Sophie

- Par l'auteur HDS GERACHE -
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sophie Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Sophie
Le fils de Sophie.
Première partie : Sophie
J’avais fait la connaissance de Sophie au cours d’une mission de suivi de formation d’un groupe de formateurs que mon institution avait envoyé à Paris pour un stage de trois mois. J’avais déjà fait une première mission auprès de l’organisme de formation permanente chargé de l’organisation du stage, pour vérifier les conditions d’hébergement et de restauration des seize futurs formateurs (huit garçons, huit filles). Cette mission n’avait duré que deux jours avec un emploi du temps démentiel, qui ne permettait aucun écart.
Au cours de cette première mission, Sophie était déjà là. Je n’avais fait que l’entrevoir, assise à son bureau, et avait déjà remarqué la très forte sensualité qui se dégageait d’elle. Elle était blonde, avec une chevelure abondante et volumineuse, savamment bouclée. Elle semblait avoir environ quarante cinq ans. Je lui avais été présenté et avait pu admirer le corps plantureux et provocant de la dame. Elle avait une poitrine aux dimensions impressionnantes, avec des seins tellement tendus vers l’avant que j’avais l’impression qu’ils allaient, d’un moment à l’autre, faire exploser le soutien gorge et le haut de la robe qui les enserraient. J’avais aussi remarqué sa taille de guêpe, ses hanches larges, son fessier rond et proéminent ainsi que ses longues jambes qui apparaissaient au dessous de la robe qui s’arrêtait à mi-cuisse. Entre les jambes et les cuisses de magnifiques genoux ronds et brillants, à la sensualité torride. Elle était maquillée de manière discrète, soulignant le contour de ses grands yeux bleus et surtout de son immense bouche aux lèvres lippues et rouges, véritable piège à fantasmes. Une véritable bombe sexuelle ! avais-je alors pensé. Mais notre relation n’avait pas été plus loin.
A ma deuxième mission qui devait durer toute une semaine, la direction de l’organisme de formation avait chargé Sophie d’être mon guide permanent. Elle travaillait en effet comme responsable de l’accueil au sein de la société et, c’était elle qui prenait en charge les clients importants. Je faisais partie de cette catégorie de clients. Sophie vint m’accueillir à l’aéroport d’Orly Sud et m’emmena directement au centre de formation dans lequel se trouvaient mes seize apprentis formateurs. En cours de route, je pus admirer la beauté et la sensualité de la dame qui conduisait elle-même la voiture de sa société. C’était vraiment une belle plante ! Toutes les vilaines pensées que j’avais eues - et refoulées - à notre première rencontre, me sont revenues à l’esprit. Surtout que cette fois-ci, j’avais une vue, certes un peu biaisée mais splendide, du haut de ses cuisses blanches, lisses et luisantes que la position assise et le jeu de ses jambes sur les pédales dénudaient jusqu’à la limite de sa petite culotte en soie noire.
Je sentais monter en moi le désir de poser ma main sur ses cuisses pour tester leur douceur et leur fermeté et surtout pour aller à la rencontre de son entrecuisse que cachait la petite culotte noire. Je faisais un effort surhumain pour me retenir et ne pas paraître goujat. Je savais qu’elle se rendait compte de l’émoi qu’elle suscitait en moi. Elle jetait en effet de temps en temps un regard de côté pour surveiller l’effet que la vue de ses superbes cuisses faisait sur moi. Elle avait sur les lèvres un sourire qui me paraissait ironique et moqueur. C’était comme si elle me demandait : - Qu’est-ce que tu attends pour fourrer ta main sous ma robe ?
Pourtant je ne tentai rien. Je restai parfaitement sage. Mais je ne pouvais empêcher mon imagination divaguer et mes sens s’enflammer. J’étais très excité et mon sexe avait atteint des dimensions monumentales et, bien qu’il était enserré dans le slip et le pantalon, il faisait une grosse bosse au niveau de la braguette. J’étais très mal à l’aise; j’avais envie de libérer l’engin de sa prison en tissu. Ce fut elle qui mit fin à mes tourments et débloqua la situation en mettant sa main sur le devant du pantalon pour palper le membre, tester sa grosseur et surtout sa dureté.
- Eh bien, mon salaud ! Tu es membré comme un âne ! Tu me montres ?
