Sophie à l'hôpital
Récit érotique écrit par PLUME77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Sophie à l'hôpital
Le cours d'économie avait été plus long que d'habitude, l'amphithéâtre était plein. J'avais fait la fête la nuit dernière, j'étais fatiguée et pressée de rentrer dans mon studio pour me reposer. Même à 19 ans passés, une nuit de 2 heures est très insuffisante pour suivre des cours toute une journée.
J'ai récupéré mon vélo et pris au plus court, par l'avenue de la République, le sens interdit qui me faisait gagner un quart d’heure.
Mal m’en pris : une camionnette arrivait en sens inverse et le conducteur, quand il me vit en face de lui ne put m’éviter à la sortie du virage. Un grand bruit, un choc simultané et je me retrouve affalée sur la route.
J’ai glissée sur l'asphalte et tout le côté gauche me brûle, mes habits sont à moitié en lambeaux. Le conducteur de la camionnette me porte les premiers secours et appelle les urgences. Je trouve le temps long. J'ai mal mais j'ai aussi beaucoup de difficultés à parler et à réaliser ce qui m’arrive.
Dans l'ambulance, on me pose des questions, on me pique le bras. Je n'arrive pas à rassembler mes esprits et je vois dans les yeux du médecin que mes réponses sont incompréhensibles, voire même un rien rigolotes.
Je perds connaissance en arrivant aux urgences.
Ensuite, je me réveille sur un brancard inconfortable et complètement ankylosée. Je suis dans un couloir, je vois très bien les tuyaux des perfusions qui arrivent dans chacun de mes bras, mais je ne peux pas bouger mes doigts.
Seules mes jambes semblent pouvoir encore réagir ; ma hanche gauche est bloquée.
Je n'attends pas longtemps pour qu'un brancardier m'emmène dans ce qui semble être une salle près des chambres. Il me confirme que je vais être prise en charge, mais qu'il doit faire ma toilette, car j'avais été traînée sur le sol : ma peau doit être complètement aseptisée pour les radios et les examens.
À côté de moi, il y a un autre homme, probablement un aide-soignant ; il donne des instructions au brancardier. Tous les deux entreprennent de me déposer sur une espèce de table en faïence, munie de robinet, d'une douchette et d’un système d’évacuation. Je me crois dans une morgue avec un médecin qui pratiquerait mon autopsie.
Ça ressemble à ce que l'on peut voir chez les toiletteurs canins pour tondre et laver les chiens !
Sans pitié pour mes affaires (un jean tout neuf à 120 euros !) les deux hommes découpent mon pantalon et mon t-shirt de chez Levis, afin de me manipuler le moins possible. Ils coupent mes habits en plusieurs morceaux, tailladent ici et là pour qu'enfin je me retrouve en slip et en soutien-gorge. Mes vêtements découpés en petit tas au sol font peine à voir.
Bien évidemment, ils ne s'arrêtèrent pas en si bon chemin ! séparent mon soutien-gorge entre mes seins et les bretelles sur mes épaules afin de pouvoir le tirer délicatement sur le côté, ma culotte subit le même sort, coupée de chaque côté de mes hanches. Il ne reste plus qu’à tirer sur l'entrejambe pour que je me retrouve entièrement nue.
Je pensais qu’heureusement je n’avais pas mes règles et que j’étais parfaitement lisse. Je me disais que la situation aurait été plus grave si j’avais eu des poils à la chatte. En fait, j’ai du mal à hiérarchiser les choses… Je me rassurais parce que c'était des professionnels, qu'ils avaient l'habitude et que ce qui importait le plus, c'était d’être prise en charge et soignée.
Je ne sais pas ce que j'ai et je suis anxieuse de l'apprendre. Je ressens sur mon corps, sur ma figure et mes jambes la douceur de l'eau tiède. Les deux hommes sont équipés de gants de toilette et de savon liquide, ils me frottent délicatement, soulèvent mes jambes et me nettoient correctement. Je suis très surprise qu'ils se retrouvent tous les deux en face de moi, chacun avec une jambe qu'ils lèvent pour nettoyer mon sexe ainsi offert à leur vue.
Je n'ai pourtant pas l'esprit à la bagatelle, mais je ne peux m'empêcher de trouver la situation très érotique. En d'autres circonstances, j'aurais apprécié leurs mouvements sur ma fente et la douchette, qui une fois entre mes jambes écartées, avait pour fonction de rincer mon vagin.
L’eau m’excite et mon clitoris réagit. Je le sens se gonfler ; est-ce que les deux hommes s’en aperçoivent ?
Mais ça ne les intéressent pas plus que ça ! Ce qui les intriguent, et j’ai l’habitude, ce sont mes tétons. Leur longueur est très importante, presque des tétines ce qui jure avec mes seins qui sont bien modestes, mais en rapport avec ma corpulence : 1,55 mètres pour 45 kilos.
