant qu'elle râle et se plaint:
"Arhhhhhhhhhhhh ! C'est gros ! Arrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhh ! Putain !".
Il la rassure:
"Chttt ! Tu verras ! Ca va aller mieux ! Tu vas beaucoup aimer ma bite ! Toi aussi !".
Il entame ses coulissements pervers, elle se cambre à chaque retour en elle.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! .....".
Je les laisse un instant pour me laver le sexe et reviens me faire sucer par ma belle.
Gilles parvient à amplifier ses aller retours, j'ai rarement vu Corinne prendre autant de plaisir anal.
La queue de Gilles cogne au fond de son cul, moins profondément qu'en moi, à cause de son manque de pratique.
Après de longues minutes de possession perverse, sous les insultes de Gilles, elle est prise de hurlements puissants.
C'est au bruit d'écoulements sur le carrelage que je comprends qu'elle gicle abondamment en se faisant éclater le cul.
Gilles est excité comme un dingue.
"Putain, c'est bon ça, c'est la première fois que ça m'arrive ! Je le voyais que dans des films ! Oh, putain, j'adore ta femme !".
J'ai quitté la bouche de ma belle pour assister à ses giclements.
Son visage montre à quel point, elle est remplie par le plaisir immense de cette saillie anale.
Elle n'a plus de réaction, elle a tout giclé de sa cyprine, puis elle supplie Gilles:
"Ohhhhh ! Stop ! Gilles ! Stop ! Tu m'as tout pris, j'en peux plus !".
Il recule lentement, et écarte ses lobes fessiers, son œillet se ferme et s'ouvre plusieurs fois tout seul, la faisant gémir.
"Je lui ai bien éclaté le cul ! T'en penses quoi ? Pascal ?".
"c'est sûr !".
Ma belle se tourne en se tenant l'entre fesses et me dit:
"Je sais pas comment tu fais, pour l'encaisser entièrement ! Et aussi longtemps ! Il m'a défoncée ! Je suis épuisée !".
Gilles me regarde avec perversité et annonce:
"Bon ! Tu vas devoir encore assurer, ma petite salope ! A toi, maintenant !".
"Oh Putain ! Je vais encore prendre cher ! T'es infatigable, quand tu recommences à me baiser ! C'est toujours pareil au Sex-shop !".
"Oui, mais t'aimes ça ! Non ?".
"Oui, mais tu vas me tuer de plaisir, encore !".
Il me prend par le bras et me place à l'autre bout du canapé.
Il prend le risque de ne pas se lubrifier le sexe, et force mon anus assez rapidement.
Dès qu'il glisse en moi, la sensibilité de mon anus, exacerbée par sa précédente enculade, me fait jouir instantanément.
Je hurle aussitôt.
"Arhhhhhh ! J'adore te faire gueuler comme ça ! Pascal !".
"Bon courage ! Mon amour !". Me dit ma femme.
Je plonge mon visage dans le coussin sous moi pour étouffer mes cris de plaisir, je prend plusieurs fessées en jouissant du cul.
Après plusieurs minutes, Gilles calme ses assauts et s'assoit sur le canapé.
"Viens sur moi, mon chéri !".
Je fais ce qu'il demande, et me fais baiser encore, pendant qu'il m'impose de nombreux baisers vicieux et goulus.
Notre accouplement dans cette position est interminable, mon sexe subit les frottements sur son ventre, en m'empalant sur sa bite.
L'inévitable arrive alors, je me répands de tout mon sperme entre nos deux corps.
Il me dit:
"Hummm ! Tu sais que j'aime, quand tu éjacules sur moi, comme ça ! Comme au Sex-shop !".
"Argggggggggghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiii! Arhhhhhhhhhhhhhh!".
"Tu l'aimes ma bite ! Elle te fait du bien ! Dis-le moi !".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je sens le regard de ma belle qui est fascinée par mon orgasme et mon déversement sur le ventre de Gilles.
"Je veux te baiser plus souvent, Pascal ! Tu veux que je le fasse ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Il nous tourne encore pour me défoncer sur le dos, en me soulevant les fesses et me coinçant le corps dans le fond du canapé.
Il aime me montrer sa pénétration, il sait que j'adore voir, comment il me possède.
Sa grosse bite est recouverte de jus anal, qui vient à présent, couler vers mon ventre.
Ses couilles sont trempées également et claquent contre mon cul.
J'enchaine les orgasmes, puis, je reconnais le moment que je redoutais.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Gilles ! Déplaces-moi, je vais couler !".
Il me soulève et me pose au sol, dans la même position, en s'acharnant de plus belle.
Mes écoulements m'inondent le ventre, le torse et le visage, pour maculer le sol.
Corinne est assise sur un fauteuil et se caresse plus doucement pour se donner un long plaisir vaginal, en nous regardant.
Mes écoulements n'en finissent plus, j'ai hâte qu'il atteigne le point culminant de son plaisir.
Enfin, je cesse peu à peu de me répandre sur moi, il m'encule encore longuement, puis il recule en un long mouvement, pour retirer son gros sexe de mon anus.
Il se masturbe énergiquement, je me redresse pour me placer, face à son gland.
