Soirée foot
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Soirée foot
En ce samedi soir, Hugo avait invité ses amis à venir regarder les matchs de foot de la journée de Ligue 1.
Il organisait ce genre de soirée pour chaque affiche intéressante de la saison. Son épouse, Magalie, acceptait de les recevoir, même si elle n’aimait pas le foot et qu’ils étaient parfois un peu éméchés à la fin. Elle commençait souvent la soirée avec eux puis montait se coucher pour les laisser entre hommes.
Ce soir là, Raphaël fût le premier à arriver. Magalie alla lui ouvrir la porte quand la sonnette retentit.
- Bonsoir Raphaël. Comment vas-tu ? Demanda-t-elle.
Magalie trouvait Raphaël très séduisant. Il était de taille moyenne, toujours élégant. Les traits de son visage étaient volontaires. Son regard bleu au milieu de sa peau bronzée et de sa barbe brune de quelques jours déstabilisait toujours la jeune femme. Une forte assurance se dégageait de sa personnalité.
- Bien, merci, répondit-il en lui faisant la bise.
- Et Alice, contente de se débarrasser de toi pour une soirée ? ajouta-t-elle avec amusement.
Alice était la femme de Raphaël. Si Magalie accueillait régulièrement des soirées foot, la femme de Raphaël recevait souvent la bande de copains pour des soirées poker.
La femme d’Hugo était une femme avec de belles formes, les cheveux blonds tirant sur le roux avec de beaux yeux noisettes pétillants et quelques séduisantes tâches de rousseurs sur les joues. Elle avait une voix douce, presque envoûtante qui finissait de charmer tous les hommes.
En suivant Magalie jusqu’au salon, Raphaël observait avec envie ses fesses onduler à chaque pas.
Elles étaient bien rondes et joliment mises en valeur par son jean qui épousait parfaitement sa jolie silhouette. Raphaël aperçut avec délectation les traces du string qu’elle portait sous le pantalon.
Hugo et Raphaël furent bientôt rejoint par les deux amis manquants, Lucas, était grand, le corps athlétique d’un sportif aguerrit, le crâne rasé pour cacher une calvitie naissante. Il dégageait beaucoup de force qui lui lui donnait son charme. Il était dynamique et était le bavard du groupe.
Arthur était plutôt petit avec quelques kilos en trop. Il était toujours de bonne humour et aimant plaisanter. Magalie aimait bien ce dernier. Plutôt discret, il était aimable et avait cet air de gentil nounours rassurant.
Installés devant la TV, les quatre hommes se mirent rapidement à échanger sur le match à venir avec beaucoup d’enthousiasme.
Magalie leur servit des bières et plusieurs plateaux d’amuse-bouches qui servirait de dîner et s’installa avec eux dans un fauteuil. La soirée avança et la conversation se porta sur tous les sujets, avec sérieux ou éclats de rire, entremêlée souvent de commentaires enflammés sur le match qui se jouait devant eux. La jeune femme échangeait volontiers lorsque les sujets l’intéressaient.
Assise face à Raphaël, elle le fixait régulièrement du regard, le trouvant, sans savoir pourquoi plus séduisant que d’habitude. Elle fut surprise à plusieurs reprises par Raphaël en train de le fixer. Elle lui souriait puis baissait le regard, un peu gênée.
De temps en temps, Magalie se levait pour les ravitailler en bière ou en toast, aidé par son mari. Lorsqu’elle se penchait pour les poser sur la table basse, elle avait le sentiment que les trois hommes lorgnaient discrètement vers son profond décolletée, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Elle avait une belle poitrine et aimait toujours avoir des vêtements qui la mettait en valeur et sentir qu’elle plaisait.
A l’approche de la fin du match, elle se leva pour prendre congés. Elle savait que la soirée n’était pas finie, elle se poursuivait généralement par l’émission d’après-match, voire plus tard dans la nuit.
- Messieurs, je vais vous laisser à votre match, dit-elle. Bonne nuit.
- Bonne nuit, répondit Raphaël en la fixant de son regard perçant.
Les trois autres hommes lui souhaitèrent également une bonne nuit et reportèrent leur attention sur la TV, à part peut-être Raphaël qui observa Magalie sortir de la pièce, hypnotisé par ses fesses.
La jeune femme monta à l’étage et après un tour dans la salle de bain regagna sa chambre. Elle ôta son top noir et son jean. Elle libéra sa poitrine de son enveloppe de tissus puis fit glisser son string rouge qu’elle jeta négligemment sur un fauteuil avec les autres habits. Elle sortit de derrière son oreiller une nuisette en satin verte sur laquelle une bande de dentelle remontait des hanches vers la poitrine pour dévoiler entièrement cette dernière. Elle l’enfila avant de se glisser dans le lit puis attrapa un livre qu’elle se mit à bouquiner.
