SON MARI EST UN TRES BON AMI 3
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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SON MARI EST UN TRES BON AMI 3
SON MARI EST UN TRES BON AMI 3
Je dégageais le drap et me retrouvais allongé à coté de lui, on était nu tout les deux. J'admirais la queue, non seulement elle était libre de ses mouvements mais en plus elle était de belle taille. Un peu plus de vingt centimètre sur plus de cinq. La taille idéale. Je me disais qu'elle en avait de la chance Sonia. Il était musclé avec de très belles proportions, il avait une fourrure idéale, dense mais pas trop et surtout terriblement douce. Je lui passais ma main sur le torse.
A nouveau ma queue se manifestait.
Il me tripotait les couilles avec force et me faisait même un peu mal. Quand c'est pas un, c'est l'autre qui me casse les couilles. Ah ils sont bien faits pour s'entendre ces deux là !
Il était plus grand, plus large et plus fort que moi aussi quand il m'attrapait et me tirait vers lui je ne pouvais pas résister, surtout que justement je n'avais pas envie de résister. Ma queue hurlait déjà du plaisir à venir et de nouveau tentait de démolir par l'intérieur ma cage en titane. C'est fou ça même après cinq ans elle n'a toujours pas compris.
Je me retrouvais dans les bras de Mike, il était allongé sur le dos, j'étais allongé sur lui. Je passais une main derrière sa nuque et avec l'autre je lui caressais le torse. C'est fou comme sa fourrure était douce, il bandait et je sentais sa queue se relever entre mes cuisses.
Il était chaud la gars, plus que d'habitude. Ça faisait une semaine qu'il était parti et il n'avait pas tenus sa femme dans ses bras depuis une semaine, il n'avait pas non plus tenu son amant dans ses bras, n'avait pas non plus pu le câliner et là il le tenait avec force. Au passage, au cas ou vous n'auriez pas compris, son amant, c'est moi !
…
Oui je sais ! Quelquefois il faut savoir donner de sa personne, je suis l'amant de Monsieur mais je suis aussi l'amant de Madame … Au moins ça ne sort pas de la famille !
Il roulait sur moi, je me retrouvais en dessous et c'est de tout son poids qu'il m'écrasait, il me savait assez solide pour résister aussi il ne prenait aucune précaution, du genre, je m’appuie sur mon bras pour paraître plus léger . Moi c'est ce que je fais avec Sonia, je me laisse pas tomber de tout mon poids sur la petite. Je fais un effort. Remarquez moi je suis solide et j'aime bien me sentir écrasé, j'aime bien me sentir immobilisé, manipulé, j'aime bien … être traité comme un jouet quoi ! Il le savait le bougre, ce serait dommage depuis le temps qu'on se pratique l'un l'autre.
Il se servait de moi pour se faire plaisir, c'était le point commun avec sa femme ! Il s'était assis sur mon thorax, le cul reposait sur mes côtes, les genoux écartés bloquaient mes bras, je ne pouvais plus bouger, j'avais la tête relevée et quand il soulevait ses fesses c'était pour me rentrer la queue dans la bouche et m'obliger de le sucer.
Il est comme ça, il faut qu'il se donne l'impression de dominer. Vous savez il ne m'aurait pas obligé je l'aurais fait de bon cœur et d'ailleurs j'en redemandais. Il avançait son bassin avec violence sa queue rentrait bien à fond et venait s'écraser contre ma glotte. Il reculait son bassin et m'écrasait sans se retenir. Puis il recommençait.
Par moment avec les deux mains il retenait ma tête et m'obligeait à bien avaler sa queue, la je suffoquais. Ça aussi c'était un point commun avec sa femme, lui aussi il pouvait m’empêcher de respirer. Lui aussi, mon inconfort ne le dérangeait pas et il continuait, il s'assurait seulement que je n'étouffais pas. Lui aussi il ne pensait qu'à son propre plaisir.
Bon je ne vous cacherai pas que j’adore quand on me prend en main de la sorte. Je râlais mais c'était pour la forme, parce que je savais que si on ne râle pas il manque quelque chose.
