Soirée torride après une baise rapide en cabine d'essayage

- Par l'auteur HDS Smilee -
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Récit libertin : Soirée torride après une baise rapide en cabine d'essayage Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Soirée torride après une baise rapide en cabine d'essayage
Je me promène dans un grand magasin à flâner dans les rayons de vêtements quand j’aperçois une vision irréelle : un fessier magnifique. Il est bombé comme il faut, bien serré dans un pantalon ultra moulant mettant notamment en valeur des cuisses généreuses. Je reste scotché devant ce spectacle puis je fais le tour pour voir le devant de cette créature et je ne suis pas déçu de ce que je vois. Il s’agit d’une jolie jeune femme, la trentaine, avec un teint mat type sud-américaine et des yeux bleus vert d’une profondeur incroyable. Elle possède également une poitrine qui semble généreuse bien que fortement comprimée dans son chemisier. Je reste subjugué devant la beauté de cette latine.

Je refais le tour pour pouvoir mater une nouvelle fois ses fesses rebondies. Puis au bout d’un moment, je fais quelque chose d’hallucinant et je vais la voir en lui disant :
- Bonjour excusez-moi, c’est la première fois que je fais cela mais je voulais vous dire que vous avez les plus belles fesses que j’ai jamais eu l’occasion de voir
- Merci, lui répond-elle absolument pas gênée. Ce n’est pas la première fois qu’on me le dit
- Cela ne m’étonne pas vu cette perfection, elles sont divines
- Merci me dit-elle avec un sourire ravageur

Puis je continue mon chemin mais au bout de 2 minutes je ne peux m’empêcher de revenir en arrière. Je retrouve cette beauté et mate à nouveau son cul bombé. J’essaye le plus discrètement possible de déterminer ce qu’elle porte sous son pantalon. Mais malgré un regard persistant je n’arrive pas à savoir. C’est alors qu’elle remarque que je continue de la fixer et revient vers moi :
- Ce que vous m’avez dit est flatteur mais là cela fait 5 minutes que vous matez mon cul c’est bon vous ne le voulez pas en photo non plus
- Ah que si j’aimerais l’avoir en photo dans un magnifique tanga le mettant en valeur.

Déstabilisé par cette remarque la jeune femme s’éloigne, se retourne avec un regard coquin, tourne dans un coin plus isolé du magasin puis se baisse pour attraper quelque chose en bas du rayon. Je la suis et vois alors que son pantalon est descendu au milieu de ses fesses laissant apparaitre un magnifique tanga rouge bordeaux, avec un papillon au milieu. Cette vision surréaliste me retourne complètement et je sens l’envie monter en moi de façon nettement visible.

La belle se relève et reboutonne discrètement son pantalon. Il se trouve qu’elle l’avait volontairement déboutonné afin de laisser apparaitre ses sous-vêtements à ma vue. Elle vient vers moi et me dit avec un air coquin :
- Alors verdict
- Stupéfiant, mon pantalon est au bord de l’explosion, lui dis-je en entrouvrant mon manteau

Le regard de la jeune femme se pose sur une énorme bosse qui déforme mon jean. Elle pose discrètement sa main sur la bosse et sent ce pénis très à l’étroit dans ce pantalon mais gonflé à l’extrême. Excitée par l’imagination de ce membre, elle me traine vers une cabine d’essayage et profite de l’absence de la vendeuse à l’entrée pour rentrer avec moi et tirer le rideau.

Je prends alors les choses en main, la retourne, la plaque contre la paroi de la cabine et passe mes mains devant sa taille pour déboutonner son jean, que je lui baisse aussitôt laissant ses fesses magnifiques juste vêtues de ce magnifique tanga bordeaux. Je lui écarte brusquement les cuisses puis son string effleurant au passage son sexe déjà coulant de désir, puis je lui fais reculer les fesses contre mon membre toujours prisonnier.

J’ouvre alors mon pantalon, sort mon sexe de mon caleçon, lui enfile un préservatif puis rentre en elle d’un coup lui faisant lâcher un râle puissant malgré le besoin de discrétion de la situation. Effectivement la belle ne s’attendait pas du tout à cela. Je commence à faire des va et vient en m’enfonçant de plus en plus profondément en elle. La jeune femme ne peut se retenir de lâcher des gémissements peu discrets. Je lui mets la main devant la bouche pour couvrir ses bruits et de l’autre main lui attrape le bassin afin de la serrer plus fort contre moi. Ses fesses rebondies font des vagues devant chaque coup de butoir que je lui inflige, m’excitant encore plus. Je regarde cette vision excitante dans le miroir de la cabine et continue ainsi à l’attraper de plus en plus fort. Je lâche alors sa bouche pour descendre sur sa poitrine et avec les deux mains fait sauter les boutons de son chemisier puis son soutien-gorge afin de libérer sa poitrine comprimée. Je dévoile alors une paire de seins bien plus grosse que ce que je pensais qui pendent joliment devant ce buste courbé. Cette vision m’excite encore plus et me fais donner des coups de reins intenses, faisant ballotter cette poitrine sous chaque secousse. Je mate alors cette vision, directement et à travers le miroir, de cette belle latine, seins nus, pantalon baissé, cuisses écartées, prise par derrière contre la paroi de la cabine avec ses fesses faisant des vagues à chaque secousse. Cela me fait me déverser dans un dernier coup profond. Sous ce dernier coup de butoir je vois le visage de ma partenaire se déformer totalement pour laisser expulser un soulagement de plaisir. Je me retire alors et enlève le préservatif. La jeune femme elle se relève difficilement, les jambes tremblantes du plaisir qu’elle vient de prendre et se retourne vers son amant du jour. Elle peut alors contempler ce pénis fièrement dressé. Elle s’exclame alors :
- Madre Dios, quelle baise. On peut dire que tu sais te servir de ton sexe. J’en redemanderai bien. Rien que pour pouvoir le mettre dans ma bouche. Mon Dieu que c’était bon !!!
- J’aime entendre cela. Plus ma partenaire prend de plaisir, plus j’en prends aussi
- En revanche j’ai tellement été surprise que je n’ai pas réussi à avoir d’orgasme
- Dommage car d’habitude ils sont surpuissants avec moi, dis-je avec assurance
- C’est de belles promesses que j’aimerai bien mettre en pratique. Es-tu disponible la semaine prochaine pour une soirée torride ?
- Ah désolé je ne suis que de passage en ville, je repars dès demain matin
- Et tu reviens quand ?
- Aucune idée je suis en voyage d’affaire et je n’en ai pas d’autres de prévu ici. Ce n’était donc qu’un coup d’une fois mais merci pour cette belle expérience. Maintenant je sors d’ici avant que nous ne nous fassions attraper.