Alors qu’elle s’endormait sur son roman, elle se dit qu’il était temps d’éteindre pour dormir. Tandis qu’elle fermait les yeux, elle entendaient toujours les hommes discuter bruyamment en rez-de-chaussé.
Comme elle dormait, allongée sur le côté, elle fut réveillée par une main qui caressait ses hanches. Son mari était rentré dans la chambre et avait semble-t-il une irrésistible envie de faire l’amour à sa femme. Tandis qu’elle le laissait faire, l’homme se blottit dans son dos et de sa main droite caressa sa poitrine, son ventre, ses cuisses.
Soudain, elle fût prise d’un doute. Elle ne reconnaissait pas les mains, le corps de son mari. Elle ne percevait pas non plus son odeur habituelle, doutait de la gestuelle, la façon dont les mains parcouraient son corps. Au fil des minutes, elle en était certaine.
Elle aurait dû bondir hors du lit, allumer la lumière pour dévoiler le visage de l’intrus, l’expulser hors de la chambre et lui crier que ce qu’il faisait la révulsait. Mais elle n’en fit rien. Savoir qu’un de ses amis s’était glissé dans son lit lui plaisait, ne pas savoir qui s’était blotti dans son dos et frôlait les parties les plus intimes de son corps l’excitait encore plus. A cet instant, elle ne pensait pas à son mari, elle était emporté par la folie du moment.
Le corps endormit de la jeune femme se réveilla rapidement. Elle sentit alors le membre tendu frotter contre ses fesses à chaque ondulation de bassin de son partenaire. Elle finit par éprouver des picotements dans le ventre, son sexe s’humidifiant de plus en plus.
Elle se demandait qui pouvait être l’homme dans son dos. Raphaël ? Lucas ? Arthur ? Elle ne pensait pas qu’il s’agissait de ce dernier, l’homme dans son dos semblant plus grand. Elle avait beau réfléchir, elle ne parvenait pas à savoir lequel des deux s’était glissé dans les draps. Etait-ce le corps musclé de Lucas ? Les mains douces de Raphaël ? Le parfum de Lucas ? Les tendres lèvres de Raphaël ? Emportée par le plaisir grandissant, elle ne parvenait plus à penser et cessa alors de gamberger pour profiter de l’instant présent.
Elle avait à présent une folle envie d’avoir ce chibre en elle. Son souhait fut exhaussé puisqu’elle sentit le membre chercher l’entrée de son vagin. Il le trouva assez vite et à force de petits mouvements de bassin fut complètement en elle. Elle gémissait doucement à chaque pénétration de la queue dans sa chatte humide. Pendant qu’elle se faisait pénétrer une main chaude pétrissait son sein et pinçait son téton dur.
La main glissa sous sa cuisse et souleva sa jambe pour permettre un accès à son clitoris. Les doigts se mirent à jouer avec son bouton. Elle savourait l’index humidifié par sa mouille faire des mouvements tantôt circulaires, tantôt latéraux sur son clitoris.
La respiration de Magalie se faisait haletante.
Les coups de reins furent plus puissants et les caresses sur son clitoris plus intenses. L’orgasme déferla en elle, les vagues de spasmes s’emparant de son ventre. Elle gémissait de plaisir.
La main remonta rapidement jusqu’à son visage et l’index humide s’introduisit dans sa bouche. Elle ressentait son vagin se contracter, ses tétons frissonner tandis que ses gémissements étaient étouffés par l’index dans sa bouche.
Elle sentit enfin la queue se tendre et inonder sa chatte de sperme. Magalie eut quelques gémissements de plaisir supplémentaires en ressentant la semence la remplir.
Ils restèrent ainsi blottit, en silence. La queue était restée en elle et se dégonflait tout doucement. Elle était bien et fût enveloppée rapidement d’une douce torpeur. Au bout d’un moment, à moitié endormie, elle sentit le sexe se retirer d’elle puis l’homme se leva et sortit du lit. Elle même était trop bien pour aller dans la salle de bain. Ses yeux mi-clos entrevirent 0h56 sur le réveil. Elle décida de s’endormir ainsi, la chatte dégoulinante de sperme. Et tant pis pour les draps !
Le lendemain matin, elle se réveilla assez tard. Elle constata qu’Hugo était déjà levé. Elle alla dans la salle de bain pour faire une petit toilette et descendit à la cuisine où elle retrouva son mari. Elle eut du mal à regarder Hugo dans les yeux, se sentant honteuse de ce qu’il s’était passé la nuit dernière. Portant son seul boxer, sa tignasse brune en bataille, sa barbe négligée et sa mâchoire volontaire le rendait beau.
- Bonjour, dit-elle timidement.
- Bonjour mon amour.