Ils ne se gênent pas pour me le faire savoir. Je veux hausser les épaules, mais je n’y arrive pas. Je suis encore plus inquiète quand je les vois me laver les bras et que je ne ressens rien.
Une fois les ablutions terminées, ils me sèchent avec des compresses avant de me passer sur tout le corps une solution alcoolique pour aseptiser toute la surface de ma peau. Mon visage subit le même sort et je reçois un chapeau pour protéger mes cheveux blonds de ma peau, moi qui suis si fière de ma blondeur et de mes yeux bleus ciel !
— Voilà mademoiselle, vous êtes prête pour les examens, je vous emmène à la radio.
Je me dis qu’ils ne vont quand même pas me laisser me balader à poil !
Sous le choc, impossible de mettre mes pensées en concordance avec la réalité. Le brancardier pousse le chariot et nous traversons un hall, des couloirs avec des gens autour de moi. Un arrêt, un médecin qui donne des ordres, après un bref examen, fait des palpations de mes bras et de mon torse. Il me pose des questions, je n’arrive pas à former les mots pour lui dire que je ne veux pas rester toute nue devant tout le monde. Je pense à ma fente ouverte, visible par tout un chacun du fait de la position de mes jambes très écartées et immobilisées contre les bords du brancard.
Je crois que j'en rougis de honte.
Un départ, un autre arrêt près d’un comptoir. Une secrétaire me pose des questions, me réclame des papiers, impatiente, un peu énervée. Impossible de parler et toujours mon corps nu, mes jambes écartées, des gens habillés qui me regardent, des demandes de rendez-vous...
Je dois être au service des hospitalisations, un enfer.
Et toujours pas moyen de parler !
Une salle avec une infirmière qui m’ausculte un peu partout, me palpe, me demande où je souffre, un de ses collègues qui n’ose pas établir un diagnostic, mais qui me tripote également. Bref une erreur d’aiguillage de la part de mon brancardier et l’on repart.
Il a l’air content, pas toujours très futé, mais il me rassure un peu. Enfin une salle où il n’y a personne d’autre que nous.
Si j’ai froid ? Oui mes fesses doivent être gelées. Il doit le comprendre car il met ses mains dessus et me les frictionne. Tiens ! il frictionne mes seins aussi, alors que je n’ai pas froid en haut. Bon peut être qu’il ne m’a pas comprise. Ou peut-être qu’il veut juste me peloter. Je n’y comprend plus rien. Je tombe encore dans les pommes.
C’est quand je passe sur le support froid de la table de la radio que je reprends mes esprits. Le radiologue m’interroge pour savoir si je comprends ce qu’il me dit. J’arrive à bredouiller quelques mots.
—Pour l’instant vous devez rester nue, que l’on puisse faire les examens. Tant que l’on ne sait pas ce qui cloche, vous restez comme vous êtes !
Bon c’est raté ! je dois rester entièrement nue pour les examens… Tout le monde peut me mater, je dois délirer !
On me donne un médicament à boire, le brancardier m’aide en me soutenant, mais je sens bien ses mains qui en font plus qu’elles ne devraient : il tire mes tétons.
Une vague douleur qui disparaît, mais je suis toujours sous le choc et mon intellect est en panne.
— Vous, restez avec moi pour la manipuler.
Là, je comprends que le radiologue a besoin du brancardier pour me bouger. Je suis tournée, retournée sur le côté, sur le ventre, sur le dos, dans toutes les positions, une jambe en l’air, le bras en bas… Je ne sais plus où je suis. Ils me bougent dans toutes les positions, ils doivent avoir une vue anatomique de mon corps jusque dans les moindres détails. Je crois même sentir des doigts qui s’égarent sur mon sexe. Mais comment en être certaine ? Je suis en état de choc.
Ce qui est réel, c’est l’humidité de mon vagin. Je le ressens nettement ainsi que le gonflement de mon clitoris.
Le verdict me sort de mon inconscience : mes deux bras sont cassés, j’ai un traumatisme crânien et pour finir ma hanche gauche est luxée. Le radiologue m’explique que je vais avoir un plâtre sur chaque bras, de l’épaule au poignet, une contention au niveau du bassin pour tenir ma jambe gauche en extension latérale. Et pour mon crâne, direction le scanner.
Il m’explique tout cela en me palpant l’endroit dont il me parle, ses mains dansent sur mon corps nu.
Le brancardier me véhicule jusqu’à l’endroit où j’avais été lavée et je retrouve l’aide-soignant qui jovialement me souhaite un bon retour chez lui. Je le regarde préparer les bandes de plâtre dont il a besoin pour mes bras. Là encore, aidé par le brancardier, il me manipule pour entourer mes bras. Il choisit de me maintenir par les seins pour me faire garder la position ‘’ idoine’’, comme il dit.
