Soirée masquée
Récit érotique écrit par Queuedusexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Soirée masquée
Marc
A 26 ans, j’avais tout ce que je voulais avoir à ce moment-là dans ma vie.
J’avais déjà commencé à monter les échelons d’un travail que j’aime et qui rémunère bien. J’avais une super bande de potes et je vivais dans une ville de province suffisamment grande pour sortir et avoir toutes les infrastructures sportives ou culturelles dont j’ai besoin.
Un samedi, on est sorti dans un bar avec 4 potes. C’est un bar de nuit avec une piste de danse, toujours très fréquenté mais là, on est en plein mois et juillet et je pense que la plupart des habitués sont en vacances. La soirée s’annonçait bien car l’ambiance du bar était bonne mais elle est devenue bien plus chaude quand un groupe d’une bonne dizaine de filles entre 20 et 30 ans est arrivé.
C’était clairement un enterrement de vie de jeune fille. Elles portaient toutes un costume de majorettes style cheerleader américaines et un masque couvrant le haut du visage. Elles avaient sans doute passé la journée à s’amuser et boire quelque part et quelques verres devaient déjà être de la partie.
Elles étaient toutes jolies et élancées. Leur tenue mettait en valeur des jambes longues et belles, des ventres plats et des poitrines de toutes tailles.
Il m’a fallu 10 bonnes secondes pour que mes yeux tombent sur l’un de ces filles. Elle était un peu moins grande que les autres, plus « féminine » à mes yeux aussi. Je lui ai trouvé un charme de dingue. J’ai deviné qu’elle tentait de dissimuler une certaine pudeur naturelle. Elle était clairement moins à l’aise que les autres filles de son groupe dans cette tenue.
Elle a surpris mon regard sur elle et je lui ai souri gentiment. Nos yeux sont restés un moment l’un dans l’autre avant qu’elle ne détourne le regard, un peu gênée.
Au bout de quelques verres, elle a commencé à se lâcher. Elle est allée danser avec les autres filles et les mecs du bar ont essayé de les brancher. Elle dansait avec un mec ou un autre mais souvent nos regards se croisaient. Je sentais que je lui plaisais.
Je suis allé danser aussi et l’une de ses copines s’est rapprochée de moi. Elle était très jolie mais je n’avais d’yeux que pour la belle inconnue qui dansait avec un autre mec tout en me regardant furtivement.
La musique a changé de rythme. J’ai marché droit vers elle et son regard m’a montré que j’avais raison. Quand j’ai tendu la main, elle l’a prise aussitôt, au grand désespoir de son précédent cavalier qui s’est éclipsé.
C’était un zouk et j’adore cette danse. Nos regards étaient chauds, brûlants. Elle n’était pas très sûre des pas de danse mais me suivait et ses mouvements devenaient de plus en plus sensuels. Elle se laissait guider, me laissait me coller à elle.
On arrivait à la fin de la danse et elle a levé les yeux vers moi, a regardé mes lèvres. L’invitation était beaucoup trop tentante. Je me suis penché et on s’est embrassé avec passion. J’ai senti mon désir grimper en flèche, le sien aussi.
Quand nos lèvres se sont séparées, ses copines criaient et applaudissaient alors qu’elle rougissait. Ca faisait très longtemps que je n’avais pas ressenti de telles sensations en embrassant une fille.
- Moi, c’est Marc !
Elle a souri, certainement en pensant qu’elle avait embrassé un mec sans connaître son prénom.
- Moi c’est Julie.
On était encore collés l’un à l’autre mais malgré le changement de musique, on ne bougeait pas. Mon sexe avait pris du volume et pressait contre elle. Elle s’est mordillé la lèvre inférieure et j’ai senti sa main frôler mon sexe intentionnellement. Sa respiration était plus rapide et quand j’ai bougé mon bassin légèrement, j’ai aussitôt senti une réponse de sa part.
L’attraction était trop forte. Elle m’a regardé intensément.
- Julie, juste un mot de ta part et je t’emmène chez moi finir la nuit…
- … Donnes-moi 2 minutes…
Elle est allée voir un de ses copines et est sortie du bar pour revenir très peu de temps après avec un petit sac dans la main. Elle est retournée voir sa copine et est venue vers moi après.
J’ai senti qu’elle était plus hésitante mais j’ai pris en main la situation en la collant à moi et en l’embrassant à nouveau. Elle a lâché son sac sur mon siège et a passé ses bras autour de moi pour bouger au rythme de la musique jusqu’à ce que nos respirations montrent notre désir de l’autre.
On est parti pour mon appartement. La nuit était un peu plus fraîche alors j’ai mis ma veste autour de ses épaules. Je bandais presque déjà à l’idée de passer la nuit avec elle.
Julie
Je passais de très loin la journée la plus folle de ma vie ! Et la nuit s’annonçait comme la plus torride !
Il y a un an, je me suis inscrite à une association de quartier qui proposait des cours de zumba. J’ai fait la connaissance des autres membres et elles m’ont immédiatement accepté dans leur groupe d’amies. Je suis un peu timide mais elles ont été géniales avec moi.
J’avais un petit ami mais c’était une relation longue distance qui stagnait. Mon travail me prenait beaucoup de temps et d’énergie au point que je pensais changer de voie. Heureusement, qu’elles étaient là pour mettre de la gaieté dans ma vie. J’essayais de leur rendre la pareille du mieux que je pouvais.
Marie avait rencontré l’homme de sa vie et allait l’épouser. C’est là que tout a commencé à déraper.
On a organisé son enterrement de vie de jeune fille en commençant par une matinée dans un salon de beauté et spa, puis on a mangé ensemble au restaurant avant de passer l’après-midi au bord d’une piscine privative. On buvait mais pas de trop pour profiter de la soirée.
On avait loué un van qui pouvait toutes nous transporter et une de nos amies venait d’apprendre qu’elle était enceinte donc nous a proposé de faire le chauffeur.
A 22h00, le moment que je redoutais est arrivé. J’ai enfilé un costume de cheerleader épousant bien trop mes formes à mon goût. Je sais que je ne suis pas moche mais je n’aime pas trop « m’exposer »
J’avais rompu avec mon copain 3 mois avant et je n’étais sortie avec personne après. Les filles m’ont fait promettre de me lâcher et de profiter de la soirée. Bonne chance à elles !
Le bar n’était pas trop bondé et j’aimais l’endroit, ni trop grand ni trop petit. Après qu’on se soit installées j’ai voulu balayer la pièce dur regard mais je n’avais pas vu la moitié du bar quand je suis tombée sur lui. Il parlait avec un autre mec, debout près du bar. Ok, il était très beau, baraqué, bien habillé aussi, mais quelque chose chez lui m’a fait craquer.
Un peu plus tard, nos regards se sont croisés et j’ai senti une boule de désir naître dans mon ventre. Comment pouvait-il avoir cet effet sur moi. Je n’étais pas comme ça d’habitude.
On s’éclatait vraiment entre copines et le fait de porter un masque me rendait plus sûre de moi d’une certaine manière. J’ai dansé avec quelques mecs mais aucun ne me faisait l’effet de l’autre gars alors qu’on ne s’était pas approché à moins de 3 ou 4 mètres l’un de l’autre.
Ensuite tout s’est passé très vite. Je l’ai vu arriver près de moi et il m’a tendu la main pour m’entraîner dans un zouk endiablé, très érotique selon mes critères plutôt sages. Il était doué, me guidait et se moquait des pas que je loupais. Quand il s’est penché pour m’embrasser, non seulement je l’ai laissé faire mais j’ai répondu activement, allant moi-même chercher le contact de sa langue. Je me suis sentie fondre et mon sexe me taraudait.
10 minutes plus tard, il refermait la porte de son appartement sur nous et me soulevait tout en m’embrassant. Ma courte jupe de pom-pom girl était remontée complètement alors que j’entourais sa taille de mes jambes. Marc allait me baiser ! Je voulais qu’il me baise, qu’il me baisse comme jamais je n’avais été baisée. Il était bâti pour le faire. Mon corps entier le réclamait.
Il m’a déposé au pied de son lit et a porté les mains à mon visage pour enlever mon masque.
- Non ! Marc… Le masque reste !
J’ai vu sa déception mais il avait bien trop envie de moi pour me contredire. J’avais besoin de ce masque. Ce que je faisais ce soir n’était pas moi. Jamais je n’avais couché avec un inconnu. Le masque devait rester pour que j’ose profiter de ce moment jusqu’au bout, pleinement.
Marc a enlevé les boutons de sa chemise, dévoilant petit à petit son torse musclé, ses abdominaux parfaits. J’ai fait glisser la chemise de ses épaules douces et puissantes tout en caressant sa peau, ses biceps.
J’ai caressé un moment son corps et il se laissait faire, fier de sentir que je le trouvais beau… Et il avait de quoi. On s’est à nouveau embrassé avec passion pendant que ses mains prenaient possession de mes fesses. J’ai enlevé d’un coup ce haut un peu trop serré pour moi en même temps que la brassière en dessous.