Il commence à gémir plus fort, puis passe sa main derrière ma nuque.
Sa grosse queue me remplit la gorge, il crie son orgasme, en même temps qu'il déverse sa deuxième éjaculation de la journée.
"Arhhhhhhhhhh ! Oui, avales tout ! Salope ! Arhhhhhhhh ! Oh ! C'est trop boooooooooooonnnnnnnn ! Arhhhhhhhh !".
"Grllllllllllllllpp ! Grlllllllllllllllllpp ! Grlllllllllllllllllpp ! ...".
Corinne a depuis un moment, atteint sa jouissance, elle est affalée sur son fauteuil, prête à s'endormir d'épuisement.
Gilles et moi, nous profitons de cette lente et délicieuse retombée de bonheur sexuel, pour nous laisser aller aux caresses buccales, après éjaculation de sa belle queue.
Il me caresse tendrement le visage, pendant que je m'affaire à le remercier longuement, du bonheur qu'il m'a donné.
"Hummmmmmmmmm ! Même ça ! C'est bon, avec toi ! Mon chéri !".
"Hummmmmmm ! Merci, tu t'es surpassé aujourd'hui ! Encore ! Mmmmmmmmmmmm !".
Le froid causé par mes écoulements me pousse a nettoyer le sol, et aller prendre une douche ensuite.
Il me rejoint, puis ma belle prend ma place, quand je sors pour m'essuyer.
Gilles lui impose quelques baisers, après avoir fait la même chose avec moi.
Il lui demande de lui laver la bite, ce qu'elle accepte avec vice.
"J'arrive pas à croire que tu me l'as mise dans le cul ! Elle est grosse !".
"Et pourtant ! Tu l'as bien prise !".
"Ca va ? Tu as aimé ce qu'on a fait ?".
"J'ai adoré ! Mais il va falloir me laisser revenir plus souvent ! Au moins, deux à trois fois par mois ! Minimum !".
"Je demande pas mieux, mais tu m'enculeras pas tout le temps, tu viendras pour mon homme !".
"Bien sûr ! Ma belle ! Je m'éclate avec son cul ! Il m'encaisse mieux que toi ! il a l'habitude !".
Comme il est presque 19 h, on l'invite à manger, mais il nous quitte, pour ne pas inquiéter son épouse.
Nous n'aurions pas recommencer, trop repus de sexe.
mais, il m'a surpris en disant:
"Si, je peux me libérer, je passe demain !".
J'ai dormi comme jamais ! Ma belle est tombée deux heures avant moi.
Au petit matin, j'ai été sorti du sommeil par Gilles, complètement nu, sur moi.
J'étais sur le dos, il s'était enduit la queue de lubrifiant et commençait à m'enculer.
Ma femme l'avait laisser entrer discrètement.
La grosse queue de Gilles n'a pas tardé à se planter dans mon cul, me faisant crier de plaisir d'écartèlement anal.
"Arggggggggggghhhhhhhhhhh ! Putain ! Salaud ! C'est trop tôt ! Argggggggggghhhhhhhhhh !".
"Chhhtt ! Bonjour ! C'est ce qu'on doit dire, d'abord ! Mon p'tit cul chéri ! je t'ai jamais enculé dans cette position, c'est bon aussi ! Tu trouve pas ?".
"Arhhhhhhhhhhhggggg ! Arhhhhhhhhhhhggggg ! Arhhhhhhhhhhhggggg ! Oui ! Arhhhhhhhhhhhggggg !".
Il se sert des ressorts du lit pour m'enculer plus fort, en me poussant avec son ventre également.
Il a vraiment l'air d'aimer cette position, puisqu'il n'en change pas et me fait orgasmer plusieurs fois ainsi.
Il se met enfin à grogner et me serre puissamment contre lui pour se vider de toute son envie perverse de jouir en moi.
Ses déversements de sperme sont longs et abondants, je sens encore ses spasmes dans son canal urinaire.
Il m'impose de le garder sur moi et en moi, un long moment encore.
Puis il sort enfin de mon corps, et s'étonne:
"Tiens ! T'es un peu sale, ce matin !".
"Je suis désolé ! Gilles !".
Il se lève et va se laver la queue.
Je patiente un peu aux toilettes pour me vider l'anus, puis je passe sous la douche et me fais un lavement anal.
On a pu se voir de temps en temps. Nos moments libres étaient assez incompatibles.
Il sollicitait Corinne, en l'appelant, pour prévenir qu'il avait envie de me baiser.
Elle n'a jamais refusé !
Parfois, elle s'étonnait de ne plus le voir, je lui révélais alors, qu'on s'était vu au Sex-shop, dans la semaine.
Comme moi, il était accroc à l'ambiance de perversité qui y régnait.
On avait une nouvelle complicité depuis ce fameux jour de l'An, on avait osé se dire nos prénoms ! Il appelait souvent pour dire qu'il allait au Sex-shop afin que je le rejoigne.
Finalement, tout le monde a trouvé son bonheur dans cette relation, qui s'est étalée sur plusieurs années, avec de gros moments de creux.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment très excitant !