J’étais un peu estomaqué par sa façon directe d’y aller; par son langage sans tabous. Mais mon Dieu, que sa main était experte et douce ! Elle caressait très légèrement, puis palpait plus fermement le membre sous le tissu. Tout mon corps était tendu comme un arc sous cette main qui se promenait sur le devant de mon pantalon, produisant des espèces de chocs électriques douloureux et agréables en même temps. N’y tenant plus, je pris sa main pour l’appuyer plus fortement sur le sexe et lui faire faire des mouvements de masturbation. Elle continuait à conduire lentement tout en souriant de toutes ses dents. Elle était contente de l’effet qu’elle produisait sur moi.
- Ça te plait ! N’est-ce pas ? Dommage que je ne puisse pas arrêter la voiture pour passer à des choses sérieuses! Ce sera pour plus tard ! Mais fais-moi plaisir ! Sors-le pour que je le mate et continue à le caresser. Je suis sûre qu’il est immense !
J’obéis en lui retirant sa main, dégrafant la ceinture, déboutonnant le pantalon et ouvrant totalement la braguette. Je sortis le monstre qui se détendit à l’extérieur. Il était tendu comme un mât de tente et dur comme de la pierre. Il avait atteint une taille exceptionnelle ! Je repris sa main droite pour la poser sur lui et la laissa faire. Tout en conduisant lentement de la main gauche, elle s’était mise à me caresser et à me masturber de sa main droite, avec un savoir-faire qui supposait des années de pratique. J’étais aux anges ! Comme j’étais circoncis, elle savait qu’elle devait mouiller sa main pour la faire glisser plus facilement sur le membre et lui donner la sensation d’un vagin doux et bien lubrifié. Elle cracha plusieurs fois dans sa main et utilisa sa salive comme lubrifiant. Elle me branla avec vigueur, serrant et desserrant ses doigts, les faisant monter et descendre et enroulant à chaque fois le gland qu’elle savait être l’endroit le plus excitable et le plus sensible. De temps en temps, elle jetait un coup d’œil vers moi, pour voir l’effet qu’elle me faisait. Elle m’envoyait un sourire moqueur, comme pour me dire que j’étais à sa merci et qu’elle avait le pouvoir soit de me faire jouir comme un fou, soit de tout arrêter et me laisser le bec dans l’eau.
- Je continue ?
- Oui ! C’est trop bon ! N’arrête pas, s’il te plait ! N’arrête pas !
Et elle continua en accélérant le rythme, jusqu’au moment, où n’en pouvant plus, je me mis à crier que j’allais jouir; que j’allais éjaculer. Et en poussant un long râle de jouissance, je lâchai plusieurs giclées de sperme épais, gluant et brûlant qui allèrent s’écraser à la droite du tableau de bord. Elle continua le mouvement de va-et-vient de sa main, jusqu’à ce que mon membre devint tout flasque. Elle enleva sa main de mon sexe et la porta à sa bouche, en me lançant un regard moqueur et provocateur. Elle sortit sa langue et se mit à lécher ce qui restait de sperme sur ses doigts.
- C’est bon ! La prochaine fois, c’est dans ma bouche qu tu éjaculeras ! J’adore boire le sperme des hommes ! Tu promets !
- Mille fois oui ! Je promets !
Nous arrivâmes environ un quart d’heure plus tard au centre de formation dans lequel se trouvaient les seize apprentis formateurs. Il devait être environ quinze heures. Je fis une réunion avec eux pour prendre connaissance de l’état d’avancement de leur formation, des problèmes pédagogiques et matériels qu’ils rencontraient, de leurs avis sur le déroulement du stage, etc… Nous prîmes rendez-vous pour le lendemain matin pour que je puisse aller visiter avec eux une entreprise de transport qu’ils devaient diagnostiquer, pour appliquer les outils d’analyse qu’ils venaient d’acquérir. Nous nous séparâmes et Sophie et moi reprîmes la voiture pour rentrer à l’hôtel à Paris où une chambre m’avait été réservée. J’appris par la même occasion que Sophie avait réservé une deuxième chambre à son nom. Elle demanda sa clé, pour, dit-elle, aller se refaire une beauté. Elle me fixa rendez-vous, une demi-heure plus tard dans le salon de l’hôtel.