J’ai vu ses yeux s’arrondir de surprise et de plaisir quand je lui ai offert sur un plateau ma poitrine grosse et ferme. Il était comme un gamin devant moi mais ça n’a pas duré longtemps. Il a repris ses esprits et a profité de mes seins, de mes tétons, avec ses mains, sa bouche et sa langue, m’arrachant des soupirs de désir et de plaisir.
Mais j’avais trop envie. J’ai ouvert sa ceinture et je me suis mise à genoux devant lui pour baisser son pantalon et son caleçon. Appelez-moi prude si vous voulez mais je n’avais jamais fait ça avant ; tout simplement parce que mon ex ne m’avait jamais inspiré ce genre de désir.
Son sexe était dur comme la pierre, long et gros, puissant comme le reste de son corps. J’ai regardé un moment cet engin magnifique, entre désir et appréhension.
Je suis devenue une autre au moment où mes doigts fins et délicats se sont saisis de la hampe lourde et menaçante. J’étais incapable de dire d’où il était originaire mais j’aurais parié sur une région méditerranéenne.
J’étais hypnotisée par le mouvement de mes doigts sur son sexe. Comment était-il possible que la douceur que je sentais sous mes doigts, la beauté de son gland lisse, à quelques centimètres de ma bouche, m’inspire des émotions aussi contradictoires. Pouvait-il entrer en moi ? Allait-il me faire mal ? Est-ce que j’allais crier de plaisir et en redemander encore et encore ?
J’ai léché son gland et je me suis rendue compte à cet instant de j’entendais depuis un moment déjà ses gémissements de désir. J’ai levé les yeux et je me suis sentie si petite par rapport à lui !
Comment un homme comme lui, un mâle, pouvait-il s’être intéressé à moi ? Le masque ! Ce devait être le mystère autour du masque.
Je suçais son gland depuis peut-être deux ou trois minutes, m’imprégnant tout juste de son goût délicieux quand il m’a stoppé pour finir d’enlever ses vêtements. Ma jupe et mon string (accessoire indispensable selon mes amies pour porter une jupe de majorette) ont volé à travers la pièce et je me suis retrouvée allongée, jambes écartées par ses mains alors que son visage embrassait l’intérieur de chaque cuisse tout en remontant au fur et à mesure vers mon sexe déjà bouillant, presque dégoulinant. Je bougeais mon bassin à la recherche de ses caresses, ma poitrine se gonflait sous l’effet de ma respiration plus forte, mon ventre se creusait
Marc m’a regardé.
- Si belle ! Si douce et désirable ! Si sensuelle !
- OOOHHH ! Marc !
Sa bouche s’est posée sur mon sexe et sa langue est entrée en moi. Il n’avait plus besoin de tenir mes cuisses. Je les écartais moi-même à présent. Il me caressait, me léchait, me dévorait. Il m’a amené lentement et méthodiquement à un orgasme très fort qui m’a fait crier son nom. J’ai saisi son visage et il s’est laissé faire pour que je puisse l’embrasser. Son gland était juste à l’entrée de ma chatte. Je le voulais en moi mais il s’est redressé, m’arrachant un gémissement de frustration. J’étais si proche de l’avoir en moi.
Mais il a simplement passé un préservatif ! MON DIEU ! J’avais tellement envie que je n’avais même pas pensé à ça !
Marc a pris son temps, me faisant savourer une pénétration qui m’a fait très vite atteindre des sommets de plaisir. Il était si gros et pourtant si doux, si profond, si satisfaisant.
Ses baisers étaient parfaits et je gémissais dans sa bouche. Mes mains parcouraient son corps et ses muscles. Malgré mon masque, on se regardait très souvent dans les yeux et j’ai senti mon cœur chavirer en même temps qu’un orgasme phénoménal s’emparait de moi. Mon dieu ! Il ne me baisait pas ! Il me faisait l’amour ! JE lui faisais l’amour !
J’avais la bouche dans son cou pour étouffer mes cis de jouissance quand Marc a joui en moi, ses gémissements emplissaient mes oreilles du plaisir qu’il prenait.
On a mis un long moment à s’en remettre, lui sur le dos et moi, la tête sur son épaule. Au bout d’un moment, mes yeux ont couru sur son corps et j’ai senti aussitôt mon désir revenir au galop. Quelques baisers à la base de son cou et sur son torse ont suffi à faire bander son gros sexe pour moi.
J’ai saisi un préservatif qu’il avait posé parmi d’autres sur le lit et je le lui ai enfilé, non sans mal, compte tenu de mon inexpérience relative et de l’épaisseur de son engin. J’ai passé une jambe par-dessus son corps pour m’empaler sur lui dans un grand cri de plaisir et de surprise, son sexe pénétrant bien plus loin en moi, à la limite de l’inconfort.
Je me suis stoppée. Marc m’a regardé en souriant, mains croisées derrière sa nuque. Son gland toujours au plus profond de moi, j’ai caressé son corps. Mes ongles passaient sur le contour de chaque muscle, essayant d’en garder un souvenir visuel pour mes séances de masturbation solitaires futures. Je voulais garder en mémoire le contraste de sa peau bronzée et de ma peau très claire. Quelques doutes s’insinuaient dans mon esprit. Pourquoi n’en profiter qu’une nuit ? Est-ce qu’il ne voudrait pas être avec moi un peu plus ? Non, une nuit ! Un homme comme lui n’avait san doute qu’une nuit à m’offrir.
Puis j’ai commencé à bouger. Il était si gros en moi, si parfait. Le plaisir explosait en moi par saccades, par vagues qui me laissaient pantelantes avant que mon désir ne reprenne le dessus et que je recommence à me baiser sur cette belle queue. Il m’encourageait, disait des mots doux autant que des mots crus. Mes tétons que ses doigts pinçaient maintenant doucement envoyaient comme des impulsions électriques qui augmentaient mon extase. J’ai crié et crié encore avant de m’effondrer sur lui pendant qu’il jouissait une nouvelle fois.
J’ai roulé sur le côté et senti ses caresses douces, puis, sa respiration s’est calmée et j’ai senti qu’il s’était endormi. Je me suis levée sans un bruit, prenant mes affaires et m’éclipsant lâchement de ce qui avait été les moments les plus forts de ma vie, des larmes plein les yeux. Autant partir tout de suite que d’être rejetée encore.
Marc
Quand j’ai ouvert les yeux, il était 5 heures du matin. J’ai aussitôt eu un sentiment de malaise qui s’est confirmé quand j’ai tendu le bras pour m’apercevoir que Julie n’était plus dans mon lit.
Quel imbécile ! Je m’étais endormi contre ma volonté ! J’avais commencé la journée de la veille aux aurores et entre le travail, l’alcool et la plus fantastique expérience sexuelle de ma vie, le sommeil m’avais attrapé bien trop rapidement.
J’ai passé les semaines suivantes à traquer cette équipe de pompom girl sans aucun succès. Aucun de mes potes n’avait fait connaissance avec elles suffisamment pour obtenir un numéro et leurs masques avaient fait leur travail d’anonymat beaucoup trop bien.
Je ne suis pas un coureur de jupons mais mon physique, associé à un certain charisme et à mon humour, attire régulièrement de jolies filles dans mon lit. J’ai eu quelques relations plus longues mais j’ai surtout eu pas mal de coups d’un soir, sans aucun regret… Jusqu’à Julie, si même c’était bien son nom ?
J’avais ressenti avec cette fille une connexion incroyable et ce qui me gênait le plus, c’est que j’étais absolument certain qu’elle avait ressenti ça aussi.
Son corps représentait pour moi la perfection féminine, tout ce que je recherchais chez une femme. Sa sensualité mêlée de pudeur rendait chacun de ses gestes précieux. Seins fermes, taille fine, hanche douces et légèrement évasées… Ses lèvres avaient failli m’amener à jouir en quelques secondes. Ses baisers m’avaient fait bander comme jamais… Et ses yeux ! Sa voix quand elle criait mon nom, criait de plaisir !
Comment est-ce que j’allais faire pour oublier ces sensations ? Ces sentiments même !
Julie
Mes amies ont su que j’avais couché avec Marc. Elles m’ont questionnées et j’ai dit la vérité, que c’était le meilleur coup que j’ai jamais eu. J’ai été jusqu’à leur décrire à quel point il m’avait fait jouir sur son sexe car elles ne m’ont pas lâché avant que je l’ai fait. Elles étaient super contentes pour moi, d’autant plus qu’aucune des autres célibataires n’avaient sauté le pas comme moi ce soir-là.
Mais ensuite, elles ont vu que je n’allais pas bien. On était de retour dans notre ville, à 200 km de chez Marc. J’avais donné une fois dans les relations à distance et je n’avais aucune envie de recommencer. Surtout que je m’étais décidée à changer de carrière et les études pour devenir infirmière me prennaient tout mon temps.
J’étais persuadée qu’un homme comme Marc était trop bien pour moi, qu’une fois le masque tombé, j’allais me faire jeter. C’était mieux comme ça. J’avais vu le regard des autres filles du bar sur lui. La semaine prochaine, une autre serait dans son lit.