J’entrouvre le rideau, vérifie qu’il n’y a personne, et sors laissant ma partenaire à moitié nue dans la cabine d’essayage. Je reviens dans le magasin et continue mon shopping comme si de rien était. Puis je vois la belle jeune femme arriver vers moi, non sans avoir du mal à marcher ce qui m’esquisse un sourire. Elle me dit :
- Je ne peux pas rester là-dessus. Il faut absolument que nous nous revoyons.
- Je te l’ai dit je ne suis en ville que pour la journée
- Ce n’est pas grave. J’avais normalement un rendez-vous ce soir mais je l’annule pour que nous passions la soirée ensemble. Est-ce possible ?
- Je ne sais pas j’avais prévu des choses ce soir
- Ne me laisse pas comme ça. Je te le promets tu ne le regretteras pas. Mes fesses t’appellent, dit-elle en se retournant pour que je puisse à nouveau regarder cette merveille de la nature

Je réfléchis un peu, regarde à nouveau ces fesses et pendant que je médite sur la suite à donner la belle latine s’approche doucement de mon oreille et me susurre :
- Tu verras j’ai des talents cachés, notamment j’ai une langue très habile….

Particulièrement adepte de bonnes fellations, cet argument finit de me convaincre et je dis :
- OK je vais me libérer

La jeune femme saute de joie devant ce rendez-vous très prometteur et répond :
- Retrouve-moi chez moi au 555 Rue Gutenberg vers 20h. Et prépare-toi la nuit sera chaude

Puis elle s’éloigne doucement, se retourne et me dit dans un regard complice :
- Et au fait, je m’appelle Carmen

Puis elle part. Je ne peux décrocher mon regard de son cul jusqu’à ce qu’elle disparaisse au tournant d’un rayon. Je suis particulièrement excité de cette rencontre impromptue mais jouissive et fantasme déjà sur la soirée qui s’annonce pleine de surprise. Je finis mon shopping puis rentre me préparer pour être prêt pour ma soirée.

Pendant que je me prépare, en prenant une douche, je ne peux m’empêcher de repenser à ce moment de l’après-midi qui fut bref mais intense. Les fesses de Carmen envahissent mon esprit et font dresser mon sexe sur lequel l’eau coule chaudement. Je revois ce moment inattendu et insolite que je viens de vivre, la vision de ce corps bronzé, valsant sous mes coups de sexe et le plaisir visible sur le visage de ma partenaire me font frémir. Ce souvenir ainsi que l’imagination de la soirée qui m’attend m’excite à tel point que j’entreprends des caresses sur mon sexe. Celui-ci se dresse de plus en plus alors que j’entreprends des mouvements de va et vient. Je sens mon gland se gonfler de désir sous mes mains et grâce aux pensées torrides que j’imagine sous ma douche. J’essaie de prévoir comment je vais mener cette soirée afin de donner et de prendre le plus de plaisir possible. J’imagine les positions que je vais pouvoir prendre afin de faire ressentir à Carmen ma toute puissance. J’aime cette sensation de domination que je possède très souvent sur les femmes du fait de mon attitude. Sous le poids de l’eau ruisselant sur mon corps, j’ajuste le rythme de mes mains à mes sensations afin de faire monter le plaisir. Puis au moment où je l’ai décidé, j’accélère mes mouvements de va et vient et me déverse dans la douche sous de puissantes saccades.

Satisfait de ce petit plaisir solitaire qui ne fera qu’augmenter ma performance du soir, je me prépare en prenant soin de bien choisir mes vêtements. J’enfile des sous-vêtements noir moulant parfaitement mes parties intimes, un pantalon à pince ainsi qu’une chemise blanche. Dans mon ensemble j’apparais être un homme d’affaire décontracté. Je prépare aussi mes accessoires pour passer une bonne soirée, c'est-à-dire stock de préservatifs et lubrifiants. Ainsi armé, je me rends alors chez la belle Carmen.

