Soirée entre amis
Récit érotique écrit par Ambre-34 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Soirée entre amis
Je m’appelle Carine, et voici ma soirée chez mes amis Sabine et Pierre. J’ai bossé avec Sabine pendant plusieurs années. Nous sortions parfois toutes les deux avec d’autres copines ou tous les 3 en club. J’allais aussi chez eux diner, mon appartement étant trop petit. Eux, en revanche possède une grande maison avec jardin et piscine. Un lieu très accueillant, chaleureux, un petit paradis intimiste. J’arrive en voiture vers 19H30 et me gare sur leur parking, Pierre vient à ma rencontre et ferme le lourd portail occultant derrière moi. Pierre est le mari de Sabine depuis 2002. C’est un gaillard massif d’environ 1.70 et 90 kg. Ancien rugbyman et militaire, il s’est un peu empâté ces dernières années, mais on sent la force et la puissance dans ses gestes. Il est d’un charme fou, avec ses cheveux tous blancs malgré ses 55 ans. Il m’embrasse gentiment, et me demande si la route s’est bien passée (18 km). Une phrase banale de bienvenue. Sabine apparait devant la baie vitrée, souriante et toujours aussi jolie, elle, blonde, mince avec de beaux yeux bleus. On s’embrasse amicalement et même affectueusement comme on a l’habitude de le faire. Nous ne nous voyons pas souvent, mais nous avons toujours plaisir à se voir. On aime toutes les deux danser, et chaque soirée, la musique nous accompagne. Pierre lui, ne danse pas, mets la musique de son téléphone sur le haut-parleur connecté et nous regarde se déhancher. C’est toujours des soirées sympas avec eux. La table est mise sur la terrasse, mais le barbecue au feu de bois, n’est pas encore allumé. Faut dire que les apéros chez eux trainent toujours un peu. Ce n’est pas pour me déplaire. Je pense que le repas est un prétexte à boire un coup plus qu’autre chose. Mais nous mangeons toujours, et toujours de bons petits plats, car Pierre aime bien cuisiner et nous fait toujours tester de nouvelles recettes. Après les échanges de bienvenue et de remerciements, nous nous asseyons au salon de jardin sous la pergola près de la piscine. Il fait chaud, nous sommes en juillet. Pierre est en short et t-shirt basique, normal il s’occupe du feu de bois, et ne veut pas abîmer ses beaux vêtements. Marie est habillée avec une robe verte à motifs, légère, fluide assez courte, mais sans plus. Je pense qu’elle porte un string, j’ai vu la marque sous sa robe toute à l’heure lorsque qu’elle s’est penchée. Selon moi, elle ne porte pas de soutif. Et moi, je ne me suis pas décrite. Petite brune de 44 ans, aux cheveux courts, yeux noisette et malicieux. Je porte un short en jeans découpé aux ciseaux et un débardeur jaune à fines bretelles. Petite précision, je porte un soutif.
Sabine me sert un verre de blanc, sans me demander, elle me connait bien. Se sert la même chose, alors que Pierre est allé en cuisine surveiller ses plats, et se servir un Ricard, bien dosé. On trinque, et l’apéro est officiellement déclaré ouvert. Les verres s’enchaînent, Pierre fait toujours ses aller-retours en cuisine, et nous discutons à bâtons rompus de mon nouveau job, de celui de Sabine, des mes amours inexistantes… La soirée est sympa, nous allons passer à table, à mon grand étonnement vu l’heure. Pierre a allumé le feu, servi la salade de thon et œufs. Sabine me ressert un blanc, se sert aussi. Je lui dis, doucement sur le blanc, sinon on ne sait pas comment va finir la soirée. Sabine me rétorque « mieux que d’habitude j’espère ». Cette réponse m’interpelle un peu, j’avoue ne pas trop savoir ce qu’elle veut dire. Je reste perplexe, et Sabine me voyant réfléchir, renchérit en riant « peut-être plus fun et plus détendue qu’à l’habitude ».
Moi : Plus détendue que d’habitude ? On n’est pas détendues en soirée ?
Sabine : Oui, mais je voulais dire, moins sur la retenue, et pourquoi pas se lâcher un peu !
