Soirée chez Nadège (1)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2014 dans la catégorie Plus on est
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Soirée chez Nadège (1)
Sophie se réveilla avant moi. Elle s’affairait dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Elle portait un teeshirt ample qui s’arrêtait juste sous ses fesses et dont dépassait le bout de son sexe. Elle était incroyablement sexy dans cette tenue, et si je n’avais pas été à la bourre je l’aurais bien prise sur la table au milieu des tartines et des bols de café chaud.
Je passais ma journée à penser à elle en sachant qu’il me faudrait attendre pour la revoir. Elle m’avait demandé de ne pas revenir avant une semaine, pour ne pas que s’installe une routine entre nous qui aurait tué notre belle harmonie sexuelle. J’étais déçu, mais je comprenais.
Je trainais un peu avant de retourner chez moi, profitant d’une belle fin d’après-midi aux accents printaniers. Je m’installais à la terrasse d’un café et bus une bière en regardant les gens passer.
Dans le salon, mes deux maitresses riaient aux éclats en compagnie de Nadège. Ce n’était pas la première fois que la belle blonde que nous avions rencontrée dans les toilettes d’un cinéma avant de nous retrouver chez elle pour un plan à quatre très sympathique venait nous voir. Si nous n’avions pour le moment jamais revu Francis, souvent en déplacement, Nina, qui l’aimait beaucoup, avait déjà invité Nadège à la rejoindre dans notre appartement.
La première fois Nina était restée seule avec Nadège. Comme elle nous le raconta, elle était tombée sous le charme de cette femme libre, belle, et à l’appétit sexuel aussi développé que celui de Nina. Les deux femmes avaient passé l’après-midi ensemble. Ce fut, des propres mots de Nina, une extase sexuelle, une explosion orgasmique.
Jalouse, Émilie avait à son tour voulu rencontrer cette bombe blonde de dix ans notre ainée. Mais cette fois-ci Nadège choisit de nous recevoir chez elle. Nous y débarquâmes Nina, Émilie et moi, Félix et Erwann préférant rester seuls. J’espérais retrouver Francis. La dernière fois j’avais été déçu de ne rien faire avec lui, ne serait-ce que le sucer. Je ne désespérais pas de lui faire prendre goût aux plaisirs homos. Hélas, Nadège était seule chez elle. Elle lut ma déception sur mon visage. Tout en venant m’embrasser, elle me dit que je ne serai pas le seul mec de la soirée, un de ses amis allait nous rejoindre.
— Et il sera content de trouver un ami ouvert comme toi.
Nadège avait allumé des bougies un peu partout dans son salon. Sur la table basse au milieu des sex-toys divers, lubrifiants et capotes, trois bouteilles de champagne reposaient dans des seaux à glace attendant que l’on se serve. Ce que nous fîmes sans nous faire prier.
Émilie se rapprocha de Nadège. Elle passa sa main sous la robe noire de notre hôtesse. Remonta le long de ses cuisses tout en partageant un baiser langoureux avec elle.
— Oh, fit Émilie, pas de culotte, madame est prévoyante.
— Je me sens beaucoup mieux quand j’ai le minou à l’air libre, répondit Nadège.
Émilie glissa au pied de Nadège, remonta la robe sur les hanches de celle-ci et dévoilant sa chatte rasée de près y plongea son visage. Nadège but une gorgée de champagne laissant sa nouvelle amie s’occuper d’elle.
Nina s’installa avec moi, elle sirotait son champagne en contemplant le spectacle, sa main glissant sur ma cuisse jusque vers ma braguette. D’un geste expert, elle fit sauter mes boutons et s’empara de mon sexe en pleine érection. Elle me branla avant d’avaler une gorgée de champagne, et la bouche encore pleine du breuvage pétillant de me sucer. Les bulles du champagne titillèrent ma bite, la fraicheur du liquide me tira un soupir. Nadège la regarda droit dans les yeux.
— À nos deux gourmandes, dit-elle en levant son verre.
Je trinquais à distance avec elle. Nina me suça tendrement, il n’était pas question de me faire jouir trop vite. Régulièrement elle reprenait une gorgée de champagne. Le contraste entre le chaud de sa bouche et le froid du breuvage était une douce torture.
J’avais une vue imprenable sur le cul d’Émilie moulé dans son jean, qui se tortillait à mesure qu’elle léchait la chatte de Nadège.
— Tu veux bien aller lui ôter son pantalon, dis-je à Nina, j’ai très envie de la prendre en levrette pendant qu’elle bouffe Nadège.
Nina s’empressa de m’obéir, libérant les fesses d’Émilie de leur prison textile. Mais, au lieu de me laisser la place, elle se mit à lui bouffer le cul.
— Prends-moi plutôt, dit Nina en me tendant sa croupe.
Je ne perdais pas au change et je me glissais dans la chatte de Nina. Tous les autres alignés dans ce salon bourgeois, éclairé par une multitude de bougies nous eûmes notre premier orgasme de la soirée. Premier d’une longue série.
Après cette mise en bouche, Nadège alla nous chercher de quoi manger. Elle déposa sur des plateaux couverts d’amuse-bouche variés. Foie gras, saumon, crabe, et autres mets fins.
— Il faut savoir se faire plaisir, dit Nadège en souriant, pas seulement avec le cul, mais aussi avec la bouche.
— Ma bouche ne t’a pas fait plaisir, s’inquiéta Émilie dans un sourire ?
— Si ma belle, tu es une bonne petite gourmande, et ta langue fait des merveilles sur moi, lui répondit Nadège, tu aimes la chatte, ça se voit, mais il y a d’autres plaisirs de bouche. Et puis la nuit risque d’être longue, autant prendre des forces.