Déjà ma queue n'avait pas droit de citer dans cette affaire, c'était pas de leur faute mais c'était quand même un fait non négligeable. Je n'avais pas le droit d'utiliser ma queue, elle était en cage depuis cinq ans et y resterait encore au moins cinq autres années. Dans notre société, ça ne choquait personne. Tous les colaborateurs de la PK Compagnie vivaient ainsi.
Ma situation n'avait rien de répréhensible, je portais un dispositif de chasteté donc j'étais convenable. A condition toutefois de ne pas m'exhiber en public et de continuer ces pratiques érotiques en privé. Sinon, même le fait de se masturber est considéré comme pas très convenable. Le monde est un peu fou.
La queue de Mike rentrait de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus sans retenue, ça me faisait faire des bruits rigollots. J'avais pas pour autant envie de rigoler. Vous croyez peut être que c'est facile vous de sucer une queue de gros calibre ? Il faut faire attention à ne pas y mettre les dents, en général les mecs ils n'aiment pas ça du tout. Je ne parle en mon nom. Moi ça fait longtemps que je n'ai pas essayé dans ce sens. Mais il me semble avoir quelques souvenirs.
Et je savais que je m'y prenais bien quand il me le confirmait !
– Alors là Charly, tu es vraiment génial, il n'y a que toi qui suce comme ça. Il faudra vraiment que tu montre à Sonia comment tu fais.
– Aheu , rhaaa, rha, haaa !
Je ne sais plus ce que c'était mais je voulais lui répondre quelque chose.
Un peu plus tard il se relevait d'un mouvement rapide, sans prévenir. Je me sentais léger d'un coup avec un poids de moins sur la poitrine. Ma queue en profitait pour manifester de nouveau. Je regardais rapidement ou elle en était et, en effet elle était en forme, des bulles de peau ressortaient par les ouvertures, il y avait une pression de malade là dedans. C'était pas très confortable mais Mike ne me laissait pas le temps de m'en inquiéter.
Il me relevait avec force, je me retrouvais nu, dans ses bras, debout au pied du lit. Il me caressait le corps avec force. J'aime bien quand c'est un peu fort. Me tripotait de nouveau les couilles.
– Dis donc, on dirait que tu as envie de tirer ton coup toi ? Lui murmurais-je à l'oreille.
Il rigolait et reprenait …
– Pas avant encore au moins cinq ans pour toi mais pour moi ce sera dans deux minutes !
Il me prenait bien fort dans ses bras, me retournait, je ne résistais pas je le laissais me manipuler comme une marionnette. Je lui offrait mon dos, il appuyait alors sur mes épaules pour m'indiquer qu'il voulait que je me penche. Je m'appuyais sur le lit et prenait position pendant qu'il se lubrifiait la queue.
Il y mettait la dose, il faut ça, j'écartais les jambes, il posait sa queue bien en position puis sans prévenir, sans rien me demander, sans s'inquiéter de moi, juste pour son plaisir il poussait, je râlait, mon cul se dilatait et sa queue s'enfonçait lentement mais sûrement. Au moins là il y allait avec un minimum de douceur.
Il avait déjà essayé plus fort, mais là j'avais hurlé et je m'étais dégagé. Je lui avait dit alors que s'il n'y allait pas avec un minimum de douceur je ne le laisserais plus faire.
Je le sentais passer tout de même.
Chaque centimètre devait se faire de la place, et il en faisait vingt trois . Son gland, très large devait lui aussi se faire de la place et pas seulement à l'entrée. Je me sentais rempli, je sentais une masse qui m'envahissait. C'était bon, terriblement bon mais c'était aussi effrayant. A chaque fois, j'ai un mouvement de panique. Mais ça passe et rapidement autant la sensation du départ est intense, autant le plaisir est intense.
Son ventre s'écrasait contre mes fesses et mes poumons se vidaient dans un râle de plaisir ! J'avais l'impression de suffoquer mais je me sentais en même temps terriblement bien.
