Sonia en week-end : le camionneur
Récit érotique écrit par David-91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sonia en week-end : le camionneur
J’ai décidé d’offrir un week-end à Sonia, ma maitresse et ma soumise. J’ai choisi un bel hôtel en bord de mer. J’ai bien évidemment étudié le coin pour que Sonia puisse vivre une nouvelle expérience et offrir son corps nu à la vue de nombreux hommes.
Samedi matin, nous partons tôt. Nous avons quelques heures de route. J’ai demandé à Sonia de s’habiller d’une robe légère mi-cuisse, boutonnable en entier sur le devant. En dessous, j'ai exigé qu’elle mette juste une petite culotte blanche en coton et pas de soutien-gorge. Je veux que ses gros seins de femme mature soient libres.
Nous commençons notre voyage. Sonia est détendue. Elle ouvre d’elle-même les premiers boutons de sa robe me permettant d’apercevoir ses belles mamelles bien denses.
- Tu te rends compte de toutes les nouvelles expériences sexuelles que tu as vécues en quelques mois, depuis qu'on se connaît ? - Oh oui, beaucoup plus qu’en plusieurs années avec les autres hommes que j'ai connus.
- Tu es devenu une vraie salope ! • - Oh que oui je suis consciente qu'avec toi je suis une salope maintenant. C’est vrai que j’ai attendu longtemps avant de le devenir. - Tu t’es révélée ! La salope a toujours été en toi !
- Je sais, je m'en rends compte.
- Suis-je assez salope pour toi ? - Oui mais ton éducation n’est pas finie. Tu as encore pleins d’expériences à vivre. Tu es déjà très obéissante et une vraie jouisseuse mais cela ne me suffit pas. - Hummmm, j’ai hâte que tu poursuives mon éducation.
En disant cela, Sonia passa sa main dans sa robe, touche sa poitrine, se caressant les seins.
- Tu es excitée on dirait ? - Oui, c'est grâce au week-end à venir, à nos discussions ! - Mais on a baisé 3 heures durant hier soir !
- Tu n’es pas rassasiée ? - Ce week-end avec toi, je suis bien. J’ai de nouveau envie ! • - Envie de te faire baiser ? - Oui ! - Il va falloir être patiente !
- Je peux me caresser ?
- Oui tu as la permission. Déboutonne plus ta robe. Sors tes mamelles. - Hummm, comme ça ?
- Oui comme ça ! Imagine tous ces hommes en voiture qui posent leur regard sur tes seins. Je suis certain qu’ils n’ont pas souvent l’occasion de voir de si beaux gros nichons.
- Hummm, je sens que ma chatte est toute humide.
- Laisse ta chatte tranquille pour l’instant ! Joue avec tes seins. Oui comme ça ! T’es quand même une belle pute ma chérie !
Sonia à ouvert tous les boutons du haut de sa robe, elle a écarté le deux pans. Ses mamelles sont apparentes en entier. Elle joue avec ses tétons, les pince, les étire. Je vois aussi qu' elle se pince les lèvres. Je sens que le feu monte dans son bas-ventre. De mon coté, j’ai déjà la queue bien raide dans mon pantalon léger Je commence à m’imaginer que des hommes la matent, que tous ces camionneurs quand je les double, peuvent reluquer les nichons de ma salope à travers le toit vitré de ma voiture. Mon esprit se met à fantasmer. J’imagine déjà Sonia se faire baiser par un groupe de camionneurs, dehors sur l’herbe.
C’est décidé, je me mets à la recherche d’un camionneur. Le premier qui me fait signe qu’il a vu et apprécié le spectacle aura le droit de me suivre sur la prochaine aire d’autoroute.Je n’ai pas longtemps à attendre. Alors que je suis en train de doubler un 38 tonnes à faible allure, j’ai droit à un coup de klaxon. •
- Pourquoi il klaxonne lui ?
