SON MARI EST UN TRES BON AMI 2

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : SON MARI EST UN TRES BON AMI 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SON MARI EST UN TRES BON AMI 2
SON MARI EST UN TRES BON AMI 2

Vous avez vu comment j'ai conclu l'épisode précédent, je ne vous avais jamais fait le coup ! Éh, éh, éh. Bon je reprends, on était en plein préliminaires il me semble ...

Là on ne faisait plus semblant. Nous nous serrions l'un contre l'autre. Sa peau était chaude, je devrais même dire Brûlante. Mais c'était agréable. Sa peau était douce, tellement douce. Elle se tordait dans tous les sens sur mon corps. J'étais allongé sur le lit, j'avais refermé mes bras sur elle et nos baisers étaient intense, presque aussi intenses que la pression de ma queue dans sa cage en titane. Par dessus la cage, une jolie bite en caoutchouc me donnait un air viril, c'est elle qui avait choisi le modèle.

Je crois que c'est à cet instant, un très court instant je vous rassure, que j'ai regretté d'avoir accepté cette promotion et signé pour cinq ans.

Elle à sorti du gel de je sais où, elle a lubrifié longuement la prothèse, comme voulez-vous appelez ça ? Ensuite elle s'est soulevée, je voyais sa poitrine qui semblait devenir plus grosse vue de dessous, puis doucement s'est empalé sur le gode ( C’est vrai on peut appeler ça un gode aussi ). Je voyais le plaisir sur son visage, surtout au moment ou elle se penchait sur moi et que sont sexe s'écrasait contre mon bas-ventre, pendant que le bout de ses seins caressaient mes tétons.

Ma queue voulait exploser, elle avait décidé de démolir la cage par la seule force de son érection contrariée. Oui, et bien vous pouvez rigolez, pour moi c'était de la folie mais pour le reste du monde, on ne pouvait rien voir. Cette crise de colère de ma bite ne dérangeait que moi !

Ma compagne se soulevait, puis se laissait retomber en gémissant. ' Vas y Charly, tu sais comment ça marche'.

Je soulevais alors mon bassin avec douceur. Je me synchronisais sur ses mouvements. Le gode, pourtant de belle taille, entrait et ressortait avec facilité. Selon ses mouvements et les miens il ressortait plus ou moins, parfois complètement. Elle le replaçait, tout simplement, et on reprenait.

Sa poitrine s'écrasait contre la mienne. Elle me couvrait de baisers sur le visage, je luis rendais encore plus de baisers, nous nous lâchions et c'était comme un concours, le gagnant serait celui qui en donnerait le plus à l'autre …
Ce qu'il ne faut pas faire quand même pour faire plaisir à une copine. Qui d'entre vous saurait se dévouer de la sorte ?

Mon corps convulsait, dans ma tête c'était la fièvre. Je me tordais dans tous les sens, elle en faisait de même. Je sentais le poids de son corps, la douceur de sa peau sur chaque centimètre de la mienne. La seule chose que je ne sentais pas était son intimité. Là je ne sentais rien, enfin si, je sentais la froidure et la dureté des barreaux en titanes de ma cage.

Elle gémissait de plaisir, les mouvements étaient amples et réguliers. Elle hurlait, les mouvements devenaient rapides et irréguliers. Elle allait suffoquer, les mouvements devenaient lents mais violents. Je lui caressait les seins, elle me griffait le dos. Je lui mordais la gorge, enfin je mordillais, elle me mordillait les lèvres et les joues.

Sans prévenir je la retournais, elle se retrouvais sur le dos, je l'écrasais de tout mon poids, pas trop longtemps mais juste assez pour la sentir vibrer quand le gode était entièrement en elle et nos deux corps semblaient vouloir se souder l'un à l'autre par la chaleur qu'ils dégageaient. On était en sueur !

Dire que je ne ressentais rien est un peu exagéré. Je ressentais sa chaleur, la douceur de sa peau, la force et la tendresse de ses caresses, son corps qui vibrait dans mes bras. Non je ressentais tout !

Dire que ressentais quelque chose est totalement fantaisiste, je ne ressentais pas son intimité, je ne ressentais pas les contractions de son ventre, elles étaient réservées au gode, comme si lui il ressentait quelque chose. Non je ne ressentais rien !

Et faire grimper quelqu'un au rideaux quand on ressent qu'une partie de ses réactions les plus intimes, je peux vous le dire, c'est du boulot ! C'est surtout très technique. Je crois que c'est ce qu'elle aime chez moi, je maîtrise la technique. C'est elle qui me l'a apprise et à chaque fois je cherche avant tout à ne pas décevoir le professeur.

Ceci-dit on ne retirera pas de la tête que malgré tout, c'est pas très naturel comme histoire.