Pendant deux années entières, je me suis partagée entre mes études et les souvenirs d’une seule foutue soirée.
Je commençais tout juste à m’en remettre quand mon monde à une nouvelle fois chaviré.
Marc
J’en avais bien besoin ! Changement radical !
A force de travail, je gravissais les échelons professionnellement mais ma vie privée ne me plaisait plus. Mes potes ne grandissaient pas. Les coups d’un soir ne me satisfaisaient plus du tout. J’ai même tenté une relation plus longue avec une fille très gentille. Seulement, quand une vision de Julie, un masque sur le visage m’est apparue pendant que j’étais sensé faire l’amour à Sonia, j’ai su qu’elle ne méritait pas ça et j’ai rompu.
Du coup, j’ai démissionné et trouvé du travail dans un autre hôpital, en tant qu’adjoint à la direction. J’ai laissé derrière moi mes potes immatures et mon appartement, avec un peu d’espoir que les souvenirs de Julie dans ce même appartement s’estompent rapidement.
C’est environ une semaine après mon arrivée que j’ai croisé une fille au visage doux dans les couloirs de l’hôpital. Je me suis dit « Mmmmh très mignonne cette jeune femme infirmière »
Quelques jours ont passé avant que je ne revoie cette délicieuse jeune femme à la cafétéria. Elle ne m’a pas vu, à quelques mètres de moi en train de discuter avec ses collègues.
J’étais en train de manger mon sandwich, un sourire sur les lèvres car pour moi c’est toujours une bonne journée quand on a la chance de croiser une si jolie jeune femme.
Au cours des minutes suivantes, plusieurs petites choses m’ont perturbé. J’aimais sa voix mélodieuse, la façon qu’elle avait de replacer une mèche derrière son oreille. Ensuite j’ai entendu un petit rire sortir de sa gorge. C’est quand j’ai eu un aperçu de son sourire que j’ai cru défaillir ! Julie ! Tout chez elle me rappelait Julie.
Est-ce que ça pouvait être Julie ? Il fallait que j’en ai le cœur net.
J’ai mis un peu de temps à savoir comment l’approcher. J’ai lu son dossier et trouvé un angle à peu près plausible.
J’ai fait demander à sa chef de service de l’envoyer au bureau du service RH à 19h30, alors qu’elle devait prendre son poste, prétextant une pièce manquante dans son dossier personnel.
A 19h30, la totalité du personnel administratif était déjà rentré à leur domicile. Elle a frappé à la porte.
- Entrez et asseyez-vous au bureau, j’ai presque fini !
J’étais derrière la porte de bureau, dans une sorte de renfoncement, caché à sa vue, faisant semblant de consulter des dossiers.
J’ai fermé la porte derrière elle et je suis passé derrière le bureau. J’ai vu son visage perdre sa couleur.
- Vous allez bien Lucie ?
- Je… Oui, oui… Je vais bien.
- Tant mieux.
J’ai commencé à lui parler de son dossier et de ses compétences, prétextant un hypothétique changement de service. Elle a dû penser que je ne la reconnaissais pas car elle s’est un peu détendue mais elle était vraiment gênée, ça se voyait.
A un moment, sans prévenir, je me suis levé et je me suis posté devant elle.
- J’ai une dernière chose à vérifier et ensuite je vous libère…
Ma proximité la troublait. Elle respirait fort, rougissait.
- Que… que voulez-vous vérifier ?
- Une chose qui peut me faire renvoyer… Vous aurez tous les droits… Je ne contesterai rien…
- Peut-être que vous ne devriez pas le faire alors…
- Le problème c’est que j’attends ce moment depuis trop longtemps déjà.
J’ai ouvert un bouton de sa blouse tout en la regardant dans les yeux, puis d’un doigt, j’ai délicatement écarté le tissu sur son épaule gauche, dévoilant sa clavicule et sa peau juste au-dessus de son sein gauche.
Il était bien là ! Un grain de beauté sombre, net, rajoutant par cette imperfection à la perfection de son corps dans ma mémoire. Julie/Lucie retenait son souffle alors que je caressais ce souvenir du bout du doigt.
J’ai attrapé sur le bureau quelque chose qui était caché à sa vue jusqu’à maintenant : une copie exacte du masque qu’elle portait ce soir-là.
Elle a porté sa main à sa bouche. J’ai posé doucement le masque sur le haut de son visage.
- Bonjour Julie !
- Marc !
J’ai doucement caressé sa joue, déposé un baiser sur son front.
- Je vais t’appeler Lucie maintenant… Lucie il y a deux ans, tu as créé dans ma mémoire les plus beaux et plus douloureux souvenirs pour moi. Je t’ai cherché partout mais tu avais bien prévu ton coup pour me faire souffrir.
- Marc…
- Non ! Laisse-moi terminer… Je sais très bien que c’est fou… Mais je crois sincèrement être tombé amoureux d’une femme merveilleuse en une seule et unique nuit. Ton masque ne cachait pas tout. J’ai senti ta sensibilité, ta beauté, ta douceur, ta sensualité, ta volonté de me satisfaire, ta générosité dans l’amour…
Une larme a coulé par-dessous le masque.
- Je sais ce que j’ai ressenti avec toi ! Et depuis, rien ne m’a fait douter ! Je suis intimement persuadé que tu as ressenti quelque chose aussi !
- …
- Sur le bureau devant toi, il y a mon adresse, mon numéro de téléphone… Vendredi, après avoir réfléchi à tout ça, viens à mon appartement, envoie-moi un texto, téléphone-moi… Je veux juste savoir si je me suis complètement trompé. Je t’assure que jamais je ne t’embêterai jamais à nouveau si je me suis trompé… A vendredi, j’espère, quel que soit ce que tu vas me dire : que tu veux qu’on se revoie, que tu as déjà quelqu’un, ou que tu n’as rien ressenti avec moi.
Je suis sorti du bureau avant de tenter de la prendre dans mes bras. Elle pleurait doucement.
Julie
A 19h00, j’étais devant la porte de son appartement. Dans ma tête, les 30 prochaines minutes pourraient bien déterminer le reste de ma vie.
Marc m’a ouvert en chemisette blanche et jean serré. Toujours aussi beau.
Les 2 derniers jours avaient été une torture pour moi. J’ai pleuré, souvent et longtemps.
On s’est installé dans son salon.
- C’est à moi de parler ce soir… Il y a 2 jours, tu m’as prise par surprise… J’étais persuadée de ne jamais recroiser ton chemin… Cette fameuse nuit, j’étais à presque 300km de chez moi. J’étais à un moment difficile de ma vie. Je voulais changer de carrière et je venais d’être acceptée dans une école. Je sortais d’une relation à distance longue et douloureuse… Tu étais tout ce que je n’avais jamais connu… Ou osé espéré connaître un jour dans ma vie. Le masque m’a donné une confiance en moi et m’a permis de vivre une nuit exceptionnelle. Quand tu t’es endormi, la Lucie « sans le masque » a repris le dessus totalement. J’ai paniqué. Un homme comme toi ne voudrait jamais d’une fille comme moi. J’avais vu toute la soirée le regard de filles magnifiques qui te regardaient comme si tu étais un bonbon à croquer. Jamais je n’allais pouvoir rivaliser avec elles. J’ai voulu me protéger.
- Lucie…
- Sauf que c’est le contraire qui s’est passé. Je me souviens de chaque instant avec toi… Et de tout ce que j’ai ressenti. Je suis sortie avec 3 garçons après toi. Je n’en ai embrassé qu’un et j’ai regretté aussitôt. Je pense à toi tellement souvent !
- Tu savais où j’habitais… Pourquoi…
- Pourquoi ne pas venir te voir ?
- Oui !
- Parce que je me suis persuadée que je ne te méritais pas, parce que je sortais d’une relation longue distance douloureuse et catastrophique. Je ne voulais pas recommencer ça avec toi, parce que je commençais une école d’infirmière… Parce que j’avais peur… Que tu me rejettes…
- Je crois qu’on a gâché 2 ans ensemble
- On dirait bien.
- Sauf que tu as des arguments… Pas tous fondés… Mais tu as des arguments. Moi par contre…
- Tu n’as rien fait toi ! Rien à te reprocher.
- J’aurais dû te parler pendant des heures, te cajoler, te convaincre de rester… Au lieu de m’endormir comme un imbéclie après avoir fait l’amour à la fille la plus exceptionnelle et avoir ressenti plus de plaisir qu’avec aucune autre.
Mon dieu ! Je lui avais vraiment fait ressentir tout ça ?
Je me suis jetée sur lui. On s’est embrassé longtemps, passionnément, fougueusement au début, puis, de plus en plus tendrement. Ses mains sur ma taille fine me propageaient sa chaleur et j’ai gémit en plein milieu d’un baiser.
Je me suis levé et je l’ai maintenu dans le canapé.
- Maintenant, je vais te prouver que j’ai ressenti des sentiments extraordinairement forts avec toi ! Je vais te montrer quelque chose que jamais personne n’a vu sauf la personne qui me l’a fait. Tu n’as pas le droit de bouger.
J’ai lentement fait tomber mes vêtements : mon gilet, mon chemisier, puis, ma jupe.