Comme Magalie ne disait rien, son mari enchaîna :
- Je me suis endormi comme une loque sur le canapé pendant l’émission d’après match. Comme les autres d’ailleurs. Je crois qu’on a un peu abusé de l’alcool hier. Je te jure, on devait avoir fière allure à dormir ainsi sur le canapé.
Voyant son épouse taciturne, Hugo n’insista pas.
Magalie resta assez silencieuse le reste du petit déjeuner. Une seule question accapara ses pensées pour le reste de la journée : « Qui s’était glissé dans son lit la veille ? ».
En y repensant, la façon dont cela s’était déroulé, une multitude de sentiments l’envahissait : honte et culpabilité d’avoir trompé son mari mais aussi un certain plaisir en repensant à la nuit précédente. Avoir fait l’amour avec un presque inconnu l’excitait.
Le mercredi suivant, alors qu’elle ne travaillait pas, quelqu’un sonna à la porte. En ouvrant, elle fût surprise de voir Raphaël.
- Que fais-tu là ? demanda-t-elle étonnée.
- Je voulais te voir, répondit-il simplement avec un sourire enjôleur.
Elle le laissa entrer. Elle le détailla du regard et plus elle le fixait, plus elle était persuadée que c’était lui qui s’était glissé dans ses draps.
- C’était toi ? S’aventura-t-elle à demander avec une colère naissante.
Elle prit son absence de réponse pour un aveu.
- Putain, tu ne peux pas venir me baiser comme ça te chante. Tu fais quoi de mon consentement ?
- Excuse-moi, tu as raison. Samedi, plus je t’observais plus je te trouvais belle. Et j’avais l’impression que mes sentiments étaient réciproques. Je me trompe ?
Comme elle ne dit rien, il poursuivit :
« Et quand j’ai vu les autres s’endormir devant la TV, je n’ai pas pu résister. Je suis monté à l’étage et je t’ai observer dormir et j’ai eu une irrépressible envie de te faire l’amour. Tu était si belle, je te désirais ardemment. »
La colère de Magalie retombait un peu. Elle avait aimé la nuit et d’avoir été prise par un autre que son mari la fit frissonner. « Bordel ! Je deviens folle ! » se dit-elle un peu perdu avec ses sentiments.
- Et puis, je voulais t’offrir une vengeance sur ton mari.
Devant le regard incrédule de la jeune femme, il poursuivit.
- Tu sais, les soirées poker qu’on fait à la maison ? On ne fait pas que jouer au poker. Alice et moi sommes un couple très libre. On fréquente les clubs libertins.
Magalie était bouche-bée. Elle ignorait complètement cela. Raphaël reprit.
- Les soirées poker se finissent souvent pour une orgie. Alice adore se faire posséder pour nous quatre. Et je peux te dire qu’Hugo n’est pas le dernier à la culbuter.
La jeune femme refusait de croire ce que lui disait son ami. Devant son doute, Raphaël sortit son téléphone et chercha dans ses photos. Il lui montra alors une photo d’Hugo en train de prendre Alice en levrette. Magalie était anéantie. Comment est-ce possible ? Comment son mari pouvait lui faire ça ?
Sa culpabilité s’envola subitement.
- Tu sais, si tu voulais m’offrir une vengeance, il aurait fallu me le dire avant, pour que je sache pourquoi tu me baisais.
Le regard de Raphaël se figea sur la jeune femme puis soudain il bondit sur elle et la plaqua contre le mur. Il lui attrapa les poignets pour tenir ses bras au dessus de sa tête, collés contre le mur et l’embrassa à pleine bouche. Comme la jeune femme lui rendait son baiser, il enroula sa langue autour de la sienne fougueusement. Elle ne pouvait pas bouger et être ainsi à la merci de Raphaël l’excitait beaucoup.
Il finit par libérer ses poignets et plaqua la paume de ses mains sur ses seins et les pressa entre ses doigts. De ses mains libres, qu’elle passa sous le t-shirt de son partenaire, Magalie lui griffa le dos. Elle descendit sur ses fesses musclées qu’elle se mit à pétrir avec envie. Le corps de Raphaël étant collé contre elle, elle ressentit rapidement son membre gonfler contre son ventre. Elle avait envie de cette queue, autant pour son plaisir que pour sa vengeance que cette dernière lui permettait d’excuser ce qu’elle s’apprêtait à faire.
La main du jeune homme délaissa un sein et se glissa entre les cuisses de Magalie qui écarta un peu les jambes. Elle portait ce jour-là un mini short qui laissait peu de possibilité d’accéder à son intimité. Elle ressentait tout de même avec plaisir la main parcourir sa cuisse avec douceur et envie. La jeune femme lui répondit en posant sa main sur son sexe tendu. Elle défit la fermeture éclair, fouilla dans le boxer et en sortit l’objet de ses désirs. Elle commença à le branler un peu et puis s’agenouilla pour entamer une fellation.