- Je crois qu’il apprécie de voir une belle salope se toucher les seins.
- Non ! C’est pour ça que tu as ralenti. Tu veux que je me fasse reluquer.
- Oui et plus encore. Je m’arrête à la prochaine aire et si par chance, il nous suit, tu vas devoir être bien obéissante ! Tu vas te faire sauter par un camionneur.
- Oh non ! Tu es complètement fou ! Mais ça m’excite ! Je suis complètement folle … de toi et de ce que tu me fais faire. - Prochaine aire dans 1000 mètres. Tu es prête à te prendre une bite ? - J’ai faim. Ma chatte me réclame d’être calmée par une queue, la tienne ou une autre..
Je mets mon clignotant. Je roule toujours à faible allure. J’espère que le routier aura compris. Nous arrivons sur l’aire de repos. Il y a trois camions garés avec les rideaux fermés, ce qui montre que ces routiers n’ont pas fini leur nuit. Je me gare. Sonia est toujours en train de se caresser les seins. J’ouvre complètement sa robe en déboutonnant tout le bas. Sonia écarte les cuisses. Je peux voir que sa petite culotte est trempée.
- Tu coules de la chatte, ma chérie. - Oui, oui et c'est si bon. - Quelle salope tu es devenue ! Enlève ta petite culotte.
Bingo, le camion que nous avons doublé arrive et se gare sur le parking camion, pas loin de nous. Je vois le chauffeur descendre de sa cabine. Il me fait un signe. Je lui réponds en lui indiquant de la main de s’approcher.
- Ta queue approche ma chérie. - Ohhhh, je ne sais pas si je suis prête. Je suis tellement excitée mais en même temps, j’ai peur de me livrer à un inconnu.
- Tu n’as rien à craindre. Viens sortons, on va aller de ce côté dans le petit bois.
- Sonia referme sa robe sans la reboutonner en la tenant avec ses mains. On s’enfonce dans le bois, histoire d’être tranquille.
- Mets tes mains sur cet arbre, écarte les cuisses. Bien …. Comme çà. Tends ton cul ma salope.
Sonia dans cette position est presque nue, elle ne retient plus les deux pans de la robe déboutonnée. Sa robe ne cache plus que son dos et son cul. Ses seins pendent à l’air libre et ils sont attirants.
Le camionneur s’approche.
- Bien le Bonjour, m’sieur, m’dame. - Bonjour. - La dame est bien appétissante pour ce que j’en ai vu et ce que je vois. - Elle est aussi gourmande. Ça vous dirait de la sauter contre l’arbre. - Oh que oui, si vous en êtes d’accord. J’ai pas baisé depuis une semaine.
Dans sa position, Sonia ne peut pas voir le camionneur. Je m’approche d’elle et lève sa robe pour offrir son cul à la vue du camionneur. •
- Ce cul vous plaît ?
- Clair qu’il me plait. - Et cette chatte que vous apercevez ? - Oh oui !
- Une bonne chatte de pute ! Il est à vous ce sac à foutre ! Sortez votre queue, équipez-vous et vous avez l’autorisation de la tringler. Une seule règle, il faudra juter votre sperme sur son bon cul de salope.
En disant cela, je claque les fesses de ma belle Sonia. J’écarte ses fesses de manière impudique pour que le chauffeur puisse apprécier pleinement ses deux trous.
- Bien Monsieur.
La camionneur sort sa queue, de taille normale mais très épaisse et surtout un gros gland presque surdimensionné par rapport au reste de sa queue. Sonia va bien le sentir passer. Le chauffeur enfile sa capote, s’approche de Sonia, une main sur une hanche, l’autre main sur le sein droit de Sonia. Je place ma main sur le cou de Sonia.