Moi : Se lâcher comment ? Tous les 3 ? Tu penses à quoi ?
Sabine : Déjà on mange, on danse, mais ce serai peut-être sympa de finir la soirée différemment. Je ne sais pas vraiment, mais j’ai l’impression, qu’on a plaisir à se voir, mais qu’il faudrait peut-être se dire ce que nous avons vraiment envie de faire ensemble.
Moi : Tu penses que je viens pour autre chose ? Ce serait pour quoi selon toi ?
Pierre est silencieux, et écoute avec amusement notre échange. Pierre ne parle jamais beaucoup. Faut dire, qu'on prend toute la place.
Sabine : Je ne sais pas c’est dur à dire comme ça de but en blanc, mais on pourrait essayer de faire de nouveaux trucs ensemble, toutes les deux.
Moi : Ok, tu fais allusion à une vieille discussion au boulot, où je te disais que je ne voulais pas mourir bête, et essayer avec une femme, c’est ça ?
Sabine : Ben oui. Moi aussi, j’ai des choses à faire avant de partir, et je me dis, que si toutes les deux on est d’accords, on pourrait tester ensemble, on se connait bien, pas de jugements entre nous, et si ça ne colle pas, si une de nous se dégonfle ce n’est pas grave.
Moi : Et Pierre dans tout ça ?
Sabine : Pierre, restera en retrait, je ne supporterai pas qu’il touche une autre femme, ce n’est pas dans notre deal.
Moi : Deal ? Vous avez déjà discuté de ça entre vous, et préparez cette soirée dans cette perspective ? Allons bon.
Sabine : quoi, tu es choquée ? Tu rigoles ? c’est toi qui m’en as parlé en premier. Et j’avoue que l’idée chez moi, a fait son chemin. Pierre est d’accord, ils nous regardent si cela ne nous gêne pas, il peut aussi s’éclipser si on le souhaite. Et puis, s’il reste, il aura le droit de mater, s’il le veut se faire du bien. Si c’est trop dur pour lui, je pourrais aussi le calmer à ma manière ! Qu’en dis-tu ?
Moi : ben, comme ça là, je ne sais pas. C’est assez soudain comme proposition, même si parfois, j’y ai pensé, dans nos soirées. La dernière ici, nous n’étions pas seuls, mais c’est vrai, que ce soir, c’est peut-être une bonne occasion à ne pas rater. Mais je ne sais pas si je vais y arriver.
Sabine : Pas grave, laissons faire les choses et si on a envie, cela se fera naturellement. En revanche, je dis ça, mais je ne sais pas moi non plus, si je vais arriver à prendre les initiatives.
Moi : faut voir, mais faut que je boive un coup d’abord. J’en ai besoin.
Sabine se lève et vient vers moi, en souriant, passe derrière ma chaise et mets ses mains sur mes épaules. Une chaleur m’envahie, et je sens déjà des picotements dans le bas-ventre, je pense que je rougis, et Pierre l’a vu. Il me voit troublée par ce contact, désormais différent entre nous. Il sourit, et demande à Sabine, de descendre un peu ses mains sur mon cou, et sur le haut de ma poitrine. Elle s’exécute, et descend maintenant ses mains vers mes seins. Elle teste mes réactions. Je n’en ai pas, du moins extérieurement, en moi, une chaleur intense m’assailli, et ma poitrine se durcie. Je sens mes tétons gonfler et durcir. Je prends du plaisir à ce que Sabine me plote les seins. Je commence à me trémousser sur ma chaise. Le plaisir devient de plus en plus présent, Sabine le ressent et maintenant passe ses mains sous mon débardeur. Je ne bronche pas, mais je pense avoir fermé les yeux un instant. Je ne sais pas quoi faire, d’autant que mes mains, semblent vouloir aller directement vers mon entre jambe. Je me caresse les cuisses langoureusement. Sabine continue de me caresser les seins, Pierre ne dit rien, regarde n’en perd pas une miette. Il savoure.