Quand je redescendis, après m’être débarbouillé et changé, je retrouvais Sophie qui m’attendait debout à l’entrée du salon. Elle s’était changée et portait maintenant une robe bleue qui lui arrivait juste au dessus des genoux, avec, un haut bien ajusté à sa taille de guêpe et à sa poitrine arrogante et un bas plissé et flottant. Avec cette robe, elle pouvait faire de grands pas qui moulaient ses superbes cuisses longues et galbées. Dans cette tenue, elle était encore plus provocante que dans celle qu’elle portait pendant la journée. Surtout qu’elle avait mis de mignons souliers à talons très hauts qui l’obligeaient à projeter en avant son immense poitrine et à cambrer ses fesses à l’image d’une superbe pouliche. Je lui dis qu’elle était vraiment bandante et que je n’avais plus envie d’aller manger. Je voulais la tirer ! Je voulais posséder ce superbe corps et lui faire plein de choses.
- J’ai réservé une table dans un petit restaurant du centre de Paris. Tu verras on y mange bien et l’endroit est très sympathique.
Ce n’était pas très loin. Nous y allâmes à pieds. Il était environ vingt heures trente quand nous arrivâmes dans le petit bar-restaurant qui donnait sur une grande avenue commerçante et passante. L’ambiance y était feutrée et sympathique, avec une légère musique de fond très agréable. L’endroit était vraiment propice à la discussion. Nous y fîmes un dîner épatant, arrosé d’un merveilleux vin du Midi. Et surtout, nous en profitâmes pour faire connaissance. Les évènements de la journée, entre la réunion avec les formateurs, l’épisode de la branlette dans la voiture, le retour silencieux vers Paris, ne nous avaient pas permis de discuter réellement et de faire connaissance. Elle m’apprit ainsi qu’elle venait d’avoir quarante cinq ans, qu’elle était divorcée depuis plus de dix ans et qu’elle élevait, seule, un fils de dix neuf ans.
- Enfin, un fils… ! Manière de parler !
Elle n’en dit pas plus sur ce sujet et passa à autre chose, me laissant avec ma curiosité non satisfaite. Elle me parla de son travail qui lui permettait de vivre à l’aise.
- Surtout, qu’il me permet de bien arrondir les fins de mois, quand comme cette semaine je suis chargé de la prise en charge de clients importants qui viennent pour négocier ou, comme toi, de contrôler le travail que l’organisme réalise. Je dispose d’un budget assez conséquent pour l’hôtellerie, la restauration et les excursions. Si le client repart satisfait, la Direction m’octroie alors une prime qui peut aller jusqu’à trois fois mon salaire mensuel.
- Tu sais qu’on appelle cela de la corruption !
- Oui et non ! Oui parce qu’effectivement, je peux aller jusqu’à acheter des cadeaux de valeur pour certains clients qui montrent un certain intérêt pour ça. J’ai toute latitude pour juger de l’opportunité et cela engage ma seule responsabilité. En cas de problèmes, la Direction refusera d’être impliquée. Il s’agira d’une initiative personnelle de la responsable de l’accueil. Jusqu’à maintenant tout s’est très bien passé. Quand j’ai pris la décision d’un cadeau de valeur, j’ai immédiatement eu un retour sur investissements, sous forme de signature d’un contrat, ou d’un rapport élogieux.
- Tu confirmes bel et bien qu’il s’agit d’actes de corruption !
- Oui, mais il s’agit de cas très rares. De cas qui jouent sur des montants de contrats exceptionnels. Le reste du temps, il s’agit simplement d’un accueil normal comprenant la prise en charge de l’hébergement, de la restauration et du transport. C’est la moindre des choses que peut faire un organisme comme le notre, vis-à-vis de ses clients. Et puis, le plus souvent, cette prise en charge est inscrite dans les contrats. Donc payées en final par les clients eux-mêmes !
- Il y a autre chose qui me chiffonne, dis-je. Ce qui s’est passé tout à l’heure sur la route, fait aussi partie de ta mission ?
