Sonia, Philippe et moi - Sonia goûte à la pluralité - histoire érotique

J’étais installé maintenant depuis 1 mois dans ma nouvelle région, dans ma nouvelle maison.
Nous avions prévu avec Philippe, un ami de longue date, qu’il vienne passer un long week-end de plusieurs jours chez moi.
Philippe est un homme dans la cinquantaine naissante. Il est grand, 1m90, cheveux grisonnants, yeux bleus, de belle allure.
Il sort d’une période difficile suite à son troisième divorce mais  il a repris la forme depuis quelques mois, ses soucis sont derrière lui. Il  est un homme à femme, très porté sur le sexe, incapable de rester fidèle si sa compagne ne lui apporte pas une sexualité satisfaisante. Je ne compte plus les maîtresses qu’il a pu avoir parfois, plusieurs en même temps, selon ce qu'il me raconte car je suis souvent son confident.

Philippe arrive le jeudi à la maison. Évidemment, je lui avais déjà parlé de Sonia, ma nouvelle maîtresse et de notre sexualité.Bien que très sensuel, Philippe a toujours été très respectueux de mes différentes compagnes que j’ai pu lui présenter, même s’il ne me cachait pas que pour certaines, c’est notre amitié qui lui interdisait d’essayer quelque chose pour les séduire. Dans sa philosophie, le sexe est un sujet comme un autre et il n’hésite jamais à faire glisser les conversations vers ce thème.

Sonia savait que j'allais héberger chez moi mon ami Philippe pour quelques jours et c'est elle qui avait proposé de nous inviter à manger chez elle. Nous avions donc prévu de dîner chez Sonia le samedi soir pour faire les présentations.

Avant cette invitation, la veille, j'avais abandonné Philippe, le vendredi soir pour passer la nuit avec Sonia. Ça a été l’occasion de demander de lui demander de façon toute innocente comment elle s’habillerait pour le dîner de samedi. 
- Sexy, évidemment. Qu’est ce qui te plairait ? - Que Philippe puisse admirer ta beauté, les courbes de ton corps.  - Ah oui … tu m’intéresses ! Mais précise, quel vêtement alors ?
-  Ton mini-short blanc et en haut, quelque chose d'ample, d'échancrée sous les bras et serrée à la taille. - Ah oui, échancré sous les bras, comme ça Philippe pourra admirer mon soutien-gorge !
- Non, tu porteras ce haut sans soutien-gorge.
- Tu veux qu’il puisse voir mes seins ??? - Oui, les apercevoir et plus si affinités … - Coquin, tu ne changeras donc jamais ! Mais l’idée me plaît. Et la petite culotte sous le short, sexy ou coton blanc ?
- Non, pas de petite culotte. - Mais c'est pas possible…. et si durant la soirée je suis  excitée ? - Et alors où est le problème, c’est ce que je veux. - Mais je vais mouiller et ça va tacher mon short à l'entre-jambe et cela va se voir !
- Eh alors ! Il verra que tu es une femme bien cochonne. - Oh toi, tu as une idée derrière la tête ? - Oui, tout de suite, te sauter et pour demain, on verra bien.

La nuit fut une nouvelle fois fabuleuse et je quittais Sonia en cours de matinée, la laissant seule afin qu'elle prépare la soirée et qu'elle se prépare.

Le lendemain, on se présente chez elle à 18 heures.  Nous sommes habillés en mode détente, pantalon en toile et chemise en lin, bleue pour moi et beige pour Philippe.
Sonia vient nous ouvrir. Elle est sublime et habillée comme souhaité : escarpins, jambes nues, short très court avec un tissu fin, et un haut flou, vaporeux, décolleté mais surtout très échancré sous les bras, comme un "marcel" d'homme.
Je jette un œil à son entre-jambe et je peux apercevoir la forme de ses lèvres. Bingo, elle a osé ne pas mettre de petite culotte.

Nous entrons, je fais les présentations. Philippe est charmant comme à son habitude, un peu dragueur comme toujours. - Enchanté Sonia. Eh bien, David ne m’avait pas menti. Quelle élégance, quelle classe, quelle beauté.

Sonia rougit. Elle se reprend et nous entraîne au salon. On s'assied.Elle nous sert l’apéritif. Et à certains de ses mouvements, la vue sur ses mamelles nues, par l'échancrure sous les bras, est sublime.La conversation se déroule agréablement, les présentations sont faites. Philippe complimente Sonia sur sa personne, sa maison. Sonia est assise tout contre moi, dans le canapé, en face de Philippe. Ses tétons qui pointent sous le vêtement sont visibles.