J’arrive devant sa porte et sonne. J’entends le bruit de talons se dirigeant vers la porte puis le cliquetis de la clé dans la serrure. Au moment où la porte s’ouvre, j’ai une vision irréelle qui fait s’arrêter le temps. Carmen est totalement lookée différemment par rapport à notre première rencontre. Elle est vêtue d’une robe bleue qui met ses formes particulièrement en valeur. Elle souligne parfaitement sa poitrine qui prend tout son volume contrairement à son chemisier de l’après-midi qui la compressait. La robe laisse apparaitre en transparence les dessins de ce que je devine être un bustier. Celui-ci affine la taille de Carmen ce qui fait encore plus ressortir à la fois sa poitrine mais aussi son fessier. En effet ses courbes postérieures prennent toute leur ampleur sous cette robe moulée qui descend un peu plus bas que les genoux, laissant apparaitre des collants blancs ainsi que des talons de la même couleur que la robe. Cette tenue permet donc aux formes de Carmen, généreuses et voluptueuses, d’exploser à ma vue, ce qui ne manque pas de créer en moi à la fois de la subjugation et de l’excitation.

Satisfaite de l’effet visuel qu’elle m’a provoqué, Carmen m’invite à rentrer. La porte d’entrée donne directement dans le salon plutôt moderne avec peu de meubles de style plutôt branché. Carmen me dit alors :
- Bienvenue chez moi
- Merci, tu es absolument superbe dans cette tenue
- Je te remercie du compliment. Tu n’es pas mal non plus. Veux-tu boire quelque chose ?
- Non merci. Là je n’ai envie que d’une chose. Tu te doutes de quoi, non ?
- Oh oui. Je pense qu’on partage la même envie. Nous montons à l’étage ?
- Je te suis

Carmen se dirige vers l’escalier et commence à escalader l’escalier en bois. Chaque mouvement fait bouger sa robe très serrée ce qui fait ressortir les contours de ses sous-vêtements. Je peux ainsi aisément me délecter des courbes de Carmen et notamment de son phénoménal fessier qui est contenu dans cette robe, qui semble au bord de l’explosion. Les marques d’un string soulignent harmonieusement cette partie de son anatomie qui est particulièrement l’objet de mes désirs. Arrivé à mi-chemin dans l’escalier je ne peux m’empêcher d’attraper ses fesses qui se déhanchent juste devant mes yeux et de retenir Carmen. Elle se retourne, je me hisse à sa hauteur et la plaque violemment contre la rambarde de l’escalier afin de l’embrasser fougueusement. Mes mains descendent doucement de ses cheveux jusqu’au cou, puis effleurent sa poitrine généreuse, serre la taille de la belle latine avant de basculer sur son derrière et de l’agripper fermement. Après quelques caresses à la fois buccales et tactiles, je continue de descendre jusqu’à arriver au bas de la robe et commence à la remonter jusqu’à découvrir les fesses de Carmen. Je la retourne alors, la penche par-dessus la rambarde afin de pouvoir contempler cette merveille.

Carmen porte des bas blancs finis par une jolie dentelle à mi-cuisse, un porte-jarretelle blanc et un string de la même couleur. Le contraste entre la blancheur de cet ensemble et la peau mate de la latine est saisissant et fait encore plus ressortir ses courbes voluptueuses. Je suis fou devant cette vision surréaliste et sens l’excitation monter à son paroxysme. J’attrape la tête de Carmen pour lui faire tourner et l’embrasser en me tenant derrière elle tout en collant mon bassin contre ses fesses dénudées. Puis j’embrasse son cou, ses oreilles, descends sur ses épaules puis saute directement à hauteur de ses fesses. Je lèche ensuite la partie des fesses laissée nue par les sous-vêtements tout en caressant subtilement ses cuisses de mes mains avant d’écarter le string délicatement afin de libérer les parties intimes de Carmen.

J’écarte alors ses cuisses afin qu’elle soit complètement penchée sur la rambarde et entièrement ouverte à ma vue. Je m’accroupis et glisse ma langue sur les lèvres de la jeune femme qui sourit de se retrouver dans cette situation dont elle avait rêvé. J’embrasse tout d’abord avec douceur et attention l’intérieur de son être prenant soin de faire glisser ma langue alternativement sur ses lèvres et son clitoris. J’accélère ensuite petit à petit le rythme et les endroits visités selon les réactions de ma partenaire. Puis je fais glisser un doigt dans ma partenaire mais me rend compte qu’elle a tellement envie que cela n’est pas suffisant donc j’en mets un deuxième puis même un troisième. Pendant que je la pénètre ainsi de mes doigts, je fais glisser ma langue sur l’anus de Carmen et le titille du bout de la langue. Puis je me laisse glisser sous Carmen afin de pouvoir continuer à la doigter pendant que ma langue englobe son clitoris. Après quelques minutes de préparation buccales, Carmen jouit fortement tant au niveau sonore qu’au niveau écoulement de fluides.

Satisfait d’avoir fait du bien à ma partenaire, je me relève, baisse mon pantalon et mon caleçon et attrape Carmen par derrière alors qu’elle est toujours penchée par-dessus la balustrade. N’étant pas du tout préparée à cela alors qu’elle pensait reprendre ses esprits, Carmen lâche un râle puissant à ce premier coup de sexe ce qui me fait sourire, vu que c’est ce que je recherchais. Je continue alors à m’introduire de plus en plus loin en elle, chaque coup de sexe étant agrémenter d’un cri, jusqu’à m’introduire totalement en elle. J’assène ainsi de forts coups avec mon membre gonflé à bloc tout en profitant de la vision de cette jolie femme, totalement à ma merci, et de ses sous-vêtements très sexy.

Puis je relève le buste de Carmen et la couche sur les escaliers tout en continuant mes va et vient. J’attrape ainsi de toutes mes forces la belle ainsi totalement dominée en agrippant fortement son fessier et en le serrant contre moi à chaque fois que je m’introduis. Je continue ainsi jusqu’à ce que ma partenaire lâche à nouveau un cri jouissif signalant que j’ai réussi mon pari.