Mais au lieu d’aller vers mon sexe, mes mains rejoignent celles de Sabine, comme pour la guider dans ma recherche de plaisir. Elle se pense vers moi, et m’embrasse dans le cou. Je suis très excitée, et espère qu’elle aille encore plus loin, je la laisse faire, voire même, je l’encourage à continuer. Elle me couvre de baisers dans le cou, je penche la tête vers la gauche pour lui laisser un peu plus de place, tandis que mes mains continuent d’accompagner les siennes. Sans m’en apercevoir, je tourne la tête et cherche sa bouche pour l’embrasser. Elle se tourne aussi, et voici nos langues entremêlées, un patin, comme on dit, sublime. Langoureux, fougueux. Quelle drôle de sensation, que c’est agréable, cette bouche féminine fine et charnelle. Je décide de me lever, comme pour lui rendre son baiser. Nous sommes debout, toutes les deux, enlacées et on s’embrasse goulument. Je descends mes mains sur ses hanches, presque mécaniquement. Je passe une main sous sa robe, elle ne bronche pas, mais je sens son désir monter en elle. Elle se rapproche de moi, comme pour me demander de la serrer fort contre moi. Je touche maintenant son string, je l’imagine noir, très fin. Elle bouge ses hanches d’avant en arrière comme pour m’inciter à faire de même avec mes mains. Elle a l’air très à l’aise, alors que pour elle aussi c’est la première fois.
Tout à coup, elle me repousse légèrement, et me dis viens. Elle me prend par la main et se dirige vers le grand canapé en U du salon. Elle s’assied, et me mets devant elle, et tire mon débardeur vers le haut, en me faisant comprendre qu’il faut que je l’enlève. Je prends le relai, tandis que ses mains attrapent mon short. Elle commence à me déboutonner la braguette. Mon débardeur est au sol, mon short aux chevilles. Quelle sensation, je n’en reviens pas. Naturellement, je dégrafe mon soutien-gorge, et le jette aussi au sol. Elle se relève et enlève sa robe. Nous sommes en string toutes les deux. Elle se baisse et m’entraine sur le canapé. On s’enlace, s’embrasse, nous commençons à nous toucher mutuellement, désormais c’est sur nos sexes que nous posons nos mains. Elle passe sa main dans mon string, et commence à me caresser les lèvres. C’est la première fois qu’une femme me fait ça. C’est extraordinaire, hallucinant l’excitation qui est en moi, et l’état dans lequel je suis. J’ai l’impression que je vais jouir. De mon côté, j’essaie de ne pas m’abandonner trop vite et tâche de lui faire plaisir comme elle sait me le faire. Je sans sa vulve humide, inondée, son pubis est super lisse, sûre qu’elle avait prévu le coup. Ça me rend dingue, ce minou si bien entretenu, glabre. Elle enlève son string, et retire le mien. Ça y est, je suis nue chez Sabine, quelle sensation !
Mais Pierre dans tout ça ? Je ne le vois pas dans la pièce, je pense qu’il nous mate discrètement. Il aurait tort de ne pas le faire, je pense que le spectacle doit être très excitant. Moi-même, je me masturberais si je voyais une telle scène. Mais là, c’est Sabine qui maintenant me caresse le clitoris, passe ses doigts entre mes lèvres, pour finir dans ma chatte. Elle me doigte, doucement, avec deux doigts. Je n’en peux plus. J’ai envie de m’abandonner mais, je dois lui donner le change, et lui faire plaisir aussi. Et là, comme pour abréger la situation qui devient explosive, je décide de me relever et d’aller chercher son clitoris avec ma bouche. C’est une première pour moi, je ne sais pas si je vais y arriver, mais j’ai très envie de lui donner ce que personne d’autre n’a eu de moi. Je m’étonne à prendre son sexe en bouche, j’ai une folle envie de le sucer, le lécher, rentrer ma langue dans son trou. Je suis à fond. Sa cyprine s’étale autour de ma bouche, coule dans mon cou. Je lèche son clitoris sans retenue. Je le lape. Elle se trémousse, gémit, elle écarte les jambes, comme pour m’inciter à faire plus, plus vite, plus fort. Puis elle se relève, m’embrasse à pleine bouche et se tourne, pour qu’elle aussi puisse accéder à mon minou.
