Soirée Pizza Ep02 Le livreur

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Soirée Pizza Ep02 Le livreur Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soirée Pizza Ep02 Le livreur
Soirée Pizza Ep02
Le livreur


Il soulevait son bassin par a coup, je me prenais sa queue dans la bouche, elle était trop grosse mais parvenait à s'y loger, je ne pouvais plus respirer mais ça ne le dérangeait pas …

je ne vous dis pas mais j'avais du mal à suivre. Je faisais tous les efforts possibles pour bien ouvrir ma mâchoire. Il s'énervait.

Sans prévenir il se levait. Je me retrouvais à quatre pattes devant le canapé.

– Alors toi je vais te défoncer le cul.

Je le regardais, je ne disais toujours rien. En fait je remettais ma mâchoire en place. Il en avait une grosse mais le désir avait monté en moi et je la voulais. Je la voulais en moi.

– Retourne toi sur le dos, là on sera très bien sur le tapis.

Vous savez, le tapis en a vu d'autres. Il en a vu beaucoup d'autre, s'il pouvait parler …

Je me retournais, il attrapait un coussin sur le canapé et me le glissait sous la tête. Il commençait à me plaire, j'aime bien ce genre d'attention moi. Puis il me soulevait les jambes, me posais les genoux sur ses épaules, me lubrifiait le cul, en faisait autant pour sa bite, mon cœur battait de plus en plus fort.

Il y a toujours cette angoisse quand c'est la première fois avec un partenaire et qu'il à une grosse queue. Il en avait une grosse et manifestait un peu de violence, même s'il semblait très attentif à mes réactions. Il prenait position.

Mon dos suivait le mouvement et se soulevait, sa bite avançait et s'approchait de mon cul. Je vous jure je balisais. Le bout de sa queue touchait mon petit cul chaste ( surtout n'y croyez pas ) et poussait. Il continuait dans le même mouvement et son ventre s'approchait très lentement de mes fesses. Sa queue poussait plus fort.

Le mouvement continuait. Inexorablement sa queue s'appuyait contre mon cul, de plus en plus fort. Là je ne balisais plus je paniquais. Je sentais mon cul s'ouvrir, je le sentais céder, sa queue continuait toujours à avancer, toujours à la même vitesse. Lentement certes mais sans me laisser aucun espoir. Je finissais par comprendre qu'il ne s'arrêterait que quand son ventre rencontrerait mes fesses.

Il continuait à me tirer vers lui, à se pencher vers moi, à s'appuyer sur moi. J'aurais voulu qu'il fasse une pause, une sorte de trêve pour que je puisse retrouver mon souffle. Une petite douleur montait dans mon cul, un certain plaisir également montait. Je gémissais, c'était dur, c'était bon. C'était un truc de fou.

Sa queue rentrait toujours aussi lentement mais sans faire le moindre arrêt. Je me contractais, je tentais de me dégager mais il me bloquait avec son poids. J'étais replié en deux, les genoux presque sur mes épaules. La position n'était pas confortable, mais vraiment pas mais dans mon cul il y avait cette masse qui me remplissait les entrailles. C'était à la fois jouissif et douloureux, et c'est pas parce que c'était douloureux que c'était jouissif.

Non, il m'avait simplement pénétré sans préliminaires, mon cul se contractait mais je n'était pas un débutant et c'est bon, c'est tout simplement bon de se faire enculer. Et puis je ne suis pas une gonzesse, j'aime bien le sentir.

C'était quand même un peu fort, peut être un peu trop fort. Un peu de douceur, de tendresse n'aurait pas été superflu. Je ne savais pas ou il en était, ça faisait des heures que je sentais sa queue glisser, s'introduire dans mes entrailles. (de heures peut être pas remarquez ). Il entrait lentement mais pas tant que ça.

Puis j'ai eu l'impression qu'il arrivait au bout, il me donnait alors un violent coup de bassin, son ventre s'écrasait contre mes fesses. C'est là que j'ai crié, il me faisait vraiment mal mais je tenais le coup et je refermais mes jambes dans son dos.

Il les avait lâché quant il a senti que je tentais pas de me dégager.

Il était penché sur moi.

– Ça va ? Me demandait-il.
– Aaaah ! Aaaah ! Répondais-je.

Il penchait son visage sur le mien et m'embrassait. Ce baiser changeait tout, c'était comme un frisson qui parcourait tout mon corps, un frisson de bien être. Un frisson qui effaçait toutes les douleurs qui ne passait pas au niveau de mon cul. Là, je me sentais bien. Il continuait à pousser son bassin contre mes fesses, il se retirait un tout petit peu et revenait, de nouveau il appuyait son ventre contre mes fesses et sa queue s'enfonçait dans mes entrailles.

On s’enlaçait, on se caressait, il me limait le cul. Je gémissais, lui aussi gémissait et râlait de plaisir. C'est le corps de chacun qui glissait sur celui de l'autre, les mains, les bras, toute la peau de tout le corps caressait l'autre et rapidement la peau devenait brûlante, brûlante mais ne laissait aucune trace.

On roulait l'un sur l'autre, sa queue ressortait, je criais de plaisir, là ce n'était plus que du plaisir, et il était intense. Je me cramponnais à son cou, il me serrait contre lui. Je me retrouvais au dessus, mes jambes étaient bien écartées et sa bite toujours dans mon cul.

Il soulevait son bassin et tirait mes jambes contre son torse, quand il retombait sur le lit, je retombais avec lui et me trouvais empalé sur sa queue. C'était une position terrible, mes jambes étaient allongées contre lui. Je ne pouvais plus me relever, il me retenait.