Il ne se gêne pas pour reconnaître qu’il me tient par la poitrine. Ce n’est pas désagréable tout compte fait ! Le portage dure un bon moment et je fatigue dans cette position. La fixation de la contention de ma jambe gauche est un véritable sport et permet à mes deux soignants un écartement maximum de mes jambes, ce qui occasionne l’ouverture de mon sexe. Ils ne se gênent pas pour détailler ma chatte. Peut-être pensent-ils que mon jeune âge les autorise à des privautés qu’ils ne prendraient pas avec une femme plus âgée.
Je dois rougir une fois encore, bras écartées, jambes écartées. Quelle position peut être plus dégradante quand on se retrouve entière nue ?
À nouveau des médicaments et de l’eau que j’ai du mal à avaler.
Le temps que le plâtre sèche, et je repars avec mon brancardier vers le scanner. Un vieux bonhomme me prend en charge.
Ils me font entrer dans le tunnel. Je passe tout juste avec mes bras écartés et ma jambe en l’air. Casque sur les oreilles, j’entends quand même les deux hommes parler de mes tétons et de ma petite chatte fendue et de l’ourlet de mes lèvres intimes. Ils ne sont décidément pas gênés dans le monde médical !
Les examens touchent à leur fin et j’en suis quitte pour un léger traumatisme, qui se résorbera dans les jours qui viendront, ce qui ne m’empêchera pas de parler distinctement.
Je me dis que ça aurait pu être bien pire.
Direction les étages par l’ascenseur, pour une chambre dans laquelle j’espère être seule. La chance est avec moi : il s’agit d’une chambre double, mais j'en suis la seule occupante.
Le brancardier m’installe ; encore une fois ses gestes sont trop caressants pour être honnêtes ! Mais à quoi bon ? Il semble très impliqué et je ne veux pas me le mettre à dos. Je laisse faire et fais mine de ne rien remarquer. J’ai toujours du mal à coordonner ma pensée et ma parole.
— Voilà, le médecin va venir vous voir pour le diagnostic final ; l’aide-soignant viendra ensuite vous faire dîner, à plus tard ma belle.
Il doit penser que le fait de me balader à poil dans tout l’hôpital, lui permet de telle familiarité : Ma belle, pourquoi pas Ma cochonne ou Ma chaudasse, pendant qu’il y est ?
Je commence à m’assoupir quand le médecin accompagné de deux élèves fait irruption dans ma chambre, sans même frapper à la porte.
— Bonjour Mademoiselle Sophie, vous l’avez échappée belle ! Bras cassés, hanche luxée et léger traumatisme crânien. C’est au moins une semaine d’hôpital, plus 5 semaines de soins à domicile et un mois de rééducation.
Il continu en s’adressant à ses élèves et décrit symptômes et anatomie comparée. Je suis toujours à poil écartelée sur mon lit, mon intimité exhibée : deux hommes et une femme me reluquent à loisir. Je ne connaissais pas les hôpitaux jusqu’ici, mais je comprends rapidement la promiscuité qui y règne.
Après leur sortie de ma chambre, la préposée au dîner dépose le plateau sur la table amovible et me dit :
— Mais comment vous allez manger ma petite ? Je vais appeler l’aide-soignant de nuit.
Elle sonne et peu de temps après un aide-soignant, probablement un retraité, moustache à l’anglaise, en rupture de pension, entre dans ma chambre.
—Je suis attaché à votre service mademoiselle, je vais vous chouchouter vous allez voir !
À bien choisir, je préféré un vieux qu’un jeune. Il me donne la becquée avec patience, verse un peu de riz sur ma poitrine, qu’il récupéré avec les doigts. Je bois abondamment : sûrement l’effet des médicaments. Il est patient et passe le temps, quand il ne me nourrit pas, à me mater, sans aucun complexe. Il détaille mon corps, sûrement avec le regret, vu son âge avancé, de ne plus en posséder un dans l'état du mien. Le repas terminé il débarrasse ma tablette et dit :
— Bon maintenant, c’est pipi et popo. Allez ouste sur le bassin !
Je suis morte de honte, je n’avais pas pensée à cet aspect des choses.
Il me manipule pour pouvoir glisser le bassin sous moi et me garde collé contre lui pendant que je fais pipi. J’ai du mal à débloquer ma vessie, le bruit de ma pisse me fait rougi. La honte de ma vie ! Il ôte le bassin et regarde dedans. Il prend une double feuille de papier hygiénique et entreprend de m’essuyer la chatte. Je n’ose imaginer quand j’aurais besoin de faire la grosse commission.
— Bah voilà ! C’était un gros pissou tout ça !
Il pose un drap sur moi qui glisse de suite dès qu’il sort de ma chambre. Je sombre dans un sommeil réparateur.