Je croyais être au bout de mon plaisir, à son paroxysme, eh bien non. Elle rentre sa langue entre mes lèvres, la tourne comme pour me rouler un patin, c’est divin. Me suce le clitoris, je sens ma mouille dégouliner jusqu’à mon anus. Tiens, je l’avais oublié celui-là. Quel bonheur, un 69 avec une femme. C’est extraordinaire. Je n’ai plus les mots. De mon côté, je continue de la lécher avec fougue, je suis à fond. J’ai une super vue de là où je suis. Je vois ses fesses bien écartées par mes mains, je les ouvre, les referme. Elle aime bien on dirait. Je passe mon doigt entre ses fesses pour l’humidifier, et me rapproche de son petit trou. Fais un tour dessus, dessine des cercles concentriques. Elle continue de me sucer divinement bien, mais je sens des petites réactions à mon doigt. Je décide de l’enfoncer dans son anus. Elle gémit à nouveau. Elle aime ça la petite cochonne.
Mais où je suis, qu’est-ce que je fais là ? Je venais manger chez des amis, et me voilà le doigt dans son cul et elle qui me lèche. C’est du délire, mais quel bonheur. Pourquoi j’ai attendu autant de temps pour gouter à ces plaisirs saphiques. Mais Pierre ? Où est-il ? Le voilà, près du canapé, il est à poil. Non nue, car lui aussi est bien lisse. J’aperçois ses couilles parfaitement rasées. Il se caresse doucement, son gland est toujours dehors, il doit être circoncis, mais ce n’est pas par religion. C’est très excitant de le voir se masturber devant nous. J’adore son gland bien rouge, assez épais, sa queue n’est pas super longue, mais on sent la puissance. Ces plaisirs lesbiens n’enlèvent rien au fait que j’aime profondément les hommes, et j’avoue que lui m’a toujours plu, et j’ai même fait des petites séances de caresses en pensant à lui. Alors le voir nu, devant nous, alors que sa femme me lèche c’est une sensation indescriptible. J’en perds les mots.
Sabine ralenti son rythme, puis accélère à nouveau comme pour me dire, aller on y va, on se fait jouir, pour se calmer un peu. On ira boire un coup, et on reprendra si tu le souhaite. Elle accélère encore et je me sens partir. A mon tour j’accélère pour essayer de synchroniser nos orgasmes. Je joui, bon dieu que c’est bon, je gémis, je me retiens, mais c’est plus fort que moi, je vais gueuler de plaisir. Sabine, de son côté m’entendant gémir se met à râler de plaisir, elle joui aussi, tant pis je me lâche. Je joui, bien fort, crie presque. Elle ne se gêne pas, elle crie de toutes ses forces, ce qui décuple mon plaisir. Je suis épuisée. Je me relâche, m’étends sur le canapé. Je n’en peux plus. Sabine, se relève, se tourne, me regarde et me sourit.
Elle me dit : « j’ai adoré, pour une première c’était génial. Et toi ? » Je lui réponds par un sourire et un soupir. Elle a compris. Je me touche le sexe, pour savoir si tout va bien, s’il est toujours là. Mon clitoris est gonflé, ultrasensible. Quelle soirée ! Je me retourne, et vois Pierre qui visiblement s’est synchronisé avec nous, la ma main pleine de sperme toujours debout devant nous. Lui aussi a apprécié. Je meurs d’envie, aller le sucer, mais il y a le deal.
Sabine me sert un verre de blanc, sans me demander, elle me connait bien. Se sert la même chose, alors que Pierre est allé en cuisine surveiller ses plats, et se servir un Ricard, bien dosé. On trinque, et l’apéro est officiellement déclaré ouvert. Les verres s’enchaînent, Pierre fait toujours ses aller-retours en cuisine, et nous discutons à bâtons rompus de mon nouveau job, de celui de Sabine, des mes amours inexistantes… La soirée est sympa, nous allons passer à table, à mon grand étonnement vu l’heure. Pierre a allumé le feu, servi la salade de thon et œufs. Sabine me ressert un blanc, se sert aussi. Je lui dis, doucement sur le blanc, sinon on ne sait pas comment va finir la soirée. Sabine me rétorque « mieux que d’habitude j’espère ». Cette réponse m’interpelle un peu, j’avoue ne pas trop savoir ce qu’elle veut dire. Je reste perplexe, et Sabine me voyant réfléchir, renchérit en riant « peut-être plus fun et plus détendue qu’à l’habitude ».
