Soirée impromptue 1 - histoire érotique

Il y a quelques jours j'ai été invité dans une soirée entre potes. Bon une de plus ai-je pensé. Puis comme c'était un vendredi soir, j'ai décidé d'y aller pour voir si une petite crevette serait à mon goût. J'adore les crevettes c'est rose et ça agite la queue en reculant. Il faisait chaud, l'air était moite et j'ai mis un de mes shorts en cuir assez moulant, pas trop avec la chaleur mais suffisant pour que mon paquet soit à l'aise contre le cuir. Cette matière me fascine, autant par son odeur que par son toucher. Un débardeur en stretch noir qui moulait mon torse et mes tétons annelés. J'ai fini par des skets en cuir noir sur mes pieds nus. Après un coup d'oeil dans le miroir collé contre la porte d'entrée, je suis sorti souriant de mon appartement du marais.
La soirée se passait dans un grand appartement au rez-de-chaussée d'un vieil immeuble et comme on me connaissait bien, je suis entré sans même montrer mon carton d'invitation.
- T'es en chasse ce soir Manu?
- Oui mon chéri mais le répète pas.
J'ai fait un clin d'oeil au grand black qui était à l'entrée, il m'a souri.
- Faites gaffe les minets Manu arrive!
Je suis directement allé faire la bise aux invitants, deux jeunes mecs qui fêtaient leur pacs et j'ai commencé à mater autour de moi, me dirigeant vers le bar. J'ai frôlé deux ou trois petites choses mignonnes, m'excusant au passage d'un sourire. Et j'ai commandé un gin feez. Il y avait une pièce légèrement surélevée avec des doubles portes pour agrandir un peu le lieu de la fête. J'ai vu de loin quelques connaissances que j'ai saluées en levant mon verre. Plusieurs têtes de minous m'ont fait tilt dont un particulièrement (écrivez ça comme vous voulez) qui même entouré des habituels intéressés par le genre semblait s'ennuyer. J'ai fendu les gens pressés les uns contre les autres jusqu'à l'atteindre. De près il était charmant avec sa chemise rose et son jean cuir moulant qui ne cachait rien et surtout pas ce qu'il voulait qui se voit. La musique un peu forte m'a forcé à me pencher mais il a tendu l'oreille ce qui fait que je n'ai pas eu à crier.
- Pas trop chaud avec ton cuir?
- J'ai pas comme toi de short en cuir et comme j'aime l'aspect et le look je l'ai mis quand même.
- Tu portes ta CB depuis longtemps?
Il a rosi merveilleusement.
- Heu ... tu as remarqué.
- Faudrait que je sois aveugle pour ne pas la voir. Tu appartient à qui? Qui a la clé?
- A personne et elle est à mon cou.
J'ai vu en effet pendu à une chaînette une petite clé de cadenas.
- Où sont les autres clés?
- Dans ma table de nuit.
- Tu sais ce que ça sous-entend de porter ça?
- Je pense oui. Que je suis docile, soumis et sans maître.
- Suis moi, je connais les lieux et si ce n'est pas fermé je veux te voir avant de me décider.
- Si moi aussi je pouvais voir avant, j'aimerais bien.
- Tu verras et de près.
Je l'avais entraîné, passant par la cuisine, et poussant une porte j'ai allumé l'escalier qui descendait à la cave. Une fois en bas avant tout j'ai voulu voir son obéissance.
- Baisse ton jean!
Dessous il portait un string de femelle avec de la dentelle qui ne cachait ni son sexe ni la cage qu'il portait dessus. Il n'avait pas un poil, soit il s'entretenait par l'épilation soit il se rasait.
- Montre ton cul, penche-toi en avant.
Là encore aucun poils et un cul en fente, coloré en brun autour.
- Joli! Reste comme ça.
Je me suis approché de lui. Et je n'ai défait que le premier bouton.
- Occupe-toi des autres, tu dois y être habitué.
Il a encore rosi.
- Jamais comme je le fais là, j'expérimente la soumission.
- Alors apprends à te taire et à faire ce que je te dis.
Il a défait les autres boutons, mon sexe excité par la nouveauté a jailli de mon short. Je savais l'effet qu'il faisait et son regard a été comme tous ceux qui le découvraient pour la première fois.
- Une bite de 20*4 la plupart du temps ça impressionne. Tu la vois d'assez près là.
- Ho oui mais... Je... Je pourrais jamais heu la prendre dans mon petit trou!
- C'est toi qui décides, mais fais ton choix vite. Si t'en veux pas y a d'autres chiennes à la fête là-haut.
- Je dois décider de suite?
- Oui! A quoi tu t'attendais, à servir une petite bite de gamin? Décide-toi et vite!
J'avais commencé à refermer mon short quand il a cédé.
- Non, Je veux bien être votre heu salope?
- Contente-toi pour le moment d'être mon bâtard tant que tu ne te seras pas donné entièrement. Suce-moi. Ne t'inquiètes pas j'ai fait un test ce matin et je suis négatif.
Penché sur moi je voyais le fermoir de la chaînette et je l'ai ouvert pour le mettre avec la clé dans une poche de mon short à mi-cuisses.
- Lèches mes couilles, regarde-moi. Pas mal, la tête que tu fais. Maintenant tu pompes en me fixant des yeux.
Je jouirais quand je voudrais et comme je te tiens la tête tu avaleras.
J'ai vu ses yeux se river dans les miens, il y a juste eu un moment où ses yeux ont eu l'air égaré, quand j'ai joui comme j'avais dit, le retenant.
- Avale bien tout. Oui comme ça. Je sens tes mouvements de glotte et j'aime. Relève-toi.
J'ai remonté mon short. Lui ai montré la clé et la chaînette.
- Tu vas te re-saper et on va remonter. Je mettrais ta chaînette à mon cou devant les potes avec qui tu discutais.
Sa réaction m'a amusé. Il a commencé par ouvrir la bouche pour protester puis ses yeux ont brillé et il a baissé la tête.
- On remonte mais passe ta langue sur tes lèvres. T'as un peu de foutre juste sur le haut de la lèvre.
Il s'est dépêché de passer la langue en montant. Deux mecs dans la cuisine ont souri. Je les connaissais et les bruits allaient circuler.
- Alors ils sont où tes potes? Là-bas? Bon ok, je passe prendre un verre et je vous rejoins, tu me présenteras.
Il a jeté un regard un peu perdu puis est allé vers eux. Moi j'ai repris un gin et me suis dirigé vers eux tranquillement. Je me suis aperçu que je ne savais même pas son prénom. Tranquillement j'ai passé la main sur sa taille.
- T'as aimé?
- Heu oui.
Il avait piqué un fard devant ses potes.
- La prochaine faudra serrer un peu plus les lèvres mais j'ai bien apprécié. En fait je connais tes lèvres mais même pas ton prénom.
- Je m'appelle Eric et vous?
- Disons que ça dépendra des moments, mais mes amis m'appellent Manu. Toi contente-toi pour le moment de Manuel. Bon désolé les mecs j'emmène Eric. En matant bien vous trouverez bien un autre petit lot. Bonne chance.
J'ai poussé Eric par les fesses vers la sortie, elles étaient fermes et je les sentais prêtes à s'ouvrir.