Elle mit le gland dans la bouche et fit tourner sa langue tout autour pendant qu’elle faisait glisser sa main sur toute la longueur de la hampe de chair.
Raphaël baissait la tête, excité de pouvoir l’observer lui donner du plaisir. En le suçant, elle défit le pantalon du jeune homme et le fit tomber au sol. Le boxer suivit le même chemin. Elle glissa sa main sous sa verge pour caresser ses couilles rasées et lécha le membre sur toute sa longueur.
- Putain ! tu suces divinement bien !
Encouragée par les compliments de Raphaël, la jeune femme s’appliqua de plus belle à lécher, sucer, avaler tout ce qu’elle pouvait.
Le jeune homme fit se relever Magalie et lui attrapa son débardeur pour le lui enlever. Le soutien-gorge bandeau tout en tulle noire entièrement transparent qui ne cachait rien de sa poitrine arracha un juron à Raphaël. Il passa les mains dans son dos et lui dégrafa le soutien-gorge qu’il jeta au sol.
Il se pencha et lécha les seins de la jeune femme, s’attardant sur les tétons dressés qu’il gobait avec avidité et faisaient rouler sous sa langue.
Il la fit ensuite se retourner un peu brusquement. Magalie plaqua ses mains sur le mur du vestibule lui faisant face pour ne pas perdre l’équilibre. Le jeune homme s’accroupit derrière elle et défit le short pour le faire glisser sur ses chevilles. Avant de poursuivre, il profita de ces deux lobes fessiers qui lui faisaient face et au milieu desquels se perdait le fin tissus noir du string.
Lorsqu’il fût rassasié de la vue, il attrapa le string sur les hanches et le fit glisser jusqu’à mi-cuisses. Il plaqua sa tête entre les fesses de Magalie pour lui administrer un cunnilingus. De la pointe de sa langue il léchait la chatte de la jeune femme, lapant avec délectation le jus qui en coulait. Comme il ne pouvait pas atteindre le clitoris dans cette position, il passa son bras devant les jambes de sa partenaire et remonta le long des cuisses pour atteindre son bouton qu’il fit rouler avec adresse sous ses doigts.
Magalie gémissait et ondulait légèrement du bassin, savourant chaque coup de langue à l’entrée de son vagin ou douce caresse des doigts.
Raphaël bandait comme jamais et se releva pour guider son membre à l’entrée de la chatte de Magalie. Il s’introduisit en elle et commença à la besogner avec fougue. Il s’agrippait à ses hanches pour imprimer un mouvement plus puissant, son bassin claquant sur les fesses de sa partenaire qui exprimait son plaisir sans retenue. Elle sentait ses seins ballotter à chaque coup de rein.
Le jeune homme se pencha un peu plus et attrapa la poitrine de Magalie qu’il saisit à pleine main pour les malaxer. Magalie fut prise soudainement par un orgasme.
« Ho putain ! » s’exclama-t-elle entre deux gémissements.
Encouragé par ses manifestations, Raphaël continuait de plus belle ses va-et-vients. Il sentait lui aussi la jouissance approcher. Lorsqu’il fut au bord de l’extase il cessa ses mouvements de bassin et positionna son gland à l’entrée du vagin de Magalie, à peine enfoncé en elle, ne bougea plus et éjacula avec un râle de plaisir. Magalie ressentit les jets de sperme jaillirent à l’entrée de sa chatte. Quand plus rien ne sortit de sa queue, le jeune homme recula et demanda à sa partenaire de ne pas bouger. Il se mit accroupi et se délecta de ce sexe rempli de son plaisir.
La chatte de Magalie était bien ouverte et du sperme en coulait abondamment. Un filet de semence s’étira dans le vide et retomba sur l’intérieur du string tendu entre les cuisses de la jeune femme. Raphaël tenait le bout de tissus dans la paume de sa main pour s’assurer de récupérer le liquide. Plusieurs grosses gouttes de sperme s’échappèrent de la chatte pour venir tomber sur le sous-vêtement dont le fond fût rapidement tapissé d’un épais liquide blanchâtre. Lorsque Raphaël fut sûr que plus aucune goutte de sa semence ne sortait, il remonta le string et caressa bien toute la vulve avec le tissus détrempé. La jeune femme poussa un « Ho » autant de surprise que de plaisir.
Elle se retourna et se pencha pour lécher les dernières gouttes de spermes coulant de la queue à moitié molle de son ami.
- Te voilà vengée cette fois, dit Raphaël.
- Non, pas complètement. Ca ne compense pas toutes vos soirées poker !