- Oui et non ! Souvent, il m’est arrivé, quand l’homme me plait vraiment et que je suis en manque, d’ajouter un peu de piquant à ma mission. Avoue que c’est vraiment efficace comme traitement pour satisfaire un client ! Quel est le client qui, ayant fait l’amour avec moi, pourrait rentrer chez lui sans avoir signé le contrat pour lequel il a fait le déplacement, ou aurait rédigé un rapport négatif ? Je n’ai pas encore vu un seul cas. Sans me vanter, l’homme - mais il faut absolument qu’il me plaise - qui sort d’entre mes bras, n’a qu’une idée en tête, y revenir.
- Mais tu es entrain de décrire une vraie call-girl ! Une call-girl de grand luxe, mais une call-girl quand même ! Ce n’est pas très valorisant comme statut.
- Non il ne faut pas croire cela ! Je ne me donne pas aussi facilement ! Et je ne me vends pas du tout ! S’il m’arrive de faire l’amour avec des clients de la boîte, c’est avant tout en tant que femme ! Une femme qui aime le sexe ! Et toujours parce que l’homme me plait physiquement et par son comportement. J’aime les hommes beaux et virils ! Mais il faut aussi qu’ils soient intelligents, bien éduqués et galants. C’est surtout pour cela que j’ai flashé sur toi et me suis comportée de la sorte tantôt. Et puis avoue que tu en avais très envie !
- J’avoue ! Mais c’était aussi parce que tu avais tout fait pour m’exciter. La manière dont tu étais habillée et la mise en évidence de tous tes charmes, y compris tes cuisses et ton entrecuisse, étaient destinées à me faire bander. Personne de normal n’aurait pu rester de glace devant le spectacle que tu offrais.
- Ça t’a plu, la manière dont je t’ai fait jouir avec ma main ! Tu n’as pas idée de ce que je te réserve pour cette nuit ! Nous passons la nuit ensemble, n’est-ce pas ? J’ai réservé exprès deux chambres dans l’hôtel : une pour toi; tu as vu elle est grande et confortable; avec un immense lit ! L’autre plus petite, pour moi. C’est pour le cas d’un contrôle.
Nous terminâmes de dîner vers vingt-trois heures et rentrâmes, toujours à pied, bras dessus bras dessous, en continuant de parler de choses et d’autres. Elle marchait en collant le côté droit de ses hanches sur le côté gauche des miennes. Elle faisait exprès, sachant tout l’effet que le frottement et la chaleur qui se dégageait d’elle avaient sur mes sens. Elle voulait me chauffer à blanc, avant même que nous arrivions à l’hôtel. C’était gagné ! Je bandais comme un âne ! J’étais sûr que le réceptionniste de l’hôtel avait remarqué l’immense bosse que faisait le devant de mon pantalon ! Il n’était certainement pas dupe de la ruse des deux chambres. Il savait qu’il n’y en avait qu’une seule qui servira cette nuit, et les autres nuits, s’il y en aurait.
Nous prîmes l’ascenseur pour rejoindre ma chambre. Elle en profita pour coller tout son corps contre le mien pour, me dit-elle dans un souffle, « que tu sentes combien je suis en chaleur et que j’ai envie d’être tirée ! ». Il n’en fallut pas plus pour que je perde toute retenue et me mette à l’embrasser sur la bouche. L’ascenseur s’arrêta brusquement avant même que j’entame mon baiser torride qui était destiné à lui monter combien moi aussi, j’étais excité et combien j’avais envie d’elle. La porte de l’ascenseur s’ouvrit et nous tombâmes face à face avec une cliente de l’hôtel qui devait certainement descendre au bar. Elle nous lança un regard désapprobateur, pendant que nous nous hâtions de rejoindre ma chambre.
Je ne sais toujours pas qui de moi ou de Sophie avait ouvert la porte et qui sauta sur l’autre, dès que nous mîmes un pied dans la chambre. En un tour de main nous nous retrouvâmes tout nus. Je m’arrêtai un moment pour admirer le splendide corps de ma belle. Elle était exactement comme je l’avais imaginée sous ses habits : des formes parfaites, même si l’âge avait commencé à faire un peu son œuvre, en alourdissant son immense poitrine et en mettant un peu d’empâtement à sa taille. Mais mon Dieu qu’elle était belle et bandante !