De temps je faisais une pause, pour la laisser respirer, pour vérifier ou on en était, pour souffler un peu. J'en profitais alors pour n'être que douceur, tendresse et câlin. Un signe de sa part, un signe que j'étais le seul à percevoir, un signe qu'elle même quelquefois ne savait pas et je reprenais. Avec douceur pour commencer, puis avec force, puis avec vigueur pour terminer avec folie.

Je l'ai senti quand elle a vibrer dans mes bras, c'est tout son corps qui a convulsé et convulsé de nouveau, pendant de très longues secondes qui ressemblaient à des heures, son corps s'est contracté, son visage s'est transformé en une grimace, sa simple respiration est devenu un râle. Puis un tout petit truc indéfinissable à changé, ses muscles se sont détendu, son souffle restait fort mais redevenait régulier. Je la retenais encore dans mes bras, je ne bougeais plus et la laissais ainsi, je me soulevais imperceptiblement pour ne plus la toucher et je la regardais.

Elle était en sueur, elle était belle, pendant ces instant ma queue protestait de toutes ses forces mais je n'y faisais plus attention. Je m'effondrais à côté d'elle sur le dos et reprenais mes esprits. On ne disait plus rien, quand j'ai tourné la tête pour voir son visage, c'est son sourire que j'ai vu. Elle me regardait avec un sourire rayonnant !

- Dis moi Charly, tu n'as jamais pensé à essayer avec une fille ?
- Tu veux dire, une fille et moi , des rapports sexuels ?
- Tu m'as compris !
- Mais tu es folle ma chérie, avec une fille moi ! Mais ce serait contre nature, c'est ridicule !

Elle rigolait.

- Pourtant, je te garantis qu'il y a du potentiel !
- Tu crois ? Je me demande bien ce qui te fait penser à un truc pareil.
- Intuition féminine peut être ou alors peut être que tu m'as fait prendre mon pied.
- Et avec Mike, il s'en sort bien Mike ?
- Personne ne s'en sort aussi bien que toi !

Je suis sûr qu'elle en rajoutais là. Mais enfin c'est vrai que quand on fait l'amour avec un gode, on ne peut pas débander au mauvais moment. On ne se pose pas la question de savoir si on gardera la forme assez longtemps ... Si dix minutes suffisent, on se demande si c'était bien la peine de se déplacer mais si il faut une demie heure, une heure ou plus, on sait qu'on tiendra jusqu'au bout.

Le reste c'est la technique, c'est le reste du corps. On ne fait pas l'amour qu'avec sa queue, et là moi avec le gode, précisément c'est sur tout le reste que je devais me concentre, pour ce qui est de la queue, je savais que ça tiendrait le temps nécessaire.

Par contre j'étais frustré ! Dans ces situations une sorte de vide s'installe en moi, ce n'est pas forcément désagréable, il y a plein de choses qui se bousculent dans la tête mais il y a comme un vide, un petit vide ou un grand vide quand de nouveau la queue se réveille et menace à nouveau de faire exploser la cage … Elle était optimiste ma queue ce soir là, j'avais l'impression qu'elle croyait vraiment arriver à faire sauter la cage en titane juste en poussant contre ses barreau.

Il n'y avait toutefois aucune douleur, mais une résistance, la froideur et la dureté du métal, et cette résistance devenait une pression agréable, et tellement familière. J'avais passé déjà cinq ans la dedans, et je venais de signer pour cinq années supplémentaire pour valider la promotion professionnelle.

Je m'amusais à contracter ma queue pour qu'elle pousse encore plus fort contre les barreaux, c'était assez agréable en fait, mon souffle redevenais régulier, mon cœur reprenait son rythme normal et j'avais l'impression d'avoir joui. Je me sentais bien !

A côté de moi Sonia dormais, je l'entendais, elle faisait de la musique avec son nez. Elle était belle.

Je me demandais pourquoi j'arrivais à faire des trucs comme ce soir avec elle, je vous jure que si une fille me tripote je cris ' Au viol ' et je ne vous promet même pas que j'aurais l'air viril en disant ça. Mais avec Sonia … tout était différent. Je ne comprenait pas, d'ailleurs je n'ai jamais compris. J'en aurais bien parlé à mon thérapeute mais je n'ai pas de thérapeute …
Je tirais avec la plus grande délicatesse les draps sur Sonia qui ne se réveillait pas mais se retournais sur le côté. J'en faisais de même. Je me retournais de l'autre côté, on se tournait le dos un peu comme si on était fâché. Mais on n'était pas fâché, on a bougé.