Après un silence, elle reprit avec un sourire d’envie :
- Je pense que je vais organiser la soirée poker samedi prochain.
Il organisait ce genre de soirée pour chaque affiche intéressante de la saison. Son épouse, Magalie, acceptait de les recevoir, même si elle n’aimait pas le foot et qu’ils étaient parfois un peu éméchés à la fin. Elle commençait souvent la soirée avec eux puis montait se coucher pour les laisser entre hommes.
Ce soir là, Raphaël fût le premier à arriver. Magalie alla lui ouvrir la porte quand la sonnette retentit.
- Bonsoir Raphaël. Comment vas-tu ? Demanda-t-elle.
Magalie trouvait Raphaël très séduisant. Il était de taille moyenne, toujours élégant. Les traits de son visage étaient volontaires. Son regard bleu au milieu de sa peau bronzée et de sa barbe brune de quelques jours déstabilisait toujours la jeune femme. Une forte assurance se dégageait de sa personnalité.
- Bien, merci, répondit-il en lui faisant la bise.
- Et Alice, contente de se débarrasser de toi pour une soirée ? ajouta-t-elle avec amusement.
Alice était la femme de Raphaël. Si Magalie accueillait régulièrement des soirées foot, la femme de Raphaël recevait souvent la bande de copains pour des soirées poker.
La femme d’Hugo était une femme avec de belles formes, les cheveux blonds tirant sur le roux avec de beaux yeux noisettes pétillants et quelques séduisantes tâches de rousseurs sur les joues. Elle avait une voix douce, presque envoûtante qui finissait de charmer tous les hommes.
En suivant Magalie jusqu’au salon, Raphaël observait avec envie ses fesses onduler à chaque pas.
Elles étaient bien rondes et joliment mises en valeur par son jean qui épousait parfaitement sa jolie silhouette. Raphaël aperçut avec délectation les traces du string qu’elle portait sous le pantalon.
Hugo et Raphaël furent bientôt rejoint par les deux amis manquants, Lucas, était grand, le corps athlétique d’un sportif aguerrit, le crâne rasé pour cacher une calvitie naissante. Il dégageait beaucoup de force qui lui lui donnait son charme. Il était dynamique et était le bavard du groupe.
Arthur était plutôt petit avec quelques kilos en trop. Il était toujours de bonne humour et aimant plaisanter. Magalie aimait bien ce dernier. Plutôt discret, il était aimable et avait cet air de gentil nounours rassurant.
Installés devant la TV, les quatre hommes se mirent rapidement à échanger sur le match à venir avec beaucoup d’enthousiasme.
Magalie leur servit des bières et plusieurs plateaux d’amuse-bouches qui servirait de dîner et s’installa avec eux dans un fauteuil. La soirée avança et la conversation se porta sur tous les sujets, avec sérieux ou éclats de rire, entremêlée souvent de commentaires enflammés sur le match qui se jouait devant eux. La jeune femme échangeait volontiers lorsque les sujets l’intéressaient.
Assise face à Raphaël, elle le fixait régulièrement du regard, le trouvant, sans savoir pourquoi plus séduisant que d’habitude. Elle fut surprise à plusieurs reprises par Raphaël en train de le fixer. Elle lui souriait puis baissait le regard, un peu gênée.
De temps en temps, Magalie se levait pour les ravitailler en bière ou en toast, aidé par son mari. Lorsqu’elle se penchait pour les poser sur la table basse, elle avait le sentiment que les trois hommes lorgnaient discrètement vers son profond décolletée, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Elle avait une belle poitrine et aimait toujours avoir des vêtements qui la mettait en valeur et sentir qu’elle plaisait.
A l’approche de la fin du match, elle se leva pour prendre congés. Elle savait que la soirée n’était pas finie, elle se poursuivait généralement par l’émission d’après-match, voire plus tard dans la nuit.
- Messieurs, je vais vous laisser à votre match, dit-elle. Bonne nuit.
- Bonne nuit, répondit Raphaël en la fixant de son regard perçant.
Les trois autres hommes lui souhaitèrent également une bonne nuit et reportèrent leur attention sur la TV, à part peut-être Raphaël qui observa Magalie sortir de la pièce, hypnotisé par ses fesses.
La jeune femme monta à l’étage et après un tour dans la salle de bain regagna sa chambre. Elle ôta son top noir et son jean. Elle libéra sa poitrine de son enveloppe de tissus puis fit glisser son string rouge qu’elle jeta négligemment sur un fauteuil avec les autres habits. Elle sortit de derrière son oreiller une nuisette en satin verte sur laquelle une bande de dentelle remontait des hanches vers la poitrine pour dévoiler entièrement cette dernière. Elle l’enfila avant de se glisser dans le lit puis attrapa un livre qu’elle se mit à bouquiner.