- Tu es vraiment une superbe plante ! J’ai beaucoup de chance ! Viens vite dans mes bras, pour que je te prouve que je ne mens pas. Cette nuit, je t’avertis que je ne te laisserai pas dormir ! Je vais profiter de toi pour prendre un max de plaisir ! Et pour t’en donner autant !
- Je n’attends que cela ! Depuis que tu es arrivé tout à l’heure, depuis surtout que j’ai vu ton immense queue - et que je l’ai branlée - je ne pense qu’à ce moment où elle me fera jouir comme une folle. Car ce que tu ne sais pas, c’est que j’aime les gros sexes; ceux qui font mal quand ils me pénètrent de partout ! Alors viens vite me baiser ! Faisons des misères à ce grand lit !
Je la soulevai de par terre pour la jeter sur le lit – lequel, par bonheur ne grinçait pas – et plonger sur elle. Je me positionnais directement entre ses jambes, qu’elle avait ouvertes très largement pour me donner accès à sa superbe chatte. Une chatte soigneusement épilée, avec des grandes lèvres longues et bombées, de couleur mâte. Je posai sur elles les doigts de ma main droite pour les caresser et les écarter pour avoir accès à ses petites lèvres rouge vif, palpitantes et luisantes de mouille et à l’entrée, sombre et mystérieuse, du vagin. La chatte était déjà totalement mouillée, douce, chaude et visqueuse. J’approchai ma bouche pour entamer un cunnilingus que je voulais torride.
- Je vais te sucer ta chatte et te faire monter au ciel avec ma bouche ! Je suis sûre que tu adoreras !
- J’aurais préféré que tu me baises tout de suite ! Avec ta grosse queue ! C’est devenu mon fantasme depuis cet après-midi !
- Patience ma grande ! Chaque chose en son temps !
Sans tenir compte de son désir de se faire tirer immédiatement, je me mis à embrasser sa chatte, la lécher et la sucer. Je faisais entrer ma langue entre ses petites lèvres pour chercher son clitoris, le sucer et le mordiller. Je la faisais pénétrer dans son vagin pour le lécher, ramasser tout le jus que je pouvais et le boire avec délectation. La chatte de Sophie dégageait une petite odeur entêtante de musc qui avait sur moi un super effet aphrodisiaque. Au début, elle restait de marbre et ne bougeait pas ; puis petit à petit, elle sentait le plaisir s’insinuer en elle et se mit à bouger ses hanches au même rythme que celui que faisait ma bouche sur sa chatte. Elle me prenait la tête et appuyait sur elle pour tenter de l’enfoncer dans son vagin. Elle commençait même à pousser de petits gémissements, inaudibles au début mais qui devenaient de plus en plus sonores, à mesure que l’excitation et le plaisir l’envahissaient.
Je décidais de passer à la vitesse supérieure en incluant son anus dans la manœuvre. Je me mis à le lécher et à le mouiller pour pouvoir y faire pénétrer un doigt. Je sus très vite qu’un seul doigt était insuffisant, tant son cul était ouvert. C’étaient donc trois doigts que j’y fis pénétrer et que je fis tourner dans son boyau, tout en continuant à sucer et lécher sa chatte avec fureur. Elle adora immédiatement ce que je lui faisais. Elle me le montra en faisant monter et descendre ses hanches, avec une amplitude et une vitesse de plus en plus grandes. Ses gémissements se transformèrent en cris qu’elle poussait à chaque va-et-vient de mes doigts dans son cul. Ses mains obligeaient ma tête à accélérer les mouvements que faisait ma bouche sur sa chatte pour se mettre au diapason du rythme infernal de mes doigts dans son cul. A ses cris de plus en plus stridents et à sa respiration qui devenait courte et très rapide, je la sentais qui allait avoir une énorme jouissance. Quand elle arriva, avec la force et le rugissement d’un torrent en furie, elle déchargea, dans un énorme râle, que tous les clients de l’hôtel avaient dû entendre, des litres de jus que je ne pus boire en totalité. Une grande partie m’échappa et alla se répandre en dehors de sa chatte, sur le drap du lit.
- Je ne voulais pas que tu commences par me sucer ! Je voulais jouir avec ton zob ! Mais tu as bien fait de ne pas m’écouter ! Tu m’as fait connaître une sensation que je n’ai encore jamais eue ! Aucun homme n’a jamais réussi à me faire jouir comme cela rien qu’avec sa bouche et trois doigts ! J’y ai pris autant de plaisir que si tu m’avais baisée avec ton énorme queue !