La soirée continue à se dérouler. Nous passons à table et Sonia, en maîtresse de maison, assure le service. Philippe et moi-même, lui proposons de l’aider mais elle refuse. Je crois surtout qu’elle ne veut louper aucune occasion de se montrer sexy, de nous provoquer en se déplaçant, en se penchant, en levant les bras..
Je l’observe et je peux voir que ses mouvements ne cache rien de sa poitrine. Ses déplacement font que ses seins ballottent, on peut aussi deviner que sa poitrine est forte et sur les côtés la vue est dégagée sur ses nichons denses et lourds.
Philippe engage la discussion vers son sujet préféré, le sexe.

- Dis moi, Sonia, mon copain m’a dit que tu avais un joli corps mais je crois que c’est plus que ça.

Je ne suis pas étonné de l’audace de Philippe. Sonia est un peu plus surprise bien que je l’ai prévenue que Philippe est un homme à femmes.Elle rougit à ce compliment. - Ah oui, je te remercie.
- Ta tenue est très sexy et ne cache pas grand chose, elle suggère bien, je te félicite pour ce choix. David ne doit pas s’ennuyer avec de si beaux seins ! • - Je …je..... oui …. Mais que veux tu dire ??? - Eh bien, j’ai pu deviner ta poitrine, même apercevoir tes seins. J’apprécie tes 'lolos"  lourds ! - Je ….. eh bien, Merci. - Tes jambes, aussi …. Si tu étais ma compagne, je te ferais l’amour matin, midi et soir. - Ah oui, carrément. Tu as l’air très gourmand. - Oui, oui je le suis. - Dis moi ma belle, on pourrait passer au dessert dis-je- Si si bien sûr.
- Sonia se lève et s’approche de Philippe pour prendre son assiette. Je peux voir qu’elle fait des mouvements amples. Elle ne loupe pas l’occasion d’offrir ses seins, à notre regard, par le décolleté ou par les échancrures. Elle s’approche de moi pour me débarrasser. Je glisse ma main entre ses cuisses et lui serra la cuisse droite, tout en continuant de parler à Philippe. Elle reste debout comme figée, offerte. Je remonte ma main et passe sous son mini-short qui est ample au niveau des cuisses. Philippe ne perd pas une miette de la scène. - C’est vrai, Philippe. Tu as raison, elle est sublime ma Sonia- Et moi aussi, j’ai la chance de lui faire l’amour souvent.

Mes doigts glissent sous le short et j’effleure les lèvres lisses de la chatte de Sonia. Elle est trempée. Je m’aperçois que le tissu de son mini-short est mouillée. Philippe s’en est aperçu aussi. - Tu mouilles Sonia. Tu es si excitée ? dit Philippe - Euh oui dit Sonia, en posant son regard sur son entre-jambe. Mais c’est de votre faute à tous les deux avec vos compliments, vos provocations, vos remarques. - Dis-moi, ma chérie, tu nous ferais le service spécial pour le dessert ? - Euh, tu crois ? - Oui, j’ai envie de faire plaisir à Philippe. - C’est toi qui décide. - Oui partons sur le service spécial. - Alors, il va falloir patienter un peu. - Pas de souci, on va passer au salon et boire un verre en t’attendant.

Un quart d’heure passe, pendant lequel, Philippe me pose mille questions sur Sonia et sa sexualité. Je peux voir son excitation montée. Il m’interroge sur ce « service spécial ». Je lui dis d’être patient.

Sonia apparaît en bas des escaliers. Elle est vêtue d’un unique porte-jarretelles blanc qui lui donne comme un écrin autour de sa jolie fente toute lisse. Ses seins sont libres, resplendissants, toujours ses belles mamelles bien lourdes. Elle porte des talons. Elle file à la cuisine et revient avec le dessert.

Arrivée au salon, je lui prends le dessert des mains, le pose sur la table, prends Sonia par la taille et la fait tourner. Philippe peut voir son cul superbe.

- Pouahhhh, si je m’attendais à cà. Quelle belle femme. J’ai la queue toute raide.
- Eh oui … elle est belle ma salope. Tu veux qu’elle s’approche ?
- Ah oui.
- Vas ma belle, devant Philippe, Jambes écartées, dos bien droit.
- Je peux toucher ou j’ai juste le droit de regarder.
- Euh non, tu peux toucher.
- Hummmm. Approche toi, je veux toucher cette fente lisse.

Philippe passe sa main entre les cuisses de Sonia, la caresse délicatement, entrouvre ses lèvres, frotte son clitoris.