J’étais en chaussures à talons et lingerie devant lui, ma plus belle lingerie. L’effet sur lui était plus que visible. Une bosse phénoménale déformait son pantalon et j’en salivais d’avance.
J’ai dégrafé et enlevé mon soutien-gorge, caressant moi-même une fois ou deux mes seins, comme pour me soulager d’avoir porté un engin de torture toute la journée au lieu de les offrir à Marc. En vérité, je voulais qu’il me veuille encore plus.
Je me suis tournée et j’ai enlevé ma culotte en me baissant exagérément en lui tendant mes fesses. Je l’ai vu bouger dans le fauteuil et réajuster son pantalon, refrénant son envie de me sauter dessus.
Lentement, je me suis tournée vers lui. Il a vu quelque chose sur mon corps et s’est penché pour mieux voir. D’un coup, il a réalisé ce que c’était et est retombé dans le fauteuil lourdement, me regardant totalement hébété.
- De quand date ce tatouage ?
- 18 mois environ…
Il s’est levé et m’a pris dans ses bras.
- C’est… C’est une sacrée preuve Lucie
J’avais dessiné de mémoire une petite tache de décoloration de sa peau au niveau de sa hanche droite et je me l’étais faite tatouée au même endroit, de la couleur sombre de sa peau.
Une minute plus tard, on était tous les deux nus sur son lit, tantôt une fois au-dessus, une fois au-dessous. Son sexe dur comme la pierre battait contre mon ventre.
Marc m’embrassait partout, dévorait mon corps et je faisais de même. Enfin, son gland s’est trouvé à l’endroit exacte où je le voulais.
- Viens en moi Marc ! Je… Je rêve de ça depuis 2 ans.
- Moi aussi !
J’ai relevé le bassin et son gland est entré en moi un tout petit peu.
- Lucie ! Je n’ai pas de…
J’ai fermé sa bouche avec la mienne en relevant une nouvelle fois le basin et en poussant sur ses reins avec mes talons. Il a compris le message et est entré un peu plus en moi. J’ai attaqué avec mes lèvres et mes dents, la peau sombre et douce de son cou, me délectant de son goût. Marc a poussé un grognement de plaisir presque animal et sa belle queue est entrée loin en moi, d’une lente et puissante poussée qui m’a arraché un gémissement de plaisir. Tout était si bon avec Marc !
Il s’est redressé un peu et a bougé en moi. Les frottements étaient intenses malgré mon sexe qui coulait de désir. Quand Marc m’a dit « Je t’aime » une fois, puis deux, puis trois, c’en était trop pour moi. J’ai crié son nom, les draps serrés dans mes poings pour ne pas le griffer au sang, mon bassin pris d’une vie propre.
Mon orgasme a baissé en intensité mais Marc continuait ses va et vient. J’ai posé mes mains sur son torse, fascinée par leur blancheur contre sa mate et toujours bronzée. Il me regardait en souriant.
- J’aime ta peau Marc, douce… sombre.
Marc s’est mis à genoux sur ses talons et ses mains ont saisi mes hanches pour me tirer vers lui.
J’ai rejeté la tête en arrière en feulant de plaisir sous la pénétration profonde.
Marc a accéléré le rythme pour m’amener vers un autre orgasme. Lui aussi semblait à bout.
- Je vais jouir Lucie !
- EN MOI ! Jouis en moi mon amour ! OOOHHH Je veux te sentir jouir ! OOOOHH OUIII !!!!
- AAAAHHHH !
Marc s’est lâché en moi, longuement, se penchant pour m’embrasser tout en bougeant anarchiquement. J’ai senti son sperme lubrifier encore mon sexe alors que mon orgasme atteignait des sommets. C’était trop bon. On s’embrassait partout malgré nos corps couverts de sueur.
Marc
On reprenait notre souffle lentement.
Lucie était encore mieux que dans mon souvenir, plus libérée, plus sensuelle encore !
- Lucie !
- Oui ?
- J’aime encore plus Lucie que Julie.
Ses yeux se sont embués. Des larmes de bonheur et de soulagement j’en étais sûr.
Je l’ai porté jusqu’à la douche. Elle était passive, collée à moi. Je l’ai lavée, cajolée, séchée, avant de la remettre dans mon lit.
Je me suis redressé sur un coude et j’ai pris un foulard dans ma table de nuit. Je l’ai agité un peu devant ses yeux tout en prenant ses poignets dans ma main libre.
- Est-ce que je dois t’attacher à mon lit pour que tu ne te sauves pas comme la dernière fois ?
Elle a éclaté de rire et s’est jetée sur moi pour m’embrasser.
- Non… Si tu veux vraiment de moi je n’ai aucune intention de partir où que ce soit… Mais peut-être que… tu peux garder le foulard pour une autre fois ?
J’ai retrouvé sa pudeur, son hésitation à être si ouverte sur ses désirs. C’était mignon, craquant.
Elle était sur moi, assise sur mon ventre. Ma queue bandait à nouveau, redressée contre ses fesses et le bas de son dos. Ses seins splendides et fermes tendaient leur téton vers moi, très tentant mais quand j’ai voulu les caresser, elle m’a autoritairement mis les mains au-dessus de ma tête.
- Ton corps m’a tellement fait fantasmé pendant ces deux ans Marc !
- Et j’ai pensé au tien en permanence… J’ai eu une histoire pendant 2 mois avec une fille pour essayer de t’oublier.
J’ai vu ses sourcils se froncer de jalousie.
- Mais j’ai rompu avec elle car en couchant avec elle, c’était toi que j’imaginais.
Son sourire est revenu plus beau et franc que jamais.
Elle a passé de longues et délicieuses minutes à explorer tout mon corps. Ses ongles griffaient parfois doucement l’intérieur de mes cuisses, mes testicules, faisant bondir mon sexe. Sa bouche et sa langue m’ont mis dans un état d’excitation incroyable. Elle était magique ! Si je n’avais pas joui ½ heure avant, j’aurais éjaculé depuis longtemps. Jamais une femme ne m’avais fait ressentir aussi fort qu’elle aimait mon corps, qu’elle me désirait, qu’elle m’aimait.
Ensuite, elle s’est attardée sur mon sexe mais je voulais encore jouir en elle.
J’ai inversé les rôles et profité de son corps et de ses courbes, de la douceur de sa peau.
J’ai positionné Lucie en levrette au centre du lit et j’ai caressé ses épaules et son dos en m’approchant toujours plus de ses magnifiques globes que sont ses fesses. Lucie a gémi fort quand j’ai tendrement mordu ses fesses avec ma bouche.
- Tellement belle ! Tellement bandante ! Tu es parfaite aussi comme ça tu sais ?
- OOHHH ! Tu aimes que je sois comme ça pour toi ?
- Oui ! Est-ce que tu es à moi maintenant ?
- Oui mon amour !
- Toute à moi ?
Mon doigt était passé de son clitoris à sa chatte, puis son anus en longeant toute la raie de ses fesses.
- Oui ! Entièrement à toi !
Je me suis penché et Lucie a respiré encore plus fort quand elle a senti mon souffle à quelques centimètres de son intimité. Ses reins se sont encore plus creusés pour s’offrir à moi encore mieux.
J’ai léché son sexe, son clitoris, puis je suis remonté doucement. Lucie a senti ma langue sur son anus et s’est contractée un peu en poussant un petit cri aigu.
- Toute à moi Lucie ?
- Oh mon dieu…
J’ai lapé son anus une autre fois et la même réaction s’est faite entendre.
- Alors ? toute à moi ?
- OOHHH ! OUI ! A TOI ! COMPLETEMENT A TOI ! AAAAHHH !
J’ai concentré mes attentions sur son petit trou tout en caressant sa chatte. Lucie adorait clairement ce que je faisais, poussait ses fesses contre ma langue alors que seulement le bout de mon index agaçait l’entrée de son sexe.
Lucie a un cul parfait, splendide dans cette position. Je bandais fort, vraiment fort.
Je me suis positionné derrière elle alors que Lucie avait du mal à contenir ses gémissements, bougeait son bassin, prise d’un désir très fort. Je suis entré en elle lentement. Elle était toujours aussi serrée, bonne.
Je coulissais dans son fourreau étroit et chaque poussée lui arrachait un gémissement plus fort. J’ai pris une poignée de ses cheveux dans ma main pour lui faire tourner la tête.
Elle a ouvert les yeux et découvert notre reflet dans un grand « OH » de surprise. J’ai vu tout de suite que la vision de nos corps, le contraste de nos peaux, l’excitait énormément car ses cris se sont amplifiés.
Lucie a été d’orgasmes en orgasmes pendant quelques minutes avant que je jouisse au plus profond d’elle dans un grand râle et que je m’écroule avec elle sur le lit.
Julie
Marc était bien meilleur que dans mon souvenir. Je n’ai pas quitté son appartement du weekend et j’y ai eu plus d’orgasmes que dans ma vie entière.