Avec les bras je tentais de garder mon équilibre, je les agitais dans le vide par moment et à d'autres moments je me retenais à ses bras, à ses mains. C'est à se moment qu'il s'est amusé à soulever son bassin, puis à le laisser retomber. Il me faisait sauter avec régularité, plus ou moins vite.

Je nouveau je râlais et mes râles finissaient par ressembler à des gémissements. C'était violent, c'est tout mon corps qui tremblait. Un plaisir presque anormal envahissait tout mon corps, rayonnait dans mes bras, dans mes jambes et je perdais subitement le contrôle de mes mouvements. Je me mettais à trembler.

Mes mains tentaient de s'agripper à ce qu'elle pouvaient attraper, c'est à dire rien. Il me faisait sauter un peu plus haut, là il me soulevait vraiment avant de me laisser retomber sur sa queue.

Il me défonçait le cul, il me défonçait les entrailles. Tout mon corps tremblait. Là je ne pouvais plus que subir.

Il relevait son torse, je refermais mes jambes dans son dos. Il repliait ses jambes et pour finir je me trouvais, toujours empalé sur sa queue mais dans ses bras et lui assis en tailleur. Son corps était toujours brûlant, dans cette position on pouvait échanger des câlins, et on ne s'en privait pas.

Les mains de l'un caressaient le dos dos l'autre, ses bras, ses mains. Les lèvres de l'un gouttaient à la peau de l'autre et aux lèvres de l'autre également. Et toujours cette bite énorme qui me rentrait maintenant jusqu'aux poumons, c'est en tout cas ce que je ressentais. Je sentais mes entrailles dilatées et c'était le pied.

Il se balançait d'avant en arrière et à chaque balancement sa queue me massait les entrailles un peu plus, le plaisir montait, le plaisir explosait dans un immense orgasme. Il l'a remarqué et il accélérait le mouvement.

Le plaisir ne baissait pas et je sentais sa respiration qui devenait plus rapide et plus forte.

Puis sans prévenir, il s'est mis à me faite sauter plus haut, plus vite et je retombais avec plus de violence, il jouissait. Il jouissais enfin, moi j'en pouvais plus, je ne criais plus je gémissais.

Puis brusquement, sans prévenir il ne bougeait plus. Je me retrouvais toujours empalé sur sa queue, il tremblait, il avait joui et moi j'étais aux premières loges. J'étais retourné.

Il se penchait et me faisait tomber sur le côté avec beaucoup de douceur. Il se retirait. Je me sentais vider. Vous imaginez un peu un poulet qu'on vient de vider avant de le cuire. Je me sentais un peu dans cet état.

Mais à part ça je me sentais bien !

Il fallait quelques minutes avant que je me lève, je me dirigeais vers la salle de bain. J'avais besoin de me rafraîchir le cul. Il me retrouvais sous la douche et c'est avec une infinie tendresse, une infinie douceur que nous nous lavions l'un l'autre.

Là encore on s'embrassait, on n'était pas encore sorti de nos étreintes.

C'est tout beau, tout propre qu'on revenait au salon. J'allais chercher un bière, c'est toujours mieux que du caca cola. On restait là, lui sur le canapé, moi, allongé sur le tapis à siroter notre bière, on se regardait, on ne parlait pas.

Il semblait admirer ma cage à bite, je contemplais sa queue magnifique qui retombait entre ses cuisses. Il en était fier, il y avait de quoi et quand on pensait à sa manière de l'utiliser. On la sentait passer je vous jure.

– Et tu portes ce truc tout le temps ? Finissait-il par demander.
– Bein oui toujours !
– Et qui t'oblige à porter ce genre de truc.
– Personne, c'est un choix. Et en plus je n'ai pas la clé.
– Et elle est ou ?
– Je l'ai confié à un mec.
– Un ami ? Il avait repris un ton détendu.
– Oui un mec qui peut m'enculer tant qu'il veut, tant qu'il a la clé bien sûr.
– Il te la rendra jamais !
– Mais si, on a fixé une date limite !
– Moi si tu me la donnais, je ne te la rendrais jamais.

On continuait à faire connaissance.

– Tu sais que tu es un super bon coup toi ?
– C'est la cage, ça me crée une frustration …
– Une frustration ?
– Un manque quoi. Un besoin de me faire défoncer le cul.
– Ah ouai !
– Et tu sais, toi aussi tu es un super bon coup.
– On pourra recommencer ?
– Avec plaisir.
– Et tu me donneras la clé ?
– Si je te la donne tu me la rendra jamais, tu m'as dit !
– Oui mais je te défoncerai le cul comme ce soir régulièrement !
– Ah ouai !

Ensuite on passait au dessert. Il avait emmené quatre part de tartes, c'était une merveille et en plus après ça on avait faim.

Il m'a laissé m'amuser tranquillement avec sa queue, elle était belle et restait toujours un peu gonflée, c'était une sorte de grosse molle.

– Après avoir baisé, ta queue reste toujours comme une grosse molle.
– Uniquement quand un obsédé continue à s'amuser avec doucement, comme tu fait. Et toi aussi ta cage est bien remplie, c'est normal ?
– Forcément tu n'arrêtes pas de me tripoter les couilles.
– Mais tu as joui au moins.
– Tu peux pas savoir, c'était … c'était …
– C'était bien ?
– C'était super. Un peu douloureux par moment mais c'était le pied.

On se caressait avec tendresse encore un moment sans rien dire.

– Alors tu me les donnes les clés.

Je relevais la tête, c'était une obsession, mais j'avais à moitié envie de le faire, et ce malgré sa promesse !


Fin


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