Le petit matin est douloureux, j’ai sûrement des traumatismes partout. Des bleus doivent orner tout mon corps, je ne risque pas de bouger !
Petit déjeuner par l’équipe de jour, une aide-soignante ramasse le drap qui était censée protéger ma pudeur et me fait manger pendant qu’elle me passe le bassin. D’où l’expression manger et pisser à la fois. Du coup je n’ai pas le droit d’être essuyée, mais bon, ce n’est pas grave : moins la honte. Tout de même, elle pourrait éviter de me faire faire mes besoins quand je mange !
Je découvre le monde hospitalier. À 9 heures 30, deux aide soignants déboulent dans ma chambre, toujours sans frapper. Je ne les connais pas, je suis à poil sur mon lit, mais ça ne semble pas les déranger, d’ailleurs ça ne semble déranger personne ici. La porte reste grande ouverte, de fait, les gens qui passent dans le couloir ont tout loisir de me voir entièrement nue et offerte dans la position où je me trouve. Là également, les gens habillés me choquent, peut-être parce que je suis nue.
Ils me lavent avec des éponges qu’ils trempent dans une bassine qui se trouve sur le chariot qu’ils ont apporté.
Pas gênés de me trifouiller la chatte, ils soulèvent mes fesses, passent les doigts dans mon trou du cul, farfouillent mes seins, enfin ne se préoccupent pas de moi mais seulement de mon corps. Quelques gestes appuyés qui n’auraient pas dû avoir lieu et je reste à leur départ dans un état de semi excitation. À peine remise de leur passage, l’un des deux revient avec le bassin :
— Il faut aller à la selle maintenant, mademoiselle Sophie, c’est le docteur qui l’a dit. J’attendrais tout le temps qu’il faudra.
Je me retenais jusqu’à maintenant, mais il semblerait que je n’aie plus le choix.
Il soulève mes fesses, m’arrange le basin et plie ses jambes pour être à hauteur de mes fesses.
Le traumatisme m’empêche encore de parler et à part m’exécuter, je ne vois pas grand-chose à faire, surtout que l’envie me taraude le ventre.
Je pousse, je pousse, mon visage doit s’empourprer, car l’homme me dit :
— On pousse fort, le caca va bientôt sortir et pas par la belle petite chatte toute rose, le tout accompagné par un rire sarcastique. Et en plus, il me tient la main pour m’aider ! Du grand n’importe quoi ! Je suis dans un monde surnaturel, ubuesque, kafkaïen.
Au final je fais un colombin d’une bonne longueur. Il retire le bassin et le moment le plus honteux arrive : Il me torche comme un bébé, une fois, deux fois, trois fois. Il y prend goût et ses doigts ne restent pas que sur mon anus, mais s’égarent dans ma chatte, écrasant mon clitoris, son pouce est entré dans mon trou du cul.
Sa main fait des va-et-vient et je ne peux retenir un orgasme. Il sourit de toutes ses dents et me donne un baiser sur la bouche. Je suis sidérée, mais contente d’avoir ressenti du plaisir. Mon corps réagit et c’est le principal.
Je m’endors jusque midi pour être réveillée par une nouvelle personne qui me donne mon plateau et l’aide-soignant qui m’avait doigté vient me donner la becquée. Je lui jette un regard réprobateur mais il m’explique que j’avais besoin de me détendre et que c’est pour cette raison qu’il m’a donné du bonheur. En voilà un qui n’est pas gêné ! Il termine et m’embrasse goulûment. Je dors toute l’après-midi, sûrement l'effet d'un calmant. Le soir je retrouve le vieux, l’aide-soignant qui devrait être à la retraite. Il s’occupe de moi : j’ai passé l’heure du dîner car je dormais et c’est vers 21 heures qu’il me donne à manger.
Entre dans la chambre le jeune type qui s’était occupé de ma toilette et de me faire faire mes besoins. Je ne comprends plus rien. Il se met sur mon lit et commence à me tripoter, pendant que je mange, le vieux rigole et l’encourage en utilisant des termes grossiers, je renonce à me rebeller et me laisse aller au plaisir.
Après tout, ça me fait du bien !
J’ai droit, en guise de dessert, de sucer les deux hommes, d’avoir une bonne ration de sperme dans mon yogourt et à deux orgasmes coup sur coup ! Manger en même temps qu’un homme vous fait un broute minou d’enfer tout en ayant les jambes et les bras immobilisés procure une impression de plénitude incroyable !
Une semaine formidable ! Tous étaient aux petits soins avec moi, même si j’ai passé toute la durée de mon séjour à être tripotée et matée par tout le monde, entièrement nue continuellement, sans aucune intimité, mon corps visité en permanence, observé à la loupe, scruté par des dizaines de paires d’yeux, mais il a donné à tant de personnes l’illusion du bonheur, l’instant de grâce, de félicitée. Et ils voient maintenant la vie d’une toute autre façon.