- Tranquille ma belle. Tu vas être un bon garage à bite. Le monsieur va utiliser ton trou de chatte pour se vider les couilles. Il en a besoin. Et s’il va trop vite vu qu’il ne s’est pas vidé les couilles depuis une semaine, je te finirais aux doigts - Eh ! La dame, on ne la prépare pas ? - Non, croyez moi, elle est prête. Regardez ça, elle a déjà de la mouille plein les cuisses. - Alors, ok.
Sur ces mots, le camionneur prend sa queue d’une main et force l’entrée de la fente de Sonia. Sonia pousse un soupir presque de soulagement. Elle avait vraiment faim d’une queue.Le camionneur la tringle avec beaucoup de vigueur. Sonia pousse des petits cris.
- Oh ah, oui, c’est trop bon, défoncez moi la chatte.
Il faut peu de temps pour que Sonia se mette à hurler de plaisir. Elle est prise d’un long orgasme. Le camionneur se retire, enlève sa capote, appuie fort sur sa queue. Un jet abondant sort de sa verge pour finir sur le cul et le bas du dos de Sonia. Il pousse son gland sur les fesses de Sonia et s’essuie la queue.
Quelques minutes pour récupérer, Sonia est toujours appuyée contre l’arbre, elle ne s'est pas retournée pendant tout ce temps.
- Un grand merci à vous deux. La dame a un trou bien accueillant ! Je vous dois quelque chose ? - Non, ce coup ci, c’est pour moi !
- C’est gentil. Je vous laisse alors.
Le camionneur s’éloigne, remonte dans son camion et reprend son voyage.
Je me mets derrière Sonia. Je place ma main sur son visage, lui bâillonnant la bouche. Je sors ma queue et je me branle. Compte tenu de mon excitation, quelques allers-retours suffisent pour que je gicle sur elle.
Délicatement, j’essuie le dos et les fesses de ma belle.
- Tu as eu ton compte ? - Oui … ça m’a épuisée. Je suis devenue une vraie salope. Ce que tu me fais faire ! - Oui une grosse salope. D’ailleurs, je ne sais pas si je dois t’appeler Sonia ou simplement la grosse salope. - Disons que pour ce week-end, c’est à toi de voir. - Ah bah ok. Dans ce cas, viens la grosse salope. On a encore de la route.
Cette expérience n’est que le début d’un week-end qui sera riche en sexe !
Samedi matin, nous partons tôt. Nous avons quelques heures de route. J’ai demandé à Sonia de s’habiller d’une robe légère mi-cuisse, boutonnable en entier sur le devant. En dessous, j'ai exigé qu’elle mette juste une petite culotte blanche en coton et pas de soutien-gorge. Je veux que ses gros seins de femme mature soient libres.
Nous commençons notre voyage. Sonia est détendue. Elle ouvre d’elle-même les premiers boutons de sa robe me permettant d’apercevoir ses belles mamelles bien denses.
- Tu te rends compte de toutes les nouvelles expériences sexuelles que tu as vécues en quelques mois, depuis qu'on se connaît ? - Oh oui, beaucoup plus qu’en plusieurs années avec les autres hommes que j'ai connus.
- Tu es devenu une vraie salope ! • - Oh que oui je suis consciente qu'avec toi je suis une salope maintenant. C’est vrai que j’ai attendu longtemps avant de le devenir. - Tu t’es révélée ! La salope a toujours été en toi !
- Je sais, je m'en rends compte.
- Suis-je assez salope pour toi ? - Oui mais ton éducation n’est pas finie. Tu as encore pleins d’expériences à vivre. Tu es déjà très obéissante et une vraie jouisseuse mais cela ne me suffit pas. - Hummmm, j’ai hâte que tu poursuives mon éducation.
En disant cela, Sonia passa sa main dans sa robe, touche sa poitrine, se caressant les seins.
- Tu es excitée on dirait ? - Oui, c'est grâce au week-end à venir, à nos discussions ! - Mais on a baisé 3 heures durant hier soir !
- Tu n’es pas rassasiée ? - Ce week-end avec toi, je suis bien. J’ai de nouveau envie ! • - Envie de te faire baiser ? - Oui ! - Il va falloir être patiente !
