Soirée impromptue 3 - histoire érotique

Une fois Gilles parti, j'ai dit à Eric que quand je l'appelais chienne, j'étais sûr des gens autour de moi. Je ne suis pas fou mais il fallait qu'il réagisse immédiatement dans sa réponse, qu'il soit attentif à ce que je dis. Il a pris ses yeux de cocker et m'a demandé si je l'avais déçu
- Non tu ne savais pas. Mais sois sur tes gardes. Tu sens bien le plug?
- Ho oui! Dés que je bouge, je le sens en moi.
- Et? Côté queue?
- Ben c'est difficile de le dire mais je crois que je mouille réellement du gland et que ça bave dans le cuir.
- Tu es destiné à être une bonne femelle, une petite salope à piner, rien qu'à piner.
- Tu vis seul?
- Oui mais il faut que je déménage, même un studio tout petit dans le coin, c'est pas dans mon budget.
- Ouaih je sais. Et si tu devenais MA salope, chez moi? J'ai de la place et plusieurs piaules même si tu dormiras le plus souvent dans mon lit.
- Vrai? Vous feriez ça?
- Vrai oui mais en contrepartie tu me laisses abuser de ton corps, de tout ton corps. Même s'il doit y avoir des modifications pour me plaire encore plus.
- Dans le genre?
La lumière s'allumait dans ses yeux à chaque fois que quelque chose lui plaisait même s'il ne savait pas encore quoi.
- Je te verrais bien en fille, en trav' de haut vol, le genre très difficile à deviner le sexe mais une chienne quand je voudrais. Une vraie chienne à 4 pattes comme une pute. Là, j'inclus pas mal de boulot pour te faire de vrais petits seins avec de beaux mamelons.
Gilles nous avait ramené les cafés discrètement.
- Je veux aussi que tu tiennes une sorte de carnet où tu noteras ce que tu as aimé dans la journée et si tu aurais préféré autrement. Note aussi ce que tu n'auras pas aimé.
- Oui je le ferais. Mais je ne suis pas une femme!
- Non plutôt une fille adepte de la sodomie à en hurler quand tu seras en manque. Le plug est un des moyens pour refréner tes envies. Je commencerais demain à m'occuper de ça. Ton studio est loin?
- Ho non. Je n'aurais jamais osé être dehors sinon. J'avais vu dans la glace que la CB était visible et je cherchais vraiment un maître. Un vrai.
- Bien fini ton café et on va aller chercher tes affaires chez toi. Je suppose que tu n'en as pas des tonnes.
- Ben le plus encombrant est ma petite télé, le reste tient dan un sac.
- J'enverrais Gilles la chercher.
On a tout ramené. Ce n'était vraiment qu'une chambre plus qu'un studio. Et le sac rempli de ses effets n'était même pas plein.
- Aller ferme et donne-moi la clé. Gilles doit être en train de fermer, je lui donnerais avec l'adresse et il ramènera ta télé.
On a tout ramené dans mon loft et j'ai fait un tri rapide, le pauvre n'aurait pas grand chose à se mettre si je virais tout ce qui ne me plaisait pas. J'ai gardé un petit string de mec en attendant mieux puis je l'ai maté, sévère.
- Je ne t'avais pas dit que tu devais être à poil chez moi?
- Si mais...
- Pas de mais tu n'as pas à réfléchir à ce genre de chose. Quand tu rentres, tu te déshabilles totalement.
Sans discuter il a ôté sa chemise fushia en satin et ses baskets avant de baisser son jean en cuir, me tournant le dos par vice pour exhiber son beau cul avec le plug noir au centre.
- Je vais aller le laver, comme je vous avais dit j'ai mouillé comme un fou avec ce truc qui me remuait dans les fesses tout le temps qu'on a marché.
- Laisse-le là, la femme de ménage s'en occupera.
- Mais si elle entre et que je suis nu?
- Tu ne seras pas le premier qu'elle verra nu. Evidemment avec la cage... Au fait descend au sous-sol, il faut que je te change de modèle. Il t'en faut un plus adapté à ce que je veux de toi.
Maintenant qu'il connaissait le chemin je l'ai suivi, son déhanchement grâce au plug valait autant que celui d'une fille! Je l'ai attaché avant de m'attaquer au problème. Il bavait vraiment comme une chienne en chaleur et j'ai glissé plusieurs fois des doigts sur le cadenas avant d'y entrer la clé. Une fois la CB ôtée, j'ai compris pourquoi il bavait comme ça. J'ai nettoyé son gland pour le sécher. Cet idiot n'avait pas découvert le gland avant de poser sa CB et le frottement suffisait. J'ai été forcé de frapper sa queue pour le faire débander mais le contraire se passait. C'était en plus un vrai petit maso. Je suis donc monté chercher un seau à glace, l'ai rempli avec un peu d'eau et en frottant le gland avec de l'eau glacée je l'ai enfin fait débander.
- Je vais ôter aussi le plug de tes fesses. pour le remplacer par ça.
Je lui montrais une sorte de gros hameçon avec un anneau d'un côté et de l'autre une boule. J'avais perfectionné le système en rendant coulissante la partie qui serait sous le scrotum. J'ai passé l'anneau autour de sa queue et adapté la longueur pour faire pénétrer la boule dans son cul.
- Bien maintenant passons à ta CB. D'abord il faut stopper cet écoulement disgracieux même s'il prouve que tu es excité donc il te faut un modèle avec une sonde dans l'urètre qui te laisses la place pour uriner et une cage plus courte qui se remarquera moins.
Tout en parlant j'avais posé la sonde et la CB qui laissait peu de place pour que son sexe se développe ou bande. J'ai fixé le tout par un cadenas et je l'ai clos.
- Ce soir tu me satisferas avec la bouche, je me réserve ton cul de femelle pour plus tard.
On est allé dans ma chambre et je lui ai violé la bouche en profondeur ne tenant pas compte de ses protestations et de ses haut-le-coeur. Une femelle subit son mec et doit apprendre à prendre son plaisir dans le plaisir de son mâle.
Quand je me suis vidé je lui tenait les cheveux et le plaquait sur moi jusqu'à ce qu'il avale tout. Une fois retiré de sa bouche j'ai vu des larmes dans ses yeux mais il a dit très vite qu'il avait aimé et que ses larmes n'étaient rien, qu'une expression du bonheur de servir même dans la douleur. Je me suis retourné sans un mot et j'ai éteint la lumière.
- Dors salope