Je sors alors d’elle, me relève et regarde Carmen allongée inconfortablement sur les escaliers mais satisfaite de ces premiers échanges torrides. Elle se relève alors, me regarde et me dit :
- Maintenant mon salaud, tu vas voir de quoi je suis capable

Elle s’approche de moi, attrape mon sexe d’une main et m’embrasse avant de descendre de deux marches afin de se retrouver le sexe au niveau de la tête. Elle englouti goulument le bout de mon sexe dans sa bouche et commence à me faire une fellation comme elle sait les faire.

C’est un art qu’elle aime pratiquer. En effet sentir ce membre chaud et dur sous sa langue, faisant gémir son partenaire. Cela l’excite au plus haut point. Elle commence alors sa fellation doucement, embrassant mon gland gonflé de ses douces lèvres. Elle fait glisser sa langue le long de mon frein, le titille puis fait le tour de mon gland avant de remonter sur l’urètre. Elle appuie sur le gland pour ouvrir l’urètre en grand et glisse le bout de sa langue dedans. Puis elle engloutit mon sexe le plus profondément dans sa bouche. Elle se retrouve avec le sexe entier dans la bouche. Comme elle l’avait annoncé c’est une Gorge Profonde et continue avec fougue et beaucoup de salive sa fellation.

Pendant ce temps-là, j’ai tout loisir de la regarder faire et de mater par-dessus son épaule ses fesses bouger sous son agitation. J’adore cette vision d’une femme s’affairant sur mon sexe pour mon seul plaisir. Et cette fois-là est particulièrement excitante pour moi entre la situation des escaliers, la tenue et la beauté de ma partenaire du jour.

Puis elle reprend mon sexe dans sa bouche, fait tourner sa langue autour, puis le retire et entreprend une fouille de chaque cm² de mon sexe avec le bout de sa langue. Elle passe d’abord sur tout le gland, titille mon frein avant de descendre sur son long. Puis elle glisse sur mes testicules et fait glisser sa langue dessus avant de les englober délicatement. Elle continue ainsi de me lécher pendant de longues minutes, se donnant à fond pour me satisfaire. Ce moment est vraiment exquis, je prends un pied extraordinaire devant les talents buccaux de Carmen.

Puis Carmen découvre ses seins et entreprend de se frotter avec mon sexe fièrement tendu. Elle serre ses seins et les fait bouger de façon à me masturber. Grâce à la taille de ses seins elle arrive à recouvrir mon pénis entièrement et ainsi le faire disparaitre. Puis quand elle me sent de plus en plus proche de l’explosion, elle reprend mon pénis dans sa bouche, fait quelques va et vient puis revient lécher la zone si particulière au niveau du frein.

Devant cet acharnement, je finis par craquer. Le premier jet faible entre directement dans la bouche de Carmen. Puis le deuxième plus fort recouvre d’un trait son nez, l’œil gauche et finit sur ses cheveux. Le troisième encore plus fort reprend à quelque chose près le même trajet. Puis les suivants sont à nouveau moins forts mais continuent de repeindre le visage de Carmen. Puis les spasmes éjaculatoires se calmant, Carmen reprend goulument mon sexe dans sa bouche mais cette sensation chaude et humide inattendu me fait repartir dans une nouvelle saccade surpuissante qui finit directement dans la gorge de Carmen, ce qui l’oblige à enlever le pénis de sa bouche pour tousser. J’attrape alors mon pénis et l’astique frénétiquement pour finir de me décharger sur Carmen pendant qu’elle reprend ses esprits.

Je jubile devant la vision dominatrice de ma partenaire, à genoux devant moi, le visage, les cheveux et les seins recouverts de mon liquide chaud. Carmen, elle, est encore sous le choc de cet orgasme puissant. Elle finit par dire :
- Eh ben. Quel finish. J’en ai partout
- Et ce n’est pas fini, la soirée ne fait que commencer
- Humm ça promet alors

Puis Carmen se relève, se rhabille et continue de monter les escaliers pour arriver sur un palier. Elle me dit de l’attendre et file directement dans la salle de bains pour essuyer son visage puis revient aussitôt pour finir la visite. Elle m’invite à la suivre et nous arrivons dans la chambre. C’est une grande chambre, plutôt moderne avec un grand lit au milieu. La décoration est de ton beige avec des pointes de bordeaux sur les rideaux. Une grande penderie avec miroirs prend tout le mur en face du lit et sur le mur à en face de l’entrée, un miroir imposant donne une impression de profondeur à la chambre. Je m’imagine déjà faire l’amour en regardant Carmen sous toutes les coutures grâce à ces miroirs.
- Voici mon antre du plaisir, dit Carmen
- Sympathique. J’adore tous ces miroirs. C’est très excitant.
- Oui c’est fait exprès. J’aime avoir une vision large quand je fais l’amour.
- J’ai hâte de tester cela. Dis-moi maintenant que nous avons passé l’excitation primaire, j’aimerais bien boire quelque chose.
- Bien sûr, viens, nous redescendons dans le salon

Nous repartons vers l’escalier, repassons devant le lieu de notre premier ébat torride puis arrivons dans le salon.
- Qu’est-ce que tu veux boire : bière, vin, ou spiritueux ?
- Si tu as je veux bien un verre de vin
- Bien sûr. Je vais te chercher cela. Installe-toi je reviens.