Je vis depuis avec lui un vrai bonheur. Le fait qu’il soit heureux comme un gamin chaque fois que sa main touche mon ventre qui s’arrondit n’y est pas pour rien…
A 26 ans, j’avais tout ce que je voulais avoir à ce moment-là dans ma vie.
J’avais déjà commencé à monter les échelons d’un travail que j’aime et qui rémunère bien. J’avais une super bande de potes et je vivais dans une ville de province suffisamment grande pour sortir et avoir toutes les infrastructures sportives ou culturelles dont j’ai besoin.
Un samedi, on est sorti dans un bar avec 4 potes. C’est un bar de nuit avec une piste de danse, toujours très fréquenté mais là, on est en plein mois et juillet et je pense que la plupart des habitués sont en vacances. La soirée s’annonçait bien car l’ambiance du bar était bonne mais elle est devenue bien plus chaude quand un groupe d’une bonne dizaine de filles entre 20 et 30 ans est arrivé.
C’était clairement un enterrement de vie de jeune fille. Elles portaient toutes un costume de majorettes style cheerleader américaines et un masque couvrant le haut du visage. Elles avaient sans doute passé la journée à s’amuser et boire quelque part et quelques verres devaient déjà être de la partie.
Elles étaient toutes jolies et élancées. Leur tenue mettait en valeur des jambes longues et belles, des ventres plats et des poitrines de toutes tailles.
Il m’a fallu 10 bonnes secondes pour que mes yeux tombent sur l’un de ces filles. Elle était un peu moins grande que les autres, plus « féminine » à mes yeux aussi. Je lui ai trouvé un charme de dingue. J’ai deviné qu’elle tentait de dissimuler une certaine pudeur naturelle. Elle était clairement moins à l’aise que les autres filles de son groupe dans cette tenue.
Elle a surpris mon regard sur elle et je lui ai souri gentiment. Nos yeux sont restés un moment l’un dans l’autre avant qu’elle ne détourne le regard, un peu gênée.
Au bout de quelques verres, elle a commencé à se lâcher. Elle est allée danser avec les autres filles et les mecs du bar ont essayé de les brancher. Elle dansait avec un mec ou un autre mais souvent nos regards se croisaient. Je sentais que je lui plaisais.
Je suis allé danser aussi et l’une de ses copines s’est rapprochée de moi. Elle était très jolie mais je n’avais d’yeux que pour la belle inconnue qui dansait avec un autre mec tout en me regardant furtivement.
La musique a changé de rythme. J’ai marché droit vers elle et son regard m’a montré que j’avais raison. Quand j’ai tendu la main, elle l’a prise aussitôt, au grand désespoir de son précédent cavalier qui s’est éclipsé.
C’était un zouk et j’adore cette danse. Nos regards étaient chauds, brûlants. Elle n’était pas très sûre des pas de danse mais me suivait et ses mouvements devenaient de plus en plus sensuels. Elle se laissait guider, me laissait me coller à elle.
On arrivait à la fin de la danse et elle a levé les yeux vers moi, a regardé mes lèvres. L’invitation était beaucoup trop tentante. Je me suis penché et on s’est embrassé avec passion. J’ai senti mon désir grimper en flèche, le sien aussi.
Quand nos lèvres se sont séparées, ses copines criaient et applaudissaient alors qu’elle rougissait. Ca faisait très longtemps que je n’avais pas ressenti de telles sensations en embrassant une fille.
- Moi, c’est Marc !
Elle a souri, certainement en pensant qu’elle avait embrassé un mec sans connaître son prénom.
- Moi c’est Julie.
On était encore collés l’un à l’autre mais malgré le changement de musique, on ne bougeait pas. Mon sexe avait pris du volume et pressait contre elle. Elle s’est mordillé la lèvre inférieure et j’ai senti sa main frôler mon sexe intentionnellement. Sa respiration était plus rapide et quand j’ai bougé mon bassin légèrement, j’ai aussitôt senti une réponse de sa part.
L’attraction était trop forte. Elle m’a regardé intensément.
- Julie, juste un mot de ta part et je t’emmène chez moi finir la nuit…
- … Donnes-moi 2 minutes…
Elle est allée voir un de ses copines et est sortie du bar pour revenir très peu de temps après avec un petit sac dans la main. Elle est retournée voir sa copine et est venue vers moi après.
J’ai senti qu’elle était plus hésitante mais j’ai pris en main la situation en la collant à moi et en l’embrassant à nouveau. Elle a lâché son sac sur mon siège et a passé ses bras autour de moi pour bouger au rythme de la musique jusqu’à ce que nos respirations montrent notre désir de l’autre.
On est parti pour mon appartement. La nuit était un peu plus fraîche alors j’ai mis ma veste autour de ses épaules. Je bandais presque déjà à l’idée de passer la nuit avec elle.
Julie
Je passais de très loin la journée la plus folle de ma vie ! Et la nuit s’annonçait comme la plus torride !
Il y a un an, je me suis inscrite à une association de quartier qui proposait des cours de zumba. J’ai fait la connaissance des autres membres et elles m’ont immédiatement accepté dans leur groupe d’amies. Je suis un peu timide mais elles ont été géniales avec moi.
J’avais un petit ami mais c’était une relation longue distance qui stagnait. Mon travail me prenait beaucoup de temps et d’énergie au point que je pensais changer de voie. Heureusement, qu’elles étaient là pour mettre de la gaieté dans ma vie. J’essayais de leur rendre la pareille du mieux que je pouvais.
Marie avait rencontré l’homme de sa vie et allait l’épouser. C’est là que tout a commencé à déraper.
On a organisé son enterrement de vie de jeune fille en commençant par une matinée dans un salon de beauté et spa, puis on a mangé ensemble au restaurant avant de passer l’après-midi au bord d’une piscine privative. On buvait mais pas de trop pour profiter de la soirée.
On avait loué un van qui pouvait toutes nous transporter et une de nos amies venait d’apprendre qu’elle était enceinte donc nous a proposé de faire le chauffeur.
A 22h00, le moment que je redoutais est arrivé. J’ai enfilé un costume de cheerleader épousant bien trop mes formes à mon goût. Je sais que je ne suis pas moche mais je n’aime pas trop « m’exposer »
J’avais rompu avec mon copain 3 mois avant et je n’étais sortie avec personne après. Les filles m’ont fait promettre de me lâcher et de profiter de la soirée. Bonne chance à elles !
Le bar n’était pas trop bondé et j’aimais l’endroit, ni trop grand ni trop petit. Après qu’on se soit installées j’ai voulu balayer la pièce dur regard mais je n’avais pas vu la moitié du bar quand je suis tombée sur lui. Il parlait avec un autre mec, debout près du bar. Ok, il était très beau, baraqué, bien habillé aussi, mais quelque chose chez lui m’a fait craquer.
Un peu plus tard, nos regards se sont croisés et j’ai senti une boule de désir naître dans mon ventre. Comment pouvait-il avoir cet effet sur moi. Je n’étais pas comme ça d’habitude.
On s’éclatait vraiment entre copines et le fait de porter un masque me rendait plus sûre de moi d’une certaine manière. J’ai dansé avec quelques mecs mais aucun ne me faisait l’effet de l’autre gars alors qu’on ne s’était pas approché à moins de 3 ou 4 mètres l’un de l’autre.
Ensuite tout s’est passé très vite. Je l’ai vu arriver près de moi et il m’a tendu la main pour m’entraîner dans un zouk endiablé, très érotique selon mes critères plutôt sages. Il était doué, me guidait et se moquait des pas que je loupais. Quand il s’est penché pour m’embrasser, non seulement je l’ai laissé faire mais j’ai répondu activement, allant moi-même chercher le contact de sa langue. Je me suis sentie fondre et mon sexe me taraudait.
10 minutes plus tard, il refermait la porte de son appartement sur nous et me soulevait tout en m’embrassant. Ma courte jupe de pom-pom girl était remontée complètement alors que j’entourais sa taille de mes jambes. Marc allait me baiser ! Je voulais qu’il me baise, qu’il me baisse comme jamais je n’avais été baisée. Il était bâti pour le faire. Mon corps entier le réclamait.
Il m’a déposé au pied de son lit et a porté les mains à mon visage pour enlever mon masque.
- Non ! Marc… Le masque reste !
J’ai vu sa déception mais il avait bien trop envie de moi pour me contredire. J’avais besoin de ce masque. Ce que je faisais ce soir n’était pas moi. Jamais je n’avais couché avec un inconnu. Le masque devait rester pour que j’ose profiter de ce moment jusqu’au bout, pleinement.
Marc a enlevé les boutons de sa chemise, dévoilant petit à petit son torse musclé, ses abdominaux parfaits. J’ai fait glisser la chemise de ses épaules douces et puissantes tout en caressant sa peau, ses biceps.
J’ai caressé un moment son corps et il se laissait faire, fier de sentir que je le trouvais beau… Et il avait de quoi. On s’est à nouveau embrassé avec passion pendant que ses mains prenaient possession de mes fesses. J’ai enlevé d’un coup ce haut un peu trop serré pour moi en même temps que la brassière en dessous.