- Je vais maintenant t’emmener au septième ciel avec mon gourdin ! Mais je ne sais pas encore ce que je préfère : t’enculer ou t’enconer. Je sais que tu t’es fait souvent enculer; ton anus est bien ouvert. Moi aussi j’adore enculer mes maîtresses ; cela me donne beaucoup de plaisir et, aussi et surtout, la sensation très agréable - et totalement machiste ! - de posséder complètement ma partenaire et d’en faire ma chienne. J’ai un côté pervers très développé ! Par ailleurs ta chatte, qui a aussi beaucoup servi, m’attire beaucoup. Alors, je vais te baiser en même temps par devant et par derrière ! Reste allongée comme cela sur le dos, écarte bien tes jambes et remonte les jusqu’à ta poitrine. Voilà comme cela ! Laisse-moi faire !
Elle resta comme cela, jambes pliées, très largement écartées et posées de part et d’autre de sa poitrine, présentant à mon énorme sexe dur comme de la pierre et dressé comme un étendard, en même temps sa chatte palpitante et la rondelle de son anus largement ouverte. Je présentai le gland fortement tuméfié de ma queue à l’entrée de son cul et sans même le lubrifier, d’un coup de rein brusque, je l’enfonçai dans son boyau. Elle poussa un tout petit cri de protestation, dû plus à la brutalité du geste qu’à une douleur réelle. Mon engin, malgré sa forte taille, pénétra en effet aisément dans l’anus et poursuivit facilement son chemin dans le rectum. D’une part le cul de Sophie était encore bien mouillé et d’autre part, il avait souvent accueilli des monstres aussi gros et longs que le mien. Mais même s’il avait beaucoup servi, il avait gardé son élasticité initiale et moulait merveilleusement mon manche, qui était aux anges dans cette tanière chaude, gluante et palpitante.
Visiblement Sophie adorait la sodomisation. Elle le montrait de manière ostentatoire en lançant un petit cri rauque à chaque fois que je la pénétrais profondément. Elle s’agrippait à mes hanches qu’elle tirait avec force pour que mon engin aille le plus profond possible dans son ventre. Elle avait les yeux qui brillaient en regardant le monstre entre et sortir de son cul. Elle criait, souriait aux anges et bavait en abondance. De temps en temps je me penchais sur sa bouche pour ramasser et boire un peu de cette salive qui coulait en abondance.
Au bout d’un moment, sentant qu’elle n’allait pas tarder à jouir, je sortis de son cul pour aller titiller les grandes lèvres de sa chatte, et pénétrer en force dans son vagin. Elle me lança un regard réprobateur de déception au moment où je quittai son cul, mais elle recommença très vite à sourire quand elle sentit toute la force de mon engin qui défonçait sa vulve et allait se nicher au fond de son vagin. Ce dernier aussi avait beaucoup servi : il était devenu immense à force d’avoir été limé par de gros sexes. Mon membre, lui-même de très bonne taille, y entrait et en sortait avec une très grande facilité : le vagin était large, bien mouillé, visqueux et chaud. L’engin en entrant et sortant déclenchait un très fort clapotis à l’intérieur. Le bruit et la forte sensation d’humidité décuplaient le plaisir que j’avais de la tirer comme cela en force. Elle aimait le frottement de ma queue sur les parois de son vagin et voulut accroître encore ses sensations en tirant de plus en plus fort et de plus en plus vite sur mes hanches pour la faire pénétrer très loin dans le tunnel et en faisant tourner ses hanches pour qu’aucune partie de son vagin ne soit épargnée. Elle se remit à pousser ses petits cris stridents qui accompagnaient chacune de mes pénétrations. Elle semblait aux anges; elle était en extase en regardant, avec des yeux brillants d’excitation, l’engin qui sortait totalement de sa chatte avant de réinvestir avec encore plus de force la forteresse.
- C’est beau ! C’est magnifique ! C’est bon ! Montre le moi encore ! Enfonce-le ! J’aime ce zob ! Je vais jouir !
- Non pas encore ! Attend encore un peu ! Tu jouiras beaucoup plus fort ! Je vais te reprendre par derrière !