Moi : Plus détendue que d’habitude ? On n’est pas détendues en soirée ?
Sabine : Oui, mais je voulais dire, moins sur la retenue, et pourquoi pas se lâcher un peu !
Moi : Se lâcher comment ? Tous les 3 ? Tu penses à quoi ?
Sabine : Déjà on mange, on danse, mais ce serai peut-être sympa de finir la soirée différemment. Je ne sais pas vraiment, mais j’ai l’impression, qu’on a plaisir à se voir, mais qu’il faudrait peut-être se dire ce que nous avons vraiment envie de faire ensemble.
Moi : Tu penses que je viens pour autre chose ? Ce serait pour quoi selon toi ?
Pierre est silencieux, et écoute avec amusement notre échange. Pierre ne parle jamais beaucoup. Faut dire, qu'on prend toute la place.
Sabine : Je ne sais pas c’est dur à dire comme ça de but en blanc, mais on pourrait essayer de faire de nouveaux trucs ensemble, toutes les deux.
Moi : Ok, tu fais allusion à une vieille discussion au boulot, où je te disais que je ne voulais pas mourir bête, et essayer avec une femme, c’est ça ?
Sabine : Ben oui. Moi aussi, j’ai des choses à faire avant de partir, et je me dis, que si toutes les deux on est d’accords, on pourrait tester ensemble, on se connait bien, pas de jugements entre nous, et si ça ne colle pas, si une de nous se dégonfle ce n’est pas grave.
Moi : Et Pierre dans tout ça ?
Sabine : Pierre, restera en retrait, je ne supporterai pas qu’il touche une autre femme, ce n’est pas dans notre deal.
Moi : Deal ? Vous avez déjà discuté de ça entre vous, et préparez cette soirée dans cette perspective ? Allons bon.
Sabine : quoi, tu es choquée ? Tu rigoles ? c’est toi qui m’en as parlé en premier. Et j’avoue que l’idée chez moi, a fait son chemin. Pierre est d’accord, ils nous regardent si cela ne nous gêne pas, il peut aussi s’éclipser si on le souhaite. Et puis, s’il reste, il aura le droit de mater, s’il le veut se faire du bien. Si c’est trop dur pour lui, je pourrais aussi le calmer à ma manière ! Qu’en dis-tu ?
Moi : ben, comme ça là, je ne sais pas. C’est assez soudain comme proposition, même si parfois, j’y ai pensé, dans nos soirées. La dernière ici, nous n’étions pas seuls, mais c’est vrai, que ce soir, c’est peut-être une bonne occasion à ne pas rater. Mais je ne sais pas si je vais y arriver.
Sabine : Pas grave, laissons faire les choses et si on a envie, cela se fera naturellement. En revanche, je dis ça, mais je ne sais pas moi non plus, si je vais arriver à prendre les initiatives.
Moi : faut voir, mais faut que je boive un coup d’abord. J’en ai besoin.
Sabine se lève et vient vers moi, en souriant, passe derrière ma chaise et mets ses mains sur mes épaules. Une chaleur m’envahie, et je sens déjà des picotements dans le bas-ventre, je pense que je rougis, et Pierre l’a vu. Il me voit troublée par ce contact, désormais différent entre nous. Il sourit, et demande à Sabine, de descendre un peu ses mains sur mon cou, et sur le haut de ma poitrine. Elle s’exécute, et descend maintenant ses mains vers mes seins. Elle teste mes réactions. Je n’en ai pas, du moins extérieurement, en moi, une chaleur intense m’assailli, et ma poitrine se durcie. Je sens mes tétons gonfler et durcir. Je prends du plaisir à ce que Sabine me plote les seins. Je commence à me trémousser sur ma chaise. Le plaisir devient de plus en plus présent, Sabine le ressent et maintenant passe ses mains sous mon débardeur. Je ne bronche pas, mais je pense avoir fermé les yeux un instant. Je ne sais pas quoi faire, d’autant que mes mains, semblent vouloir aller directement vers mon entre jambe. Je me caresse les cuisses langoureusement. Sabine continue de me caresser les seins, Pierre ne dit rien, regarde n’en perd pas une miette. Il savoure.