J’ai vu ses yeux s’arrondir de surprise et de plaisir quand je lui ai offert sur un plateau ma poitrine grosse et ferme. Il était comme un gamin devant moi mais ça n’a pas duré longtemps. Il a repris ses esprits et a profité de mes seins, de mes tétons, avec ses mains, sa bouche et sa langue, m’arrachant des soupirs de désir et de plaisir.
Mais j’avais trop envie. J’ai ouvert sa ceinture et je me suis mise à genoux devant lui pour baisser son pantalon et son caleçon. Appelez-moi prude si vous voulez mais je n’avais jamais fait ça avant ; tout simplement parce que mon ex ne m’avait jamais inspiré ce genre de désir.
Son sexe était dur comme la pierre, long et gros, puissant comme le reste de son corps. J’ai regardé un moment cet engin magnifique, entre désir et appréhension.
Je suis devenue une autre au moment où mes doigts fins et délicats se sont saisis de la hampe lourde et menaçante. J’étais incapable de dire d’où il était originaire mais j’aurais parié sur une région méditerranéenne.
J’étais hypnotisée par le mouvement de mes doigts sur son sexe. Comment était-il possible que la douceur que je sentais sous mes doigts, la beauté de son gland lisse, à quelques centimètres de ma bouche, m’inspire des émotions aussi contradictoires. Pouvait-il entrer en moi ? Allait-il me faire mal ? Est-ce que j’allais crier de plaisir et en redemander encore et encore ?
J’ai léché son gland et je me suis rendue compte à cet instant de j’entendais depuis un moment déjà ses gémissements de désir. J’ai levé les yeux et je me suis sentie si petite par rapport à lui !
Comment un homme comme lui, un mâle, pouvait-il s’être intéressé à moi ? Le masque ! Ce devait être le mystère autour du masque.
Je suçais son gland depuis peut-être deux ou trois minutes, m’imprégnant tout juste de son goût délicieux quand il m’a stoppé pour finir d’enlever ses vêtements. Ma jupe et mon string (accessoire indispensable selon mes amies pour porter une jupe de majorette) ont volé à travers la pièce et je me suis retrouvée allongée, jambes écartées par ses mains alors que son visage embrassait l’intérieur de chaque cuisse tout en remontant au fur et à mesure vers mon sexe déjà bouillant, presque dégoulinant. Je bougeais mon bassin à la recherche de ses caresses, ma poitrine se gonflait sous l’effet de ma respiration plus forte, mon ventre se creusait
Marc m’a regardé.
- Si belle ! Si douce et désirable ! Si sensuelle !
- OOOHHH ! Marc !
Sa bouche s’est posée sur mon sexe et sa langue est entrée en moi. Il n’avait plus besoin de tenir mes cuisses. Je les écartais moi-même à présent. Il me caressait, me léchait, me dévorait. Il m’a amené lentement et méthodiquement à un orgasme très fort qui m’a fait crier son nom. J’ai saisi son visage et il s’est laissé faire pour que je puisse l’embrasser. Son gland était juste à l’entrée de ma chatte. Je le voulais en moi mais il s’est redressé, m’arrachant un gémissement de frustration. J’étais si proche de l’avoir en moi.
Mais il a simplement passé un préservatif ! MON DIEU ! J’avais tellement envie que je n’avais même pas pensé à ça !
Marc a pris son temps, me faisant savourer une pénétration qui m’a fait très vite atteindre des sommets de plaisir. Il était si gros et pourtant si doux, si profond, si satisfaisant.
Ses baisers étaient parfaits et je gémissais dans sa bouche. Mes mains parcouraient son corps et ses muscles. Malgré mon masque, on se regardait très souvent dans les yeux et j’ai senti mon cœur chavirer en même temps qu’un orgasme phénoménal s’emparait de moi. Mon dieu ! Il ne me baisait pas ! Il me faisait l’amour ! JE lui faisais l’amour !
J’avais la bouche dans son cou pour étouffer mes cis de jouissance quand Marc a joui en moi, ses gémissements emplissaient mes oreilles du plaisir qu’il prenait.
On a mis un long moment à s’en remettre, lui sur le dos et moi, la tête sur son épaule. Au bout d’un moment, mes yeux ont couru sur son corps et j’ai senti aussitôt mon désir revenir au galop. Quelques baisers à la base de son cou et sur son torse ont suffi à faire bander son gros sexe pour moi.
J’ai saisi un préservatif qu’il avait posé parmi d’autres sur le lit et je le lui ai enfilé, non sans mal, compte tenu de mon inexpérience relative et de l’épaisseur de son engin. J’ai passé une jambe par-dessus son corps pour m’empaler sur lui dans un grand cri de plaisir et de surprise, son sexe pénétrant bien plus loin en moi, à la limite de l’inconfort.
Je me suis stoppée. Marc m’a regardé en souriant, mains croisées derrière sa nuque. Son gland toujours au plus profond de moi, j’ai caressé son corps. Mes ongles passaient sur le contour de chaque muscle, essayant d’en garder un souvenir visuel pour mes séances de masturbation solitaires futures. Je voulais garder en mémoire le contraste de sa peau bronzée et de ma peau très claire. Quelques doutes s’insinuaient dans mon esprit. Pourquoi n’en profiter qu’une nuit ? Est-ce qu’il ne voudrait pas être avec moi un peu plus ? Non, une nuit ! Un homme comme lui n’avait san doute qu’une nuit à m’offrir.
Puis j’ai commencé à bouger. Il était si gros en moi, si parfait. Le plaisir explosait en moi par saccades, par vagues qui me laissaient pantelantes avant que mon désir ne reprenne le dessus et que je recommence à me baiser sur cette belle queue. Il m’encourageait, disait des mots doux autant que des mots crus. Mes tétons que ses doigts pinçaient maintenant doucement envoyaient comme des impulsions électriques qui augmentaient mon extase. J’ai crié et crié encore avant de m’effondrer sur lui pendant qu’il jouissait une nouvelle fois.
J’ai roulé sur le côté et senti ses caresses douces, puis, sa respiration s’est calmée et j’ai senti qu’il s’était endormi. Je me suis levée sans un bruit, prenant mes affaires et m’éclipsant lâchement de ce qui avait été les moments les plus forts de ma vie, des larmes plein les yeux. Autant partir tout de suite que d’être rejetée encore.
Marc
Quand j’ai ouvert les yeux, il était 5 heures du matin. J’ai aussitôt eu un sentiment de malaise qui s’est confirmé quand j’ai tendu le bras pour m’apercevoir que Julie n’était plus dans mon lit.
Quel imbécile ! Je m’étais endormi contre ma volonté ! J’avais commencé la journée de la veille aux aurores et entre le travail, l’alcool et la plus fantastique expérience sexuelle de ma vie, le sommeil m’avais attrapé bien trop rapidement.
J’ai passé les semaines suivantes à traquer cette équipe de pompom girl sans aucun succès. Aucun de mes potes n’avait fait connaissance avec elles suffisamment pour obtenir un numéro et leurs masques avaient fait leur travail d’anonymat beaucoup trop bien.
Je ne suis pas un coureur de jupons mais mon physique, associé à un certain charisme et à mon humour, attire régulièrement de jolies filles dans mon lit. J’ai eu quelques relations plus longues mais j’ai surtout eu pas mal de coups d’un soir, sans aucun regret… Jusqu’à Julie, si même c’était bien son nom ?
J’avais ressenti avec cette fille une connexion incroyable et ce qui me gênait le plus, c’est que j’étais absolument certain qu’elle avait ressenti ça aussi.
Son corps représentait pour moi la perfection féminine, tout ce que je recherchais chez une femme. Sa sensualité mêlée de pudeur rendait chacun de ses gestes précieux. Seins fermes, taille fine, hanche douces et légèrement évasées… Ses lèvres avaient failli m’amener à jouir en quelques secondes. Ses baisers m’avaient fait bander comme jamais… Et ses yeux ! Sa voix quand elle criait mon nom, criait de plaisir !
Comment est-ce que j’allais faire pour oublier ces sensations ? Ces sentiments même !
Julie
Mes amies ont su que j’avais couché avec Marc. Elles m’ont questionnées et j’ai dit la vérité, que c’était le meilleur coup que j’ai jamais eu. J’ai été jusqu’à leur décrire à quel point il m’avait fait jouir sur son sexe car elles ne m’ont pas lâché avant que je l’ai fait. Elles étaient super contentes pour moi, d’autant plus qu’aucune des autres célibataires n’avaient sauté le pas comme moi ce soir-là.
Mais ensuite, elles ont vu que je n’allais pas bien. On était de retour dans notre ville, à 200 km de chez Marc. J’avais donné une fois dans les relations à distance et je n’avais aucune envie de recommencer. Surtout que je m’étais décidée à changer de carrière et les études pour devenir infirmière me prennaient tout mon temps.
J’étais persuadée qu’un homme comme Marc était trop bien pour moi, qu’une fois le masque tombé, j’allais me faire jeter. C’était mieux comme ça. J’avais vu le regard des autres filles du bar sur lui. La semaine prochaine, une autre serait dans son lit.
Pendant deux années entières, je me suis partagée entre mes études et les souvenirs d’une seule foutue soirée.