Je sortis de son vagin. Elle me jeta un regard déçu. Puis se remit à me sourire à gémir, crier et tirer sur mes hanches, quand elle sentit mon manche qui avait réinvesti son cul.
- Tu vas me tuer de plaisir ! Je ne sais pas ce qui est meilleur: que tu me baise par le cul ou par la chatte ! C’est super ! Ne t’arrête pas ! Fais-moi grimper aux rideaux ! Fais-moi jouir comme une folle ! Comme une chienne ! Par derrière ! Par devant !
A chaque fois que je sentais qu’elle allait décharger, j’arrêtais un instant et investissait son autre trou. Moi-même je faisais des efforts surhumains pour m’empêcher de jouir et d’éjaculer tout mon foutre. Je voulais que la jouissance de ma belle soit paroxysmique ; qu’importe dans lequel des trous viendrait cette jouissance ! Au bout d’un long moment, ni elle ni moi ne pûmes plus nous retenir. Je la sentis se raidir et se tendre comme un ressort. Je vis tous les muscles de son visage se figer, ses lèvres devenir toutes blanches. Sa bouche s’ouvrir plus largement pour mieux respirer ; elle laissait couler un torrent de salive. L’orgasme arriva, dans un énorme grondement. Elle criait qu’elle allait jouir. Qu’elle allait jouir comme une folle !
- Je jouis comme une chienne ! Je me vide de tout mon jus ! Il faut que tu le boives ! Que tu boives tout !
En même temps qu’elle déchargeait, je sentis ma propre jouissance arriver ; elle partait de mon bas ventre jusqu’à mon sexe. Je poussai un long râle et explosai dans son trou (je ne savais plus lequel c’était !) en lui envoyant une première giclée de sperme épais et brulant. Je sortis immédiatement du trou dans lequel j’étais pour aller investir l’autre et lui offrir sa part de foutre. Et ainsi de suite, passant d’un trou à l’autre, jusqu’à ce que j’éjacule la totalité du sperme qui était en moi et que mon sexe devienne totalement mou et ne put plus pénétrer nulle part. Fourbu je m’affalai sur ma belle qui avait gardé les jambes écartées posées sur sa poitrine. Nous reprîmes lentement notre respiration. Elle ouvrit les yeux, me lança un merveilleux sourire de gratitude, m’embrassa légèrement sur la bouche et me demanda :- Montre-moi ta queue pour que je la suce et la nettoie !
Je chevauchai sa tête pour placer mon sexe, fatigué et totalement ramolli, devant sa bouche et la laisser le manœuvre à sa guise. Elle l’attrapa par la hampe et se mit à le lécher de manière à le nettoyer de tout le reste de foutre et de ramonage qu’il portait. Elle se mit alors à le titiller avec le bout de sa langue et à le sucer en douceur jusqu’à ce qu’il se remette à bander tellement fort qu’il lui fallait investir un de ses trous. Je sortis de sa bouche et me retournai pour la regarder en face et lui dire que j’avais encore envie d’elle.
- Tu as vu l’état dans lequel tu l’as mis ! Il faut absolument qu’il réinvestisse ta chatte ou ton cul ! Il ne peut pas rester comme cela !
- Ni mon cul, ni ma chatte ! Baise-moi par la bouche !
- Tu veux dire que tu vas me faire une fellation ?
- Non ! Je veux que tu me baises par la bouche ! Comme tu me baiserais par devant ou par derrière ! Viens !
Elle s’assit au bord du lit ; me demanda de me mettre debout devant elle ; prit ma queue d’une main ; ouvrit très grand la bouche ; et fit pénétrer l’engin jusque dans la gorge ; Elle fit faire à sa tête un mouvement de recul jusqu’à ce que mon sexe sortît totalement et lui fit refaire le chemin inverse. Elle me fit ainsi comprendre ce qu’elle voulait que je lui fasse. Je ne me fis pas prier pour entamer un mouvement de va-et-vient dans sa bouche grandement ouverte en le faisant totalement sortir et en le réintroduisant jusqu’au fond le la gorge, pour ressortir totalement ; et ainsi de suite. Au début j’y allais lentement et en douceur, craignant de lui faire mal ou de l’étouffer. Ce n’était pas ce qu’elle voulait ; elle me le fit comprendre en reprenant la direction de la manœuvre et en faisant aller et venir sa tête sur mon sexe en force et de plus en plus rapidement. Elle voulait que je la baise par la bouche ! Cette idée de baiser une femme par la bouche était tellement érotique, que je sentais mon sexe devenir de plus en plus gros.