Carmen quitte la pièce. Je scrute le salon qui est dans le même esprit que la chambre, c'est-à-dire moderne et épuré. Une cheminée brûle amenant une chaleur dans la pièce. Voyant que le feu va bientôt s’éteindre, je me permets de remettre une buche puis Carmen revient avec deux verres de vin rouge et m’en tend un.
- Merci beaucoup, tu as une bien belle maison
- Merci. A la tienne, répond Carmen
- Et à une nuit qui sera inoubliable, dis-je dans un sourire coquin
- En tout cas c’est déjà bien parti pour, acquiesce Carmen
- Je me suis permis de remettre une buche car le feu faiblissait
- Tu as bien fait

Puis après quelques discussions d’usage et de connaissance, Carmen se lève pour remettre à nouveau une buche. Je profite de cette vision de Carmen se penchant pour attraper une buche, son fessier bien moulé dans sa robe et les marques de son string ressortant de façon excitante.
- Tu as vraiment un cul à se damner, dis-je en me levant et en allant me coller contre le cul de Carmen
- Je sais merci, je suis moi-même amoureuse de me fesses
- Tu m’étonnes, je bande à mort rien qu’en les regardant. Alors si je commence à les toucher, dis-je en passant mes mains sur les formes voluptueuses de Carmen
- Sers-toi, je suis tout à toi, dit-elle en se relevant

J’attrape alors Carmen par la taille d’une main et de l’autre tourne sa tête afin de pouvoir l’embrasser. Tout en l’embrassant je frotte mon bassin contre ses fesses et passe mes mains sur son ventre puis remonte sur ses seins que je libère de sa robe. Je me recule afin de pouvoir remonter sa robe sur sa taille. Carmen se retourne et prend ma main pour m’emmener sur le sofa, me pousse pour que je m’assoie et grimpe sur moi. Elle m’embrasse pendant que je passe mes mains sur son dos puis ses fesses où je m’amuse à dessiner les contours de son string. Puis après quelques instants dans cette position, Carmen se lève, déboutonne mon pantalon puis libère mon sexe gonflé da sa prison. Elle s’agenouille et commence à le prendre dans sa bouche.

Elle débute alors une fellation passionnée avec comme objectif de me montrer ce dont elle est capable. Elle n’hésite pas à alterner entre prise en bouche, passage délicat de la langue sur tout le long ou titillement des zones les plus sensibles. Puis elle baisse mon pantalon et mon caleçon sans jamais enlever mon sexe de sa bouche. J’entreprends d’enlever aussi ma chemise et me retrouve donc entièrement nu devant cette belle encore entièrement vêtue. Je m’installe confortablement dans le canapé et écarte légèrement les cuisses afin de mettre toutes mes parties à l’aise. Carmen continue ses caresses buccales et manuelles pour descendre sur mes testicules. Elle les titille avec le bout de sa langue avant de les englober goulument. Je descends alors mes fesses afin de faciliter l’accès à mes globes.

Carmen prend cela comme une invitation et fait donc gentiment glisser sa langue sur mon cul en faisant d’abord le tour de ma rondelle avant de venir chatouiller l’entrée de mon anus. Etant adepte de l’anulingus, je me laisse totalement aller sous les caresses buccales de ma partenaire. Sentant mon consentement total, Carmen continue son exploration en présentant un doigt devant mon œillet. Celui-ci, bien aidé par l’abondante salive utilisée par Carmen, rentre sans difficultés. Elle entreprend alors des va-et-vient tout en douceur et doigté pendant que sa bouche remonte le long de mon membre on ne peut plus dressé, jusqu’à englober de nouveau le gland dégoulinant de plaisir. En effet les caresses anales de Carmen m’ont excité et m’ont fait mouiller abondamment. A chaque coup de bouche mis sur mon pénis, Carmen introduit son doigt de plus en plus loin jusqu’à le rentrer en entier. Elle introduit alors un deuxième doigt qui rentre avec un peu plus de difficultés. Une fois totalement entré, elle entreprend alors un massage de la prostate ce qui me provoque une éjaculation incontrôlée et précoce. Carmen avale tout le sperme chaud qui s’est déversé dans sa bouche, nettoie le gland puis remonte à ma hauteur pour contempler l’effet de son action.

Je suis littéralement affalé sur le canapé et peine à reprendre ma respiration. Carmen est alors toute heureuse d’avoir pu me faire craquer. Carmen me dit alors :
- Tu vois je ne t’avais pas menti. J’ai des talents cachés et personne ne peut y résister
- Effectivement d’habitude je ne craque pas aussi facilement. Ta langue et tes doigts sont très agiles.
- Et encore tu n’es pas au bout de tes surprises, dit-elle avec un sourire malicieux
- J’ai hâte de découvrir la suite alors. Mais maintenant à moi de prendre soin de toi, je renchéris
- Vas-y je suis toute à toi
- Si ça te va j’irai bien dans la chambre pour être plus confortable
- Avec plaisir

Je suis Carmen et ses formes divines laissant mes vêtements en bas. Nous arrivons dans la chambre et la pousse sur le lit. Je m’agenouille devant Carmen et remonte sa robe jusqu’à sa taille. J’écarte son string et vient délicatement poser ma langue sur la vulve de la belle latine. J’entreprends un baiser endiablé de ses lèvres et de son clitoris. Elle a encore un peu le gout de nos ébats dans l’escalier mais cela ne me dérange pas bien au contraire. Je continue d’embrasser langoureusement ses lèvres et remonte régulièrement sur son clitoris. Mes doigts viennent se joindre à la fête et je rentre deux doigts en elle. Vu comment elle mouille je suis persuadé qu’elle peut éjaculer aussi. Je me mets au défi alors de la faire gicler. Je crochète mes doigts et la pénètre tout en léchant son clitoris et en appuyant de mon front sur ses Monts de Vénus. Ma technique spéciale pour faire squirter une femme.