Il ressortait rapidement, avant de revenir bien à fond de nouveau. Deux ou trois autres mouvements de ce genre et il ressortait totalement. Je reprenais des couleurs, et déjà je sentais venir un plaisir incroyable. Il se lubrifiait de nouveau et toujours sans prévenir m'enfonçait sa queue dans le cul jusqu'à la garde dans un mouvement un peu plus rapide que le précédent.
J'ai hurlé de plaisir.
– Ça va Charly ?
– Oui ça va, oui ça va.
– Ok alors accroche toi !
Il a quelquefois des réflexions qui font peur. Il accélérait alors le mouvement et c'est là que j'ai commencé à jouir avec le cul. Le plaisir m'envahissait, tout mon corps tremblait. Je ne savais même plus si le plaisir venait de la dilatation de mon cul et du massage du muscle anal qui en découlait , ou de la prostate ou de je ne sais quoi.
Je n'avais plus la moindre douleur, juste un plaisir qui me transportait. Je ne touchais plus le sol et ma queue se faisait totalement oubliée. En général à ce moment des opérations elle ne se fait plus remarquer.
Il me limait avec force, lenteur et mouvements amples. Il me limait avec violence, mouvements rapides et court. Il me limait avec folie, les coups étaient sec et bien appuyés. Je râlais, je gueulais, je hurlais je jouissais et c'est à ce moment que ma queue s'est de nouveau manifestée, j'avais l'impression que je jouissais par mon urètre, que j'allais jouir par mon urètre, que j'allais éjaculer, que j'éjaculais ou que je pissais. C'était difficile à déterminer mais c'était bon, super bon !
En fait rien ne sortait, rien ne fuitait. Mais cette sensation, ce plaisir augmentait devenait un véritable orgasme, Lais un orgasme qui durait dans le temps.
J'étais plié en deux, le visage écrasé sur le lit, et si je tenais encore debout sur mes jambes c'est parce qu’il me retenait.
Il a fini par prendre son pied, il a joui dans mon cul, et il m'a lâché. Je suis tombé sur mes genoux. Je me sentais bien, son sperme dégoulinait de mon cul dilaté, je me sentais vidé, comblé et je continuais à jouir au moment ou je contractais par réflexe mon anus. C'était le pied.
Par la queue rien ne jutait !
Je restais là sans bouger, et le temps de reprendre mes esprit je remarquais que Mike avait disparu. J'entendais l'eau couler dans la salle de bain. Il m'avait laissé là en plan, quand je disais hier à sa femme qu'il n'est pas romantique avec moi …
Il revenait et me donnait une claque d'une force inouï sur une fesse. J'avais la marque de sa main c'est sûr.
– Et bien Charly tu ne va pas rester comme ça toute la journée, faut réagir !
Je le regardait l'air hagard !
– Tu as une petite mine là mon pauvre Charly tu devrais prendre une douche !
– Laisse moi le temps de récupérer.
– Oh tu en rajoutes toujours j'ai l'impression.
– Tu veux peut être essayer pour voir ?
Je lui montrais le gode.
– Ah non, ça c'est pas pour moi. Ça c'est pour ma femme et pour toi.
Il m'a fallu encore un peu de temps avant de me lever et d'aller prendre une douche. Je me sentais bien tellement bien à ce moment j'avais l'impression de continuer à jouir, le plaisir en effet ne disparaissait pas totalement, enfin pas tout de suite.
Je me suis rhabillé, il dormait. C'est vrai qu'il avait voyagé toute la nuit. Je le laissais sans le réveillé, j'ai la clé de l'appartement et je verrouillais derrière moi.
