Soirée coquine à Cayenne - histoire érotique

Il y a déjà quelques temps que je ne me baladais plus sur les sites internet ! Cependant, mes jours de repos en Guyane, par ce temps de pluies, sont longs !

Lundi après-midi, j’ai décidé de m’inscrire sur un site dont le nom est pour le moins suggestif : « cokines…. » et qui laisse présager de rencontres sexuelles faciles. Donc lundi soir, après avoir reçu les habituels faux messages t’incitant à payer pour pouvoir les lire, je reçois le message d’un profil réel.

Je réponds, et très vite elle me donne son numéro de téléphone pour discuter plus facilement. Il est minuit et je l’appelle. Elle me raconte qu’elle est maman, séparée de son mec depuis un bon moment déjà, et qu’après s’être occupée de ses enfants pendant des années, elle veut se sentir « femme » de nouveau ! J’ai bien vu dans son profil qu’elle est assez forte, mais les guyanaises savent se faire belles quand elles veulent croquer les hommes.


Je me renseigne de ses disponibilités, et lui propose que nous nous voyions l’après-midi suivant, puisqu’elle finit le travail à 13h30 et qu’elle doit récupérer ses enfants à 16h. Je l’appelle un peu après 13h30, je n’ai pas de nouvelles ! 14h30, toujours rien ! Je laisse tomber pour l’après midi !

En soirée, je lui envoie un message via le site de rencontre, en lui disant que je suis déçu de ne pas avoir pu la joindre. Je lui laisse de nouveau mon numéro de portable. Quelques minutes plus tard, je reçois un texto de sa part, ce qui me redonne espoir !

Je lui explique que j’ai entrainement de sport mais si elle veut je peux passer après, en mode très décontracté ! Elle accepte.

Vers 22h, je l’appelle, elle me donne son adresse, et je suis accueilli par un enfant. Il va vite se coucher, et je peux enfin discuter et faire plus ample connaissance avec sa maman.
Elle est très timide, et m’avoue que cet après-midi, elle a eu peur et donc est restée plus tard au travail, afin de ne pas me voir.
Tout le temps que nous discutons, je sens cette femme hésiter dans ses gestes, elle n’ose pas faire le premier pas !

J’aime cette timidité. Je m’approche donc un peu plus d’elle et commence à l’embrasser, tout en lovant ma main sur sa joue afin qu’elle ne recule pas. Une fois qu’elle s’est détendue, je continue mes baisers et parcours son corps avec mes mains, au-dessus de sa robe. En glissant de son dos à ses fesses, je ne remarque pas d’élastique ou autre ficelle, indiquant au passage qu’elle est nue sous sa petite robe et qu’elle n’est donc peut-être pas si timide que ça !


Tout en continuant à nous embrasser, je passe alors ma main sous sa robe, à la recherche de ses lèvres.
A ma grande surprise, tout est proportionnel chez elle : elle est très forte (son profil était vrai), et a de très grandes lèvres. Elle devait se faire démonter par un gros black avant, j’ai peur de flotter.
Avant d’aller plus loin, elle me propose de nous mettre sur son matelas, afin d’être plus à l’aise et pouvoir nous caresser comme nous le voulons. Etant de nature très entreprenante, je profite de l’allonger sur le dos pour descendre le long de son corps avec ma bouche ; je lui titille le bout des seins, embrasse son ventre rond, et arrive à son sexe.

Une forte odeur soulève mes narines, et me révèle qu’elle est déjà bien chaude, et qu’elle a uriné il y a peu. Prenant mon courage à deux mains, je fourre ma langue dans son sexe, afin de l’exciter encore un peu. Cependant, je me rends compte qu’avec un sexe comme le sien, je vais avoir du mal à lui donner du plaisir avec ma petite langue, son bouton n’étant que peu réceptif.

Je remonte sur elle, l’embrasse à pleine bouche avant qu’elle ne se mette en position assise. Elle prend alors mon sexe en bouche qui lui est propre, puisque j’ai pris ma douche après le sport, et commence à me sucer avec beaucoup de plaisir. J’aime sa manière de s’occuper de moi, car peu de femmes ici acceptent les pipes le premier soir.

Avant de continuer, je sors un préservatif de mon sac, qu’elle prend plaisir à m’installer sur ma colonne de chair, assez volumineuse après la gâterie.
Elle s’allonge sur le dos, écartes ses cuisses, et j’ai plaisir à m’introduire facilement dans son sexe humide et large.

Comme je le redoutais, je flotte un peu, mais ma manière de la pénétrer semble efficace, puisque je vois du plaisir dans son regard. Je la travaille, lentement, en allant le plus loin possible, afin de voir ses réactions, et j’accélère petit à petit. Elle en veut plus, et me prend par les fesses pour forcer mon mouvement ; si elle savait….
J’aimerais tellement qu’elle me chatouille l’anus, il parait que ça décuple la jouissance.
Elle n’ose peut être pas, mais le simple fait que j’y pense me fait jouir. Je ne veux pas la laisser sur sa faim, voyant qu’elle était également proche de la jouissance, donc j’enfile un nouveau préservatif et reviens à l’assaut.

Quelques minutes de ce traitement la font chavirer, et je suis obligé de lui mettre ma main sur la bouche tellement elle crie, car j’ai peur qu’elle réveille ses enfants. Elle est en transe complète, je me retire d’elle, et j’essaye de la caresser pour la faire jouir une nouvelle fois sans pénétration.

Son abricot est tellement sensible, et elle est encore tellement bouleversée que je m’approche d’elle pour l’embrasser sur la bouche, et je l’aide à reprendre ses esprits.
Nous buvons alors un bon verre d’eau fraiche, et je me retire tranquillement, la laissant dans ses songes, avec la satisfaction de lui avoir donné un plaisir qu’elle n’avait plus depuis longtemps.