Mais au lieu d’aller vers mon sexe, mes mains rejoignent celles de Sabine, comme pour la guider dans ma recherche de plaisir. Elle se pense vers moi, et m’embrasse dans le cou. Je suis très excitée, et espère qu’elle aille encore plus loin, je la laisse faire, voire même, je l’encourage à continuer. Elle me couvre de baisers dans le cou, je penche la tête vers la gauche pour lui laisser un peu plus de place, tandis que mes mains continuent d’accompagner les siennes. Sans m’en apercevoir, je tourne la tête et cherche sa bouche pour l’embrasser. Elle se tourne aussi, et voici nos langues entremêlées, un patin, comme on dit, sublime. Langoureux, fougueux. Quelle drôle de sensation, que c’est agréable, cette bouche féminine fine et charnelle. Je décide de me lever, comme pour lui rendre son baiser. Nous sommes debout, toutes les deux, enlacées et on s’embrasse goulument. Je descends mes mains sur ses hanches, presque mécaniquement. Je passe une main sous sa robe, elle ne bronche pas, mais je sens son désir monter en elle. Elle se rapproche de moi, comme pour me demander de la serrer fort contre moi. Je touche maintenant son string, je l’imagine noir, très fin. Elle bouge ses hanches d’avant en arrière comme pour m’inciter à faire de même avec mes mains. Elle a l’air très à l’aise, alors que pour elle aussi c’est la première fois.
Tout à coup, elle me repousse légèrement, et me dis viens. Elle me prend par la main et se dirige vers le grand canapé en U du salon. Elle s’assied, et me mets devant elle, et tire mon débardeur vers le haut, en me faisant comprendre qu’il faut que je l’enlève. Je prends le relai, tandis que ses mains attrapent mon short. Elle commence à me déboutonner la braguette. Mon débardeur est au sol, mon short aux chevilles. Quelle sensation, je n’en reviens pas. Naturellement, je dégrafe mon soutien-gorge, et le jette aussi au sol. Elle se relève et enlève sa robe. Nous sommes en string toutes les deux. Elle se baisse et m’entraine sur le canapé. On s’enlace, s’embrasse, nous commençons à nous toucher mutuellement, désormais c’est sur nos sexes que nous posons nos mains. Elle passe sa main dans mon string, et commence à me caresser les lèvres. C’est la première fois qu’une femme me fait ça. C’est extraordinaire, hallucinant l’excitation qui est en moi, et l’état dans lequel je suis. J’ai l’impression que je vais jouir. De mon côté, j’essaie de ne pas m’abandonner trop vite et tâche de lui faire plaisir comme elle sait me le faire. Je sans sa vulve humide, inondée, son pubis est super lisse, sûre qu’elle avait prévu le coup. Ça me rend dingue, ce minou si bien entretenu, glabre. Elle enlève son string, et retire le mien. Ça y est, je suis nue chez Sabine, quelle sensation !
Mais Pierre dans tout ça ? Je ne le vois pas dans la pièce, je pense qu’il nous mate discrètement. Il aurait tort de ne pas le faire, je pense que le spectacle doit être très excitant. Moi-même, je me masturberais si je voyais une telle scène. Mais là, c’est Sabine qui maintenant me caresse le clitoris, passe ses doigts entre mes lèvres, pour finir dans ma chatte. Elle me doigte, doucement, avec deux doigts. Je n’en peux plus. J’ai envie de m’abandonner mais, je dois lui donner le change, et lui faire plaisir aussi. Et là, comme pour abréger la situation qui devient explosive, je décide de me relever et d’aller chercher son clitoris avec ma bouche. C’est une première pour moi, je ne sais pas si je vais y arriver, mais j’ai très envie de lui donner ce que personne d’autre n’a eu de moi. Je m’étonne à prendre son sexe en bouche, j’ai une folle envie de le sucer, le lécher, rentrer ma langue dans son trou. Je suis à fond. Sa cyprine s’étale autour de ma bouche, coule dans mon cou. Je lèche son clitoris sans retenue. Je le lape. Elle se trémousse, gémit, elle écarte les jambes, comme pour m’inciter à faire plus, plus vite, plus fort. Puis elle se relève, m’embrasse à pleine bouche et se tourne, pour qu’elle aussi puisse accéder à mon minou.