- Je peux me caresser ?
- Oui tu as la permission. Déboutonne plus ta robe. Sors tes mamelles. - Hummm, comme ça ?
- Oui comme ça ! Imagine tous ces hommes en voiture qui posent leur regard sur tes seins. Je suis certain qu’ils n’ont pas souvent l’occasion de voir de si beaux gros nichons.
- Hummm, je sens que ma chatte est toute humide.
- Laisse ta chatte tranquille pour l’instant ! Joue avec tes seins. Oui comme ça ! T’es quand même une belle pute ma chérie !
Sonia à ouvert tous les boutons du haut de sa robe, elle a écarté le deux pans. Ses mamelles sont apparentes en entier. Elle joue avec ses tétons, les pince, les étire. Je vois aussi qu' elle se pince les lèvres. Je sens que le feu monte dans son bas-ventre. De mon coté, j’ai déjà la queue bien raide dans mon pantalon léger Je commence à m’imaginer que des hommes la matent, que tous ces camionneurs quand je les double, peuvent reluquer les nichons de ma salope à travers le toit vitré de ma voiture. Mon esprit se met à fantasmer. J’imagine déjà Sonia se faire baiser par un groupe de camionneurs, dehors sur l’herbe.
C’est décidé, je me mets à la recherche d’un camionneur. Le premier qui me fait signe qu’il a vu et apprécié le spectacle aura le droit de me suivre sur la prochaine aire d’autoroute.Je n’ai pas longtemps à attendre. Alors que je suis en train de doubler un 38 tonnes à faible allure, j’ai droit à un coup de klaxon. •
- Pourquoi il klaxonne lui ?
- Je crois qu’il apprécie de voir une belle salope se toucher les seins.
- Non ! C’est pour ça que tu as ralenti. Tu veux que je me fasse reluquer.
- Oui et plus encore. Je m’arrête à la prochaine aire et si par chance, il nous suit, tu vas devoir être bien obéissante ! Tu vas te faire sauter par un camionneur.
- Oh non ! Tu es complètement fou ! Mais ça m’excite ! Je suis complètement folle … de toi et de ce que tu me fais faire. - Prochaine aire dans 1000 mètres. Tu es prête à te prendre une bite ? - J’ai faim. Ma chatte me réclame d’être calmée par une queue, la tienne ou une autre..
Je mets mon clignotant. Je roule toujours à faible allure. J’espère que le routier aura compris. Nous arrivons sur l’aire de repos. Il y a trois camions garés avec les rideaux fermés, ce qui montre que ces routiers n’ont pas fini leur nuit. Je me gare. Sonia est toujours en train de se caresser les seins. J’ouvre complètement sa robe en déboutonnant tout le bas. Sonia écarte les cuisses. Je peux voir que sa petite culotte est trempée.
- Tu coules de la chatte, ma chérie. - Oui, oui et c'est si bon. - Quelle salope tu es devenue ! Enlève ta petite culotte.
Bingo, le camion que nous avons doublé arrive et se gare sur le parking camion, pas loin de nous. Je vois le chauffeur descendre de sa cabine. Il me fait un signe. Je lui réponds en lui indiquant de la main de s’approcher.
- Ta queue approche ma chérie. - Ohhhh, je ne sais pas si je suis prête. Je suis tellement excitée mais en même temps, j’ai peur de me livrer à un inconnu.
- Tu n’as rien à craindre. Viens sortons, on va aller de ce côté dans le petit bois.
- Sonia referme sa robe sans la reboutonner en la tenant avec ses mains. On s’enfonce dans le bois, histoire d’être tranquille.
- Mets tes mains sur cet arbre, écarte les cuisses. Bien …. Comme çà. Tends ton cul ma salope.
Sonia dans cette position est presque nue, elle ne retient plus les deux pans de la robe déboutonnée. Sa robe ne cache plus que son dos et son cul. Ses seins pendent à l’air libre et ils sont attirants.