La vie est belle à l’hôpital !
J'ai récupéré mon vélo et pris au plus court, par l'avenue de la République, le sens interdit qui me faisait gagner un quart d’heure.
Mal m’en pris : une camionnette arrivait en sens inverse et le conducteur, quand il me vit en face de lui ne put m’éviter à la sortie du virage. Un grand bruit, un choc simultané et je me retrouve affalée sur la route.
J’ai glissée sur l'asphalte et tout le côté gauche me brûle, mes habits sont à moitié en lambeaux. Le conducteur de la camionnette me porte les premiers secours et appelle les urgences. Je trouve le temps long. J'ai mal mais j'ai aussi beaucoup de difficultés à parler et à réaliser ce qui m’arrive.
Dans l'ambulance, on me pose des questions, on me pique le bras. Je n'arrive pas à rassembler mes esprits et je vois dans les yeux du médecin que mes réponses sont incompréhensibles, voire même un rien rigolotes.
Je perds connaissance en arrivant aux urgences.
Ensuite, je me réveille sur un brancard inconfortable et complètement ankylosée. Je suis dans un couloir, je vois très bien les tuyaux des perfusions qui arrivent dans chacun de mes bras, mais je ne peux pas bouger mes doigts.
Seules mes jambes semblent pouvoir encore réagir ; ma hanche gauche est bloquée.
Je n'attends pas longtemps pour qu'un brancardier m'emmène dans ce qui semble être une salle près des chambres. Il me confirme que je vais être prise en charge, mais qu'il doit faire ma toilette, car j'avais été traînée sur le sol : ma peau doit être complètement aseptisée pour les radios et les examens.
À côté de moi, il y a un autre homme, probablement un aide-soignant ; il donne des instructions au brancardier. Tous les deux entreprennent de me déposer sur une espèce de table en faïence, munie de robinet, d'une douchette et d’un système d’évacuation. Je me crois dans une morgue avec un médecin qui pratiquerait mon autopsie.
Ça ressemble à ce que l'on peut voir chez les toiletteurs canins pour tondre et laver les chiens !
Sans pitié pour mes affaires (un jean tout neuf à 120 euros !) les deux hommes découpent mon pantalon et mon t-shirt de chez Levis, afin de me manipuler le moins possible. Ils coupent mes habits en plusieurs morceaux, tailladent ici et là pour qu'enfin je me retrouve en slip et en soutien-gorge. Mes vêtements découpés en petit tas au sol font peine à voir.
Bien évidemment, ils ne s'arrêtèrent pas en si bon chemin ! séparent mon soutien-gorge entre mes seins et les bretelles sur mes épaules afin de pouvoir le tirer délicatement sur le côté, ma culotte subit le même sort, coupée de chaque côté de mes hanches. Il ne reste plus qu’à tirer sur l'entrejambe pour que je me retrouve entièrement nue.
Je pensais qu’heureusement je n’avais pas mes règles et que j’étais parfaitement lisse. Je me disais que la situation aurait été plus grave si j’avais eu des poils à la chatte. En fait, j’ai du mal à hiérarchiser les choses… Je me rassurais parce que c'était des professionnels, qu'ils avaient l'habitude et que ce qui importait le plus, c'était d’être prise en charge et soignée.
Je ne sais pas ce que j'ai et je suis anxieuse de l'apprendre. Je ressens sur mon corps, sur ma figure et mes jambes la douceur de l'eau tiède. Les deux hommes sont équipés de gants de toilette et de savon liquide, ils me frottent délicatement, soulèvent mes jambes et me nettoient correctement. Je suis très surprise qu'ils se retrouvent tous les deux en face de moi, chacun avec une jambe qu'ils lèvent pour nettoyer mon sexe ainsi offert à leur vue.
Je n'ai pourtant pas l'esprit à la bagatelle, mais je ne peux m'empêcher de trouver la situation très érotique. En d'autres circonstances, j'aurais apprécié leurs mouvements sur ma fente et la douchette, qui une fois entre mes jambes écartées, avait pour fonction de rincer mon vagin.
L’eau m’excite et mon clitoris réagit. Je le sens se gonfler ; est-ce que les deux hommes s’en aperçoivent ?
Mais ça ne les intéressent pas plus que ça ! Ce qui les intriguent, et j’ai l’habitude, ce sont mes tétons. Leur longueur est très importante, presque des tétines ce qui jure avec mes seins qui sont bien modestes, mais en rapport avec ma corpulence : 1,55 mètres pour 45 kilos.
Ils ne se gênent pas pour me le faire savoir. Je veux hausser les épaules, mais je n’y arrive pas. Je suis encore plus inquiète quand je les vois me laver les bras et que je ne ressens rien.