Alors qu’elle s’endormait sur son roman, elle se dit qu’il était temps d’éteindre pour dormir. Tandis qu’elle fermait les yeux, elle entendaient toujours les hommes discuter bruyamment en rez-de-chaussé.
Comme elle dormait, allongée sur le côté, elle fut réveillée par une main qui caressait ses hanches. Son mari était rentré dans la chambre et avait semble-t-il une irrésistible envie de faire l’amour à sa femme. Tandis qu’elle le laissait faire, l’homme se blottit dans son dos et de sa main droite caressa sa poitrine, son ventre, ses cuisses.
Soudain, elle fût prise d’un doute. Elle ne reconnaissait pas les mains, le corps de son mari. Elle ne percevait pas non plus son odeur habituelle, doutait de la gestuelle, la façon dont les mains parcouraient son corps. Au fil des minutes, elle en était certaine.
Elle aurait dû bondir hors du lit, allumer la lumière pour dévoiler le visage de l’intrus, l’expulser hors de la chambre et lui crier que ce qu’il faisait la révulsait. Mais elle n’en fit rien. Savoir qu’un de ses amis s’était glissé dans son lit lui plaisait, ne pas savoir qui s’était blotti dans son dos et frôlait les parties les plus intimes de son corps l’excitait encore plus. A cet instant, elle ne pensait pas à son mari, elle était emporté par la folie du moment.
Le corps endormit de la jeune femme se réveilla rapidement. Elle sentit alors le membre tendu frotter contre ses fesses à chaque ondulation de bassin de son partenaire. Elle finit par éprouver des picotements dans le ventre, son sexe s’humidifiant de plus en plus.
Elle se demandait qui pouvait être l’homme dans son dos. Raphaël ? Lucas ? Arthur ? Elle ne pensait pas qu’il s’agissait de ce dernier, l’homme dans son dos semblant plus grand. Elle avait beau réfléchir, elle ne parvenait pas à savoir lequel des deux s’était glissé dans les draps. Etait-ce le corps musclé de Lucas ? Les mains douces de Raphaël ? Le parfum de Lucas ? Les tendres lèvres de Raphaël ? Emportée par le plaisir grandissant, elle ne parvenait plus à penser et cessa alors de gamberger pour profiter de l’instant présent.
Elle avait à présent une folle envie d’avoir ce chibre en elle. Son souhait fut exhaussé puisqu’elle sentit le membre chercher l’entrée de son vagin. Il le trouva assez vite et à force de petits mouvements de bassin fut complètement en elle. Elle gémissait doucement à chaque pénétration de la queue dans sa chatte humide. Pendant qu’elle se faisait pénétrer une main chaude pétrissait son sein et pinçait son téton dur.
La main glissa sous sa cuisse et souleva sa jambe pour permettre un accès à son clitoris. Les doigts se mirent à jouer avec son bouton. Elle savourait l’index humidifié par sa mouille faire des mouvements tantôt circulaires, tantôt latéraux sur son clitoris.
La respiration de Magalie se faisait haletante.
Les coups de reins furent plus puissants et les caresses sur son clitoris plus intenses. L’orgasme déferla en elle, les vagues de spasmes s’emparant de son ventre. Elle gémissait de plaisir.
La main remonta rapidement jusqu’à son visage et l’index humide s’introduisit dans sa bouche. Elle ressentait son vagin se contracter, ses tétons frissonner tandis que ses gémissements étaient étouffés par l’index dans sa bouche.
Elle sentit enfin la queue se tendre et inonder sa chatte de sperme. Magalie eut quelques gémissements de plaisir supplémentaires en ressentant la semence la remplir.
Ils restèrent ainsi blottit, en silence. La queue était restée en elle et se dégonflait tout doucement. Elle était bien et fût enveloppée rapidement d’une douce torpeur. Au bout d’un moment, à moitié endormie, elle sentit le sexe se retirer d’elle puis l’homme se leva et sortit du lit. Elle même était trop bien pour aller dans la salle de bain. Ses yeux mi-clos entrevirent 0h56 sur le réveil. Elle décida de s’endormir ainsi, la chatte dégoulinante de sperme. Et tant pis pour les draps !
Le lendemain matin, elle se réveilla assez tard. Elle constata qu’Hugo était déjà levé. Elle alla dans la salle de bain pour faire une petit toilette et descendit à la cuisine où elle retrouva son mari. Elle eut du mal à regarder Hugo dans les yeux, se sentant honteuse de ce qu’il s’était passé la nuit dernière. Portant son seul boxer, sa tignasse brune en bataille, sa barbe négligée et sa mâchoire volontaire le rendait beau.
- Bonjour, dit-elle timidement.
- Bonjour mon amour.