Quand je pense que j'avais dit : '' Je ne reste pas ''. avec Sonia c'est toujours comme ça . On vient juste pour une petite heure, histoire de lui dire bonsoir, on y reste la nuit et on se fait défoncer le cul proprement par une grosse queue. Enfin quand je dis ' on ' je devrais dire ' je ' …
Remarquez il y a des fois où c'est pire, il y a des fois où ils ont des invités !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je dégageais le drap et me retrouvais allongé à coté de lui, on était nu tout les deux. J'admirais la queue, non seulement elle était libre de ses mouvements mais en plus elle était de belle taille. Un peu plus de vingt centimètre sur plus de cinq. La taille idéale. Je me disais qu'elle en avait de la chance Sonia. Il était musclé avec de très belles proportions, il avait une fourrure idéale, dense mais pas trop et surtout terriblement douce. Je lui passais ma main sur le torse.
A nouveau ma queue se manifestait.
Il me tripotait les couilles avec force et me faisait même un peu mal. Quand c'est pas un, c'est l'autre qui me casse les couilles. Ah ils sont bien faits pour s'entendre ces deux là !
Il était plus grand, plus large et plus fort que moi aussi quand il m'attrapait et me tirait vers lui je ne pouvais pas résister, surtout que justement je n'avais pas envie de résister. Ma queue hurlait déjà du plaisir à venir et de nouveau tentait de démolir par l'intérieur ma cage en titane. C'est fou ça même après cinq ans elle n'a toujours pas compris.
Je me retrouvais dans les bras de Mike, il était allongé sur le dos, j'étais allongé sur lui. Je passais une main derrière sa nuque et avec l'autre je lui caressais le torse. C'est fou comme sa fourrure était douce, il bandait et je sentais sa queue se relever entre mes cuisses.
Il était chaud la gars, plus que d'habitude. Ça faisait une semaine qu'il était parti et il n'avait pas tenus sa femme dans ses bras depuis une semaine, il n'avait pas non plus tenu son amant dans ses bras, n'avait pas non plus pu le câliner et là il le tenait avec force. Au passage, au cas ou vous n'auriez pas compris, son amant, c'est moi !
…
Oui je sais ! Quelquefois il faut savoir donner de sa personne, je suis l'amant de Monsieur mais je suis aussi l'amant de Madame … Au moins ça ne sort pas de la famille !
Il roulait sur moi, je me retrouvais en dessous et c'est de tout son poids qu'il m'écrasait, il me savait assez solide pour résister aussi il ne prenait aucune précaution, du genre, je m’appuie sur mon bras pour paraître plus léger . Moi c'est ce que je fais avec Sonia, je me laisse pas tomber de tout mon poids sur la petite. Je fais un effort. Remarquez moi je suis solide et j'aime bien me sentir écrasé, j'aime bien me sentir immobilisé, manipulé, j'aime bien … être traité comme un jouet quoi ! Il le savait le bougre, ce serait dommage depuis le temps qu'on se pratique l'un l'autre.
Il se servait de moi pour se faire plaisir, c'était le point commun avec sa femme ! Il s'était assis sur mon thorax, le cul reposait sur mes côtes, les genoux écartés bloquaient mes bras, je ne pouvais plus bouger, j'avais la tête relevée et quand il soulevait ses fesses c'était pour me rentrer la queue dans la bouche et m'obliger de le sucer.
Il est comme ça, il faut qu'il se donne l'impression de dominer. Vous savez il ne m'aurait pas obligé je l'aurais fait de bon cœur et d'ailleurs j'en redemandais. Il avançait son bassin avec violence sa queue rentrait bien à fond et venait s'écraser contre ma glotte. Il reculait son bassin et m'écrasait sans se retenir. Puis il recommençait.
Par moment avec les deux mains il retenait ma tête et m'obligeait à bien avaler sa queue, la je suffoquais. Ça aussi c'était un point commun avec sa femme, lui aussi il pouvait m’empêcher de respirer. Lui aussi, mon inconfort ne le dérangeait pas et il continuait, il s'assurait seulement que je n'étouffais pas. Lui aussi il ne pensait qu'à son propre plaisir.
Bon je ne vous cacherai pas que j’adore quand on me prend en main de la sorte. Je râlais mais c'était pour la forme, parce que je savais que si on ne râle pas il manque quelque chose.