Champagne, petits fours et sexe. Nous avions droit à un traitement royal. L’arrivée d’un nouveau convive me fit penser, à juste titre, que ce qui était déjà très bien allait être encore meilleur.
Je passais ma journée à penser à elle en sachant qu’il me faudrait attendre pour la revoir. Elle m’avait demandé de ne pas revenir avant une semaine, pour ne pas que s’installe une routine entre nous qui aurait tué notre belle harmonie sexuelle. J’étais déçu, mais je comprenais.
Je trainais un peu avant de retourner chez moi, profitant d’une belle fin d’après-midi aux accents printaniers. Je m’installais à la terrasse d’un café et bus une bière en regardant les gens passer.
Dans le salon, mes deux maitresses riaient aux éclats en compagnie de Nadège. Ce n’était pas la première fois que la belle blonde que nous avions rencontrée dans les toilettes d’un cinéma avant de nous retrouver chez elle pour un plan à quatre très sympathique venait nous voir. Si nous n’avions pour le moment jamais revu Francis, souvent en déplacement, Nina, qui l’aimait beaucoup, avait déjà invité Nadège à la rejoindre dans notre appartement.
La première fois Nina était restée seule avec Nadège. Comme elle nous le raconta, elle était tombée sous le charme de cette femme libre, belle, et à l’appétit sexuel aussi développé que celui de Nina. Les deux femmes avaient passé l’après-midi ensemble. Ce fut, des propres mots de Nina, une extase sexuelle, une explosion orgasmique.
Jalouse, Émilie avait à son tour voulu rencontrer cette bombe blonde de dix ans notre ainée. Mais cette fois-ci Nadège choisit de nous recevoir chez elle. Nous y débarquâmes Nina, Émilie et moi, Félix et Erwann préférant rester seuls. J’espérais retrouver Francis. La dernière fois j’avais été déçu de ne rien faire avec lui, ne serait-ce que le sucer. Je ne désespérais pas de lui faire prendre goût aux plaisirs homos. Hélas, Nadège était seule chez elle. Elle lut ma déception sur mon visage. Tout en venant m’embrasser, elle me dit que je ne serai pas le seul mec de la soirée, un de ses amis allait nous rejoindre.
— Et il sera content de trouver un ami ouvert comme toi.
Nadège avait allumé des bougies un peu partout dans son salon. Sur la table basse au milieu des sex-toys divers, lubrifiants et capotes, trois bouteilles de champagne reposaient dans des seaux à glace attendant que l’on se serve. Ce que nous fîmes sans nous faire prier.
Émilie se rapprocha de Nadège. Elle passa sa main sous la robe noire de notre hôtesse. Remonta le long de ses cuisses tout en partageant un baiser langoureux avec elle.
— Oh, fit Émilie, pas de culotte, madame est prévoyante.
— Je me sens beaucoup mieux quand j’ai le minou à l’air libre, répondit Nadège.
Émilie glissa au pied de Nadège, remonta la robe sur les hanches de celle-ci et dévoilant sa chatte rasée de près y plongea son visage. Nadège but une gorgée de champagne laissant sa nouvelle amie s’occuper d’elle.
Nina s’installa avec moi, elle sirotait son champagne en contemplant le spectacle, sa main glissant sur ma cuisse jusque vers ma braguette. D’un geste expert, elle fit sauter mes boutons et s’empara de mon sexe en pleine érection. Elle me branla avant d’avaler une gorgée de champagne, et la bouche encore pleine du breuvage pétillant de me sucer. Les bulles du champagne titillèrent ma bite, la fraicheur du liquide me tira un soupir. Nadège la regarda droit dans les yeux.
— À nos deux gourmandes, dit-elle en levant son verre.
Je trinquais à distance avec elle. Nina me suça tendrement, il n’était pas question de me faire jouir trop vite. Régulièrement elle reprenait une gorgée de champagne. Le contraste entre le chaud de sa bouche et le froid du breuvage était une douce torture.
J’avais une vue imprenable sur le cul d’Émilie moulé dans son jean, qui se tortillait à mesure qu’elle léchait la chatte de Nadège.
— Tu veux bien aller lui ôter son pantalon, dis-je à Nina, j’ai très envie de la prendre en levrette pendant qu’elle bouffe Nadège.
Nina s’empressa de m’obéir, libérant les fesses d’Émilie de leur prison textile. Mais, au lieu de me laisser la place, elle se mit à lui bouffer le cul.
— Prends-moi plutôt, dit Nina en me tendant sa croupe.
Je ne perdais pas au change et je me glissais dans la chatte de Nina. Tous les autres alignés dans ce salon bourgeois, éclairé par une multitude de bougies nous eûmes notre premier orgasme de la soirée. Premier d’une longue série.
Après cette mise en bouche, Nadège alla nous chercher de quoi manger. Elle déposa sur des plateaux couverts d’amuse-bouche variés. Foie gras, saumon, crabe, et autres mets fins.
— Il faut savoir se faire plaisir, dit Nadège en souriant, pas seulement avec le cul, mais aussi avec la bouche.
— Ma bouche ne t’a pas fait plaisir, s’inquiéta Émilie dans un sourire ?
— Si ma belle, tu es une bonne petite gourmande, et ta langue fait des merveilles sur moi, lui répondit Nadège, tu aimes la chatte, ça se voit, mais il y a d’autres plaisirs de bouche. Et puis la nuit risque d’être longue, autant prendre des forces.
Champagne, petits fours et sexe. Nous avions droit à un traitement royal. L’arrivée d’un nouveau convive me fit penser, à juste titre, que ce qui était déjà très bien allait être encore meilleur.
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