Comme Magalie ne disait rien, son mari enchaîna :
- Je me suis endormi comme une loque sur le canapé pendant l’émission d’après match. Comme les autres d’ailleurs. Je crois qu’on a un peu abusé de l’alcool hier. Je te jure, on devait avoir fière allure à dormir ainsi sur le canapé.
Voyant son épouse taciturne, Hugo n’insista pas.
Magalie resta assez silencieuse le reste du petit déjeuner. Une seule question accapara ses pensées pour le reste de la journée : « Qui s’était glissé dans son lit la veille ? ».
En y repensant, la façon dont cela s’était déroulé, une multitude de sentiments l’envahissait : honte et culpabilité d’avoir trompé son mari mais aussi un certain plaisir en repensant à la nuit précédente. Avoir fait l’amour avec un presque inconnu l’excitait.
Le mercredi suivant, alors qu’elle ne travaillait pas, quelqu’un sonna à la porte. En ouvrant, elle fût surprise de voir Raphaël.
- Que fais-tu là ? demanda-t-elle étonnée.
- Je voulais te voir, répondit-il simplement avec un sourire enjôleur.
Elle le laissa entrer. Elle le détailla du regard et plus elle le fixait, plus elle était persuadée que c’était lui qui s’était glissé dans ses draps.
- C’était toi ? S’aventura-t-elle à demander avec une colère naissante.
Elle prit son absence de réponse pour un aveu.
- Putain, tu ne peux pas venir me baiser comme ça te chante. Tu fais quoi de mon consentement ?
- Excuse-moi, tu as raison. Samedi, plus je t’observais plus je te trouvais belle. Et j’avais l’impression que mes sentiments étaient réciproques. Je me trompe ?
Comme elle ne dit rien, il poursuivit :
« Et quand j’ai vu les autres s’endormir devant la TV, je n’ai pas pu résister. Je suis monté à l’étage et je t’ai observer dormir et j’ai eu une irrépressible envie de te faire l’amour. Tu était si belle, je te désirais ardemment. »
La colère de Magalie retombait un peu. Elle avait aimé la nuit et d’avoir été prise par un autre que son mari la fit frissonner. « Bordel ! Je deviens folle ! » se dit-elle un peu perdu avec ses sentiments.
- Et puis, je voulais t’offrir une vengeance sur ton mari.
Devant le regard incrédule de la jeune femme, il poursuivit.
- Tu sais, les soirées poker qu’on fait à la maison ? On ne fait pas que jouer au poker. Alice et moi sommes un couple très libre. On fréquente les clubs libertins.
Magalie était bouche-bée. Elle ignorait complètement cela. Raphaël reprit.
- Les soirées poker se finissent souvent pour une orgie. Alice adore se faire posséder pour nous quatre. Et je peux te dire qu’Hugo n’est pas le dernier à la culbuter.
La jeune femme refusait de croire ce que lui disait son ami. Devant son doute, Raphaël sortit son téléphone et chercha dans ses photos. Il lui montra alors une photo d’Hugo en train de prendre Alice en levrette. Magalie était anéantie. Comment est-ce possible ? Comment son mari pouvait lui faire ça ?
Sa culpabilité s’envola subitement.
- Tu sais, si tu voulais m’offrir une vengeance, il aurait fallu me le dire avant, pour que je sache pourquoi tu me baisais.
Le regard de Raphaël se figea sur la jeune femme puis soudain il bondit sur elle et la plaqua contre le mur. Il lui attrapa les poignets pour tenir ses bras au dessus de sa tête, collés contre le mur et l’embrassa à pleine bouche. Comme la jeune femme lui rendait son baiser, il enroula sa langue autour de la sienne fougueusement. Elle ne pouvait pas bouger et être ainsi à la merci de Raphaël l’excitait beaucoup.
Il finit par libérer ses poignets et plaqua la paume de ses mains sur ses seins et les pressa entre ses doigts. De ses mains libres, qu’elle passa sous le t-shirt de son partenaire, Magalie lui griffa le dos. Elle descendit sur ses fesses musclées qu’elle se mit à pétrir avec envie. Le corps de Raphaël étant collé contre elle, elle ressentit rapidement son membre gonfler contre son ventre. Elle avait envie de cette queue, autant pour son plaisir que pour sa vengeance que cette dernière lui permettait d’excuser ce qu’elle s’apprêtait à faire.
La main du jeune homme délaissa un sein et se glissa entre les cuisses de Magalie qui écarta un peu les jambes. Elle portait ce jour-là un mini short qui laissait peu de possibilité d’accéder à son intimité. Elle ressentait tout de même avec plaisir la main parcourir sa cuisse avec douceur et envie. La jeune femme lui répondit en posant sa main sur son sexe tendu. Elle défit la fermeture éclair, fouilla dans le boxer et en sortit l’objet de ses désirs. Elle commença à le branler un peu et puis s’agenouilla pour entamer une fellation.