Je commençais tout juste à m’en remettre quand mon monde à une nouvelle fois chaviré.
Marc
J’en avais bien besoin ! Changement radical !
A force de travail, je gravissais les échelons professionnellement mais ma vie privée ne me plaisait plus. Mes potes ne grandissaient pas. Les coups d’un soir ne me satisfaisaient plus du tout. J’ai même tenté une relation plus longue avec une fille très gentille. Seulement, quand une vision de Julie, un masque sur le visage m’est apparue pendant que j’étais sensé faire l’amour à Sonia, j’ai su qu’elle ne méritait pas ça et j’ai rompu.
Du coup, j’ai démissionné et trouvé du travail dans un autre hôpital, en tant qu’adjoint à la direction. J’ai laissé derrière moi mes potes immatures et mon appartement, avec un peu d’espoir que les souvenirs de Julie dans ce même appartement s’estompent rapidement.
C’est environ une semaine après mon arrivée que j’ai croisé une fille au visage doux dans les couloirs de l’hôpital. Je me suis dit « Mmmmh très mignonne cette jeune femme infirmière »
Quelques jours ont passé avant que je ne revoie cette délicieuse jeune femme à la cafétéria. Elle ne m’a pas vu, à quelques mètres de moi en train de discuter avec ses collègues.
J’étais en train de manger mon sandwich, un sourire sur les lèvres car pour moi c’est toujours une bonne journée quand on a la chance de croiser une si jolie jeune femme.
Au cours des minutes suivantes, plusieurs petites choses m’ont perturbé. J’aimais sa voix mélodieuse, la façon qu’elle avait de replacer une mèche derrière son oreille. Ensuite j’ai entendu un petit rire sortir de sa gorge. C’est quand j’ai eu un aperçu de son sourire que j’ai cru défaillir ! Julie ! Tout chez elle me rappelait Julie.
Est-ce que ça pouvait être Julie ? Il fallait que j’en ai le cœur net.
J’ai mis un peu de temps à savoir comment l’approcher. J’ai lu son dossier et trouvé un angle à peu près plausible.
J’ai fait demander à sa chef de service de l’envoyer au bureau du service RH à 19h30, alors qu’elle devait prendre son poste, prétextant une pièce manquante dans son dossier personnel.
A 19h30, la totalité du personnel administratif était déjà rentré à leur domicile. Elle a frappé à la porte.
- Entrez et asseyez-vous au bureau, j’ai presque fini !
J’étais derrière la porte de bureau, dans une sorte de renfoncement, caché à sa vue, faisant semblant de consulter des dossiers.
J’ai fermé la porte derrière elle et je suis passé derrière le bureau. J’ai vu son visage perdre sa couleur.
- Vous allez bien Lucie ?
- Je… Oui, oui… Je vais bien.
- Tant mieux.
J’ai commencé à lui parler de son dossier et de ses compétences, prétextant un hypothétique changement de service. Elle a dû penser que je ne la reconnaissais pas car elle s’est un peu détendue mais elle était vraiment gênée, ça se voyait.
A un moment, sans prévenir, je me suis levé et je me suis posté devant elle.
- J’ai une dernière chose à vérifier et ensuite je vous libère…
Ma proximité la troublait. Elle respirait fort, rougissait.
- Que… que voulez-vous vérifier ?
- Une chose qui peut me faire renvoyer… Vous aurez tous les droits… Je ne contesterai rien…
- Peut-être que vous ne devriez pas le faire alors…
- Le problème c’est que j’attends ce moment depuis trop longtemps déjà.
J’ai ouvert un bouton de sa blouse tout en la regardant dans les yeux, puis d’un doigt, j’ai délicatement écarté le tissu sur son épaule gauche, dévoilant sa clavicule et sa peau juste au-dessus de son sein gauche.
Il était bien là ! Un grain de beauté sombre, net, rajoutant par cette imperfection à la perfection de son corps dans ma mémoire. Julie/Lucie retenait son souffle alors que je caressais ce souvenir du bout du doigt.
J’ai attrapé sur le bureau quelque chose qui était caché à sa vue jusqu’à maintenant : une copie exacte du masque qu’elle portait ce soir-là.
Elle a porté sa main à sa bouche. J’ai posé doucement le masque sur le haut de son visage.
- Bonjour Julie !
- Marc !
J’ai doucement caressé sa joue, déposé un baiser sur son front.
- Je vais t’appeler Lucie maintenant… Lucie il y a deux ans, tu as créé dans ma mémoire les plus beaux et plus douloureux souvenirs pour moi. Je t’ai cherché partout mais tu avais bien prévu ton coup pour me faire souffrir.
- Marc…
- Non ! Laisse-moi terminer… Je sais très bien que c’est fou… Mais je crois sincèrement être tombé amoureux d’une femme merveilleuse en une seule et unique nuit. Ton masque ne cachait pas tout. J’ai senti ta sensibilité, ta beauté, ta douceur, ta sensualité, ta volonté de me satisfaire, ta générosité dans l’amour…
Une larme a coulé par-dessous le masque.
- Je sais ce que j’ai ressenti avec toi ! Et depuis, rien ne m’a fait douter ! Je suis intimement persuadé que tu as ressenti quelque chose aussi !
- …
- Sur le bureau devant toi, il y a mon adresse, mon numéro de téléphone… Vendredi, après avoir réfléchi à tout ça, viens à mon appartement, envoie-moi un texto, téléphone-moi… Je veux juste savoir si je me suis complètement trompé. Je t’assure que jamais je ne t’embêterai jamais à nouveau si je me suis trompé… A vendredi, j’espère, quel que soit ce que tu vas me dire : que tu veux qu’on se revoie, que tu as déjà quelqu’un, ou que tu n’as rien ressenti avec moi.
Je suis sorti du bureau avant de tenter de la prendre dans mes bras. Elle pleurait doucement.
Julie
A 19h00, j’étais devant la porte de son appartement. Dans ma tête, les 30 prochaines minutes pourraient bien déterminer le reste de ma vie.
Marc m’a ouvert en chemisette blanche et jean serré. Toujours aussi beau.
Les 2 derniers jours avaient été une torture pour moi. J’ai pleuré, souvent et longtemps.
On s’est installé dans son salon.
- C’est à moi de parler ce soir… Il y a 2 jours, tu m’as prise par surprise… J’étais persuadée de ne jamais recroiser ton chemin… Cette fameuse nuit, j’étais à presque 300km de chez moi. J’étais à un moment difficile de ma vie. Je voulais changer de carrière et je venais d’être acceptée dans une école. Je sortais d’une relation à distance longue et douloureuse… Tu étais tout ce que je n’avais jamais connu… Ou osé espéré connaître un jour dans ma vie. Le masque m’a donné une confiance en moi et m’a permis de vivre une nuit exceptionnelle. Quand tu t’es endormi, la Lucie « sans le masque » a repris le dessus totalement. J’ai paniqué. Un homme comme toi ne voudrait jamais d’une fille comme moi. J’avais vu toute la soirée le regard de filles magnifiques qui te regardaient comme si tu étais un bonbon à croquer. Jamais je n’allais pouvoir rivaliser avec elles. J’ai voulu me protéger.
- Lucie…
- Sauf que c’est le contraire qui s’est passé. Je me souviens de chaque instant avec toi… Et de tout ce que j’ai ressenti. Je suis sortie avec 3 garçons après toi. Je n’en ai embrassé qu’un et j’ai regretté aussitôt. Je pense à toi tellement souvent !
- Tu savais où j’habitais… Pourquoi…
- Pourquoi ne pas venir te voir ?
- Oui !
- Parce que je me suis persuadée que je ne te méritais pas, parce que je sortais d’une relation longue distance douloureuse et catastrophique. Je ne voulais pas recommencer ça avec toi, parce que je commençais une école d’infirmière… Parce que j’avais peur… Que tu me rejettes…
- Je crois qu’on a gâché 2 ans ensemble
- On dirait bien.
- Sauf que tu as des arguments… Pas tous fondés… Mais tu as des arguments. Moi par contre…
- Tu n’as rien fait toi ! Rien à te reprocher.
- J’aurais dû te parler pendant des heures, te cajoler, te convaincre de rester… Au lieu de m’endormir comme un imbéclie après avoir fait l’amour à la fille la plus exceptionnelle et avoir ressenti plus de plaisir qu’avec aucune autre.
Mon dieu ! Je lui avais vraiment fait ressentir tout ça ?
Je me suis jetée sur lui. On s’est embrassé longtemps, passionnément, fougueusement au début, puis, de plus en plus tendrement. Ses mains sur ma taille fine me propageaient sa chaleur et j’ai gémit en plein milieu d’un baiser.
Je me suis levé et je l’ai maintenu dans le canapé.
- Maintenant, je vais te prouver que j’ai ressenti des sentiments extraordinairement forts avec toi ! Je vais te montrer quelque chose que jamais personne n’a vu sauf la personne qui me l’a fait. Tu n’as pas le droit de bouger.
J’ai lentement fait tomber mes vêtements : mon gilet, mon chemisier, puis, ma jupe.