Déjà ma queue n'avait pas droit de citer dans cette affaire, c'était pas de leur faute mais c'était quand même un fait non négligeable. Je n'avais pas le droit d'utiliser ma queue, elle était en cage depuis cinq ans et y resterait encore au moins cinq autres années. Dans notre société, ça ne choquait personne. Tous les colaborateurs de la PK Compagnie vivaient ainsi.
Ma situation n'avait rien de répréhensible, je portais un dispositif de chasteté donc j'étais convenable. A condition toutefois de ne pas m'exhiber en public et de continuer ces pratiques érotiques en privé. Sinon, même le fait de se masturber est considéré comme pas très convenable. Le monde est un peu fou.
La queue de Mike rentrait de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus sans retenue, ça me faisait faire des bruits rigollots. J'avais pas pour autant envie de rigoler. Vous croyez peut être que c'est facile vous de sucer une queue de gros calibre ? Il faut faire attention à ne pas y mettre les dents, en général les mecs ils n'aiment pas ça du tout. Je ne parle en mon nom. Moi ça fait longtemps que je n'ai pas essayé dans ce sens. Mais il me semble avoir quelques souvenirs.
Et je savais que je m'y prenais bien quand il me le confirmait !
– Alors là Charly, tu es vraiment génial, il n'y a que toi qui suce comme ça. Il faudra vraiment que tu montre à Sonia comment tu fais.
– Aheu , rhaaa, rha, haaa !
Je ne sais plus ce que c'était mais je voulais lui répondre quelque chose.
Un peu plus tard il se relevait d'un mouvement rapide, sans prévenir. Je me sentais léger d'un coup avec un poids de moins sur la poitrine. Ma queue en profitait pour manifester de nouveau. Je regardais rapidement ou elle en était et, en effet elle était en forme, des bulles de peau ressortaient par les ouvertures, il y avait une pression de malade là dedans. C'était pas très confortable mais Mike ne me laissait pas le temps de m'en inquiéter.
Il me relevait avec force, je me retrouvais nu, dans ses bras, debout au pied du lit. Il me caressait le corps avec force. J'aime bien quand c'est un peu fort. Me tripotait de nouveau les couilles.
– Dis donc, on dirait que tu as envie de tirer ton coup toi ? Lui murmurais-je à l'oreille.
Il rigolait et reprenait …
– Pas avant encore au moins cinq ans pour toi mais pour moi ce sera dans deux minutes !
Il me prenait bien fort dans ses bras, me retournait, je ne résistais pas je le laissais me manipuler comme une marionnette. Je lui offrait mon dos, il appuyait alors sur mes épaules pour m'indiquer qu'il voulait que je me penche. Je m'appuyais sur le lit et prenait position pendant qu'il se lubrifiait la queue.
Il y mettait la dose, il faut ça, j'écartais les jambes, il posait sa queue bien en position puis sans prévenir, sans rien me demander, sans s'inquiéter de moi, juste pour son plaisir il poussait, je râlait, mon cul se dilatait et sa queue s'enfonçait lentement mais sûrement. Au moins là il y allait avec un minimum de douceur.
Il avait déjà essayé plus fort, mais là j'avais hurlé et je m'étais dégagé. Je lui avait dit alors que s'il n'y allait pas avec un minimum de douceur je ne le laisserais plus faire.
Je le sentais passer tout de même.
Chaque centimètre devait se faire de la place, et il en faisait vingt trois . Son gland, très large devait lui aussi se faire de la place et pas seulement à l'entrée. Je me sentais rempli, je sentais une masse qui m'envahissait. C'était bon, terriblement bon mais c'était aussi effrayant. A chaque fois, j'ai un mouvement de panique. Mais ça passe et rapidement autant la sensation du départ est intense, autant le plaisir est intense.
Son ventre s'écrasait contre mes fesses et mes poumons se vidaient dans un râle de plaisir ! J'avais l'impression de suffoquer mais je me sentais en même temps terriblement bien.