D’abord un peu sur la retenue je sens que petit à petit elle se détend. Tant mieux cela facilitera ma tâche. Je continue en douceur. Je sens que ça y est, elle se relâche complètement. Mes doigts accélèrent alors le rythme. Juste la profondeur qu’il faut pour stimuler la bonne zone. Le bruit d’eau de mes doigts dans son vagin confirme qu’elle est en bonne voie. Elle gémit de plus en plus fort. Sa cyprine change de gout. Je sens qu’elle est proche de l’explosion. Je remonte ma tête pour me concentrer sur le travail de mes mains. Carmen lâche un râle continu jusqu’à un cri venant du fond du cœur. Cri accompagné par des expulsions de liquides corporels en abondance. Mes mains sont complètement trempées mais je ne m’arrête pas pour autant. Même ses mouvements de hanches compulsifs ne me font pas lâcher prise. Puis elle arrête de gesticuler et de crier donc je m’arrête aussi.

Je laisse Carmen reprendre ses esprits et remonte contre elle. Puis elle retire sa robe puis ses sous-vêtements et me dit de m’installer confortablement pendant qu’elle va prendre une douche afin de se rafraichir après ce moment torride. Je regarde la belle s’éloigner vers la porte puis marche dans la chambre en scrutant les miroirs. J’entends au loin l’eau couler dans la salle de bains. Je fais glisser la porte coulissante de la penderie et découvre toutes les tenues de Carmen, toutes plus sexy les unes que les autres. Puis j’ouvre l’autre côté de la penderie où sont rangés ses sous-vêtements. Une farandole de sous-vêtements s’offre à moi de la culotte confortable, aux nombreux strings et tangas de toutes les couleurs. La collection est vraiment indécente. Dans le bas de la penderie, se trouvent deux coffres posés au sol. Je tire le premier et l’ouvre. Je découvre alors quelques accessoires coquins comme des menottes, cordes, films X ou encore bouquins érotiques. Je sens mon sexe commencer à se dresser sous ses diverses découvertes excitantes. Je me demande bien ce qu’il peut y avoir dans le deuxième sachant qu’il est plus dissimulé dans le coin de la penderie. Puis je ferme le coffre et me prépare à attraper le deuxième quand j’entends l’eau s’arrêter de couler.

Je ferme la penderie et me dirige vers la salle de bains. Je vois Carmen dans sa douche, en train de se savonner alors que je pensais qu’elle avait fini. La douche est une grande douche à l’italienne, avec un double pommeau de douche afin de pouvoir profiter de douches coquines. J’observe le corps de cette déesse se tortiller pour se laver sous toutes les coutures. Devant ce spectacle majestueux, je décide de la rejoindre. J’entre dans la douche. Mon sexe est pour l’instant au repos. Je fais couler l’eau sur mon corps afin de le mouiller puis viens contre Carmen afin de me coller à elle et lui dis :
- Tu as besoin d’un coup de main ?
- Volontiers, répond-elle

J’entreprends alors de masser son dos avec le savon descendant jusqu’aux fesses. Je continue de la caresser sensuellement, collant son corps contre le mien et passant mes mains sur l’opulente poitrine de Carmen. Mon sexe se réveille de ce contact sensuel. Loin de la bestialité de nos premiers ébats. Chaque geste est doux. Nous nous embrassons langoureusement alors que nos mains parcourent nos corps. Carmen attrape mon pénis maintenant en érection et le caresse de façon suave tout en m’embrassant. Après de longues et magnifiques minutes de caresses Carmen soulève sa cuisse pour présenter son sexe devant le mien. J’attrape sa cuisse et remonte mon bassin. Je la pénètre tout en continuant de l’embrasser. Je plaque son dos contre la paroi de la douche et la prends avec des mouvements amples mais doux. L’eau coule sur nos peaux comme pour les refroidir de nos désirs ardents. Je soulève la deuxième cuisse de Carmen pour la soulever et la prendre de façon plus sauvage. Elle semble apprécier mes initiatives. Je continue alors puis la repose et la retourne. D’elle-même elle met ses fesses en arrière. Elle sait très bien où je veux en venir et semble n’attendre que ça.

Mais d’abord je m’agenouille et viens glisser ma langue sur son anus. Elle ondule du bassin sous mes coups de langue. De ma main je viens tâter son vagin toujours humide et récupérer un peu de cyprine pour venir ouvrir sa rondelle. Un doigt puis un deuxième y entre sans difficulté. Je pense que c’est une habituée. D’ailleurs quand je remonte et présente mon sexe devant son anus elle ne proteste pas. Je m’y engouffre en douceur jusqu’à être au fond. J’agrippe alors ses hanches et commence à la sodomiser de façon plus véhémente. Je colle ses seins à la paroi et fais reculer son bassin pour amplifier l’effet de mes coups. J’aime enculer une femme en position debout. Je trouve que c’est la meilleure position tant au niveau sensation corporelle que psychologique.

Je me colle à elle et relève son buste pour attraper ses seins et l’embrasser. Je continue à appuyer sur son bassin. Ma main droite glisse jusqu’à son vagin et vient titiller son clitoris. Il ne faut pas plus de deux minutes dans cette position pour que Carmen jouisse de nouveau. Je m’extraie et nettoie mon pénis des petites traces qu’il présente. Puis nous finissons notre douche et retournons dans la chambre. J’ai hâte de pouvoir faire l’amour à cette déesse en la contemplant dans les miroirs.