Une fois les ablutions terminées, ils me sèchent avec des compresses avant de me passer sur tout le corps une solution alcoolique pour aseptiser toute la surface de ma peau. Mon visage subit le même sort et je reçois un chapeau pour protéger mes cheveux blonds de ma peau, moi qui suis si fière de ma blondeur et de mes yeux bleus ciel !
— Voilà mademoiselle, vous êtes prête pour les examens, je vous emmène à la radio.
Je me dis qu’ils ne vont quand même pas me laisser me balader à poil !
Sous le choc, impossible de mettre mes pensées en concordance avec la réalité. Le brancardier pousse le chariot et nous traversons un hall, des couloirs avec des gens autour de moi. Un arrêt, un médecin qui donne des ordres, après un bref examen, fait des palpations de mes bras et de mon torse. Il me pose des questions, je n’arrive pas à former les mots pour lui dire que je ne veux pas rester toute nue devant tout le monde. Je pense à ma fente ouverte, visible par tout un chacun du fait de la position de mes jambes très écartées et immobilisées contre les bords du brancard.
Je crois que j'en rougis de honte.
Un départ, un autre arrêt près d’un comptoir. Une secrétaire me pose des questions, me réclame des papiers, impatiente, un peu énervée. Impossible de parler et toujours mon corps nu, mes jambes écartées, des gens habillés qui me regardent, des demandes de rendez-vous...
Je dois être au service des hospitalisations, un enfer.
Et toujours pas moyen de parler !
Une salle avec une infirmière qui m’ausculte un peu partout, me palpe, me demande où je souffre, un de ses collègues qui n’ose pas établir un diagnostic, mais qui me tripote également. Bref une erreur d’aiguillage de la part de mon brancardier et l’on repart.
Il a l’air content, pas toujours très futé, mais il me rassure un peu. Enfin une salle où il n’y a personne d’autre que nous.
Si j’ai froid ? Oui mes fesses doivent être gelées. Il doit le comprendre car il met ses mains dessus et me les frictionne. Tiens ! il frictionne mes seins aussi, alors que je n’ai pas froid en haut. Bon peut être qu’il ne m’a pas comprise. Ou peut-être qu’il veut juste me peloter. Je n’y comprend plus rien. Je tombe encore dans les pommes.
C’est quand je passe sur le support froid de la table de la radio que je reprends mes esprits. Le radiologue m’interroge pour savoir si je comprends ce qu’il me dit. J’arrive à bredouiller quelques mots.
—Pour l’instant vous devez rester nue, que l’on puisse faire les examens. Tant que l’on ne sait pas ce qui cloche, vous restez comme vous êtes !
Bon c’est raté ! je dois rester entièrement nue pour les examens… Tout le monde peut me mater, je dois délirer !
On me donne un médicament à boire, le brancardier m’aide en me soutenant, mais je sens bien ses mains qui en font plus qu’elles ne devraient : il tire mes tétons.
Une vague douleur qui disparaît, mais je suis toujours sous le choc et mon intellect est en panne.
— Vous, restez avec moi pour la manipuler.
Là, je comprends que le radiologue a besoin du brancardier pour me bouger. Je suis tournée, retournée sur le côté, sur le ventre, sur le dos, dans toutes les positions, une jambe en l’air, le bras en bas… Je ne sais plus où je suis. Ils me bougent dans toutes les positions, ils doivent avoir une vue anatomique de mon corps jusque dans les moindres détails. Je crois même sentir des doigts qui s’égarent sur mon sexe. Mais comment en être certaine ? Je suis en état de choc.
Ce qui est réel, c’est l’humidité de mon vagin. Je le ressens nettement ainsi que le gonflement de mon clitoris.
Le verdict me sort de mon inconscience : mes deux bras sont cassés, j’ai un traumatisme crânien et pour finir ma hanche gauche est luxée. Le radiologue m’explique que je vais avoir un plâtre sur chaque bras, de l’épaule au poignet, une contention au niveau du bassin pour tenir ma jambe gauche en extension latérale. Et pour mon crâne, direction le scanner.
Il m’explique tout cela en me palpant l’endroit dont il me parle, ses mains dansent sur mon corps nu.
Le brancardier me véhicule jusqu’à l’endroit où j’avais été lavée et je retrouve l’aide-soignant qui jovialement me souhaite un bon retour chez lui. Je le regarde préparer les bandes de plâtre dont il a besoin pour mes bras. Là encore, aidé par le brancardier, il me manipule pour entourer mes bras. Il choisit de me maintenir par les seins pour me faire garder la position ‘’ idoine’’, comme il dit.