Par moment on se retrouvait face à face. A d'autres moment elle était sur le dos et moi allongé sur elle, là, dans son sommeil elle me repoussait et me réveillait, je devais sans doute l'écraser. A d'autre moment c'est moi qui était sur le dos et elle allongé sur moi, me traitant comme un oreiller. Elle me réveillait mais moi je ne la repoussais pas.

Au petit matin le lit ressemblait à un champ de bataille, plus rien n'était en place mais comme la nuit avait été calme finalement, on avait bien dormi !

Elle se réveillait en premier.

- Salut Mike, mon amour !
- Salut Sonia, tu sais moi c'est pas Mike, moi c'est Charly et Mike !
- Il est pas là Mike, je sais, mais il va bientôt venir.
- Bon moi je me lève, tu restes encore au lit un moment ?
- Va faire le petit déjeuner femme, je reste encore un moment.

Elle se levait en râlant, les filles c'est comme ça ! Comme disait le poète '' quand vous ne nous les caressez pas, chéries vous nous les cassez '' …
- Ne prend pas ça comme une habitude, je ne vais pas faire le petit déjeuner tous les matins. Là c'est vraiment parce que cette nuit tu m'a fait grimper au rideaux, sinon …
Elle partait vers la cuisine en râlant. Jamais contente je vous dis !

On prenait notre petit déjeuner ensemble, elle s'était rhabillé, moi j'étais resté à poil ( enfin presque ). On discutait. Mike arriverait dans la journée, elle ne savait pas quand, il fallait absolument qu'elle passe au bureau, elle me laissait, je lui promettais de ne pas traîner. Elle avait à peine franchi la porte que je retournais me coucher. J'étais encore fatigué de la veille moi, et en plus ma queue se manifestait de nouveau.

Vous pouvez me croire, il y a des jours ou on ne devrait pas se lever. Je me rendormais rapidement.

Je ne sais pas qu'elle heure il était quand une masse lourde me tombait dessus. J'étais entièrement sous les draps et on ne distinguait qu'une forme, surtout que les volets étaient fermés.

- Alors mon amour, tu m'as attendu, ça me fait plaisir tu sais !

C'était Mike, depuis le temps qu'on vous parle de lui dans cette histoire, vous deviez bien vous attendre à le voir rappliquer.

- Eh , mais vas y doucement, tu m'écrase !

Il soulevait le drap !

- Tu n'est pas Sonia ?
- Tu es de plus en plus perspicace toi !
- Mais qu'est-ce que tu fous là ?
- C'est pas moi, j'ai rien fait, et en plus je le referai plus !
- Ça ne répond pas à ma question !
- C'est Sonia, elle m'a demandé de passé hier soir, elle se sentait toute seule.
- Je vois !
- On a un peu picolé, et j'étais trop ivre pour reprendre le volant.
- J'imagine, il y a deux bouteilles vides sur la table du salon.
- Deux bouteilles ? La vache c'est pire que je ne pensais.
- Et donc tu as dormi ici ?
- Bein j'allais pas dormir par terre.
- Et vous vous êtes envoyé en l'air ?
- C'est Sonia qui a commencé !
- Je devais vraiment lui manquer.
- Tu ne peux pas imaginé, elle n'arrêtait pas de parler de toi.
- Elle est adorable, même dans les bras d'un autre homme elle pense toujours à moi … Enfin pardon , c'est pas ce que je voulais dire !
- J'ai pas compris là ?
- J'ai dit, autre '' homme '' , je ne voulais pas te vexé.
- Mais je suis un homme !
- Si tu le dis.
- Bon je vais prendre une douche, j'ai voyagé toute la nuit …
Il passait dans la salle de bain, je me rendormais. Un peu plus tard il me retombait dessus, il rigolait.

- Ça devait être quelque chose hier soir ! C'est toi qui à joué le mâle ?
- Bein oui !
- C'est un rôle que tu joues si rarement, je ne sais pas comment tu arrives à te rappeler ce qu'il faut faire.

Il rigolait et visiblement se foutait de ma gueule.

- C'est comme la bicyclette, ça ne s'oublie pas. Et puis c'est Sonia qui m'a appris.
- Franchement, on est entre nous, tu a déjà touché une autre fille que Sonia ?
- Mais enfin, tu arrives juste et c'est pour me dire des horreurs, une fille ! Certainement pas !
- Et Sonia, elle ça ne compte pas. Et comment tu as su que c'était moi le mâle hier soir.
- Il y a le gode par terre et on en a soigneusement retiré les lanières, tu es le seul à pouvoir l'utiliser sans …- Bein oui, je peux fixer le gode directement sur mon dispositif.
- Si c'est Sonia qui t'avais enculé, les lanières y seraient toujours fixées …
On a discuté encore un long moment, il était à poil, allongé juste à côté de moi, moi j'étais à poil sous les draps …

N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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