A peine arrivés dans la chambre cette fois c’est elle qui me pousse sur le lit. Elle me grimpe dessus et revient coller ses lèvres contre les miennes. Ses autres lèvres viennent frotter sur mon sexe puis s’ouvrir pour m’accueillir. Elle s’introduit sans difficultés jusqu’à la garde. Elle commence alors à me chevaucher en accélérant petit à petit le rythme. Ses seins rebondissent au gré de ses mouvements de hanches. Je me penche pour voir dans le miroir derrière elle le mouvement de ses belles fesses qui remontent puis plongent sur mon pénis. La vision est magnifique. J’adore.

Carmen se redresse donnant toute la plénitude de sa féminité. Trouvant la scène un peu trop calme par rapport à ce que nous avons vécu aujourd’hui je décide de lui asséner une grande fessée. Elle proteste immédiatement me disant qu’elle n’aime pas ça. Dommage car moi oui. Pour me faire pardonner j’attrape ses hanches et la prends vigoureusement. Elle gémit alors que je donne tout ce que j’ai avant qu’elle ne s’effondre sur moi.

Je la maintiens contre moi et fait une rotation de nos corps afin de me trouver sur elle. Je recommence à la pénétrer dans cette position où je maitrise les choses. Je l’embrasse tout en donnant les coups de hanches les plus virils que je puisse. Je caresse son corps au même temps puis relève ses cuisses. J’ai du mal à les remonter. Pas très souple comme femme. Dommage car j’aime prendre mes partenaires dans cette position. Peut-être un jour aurais-je la chance de pouvoir coucher avec une contorsionniste….

Ne trouvant pas beaucoup de plaisir dans cette position je sors et la fais mettre en levrette. Cette position est particulièrement adaptée à son fessier. Et je ne me trompe pas. Chaque coup fait onduler ses fesses et balloter ses seins. Je profite de la vision du miroir pour regarder la scène sous toutes les coutures. J’agrippe fermement ses hanches pour me donner encore plus d’élan. Je vois son visage se déformer de plaisir. Exactement ce qui me plait. Prendre du plaisir et en donner.

Après de longues minutes à la baiser ainsi, je vois que Carmen faiblit. Je sors et elle me confirme fatiguer de cette journée de baise intense et que ça commence à chauffer pour elle. Elle me propose alors :
- Vu que je suis magnanime je ne veux pas te laisser en plan
- Madame est trop bonne. Tes talents avec ta bouche me conviennent très bien aussi
- Je pensais à autre chose
- Ah ! dis-je intéressé de savoir la suite
- Je te propose quelque chose de…, elle marque une pause, disons de particulier
- J’aime les propositions particulières
- J’ai en ma possession des moyens de te faire jouir, dit-elle en se levant et en allant vers son placard.
- J’ai hâte de découvrir lesquels
- J’ai dans cette boite, me montre-t-elle avec la boite que je n’ai pas ouvert tout à l’heure, tout un tas de jouets
- Coquine, je réponds en me doutant de la suite mais en faisant l’innocent.
- Et dans ces jouets j’ai de quoi te faire craquer
- Vas-y je suis à toi
- Tu es sûr ?
- Tant que tu ne fais pas de mal oui
- Le mal est une notion subjective.
- Si c’est du BDSM non merci
- Non ce n’en est pas. Tu as aimé avoir mon doigt dans tes fesses ?
- Oui c’était agréable.
- Alors laisse-moi faire dit-elle en sortant un bandeau de la boite

Elle s’approche de moi et me bande les yeux. Vu ses questions je sais où elle veut en venir. Et vu que cela fait partie de mes pratiques préférées je suis tout excité. J’essaie de ne pas le montrer même si mon sexe tout dur et déjà baveux me trahit. Elle le voit et me dit :
- C’est que tu mouille petite coquine
- J’aime perdre le contrôle
- Alors je vais prendre le contrôle sur toi. Je vais faire de toi ma chose
- La domination ne m’excite pas en revanche. Juste la perte de contrôle
- C’est ce que tu dis mais tu vas voir tu vas adorer être à moi
- Pas trop loin quand même
- Non pas trop loin, je vais juste te baiser comme tu m’as baisé. As-tu déjà été baisé ?
- Non je réponds tout en sachant que la réponse est fausse autant par des femmes que par des hommes. Mais je préfère lui faire croire que c’est elle la première.
- Alors je vais y aller en douceur mais tu vas aimer j’en suis sûr
- Je te fais confiance
- Détends-toi, je vais te faire jouir comme jamais
- Belles promesses !! je conclus avec un ton de défi

Carmen grimpe sur le lit et vient à ma hauteur. J’attends dans le noir puis sens ses lèvres se poser sur les miennes. Elle vient m’embrasser et enserre mon sexe dans sa main. Je le sens couler de liquide au fur et à mesure de ses vas et vient. Elle doit en avoir plein les mains. Je sens d’ailleurs sa main venir s’essuyer sur mon anus et s’en sert de lubrifiant naturel. Puis elle lâche ma bouche et descend entre mes jambes. Elle vient englober mon sexe dans sa bouche tout en faisant des ronds autour de ma rondelle. Je tache de me contenir car j’aurais déjà envie d’éjaculer. Heureusement elle ne le fait pas trop et je sens sa langue glisser le long de ma queue jusqu’à mes testicules. Puis elle continue son chemin pour atteindre mon anus. Elle passe sa langue dessus et je sens beaucoup de salive couler. Elle rentre un doigt puis elle ressort. Je l’entends manipuler quelque chose puis revient avec un objet dur et froid. Je comprends qu’elle commence à me pénétrer avec un gode.