Il ressortait rapidement, avant de revenir bien à fond de nouveau. Deux ou trois autres mouvements de ce genre et il ressortait totalement. Je reprenais des couleurs, et déjà je sentais venir un plaisir incroyable. Il se lubrifiait de nouveau et toujours sans prévenir m'enfonçait sa queue dans le cul jusqu'à la garde dans un mouvement un peu plus rapide que le précédent.
J'ai hurlé de plaisir.
– Ça va Charly ?
– Oui ça va, oui ça va.
– Ok alors accroche toi !
Il a quelquefois des réflexions qui font peur. Il accélérait alors le mouvement et c'est là que j'ai commencé à jouir avec le cul. Le plaisir m'envahissait, tout mon corps tremblait. Je ne savais même plus si le plaisir venait de la dilatation de mon cul et du massage du muscle anal qui en découlait , ou de la prostate ou de je ne sais quoi.
Je n'avais plus la moindre douleur, juste un plaisir qui me transportait. Je ne touchais plus le sol et ma queue se faisait totalement oubliée. En général à ce moment des opérations elle ne se fait plus remarquer.
Il me limait avec force, lenteur et mouvements amples. Il me limait avec violence, mouvements rapides et court. Il me limait avec folie, les coups étaient sec et bien appuyés. Je râlais, je gueulais, je hurlais je jouissais et c'est à ce moment que ma queue s'est de nouveau manifestée, j'avais l'impression que je jouissais par mon urètre, que j'allais jouir par mon urètre, que j'allais éjaculer, que j'éjaculais ou que je pissais. C'était difficile à déterminer mais c'était bon, super bon !
En fait rien ne sortait, rien ne fuitait. Mais cette sensation, ce plaisir augmentait devenait un véritable orgasme, Lais un orgasme qui durait dans le temps.
J'étais plié en deux, le visage écrasé sur le lit, et si je tenais encore debout sur mes jambes c'est parce qu’il me retenait.
Il a fini par prendre son pied, il a joui dans mon cul, et il m'a lâché. Je suis tombé sur mes genoux. Je me sentais bien, son sperme dégoulinait de mon cul dilaté, je me sentais vidé, comblé et je continuais à jouir au moment ou je contractais par réflexe mon anus. C'était le pied.
Par la queue rien ne jutait !
Je restais là sans bouger, et le temps de reprendre mes esprit je remarquais que Mike avait disparu. J'entendais l'eau couler dans la salle de bain. Il m'avait laissé là en plan, quand je disais hier à sa femme qu'il n'est pas romantique avec moi …
Il revenait et me donnait une claque d'une force inouï sur une fesse. J'avais la marque de sa main c'est sûr.
– Et bien Charly tu ne va pas rester comme ça toute la journée, faut réagir !
Je le regardait l'air hagard !
– Tu as une petite mine là mon pauvre Charly tu devrais prendre une douche !
– Laisse moi le temps de récupérer.
– Oh tu en rajoutes toujours j'ai l'impression.
– Tu veux peut être essayer pour voir ?
Je lui montrais le gode.
– Ah non, ça c'est pas pour moi. Ça c'est pour ma femme et pour toi.
Il m'a fallu encore un peu de temps avant de me lever et d'aller prendre une douche. Je me sentais bien tellement bien à ce moment j'avais l'impression de continuer à jouir, le plaisir en effet ne disparaissait pas totalement, enfin pas tout de suite.
Je me suis rhabillé, il dormait. C'est vrai qu'il avait voyagé toute la nuit. Je le laissais sans le réveillé, j'ai la clé de l'appartement et je verrouillais derrière moi.
Quand je pense que j'avais dit : '' Je ne reste pas ''. avec Sonia c'est toujours comme ça . On vient juste pour une petite heure, histoire de lui dire bonsoir, on y reste la nuit et on se fait défoncer le cul proprement par une grosse queue. Enfin quand je dis ' on ' je devrais dire ' je ' …
Remarquez il y a des fois où c'est pire, il y a des fois où ils ont des invités !
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