J’étais en chaussures à talons et lingerie devant lui, ma plus belle lingerie. L’effet sur lui était plus que visible. Une bosse phénoménale déformait son pantalon et j’en salivais d’avance.
J’ai dégrafé et enlevé mon soutien-gorge, caressant moi-même une fois ou deux mes seins, comme pour me soulager d’avoir porté un engin de torture toute la journée au lieu de les offrir à Marc. En vérité, je voulais qu’il me veuille encore plus.
Je me suis tournée et j’ai enlevé ma culotte en me baissant exagérément en lui tendant mes fesses. Je l’ai vu bouger dans le fauteuil et réajuster son pantalon, refrénant son envie de me sauter dessus.
Lentement, je me suis tournée vers lui. Il a vu quelque chose sur mon corps et s’est penché pour mieux voir. D’un coup, il a réalisé ce que c’était et est retombé dans le fauteuil lourdement, me regardant totalement hébété.
- De quand date ce tatouage ?
- 18 mois environ…
Il s’est levé et m’a pris dans ses bras.
- C’est… C’est une sacrée preuve Lucie
J’avais dessiné de mémoire une petite tache de décoloration de sa peau au niveau de sa hanche droite et je me l’étais faite tatouée au même endroit, de la couleur sombre de sa peau.
Une minute plus tard, on était tous les deux nus sur son lit, tantôt une fois au-dessus, une fois au-dessous. Son sexe dur comme la pierre battait contre mon ventre.
Marc m’embrassait partout, dévorait mon corps et je faisais de même. Enfin, son gland s’est trouvé à l’endroit exacte où je le voulais.
- Viens en moi Marc ! Je… Je rêve de ça depuis 2 ans.
- Moi aussi !
J’ai relevé le bassin et son gland est entré en moi un tout petit peu.
- Lucie ! Je n’ai pas de…
J’ai fermé sa bouche avec la mienne en relevant une nouvelle fois le basin et en poussant sur ses reins avec mes talons. Il a compris le message et est entré un peu plus en moi. J’ai attaqué avec mes lèvres et mes dents, la peau sombre et douce de son cou, me délectant de son goût. Marc a poussé un grognement de plaisir presque animal et sa belle queue est entrée loin en moi, d’une lente et puissante poussée qui m’a arraché un gémissement de plaisir. Tout était si bon avec Marc !
Il s’est redressé un peu et a bougé en moi. Les frottements étaient intenses malgré mon sexe qui coulait de désir. Quand Marc m’a dit « Je t’aime » une fois, puis deux, puis trois, c’en était trop pour moi. J’ai crié son nom, les draps serrés dans mes poings pour ne pas le griffer au sang, mon bassin pris d’une vie propre.
Mon orgasme a baissé en intensité mais Marc continuait ses va et vient. J’ai posé mes mains sur son torse, fascinée par leur blancheur contre sa mate et toujours bronzée. Il me regardait en souriant.
- J’aime ta peau Marc, douce… sombre.
Marc s’est mis à genoux sur ses talons et ses mains ont saisi mes hanches pour me tirer vers lui.
J’ai rejeté la tête en arrière en feulant de plaisir sous la pénétration profonde.
Marc a accéléré le rythme pour m’amener vers un autre orgasme. Lui aussi semblait à bout.
- Je vais jouir Lucie !
- EN MOI ! Jouis en moi mon amour ! OOOHHH Je veux te sentir jouir ! OOOOHH OUIII !!!!
- AAAAHHHH !
Marc s’est lâché en moi, longuement, se penchant pour m’embrasser tout en bougeant anarchiquement. J’ai senti son sperme lubrifier encore mon sexe alors que mon orgasme atteignait des sommets. C’était trop bon. On s’embrassait partout malgré nos corps couverts de sueur.
Marc
On reprenait notre souffle lentement.
Lucie était encore mieux que dans mon souvenir, plus libérée, plus sensuelle encore !
- Lucie !
- Oui ?
- J’aime encore plus Lucie que Julie.
Ses yeux se sont embués. Des larmes de bonheur et de soulagement j’en étais sûr.
Je l’ai porté jusqu’à la douche. Elle était passive, collée à moi. Je l’ai lavée, cajolée, séchée, avant de la remettre dans mon lit.
Je me suis redressé sur un coude et j’ai pris un foulard dans ma table de nuit. Je l’ai agité un peu devant ses yeux tout en prenant ses poignets dans ma main libre.
- Est-ce que je dois t’attacher à mon lit pour que tu ne te sauves pas comme la dernière fois ?
Elle a éclaté de rire et s’est jetée sur moi pour m’embrasser.
- Non… Si tu veux vraiment de moi je n’ai aucune intention de partir où que ce soit… Mais peut-être que… tu peux garder le foulard pour une autre fois ?
J’ai retrouvé sa pudeur, son hésitation à être si ouverte sur ses désirs. C’était mignon, craquant.
Elle était sur moi, assise sur mon ventre. Ma queue bandait à nouveau, redressée contre ses fesses et le bas de son dos. Ses seins splendides et fermes tendaient leur téton vers moi, très tentant mais quand j’ai voulu les caresser, elle m’a autoritairement mis les mains au-dessus de ma tête.
- Ton corps m’a tellement fait fantasmé pendant ces deux ans Marc !
- Et j’ai pensé au tien en permanence… J’ai eu une histoire pendant 2 mois avec une fille pour essayer de t’oublier.
J’ai vu ses sourcils se froncer de jalousie.
- Mais j’ai rompu avec elle car en couchant avec elle, c’était toi que j’imaginais.
Son sourire est revenu plus beau et franc que jamais.
Elle a passé de longues et délicieuses minutes à explorer tout mon corps. Ses ongles griffaient parfois doucement l’intérieur de mes cuisses, mes testicules, faisant bondir mon sexe. Sa bouche et sa langue m’ont mis dans un état d’excitation incroyable. Elle était magique ! Si je n’avais pas joui ½ heure avant, j’aurais éjaculé depuis longtemps. Jamais une femme ne m’avais fait ressentir aussi fort qu’elle aimait mon corps, qu’elle me désirait, qu’elle m’aimait.
Ensuite, elle s’est attardée sur mon sexe mais je voulais encore jouir en elle.
J’ai inversé les rôles et profité de son corps et de ses courbes, de la douceur de sa peau.
J’ai positionné Lucie en levrette au centre du lit et j’ai caressé ses épaules et son dos en m’approchant toujours plus de ses magnifiques globes que sont ses fesses. Lucie a gémi fort quand j’ai tendrement mordu ses fesses avec ma bouche.
- Tellement belle ! Tellement bandante ! Tu es parfaite aussi comme ça tu sais ?
- OOHHH ! Tu aimes que je sois comme ça pour toi ?
- Oui ! Est-ce que tu es à moi maintenant ?
- Oui mon amour !
- Toute à moi ?
Mon doigt était passé de son clitoris à sa chatte, puis son anus en longeant toute la raie de ses fesses.
- Oui ! Entièrement à toi !
Je me suis penché et Lucie a respiré encore plus fort quand elle a senti mon souffle à quelques centimètres de son intimité. Ses reins se sont encore plus creusés pour s’offrir à moi encore mieux.
J’ai léché son sexe, son clitoris, puis je suis remonté doucement. Lucie a senti ma langue sur son anus et s’est contractée un peu en poussant un petit cri aigu.
- Toute à moi Lucie ?
- Oh mon dieu…
J’ai lapé son anus une autre fois et la même réaction s’est faite entendre.
- Alors ? toute à moi ?
- OOHHH ! OUI ! A TOI ! COMPLETEMENT A TOI ! AAAAHHH !
J’ai concentré mes attentions sur son petit trou tout en caressant sa chatte. Lucie adorait clairement ce que je faisais, poussait ses fesses contre ma langue alors que seulement le bout de mon index agaçait l’entrée de son sexe.
Lucie a un cul parfait, splendide dans cette position. Je bandais fort, vraiment fort.
Je me suis positionné derrière elle alors que Lucie avait du mal à contenir ses gémissements, bougeait son bassin, prise d’un désir très fort. Je suis entré en elle lentement. Elle était toujours aussi serrée, bonne.
Je coulissais dans son fourreau étroit et chaque poussée lui arrachait un gémissement plus fort. J’ai pris une poignée de ses cheveux dans ma main pour lui faire tourner la tête.
Elle a ouvert les yeux et découvert notre reflet dans un grand « OH » de surprise. J’ai vu tout de suite que la vision de nos corps, le contraste de nos peaux, l’excitait énormément car ses cris se sont amplifiés.
Lucie a été d’orgasmes en orgasmes pendant quelques minutes avant que je jouisse au plus profond d’elle dans un grand râle et que je m’écroule avec elle sur le lit.
Julie
Marc était bien meilleur que dans mon souvenir. Je n’ai pas quitté son appartement du weekend et j’y ai eu plus d’orgasmes que dans ma vie entière.
Je vis depuis avec lui un vrai bonheur. Le fait qu’il soit heureux comme un gamin chaque fois que sa main touche mon ventre qui s’arrondit n’y est pas pour rien…
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