Elle s’introduit petit à petit en moi sans grandes difficultés. Elle me signale que j’ai un cul à prendre des bites car cela rentre tout seul. Bizarre ce n’est pas la première fois que j’entends cela. Elle me pénètre ainsi puis se retire. Je la sens bouger sur le lit. Puis je sens de nouveau quelque chose contre mon anus. Mais cette fois cela semble plus gros. Et surtout je sens ses cuisses contre mes jambes. Je comprends qu’elle a enfilé un gode-ceinture. Exactement comme j’aime. Je sens qu’elle enduit son engin de lubrifiant puis revient contre moi. Son sexe en plastique glisse en moi. Cela m’ouvre un peu plus mais nous sommes loin des jouets que Nina utilisait de son temps. Donc pas de douleurs ni de problèmes à ce qu’elle me prenne entièrement.

Une fois entrée entièrement Carmen commence à me prendre. Doucement d’abord. Normal, pour elle, c’est une première. Puis de plus en plus vite. Mon sexe ballotte sous les coups de hanches. Carmen l’attrape et commence à me branler au même temps qu’elle me pénètre à rythme régulier. J’aime être dans cette situation. Je prends beaucoup de plaisir et cela doit se voir à mon sourire. Carmen me dit des mots « doux » tels que « tu aimes être rempli coquin ! », ou « tu aimerais avec une vraie bite à prendre et à sucer ». Si elle savait que justement mes penchants vont vers là en ce moment.

Je sens que je suis proche de l’explosion quand Carmen s’arrête. Dommage. Elle me fait tourner et me met en levrette. Elle s’introduit de nouveau en moi dans cette position. Pas ma préférée, loin de là. Mais je sens la fougue que Carmen y met et le plaisir qu’elle y prend. Je colle ma tête contre le lit et lève le cul bien haut comme j’aime prendre mes partenaires. Elle m’encourage en me disant que j’aime ça et que je suis ouvert comme une belle salope. Je n’aime pas ces mots mais prend trop de plaisir pour intervenir. Elle tape encore plus fort me faisant lâcher des gémissements, pardon des grognements lourds. D’un coup une déflagration retentit sur ma fesse droite. Carmen vient de m’administrer une fessée. Ma fesse me brule quand la deuxième reçoit le même traitement. Elle redouble d’efforts en commençant à m’insulter. Là je m’extraie en enlevant le bandeau et avec un regard noir en disant que je n’apprécie pas ça, que je veux bien être à elle mais pas molesté. Je vois à sa tête qu’elle est déçue mais j’ai besoin de me respecter.

Je la fais allonger sur le lit pour changer de position. Je grimpe sur elle et m’empale sur son sexe de couleur arc-en-ciel. Dans cette position, je reprends un peu les commandes dans un premier temps, devant l’attitude un peu apathique de Carmen. Puis elle se déride et attrape mes fesses pour me donner le rythme. Je préfère nettement cette situation. Carmen appuie fort mes hanches vers le bas pour me faire sentir que c’est elle qui est aux commandes. Mais dans cette situation cela ne me dérange pas. Je me laisse aller à son alternance de fougue et de caresses.

Je sens de nouveau le plaisir m’envahir. Mais cette fois pas question de le couper. Je me laisse submerger par cette vague de bonheur. Naturellement mes mains viennent se poser sur mon sexe pour le caresser. D’abord du bout des doigts. Puis de façon plus énergique. Je sens que je vais bientôt craquer. Carmen soulève ses hanches et tient fermement les miennes. Je sens la tension qu’elle met dans ses gestes. Cela me fait craquer. Je bloque mon éjaculation au maximum mais la pression devient trop forte. Un premier jet puissant atteint le visage de Carmen. Cela ne stoppe pas Carmen qui continue de me prendre alors que mes giclées repeignent son corps et son visage de sperme chaud. Une grande quantité malgré les nombreuses jouissances du jour.

Une fois mon orgasme passé, je m’apprête à me lever mais Carmen en décide autrement. Elle attrape mes hanches et donne des coups rapides et forts. Mais venant de jouir je dois avouer que je ne suis plus trop dedans. Elle semble tellement à fond que je la laisse faire un peu puis cela commence à me bruler donc je la stoppe. Elle ne semble pas très contente et part en marmonnant à la salle de bains pour se nettoyer. Je m’allonge sur son lit en attendant qu’elle revienne pour lui faire un câlin. Mais à son retour elle me demande :
- Tu attends quelque chose
- Toi pour faire un câlin
- Désolé mais je me lève tôt demain donc je vais te demander de partir
- Ah bon nous baisons et puis tchao ?
- Oui je n’aime pas dormir avec quelqu’un. Mais j’ai passé un bon moment
- OK je ne m’attendais pas à ça. Eh bien je m’en vais
- Peut-être à une autre fois
- Je ne pense pas, je n’ai pas prévu de revenir ici. Ravi de t’avoir connu, dis-je en me rhabillant
- Ravi de t’avoir baisé, me répond-elle avec désinvolture
- De même
- Claque la porte en partant

Je finis de me rhabiller. Carmen ne prend même pas la peine de me raccompagner. Ça va que j’ai passé une très bonne soirée car la fin est quelque peu frustrante…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire de baises continues avec deux bémols elle n’aime pas les fessées mais préfère les donner ensuite elle veut continuer à te penetrer comme tu refuses ele te jette. Dommage mais ta journée a été bône sa s câlin du soir. Daniel



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