Je croyais être au bout de mon plaisir, à son paroxysme, eh bien non. Elle rentre sa langue entre mes lèvres, la tourne comme pour me rouler un patin, c’est divin. Me suce le clitoris, je sens ma mouille dégouliner jusqu’à mon anus. Tiens, je l’avais oublié celui-là. Quel bonheur, un 69 avec une femme. C’est extraordinaire. Je n’ai plus les mots. De mon côté, je continue de la lécher avec fougue, je suis à fond. J’ai une super vue de là où je suis. Je vois ses fesses bien écartées par mes mains, je les ouvre, les referme. Elle aime bien on dirait. Je passe mon doigt entre ses fesses pour l’humidifier, et me rapproche de son petit trou. Fais un tour dessus, dessine des cercles concentriques. Elle continue de me sucer divinement bien, mais je sens des petites réactions à mon doigt. Je décide de l’enfoncer dans son anus. Elle gémit à nouveau. Elle aime ça la petite cochonne.
Mais où je suis, qu’est-ce que je fais là ? Je venais manger chez des amis, et me voilà le doigt dans son cul et elle qui me lèche. C’est du délire, mais quel bonheur. Pourquoi j’ai attendu autant de temps pour gouter à ces plaisirs saphiques. Mais Pierre ? Où est-il ? Le voilà, près du canapé, il est à poil. Non nue, car lui aussi est bien lisse. J’aperçois ses couilles parfaitement rasées. Il se caresse doucement, son gland est toujours dehors, il doit être circoncis, mais ce n’est pas par religion. C’est très excitant de le voir se masturber devant nous. J’adore son gland bien rouge, assez épais, sa queue n’est pas super longue, mais on sent la puissance. Ces plaisirs lesbiens n’enlèvent rien au fait que j’aime profondément les hommes, et j’avoue que lui m’a toujours plu, et j’ai même fait des petites séances de caresses en pensant à lui. Alors le voir nu, devant nous, alors que sa femme me lèche c’est une sensation indescriptible. J’en perds les mots.
Sabine ralenti son rythme, puis accélère à nouveau comme pour me dire, aller on y va, on se fait jouir, pour se calmer un peu. On ira boire un coup, et on reprendra si tu le souhaite. Elle accélère encore et je me sens partir. A mon tour j’accélère pour essayer de synchroniser nos orgasmes. Je joui, bon dieu que c’est bon, je gémis, je me retiens, mais c’est plus fort que moi, je vais gueuler de plaisir. Sabine, de son côté m’entendant gémir se met à râler de plaisir, elle joui aussi, tant pis je me lâche. Je joui, bien fort, crie presque. Elle ne se gêne pas, elle crie de toutes ses forces, ce qui décuple mon plaisir. Je suis épuisée. Je me relâche, m’étends sur le canapé. Je n’en peux plus. Sabine, se relève, se tourne, me regarde et me sourit.
Elle me dit : « j’ai adoré, pour une première c’était génial. Et toi ? » Je lui réponds par un sourire et un soupir. Elle a compris. Je me touche le sexe, pour savoir si tout va bien, s’il est toujours là. Mon clitoris est gonflé, ultrasensible. Quelle soirée ! Je me retourne, et vois Pierre qui visiblement s’est synchronisé avec nous, la ma main pleine de sperme toujours debout devant nous. Lui aussi a apprécié. Je meurs d’envie, aller le sucer, mais il y a le deal.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire Ambre
Adorable. J'adore.
L'histoire est vraiment sympa, bien amenée... Ça aurait pu durer un oeu okus longtemps !
Par contre, il faut travailler les conjugaisons, les accords...
Ça élèvera le niveau de façon spectaculaire.
Bon courage et à bientôt !
Par contre, il faut travailler les conjugaisons, les accords...
Ça élèvera le niveau de façon spectaculaire.
Bon courage et à bientôt !
Une histoire très bien écrite ! J'ai adoré !
J'attends une suite de ce trio très chaud...8)
Bonne continuation !
Roger
J'attends une suite de ce trio très chaud...8)
Bonne continuation !
Roger