Il ne se gêne pas pour reconnaître qu’il me tient par la poitrine. Ce n’est pas désagréable tout compte fait ! Le portage dure un bon moment et je fatigue dans cette position. La fixation de la contention de ma jambe gauche est un véritable sport et permet à mes deux soignants un écartement maximum de mes jambes, ce qui occasionne l’ouverture de mon sexe. Ils ne se gênent pas pour détailler ma chatte. Peut-être pensent-ils que mon jeune âge les autorise à des privautés qu’ils ne prendraient pas avec une femme plus âgée.
Je dois rougir une fois encore, bras écartées, jambes écartées. Quelle position peut être plus dégradante quand on se retrouve entière nue ?
À nouveau des médicaments et de l’eau que j’ai du mal à avaler.
Le temps que le plâtre sèche, et je repars avec mon brancardier vers le scanner. Un vieux bonhomme me prend en charge.
Ils me font entrer dans le tunnel. Je passe tout juste avec mes bras écartés et ma jambe en l’air. Casque sur les oreilles, j’entends quand même les deux hommes parler de mes tétons et de ma petite chatte fendue et de l’ourlet de mes lèvres intimes. Ils ne sont décidément pas gênés dans le monde médical !
Les examens touchent à leur fin et j’en suis quitte pour un léger traumatisme, qui se résorbera dans les jours qui viendront, ce qui ne m’empêchera pas de parler distinctement.
Je me dis que ça aurait pu être bien pire.
Direction les étages par l’ascenseur, pour une chambre dans laquelle j’espère être seule. La chance est avec moi : il s’agit d’une chambre double, mais j'en suis la seule occupante.
Le brancardier m’installe ; encore une fois ses gestes sont trop caressants pour être honnêtes ! Mais à quoi bon ? Il semble très impliqué et je ne veux pas me le mettre à dos. Je laisse faire et fais mine de ne rien remarquer. J’ai toujours du mal à coordonner ma pensée et ma parole.
— Voilà, le médecin va venir vous voir pour le diagnostic final ; l’aide-soignant viendra ensuite vous faire dîner, à plus tard ma belle.
Il doit penser que le fait de me balader à poil dans tout l’hôpital, lui permet de telle familiarité : Ma belle, pourquoi pas Ma cochonne ou Ma chaudasse, pendant qu’il y est ?
Je commence à m’assoupir quand le médecin accompagné de deux élèves fait irruption dans ma chambre, sans même frapper à la porte.
— Bonjour Mademoiselle Sophie, vous l’avez échappée belle ! Bras cassés, hanche luxée et léger traumatisme crânien. C’est au moins une semaine d’hôpital, plus 5 semaines de soins à domicile et un mois de rééducation.
Il continu en s’adressant à ses élèves et décrit symptômes et anatomie comparée. Je suis toujours à poil écartelée sur mon lit, mon intimité exhibée : deux hommes et une femme me reluquent à loisir. Je ne connaissais pas les hôpitaux jusqu’ici, mais je comprends rapidement la promiscuité qui y règne.
Après leur sortie de ma chambre, la préposée au dîner dépose le plateau sur la table amovible et me dit :
— Mais comment vous allez manger ma petite ? Je vais appeler l’aide-soignant de nuit.
Elle sonne et peu de temps après un aide-soignant, probablement un retraité, moustache à l’anglaise, en rupture de pension, entre dans ma chambre.
—Je suis attaché à votre service mademoiselle, je vais vous chouchouter vous allez voir !
À bien choisir, je préféré un vieux qu’un jeune. Il me donne la becquée avec patience, verse un peu de riz sur ma poitrine, qu’il récupéré avec les doigts. Je bois abondamment : sûrement l’effet des médicaments. Il est patient et passe le temps, quand il ne me nourrit pas, à me mater, sans aucun complexe. Il détaille mon corps, sûrement avec le regret, vu son âge avancé, de ne plus en posséder un dans l'état du mien. Le repas terminé il débarrasse ma tablette et dit :
— Bon maintenant, c’est pipi et popo. Allez ouste sur le bassin !
Je suis morte de honte, je n’avais pas pensée à cet aspect des choses.
Il me manipule pour pouvoir glisser le bassin sous moi et me garde collé contre lui pendant que je fais pipi. J’ai du mal à débloquer ma vessie, le bruit de ma pisse me fait rougi. La honte de ma vie ! Il ôte le bassin et regarde dedans. Il prend une double feuille de papier hygiénique et entreprend de m’essuyer la chatte. Je n’ose imaginer quand j’aurais besoin de faire la grosse commission.
— Bah voilà ! C’était un gros pissou tout ça !
Il pose un drap sur moi qui glisse de suite dès qu’il sort de ma chambre. Je sombre dans un sommeil réparateur.
Le petit matin est douloureux, j’ai sûrement des traumatismes partout. Des bleus doivent orner tout mon corps, je ne risque pas de bouger !
