Soirée pyjama. 3 - histoire érotique

Soirée pyjama. 3
Mes parents étant absents pour le weekend, j’ai obtenu leur autorisation pour inviter mes copines.
On se fera une soirée pyjama.


Suite.
-A la votre les filles ! Nous allons sceller notre secret en buvant chacune ce filtre d’amour, le nectar du mâle !
Chacune boit une gorgée de son sperme, même moi, qui goûte donc la semence de mon propre frère.
-Mia, tu ne croyais pas qu’en faisant ça, tu échapperais à la chose ? S’exclame Rachel. Toutes doivent y passer pour être sûr de son silence !
- Mais il a l’air exténué, regarde-le ! Lui rétorque-t-elle.
Elle s’étend à coté de Thomas et frotte ses fesses nues sur le bas-ventre du mâle. Puis d'une main tremblante, caresse très doucement sa poitrine. Rachel s'approche, un sourire aux lèvres, se saisit de la main de Mia et la pose sur l’organe en berne.

-C’est là qu’il faut le caresser, s’emporte Clarisse.
Mia s'agenouille devant Thomas. Son visage est très près et il sent le souffle sur sa peau. Elle se lance et embrasse tendrement le gland flapi, laissant ses lèvres au contact.
Sa bouche s'ouvre et se referme sur le gland, l’aspire doucement. Elle ne sait pas bien s’y prendre et laisse son instinct agir. Elle enfourne un peu plus le manche qui commence à frémir lentement et intensifie sa succion.
Il a soubresaut de plaisir. De légers gémissements trahissent la nouvelle montée de son désir et l’extension prodigieuse de sa queue.
Elle relève la tête, sa bouche est reliée à la verge par un grand fil de bave. Elle semble à la fois étonnée et heureuse de sa prestation.

-Mais regardez les filles ! Il bande à nouveau !
Elle est en extase devant la terrible érection, comme tétanisée devant ce qui l’attend. Elle fixe mon frère dans les yeux.
-C’est aujourd’hui mon dépucelage. Je vais m'initier ce soir sur cette belle queue, je t’offre ma virginité, je te l'offre pour Noël !
Mia se met sur lui, je vois sa petite chatte toute rose sans aucun poil pubien.
Elle commence à se rapprocher, frotte sa vulve sur la queue bien dure, en caresse ses fesses tout en enfonçant tout doucement un doigt dans sa chatte, elle est déjà hyper mouillée.
Elle hésite quelques instants, attendant que Thomas la pourfende d’un coup de reins, mais il est toujours aussi passif.
Elle glisse le bélier entre ses lèvres intimes et soudain pourfend son fourreau sur le glaive tendu n’en goûtant que le gland. Un rictus de douleur défigure son visage, mais il ne lui faut pas longtemps pour que toute la lame d’airain ne suive.
Ses cris augmentent, deviennent de plus en plus forts à mesure qu’elle prend un plaisir immense à s’empaler sur le bite de mon frère.

-Putain que c’est booonnn ! J’ai l’impression qu’il me déchire le ventre !
Elle gueule son plaisir comme une folle, et fait un véritable rodéo sur cet axe royal.
Pendant ce temps, Clarisse et Rachel ont repris leurs petites habitudes et se masturbent mutuellement, jouissant l'une après l'autre, talonnées par Anja et Zaya qui ont suivi leur exemple.
La mouille coule à flots, la transpiration fait luire les corps ! Ça sent le stupre et la sueur.
Bizarrement, je suis la seule qui échappe à cette orgie.

Mia s'accroche à la queue comme pour rattraper le temps perdu par rapport à ses copines.
Elle saisit ses seins et les triture dans tous les sens, caresse la queue et les boules de mon frère entre ses ruades en gémissant de plus en plus fort jusqu'au moment ou elle se crispe sous la montée de l’orgasme. Un cri de victoire jaillit de sa bouche sous le plaisir immense que lui procure la queue blanche.
Complètement figée, l e bas-ventre en fusion, la bouche ouverte sur un souffle haletant, elle éprouve un vertige qu’elle n’a jamais connu. Elle se laisse emporter par cette jouissance dévastatrice qui vient pour la première fois de sa vie de la poignarder.
Tout son corps est en transe, les jambes vacillantes, elle s’écroule enfin sur mon frère pour reprendre ses esprits.
Il ne la repousse même pas quand elle l’embrasse à pleine bouche. Et quand enfin elle libère son corps, réapparaît devant nos yeux son jonc vigoureux où brille à sa surface le liquide de l’amour de quatre filles ultra chaudes.
Clarisse me regarde en soulignant à la ronde :
-Pour parapher notre contrat, il ne manque plus qu’une signature. Sophie, il ne reste plus que toi à utiliser son stylo. Montre-nous de quoi tu es capable !
-Mais… Mais c’est MON FRERE !!! (Même si ce n’est pas vrai physiquement mais moralement car on est une famille recomposée).
Je ne dis pas que je ne suis pas attirée par lui. Quand je vois ce que mes copines ont déjà tiré de lui, je me demande s’il pourrait encore supporter une autre fille, surtout sa demi-sœur !
Il faut dire qu’au point ou j’en suis dans la perversion, il n’y a plus qu’un pas à franchir pour devenir une vraie salope.
Clarisse me houspille :-On attend !
- Peut-être, mais c'est vrai étalon !
Rachel surenchérit.
-Et je t’ai bien observée, tu n’as pas arrêté de te doigter et de te tripoter pendant qu’on s’éclatait sur sa teub !
-Mais c'est pas la même chose que de forniquer avec lui ! J’ai quand même un peu de morale !
Rachel vient me chercher, me guide jusqu’à la couche de Thomas et me force à m’asseoir à côté de lui. Elle s'empare de ma main et la pose sur cette excroissance de chair.
Je ferme mes doigts autour de cet axe qui a perdu un peu de sa vigueur et entame une masturbation lente et un peu hésitante. Qu’est-ce que je suis en train de faire ?
Cette situation incestueuse est incroyable mais terriblement excitante. Thomas me regarde d’un regard suppliant en grognant. Je n’ose pas aller plus loin.

-Sophie, pas toi ! C’est un péché, tu ne vas quand même pas ?...Ooohhh !!!
Clarisse s’agenouille, elle met sa main sur ma tête et me force à venir au contact de la verge de mon frère, m'invitant à continuer.
Au point ou j’en suis….. Lentement, je baisse ma main pour décalotter son prépuce et donne des coups de langue sur son gland, comme on suce une glace.
La fine peau est si exacerbée par tout ce qu’elle a déjà subie que la réaction est pratiquement immédiat. Thomas rebande à fond !
Je fais des gestes d'une douceur et d'une lenteur extrême, voulant profiter au maximum d’un tel bélier.
Les copines se délectent du tableau que nous formons et les Smartphones fonctionnent à fond.
Je prends mon courage à deux mains et avoue à mon frère :- Depuis tout à l'heure, je suis sur les charbons ardents de voir mes copines faire du rodéo sur ta pine ! Tu a beau être mon frère que j'aime mais je ne peux pas passer à coté d’une telle teub. Je n’en reverrai peut-être jamais d’autres d’un tel calibre, je veux ta bite ! Je veux m’exploser la chatte sur ton manche de pioche !

-Mais je suis ton FRERE ! Tu n’as donc plus aucune morale ? Grimace-t-il.

(A suivre)