Le camionneur s’approche.
- Bien le Bonjour, m’sieur, m’dame. - Bonjour. - La dame est bien appétissante pour ce que j’en ai vu et ce que je vois. - Elle est aussi gourmande. Ça vous dirait de la sauter contre l’arbre. - Oh que oui, si vous en êtes d’accord. J’ai pas baisé depuis une semaine.
Dans sa position, Sonia ne peut pas voir le camionneur. Je m’approche d’elle et lève sa robe pour offrir son cul à la vue du camionneur. •
- Ce cul vous plaît ?
- Clair qu’il me plait. - Et cette chatte que vous apercevez ? - Oh oui !
- Une bonne chatte de pute ! Il est à vous ce sac à foutre ! Sortez votre queue, équipez-vous et vous avez l’autorisation de la tringler. Une seule règle, il faudra juter votre sperme sur son bon cul de salope.
En disant cela, je claque les fesses de ma belle Sonia. J’écarte ses fesses de manière impudique pour que le chauffeur puisse apprécier pleinement ses deux trous.
- Bien Monsieur.
La camionneur sort sa queue, de taille normale mais très épaisse et surtout un gros gland presque surdimensionné par rapport au reste de sa queue. Sonia va bien le sentir passer. Le chauffeur enfile sa capote, s’approche de Sonia, une main sur une hanche, l’autre main sur le sein droit de Sonia. Je place ma main sur le cou de Sonia.
- Tranquille ma belle. Tu vas être un bon garage à bite. Le monsieur va utiliser ton trou de chatte pour se vider les couilles. Il en a besoin. Et s’il va trop vite vu qu’il ne s’est pas vidé les couilles depuis une semaine, je te finirais aux doigts - Eh ! La dame, on ne la prépare pas ? - Non, croyez moi, elle est prête. Regardez ça, elle a déjà de la mouille plein les cuisses. - Alors, ok.
Sur ces mots, le camionneur prend sa queue d’une main et force l’entrée de la fente de Sonia. Sonia pousse un soupir presque de soulagement. Elle avait vraiment faim d’une queue.Le camionneur la tringle avec beaucoup de vigueur. Sonia pousse des petits cris.
- Oh ah, oui, c’est trop bon, défoncez moi la chatte.
Il faut peu de temps pour que Sonia se mette à hurler de plaisir. Elle est prise d’un long orgasme. Le camionneur se retire, enlève sa capote, appuie fort sur sa queue. Un jet abondant sort de sa verge pour finir sur le cul et le bas du dos de Sonia. Il pousse son gland sur les fesses de Sonia et s’essuie la queue.
Quelques minutes pour récupérer, Sonia est toujours appuyée contre l’arbre, elle ne s'est pas retournée pendant tout ce temps.
- Un grand merci à vous deux. La dame a un trou bien accueillant ! Je vous dois quelque chose ? - Non, ce coup ci, c’est pour moi !
- C’est gentil. Je vous laisse alors.
Le camionneur s’éloigne, remonte dans son camion et reprend son voyage.
Je me mets derrière Sonia. Je place ma main sur son visage, lui bâillonnant la bouche. Je sors ma queue et je me branle. Compte tenu de mon excitation, quelques allers-retours suffisent pour que je gicle sur elle.
Délicatement, j’essuie le dos et les fesses de ma belle.
- Tu as eu ton compte ? - Oui … ça m’a épuisée. Je suis devenue une vraie salope. Ce que tu me fais faire ! - Oui une grosse salope. D’ailleurs, je ne sais pas si je dois t’appeler Sonia ou simplement la grosse salope. - Disons que pour ce week-end, c’est à toi de voir. - Ah bah ok. Dans ce cas, viens la grosse salope. On a encore de la route.
Cette expérience n’est que le début d’un week-end qui sera riche en sexe !
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