Elle mit le gland dans la bouche et fit tourner sa langue tout autour pendant qu’elle faisait glisser sa main sur toute la longueur de la hampe de chair.
Raphaël baissait la tête, excité de pouvoir l’observer lui donner du plaisir. En le suçant, elle défit le pantalon du jeune homme et le fit tomber au sol. Le boxer suivit le même chemin. Elle glissa sa main sous sa verge pour caresser ses couilles rasées et lécha le membre sur toute sa longueur.
- Putain ! tu suces divinement bien !
Encouragée par les compliments de Raphaël, la jeune femme s’appliqua de plus belle à lécher, sucer, avaler tout ce qu’elle pouvait.
Le jeune homme fit se relever Magalie et lui attrapa son débardeur pour le lui enlever. Le soutien-gorge bandeau tout en tulle noire entièrement transparent qui ne cachait rien de sa poitrine arracha un juron à Raphaël. Il passa les mains dans son dos et lui dégrafa le soutien-gorge qu’il jeta au sol.
Il se pencha et lécha les seins de la jeune femme, s’attardant sur les tétons dressés qu’il gobait avec avidité et faisaient rouler sous sa langue.
Il la fit ensuite se retourner un peu brusquement. Magalie plaqua ses mains sur le mur du vestibule lui faisant face pour ne pas perdre l’équilibre. Le jeune homme s’accroupit derrière elle et défit le short pour le faire glisser sur ses chevilles. Avant de poursuivre, il profita de ces deux lobes fessiers qui lui faisaient face et au milieu desquels se perdait le fin tissus noir du string.
Lorsqu’il fût rassasié de la vue, il attrapa le string sur les hanches et le fit glisser jusqu’à mi-cuisses. Il plaqua sa tête entre les fesses de Magalie pour lui administrer un cunnilingus. De la pointe de sa langue il léchait la chatte de la jeune femme, lapant avec délectation le jus qui en coulait. Comme il ne pouvait pas atteindre le clitoris dans cette position, il passa son bras devant les jambes de sa partenaire et remonta le long des cuisses pour atteindre son bouton qu’il fit rouler avec adresse sous ses doigts.
Magalie gémissait et ondulait légèrement du bassin, savourant chaque coup de langue à l’entrée de son vagin ou douce caresse des doigts.
Raphaël bandait comme jamais et se releva pour guider son membre à l’entrée de la chatte de Magalie. Il s’introduisit en elle et commença à la besogner avec fougue. Il s’agrippait à ses hanches pour imprimer un mouvement plus puissant, son bassin claquant sur les fesses de sa partenaire qui exprimait son plaisir sans retenue. Elle sentait ses seins ballotter à chaque coup de rein.
Le jeune homme se pencha un peu plus et attrapa la poitrine de Magalie qu’il saisit à pleine main pour les malaxer. Magalie fut prise soudainement par un orgasme.
« Ho putain ! » s’exclama-t-elle entre deux gémissements.
Encouragé par ses manifestations, Raphaël continuait de plus belle ses va-et-vients. Il sentait lui aussi la jouissance approcher. Lorsqu’il fut au bord de l’extase il cessa ses mouvements de bassin et positionna son gland à l’entrée du vagin de Magalie, à peine enfoncé en elle, ne bougea plus et éjacula avec un râle de plaisir. Magalie ressentit les jets de sperme jaillirent à l’entrée de sa chatte. Quand plus rien ne sortit de sa queue, le jeune homme recula et demanda à sa partenaire de ne pas bouger. Il se mit accroupi et se délecta de ce sexe rempli de son plaisir.
La chatte de Magalie était bien ouverte et du sperme en coulait abondamment. Un filet de semence s’étira dans le vide et retomba sur l’intérieur du string tendu entre les cuisses de la jeune femme. Raphaël tenait le bout de tissus dans la paume de sa main pour s’assurer de récupérer le liquide. Plusieurs grosses gouttes de sperme s’échappèrent de la chatte pour venir tomber sur le sous-vêtement dont le fond fût rapidement tapissé d’un épais liquide blanchâtre. Lorsque Raphaël fut sûr que plus aucune goutte de sa semence ne sortait, il remonta le string et caressa bien toute la vulve avec le tissus détrempé. La jeune femme poussa un « Ho » autant de surprise que de plaisir.
Elle se retourna et se pencha pour lécher les dernières gouttes de spermes coulant de la queue à moitié molle de son ami.
- Te voilà vengée cette fois, dit Raphaël.
- Non, pas complètement. Ca ne compense pas toutes vos soirées poker !
Après un silence, elle reprit avec un sourire d’envie :
- Je pense que je vais organiser la soirée poker samedi prochain.
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Excellente histoire bien racontée