- Tu es trempée…. Hummmm. Tu as envie de te faire sauter ?
- Eh bien, je crois que je suis à vous deux. Vous pouvez faire ce que vous voulez.

Philippe écarte les lèvres de Sonia et la pénètre avec deux doigts. Il branle Sonia debout. Elle gémit, se repositionne, écarte encore plus les jambes de manière à faciliter la pénétration des doigts de Philippe.

- J’ai trop envie de te fouiller. Viens t’assoir sur moi.

Philippe tire Sonia sur ses genoux, lui tire les épaules vers lui. Il caresse sa chatte. D’où je suis, je peux voir que ma belle Sonia a mis son rosebud. Je me lève, m’approche d’eux
- Allonge-toi mieux sur Philippe. Philippe, attrape ses cuisses, écarte les.

Sonia est pratiquement allongée sur Philippe, les jambes relevées. Dans cette position, j’ai accès à son rosebud. Je l’attrape, tire dessus, je vois son cul s’ouvrir, je relâche le rosebud, je le fais tourner. Sonia Gémit.

- Lève toi ma belle, mets tes mains sur mes épaules, cambre un peu, écarte les cuisses.

De mes mains, j’écarte les fesses de Sonia montrant à Philippe, le rosebud planté dans le cul de Sonia.

- Waouuuh, superbe. Mais quelle belle salope !
- Oui, c’etait pas prévu. Mais j’ai l’impression que ma salope a voulu se préparer le cul.
- Tu crois qu’elle a envie de se faire enculer ?
- Tu as envie, ma belle salope ?
- J’ai envie d’être votre chose. Faites moi tout ce que vous voulez.
- Bien, je vais aller m’assoir. Toi, tu vas te mettre à 4 pattes et montrer à Philippe, comment tu peux être une bonne femelle. Tu vas venir à moi en ondulant bien du cul. Je veux que tu me suces pendant que tu vas offrir tes deux trous à Philippe.

Je m’assois et Sonia, en bonne femelle excitée, me rejoint à 4 pattes. Je baisse mon pantalon, sort ma queue et présente mon gland à la bouche de Sonia. Elle attrape ma queue et l’engloutit. Je glisse ma main sur une de ses mamelles, ses tétons sont durs, longs. Je lui attrape un téton et commence à le travailler. Sonia gémit.

Philippe s’est levé et sort sa queue. Il est épilé. Je découvre sa queue pour la première fois. Elle est plus longue que la mienne mais moins épaisse.

Philippe s’approche, se plie sur ses genoux, enlève délicatement le rosebud de Sonia. Il peut voir que Sonia s’est lubrifié le cul. Il présente son gland à l’entrée du trou du cul de Sonia. En sentant la queue de Philippe, elle se cambre, offrant de la meilleure des manières son anus et elle redouble d’efforts sur ma queue, la gobant, la léchant, la branlant.

Philippe pousse et rentre délicatement sa queue jusqu’au fond du cul de Sonia.

- Je vais te faire jouir par le cul, Sonia.
- Oui baise lui fort le cul, elle adore.
- Quelle Salope …..
- Oui traite là de tous les noms, elle adore çà ma femelle !
- Hummm, tu sens le va et vient de ma queue dans ton cul, salope.

Sonia ne répond que par des gémissements. Je continue à lui travailler le téton, lui tire dessus, attrape sa mamelle, la malaxe. Je sais qu’elle aime qu’on lui travaille ses gros nichons.

- Oh la bonne putain, elle bouge bien son cul. C’est une bonne grosse pute que tu as là, David. Je vais te défoncer le cul. Ma parole, j’ai les couilles trempées. Tu coules Salope !
- Oui, elle est fontaine.
- J’ai envie de lui claquer le cul.
- Te gêne pas ….avec délicatesse bien sur.

Philippe administre des claques sur sur le cul de Sonia.

- C’est un bon cul de grosse salope qu’elle a, ta putain.

Sonia est prise de spasme. Elle jouit tout en enfonçant loin ma queue dans sa bouche. Philippe ne se retient pas et crache dans son cul.

Je ressors ma queue et un long jet vient atterrir sur le visage de Sonia.

On se relâche tous. Philippe et Sonia, allongés par terre et moi, affalé dans le fauteuil.

Sonia se relève et nous administre un baiser à Philippe et moi-même.

- Je file à la douche. Merci pour cet instant magique.
- On te rejoint.

Nous avons pris une douche à trois, puis avons naturellement rejoint le lit tous les trois.

Il s’en est suivi une nuit torride, que je vous raconterais une fois prochaine.