Petit déjeuner par l’équipe de jour, une aide-soignante ramasse le drap qui était censée protéger ma pudeur et me fait manger pendant qu’elle me passe le bassin. D’où l’expression manger et pisser à la fois. Du coup je n’ai pas le droit d’être essuyée, mais bon, ce n’est pas grave : moins la honte. Tout de même, elle pourrait éviter de me faire faire mes besoins quand je mange !
Je découvre le monde hospitalier. À 9 heures 30, deux aide soignants déboulent dans ma chambre, toujours sans frapper. Je ne les connais pas, je suis à poil sur mon lit, mais ça ne semble pas les déranger, d’ailleurs ça ne semble déranger personne ici. La porte reste grande ouverte, de fait, les gens qui passent dans le couloir ont tout loisir de me voir entièrement nue et offerte dans la position où je me trouve. Là également, les gens habillés me choquent, peut-être parce que je suis nue.
Ils me lavent avec des éponges qu’ils trempent dans une bassine qui se trouve sur le chariot qu’ils ont apporté.
Pas gênés de me trifouiller la chatte, ils soulèvent mes fesses, passent les doigts dans mon trou du cul, farfouillent mes seins, enfin ne se préoccupent pas de moi mais seulement de mon corps. Quelques gestes appuyés qui n’auraient pas dû avoir lieu et je reste à leur départ dans un état de semi excitation. À peine remise de leur passage, l’un des deux revient avec le bassin :
— Il faut aller à la selle maintenant, mademoiselle Sophie, c’est le docteur qui l’a dit. J’attendrais tout le temps qu’il faudra.
Je me retenais jusqu’à maintenant, mais il semblerait que je n’aie plus le choix.
Il soulève mes fesses, m’arrange le basin et plie ses jambes pour être à hauteur de mes fesses.
Le traumatisme m’empêche encore de parler et à part m’exécuter, je ne vois pas grand-chose à faire, surtout que l’envie me taraude le ventre.
Je pousse, je pousse, mon visage doit s’empourprer, car l’homme me dit :
— On pousse fort, le caca va bientôt sortir et pas par la belle petite chatte toute rose, le tout accompagné par un rire sarcastique. Et en plus, il me tient la main pour m’aider ! Du grand n’importe quoi ! Je suis dans un monde surnaturel, ubuesque, kafkaïen.
Au final je fais un colombin d’une bonne longueur. Il retire le bassin et le moment le plus honteux arrive : Il me torche comme un bébé, une fois, deux fois, trois fois. Il y prend goût et ses doigts ne restent pas que sur mon anus, mais s’égarent dans ma chatte, écrasant mon clitoris, son pouce est entré dans mon trou du cul.
Sa main fait des va-et-vient et je ne peux retenir un orgasme. Il sourit de toutes ses dents et me donne un baiser sur la bouche. Je suis sidérée, mais contente d’avoir ressenti du plaisir. Mon corps réagit et c’est le principal.
Je m’endors jusque midi pour être réveillée par une nouvelle personne qui me donne mon plateau et l’aide-soignant qui m’avait doigté vient me donner la becquée. Je lui jette un regard réprobateur mais il m’explique que j’avais besoin de me détendre et que c’est pour cette raison qu’il m’a donné du bonheur. En voilà un qui n’est pas gêné ! Il termine et m’embrasse goulûment. Je dors toute l’après-midi, sûrement l'effet d'un calmant. Le soir je retrouve le vieux, l’aide-soignant qui devrait être à la retraite. Il s’occupe de moi : j’ai passé l’heure du dîner car je dormais et c’est vers 21 heures qu’il me donne à manger.
Entre dans la chambre le jeune type qui s’était occupé de ma toilette et de me faire faire mes besoins. Je ne comprends plus rien. Il se met sur mon lit et commence à me tripoter, pendant que je mange, le vieux rigole et l’encourage en utilisant des termes grossiers, je renonce à me rebeller et me laisse aller au plaisir.
Après tout, ça me fait du bien !
J’ai droit, en guise de dessert, de sucer les deux hommes, d’avoir une bonne ration de sperme dans mon yogourt et à deux orgasmes coup sur coup ! Manger en même temps qu’un homme vous fait un broute minou d’enfer tout en ayant les jambes et les bras immobilisés procure une impression de plénitude incroyable !
Une semaine formidable ! Tous étaient aux petits soins avec moi, même si j’ai passé toute la durée de mon séjour à être tripotée et matée par tout le monde, entièrement nue continuellement, sans aucune intimité, mon corps visité en permanence, observé à la loupe, scruté par des dizaines de paires d’yeux, mais il a donné à tant de personnes l’illusion du bonheur, l’instant de grâce, de félicitée. Et ils voient maintenant la vie d’une toute autre façon.
La vie est belle à l’hôpital !
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