Je ne pris plus aucune précaution et me mis à enfoncer ma queue de plus en plus fort et de plus en plus profondément dans la gorge de Sophie. Elle avait gardé la bouche grandement ouverte et les dents écartées de manière à ne pas me mordre. Je la tenais par les cheveux (si j’avais été réellement honnête, j’aurais écrit que « je la tirais par les cheveux et que ce geste de brute accroissait très fortement mon excitation ») et faisait faire à mon membre de longs mouvements de va-et-vient. Je sortais l’engin de sa bouche pour laisser respirer ma maîtresse une seconde, en prenant bien garde à ce que le gland reste au niveau des lèvres ouvertes pour les empêcher de se refermer, puis le replongeais brusquement jusqu’au fond de sa gorge en tirant avec force sur ses cheveux. Je voyais les yeux de Sophie se remplir de larmes, qui descendaient en abondance le long de se joues ; je voyais son nez qui coulait chaque fois que le gland de mon sexe atteignait et dépassait la glotte; je voyais des flots de salive couler de sa bouche chaque fois que ma queue en sortait. Elle semblait souffrir et cette souffrance était tellement érotique, qu’elle accroissait mon plaisir.
Parfois, quand je sentais que Sophie était sur le point de vomir, parce que mon sexe avait été trop loin dans sa gorge (quelle superbe sensation que celle de mon sexe dépassant la glotte et allant se nicher à l’entrée de l’œsophage ou de la trachée-artère !) je ressortais très vite et attendais qu’elle reprenne son souffle pour repartir à l’assaut de cette bouche si chaude et si accueillante. Je ne savais vraiment pas si Sophie prenait un quelconque plaisir à cette torture. Je ne le pensais pas vraiment. Mais au fond je m’en foutais ! C’était tellement bon de la baiser comme cela ! Je continuai donc, jusqu’à ce que, ne pouvant plus me retenir, j’explose dans sa gorge en lui envoyant une forte quantité de sperme, que je croyais pourtant avoir complètement asséché au cours du rapport précédent.
Je sortis de sa bouche, un peu honteux de ce que je venais de faire. Je regardais ma belle entrain de reprendre sa respiration et s’essuyer les yeux et le nez avec un pan du drap du lit. Elle me regarda en me faisant un grand sourire triomphant et en me disant d’une voix éraillée (sans doute l’effet des coups de boutoir de mon sexe sur sa gorge et ses cordes vocales) :- Comment tu as trouvé ?
- Sincèrement, je ne savais pas qu’il était possible de faire l’amour comme cela ! Je suis convaincu que tu n’as éprouvé aucun plaisir ! Que tu as eu très mal !
- Oui cela fait très mal ! Mais je suis heureuse d’étonner mes amants et de leur donner un maximum de plaisir ! C’est cela ma récompense ! Je suis certaine que jamais de ta vie tu n’oublieras Sophie, cette femme qui t’a demandé de la baiser comme cela ! Que jamais tu n’oublieras l’énorme plaisir que tu as pris !
- Non je n’oublierai pas ! Tu es vraiment merveilleuse ! Une femme d’une sensualité torride ! Une machine à donner et à prendre du plaisir !
- J’aime l’amour sans tabous et sans contrainte ! J’aime toutes les expériences érotiques ! Et je vois que toi aussi tu aimes l’érotisme ! On est fait pour s’entendre ! J’ai décidé que tout le temps que tu resteras à Paris, tu le passeras avec moi et chez moi ! Demain, après la visite de l’usine, nous iront directement chez moi ! Nous y serons plus à l’aise qu’ici à l’hôtel.
Et effectivement, le lendemain vers dix huit heures, après avoir passé la journée avec les apprentis formateurs, nous allâmes directement à Ville-d’Avray, dans les Hauts-de-Seine, où elle occupait un coquet appartement dans une résidence de luxe. Et là une autre histoire démarra.

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Texte coquin : Sophie
Histoire sexe : Une rose rouge
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